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Un amplificateur opérationnel (AO, OPAMP : operational amplifier) dit aussi circuit intégré linéaire est constitué d’un
ensemble de composants électroniques actifs et passifs connectés les uns aux autres dans un même boîtier. Il est appelé
amplificateur opérationnel car ses premières applications ont été la réalisation des opérations mathématiques (addition,
soustraction, multiplication, division, intégration et dérivation) pour le calcul analogique. Initialement ces amplificateurs
étaient réalisés à l’aide de tubes, ils étaient donc volumineux et présentaient des dérives difficiles à compenser. Les
progrès technologiques, ont permis de le réaliser à l’aide de transistors, puis de circuits intégrés ; ce qui fait que l’on peut
le considérer comme un composant. En fait, il s’agit d’une des fonctions les plus importantes de l’électronique analogique.
Sa simplicité d’emploi fait qu’on l’utilise de plus en plus, même à :
IV.1 Description :
L’amplificateur opérationnel est un circuit intégré monolithique, enfermé sur un boîtier de 8 à 14 broches. Il présente les
bornes suivantes (cas du 741 et du TL081) :
Figure IV.1
La représentation normalisée d’un amplificateur opérationnel et celle indiquée par la figure IV.2.a.
– le " triangle " signifie qu’il s’agit d’un composant unidirectionnel.
– la tension d’entrée différentielle est : = e+ – e-
– les bornes d’alimentations ne sont en général pas représentées sur les schémas.
L’alimentation d’un AO (fig.IV.2.b) est assurée par deux sources de tension continues en V CC ( B7) et VEE (B4), en
général identiques (VEE = –VCC, mais ce n’est pas obligatoire) mais doivent rester dans des limites imposées (par
S. MEGUELLATI 1
exemple de 2,5 V à 18 V pour un 741 ou un TL 081). Le point commun des alimentations (c-à-d la masse) n’est pas
connecté au circuit intégré, mais constitue la référence des potentiels du montage.
Figure IV .2: a) b)
L’AO est conçu pour détecter la différence entre les deux signaux présents à ses entrées, multiplier cette différence par A,
pour donner la tension de sortie v3 = A(v2-v1).
• L’impédance d’entrée d’un AO idéal est infinie, c à d le courant d’entrée des deux entrées est nul. (Zin = ∞, ii=0)
• L’impédance de sortie de l’AO est nulle (Zout = 0)
On arrive au circuit équivalent de la figure IV.3. Remarquez que la sortie est en phase avec v2 (entrée non inverseuse +)
et en inverse par rapport à v1 (entrée inverseuse -).
L’AP répond seulement à la différence de l’entrée et rejette tout signal commun. L’AO idéal a donc un gain en mode
commun nul (donc un rejet en mode commun infinie).
Figure IV.3
A est le gain différentiel ou le gain en boucle ouverte.
L’AO est un amplificateur dc qui amplifie les basses fréquences.
L’AO idéal possède un gain A constant de la fréquence zéro jusqu’à infinie, c à d il amplifie les signaux de toutes les
fréquences avec un gain égal. Un AO idéal possède donc une bande passante infinie.
Un AO idéal possède un gain très grand (infini)
En résumé, les caractéristiques d’un Amplificateur opérationnel idéal sont :
S. MEGUELLATI 2
1. Impédance d’entrée infinie
2. Impédance de sortie nulle
3. Gain en mode commun nul (ou réjection en mode commun infinie)
4. Gain en boucle ouvert infini
5. Bande passante infinie
Le signal d’entrée en mode commun vicm est la moyenne des deux signaux d’entrée v2 et v1 :
1
𝑣𝐼𝑐𝑚 = (𝑣1 + 𝑣2 )……………………………………………………………………………………………………………………………………………………..(2)
2
Les équations (1) et (2) sont utilisés pour exprimer les signaux d’entrée en fonction de leurs composantes différentielles
et en mode commun :
𝑣𝐼𝑑
𝑣1 = (𝑣𝐼𝑐𝑚 − )………………………………………………………………………………………………………………………………………………………(3)
2
et
𝑣𝐼𝑑
𝑣2 = (𝑣𝐼𝑐𝑚 + )…………………………………………………………………………………………………………………………………………….………..(4)
2
Schématiquement :
Figure IV.4
S. MEGUELLATI 3
Le résistance R2 applique une rétroaction négative puisqu’elle relie la sortie à l’entrée inverseuse 1. Cette résistance
« ferme » la boucle autour de l’AO. L’entrée 1 est reliée au signal d’entrée vI à travers R tandis que v2 est reliée à la masse.
Figure IV.5
Le gain A étant grand (idéalement infini), on suppose que le circuit fonctionne et donne une tension finie à sa sortie. Ceci
implique que l’entrée différentielle est négligeable (idéalement nulle).
Il s’en suit que v2 = v1. Cela veut dire que parce que le gain A tend vers l’infini, la tension v1 tend vers v2. On parle d’
« entrées qui se poursuivent -tracking -». On parle aussi d’un « court-circuit virtuel » entre les deux bornes d’entrée ( v1
suit v2, tandis que v2 est à la masse : v1 est alors aussi à la masse, virtuellement pas physiquement).
Ne pouvant entrer dans l’AO, ce courant n’a que de circuler à travers R2 vers la sortie. On trouve alors :
𝑣1
𝑣0 = 𝑣1 − 𝑖1 𝑅2 = 0 − 𝑅2 donc
𝑅1
𝑣0 𝑅2
=− …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….(7)
𝑣1 𝑅1
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Figure IV.6
Le gain en boucle fermée n’est que le rapport entre les deux résistances R2 et R1. Le signe moins indique que le circuit
inverse le signal de sortie par rapport à l’entrée. D’où la nomination « configuration inverseuse »
Figure IV.7
𝑣0 𝑣0 𝑣1 +𝑣0 /𝐴
𝑣0 = − − 𝑖1 𝑅2 = − −( ) 𝑅2 ……………………………………………………………………………………………………..……………..(9)
𝐴 𝐴 𝑅1
𝑣0 −𝑅2 /𝑅1
𝐺≡ = …………………………………………………………………………………………………………………………………………….(10)
𝑣1 1+(1+ 𝑅2 /𝑅1 )/𝐴
Afin de minimiser la dépendance du gain en gain fermé du gain en boucle ouverte, on doit assurer : (1 + 𝑅2 /𝑅1 ) ≪ 𝐴
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Exemple
Considérons la configuration inverseuse d’un AO avec R1 = 1k et R2 = 100 k. (gain en boucle fermée idéal de -100)
a) Trouver le gain en boucle fermée pour A= 103, 104 et 105. Dans chaque cas trouvez l’erreur dans l’amplitude du
gain par rapport à la valeur idéale R2/R1 (obtenue avec A= infini). Déterminer v1 lorsque vI = 0.1 V.
b) Si le gain en boucle ouverte change de 100 000 à 50 000 (diminiue de 50 %) quel serait le changement dans
l’amplitude du gain en boucle fermé G.
Solution :
a) En utilisant l’équation (9) on obtient les valeurs dans le tableau suivant, où l’erreur est définie comme :
|𝐺|−𝑅2 /𝑅1
𝜀≡ × 100
𝑅2 /𝑅1
b) Utilisant eq (10) on trouve que pour A= 50 000, |G|=99.80. donc un changement de -50% dans le gain en boucle
ouverte donne un changement en |G| de 99.90 à 99.80 qui n’est que -0.1 %
La résistance d’entrée de l’AO forme un diviseur de tension avec la résistance série de la source. Donc, afin de ne pas
perdre une partie du signal, Ri doit être la plus grande possible. Pour la configuration inverseuse Ri = R1. Une grande
R1 implique aussi un gain G moins élevé. La configuration inverseuse souffre donc d’une faible résistance d’entrée.
Exemple :
Trouver l’expression du gain en boucle fermé vo/vI pour l’AP idéal de la figure IV.8. utiliser ce circuit pour concevoir un
amplificateur inverseur avec un gain de 100 et une résistance d’entrée de 1 M. Pour des raisons pratiques, la
résistance ne doit pas dépasser 1 M. Comparer avec la configuration inverseuse étudiée plus haut.
S. MEGUELLATI 6
Figure IV.8
Solution :
Ici, on a supposé que le circuit produit une tension de sortie vo finie. Connaissant vI, on peut trouver i1 :
𝑣𝐼 −𝑣1 𝑣𝐼 −0 𝑣𝐼
𝑖1 = = =
𝑅1 𝑅1 𝑅1
𝑣𝐼
Avec un courant nul dans l’entrée inverseuse, la totalité de i1 circule dans R2 et donc 𝑖1 = 𝑖2 =
𝑅1
𝑣𝐼 𝑅2
La tension au nœud x est alors : 𝑣𝑥 = 𝑣𝐼 − 𝑖2 𝑅2 = 0 − 𝑅2 = − 𝑣𝐼
𝑅1 𝑅1
0−𝑣𝑥 𝑅2
Ceci nous permet de trouver i3 comme étant : 𝑖3 = = 𝑣𝐼
𝑅3 𝑅1 𝑅3
𝑣𝐼 𝑅2
Ensuite, une équation au nœud x donne i4 : 𝑖4 = 𝑖2 + 𝑖3 = + 𝑣𝐼
𝑅1 𝑅1 𝑅3
𝑅2 𝑣𝐼 𝑅2
Finallement on détermine vo à partir de : 𝑣𝑜 = 𝑣𝑥 − 𝑖4 𝑅4 = − 𝑣𝐼 − ( + 𝑣𝐼 ) 𝑅4
𝑅1 𝑅1 𝑅1 𝑅3
𝑣𝑜 𝑅2 𝑅4 𝑅2
D’où le gain en tension : = −[ + (1 + )]
𝑣𝐼 𝑅1 𝑅1 𝑅3
𝑣𝑜 𝑅2 𝑅4 𝑅4
Qui peut être écrit comme : =− [1 + + ]
𝑣𝐼 𝑅1 𝑅2 𝑅3
Comme une résistance d’entrée Ri = 1 M est demandée, on choisie R1 = 1M. Ensuite, avec l’exigence de ne pas
dépasser 1M, la plus grande valeur possible du premier facteur dans l’expression du gain est 1 et est obtenue en
choisissant R2 = 1M. Pour réaliser un gain de -100, R3 et R4 sont choisies telles que le second facteur est égale à 100.
Si l’on choisit R4 maximale de 1M, le calcule donne R3 = 10.2 k.
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Par comparaison avec la configuration inverseuse étudiée plus haut, réaliser le même gain aurait nécessité une
résistance de rétroaction de 100 M pour R1 = 1M. Qui est une valeur pas pratique.
Figure IV.9
Qui sera forcé de circuler à traver Rf. La tension de sortie serait donnée comme : 𝑣0 = 0 − 𝑖𝑅𝑓 = −𝑅𝑓
𝑅𝑓 𝑅𝑓 𝑅𝑓
Donc 𝑣0 = − ( 𝑣1 + 𝑣2 + ⋯ … . . 𝑣 )
𝑅1 𝑅2 𝑅𝑛 𝑛
La sortie est une somme pondérée des signaux d’entrée v1, v2, …….vn. le circuit est appelé alors Sommateur pondéré.
Pour la sommation de signaux de signes opposés, on utilise un deuxième AO, comme le montre la figure IV.11. avec
un AO idéal, il est facile de démontrer que :
𝑅 𝑅 𝑅 𝑅 𝑅 𝑅
𝑣0 = 𝑣1 ( 𝑎 ) ( 𝑐 ) + 𝑣2 ( 𝑎 ) ( 𝑐 ) − 𝑣3 ( 𝑐 ) − 𝑣4 ( 𝑐 )
𝑅1 𝑅𝑏 𝑅2 𝑅𝑏 𝑅3 𝑅4
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Figure IV.11
Les sommateurs pondérés sont utilisé dans une varités d’applications, par exmple les sytèmes audio où ils servent
pour le mixage des signaux musicaux.
Figure IV.12
Figure IV.13
Supposant un AO idéal, une masse virtuelle existe entre les deux borne d’entrée. Le signal différentiel d’entrée est
donc :
𝑣0
𝑣𝐼𝑑 = =0
𝐴
pour 𝐴 = ∞ , la tension à l’entrée inverseuse serait égale à la tension de l’entrée non iverseuse, donc vI. Le courant
dans R1 est vI/R1. Ce courant est forcé à travers R2. La tension de sortie est alors :
𝑣𝐼
𝑣𝑜 = 𝑣𝐼 + 𝑅2
𝑅1
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Qui donne
𝑣𝑜 𝑅2
=1+
𝑣𝐼 𝑅1
Une autre manière de comprendre le fonctionnement de la configuration non inverseuse est de constater que les
résistance R1 et R2 forment un diviseur de tension qui ramène une fraction de la tension de sortie vers l’entrée
𝑅1
inverseuse de l’AO : 𝑣𝐼 = 𝑣𝑜 ( ) qui donnera le même résulat pour le gain.
𝑅1 +𝑅2
𝑣0 1+𝑅2 /𝑅1
𝐺≡ =
𝑣𝐼 1+(1+ 𝑅2 /𝑅1 )/𝐴
Remarquez que le dénominateur est identique à celui de la configuration inverseuse. Ceci est du au fait que les deux
configurations ont la même boucle de rétroaction. Le numérateur est différent car il donne le gain idéal en boucle
fermé (-R1/R2 et 1+R2/R1).
Les expressions du gain idéal et réel donnent l’erreur du gain en boucle fermé due au gain A comme :
1+𝑅2 /𝑅1
𝜀% ≡ − × 100
𝐴+1+𝑅2 /𝑅1
Comme exmple: si un AO avec un gain A = 1000 est utilisé pour concevoir le circuit noniverseur avec un gain en boucle
fermé nominal de 10, on s’attendera à ce que le gain en boucle fermé serait 1% en dessous de sa valeur nominale.
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Figure IV.14
Comme toute la sortie est renvoyée vers l’entrée inverseuse, le circuit est dit ayant une rétroaction négative à 100%.
Le gain infini de l’AO agit pour fair vId = 0 et donc vo =vI.
Figure IV.15
𝑉𝑜 (𝑠) 𝑍2(𝑠)
Pour ce circuit le gain en boucle fermé, ou fonction de transfert, est : =−
𝑉𝑖 (𝑠) 𝑍1 (𝑠)
Remplacant s = j donne la fonction de transfert en fonction des fréquences physiques , c à d l’amplitude et la phase
pour un signal d’entrée sinusoidal de fréquence .
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Figure IV.16
La masse virtuelle fait que vI(t) apparait aux borne de R, et le courant iI(t) = vI(t)/R. ce courant circule à traver C. si l’on
suppose que le circuit commence à fonctionner à l’instant t= 0, alors, à un temps arbitraire t , le courant iI(t) aurait
𝑡 1 𝑡
déposer sur C une charge égale à ∫0 𝑖𝐼 (𝑡)𝑑𝑡. Donc, la tension aux borne de la cpacité vc(t) varie comme ∫ 𝑖 (𝑡)𝑑𝑡 . Si
𝐶 0 𝐼
à l’instant (t=0) la tension est Vc, alors :
1 𝑡
𝑣𝐶 (𝑡) = 𝑉𝐶 + ∫0 𝑖𝐼 (𝑡)𝑑𝑡
𝐶
1 𝑡
La tension de sortie 𝑣𝑜 (𝑡) = −𝑣𝐶 (𝑡), donc : 𝑣𝑜 (𝑡) = −𝑉𝐶 − ∫ 𝑣 (𝑡)𝑑𝑡
𝐶𝑅 0 𝐼
Le circuit donne une tension de sortie proprtionnelle à l’intégral de l’entrée. RC est la constante de temps de l’intégrateur.
𝑑𝑣𝐼 (𝑡)
𝑣𝑜 (𝑡) = −𝐶𝑅
𝑑𝑡
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Figure IV.17
coupure.
Diagramme de Bode :
𝑘
𝐹= 2
√1+( 𝜔 )
𝜔0
𝜔 2
𝐹𝑑𝐵 = 20𝑙𝑜𝑔(𝐹 ) = 20 log(𝑘) − 20 log √1 + ( )
𝜔0
𝜔
𝜑 = arg 𝐴̅ = −𝑎𝑡𝑎𝑛 ( )
𝜔0
𝐹𝑑𝐵 → 𝑘𝑑𝐵
𝜔 ≪ 𝜔0 => {
𝜑= 0
𝜔
𝐹𝑑𝐵 → 𝑘𝑑𝐵 − 20 𝑙𝑜𝑔 ( )
𝜔0
𝜔 ≫ 𝜔0 => { 𝜋
𝜑= −
2
Exemples :
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Figure IV.18 : Filtres Passe Bas
coupure.
Diagramme de Bode
𝜔
𝜔0
𝐹=𝑘 2
√1+( 𝜔 )
𝜔0
𝐹𝑑𝐵 = 20 log 𝐹
𝜔 𝜔 2
𝐹𝑑𝐵 = 𝑘𝑑𝐵 + 20 𝑙𝑜𝑔 ( ) − 20 𝑙𝑜𝑔 (√1 + ( ) )
𝜔0 𝜔0
𝜋 𝜔
𝜑 = arg 𝐴̅ = − 𝑎𝑡𝑎𝑛 ( )
2 𝜔0
𝐹𝑑𝐵 → −∞
𝜔 ≪ 𝜔0 => { 𝜋
𝜑=
2
𝐹𝑑𝐵 → 𝑘𝑑𝐵
𝜔 ≫ 𝜔0 => {
𝜑= 0
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Exemples
Ou m est coefficient d'amortissement et 𝜔0 est la pulsation de coupure. Souvent, on introduit à la place du coefficient
d'amortissement m, le paramètre q=1/2m ; coefficient de qualité ou de surtension du filtre.
Exemples
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𝑉𝑠 −𝑅2 𝑅3 𝐶𝑝
𝐹 (𝑝 ) = = 𝑉 𝑅𝐶 𝑝
𝑉𝑒 𝑅
(1+𝑅2 )+2𝑅1 𝐶𝑝+𝑅1 𝑅2 𝐶 2 𝑝2 𝐹 (𝑝 ) = 𝑠 = 1
1 𝑉𝑒 1+𝑅(2𝐶2 +1,5𝐶1 )𝑝+𝑅2 𝐶1 𝐶2 𝑝2
𝑅 { √𝐶1 𝐶2
√1+𝑅1 1
3 1 𝑅 𝑅 𝜔0 = 𝑒𝑡 𝑞 =
𝜔0 = 𝑒𝑡 𝑞 = √ 2 (1 + 1 ) 𝑅√𝐶1 𝐶2 2𝐶2 +1,5𝐶1
{ 𝐶√𝑅1 𝑅2 2 𝑅 𝑅 1 2
Annexe : calcule de la fonction de transfert pour les structures de Rauch et Sallen Key
𝑉 𝑽
( 𝑍𝐴 )+(𝒁𝑺 )
−
𝑉 = 1
3
𝟏
𝟓
𝑒𝑡 𝑉 + = 0
(𝑍 )+(𝒁 )
3 𝟓
𝑍3
𝑉 + = 𝑉 − => 𝑉𝐴 = − 𝑉
𝒁𝟓 𝑆
𝑉 𝑽 𝑽−
(𝑍𝑒 )+(𝑍𝑺 )+( 𝑍 )
1 4 3
𝑉𝐴 = 1 1 𝟏
(𝑍 )+(𝑍 )+(𝒁 )
1 3 𝟒
𝑽𝒔 (𝒑) −𝒁𝟐 𝒁𝟒 𝒁𝟓
𝑭 (𝒑 ) = = Structure de Rauch
𝑽𝒆 (𝒑) 𝒁𝟏 𝒁𝟐 (𝒁𝟑 +𝒁𝟒 +𝒁𝟓 )+𝒁𝟑 𝒁𝟒 (𝒁𝟏 +𝒁𝟐 )
𝑅 𝑉𝑠 𝑍4
𝑉− = 𝑉 = 𝑒𝑡 𝑉 + = 𝑉
𝑅+(𝑘−1)𝑅 𝑠 𝑘 𝑍4 +𝑍2 𝑠
𝑉 𝑽 𝑽+
(𝑍 𝑒 )+(𝑍𝑺 )+( 𝑍 ) 𝑍2 𝑉𝑠 𝑍2 𝑉𝑠
𝑉𝐴 = 1
1
3
1 𝟏
2
ou 𝑉𝐴 = (1 + ) 𝑉 + 𝑒𝑡 𝑉 + = d’où 𝑉𝐴 = (1 + )
(𝑍 )+(𝑍 )+(𝒁 ) 𝑍4 𝑘 𝑍4 𝑘
1 2 𝟑
𝑉𝑠 (𝑝) 1 𝒁𝟏 𝒁𝟏 𝒁𝟐 𝒁𝟏 𝒁𝟐
𝐹 (𝑝 ) = = (1 + (1 − 𝑘) + + + )
𝑉𝑒 (𝑝) 𝑘 𝒁𝟑 𝒁𝟒 𝒁𝟒 𝒁𝟑 𝒁𝟒
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