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Banque QCM 

: génétique fondamentale

1. Veuillez cocher la ou les propositions justes :


A. La durée du cycle cellulaire est fixe chez toutes les cellules.
B. La durée du cycle cellulaire est de 12 heures pour les cellules intestinales.
C. La durée du cycle cellulaire de 1 heure pour les cellules hépatiques.
D. L’interphase correspond à la période comprise entre deux divisions cellulaires

2. Pendant la phase G1 :


A. La cellule reconstitue ses réserves.
B. On note la transcription de l’ARN.
C. Il n’y a pas de traduction de protéines.
D. La cellule est en phase de décision également.

3. La durée du cycle cellulaire :


A. Est la même pour tous les types cellulaires.
B. Est variables en fonction du type cellulaire.
C. Est d’une durée de une heure pour les cellules hépatiques.
D. Est d’une durée de 12 heures pour les cellules intestinales.

4. Dans une cellule humaine en culture, l’interphase dure en moyenne :


A. 1 heure.
B. 2 heures.
C. 3 heures.
D. 23 heures.

5. La durée de :
A. La phase S est relativement constante dans toutes les cellules.
B. La phase M est variable en fonction du type cellulaire.
C. La phase G1 est variable d’un type cellulaire à un autre.
D. La phase G2 est constante quelque soit le type cellulaire.

6. La phase G1 :
A. Correspond à une phase de croissance.
B. Correspond à une phase de multiplication d’ADN.
C. Correspond à une phase de division cellulaire.
D. Correspond à une phase de décision.

7. Pendant la phase G1 :


A. La cellule assure la transcription d’ARN.
B. La cellule assure la traduction (synthèse des protéines).
C. La cellule assure la réplication de l’ADN.
D. La cellule est en phase d’attente avant de démarrer la mitose.

8. Pendant la phase G2 :

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A. Les chromosomes sont dupliqués.
B. Les chromosomes sont condensés.
C. Les chromosomes se présentent sous forme de fibres chromatiniennes.
D. Les chromosomes sont décondensés.

9. Pendant la prophase :
A. On note la présence d’un seul centrosome.
B. On note la formation des microtubules mitotiques.
C. On note la disparition du nucléole.
D. Toutes les propositions sont justes.

10. Pendant la prométaphase :


A. Le nucléole est encore présent.
B. Il y a rupture de l’enveloppe nucléaire.
C. Il y a capture des chromosomes par les microtubules du fuseau mitotique.
D. On note la pénétration des microtubules dans l’espace nucléaire.

11. Pendant la métaphase :


A. Les chromosomes sont situés sur la plaque équatoriale de la cellule.
B. On note un attachement bipolaire des chromosomes.
C. On note la séparation des chromatides sœurs.
D. On note le déplacement des chromosomes fils vers les deux pôles de la cellule.
12. Pendant l’anaphase :
A. Les chromosomes sont encore liés au niveau des centromères.
B. Les chromatides sœurs se séparent.
C. Les chromosomes fils se déplacent vers les deux pôles opposés.
D. Il y a une répartition égale du génome entre les deux cellules filles.
13. Lors de la télophase :
A. Les chromosomes commencent à se séparer au niveau de leur centromères.
B. Les chromosomes fils arrivent aux pôles opposés de la cellule.
C. On note une décondensation des chromosomes.
D. Le fuseau mitotique est encore présent entièrement.
14. La citodiérèse :
A. Fait partie de l’interphase.
B. Correspond à la fin de la division cellulaire.
C. Est une phase où le noyau se reconstitue.
D. Correspond à une étape d’individualisation des deux cellules filles.
15. Le mosaïcisme embryonnaire résulte :
A. D’une non disjonction mitotique
B. D’une non disjonction méiotique.
C. D’une anomalie chez les gamètes.
D. D’une anomalie de division du zygote.
16. A propos de la méiose :

A. Les cellules filles sont différentes entre elles.

B. Les cellules filles ressemblent totalement à la cellule mère.

C. La division équationnelle précède la division réductionnelle.

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D. Les cellules filles possèdent 46 chromosomes.

17. La méiose concerne les cellules :


A. Sexuelles (gamètes).
B. Somatiques.
C. Souches de tous les organes.
D. Toutes les propositions sont justes.

18. Lors de la méiose :


A. A partir d’une cellule mère, on obtient 2 cellules filles.
B. A partir d’une cellule mère, on obtient 4 cellules filles.
C. A partir d’une cellule mère, on obtient 8 cellules filles.
D. A partir d’une cellule mère, on obtient 16 cellules filles.
19. La méiose :
A. Est un phénomène qui crée les variations génétiques.
B. Est précédée de 2 réplications suivies de deux divisions successives.
C. Crée des cellules identiques à la cellule mère.
D. Crée des cellules identiques entre elles.
20. Les nucléotides résultent de la mise en commun de :
A. Une base, deux oses, un acide phosphorique.
B. Deux bases, un ose, deux acides phosphoriques.
C. Une base, un acide phosphorique, un ose.
D. Toutes les propositions sont possibles.
21. Dans un nucléotide, il peut y avoir :
A. Un groupement acide phosphorique.
B. Deux groupement acides phosphoriques.
C. Trois groupements acides phosphoriques.
D. Aucune proposition n’est juste.
22. Au niveau des nucléotide, le sucre correspond à un:
A. Tétrose.
B. Pentose.
C. Hexose.
D. Octose.
23. Au niveau des nucléotides, les bases pyrimidiques correspondent à :
A. La cytosine.
B. L’uracile.
C. La thymine.
D. L’adénine.
24. Au niveau des nucléotides, les bases pyrimidiques correspondent à :
A. La thymine.
B. La guanine.
C. La cytosine.
D. L’adénine.
25. Au niveau des nucléotides, les bases puriques correspondent à :
A. La thymine.
B. La guanine.
C. La cytosine.

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D. L’adénine.
26. Au niveau des nucléotides, les bases puriques :
A. Sont au nombre de 3 bases.
B. Sont au nombre de 2 bases.
C. Sont constituées d’un noyau pyrimidique et d’un noyau imidazole.
D. Toutes les propositions sont justes.
27. Au niveau des bases des acides nucléiques :
A. Le noyau pyrimidique correspond à un noyau purique associé à un noyau imidazole.
B. Le noyau purique correspond à un noyau pyrimidique associé à un noyau imidazole.
C. Le noyau imidazole correspond à un noyau purique associé à un noyau pyrimidique.
D. Aucune proposition n’est juste.
28. Au niveau des bases pyrimidiques, les règles de numérotation :
A. Les règles de numérotation impliquent que l’un des atomes d’azote porte l’indice 1 et
l’autre l’indice 3 quel que soit la façon de représenter la molécule.
B. Les règles de numérotation impliquent que l’un des atomes de carbone porte l’indice
1 et l’autre l’indice 3 quel que soit la façon de représenter la molécule.
C. Les règles de numérotation impliquent que l’un des atomes d’azote porte l’indice 1’
et l’autre l’indice 3’ quel que soit la façon de représenter la molécule.
D. Les règles de numérotation impliquent que l’un des atomes de carbone porte l’indice
1’ et l’autre l’indice 3’ quel que soit la façon de représenter la molécule
29. Au niveau des bases puriques, les règles de numérotation :
A. Les règles de numérotation imposent de numéroter d’abord le noyau pyrimidique,
puis le noyau imidazole.
B. Les règles de numérotation imposent de numéroter d’abord le noyau imidazole, puis
le noyau pyrimidique.
C. La base est numérotée de 1 à 6.
D. La base est numérotée de 1 à 9.
30. Au niveau de l’ARN :
A. Le sucre présent correspond à un ribose.
B. Le sucre présent correspond à ß-D ribofuranose.
C. Le sucre présent correspond à un ß-D désoxyribofuranose.
D. Le sucre présent correspond à un désoxyribose.
31. Au niveau de l’ADN :
A. Le sucre présent correspond à un ribose.
B. Le sucre présent correspond à ß-D ribofuranose.
C. Le sucre présent correspond à un ß-D désoxyribofuranose.
D. Le sucre présent correspond à un désoxyribose.

32. Au niveau des acides nucléiques :


A. Les atomes de Carbone ont la particularité d’être numérotés de 1’ à 5’.
B. Les atomes de Carbone ont la particularité d’être numérotés de 1 à 5.
C. Les atomes de Carbone ont la particularité d’être numérotés de 1 à 6.
D. Les atomes de Carbone ont la particularité d’être numérotés de 1’ à 6’.
33. Au niveau des oses des acides nucléiques :
A. L’orientation de la molécule de DNA est donnée par la position 5’ ou 3’ des radicaux
OH du désoxyribose.
B. Les atomes de Carbone ont la particularité d’être numérotés de 1’ à 6’.
C. Les atomes de carbone ont la particularité d’être numérotés de 1’ à 5’.

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D. Aucune proposition n’est juste.
34. Au niveau des acides nucléiques :
A. Les phosphates permettent de solubiliser l’ADN dans l’eau grâce à leurs charges
négatives.
B. La liaison entre l’acide phosphorique et l’ose se fera par une liaison ester.
C. Les phosphates correspondent à la partie la moins soluble de l’ADN.
D. Toutes les propositions sont justes
35. Veuillez cocher la ou les propositions justes :
A. Les nucléotides précurseurs de la synthèse d’acides nucléiques sont sous forme
triphosphate.
B. Les phosphates permettent la polymérisation des acides nucléiques.
C. Un nucléoside contient deux phosphates.
D. Un nucléoside contient trois phosphates.
36. En ce qui concerne l’acide phosphorique :
A. La liaison anhydre d’acide permet le stockage d’une quantité importante d’énergie.
B. L’hydrolyse de la liaison anhydre d’acide permet de libérer 12 kcal/mol dans les
conditions standards.
C. L’hydrolyse de la liaison anhydre d’acide permet de libérer 7 kcal/mol dans les
conditions cellulaires.
D. Aucune proposition n’est juste.
37. Veuillez cocher la ou les propositions justes :
A. La liaison N-osidique a lieu entre la base et l’acide phosphorique.
B. La liaison N-osidique a lieu entre la base et le sucre.
C. La liaison N-osidique a lieu entre le sucre et l’acide phosphorique.
D. Toutes les propositions sont possibles.
38. En ce qui concerne les acides nucléiques :
A. Un nucléoside correspond à un sucre + acide phosphorique.
B. Un nucléoside correspond à un sucre + une base azotée.
C. Un nucléoside correspond à une base azotée + un acide phosphorique.
D. Un nucléoside correspond à une base azotée + un sucre + un acide phosphorique.
39. Au niveau des nucléosides :
A. Les sucres se lient aux bases azotées par des liaisons impliquant l’azote n°1 des
pyrimidines et le carbone n°1 de l’ose:
B. Les sucres se lient aux bases azotées par des liaisons impliquant l’azote n°9 des
purines et le carbone n° 1 de l’ose.
C. On trouve une base azotée + un acide phosphorique.
D. Toutes les propositions sont justes.
40. Un nucléotide :
A. Est toujours monophosphate.
B. Est toujours biphosphate.
C. Est toujours triphosphate.
D. Aucune proposition n’est juste.
41. Un nucléotide :
A. Correspond à un nucléoside + un ou plusieurs groupements phosphates.
B. Peut être monophosphate.
C. Peut être biphosphate.
D. Est toujours triphosphate.
42. A propos de la structure primaire de l’ADN :

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A. Elle résulte de liaisons phosphodiesters entre les nucléotides.
B. Les polynucléotides résultent d’une polymérisation des acides nucléiques.
C. Les nucléotides sont condensés les uns sur les autres avec des liaisons
phosphodiesters entre le carbone 3’ d’un premier nucléotide et le carbone 5’ du
nucléotide suivant.
D. Les nucléotides sont condensés les uns sur les autres avec des liaisons
phosphodiesters entre le carbone 5’ d’un premier nucléotide et le carbone 3’ du
nucléotide suivant.

43. A propos de la structure secondaire de l’ADN, l’appariement entre les bases donne :
A. deux chaines complémentaires.
B. deux chaines antiparallèles.
C. une structure hélicoïdale à la molécule d’ADN.
D. une direction 5’-3’.
44. A propos de la structure secondaire d’ADN :
A. En face de la thymine (T) on peut trouver la guanine (G).
B. En face de la guanine (G) on peut trouver la cytosine (C).
C. Quelque soit l’espèce étudiée, un rapport constant entre A/T et G/C.
D. Toutes les propositions sont justes.
45. Au niveau de la molécule d’ADN :
A. En ce qui concerne la structure primaire, l’extrémité 5’-phosphate terminale de
l’acide nucléique est la fin de la séquence ou du fragment d’ADN.
B. Le brin 5’->3’ est complémentaire du brin 3’->5’
C. La liaison entre les deux brins est assurée par des liaisons hydrogènes.
D. L’extrémité 3’-OH terminale de l’ADN est la fin de la séquence ou du fragment d’ADN.
46. Au niveau de la molécule d’ADN :
A. Pour rompre une liaison entre A et T , il faut 21 Kj.
B. Pour rompre une liaison entre G et C , il faut 63 Kj.
C. Entre G et C, il y a 2 liaisons hydrogènes.
D. Entre T et A, il y a 3 liaisons hydrogènes.
47. Au niveau de la molécule d’ADN (structure secondaire) :
A. Les groupements phosphatés sont présents à l’intérieur de la double chaîne.
B. Les bases azotées sont présentes à l’extérieur de la double chaîne.
C. Les molécules de désoxyribose de la chaîne d’ADN constituent les montants de
l’échelle.
D. Toutes les propositions sont justes.
48. Au niveau de la molécule d’ADN :
A. L’un des brins est dans le sens 5’->3’, L’autre brin est dans le sens 3’->5’.
B. Les deux brins sont dans le même sens.
C. Au niveau de quelques espèces, ont trouve toujours les deux brins dirigés dans le
même sens.
D. Toutes les propositions sont possibles.
49. Au niveau de la molécule d’ADN :
A. Le grand sillon permet la liaison aux protéines histones.
B. Le grand sillon permet la fixation de facteur régulateur de transcription.
C. Le grand sillon permet la fixation du Mg++.
D. Le petit sillon permet la liaison aux protéines histones.
50. Les protéines histones :

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A. Sont des protéines volumineuses.
B. Possèdent beaucoup d’acides aminés basiques.
C. Possèdent beaucoup d’acides aminés acides.
D. Sont complexées dans des nucléosomes.
51. Un nucléosome correspond à un :
A. Dimère.
B. Tétramère.
C. Octamère.
D. Aucune proposition n’est juste.
52. Au niveau du nucléosome :
A. Les histones sont disposées en structure « collier de perles ».
B. Les histones sont entourées par 4 tours d’ADN.
C. On trouve un octamère d’histones.
D. Toutes les propositions sont justes.
53. Au niveau d’un nucléosome, on trouve :
A. Deux H2A, deux H2B, 1H3, 1H4, un tour et ¾ de tour d’ADN.
B. Deux H2A, 2H2B, 2H3, 2H4, 1H1, un tour et ¾ de tour d’ADN.
C. Deux H2, 2H2B, 2H3, 2H4, un tour et ¾ de tour d’ADN.
D. Un H2A, un H2B, 2H3, 2H4, un tour et ¾ de tour d’ADN.
54. Au niveau d’un nucléosome, on retrouve les histones suivantes :
A. H1
B. H2A
C. H3
D. H4
55. L’euchromatine :
A. Correspond à une chromatine condensée.
B. Correspond à une chromatine décondensée.
C. Correspond à des gènes actifs.
D. Correspond à des gènes non transcrits.
56. L’hétérochromatine :
A. Correspond à une chromatine condensée.
B. Correspond à une chromatine décondensée.
C. Est hypoacéthylée.
D. Est hypométhylée.
57. L’euchromatine :
A. Est hyperacéthylée.
B. Est hypoacéthylée.
C. Est hypomethylée.
D. Est hypermethylée.
58. L’hétérochromatine :
A. Est hyperacéthylée.
B. Est hypoacéthylée.
C. Est hypométhylée.
D. Est hyperméthylée.
59. Veuillez choisir la proposition qui décrit la condensation de l’ADN selon la bonne
succession :
A. Molécule d’ADN, fibre chromatinienne, fibre nucléosomique, nucléofilament,
chromosome.

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B. Molécule d’ADN, boucles, nucléofilament, fibre nucléosomique, fibre
chromatinienne, chromosome.
C. Molécule d’ADN, solénoïde, nucléofilament, fibre nucléosomique, chromosome.
D. Molécule d’ADN, fibre nucléosomique, fibre chromatinienne, nucléofilament,
boucles, chromosomes.
60. Au niveau du noyau :
A. Deux chromosomes peuvent être mélangés au niveau du même territoire nucléaire.
B. Chaque chromosome occupe une région définie du noyau.
C. La taille du territoire occupé par le chromosome est proportionnelle à la taille du
chromosome.
D. La taille du territoire occupé par le chromosome dépend du niveau global
d’expression du chromosome.
61. L’ARN contient :
A. Un désoxyribose.
B. La thymine.
C. La cytosine.
D. L’adénine.
62. L’ARN contient :
A. Un ribose.
B. L’uracile.
C. La thymine.
D. La guanine.

63. L’ARN contient :


A. Un ribose.
B. Un désoxyribose.
C. La thymine.
D. L’uracile.
64. Les ARN :
A. Sont toujours disposés en simples brins.
B. Sont toujours disposés en doubles brins.
C. Peuvent contenir des régions appariées sur une courte distance par leurs bases
complémentaires.
D. Aucune proposition n’est juste.
65. A propos des ARN :
A. Les ARN ribosomiaux constituent 80% des ARN.
B. Les ARN messagers constituent 50% de l’ensemble des ARN.
C. Les ARN de transfert apportent les acides aminés aux ribosomes pour constituer la
chaîne polypeptidique.
D. Les ARN de transfert constituent 50% des ARN.
66. Les ARN ribosomiaux :
A. Constituent 5% de l’ensemble des ARN.
B. Font partie de la structure des ribonucléoprotéines du ribosome.
C. Ont tous une origine nucléaire.
D. Ont tous une origine nucléolaire.
67. L’ARN :
A. Est une molécule plus stable que l’ADN.
B. Est une molécule moins stable que l’ADN.

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C. Contient le désoxyribose.
D. Sauvegarde l’information génétique.
68. L’ARN :
A. Est présent en plus petit nombre de copies que l’ADN.
B. Est présent en plus grand nombre de copies que l’ADN.
C. Si la molécule est détériorée, cela peut entrainer des conséquences graves pour
l’organisme.
D. Une détérioration du brin d’ARN n’a pas de conséquences pour l’organisme.
69. La réplication :
A. Correspond à l’action de copier l’ADN en ARN.
B. Correspond à la reproduction de l’ADN à l’identique.
C. S’effectue pendant la phase G1.
D. S’effectue pendant la phase G2.
70. La réplication :
A. S’effectue pendant la phase S.
B. S’effectue pendant la mitose.
C. Pendant la réplication, aucune information n’est perdue.
D. S’effectue entre la phase G1 et G2 du cycle cellulaire.
71. La réplication doit respecter deux principes :
A. L’ensemble du génome doit être répliqué à chaque division cellulaire.
B. Chaque molécule d’ADN peut être répliquée deux fois par cycle cellulaire.
C. Chaque molécule d’ADN n’est répliquée qu’une seule fois par cycle cellulaire.
D. Toutes les propositions sont possibles.
72. A propos du génome de la cellule eucaryote :
A. Il est localisé au sein du cytoplasme.
B. Il est de petite taille.
C. Il est structuré en nucléosomes.
D. Se réplique avec une vitesse très rapide.
73. Le génome de la cellule procaryote :
A. Est localisé au niveau du noyau.
B. Est plus petit que le génome de la cellule eucaryote .
C. Se réplique avec une vitesse très faible.
D. Évolue selon un cycle cellulaire.
74. Le génome de la cellule eucaryote :
A. Est situé au niveau du noyau.
B. Se réplique à partir de plusieurs origines de réplication.
C. Se réplique avec une vitesse très faible.
D. Aucune proposition n’est juste.
75. Concernant les matériaux de la réplication :
A. Les topoisomérases détruisent les liaisons hydrogènes entre les bases azotées.
B. L’hélicase correspond à l’ADN gyrase chez l’Escherichia Coli.
C. L’hélicase permet de dérouler l’ADN et faciliter l’accès.
D. Les protéines RPA chez les eucaryotes correspondent aux SSB chez les bactéries.
76. Concernant les matériaux de la réplication :
A. Les ligases permettent la soudure des fragments d’Okazaki.
B. Les topoisomérases permettent la polymérisation des nucléotides.
C. La primase permet la synthèse des amorces d’ARN.
D. Les ions calcium sont indispensables à la réplication.

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77. Concernant les matériaux nécessaires à la réplication :
A. Les topoisomérases déroulent l’ADN.
B. Les protéines SSB stabilisent et maintiennent les deux brins séparés.
C. L’hélicase permet de souder les fragments d’Okazaki.
D. L’ADN polymérase permet de synthétiser des amorces d’ARN.
78. Chez les cellules eucaryotes :
A. Chaque réplicon fait 30 000 à 300 000 paires de bases.
B. Tous les réplicons sont synchrones.
C. Les réplicons peuvent fusionner entre eux.
D. Toutes les propositions sont possibles.
79. Le réplicon :
A. Représente l’unité de réplication de l’ADN eucaryote.
B. Contient une origine.
C. Contient une terminaison.
D. Est unique chez la cellule eucaryote.
80. L’origine de réplication :
A. Est unique chez la cellule eucaryote.
B. Est unique chez la cellule procaryote.
C. Est située à plusieurs endroits chez la cellule eucaryote.
D. Toutes les propositions sont justes.
81. A propos du réplicon :
A. Il correspond à des segments de taille variable de 30 000 à 300 000 paires de bases.
B. La taille de l’origine de réplication chez les procaryotes est d’environ 2000 paires de
bases.
C. La synthèse de l’ADN est bidirectionnelle à partir de l’origine de réplication.
D. L’origine de réplication est présente entre petites séquences répétées reconnues par
des protéines.
82. A propos de la réplication :
A. La polymérisation est unidirectionnelle.
B. La polymérisation est bidirectionnelle.
C. La réplication est semi-conservative.
D. La polymérisation se fait dans le sens 3’->5’.
83. Lors de la réplication :
A. Il y a formation de liaison phosphodiester entre l’extrémité 3’ OH du brin en voie
d’élongation et l’extrémité 5’ phosphate du nucléotide ajouté.
B. Le premier nucléotide possède un phosphate.
C. Le premier nucléotide possède deux phosphates.
D. Le premier nucléotide possède trois phosphates.
84. L’ADN polymérase :
A. Peut initier la polymérisation de la molécule d’ADN.
B. Possède une fonction d’édition.
C. Peut corriger l’ADN répliqué.
D. Peut corriger l’ADN répliqué.
85. L’ADN polymérase :
A. A besoin d’amorce d’ADN pour commencer la polymérisation.
B. Permet l’hydrolyse de l’ARN amorce.
C.  Peut initier la polymérisation de l’ADN lors de la réplication.
D. Assure une fonction d’édition.

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86. L’ADN polymérase I :
A. Assure une fonction de polymérisation 3’->5’.
B. Assure une fonction de polymérisation 5’->3’.
C. Assure une fonction exonucléasique 5’->3’ où elle permet l’hydrolyse de l’amorce
d’ARN.
D. A une fonction exonucléasique 3’->5’ où elle assure une fonction d’édition.
87. A propos des fonctions de l’ADN polymérase I :
A. La fonction d’édition est une fonction exonucléasique 3’->5’.
B. La fonction d’édition est fonction exonucléasique 5’->3’.
C. L’hydrolyse de l’amorce d’ARN correspond à une fonction exonucléasique 5’->3’.
D. Le remplacement des amorces d’ARN par un brin d’ADN se fait grâce à une fonction
exonucléasique 5’->3’.
88. Veuillez cocher la ou les proposition (s) juste(s) :
A. L’ADN polymérase II est impliquée dans la réparation de l’ADN endommagé.
B. L’ADN polymérase III possède une fonction polymérase d’addition de nucléotides à
l’extrémité 3’OH d’une chaîne nucléotidique.
C. L’ADN polymérase III exerce une fonction d’édition grâce à sa fonction
exonucléasique 5’->3’.
D. L’ADN polymérase I assure l’hydrolyse de l’amorce d’ARN grâce à sa fonction
exonucléasique 5’->3’.

89. A propos de la réplication :


A. Elle est bidirectionnelle.
B. Lors de la réplication, la polymérisation se fait dans le sens 3’->5’. 
C. Les topoisomérases servent à stabiliser la doubles hélice d’ADN. 
D. Lorsque l’ADN polymérase assure une fonction exonucléasique 3’=> 5’, ceci permet
l’hydrolyse de l’amorce d’ARN.

90. Lors de la réplication :


A. L’ADN polymérase III assure une fonction exonucléasique 3’=>5’, c’est la fonction
d’édition.
B. Le réplicon est l’unité de réplication des cellules procaryotes.
C. Le réplicon est l’unité de réplication des cellules eucaryotes.
D. Toutes les propositions sont justes.

91. Les télomères :


A. Se réplique totalement avec les mêmes enzymes que le reste du chromosome.
B. Se trouvent au milieu des chromosomes.
C. Sont le siège de séquences répétées en tandem.
D. Interviennent dans la stabilité du génome.
92. Les télomères :
A. Nécessitent une enzyme spéciale pour se répliquer.
B. Sont le siège de séquence formée de GGGATT chez l’homme.
C. Chez l’homme, les séquences GGGATT s’étendent sur environ 20 fois.
D. Toutes les propositions sont justes.
93. La télomérase :
A. Utilise sa propre amorce d’ARN.

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B. Intervient dans la réplication des télomères dans tous les types cellulaires.
C. Permet d’éviter le raccourcissement des télomères lors de la réplication.
D. Est un complexe protéine-ARN.
94. La télomérase est active dans :
A. Les cellules de la peau.
B. Les cellules germinales.
C. Les cellules souches.
D. Les cellules cancéreuses.
95. A propos des gènes :
A. Ils sont au nombre de 1000 gènes au niveau du génome humain.
B. Chaque gène représente l’unité d’hérédité qui contrôle un caractère particulier.
C. Chaque gène contient des parties codantes et des parties non codantes.
D. Chaque gène se lie conventionnellement dans le sens 3’ vers 5’.
96. Veuillez cocher la ou les proposition (s) juste (s) :
A. La région promotrice se trouve au niveau de l’extrémité 3’ du gène.
B. La région promotrice contient le site d’initiation de la transcription.
C. La TATA box est un site de reconnaissance de l’ARN polymérase II.
D. La CAAT box se trouve à – 30 en amont du gène.
97. Veuillez cocher la ou les propositions justes :
A. La TATA box se trouve à -80 en amont du gène.
B. La CAAT box permet la fixation de facteurs de transcription.
C. Les introns correspondent aux parties codantes d’un gène.
D. Les exons sont en général les parties traduites d’un gène.
98. Les exons :
A. Correspondent à des parties non codantes d’un gène.
B. Interviennent dans les processus de régulation d’un gène.
C. Correspondent à des parties codantes d’un gène.
D. Correspondent à des sites de fixation des facteur de transcription.
99. Le site de polyadénylation :
A. Est situé en amont du codon stop.
B. Est situé en aval du codon stop.
C. Est situé au niveau de l’extrémité 5’ du gène.
D. Est situé au niveau de l’extrémité 3’ du gène.
100. La région promotrice d’un gène :
A. Est situé en aval du gène en 3’.
B. Contient le site d’initiation de la transcription.
C. Est le siège de TATA box.
D. Est le siège de CAAT box.
101. Veuillez cocher le ou les facteur(s) de transcription :
A. ADN
B. ADN polymérase
C. ARN polymérase
D. Ribonucléotides
102. A propos de l’ARN polymérase :
A. L’ARN polymérase I assure la synthèse des ARN messager.
B. L’ARN polymérase III assure la synthèse des ARN de transfert.
C. L’ARN polymérase III assure la synthèse de l’ARN ribosomique 5s.
D. L’ARN polymérase I assure la synthèse des ARN ribosomiques.

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103. Le codon :
A. Correspond à 2 nucléotides.
B. Correspond à 4 nucléotides.
C. Correspond à un triplet de nucléotides.
D. Toutes les propositions sont possibles.
104. A propos des codons :
A. Le codon correspond à un acide aminé.
B. Le codon de départ correspond à AUG.
C. Le codon de départ fait appel à la sérine.
D. Le codon de départ fait appel à la méthionine.
105. Lors de la maturation de l’ARNm, la coiffe 5’ :
A. Correspond à un ajout de 50 à 200 nucléotides d’adénine.
B. Correspond à l’ajout d’un nucléotide de guanine 5’.
C. Protège l’ARNm de la dégradation.
D. Facilite le transport hors du noyau.

106. Lors de la maturation de l’ARNm, la queue polyA :


A. Facilite le transport hors du noyau.
B. Correspond à un ajout de 50 à 200 nucléotides d’adénine au niveau de l’extrémité 3’.
C. Correspond à un ajout de 50 à 200 nucléotides d’adénine au niveau de l’extrémité 5’.
D. Aide à la fixation des ribosomes au côté 5’.

107. La région 5’ UTR :


A. Code pour la séquence d’une protéine.
B. Est une région régulatrice.
C. Est une région qui régule la stabilité de l’ARNm.
D. Permet d’attacher des microARN.

108. A propos de la transcription :


A. La TATA box est un site de reconnaissance de l’ARN polymérase II .
B. L’ARN polymérase II fonctionne dans le sens 5’->3’ exclusivement.
C. La queue polyA se trouve au niveau de l’extrémité 5’ de l’ARNm.
D. Aucune proposition n’est juste.

109. Le spliceosome :
A.   Correspond à un complexe formé de 4 protéines.
B.   Correspond à un complexe formé de centaines de protéines.
C.    Assure l’excision des introns et la ligature des exons
D.   Est un lipide.

110. L’épissage alternatif . :


A. permet de produire plusieurs protéines différentes à partir d’un seul gène
B. aboutit à la production d’un ARN messager.
C. Correspond à une étape qui vient après la transcription.
D. Aucune proposition n’est juste.

111. L’épissage :

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A. Correspond à l’excision des introns.
B. Correspond à l’excision des exons.
C. Est l’étape qui permet de transformer l’ARN prémessager en ARN messager mature.
D. Toutes les propositions sont justes.

112. A propos de l’épissage :


A. La plupart des introns commencent par AT.
B. La plupart des introns commencent par GU.
C. La plupart des introns se terminent par AG.
D. toutes les propositions sont justes.

113. Dans le cadre des mutations :


A. Une transition correspond au remplacement d’une purine par une purine.
B. Une transition correspond au remplacement d’une pyrimidine par une purine.
C. Une transition correspond à une mutation de substitution.
D. Aucune proposition n’est juste.

114. Lors de la mutation faux sens :


A. La substitution aboutit à un codon stop.
B. La protéine synthétisée est écourtée.
C. On note une modification de la signification d’un codon.
D. Un acide aminé est remplacé par un autre acide aminé.

115. Une mutation décalant le cadre de lecture (Frame shift) peut résulter de :
A. La délétion d’une base.
B. La délétion deux bases.
C. La délétion de trois bases.
D. Toutes les propositions sont justes.

116. La traduction :
A. Correspond à l’étape de copier l’ADN en ARN messager.
B. Correspond à la synthèse d’un polypeptide à partir de l’ARNm.
C. Fait appel à l’ARNm mais pas l’ARNt.
D. Fait appel aux ribosomes.

117. Les ARNt :


A. Chaque ARN de transfert est spécifique à un acide aminé.
B. Chaque ARNt contient deux boucles.
C. Chaque ARNt contient un anticodon.
D. L’ARNt est le siège de liaison hydrogène qui stabilisent la structure.

118. Les ribosomes :


A. Permettent l’appariement des anticodons de l’ARNt aux codons d’ARNm.
B. Sont composés de deux sous unités qui ont les mêmes mensurations et même poids
moléculaire.
C. Sont constitués de protéines.
D. Sont constitués d’un ou plusieurs ARN ribosomiaux.

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119. Au niveau des ribosomes :
A. Le site E correspond au site de liaison de l’ARNt-acide aminé.
B. Le site P correspond au site de liaison de l’ARNt-polypeptide.
C. Le site A correspond au site de sortie.
D. Le site E est appelé également site Exit.

120. Le caryotype :

A. Correspond à l’identification et au dénombrement de tous les chromosomes


d’une cellule.
B. Est réalisé pendant l’anaphase.
C. Est réalisé pendant l’interphase.
D. Est réalisé pendant la métaphase.

121. Le télomère :

A. Détermine l’index  centromérique.


B. Correspond à une constriction secondaire.
C. Joue un rôle fondamental dans la stabilisation et la protection du génome.
D. Est étroitement lié aux kinétochore.

122. Pour réaliser un caryotype, le temps de la culture cellulaire :


A. Est de 24 heures pour le caryotype constitutionnel.
B. Est de 72 heures pour le caryotype constitutionnel.
C. Est de 24 à 96 heures pour la moelle osseuse dans les hémopathies malignes.
D. Est de 72 heures pour le liquide amniotique.

123. Que peut-on utiliser pour bloquer la culture cellulaire ?


A. La phytohémaglutinine.
B. La colchicine.
C. Le sérum de veau fœtal.
D. La sulfate de vinblastine.

124. Les anomalies chromosomiques constitutionnelles :


A. peuvent survenir avant la fécondation.
B. peuvent survenir lors des premières divisions du zygote.
C. peuvent apparaitre au courant de la vie d’une personne.
D. touchent un seul organe.

125. Le caryotype est indiqué chez l’adulte dans la ou les situation (s) suivante (s) :
A. Infertilité féminine.
B. Stérilité masculine.
C. Naissance d’un enfant présentant une anomalie chromosomique.
D. Ménopause précoce.

126. Veuillez cocher la ou les proposition (s) juste (s) :


A. La trisomie correspond à un excès d’un chromosome.
B. La trisomie correspond à 3 lots haploïdes.

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C. Les monosomies des autosomes ne sont pas viables.
D. Toutes les monosomies des gonosomes ne sont pas viables.

127. Quels sont les chromosomes qui peuvent être impliqués dans les translocations
robertsoniennes ?
A. Chromosomes 13
B. Chromosome 12
C. Chromosome 1
D. Chromosome 21

128. La leucémie myéloïde chronique:


A. Résulte d’une translocation réciproque.
B. Résulte d’une translocation robertsonienne.
C. La fusion ABL-BCR est responsable du déclenchement du phénomène d’oncogenèse.
D. Peut être traitée par une thérapie ciblée. 

129. L’hybridation In Situ Fluorescente (FISH) :


A. Repose sur le principe de complémentarité.
B. Est une technique ciblée.
C. Doit être réalisée avant le caryotype standard.
D. Permet une vue globale sur tout le génome.

130. L’amniocentèse:
A. Permet de récupérer les cellules fœtales.
B. Est réalisée à partir du sang maternel.
C. Permet de réaliser le caryotype du foetus.
D. Nécessite 2 à 3 semaines pour répondre un résultat de caryotype.

131 . Quelles sont les formules chromosomiques correctes?


A. Garçon normal : 46XY
B. Fille normale : 46, XX
C. Fille présentant un syndrome de Turner : 45X
D. Garçon présentant une trisomie 21 : 47, XY, +21

132. Parmi les chromosomes suivants lesquels sont des chromosomes


acrocentriques:
A. le chromosome 1.
B. le chromosome 15.
C. le chromosome 14.
D. le chromosome 22.

133. Une anomalie de structure:


A. est dite équilibrée quand elle donne un phénotype normal.
B. quand elle est équilibrée, il y a un risque pour la descendance.
C. est dite déséquilibrée quand elle donne un phénotype anormal.
D. aucune proposition n’est juste.

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134. Le centromère:
A.  Représente la dernière région chromosomique à se scinder au moment de
l’anaphase.
B. est composé de séquences d’ADN répétées en tandem un grand nombre de fois.
C. Maintient l’intégrité du chromosome.
D. existe au niveau de l'extrémité du chromosome.

135. Parmi les cellules suivantes, lesquelles possèdent un bas index mitotique:
A. Cellules du trophoblaste.
B. Lymphocytes sanguins.
C. Cellules amniotiques.
D. Cellules cancéreuses.

136. Parmi les cellules suivantes, lesquelles possèdent un haut index mitotique:
A. Cellules du trophoblaste.
B. Cellules de la moelle osseuse.
C. Cellules amniotiques.
D. Cellules cancéreuses.

137. La colchicine:
A. est un agent antimitotique.
B. est un stimulant de la culture cellulaire.
C. agit sur le fuseau mitotique.
D. permet de bloquer les cellules en métaphase.

138. Une trisomie correspond à:


A. trois lots haploïde.
B. 69 chromosomes.
C. l’excès d’un chromosome.
D. aucune proposition n’est correcte.

139. Concernant les anomalies de nombre en mosaïque:


A. elles résultent d’une non disjonction méiotique.
B. elles résultent d’une non disjonction mitotique.
C. elles résultent d’une non disjonction post zygotique.
D. chez la même personne, on peut trouver l’association de 45, X et 47, XXX.

140. La triploïdie correspond à:


A. trois copies de chaque chromosome.
B. trois copie d’un seul chromosome.
C. 69 chromosomes.
D. 47 chromosomes.

141. Une anomalie de structure:


A. est toujours déséquilibrée.
B. a toujours lieu entre deux chromosomes.
C. concerne toujours un seul chromosome.
D. aucune proposition n’est juste.

142. Une translocation:


A. correspond à un échange de segments distaux de deux chromosomes.
B. résulte de deux cassures sur deux chromosomes différents.
C. est toujours déséquilibrée.

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D. n’a aucune conséquence sur la descendance.

143. . Une translocation robertsonienne:


A. a lieu entre les chromosomes acrocentriques.
B. donne un phénotype normal.
C. donne un phénotype anormal.
D. donne des conséquences méiotiques.

144. Une translocation réciproque:


A. a lieu seulement entre deux chromosomes acrocentriques.
B. donne toujours un phénotype anormal.
C. donne un phénotype anormal quand il y a cassure d’un gène.
D. aucune proposition n’est juste.

145. Dans une maladie autosomique dominante:


A. Il y a autant de filles que de garçons atteints.
B. Les filles sont plus atteintes que les garçons.
C. Une personne malade a un de ses deux parents atteints.
D. une personne malade a un risque de 50% de transmettre la maladie à chacun de ses
enfants.

146. Dans une maladie autosomique récessive:


A. les deux parents sont obligatoirement malades (chacun exprime la maladie).
B. les hétérozygotes sont sains (ils n’expriment pas la maladie).
C. la maladie ne s’exprime que chez les homozygotes.
D. La consanguinité n’a aucune influence sur l’apparition de la maladie.

147. Dans une maladie récessive liée à l’X:


A. les femmes hétérozygotes sont malades.
B. les femmes hétérozygotes ne sont pas malades mais peuvent transmettre la maladie.
C. une fille sur deux est conductrice.
D. la maladie ne se manifeste que chez les sujets de sexe masculin.

148. Une maladie génétique d’origine mitochondriale:


A. est transmise par la mère.
B. est transmise par le père.
C. la transmission se fait à travers les ovocytes.
D. aucune proposition n’est juste.

149. Un allèle:
A. correspond à l’unité d’information.
B. correspond au site physique où se situe le gène sur le chromosome.
C. correspond aux différentes formes que peut prendre un même gène à un locus
donné.
D. aucune proposition n’est juste.

150. La pénétrance :

A. Correspond à la probabilité d’être atteint par la maladie quand on a le génotype à risque.


B. Correspond au rapport : ensemble de sujets porteurs du gène/ sujets porteurs du gène et
malades.

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C. Correspond au rapport : sujets porteurs du gène et malades/ ensemble des sujets porteurs
du gène.
D. Aucune proposition n’est juste.

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