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Bonjour, aujourd’hui je vais vous présenter mon article qui s’intitule « 

Qui sont celles et ceux qui


résistent à la technologie ». L’article parle de personnes qui pense non pas que le monde est mieux
sans technologie mais qu’il est préférable de ne pas l’utiliser dans certains domaines.

Structure de l’article
L’article est composé d’un titre en tête de page, une introduction, du nom de deux co-auteurs d’un
livre intitulé « Techno-luttes » Nicolas Celnik et Fabien Benoit de plusieurs sous-thèmes et dans
certains d’entre eux il y a des accroches (c’est-à-dire une ou plusieurs phrases que des personnes ont
dites)

Des compétences en danger


«  Ce qui se passe, c’est la même chose que ce qui se passe déjà depuis deux
siècles  »  explique Nicolas Celnik.  Nicolas Celnik et Fabien Benoit ne sont pas des gens qui pensent
que c’était mieux avant. Ce sont plutôt  des personnes qui voient une technologie arriver dans leur
quotidien et qui n’en bénéficient pas, ou plutôt qui voient leurs conditions de vie se dégrader  à
cause de cette nouvelle technologie. On peut penser à l’informatisation pour certains métiers, qui
les rend répétitifs. Comme avant, quand il y avait des tisserands qui perdaient leurs compétences à
cause des nouveaux métiers à tisser et qui se sont révoltés.

L’agriculture high-tech
Les militants constatent que l’agriculture high-tech actuelle prolétarise les agriculteurs, nourrit mal
et détruit la planète. Pour eux, la technologie joue un rôle central dans ce système. Et en
particulier la question du machinisme agricole. On le voit avec ces énormes moissonneuses-
batteuses. En France, ces techniques ont été mises en place après la Seconde Guerre mondiale et
ont contribué à une réduction énorme de la quantité d’actifs agricoles et de fermes.

Aujourd’hui, il y a beaucoup moins de fermes, mais elles sont beaucoup plus grandes, ce qui impose
nécessairement un modèle d’agriculture extensive. L’achat de grandes machines implique de
contracter des prêts, de recevoir des subventions de la PAC (Politique Agricole Commune), et, pour
les rembourser, de cultiver sur de très grandes surfaces, forcément avec des pesticides.

L’Atelier paysan, une coopérative d’auto construction, propose des solutions. Il s’agit de fabriquer
ses propres machines, à partir de plans réfléchis entre agriculteurs. On parle de technologies low-
tech, que les utilisateurs comprennent et qu’ils sont capables de réparer eux-mêmes. Cela les
engage sur des frais qui sont beaucoup moins importants.

A Lyon, la mobilisation contre les trottinettes électriques


On présente les trottinettes électriques comme quelque chose d’écolo, comme une mobilité douce.
En réalité, elles remplacent, dans 47% des cas, non pas la voiture, ni les transports en commun, ni le
vélo, mais la marche. Elles ont en outre, d’après des données récoltées aux Etats-Unis, une durée de
vie de 27 jours seulement et de 228 km en moyenne, avant de finir à la benne. Sans parler des
problèmes de batterie.

Face à cela, les militants d’Extinction Rébellion ont eu l’idée de colorier au feutre les QR-codes qui
permettent de les utiliser. Ou de coller à la place le QR-code de leur mouvement. Avec la volonté de
politiser la question de savoir pourquoi la population n’a pas eu la possibilité de questionner l’utilité
de ces trottinettes.

Mes réflexions
Je pense que les militants pour cette cause ont raison en certains point mais pas en d’autres. Par
exemple l’agriculture high-tech, je pense que oui en effet ça nourrit mal et est nocif pour la planète
mais je n’imagine pas de champs sans tracteurs et toutes autres machines agricoles.

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