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Rapport de 3eme

Nolan Lagaye
3E

​1- Introduction :

Ce rapport présente le stage de découverte que j’ai effectué au sein de l’entreprise


Thales alenia space du 17 janvier au 21. Je remercie l’ensemble du personnel qui m’a
accompagné tout au long de la semaine et qui m’a fait découvrir cette entreprise.


​2 . Présentation de l’entreprise
Thales alenia space, est une entreprise qui conçoit et fabrique des satellites ainsi que
des appareils spatiaux.
L’entreprise est privée, elle appartient à 67 % à Thales et 33 % à Léonardo. Thales
alenia space est réparti sur plusieurs site ; les plus gros sites sont en France (Cannes,
Toulouse) et en Italie (Rome, Turin, l’Aquila) mais on trouve aussi des sites en
Belgique, en Angleterre, en Suisse et en Pologne.
Personnellement j’ai effectué mon stage sur le site de Cannes qui est le siège social de
l’entreprise. Le site de Cannes est grand, on y trouve 2200 salariés (1700 hommes et
500 femmes). La différence entre le nombre d’hommes et les femmes peut sembler
important mais cela est certainement du au fait que moins de femmes font des études
scientifiques.

L’entreprise est spécialisée dans la construction d'équipements spatiaux et la


conception et réalisation de systèmes satellitaires. L’établissement produit également
des équipements qui ne vont pas lui être utiles pour ses satellites et elles sont
destinées à être vendues.
De plus, TAS (Thales Alenia Space) travaille aussi en collaboration avec d’autres
sociétés et produisent alors des morceaux d’un projet qui vont être finalement
assemblés avec une autre société pour réaliser un système spatial. On m’a par
exemple cité la future station spatiale lunaire. Cette station va servir à réaliser des tests
sur la réaction du corps de l’humain en restant 6 mois dans l’espace, Thales va donc
faire partie de ce projet.
​3-Présentation du Site de Cannes
Le site de cannes lui est spécialisé dans la conception de la structure mécanique et
thermique ainsi qu’à l’intégration et aux essais des satellites. Il faut savoir qu’ il y a
énormément de tests à faire pour savoir si le satellite peut être envoyé dans l’espace,
ce n’est pas comme une voiture ou si elle a un problème on peut la réparer non la si il y
a un problème dans l’espace on ne peut pas venir réparer. Il y a seulement les tests des
logiciels embarqués qui sont les seuls à pouvoir être réparés dans l’espace, on envoie
aux satellites de nouveaux codes pour que le logiciel fonctionne bien, mais il faut tout
de même les valider au préalable un minimum, car car si on ne peut rien envoyer et
recevoir, le satellite ne servira à rien, il sera perdu dans l’espace. Il y a aussi des tests
qui simulent le décollage dans la fusée, car le tir produit énormément de bruit et
énormément de vibrations, tout cela peut casser un satellite, si les calculs faits par les
ingénieurs n’étaient pas bons. On valide donc ces calculs par des tests avant le tir.
Enfin, on fait des tests pour s’assurer que le satellite fait ce qu’il lui a demandé, comme
envoyer la télé ou l’internet pour les satellites télécommunications. Vous l’avez compris,
le satellite n’est pas dans un confort absolu dans l’espace. Dernière contrainte, il faut
gérer sur le satellite la thermique et gérer la chaleur et le froid. En effet, le côté exposé
au soleil sera super chaud et celui qui est exposé vers la terre sera super froid , il faut
que le satellite puisse vivre avec cet écart de température et il faut donc réchauffer ou
refroidir les parties du satellite, ce sont aussi des tests réalisés avant le tir dans de
grandes chambres thermiques où on va reproduire le vide.
Enfin, d’un point de vu économique, le site de Cannes a une importance dans la bassin
cannois et même dans la région PACA, c’est la plus grosse société de la région, elle
offre donc comme on a pu le voir 2200 emploies ce qui est énorme, ce qui aide la
région. L’entreprise a aussi un lien avec les écoles, elle a signé une convention avec
l’académie de Nice sur le projet air et espace.


​4-Histoire du site de Cannes

Le site de Cannes a une histoire passionnante. Pour commencer elle a été conçue sous
le désire d’Étienne Romano en 1929, au début le site était spécialisé dans l’aéronavale,
M.Romano voulait faire des hydre-avions, il a donc construit son entreprise entre un
aérodrome et la mer ce qui facilitait beaucoup les test pour ses projets. Le site à connu
la Seconde Guerre mondiale, beaucoup de scientifiques sont venus car la zone n’était
pas occupée et pouvait donc continuer leurs recherches, après celle-ci le site va
s’orienter son activité vers l’astronautique. Ils commencent à travailler proche de
l’espace quand ils voient que l’armée a besoin de missiles balistiques comme ils ont pu
utiliser pendant la Guerre. Au fur et à mesure du temps ils se sont consacré de plus en
plus vers l'industrie spatiale devenue son activité principale. Ce site a était racheté et a
changer de nom beaucoup de fois :
1929 Chantiers aéronavals Étienne Romano
1937 SNCASE Groupe technique de Cannes
1957 Sud-Aviation Groupe technique de Cannes
1970 Aerospatiale Cannes
1998 Alcatel Space Cannes
2006 Alcatel Alenia Space Cannes

En juillet 1945, l'usine réintègre la SNCASE sous la direction de l'usine de Marignane,


avec comme charge : les volets de courbure de Bloch, des bateaux métalliques, des
meubles de bureau, des chaises en tôles pliées d’aluminium, les réparations d'avions
civils de petit tonnage. Le premier mars 1957 : la SNCASE (sud est) fusionne avec la
Société nationale des constructions aéronautiques du sud-ouest (SNCASO), devenant
Sud-Aviation.
Ce changement est important pour la suite de l’entreprise, l’établissement obtient des
services officiels avec des budgets pour la création de moyens d’essais très important :
pots vibrants, chambre acoustique, chambre à vide, etc et bâtiments complémentaires
pour les accueillir ; nécessaires au développement des missiles balistiques, puis, plus
tard, des satellites, ils sont encore utilisé presque tous les jours dans le site. Tous les
programmes d'engins en cours sont arrêtés pour un seul objectif : réaliser des missiles
balistiques à longue portée.
Puis le 1er janvier 1970, Sud-Aviation, Nord-Aviation et SEREB fusionnent devenant la
Société nationale industrielle aérospatiale. L'établissement de Cannes devient le pôle
Satellites d’aérospatiale, L'activité satellites va croître progressivement pour devenir
majoritaire dans les années 1980, puis la seule activité en 1998. Cannes gagne sa
première grande maîtrise d'œuvre : METEOSAT (satellite pour la météo). Dans les
années 1980, l'activité dans les Satellites de télécommunications est croissante.
Puis par la suite Cannes réussi à se faire un place dans le monde du spatial et est
racheté jusqu’à devenir Thales Alenia Space Cannes en 2007.

​5-L’entreprise
​La concurrence
A défaut d’être l’une des plus grosse entreprise Thales a quand même de la
concurrence ; Airbus defence and space est une des trois divisions d' Airbus ( comme
la division de Thales ), mal grès le fait qu’ils soient concurrent ils leur arrivent de devoir
travailler ensemble pour des projets français ou européen. Ils ne luttent pas vraiment
l’un contre l’autre, ils reçoivent simplement des contrats d’entreprise comme orange,
sfr, la météo pour faire un satellite qui répondra à la mission demandé ; ensemble ils
cherchent à lutter contre les États unis car ils avancent très vite dans le développement
et l’union européenne ne doit pas être à la ramasse.
Ces dernières années les États unis ont appris beaucoup de choses et se sont
développés très vite dans le spatial grâce à une méthode pas du tout comme celle des
européens. On m’a expliqué que les entreprises comme SpaceX crée des satellites les
envoies dans l’espace et si le satellite ne marche pas ils cherchent l’erreur, en refont un,
le renvoie et si il fonctionne ils peuvent en faire pleins d’autres et si ce n’est pas le cas
ils recherchent l’erreur. Tandis que en Europe, ils prennent leurs précautions, le satellite
met beaucoup plus de temps à être envoyé dans l’espace car il subit toute une série de
test, en faisant cela dans l’espace il marche à coup sûr car tout est anticipé, tout est
testé mais ça prends beaucoup plus de temps que la technique des États-Unis

​les difficulté
Il n’y a pas très longtemps tout le groupe Thales alenia space a eu un problème de
sureffectif de 452 emploies, ils ont du supprimé 452 emploies, ils ont cherché à ce que
les personnes les plus proche de la retraite prennent une retraite anticipée et chercher
des mutations dans le groupe de Thales pour ne pas les virer non plus qu’il ne soit pas
dans un difficulté financière.
Un autre problème est parvenue, début juillet, ils ont connue 3 échecs face à Airbus, en
juillet pour CO3D (Constellation Optique en 3D), Le Centre national d'études spatiale a
fait confiance à Airbus et a donc confié ce projet à Airbus, fin mai pour les trois satellites
d'Inmarsat, satellite de téléphonie par satellite, enfin, dans l'observation à Singapour.
TAS a réussi à se relever avec leurs satellites ou ceux auxquels ils ont participé qui
étaient prêts à l’envoie, et de nouveaux contrats décroché comme Copernicus, qui est
un satellite qui collecte des données de qualité sur l'état de la Terre. Et un dernier
contrat d’une valeur de 100 millions d’euros dont l’identité reste confidentielle.

​Les charges de travaille

A Thales les charges sont réparties en plusieurs points :


- Tout d’abord la il y a la gestion des affaires et de l’administration, ils vont s’occuper de
négocier les contrats avec les clients.
- Il y a également l’ingénierie qui s’occupe de la conception des satellites, ils vont
réfléchir sur les composants du satellite, les programmes qui vont être embarqués, ils
conçoivent le satellite en format numérique (des maquettes), et puis le donne à la
dernière charge.
- La réalisation, fabrication, intégration des satellites. Eux, ce sont ceux qui vont
construire le satellite, l’assembler, et faire les tests
Dans l’entreprise de cannes, la gestion des affaires correspond à 20 % de l’activité,
l’ingénierie elle correspond à 50 % de et la réalisation, intégration et fabrication eux
30 %
Il y a également d’autres fonctions qui ne sont pas de gros groupes comme ceux-ci
mais qui ont quand même leur place dans le site, les RH qui s’occupe du personnel, la
finance, l’ingénierie pour la conception ; les syndicats, qui eux sont la pour les
augmentation, les répartitions des salaires.

​L’extension d’activité
Alors oui à TAS ils peuvent s’orienter vers d’autres choses que des satellites, ils vont
pas commencer à faire des voitures, il y aura toujours un rapport avec l’espace, mais ils
ont par exemple un projet d’un nouveau produit serait de faire un dirigeable (stratobus)
qui pourrait remplacer les satellites à basse altitudes. Ceci pourrait être réaliser si elle
trouve des accords avec d’autres entreprises et si le concept se vend, si c’est la cas il
serait conçu à Istres ;
L’entreprise peut donc étendre son secteur d’activité, mais pour cela elle a besoin de
partenariat.

​L’organisation
Personnellement j’ai fais mon stage dans l’AIT ( assemblage intégration et test), j’ai
donc pu récupérer l’organigramme de ce groupe.

​Intérêt du travail
Pour un employé c’est un travail donc son intérêt c’est le salaire à la fin du moi, mais il
est super pour en apprendre pleins, les personnes qui travaillent la bas connaissent
qu’est ce qu’il se passe la haut, dans l’espace, et ça c’est géniale.
Après je pense que les tâches les plus difficiles il y en a vraiment beaucoup, pour
commencer il y a les techniciens, les électriciens, eux doivent avoir quand même une
pression de ne pas faire n’importe quoi puisqu’un satellite coûte très chers et il est très
long à construire. Les directeurs des personnes cité ci-dessus qui doivent réussir à bien
répartir la charge de travail pour qu’ils ne fatiguent pas et commencent à être distrait
donc abîmer le satellite. Également ceux qui sont chargés de faire les test, si ils mettent
mal le satellite, font des mauvaises manipulations. Après, toutes ces personnes sont la
parce qu’ils en ont les compétences ils ne sont pas censé faire d’erreurs stupide
normalement tout cela n’arrive pas, mais on ne sait jamais par mégarde.
Je pense que la chose qui donne le plus de satisfaction n’est pas seul, il y a la fin d’un
satellite, quand il est complètement construit, et qu’il a fait tous les tests à ce moment il
est prêt a être donné au client, ça doit déjà être une libération. Ensuite quand il est au
décollage, qu’il n’y ai pas de problème et pour finir qu’il est bien posé dans l’espace,
qu’il fait ce qu’on lui demande. Quand tout ça est fait ça doit être une superbe moment
pour toutes les équipes qui ont travaillé dessus.

​Qualifications et promotions
Dans cette entreprise j’ai était surpris des qualifications nécessaires, cela commence de
la plus basse à la plus élevée. Tu peux entrer à Thales avec un Cap comme électricien
par exemple, ou également en sortant des plus grosses écoles comme polytechniques.
Les niveaux de qualification dépendent juste de poste à intégrer.
A Thales, je ne vais pas dire que c’est facile, mais pour monter en grade il faut avoir les
compétences nécessaire. Si un poste supérieur se libère et qu’une personne d’un poste
inférieur a les compétences pour ce dernier alors ses supérieurs risquent de le
remarquer et donc de proposer se poste à la personne. Il faut également de
l’implication, montrer que tu es à la hauteur.
Les qualités demandées pour ce travail son souvent des qualité d’ingénieur qui
demandent des études d’ingénieurs et donc les capacité. Et pour les travaux manuels
on demande une rigueur et une qualité de travail superbe car dans l’espace si il y a un
problème on ne peut plus rien y faire, personne ne va se déplacer pour aller réparer.


​Conditions de travail
​Heures de travail
Beaucoup m’ont dit que travailler la bas est une chance parce que le cadre de vie est
excellent, beau temps, la mer, des activités. Mais outres le cadre de vie il y a les heures
de travail, certains ne voient pas beaucoup leur famille comme par exemple ceux qui
travaillent en 3 x 8 c’est à dire qu’un groupe de personne se relai toutes les 8h et en
7/7j ceux la on un augmentation de salaire de 40 % mais ça reste très contraignant et
fatiguant. Mal grès ces postes compliqué il y a ceux qui travaillent 7h30 par jour et 5/7j
​avantage inconvénient
Le télétravail est présent quand il le peut pour ne pas a avoir la route à faire, retrouver
la famille.
Le vrai problème c’est la famille, ne pas la voir peut être difficile pour certains, quand ils
travaillent la nuit et le week-end il ne peuvent plus voir leurs proches.
Mais pour les autres qui ont des horaires qui permettent de se retrouver chez sois le
week-end et à 19:30/20:00 en semaine les avantages sont la cadre de vie qui nous
entoure.

​6-Découverte de l’entreprise

​Jour 1
Le premier jour il était à la fois incroyable comme super énervant ou fatiguant, j’ai passé
ma journée à marcher c’était super épuisant, mais c’était trop bien, ils m’ont fait voir le
site en générale en m’expliquant tout ce qu’il se passé dans le site. Au début de la
journée ils m’ont présenté l’AIT ( assemblage intégration et test) donc c’était dans de
grandes salles blanches, alors les salles blanches il y a plusieurs types, la bas il y en a
deux, les salles appelé Iso 8 avec 100.000 molécule de poussière par mètres cubes,
pour y aller il faut une blouse, une charlotte et des sur-chaussures ; le but des ses
salles c’est d’évité de polluer le matériel, si par exemple il y a des grains de poussière
sur un télescope, plus tard les scientifiques vont croire qu’ils découvrent de nouvelles
étoiles/planètes alors que ce n’est juste de la poussière. Et les salles Iso 5 où il y a 100
molécules de poussières par mètres cubes, et ici il faut une combinaison deux sur
chaussures à chaque pieds et des gants.
Le premier jour ils m’ont présenté ce que j’ai le plus aimé dans cette semaine, c’est les
caisson vide thermique, alors c’est quoi un caisson vide thermique ; c’est un caisson de
test où l’on enlève toutes les molécules à l’intérieur pour représenter le vide, également
on fait subir au satellite les différences de températures qu’il y a dans l’espace, il y a un
coté à 320°C et un autre à -220°C. On arrive à faire monter aussi haut et descendre
aussi bas en températures grâce à l’azote qui est très froid et qu’on vient réchauffer
pour la chaleur.
L’après midi on m’a présenté la même chose mais pour les pièces, en fait on test les
pièces qui vont être sur le satellite pour savoir si elles sont apte à être utilisé, on ne vas
pas fabriquer le satellite et qu’une pièce fonde pendant les test du satellite, se serait
des millions de perdue. Il y a aussi une chose super intéressante, sur le satellite on
essaie d’utilisé le moins de visses possible, alors on colle, il faut donc faire des tests à
la colle si elle ne va pas fondre un petit peu et donc déplacer les choses collé entre
elles.

​Jour 2

Aujourd’hui j’ai encore vue des choses super intéressantes, le matin j’ai vue les salles
où l’on contrôlait les caissons vide thermique, c’était très intéressant, le groupe est
divisé en plusieurs équipes, puisque le satellite est en test 24/24h donc les personnes
travaillent en 3 x 8h, il y a les gens qui vérifient si les test fonctionnent bien, ceux qui
notent les données, ceux qui donne les instructions au caisson, c’était à ce moment ou
vraiment j’ai adoré cette partie de Thales.
Ensuite l’après midi on m’a présenté les robots que Thales aide à concevoir, comme le
robot exomars 2020, qui analysera les ressources et l’environnement de la planète
Mars, Thales fait partie du projet en collaboration avec la Nasa. Ils ont également un
projet depuis 2000 qui est de créer un robot qui pourra venir ravitailler un satellite et
plus tard réparer si c’est possible, tout cela sera possible avec un bras robotique qui
viendrait attraper le réservoir de carburant et en remettre pour prolonger la durée de vie
d’un satellite.

​Jour 3

Aujourd’hui j’ai visité un bâtiment plus confidentiel, donc je n’ai pas pu tout voir. En fait
l’AIT, s’occupe en très grande partie des satellites de télécommunications, donc la
téléphonie, la télé, le réseau internet. Et le bâtiment que j’ai vue était consacré au
scientifique et militaire. On a pu me montrer comment étaient fait les télescopes en
générale il y avait pleins de choses super compliqué mais qui se comprenait au fur et à
mesure de la journée, et également une salle Iso 5, on m’a expliqué que c’était nettoyer
à la perfection, des gens venaient avec des cotons tiges, des produits, tout nettoyer ce
qui rentrait dans la salle.
Puis l’après midi j’ai vu comment était testé les logiciels, alors ça aussi c’est super
intéressant, en fait, on test à voir si le satellite peut réparer tout seul n’importe quelles
pannes, si il est capable de changer l’appareil qui est en panne tout seul (la totalité des
appareils embarqués se retrouvent en double si jamais l’un est en panne l’autre prend
la relève), ils branchent au cerveau des baies qui simulent les appareils, puis simulent
des pannes, une fois que toutes les pannes possible et inimaginable sont testé et qu’on
est capable de les surmonter, le « cerveau » est prêt.
​Jour 4

Le jeudi on m’a présenté les tests de tir, comme j’ai pu le dire plus haut. On simule les
vibration de la fusée avec un pot vibrant où l’on place donc le satellite et l’ont fait vibrer
le pot, des petits appareils sont posés un peu de partout sur le satellite relié à des
pupitre (électronique) puis à des ordinateurs pour voir si encore une fois rien n’est
cassé, rien n’a bougé pendant le test, on fait cela sur trois côté du satellite ; dans la
hauteur donc le satellite posé à la verticale et on le secoue, ce n’est pas comme un
manège les secousses ne vont pas faire envoler le satellite. Puis sur l’horizontale des
deux côtés, face avant/arrière et côté droit/gauche. Ensuite il y avait les vibrations
sonores produites par la fusée, car le son c’est des vibrations aussi alors il faut
également testé cela, on fait ce test dans un salle immense où l’on envoie des
fréquences énormes et l’on voit si le satellite donne les bonnes mesures. Ces test la
sont prédits avant la fabrication pour savoir comment orienter le design, les
matériaux...et donc le but des ces tests sont de voir si les prédictions sont juste et si
c’est la cas c’est que tout est bon et si il y a quelques défauts il faut changer quelques
détails au satellite.

​Jour 5

Le dernier jour, j’avais déjà vu pleins de choses mais j’en ai encore vu pleins. Le matin
j’ai vue la frayer, c’est un endroit où l’on fait les panneaux solaires appelés « GS » la
bas pour générateur solaire, ils ne se contentent plus de simple panneaux solaires,
aujourd’hui ils ont un projet de panneaux solaires flexible, qui serait enroulable comme
un rouleau de gazon synthétique, le but de ce nouveau projet est de faire des GS qui
serait beaucoup plus légés, moins fragile et qui prendrai moins de place, donc que
bénéfique.
Puis l’après midi on m’a présenté la conception d’un satellite, parce que l’on nous a
beaucoup parlé de tests toute la semaine mais pas beaucoup de la conception, on nous
a présenté quelques pièces que l’on retrouve dans un satellite :
-comme les tuilières, qui servent à orienter le satellite dans l’espace, ce sont comme
des pots d’échappements qui envoient des très petites explosions électriques.
-Les réflecteurs, qui fonctionnent avec les émetteurs/receveurs, il y en a deux par
satellite, l’émetteur/receveur reçoit et envoie dans le réflecteurs les informations qui
vont être traité par le satellite, ensuite l’émetteur envoie dans le réflecteur l’information
traité qui va être renvoyé sur terre.
- des stars trackers, alors eux servent à faire en sorte que le satellite sache tout seul où
il se trouve dans l’espace grâce aux étoile qui l’entourent
- la charge d’outil, c’est ce qui va faire la mission du satellite, elle se trouve avec le
cerveau,
-les batteries qui fournissent de l’énergie au système, celles-ci sont rechargé avec les
GS et le soleil.

​7-Bilan du stage
J’ai appris pleins de choses c’était super passionnant, j’ai adoré le stage. Que dire de
plus, je suis super content d’avoir fait mon stage ici, les équipes étaient super gentils
elles ont pris leur temps pour nous, tous bienveillant à ce que l’on comprenne bien.
J’ai voulu faire mon stage ici parce que mon père y travaille et quand il est au téléphone
je ne comprenait rien de ce qu’il disait de plus ça avait l’air intéressant, il disait des mots
que je ne connaissait même pas l’existence. Aujourd’hui je ne comprends pas encore
tout mais je suis fier de pouvoir suivre ce qu’ils se disent.
Je pensais que en voyant mon père que Thales était une entreprise où la rigolade
n’avait pas sa place, alors que pas du tout. Les équipes sont super drôles, les patrons
eux même disent que si il y a des erreurs c’est normal puisqu’ils sont dans un domaine
super compliqué et que l’erreur est humaine, les conditions sont super, les gens
s’entendent super bien entre eux, mais par contre le travail doit être fourni, il y a la
bonne ambiance mais il y a aussi le sérieux, ils savent quand ils doivent être sérieux et
quand ils peuvent rigoler et ça se sens, vraiment top.
Je ne pourrai pas décrire un seul métier pendant le stage, on ne m’a jamais arrêté pour
me parler que d’un seul métier, j’étais toujours dans les équipes de tout le monde on me
présenté toujours des choses différentes j’en ai eu pleins les yeux. Je suis bien content
que ça se soit passé comme ça je pense que je n’aurai pas aimé regarder le travail
d’une seul personne tout au long de ma semaine.
A la fin de la semaine j’en avais assez vue pour moi je ne voulais plus apprendre mais
pratiqué comme j’ai pu voir tout au long de la semaine, mais malheureusement, ce
n’était pas possible, aucun diplôme, stage de 3ème fin ce n’était pas possible mais tout
ce que j’avais vu me donner envie de faire pareil, c’était vraiment incroyable.
On m’a dit de ne pas confondre stage et métiers découverts, je ne confond pas les
deux, le stage comme les métiers étaient tous incroyable. Le stage comme j’ai dis, les
gens étaient bien veillant, super gentille, ils essayaient de m’aider pour les études,
donné leur avis en fonction de ce que j’aimais comme matières, des conseils pour ne
pas abandonner les cours et les études. Bref ils étaient tous géniaux. et les métiers tous
passionnants, tout le monde fait des choses différentes, obligé de trouver quelque
chose qui te plaît dans cette entreprise, également on mangeait super bien, ils avaient
une cantine super bonnes, avec toujours plusieurs choix différents de plat, des
boissons, pleins d’entrées et de desserts, ça aussi c’était super.
Le retour en cour me paraissait pas possible après une semaine comme celle-ci, j’avais
juste envie de retourner à Thales et de travailler.
Malgré cette expérience, je ne sais pas encore vraiment qu’est ce qui m’intéresse
comme direction, la tout de suite du coup je dirais le spatiale mais parce que je ne
connais que ça pour le moment, les autres choses ne me paraissent pas
inintéressantes. Par contre, le fait d’avoir un patron me paraissait dérangeant, et très
contraignent mais avec ce stage j’en ai moins l’impression, peut être parce que l’on ma
présenté que les côtés positives mais pour le moment ça a l’air moins dérangeant
Je remercie vraiment beaucoup le personnel qui m’ont fait passé un stage très instructif,
c’était une expérience super enrichissante.

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