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K1 - Q2 - ANNALE - BIOLOGIE - HONS Benoit - Rodolphe Boyon

Ce document est composé de deux parties :


- Une première partie qui reprend l’ensemble des examens précédents du plus récent au
moins récent non corrigé, à savoir :
- 2016 / 2017 - 1ÈRE SESSION : Page 3
- 2015 / 2016 - 1ÈRE SESSION : Page 5
- 2014 / 2015 - 1ÈRE SESSION : Page 13
- 2013 / 2014 - 1ÈRE SESSION : Page 17
- 2012 / 2013 - 2ÈME SESSION : Page 23
- 2012 / 2013 - 1ÈRE SESSION : Page 31
- Une deuxième partie (Page 39) qui synthétise l’ensemble des questions des examens
précédents sans les doublons et classées par ordre de « ressemblance ».
Cette deuxième partie est corrigée et sous chaque question est indiquée l’examen
correspondant. Cela vous donnera également une indication sur le nombre de fois que la
question est tombée.

Légende :
- Réponse en violet : à vérifier
- Réponse en vert : vérifiée
- => : correspond à la partie du cours à laquelle la question fait référence

MODALITÉ D’EXAMEN :

QCM : 60 points
30 questions
4 propositions par questions
1 réponse de juste

Cotation :
- Bonne réponse : + 2 points
- Mauvaise réponse : 0 point
- Abstention : 0 point

QUESTION OUVERTE : 30 points


3 questions de 10 points chacune
Répondre sur 1 page chacune (13 à 15 lignes environ)

QF : 10 points
2 questions de 5 points chacune
Répondre en 4 lignes

1
PARTIE 1 :
REGROUPEMENT
DES ANNALES
NON CORRIGÉES

2
2016 / 2017 - 1ÈRE SESSION :

QUESTION OUVERTE : (30 points)

1) Résumer synthétiquement les différentes étapes du cycle cellulaire en insistant sur


l'objectif de chacune.

2) Expliquer en détail le schéma ci-dessous.

3) Expliquer 4 exemples de proto-oncogène (2) et de anti-oncogène (2) en situation


physiologique et en situation pathologique.

3
QF : (10 points)

1) Expliquer synthétiquement le schéma ci-dessous.

2) Expliquer synthétiquement le schéma ci-dessous.

4
2015 / 2016 - 1ÈRE SESSION :

1) Dans l’équation v = c / A, la fréquence d’une onde


a. Est inversement proportionnelle à sa longueur d’onde : cela signifie que l’éloignement de corps
célestes correspond à un décalage vers le bleu de la lumière émise par ces derniers.
b. Est inversement proportionnelle à sa longueur d’onde : cela signifie que l’éloignement de corps
célestes correspond à un décalage vers le rouge de lumière émise par ces derniers.
c. Est proportionnelle à sa longueur d’onde : cela signifie que l’éloignement de corps célestes
correspond à un décalage vers le bleu de la lumière émise par ces derniers.
d. Est proportionnelle à sa longueur d’onde : cela signifie que l’éloignement de corps célestes
correspond à un décalage vers le bleu de la lumière émise par ces derniers.

2) Il y a plusieurs milliards d’années, l’athmosphère de l’époque


a. Était oxydante vu la présence massive d’O2 : l’absence d’ozone permettait un apport d’énergie
permettant les réactions biochimiques.
b. Était réductrice vu l’absence d’O2 : l’absence d’ozone permettait un apport d’énergie
permettant les réactions biochimiques.
c. Était oxydante vu la présence massive d’O2 : la présence d’ozone permettait un apport
d’énergie permettant les réactions biochimiques.
d. Était réductrice vu la présence massive d’O2 : la présence d’ozone permettait un apport
d’énergie permettant les réactions biochimiques.

3) Dans l’évolution du métabolisme cellulaire


a. Les cellules photosynthétiques ont précédé les cellules hétérotrophes à respiration
anaérobique.
b. Les cellules autotrophes ont précédé les cellules hétérotrophes à respiration anaérobique.
c. Les cellules hétérotrophes à respiration aérobique ont précédé les cellules hétérotrophes à
respiration anaérobique.
d. Les cellules hétérotrophes à respiration anaérobique ont précédé les cellules hétérotrophes à
respiration aérobique.

4) Les réactions de transcription, de réplication et de respiration mitochondriale sont


respectivement des réactions
a. De catabolisme, de destruction et d’anabolisme.
b. De biosynthèse, de synthèse et de catabolisme.
c. Catabolique, anabolique et « de synthèse ».
d. Anabolique, catabolique et « de synthèse ».

5) La réaction suivante : C6H12O6 + 6 O2 —> 6 CO2 + 6 H2O + ENERGIE


a. Illustre simultanément une réaction anabolique et une réaction catabolique.
b. Illustre l’oxydation du sucre et montre une réaction de catabolisme.
c. Illustre l’oxydation du sucre et montre une réaction d’anabolisme.
d. Illustre la réduction du sucre par l’oxygène.

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6) La figure ci-dessous représente
a. La structure tertiaire d’une protéine.
b. Quatre histones structurant un nucléotide.
c. La structure primaire d’une protéine.
d. Quatre globines et quatre groupements prosthétiques.

7) La figure ci-dessous représente


a. Une molécule régulatrice de la transcription et présente uniquement chez les eucaryotes et les
procaryotes.
b. Une molécule appelée « doigt à magnésium », essentielle lors de l’activation de l’apoptose.
c. La molécule appelée « doigt à zinc », essentielle lors de la mitose.
d. Une molécule utilisée dans la régulation de l’expression génétique.

8) La molécule (1) et la molécule (2) représentent


a. Deux acides aminés.
b. Le sucrose et le lactose.
c. Le ribose et le désoxyribose.
d. Le désoxyribose et le ribose.

6
9) La conséquence de la polarité de la molécule ci-dessous
a. Est la formation de liaisons électrostatiques intramoléculaires.
b. Est la formation de liaisons électrostatiques intermoléculaires.
c. Est la formation de liaisons covalentes polarisées intramoléculaires.
d. Est la formation de liaisons covalentes polarisées intermoléculaires.

10) Le fonctionnement des aquaporines est contrôlé par


a. La vasopressine ; le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine cause le
diabète insipide.
b. L’ADH ; le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine cause de la diabète
sucré.
c. La vasopressine ; le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine génère une
réduction importante du volume des urines.
d. L’ADH ; le disfonctionnement du complexe aquaporine/ADH génère une diminution de la
sensation de soif.

11) La molécule ci-dessous


a. Est un acide polyinsaturé et a comme formule C18 : 3ω3, 6, 9
b. Est un acide saturé et a comme formule C18 : 3ω3, 6, 9
c. Est un acide gras polyinsaturé et a comme formule C18 : 3ω3, 6, 9
d. Est un acide gras saturé et a comme formule C18 : 3ω3, 6, 9

12) Dans les fluides extracellulaires, le rapport des concentrations en NA « /K » est


a. < 1, le sodium sortant de la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
b. > 1, le sodium sortant de la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
c. < 1, le sodium rentrant dans la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
d. > 1, le sodium rentrant dans la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.

7
13) La figure ci-dessous représente
a. Le caryotype d’une cellule diploïde en phase post S.
b. Le caryotype d’une cellule haploïde en phase post S.
c. Le caryotype d’une cellule haploïde en phase G1.
d. Le caryotype d’une cellule diploïde en phase G1.

14) Dans la chromatine


a. L’hétérochromatine constitue les portions les moins condensées de l’ADN.
b. L’hétérochromatine constitue 10% de l’ADN.
c. L’euchromatine constitue les portions les moins condensées de l’ADN.
d. L’euchromatine constitue 80% de l’ADN.

15) En plaçant une cellule dans un milieu hypotonique


a. On risque la plasmolyse.
b. Les sels minéraux rentrent dans la cellule et l’eau en sort jusqu’à l’isotonie.
c. Les sels minéraux sortent de la cellule et l’eau rentre dans la cellule jusqu’à l’isotonie.
d. On accélère la sortie du sodium et l’entrée du potassium afin de maintenir le potentiel
électrochimique membranaire.

16) La molécule d’ADN


a. Est monocaténaire et a la forme d’une échelle dont les montants sont faits par la succession
« sucre-phosphate-sucre-phosphate-sucre-phosphate… » et les barreaux par l’union « base/
base ».
b. Est monocaténaire et a la forme d’une échelle dont les barreaux sont faits par la succession
« sucre-phosphate-sucre-phosphate-sucre-phosphate… » et les montants par l’union « base/
base ».
c. Est bicaténaire et a la forme d’une échelle dont les montants sont faits par la succession
« sucre-phosphate-sucre-phosphate-sucre-phosphate… » et les barreaux par l’union « base/
base ».
d. Est bicaténaire et a la forme d’une échelle dont les barreaux sont faits par la succession
« sucre-phosphate-sucre-phosphate-sucre-phosphate… » et les montants par l’union « base/
base ».

17) Lors de la transcription


a. L’entièreté d’un brin matrice de l’ADN est répliqué en ARN messager.
b. L’entièreté d’un brin codant de l’ADN est répliqué.
c. Le brin codant d’un fragment d’ADN est transcrit est ARN messager.
d. Le brin matrice (non-sens) d’un fragment d’ADN est transcrit.

8
18) Une cellule provenant d’un embryon d’une semaine d’âge
a. Est qualifiée de pluripotente.
b. Est qualifiée de totipotente et peut « théoriquement » lors d’une culture cellulaire, générer un
nouvel individu « complet ».
c. Contient l’ensemble des gènes de l’embryon ; certains gènes seront éliminés lors de la
différenciation cellulaire.
d. Est qualifiée de « souche » au même titre que les cellules différenciées d’un individu adulte.

19) Respectivement à gauche et à droite, nous observons


a. Des cellules en interphase.
b. Des cellules en prophase et des cellules en métaphase.
c. Des cellules en télophase et des cellules en anaphase.
d. Des cellules en anaphase et des cellules en télophase.

20) A l’issue de la réplication, une cellule à n = 5


a. Possède 20 brins d’ADN groupés deux par deux.
b. Possède 20 brins d’ADN indépendants l’un de l’autre.
c. Possède 10 chromosomes en forme de bâtonnet.
d. Possède 10 chromatides soeurs.

21) Dans la technique des anticorps monoclonaux


a. La métalloprotéase sert d’antigène pour fabriquer des anticorps capables de mettre en
évidence des métastases.
b. La métalloprotéase sert d’anticorps pour fabriquer des antigènes capables de mettre en
évidence des métastases.
c. Le terme « clone » se rapporte aux anticorps produits par un lymphocyte.
d. Le terme « clone » se rapporte aux antigènes produits par un lymphocyte.

22) L’apoptose
a. Est évitable, même lorsque les télomères sont usées après 50 divisions cellulaires.
b. Est la conséquence de la reconstruction des télomères.
c. Est une mort physiologique programmée génétiquement.
d. Est une mort brutale de la cellule normalement déclenchée lors de la perte de l’adressage
cellulaire.

9
23) La photo ci-dessous montre
a. L’endocytose cellulaire.
b. L’attaque d’un globule rouge par un anticorps.
c. L’action de la métalloprotéase sur la lame basale.
d. L’exocytose cellulaire.

24) La figure ci-dessous représente une mutation


a. Par substitution.
b. Par décalage du cadre de lecture ; son incidence est d’autant plus importante qu’elle a lieu au
début du gène.
c. Par addition.
d. Par décalage du cadre de lecture ; son incidence est d’autant moins importante qu’elle a lieu
au début du gène.

25) Un décalage dans le cadre de lecture est causé par


a. Une substitution.
b. Une délétion.
c. Une mutation chromosomique touchant un autosome.
d. Une mutation chromosomique touchant un chromosome sexuel.

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26) L’arbre généalogique ci-dessous représente
a. Une mutation hétérosomique et dominante.
b. Une mutation autosomique et dominante.
c. Une mutation hétérosomique et récessive.
d. Une mutation autosomique et récessive.

27) La trisomie 21
a. A pour origine une duplication du chromosome 21 lors de la maturation des ovules.
b. A pour origine une malségrégation des chromosomes 21 lors de la mitose réductionnelle.
c. A pour origine une malségrégation des chromosomes 21 lors de la mitose équationnelle.
d. A pour origine une duplication du chromosome 21 lors de la maturation des spermatozoïdes.

28) L’émergence du mésoblaste (derme)


a. Est la caractéristique de la deuxième semaine de la vie embryonnaire.
b. Est la caractéristique de la troisième semaine de la vie pré-embryonnaire.
c. Est la caractéristique de la troisième semaine de la vie embryonnaire.
d. Est la caractéristique de la deuxième semaine de la vie pré-embryonnaire.

29) Sur les deux schémas ci-dessous, on observe respectivement


a. Une inflexion longitudinale montrant en (1) la cavité vitelline et une inflexion transversale
montrant la réduction de la cavité amniotique.
b. Une inflexion transversale montrant en (1) la cavité vitelline et une inflexion longitudinale
montrant la réduction de la cavité amniotique.
c. Une inflexion transversale montrant en (1) la cavité amniotique et une inflexion longitudinale
montrant la réduction de la cavité vitelline.
d. Une inflexion longitudinale montrant en (1) la cavité amniotique et une inflexion transversale
montrant la réduction de la cavité vitelline.

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30) La figure ci-dessous
a. Montre la vascularisation de l’embryon avec l’artère ombilical (1) et la veine ombilicale (2). La
partie inférieure du schéma représente le chorion villeux et la partie supérieure représente la
caduque basilaire.
b. Montre la vascularisation de l’embryon avec la veine ombilical (1) et l’artère ombilicale (2). La
partie inférieure du schéma représente le chorion villeux et la partie supérieure représente la
caduque basilaire.
c. Montre la vascularisation de l’embryon avec l’artère ombilical (1) et la veine ombilicale (2). La
partie inférieure du schéma représente la caduque basilaire et la partie supérieure représente
le chorion villeux.
d. Montre la vascularisation de l’embryon avec la veine ombilical (1) et l’artère ombilicale (2). La
partie inférieure du schéma représente la caduque basilaire et la partie supérieure représente
le chorion villeux.

12
2014 / 2015 - 1ÈRE SESSION :

7) La molécule ci-dessous
a. Est un hexose.
b. Est un combustible essentiel pour la cellule (production d’ATP).
c. Appartient à la famille des lipides.
d. Est impliquée dans la composition de l’ADN.

8) La formule de la molécule ci-dessous est


a. C17 ω3, 6, 9
b. C18 ω3, 6, 9
c. C18 ω3, 15, 12
d. C17 ω3, 15, 12

SCHÉMA (mais n’est pas sur l’annale)

18) La cellule ci-dessous


a. A un n = 4.
b. Est en phase prophasique.
c. Est en phase télophasique.
d. Est diploïde.

19) La télomérase
a. Permet aux cellules cancéreuses de dissoudre la terre basale.
b. Permet aux cellules cancéreuses de pénétrer dans le système circulatoire.
c. Reconstitue les télomères après chaque division cellulaire.
d. Une des télomères après chaque division cellulaire.

13
20) Lors de cette mutation la délétion du nucléotide « G »
a. N’introduit aucun modification dans la protéine ; on parle de mutation silencieuse.
b. Produit un décalage dans le cadre de lecture.
c. Introduit une modification d’un seul acide aminé.
d. Introduit un décalage dans le cadre de lecture, en amont du lieu de délétion.

21) Dans cet arbre généalogique, la mutation (représentée par la couleur noire)
a. Est récessive et autosomique.
b. Est dominante et autosomique.
c. Est dominante et hétérosomique.
d. Est récessive et hétérosomique.

22) La trisomie 21 est due à une non ségrégation des chromosomes 21


a. Lors de l’anaphase de la division réductionnelle.
b. Lors de l’anaphase de la division équationnelle.
c. Lors de la télophase de la division équationnelle.
d. Lors de la télophase de la division réductionnelle.

23) L’origine de la phocomélie est


a. Une substitution sur un gène important pour le développement des membres supérieurs.
b. Une mutation chromosomique qui raccourcit le chromosome 5.
c. L’interaction du thalidomide avec le développement de l’embryon.
d. Une mutation chromosomique touchant un autosome.

24) Si une mère est séropositive


a. Un enfant sur trois aura la malchance de développer le SIDA.
b. Il n’y a aucune malchance que son enfant développe le SIDA par transmission
transplacentaire.
c. Il n’y a aucune malchance que son enfant développe le SIDA par transmission « par parfum ».
d. Tous ces enfants développeront la pathologie.

14
25) Dans une cellule en méïose, si la quantité d’ADN en G2, de 4C, les cellules haptoïdes
sont
a. En 8 C.
b. En 6 C.
c. En 2 C.
d. En 1 C.

26) L’apoptose
a. Est évitable, même lorsque les télomères sont usées après 50 divisions cellulaires.
b. Est la conséquence de la reconstruction des télomères.
c. Est une mort physiologique programmée génétiquement.
d. Est une mort brutale de la cellule normalement déclenchée lors de la perte de l’adressage
cellulaire.

27) Une cycline et le facteur de croissance épidémique régulent


a. L’harmonie dans l’expression des proto-oncogènes.
b. L’harmonie dans l’expression des anti-oncogènes.
c. Respectivement la vitesse du cycle et le passage d’une phase du cycle cellulaire à l’autre.
d. Respectivement le passage d’une phase du cycle cellulaire à l’autre et la vitesse du cycle.

28) La figure ci-dessous montre


a. Le hatching et l’insertion du syncynophoblase dans le tissu endométrial.
b. Le hatching et l’insertion du bouton embryonnaire dans le tissu endométrial.
c. L’ovulation et la phase de …dation.
d. L’ovulation et la phase d’imprégnation.

29) Le placenta
a. Est strictement d’origine embryonnaire.
b. Est strictement d’origine maternelle.
c. Est à la fois d’origine embryonnaire (caduque basillaire) et d’origine maternelle (chorion
villeux).
d. Est à la fois d’origine embryonnaire (chorion villeux) et d’origine maternelle (caduque
basillaire).

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30) Le schéma ci-dessous montre
a. La différenciation des cellules mésoblastiques et leur positionnement entre les cellules
ectoblastiques (au dessus) et les cellules endoblastiques (en dessous).
b. La différenciation des cellules mésoblastiques et leur positionnement entre les cellules
ectoblastiques (en dessous) et les cellules endoblastiques (au dessus).
c. La différenciation des cellules ectoblastiques et leur positionnement entre les cellules
mésoblastiques (en dessous) et les cellules endoblastiques (au dessus).
d. La différenciation des cellules endoblastiques et leur positionnement entre les cellules
ectoblastiques (en dessous) et les cellules mésoblastiques (au dessus).

16
2013 / 2014 - 1ÈRE SESSION :

1) Les réactions de transcription, de respiration mitochondriale et de réplication sont


respectivement des réactions
a. De catabolisme, de destruction et d’anabolisme.
b. De biosynthèse, de synthèse et de catabolisme.
c. Catabolique, anabolique et « de synthèse ».
d. Anabolique, catabolique et « de synthèse ».

2) La formation d’une liaison peptidique


a. Nécessite une molécule d’eau et lie le groupement NH2, de l’aa1 et le groupement COOH de
l’aa2.
b. Nécessite une molécule d’eau et lie le groupement COOH de l’aa1 et le groupement NH2 de
l’aa2.
c. Génère une molécule d’eau et lie le groupement COOH de l’aa1 et le groupement NH2 de
l’aa2.
d. Génère une molécule d’eau et lie le groupement NH2 de l’aa1 et le groupement COOH de
l’aa2.

3) Les molécules importantes de la régulation de la calcémie sont


a. La PTH (hormone hypercalcémiante), la calcitonine (hormone activant la fonction
ostéoblastique) et la vitamine D (hormone hypercalcémiante).
b. La PTH et la calcitonine, deux hormones hypocalcémiantes, et la vitamine D3*, vitamine
exogène.
c. La PTH et la calcitonine, deux hormones hypercacémiantes, et la vitamine D3*, vitamine
exogène.
d. La PTH (hormone hypocalcémiante), la calcitonine (hormone activant la fonction
ostéoclastique) et la vitamine D (hormone hypercalcémiante).

*D2 ou D3 ?

4) La figure ci-dessous représente


a. Une molécule régulatrice de la transcription et présente uniquement chez les eucaryotes et les
procaryotes.
b. Une molécule appelée « doigt à magnésium », essentielle lors de l’activation de l’apoptose.
c. La molécule appelée « doigt à zinc », essentielle lors de la mitose.
d. Une molécule utilisée dans la régulation de l’expression génétique.

17
5) De gauche à droite, les molécules représentées ci-dessous sont
a. La leucine, la galactose, un acide gras insaturé et un constituant membranaire.
b. Un acide aminé, un sucre, un lipide et le cholestérol.
c. Un sucre, un cycle aromatique, un acide gras et une protéine.
d. La leucine, un sucre, un acide gras saturé et le cholestérol.

6) Les températures de fusion et d’ébullition anormalement élevées de l’eau sont dues


a. Aux liaisons hydrogènes intramoléculaires.
b. À la différence d’électronégativité entre O et H au sein d’une molécule d’eau.
c. Aux liaisons ioniques entre molécules d’eau.
d. Aux liaisons ioniques intermoléculaires, liaisons à briser lors de la fusion ou de l’ébullition.

7) Le fonctionnement des aquaporines est contrôlé par


a. La vasopressine ; le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine cause le
diabète insipide.
b. L’ADH : le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine cause le diabète sucré.
c. La vasopressine ; le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine génère une
réduction importante du volume des urines.
d. L’ADH ; le disfonctionnement du complexe aquaporine/ADH génère une diminution de la
sensation de soif.

8) Dans les fluides extracellulaires, le rapport des concentrations en NA « /K » est


a. < 1, le sodium sortant de la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
b. > 1, le sodium sortant de la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
c. < 1, le sodium rentrant dans la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
d. > 1, le sodium rentrant dans la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.

9) La figure ci-dessous représente


a. Le caryotype d’une cellule diploïde d’un homme en phase post S.
b. Le caryotype d’une cellule haploïde d’un homme en phase post S.
c. Le caryotype d’une cellule haploïde d’un homme en phase G1.
d. Le caryotype d’une cellule diploïde en phase G1.

18
10) La photo ci-dessous de gauche à droite
a. Le nucléole, le nucléoplasme, la membrane nucléaire et le cytoplasme avec un dictoyosome.
b. Le noyau, la membrane cytoplasmique, le milieu extracellulaire avec un corps en phase
d’endocytose.
c. Le nucléole, le nucléoplasme, la membrane nucléaire et, dans le cytoplasme, l’ensemble de
l’appareil de Golgi.
d. Le nucléole, le nucléoplasme, la membrane nucléaire et dans le cytoplasme, le réticulum
endoplasmique.

11) Les deux figures ci-dessous


a. Illustrent le transport actif (gauche) et les fibres protéiques de connexions entre cellules
voisines.
b. Représentent les protéines responsables des transports extra-intracellulaires.
c. Illustrent, dans le cours, l’importance des mitochondries dans la production d’énergie cellulaire.
d. Représentent des filopodes (gauche), excroissances cytosquelettiques, et des protéines.
assurant la « rigidité » des microvilosités (droite).

12) En plaçant une cellule dans un milieu hypotonique


a. On risque la plasmolyse.
b. Les sels minéraux rentrent dans la cellule et l’eau en sort jusqu’à l’isotonie.
c. Les sels minéraux sortent de la cellule et l’eau rentre dans la cellule jusqu’à l’isotonie.
d. On accélère la sortie du sodium et l’entrée du potassium afin de maintenir le potentiel
électrochimique membranaire.

13) Lors de la transcription


a. L’entièreté du brin matrice de l’ADN est repliqué en ARN messager.
b. L’entièreté du brin codant de l’ADN est répliqué.
c. Le brin codant d’un fragment d’ADN est transcrit est ARN messager.
d. Le brin matrice (non-sens) d’un fragment d’ADN est transcrit.

19
14) Une cellule provenant d’un embryon d’une semaine d’âge
a. Est qualifiée de pluripotente.
b. Est qualifiée de totipotente et peut « théoriquement » lors d’une culture cellulaire, générer un
nouvel individu « complet ».
c. Contient l’ensemble des gènes de l’embryon ; certains gènes seront éliminés lors de la
différenciation cellulaire.
d. Est qualifiée de « souche » au même titre que les cellules différenciées d’un individu adulte.

15) Respectivement à gauche et à droite, nous observons


a. Des cellules en prophase et des cellules en métaphase : ces cellules sont toutes en
interphase.
b. Des cellules en prophase et des cellules en métaphase.
c. Des cellules en métaphase et des cellules en fin d’anaphase : ces cellules sont toutes en
interphase.
d. Des cellules en métaphase et de cellules en fin d’anaphase.

16) A l’issue de la réplication, une cellule à n = 7


a. Possède 14 brins d’ADN.
b. Possède 28 brins d’ADN indépendants l’un de l’autre.
c. Possède 14 chromosomes en forme de bâtonnet.
d. Possède 28 chromosomes en forme de X.

17) Les réticulocytes


a. Sont les cellules dermiques à l’origine des fibres de collagène d’élastine.
b. Sont des cellules différenciées situées dans la moëlle épinière.
c. Sont considérés des cellules souches.
d. Sont des cellules différenciées situées dans la moëlle osseuse.

18) Dans la technique des anticorps monoclonaux


a. La métalloprotéase sert d’antigène pour fabriquer des anticorps capables de mettre en
évidence des métastases.
b. La métalloprotéase sert d’anticorps pour fabriquer des antigènes capables de mettre en
évidence des métastases.
c. Le terme « clone » se rapporte aux anticorps produits par un lymphocyte.
d. Le terme « clone » se rapporte aux antigènes produits par un lymphocyte.

20
19) L’apoptose
a. Est évitable, même lorsque les télomères sont usées après 50 divisions cellulaires.
b. Est la conséquence de la reconstruction des télomères.
c. Est une mort physiologique programmée génétiquement.
d. Est une mort brutale de la cellule normalement déclenchée lors de la perte de l’adressage
cellulaire.

20) Une cycline et le facteur de croissance épidermique régulent


a. L’harmonie dans l’expression des proto-oncogènes.
b. L’harmonie dans l’expression des anti-oncogènes.
c. Respectivement la vitesse du cycle et le passe d’une phase du cycle cellulaire à l’autre.
d. Respectivement le passage d’une phase du cycle cellulaire à l’autre et la vitesse du cycle.

21) Bcl2 est une cycline qui frêne l’apoptose et p53 contrôle l’état de santé des cellules. Ces
cyclines sont
a. Un anti-oncogène pour la première et un proto-oncogène pour la seconde.
b. Un proto-oncogène pour la première et un anti-oncogène pour la seconde.
c. Deux anti-oncogènes et leurs gènes sont susceptibles de muter.
d. Deux proto-oncogènes et leurs gènes sont susceptibles de muter.

22) La molécule ci-dessous (regarder les atomes symboliques de la fonction inférieure de la


molécule) joue un rôle préventif sur le développement d’un cancer. Il s’agit de
a. La lame basale.
b. La télomérase.
c. La métalioprotéase.
d. L’acétylsalicylique.

21
23) Un décalage dans le cadre de lecture est causé par
a. Une substitution.
b. Une délétion.
c. Une mutation chromosomique touchant un autosome.
d. Une mutation chromosomique touchant un chromosome sexuel.

24) L’origine de la phocomélie est


a. Une substitution sur un gène important pour le développement des membres supérieurs.
b. Une mutation chromosomique qui raccourcit le chromosome 5.
c. L’interaction du thalidomide avec le développement de l’embryon.
d. Une mutation chromosomique touchant un autosome.

25) Sachant que le père et la mère sont hétérozygotes (gauche) et que seul le père est
hétérozygote (droite), les figures ci-dessous illustrent
a. Une maladie à transmission récessive à gauche comme à droite.
b. Une maladie à transmission dominante à gauche comme à droite.
c. Une maladie à transmission dominante (gauche) et une maladie à caractère récessive (droite)
d. Une maladie à transmission récessive (gauche) et une maladie à caractère dominante (droite)

26) La trisomie 21
a. A pour origine une duplication du chromosome 21 lors de la maturation des ovules.
b. A pour origine une malségrégation des chromosomes 21 lors de la mitose réductionnelle.
c. A pour origine une malségrégation des chromosomes 21 lors de la mitose équationnelle.
d. A pour origine une duplication du chromosome 21 lors de la maturation des spermatozoïdes.

22
2012 / 2013 - 2ÈME SESSION :

1) Les réactions de transcription, de respiration mitochondriale et de réplication sont


respectivement des réactions
a. De catabolisme, de destruction et d’anabolisme.
b. De biosynthèse, de synthèse et de catabolisme.
c. Catabolique, anabolique et « de synthèse ».
d. Anabolique, catabolique et « de synthèse ».

2) La formation de trois liaisons peptidiques


a. Nécessite trois molécules d’eau et lie le groupement NH2, de l’aa2 et le groupement COOH de
l’aa3.
b. Nécessite trois molécules d’eau et lie le groupement COOH de l’aa2 et le groupement NH2 de
l’aa3.
c. Génère trois molécules d’eau et lie le groupement COOH de l’aa2 et le groupement NH2 de
l’aa3.
d. Génère trois molécules d’eau et lie le groupement NH2 de l’aa2 et le groupement COOH de
l’aa3.

3) Les molécules importantes de la régulation de la calcémie sont


a. La PTH (hormone hypercalcémiate), la calcitonine (hormone activant la fonction
ostéoblastique) et la vitamine D (hormone hypercalcémiante).
b. La PTH et la calcitonine, deux hormones hypocalcémiantes, et la vitamine D3*, vitamine
exogène.
c. La PTH et la calcitonine, deux hormones hypercacémiantes, et la vitamine D3*, vitamine
exogène.
d. La PTH (hormone hypocalcémiate), la calcitonine (hormone activant la fonction ostéoclastique)
et la vitamine D (hormone hypercalcémiante).

*D2 ou D3 ?

4) La figure ci-dessous représente


a. Une molécule régulatrice de la transcription et présente uniquement chez les eucaryotes et les
procaryotes.
b. Une molécule appelée « doigt à magnésium », essentielle lors de l’activation de l’apoptose.
c. La molécule appelée « doigt à zinc », essentielle lors de la mitose.
d. Une molécule utilisée dans la régulation de l’expression génétique.

23
5) De gauche à droite, les molécules représentées ci-dessous sont
a. La vitamine D, l’insuline, le saccharose et le phosphate de calcium.
b. Le phosphate de calcium, l’insuline, le saccharose et la vitamine D.
c. Le phosphate de calcium, la vitamine D, l’insuline et le saccharose.
d. L’insuline, le saccharose, le phosphate de calcium et la vitamine D.

6) Les températures de fusion et d’ébullition anormalement élevées de l’eau sont dues


a. Aux liaisons hydrogènes intramoléculaires.
b. À la différence d’électronégativité entre O et H au sein d’une molécule d’eau.
c. Aux liaisons ioniques entre molécules d’eau.
d. Aux liaisons ioniques intermoléculaires, liaisons à briser lors de la fusion ou de l’ébullition.

7) Le fonctionnement des aquaporines est contrôlé par


a. La vasopressine ; le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine cause le
diabète insipide.
b. L’ADH : le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine cause le diabète sucré.
c. La vasopressine ; le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine génère une
réduction importante du volume des urines.
d. L’ADH ; le disfonctionnement du complexe aquaporine/ADH génère une diminution de la
sensation de soif.

8) La molécule ci-dessous
a. Est un acide polyinsaturé et a comme formule C18 : 3ω3, 6, 9
b. Est un acide saturé et a comme formule C18 : 3ω3, 6, 9
c. Est un acide gras polyinsaturé et a comme formule C18 : 3ω3, 6, 9
d. Est un acide gras saturé et a comme formule C18 : 3ω3, 6, 9

9) Dans les fluides intracellulaires, le rapport des concentrations en NA « /K » est


a. < 1, le sodium sortant de la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
b. > 1, le sodium sortant de la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
c. < 1, le sodium rentrant dans la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
d. > 1, le sodium rentrant dans la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.

24
10) La figure ci-dessous représente
a. Le caryotype d’une cellule diploïde en phase post S.
b. Le caryotype d’une cellule haploïde en phase post S.
c. Le caryotype d’une cellule haploïde en phase G1.
d. Le caryotype d’une cellule diploïde en phase G1.

11) La photo ci-dessous de gauche à droite


a. Le nucléole, le nucléoplasme, la membrane nucléaire et le cytoplasme avec un dictoyosome.
b. Le noyau, la membrane cytoplasmique, le milieu extracellulaire avec un corps en phase
d’endocytose.
c. Le nucléole et dans le cytoplasme, l’ensemble de l’appareil de Golgi.
d. Le nucléoplasme, la membrane nucléaire et, dans le cytoplasme, le réticulum endoplasmique
avec ribosomes et une mitochondrie.

25
12) Les deux figures ci-dessous
a. Illustrent le transport actif (gauche) et les fibres protéiques de connexions entre cellules
voisines.
b. Représentent les protéines responsables des transports extra-intracellulaires.
c. Illustrent, dans le cours, l’importance des mitochondries dans la production d’énergie cellulaire.
d. Représentent des filopodes (gauche), excroissances cytosquelettiques, et des protéines.
assurant la « rigidité » des microvilosités (droite).

13) En plaçant une cellule dans un milieu hypertonique


a. On risque la plasmolyse.
b. Les sels minéraux rentrent dans la cellule et l’eau en sort jusqu’à l’isotonie.
c. Les sels minéraux sortent de la cellule et l’eau rentre dans la cellule jusqu’à l’isotonie.
d. On accélère la sortie du sodium et l’entrée du potassium afin de maintenir le potentiel
électrochimique membranaire.

14) Lors de la transcription


a. L’entièreté du brin matrice de l’ADN est repliqué en ARN messager.
b. L’entièreté du brin codant de l’ADN est répliqué.
c. Le brin codant d’un fragment d’ADN est transcrit est ARN messager.
d. Le brin matrice (non-sens) d’un fragment d’ADN est transcrit.

15) Une cellule provenant d’un embryon d’une semaine d’âge


a. Est qualifiée de pluripotente.
b. Est qualifiée de totipotente et peut « théoriquement » lors d’une culture cellulaire, générer un
nouvel individu « complet ».
c. Contient l’ensemble des gènes de l’embryon ; certains gènes seront éliminés lors de la
différenciation cellulaire.
d. Est qualifiée de « souche » au même titre que les cellules différenciées d’un individu adulte.

16) Respectivement à gauche et à droite, nous observons


a. Des cellules en interphase.
b. Des cellules en prophase et des cellules en métaphase.
c. Des cellules en télophase et de cellules en anaphase.
d. Des cellules en anaphase et des cellules en télophase.

26
17) A l’issue de la réplication, une cellule à n = 8
a. Possède 32 brins d’ADN groupés deux par deux.
b. Possède 32 brins d’ADN indépendants l’un de l’autre.
c. Possède 16 chromosomes en forme de bâtonnet.
d. Possède 32 chromosomes en forme de X.

18) Dans la technique des anticorps monoclonaux


a. La métalloprotéase sert d’antigène pour fabriquer des anticorps capables de mettre en
évidence des métastases.
b. La métalloprotéase sert d’anticorps pour fabriquer des antigènes capables de mettre en
évidence des métastases.
c. Le terme « clone » se rapporte aux anticorps produits par un lymphocyte.
d. Le terme « clone » se rapporte aux antigènes produits par un lymphocyte.

19) L’apoptose
a. Est évitable, même lorsque les télomères sont usées après 50 divisions cellulaires.
b. Est la conséquence de la reconstruction des télomères.
c. Est une mort physiologique programmée génétiquement.
d. Est une mort brutale de la cellule normalement déclenchée lors de la perte de l’adressage
cellulaire.

20) La photo ci-dessous montre


a. L’endocytose cellulaire.
b. L’attaque d’un globule rouge par un anticorps.
c. L’action de la métalloprotéase sur la lame basale.
d. L’exocytose cellulaire.

27
21) La figure ci-dessous représente une mutation
a. Par substitution.
b. Par décalage du cadre de lecture ; son incidence est d’autant plus importante qu’elle a lieu au
début du gène.
c. Par addition.
d. Par décalage du cadre de lecture ; son incidence est d’autant moins importante qu’elle a lieu
au début du gène.

22) Un décalage dans le cadre de lecture est causé par


a. Une substitution.
b. Une délétion.
c. Une mutation chromosomique touchant un autosome.
d. Une mutation chromosomique touchant un chromosome sexuel.

23) L’arbre généalogique ci-dessous représente


a. Une mutation hétérosomique et dominante.
b. Une mutation autosomique et dominante.
c. Une mutation hétérosomique et récessive.
d. Une mutation autosomique et récessive.

24) La trisomie 21
a. A pour origine une duplication du chromosome 21 lors de la maturation des ovules.
b. A pour origine une malségrégation des chromosomes 21 lors de la mitose réductionnelle.
c. A pour origine une malségrégation des chromosomes 21 lors de la mitose équationnelle.
d. A pour origine une duplication du chromosome 21 lors de la maturation des spermatozoïdes.

28
25) Chez l’homme, la spermatogenèse est déclenchée
a. Par l’action de la testostérone et de la protéine liante, hormone produite par le système
hypothalamo-hypophysaire.
b. Par l’action conjointe de l’hormone luténisante (produite par les cellules de Leydig) et de
l’hormone foliculostimulante (produite par les cellules de Sertoli).
c. Par l’action conjointe de la testostérone et de la protéine liante, deux hormones produites par
le système hypothalamo-hypophysaire.
d. Par l’action conjointe de la testostérone (produite par les cellules de Leydig) et de la protéine
liante (produite par les cellules de Sertoli).

26) La différenciation des crêtes génitales masculines est possible


a. Lors de l’activation du gène SRY au début de la 7ème semaine qui suit la fécondation.
b. Lors de l’inactivation du gène SRY au début de la 7ème semaine qui suit la fécondation.
c. Grâce à la répression du gène SRY présent sur le chromosome Y.
d. Grâce au gène SRY présent sur le chromosome X.

27) L’atrésie
a. Touche plus les spermatozoïdes que les ovules.
b. Touche uniquement les cellules sexuelles de l’homme.
c. Touche uniquement les cellules sexuelles de la femme.
d. Touche autant les cellules sexuelles de la femme que celle de l’homme.

28) Le pouvoir de résolution du ME est supérieur à celui du MO car


a. La longueur d’onde d’un faisceau électronique est largement inférieure à celle d’un faisceau de
photons.
b. La longueur d’onde d’un faisceau électronique est largement supérieure à celle d’un faisceau
de photons.
c. Les lentilles des ME ont une capacité de grossissement supérieure à celle du MO.
d. Les lentilles des ME ont une capacité de grossissement inférieure à celle du MO.

29) Le pemphigus
a. Est une maladie auto-immune de la peau (maladie bulleuse).
b. Est une pathologie qui induit un « raidissement » du derme.
c. Est une pathologie du tissu conjonctif adipeux.
d. Est une pathologie du tissu conjonctif osseux.

29
30) Les photos ci-dessous illustrent
a. Des fibres musculaires squelettiques au MET (gauche) et au MEB (droite).
b. Des fibres nerveuses au MET (gauche) et au MEB (droite).
c. Des fibres musculaires squelettiques au MEB (gauche) et au MET (droite).
d. Des fibres nerveuses au MEB (gauche) et au MET (droite).

30
2012 / 2013 - 1ÈRE SESSION :

1) Les réactions de transcription, de respiration mitochondriale et de réplication sont


respectivement des réactions
a. De catabolisme, de destruction et d’anabolisme.
b. De biosynthèse, de synthèse et de catabolisme.
c. Catabolique, anabolique et « de synthèse ».
d. Anabolique, catabolique et « de synthèse ».

2) La formation d’une liaison peptidique


a. Nécessite une molécule d’eau et lie le groupement NH2, de l’aa1 et le groupement COOH de
l’aa2.
b. Nécessite une molécule d’eau et lie le groupement COOH de l’aa1 et le groupement NH2 de
l’aa2.
c. Génère une molécule d’eau et lie le groupement COOH de l’aa1 et le groupement NH2 de
l’aa2.
d. Génère une molécule d’eau et lie le groupement NH2 de l’aa1 et le groupement COOH de
l’aa2.

3) Les molécules importantes de la régulation de la calcémie sont


a. La PTH (hormone hypercalcémiante), la calcitonine (hormone activant la fonction
ostéoblastique) et la vitamine D (hormone hypercalcémiante).
b. La PTH et la calcitonine, deux hormones hypocalcémiantes, et la vitamine D3*, vitamine
exogène.
c. La PTH et la calcitonine, deux hormones hypercacémiantes, et la vitamine D3*, vitamine
exogène.
d. La PTH (hormone hypocalcémiante), la calcitonine (hormone activant la fonction
ostéoclastique) et la vitamine D (hormone hypercalcémiante).

*D2 ou D3 ?

4) La figure ci-dessous représente


a. Une molécule régulatrice de la transcription et présente uniquement chez les eucaryotes et les
procaryotes.
b. Une molécule appelée « doigt à magnésium », essentielle lors de l’activation de l’apoptose.
c. La molécule appelée « doigt à zinc », essentielle lors de la mitose.
d. Une molécule utilisée dans la régulation de l’expression génétique.

31
5) De gauche à droite, les molécules représentées ci-dessous sont
a. La leucine, la galactose, un acide gras insaturé et un constituant membranaire.
b. Un acide aminé, un sucre, un lipide et le cholestérol.
c. Un sucre, un cycle aromatique, un acide gras et une protéine.
d. La leucine, un sucre, un acide gras saturé et le cholestérol.

6) Les températures de fusion et d’ébullition anormalement élevées de l’eau sont dues


a. Aux liaisons hydrogènes intramoléculaires.
b. À la différence d’électronégativité entre O et H au sein d’une molécule d’eau.
c. Aux liaisons ioniques entre molécules d’eau.
d. Aux liaisons ioniques intermoléculaires, liaisons à briser lors de la fusion ou de l’ébullition.

7) Le fonctionnement des aquaporines est contrôlé par


a. La vasopressine ; le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine cause le
diabète insipide.
b. L’ADH : le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine cause le diabète sucré.
c. La vasopressine ; le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine génère une
réduction importante du volume des urines.
d. L’ADH ; le disfonctionnement du complexe aquaporine/ADH génère une diminution de la
sensation de soif.

8) …

9) Dans les fluides extracellulaires, le rapport des concentrations en NA « /K » est


a. < 1, le sodium sortant de la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
b. > 1, le sodium sortant de la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
c. < 1, le sodium rentrant dans la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
d. > 1, le sodium rentrant dans la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.

32
10) La figure ci-dessous représente
a. Le caryotype d’une cellule diploïde d’un homme en phase post S.
b. Le caryotype d’une cellule haploïde d’un homme en phase post S.
c. Le caryotype d’une cellule haploïde d’un homme en phase G1.
d. Le caryotype d’une cellule diploïde en phase G1.

11) La photo ci-dessous de gauche à droite


a. Le nucléole, le nucléoplasme, la membrane nucléaire et le cytoplasme avec un dictoyosome.
b. Le noyau, la membrane cytoplasmique, le milieu extracellulaire avec un corps en phase
d’endocytose.
c. Le nucléole, le nucléoplasme, la membrane nucléaire et, dans le cytoplasme, l’ensemble de
l’appareil de Golgi.
d. Le nucléole, le nucléoplasme, la membrane nucléaire et dans le cytoplasme, le réticulum
endoplasmique.

33
12) Les deux figures ci-dessous
a. Illustrent le transport actif (gauche) et les fibres protéiques de connexions entre cellules
voisines.
b. Représentent les protéines responsables des transports extra-intracellulaires.
c. Illustrent, dans le cours, l’importance des mitochondries dans la production d’énergie cellulaire.
d. Représentent des filopodes (gauche), excroissances cytosquelettiques, et des protéines.
assurant la « rigidité » des microvilosités (droite).

13) En plaçant une cellule dans un milieu hypotonique


a. On risque la plasmolyse.
b. Les sels minéraux rentrent dans la cellule et l’eau en sort jusqu’à l’isotonie.
c. Les sels minéraux sortent de la cellule et l’eau rentre dans la cellule jusqu’à l’isotonie.
d. On accélère la sortie du sodium et l’entrée du potassium afin de maintenir le potentiel
électrochimique membranaire.

14) Lors de la transcription


a. L’entièreté du brin matrice de l’ADN est repliqué en ARN messager.
b. L’entièreté du brin codant de l’ADN est répliqué.
c. Le brin codant d’un fragment d’ADN est transcrit est ARN messager.
d. Le brin matrice (non-sens) d’un fragment d’ADN est transcrit.

15) Une cellule provenant d’un embryon d’une semaine d’âge


a. Est qualifiée de pluripotente.
b. Est qualifiée de totipotente et peut « théoriquement » lors d’une culture cellulaire, générer un
nouvel individu « complet ».
c. Contient l’ensemble des gènes de l’embryon ; certains gènes seront éliminés lors de la
différenciation cellulaire.
d. Est qualifiée de « souche » au même titre que les cellules différenciées d’un individu adulte.

34
16) Respectivement à gauche et à droite, nous observons
a. Des cellules en prophase et des cellules en métaphase : ces cellules sont toutes en
interphase.
b. Des cellules en prophase et des cellules en métaphase.
c. Des cellules en métaphase et des cellules en fin d’anaphase : ces cellules sont toutes en
interphase.
d. Des cellules en métaphase et de cellules en fin d’anaphase.

17) A l’issue de la réplication, une cellule à n = 7


a. Possède 14 brins d’ADN.
b. Possède 28 brins d’ADN indépendants l’un de l’autre.
c. Possède 14 chromosomes en forme de bâtonnet.
d. Possède 28 chromosomes en forme de X.

18) Dans la technique des anticorps monoclonaux


a. La métalloprotéase sert d’antigène pour fabriquer des anticorps capables de mettre en
évidence des métastases.
b. La métalloprotéase sert d’anticorps pour fabriquer des antigènes capables de mettre en
évidence des métastases.
c. Le terme « clone » se rapporte aux anticorps produits par un lymphocyte.
d. Le terme « clone » se rapporte aux antigènes produits par un lymphocyte.

19) L’apoptose
a. Est évitable, même lorsque les télomères sont usées après 50 divisions cellulaires.
b. Est la conséquence de la reconstruction des télomères.
c. Est une mort physiologique programmée génétiquement.
d. Est une mort brutale de la cellule normalement déclenchée lors de la perte de l’adressage
cellulaire.

35
20) La molécule ci-dessous (regarder les atomes symboliques de la fonction inférieure de la
molécule) joue un rôle préventif sur le développement d’un cancer. Il s’agit de
a. La lame basale.
b. La télomérase.
c. La métalloprotéase.
d. L’acétylsalcylique.

21) …

22) Un décalage dans le cadre de lecture est causé par


a. Une substitution.
b. Une délétion.
c. Une mutation chromosomique touchant un autosome.
d. Une mutation chromosomique touchant un chromosome sexuel.

23) Sachant que le père et la mère sont hétérozygotes (gauche) et que seul le père est
hétérozygote (droite), les figures ci-dessous illustrent
a. Une maladie à transmission récessive à gauche comme à droite.
b. Une maladie à transmission dominante à gauche comme à droite.
c. Une maladie à transmission dominante (gauche) et une maladie à caractère récessive (droite).
d. Une maladie à transmission récessive (gauche) et une maladie à caractère dominante (droite).

24) La trisomie 21
a. A pour origine une duplication du chromosome 21 lors de la maturation des ovules.
b. A pour origine une malségrégation des chromosomes 21 lors de la mitose réductionnelle.
c. A pour origine une malségrégation des chromosomes 21 lors de la mitose équationnelle.
d. A pour origine une duplication du chromosome 21 lors de la maturation des spermatozoïdes.

36
25) Chez l’homme, la spermatogenèse est déclenchée
a. Par l’action de la testostérone et de la protéine liante, hormone produite par le système
hypothalamo-hypophysaire.
b. Par l’action conjointe de l’hormone luténisante (produite par les cellules de Leydig) et de
l’hormone foliculostimulante (produite par les cellules de Sertoli).
c. Par l’action conjointe de la testostérone et de la protéine liante, deux hormones produites par
le système hypothalamo-hypophysaire.
d. Par l’action conjointe de la testostérone (produite par les cellules de Leydig) et de la protéine
liante (produite par les cellules de Sertoli).

26) La différenciation des crêtes génitales masculines est possible


a. Lors de l’activation du gène SRY au début de la 7ème semaine qui suit la fécondation.
b. Lors de l’inactivation du gène SRY au début de la 7ème semaine qui suit la fécondation.
c. Grâce à la répression du gène SRY présent sur le chromosome Y.
d. Grâce au gène SRY présent sur le chromosome X.

27) L’atrésie
a. Touche plus les spermatozoïdes que les ovules.
b. Touche uniquement les cellules sexuelles de l’homme.
c. Touche uniquement les cellules sexuelles de la femme.
d. Touche autant les cellules sexuelles de la femme que celle de l’homme.

28) Le pouvoir de résolution du ME est supérieur à celui du MO car


a. La longueur d’onde d’un faisceau électronique est largement inférieure à celle d’un faisceau de
photons.
b. La longueur d’onde d’un faisceau électronique est largement supérieure à celle d’un faisceau
de photons.
c. Les lentilles des ME ont une capacité de grossissement supérieure à celle du MO.
d. Les lentilles des ME ont une capacité de grossissement inférieure à celle du MO.

29) Le pemphigus
a. Est une maladie auto-immune de la peau (maladie bulleuse).
b. Est une pathologie qui induit un « raidissement » du derme.
c. Est une pathologie du tissu conjonctif adipeux.
d. Est une pathologie du tissu conjonctif osseux.

37
30) Les photos ci-dessous illustrent
a. Des fibres musculaires squelettiques au MET (gauche) et au MEB (droite).
b. Des fibres nerveuses au MET (gauche) et au MEB (droite).
c. Des fibres musculaires squelettiques au MEB (gauche) et au MET (droite).
d. Des fibres nerveuses au MEB (gauche) et au MET (droite).

38
PARTIE 2 :
SYNTHÈSE
DES ANNALES
CORRIGÉES

39
Les réactions de transcription, de respiration mitochondriale et de réplication sont
respectivement des réactions
a. De catabolisme, de destruction et d’anabolisme.
b. De biosynthèse, de synthèse et de catabolisme.
c. Catabolique, anabolique et « de synthèse ».
d. Anabolique, catabolique et « de synthèse ».

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 1 1 1

=> PARTIE 2 : ORGANISATION ou SYNTHÈSE PROTEIQUE

La formation d’une liaison peptidique


a. Nécessite une molécule d’eau et lie le groupement NH2, de l’aa1 et le groupement COOH de
l’aa2.
b. Nécessite une molécule d’eau et lie le groupement COOH de l’aa1 et le groupement NH2 de
l’aa2.
c. Génère une molécule d’eau et lie le groupement COOH de l’aa1 et le groupement NH2 de
l’aa2.
d. Génère une molécule d’eau et lie le groupement NH2 de l’aa1 et le groupement COOH de
l’aa2.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 2 2

=> PARTIE 2 : ORGANISATION ou SYNTHÈSE PROTEIQUE

La formation de trois liaisons peptidiques


a. Nécessite trois molécules d’eau et lie le groupement NH2, de l’aa2 et le groupement COOH de
l’aa3.
b. Nécessite trois molécules d’eau et lie le groupement COOH de l’aa2 et le groupement NH2 de
l’aa3.
c. Génère trois molécules d’eau et lie le groupement COOH de l’aa2 et le groupement NH2 de
l’aa3.
d. Génère trois molécules d’eau et lie le groupement NH2 de l’aa2 et le groupement COOH de
l’aa3.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 2

=> PARTIE 2 : ORGANISATION ou SYNTHÈSE PROTEIQUE

40
Les molécules importantes de la régulation de la calcémie sont
a. La PTH (hormone hypercalcémiante), la calcitonine (hormone activant la fonction
ostéoblastique) et la vitamine D (hormone hypercalcémiante).
b. La PTH et la calcitonine, deux hormones hypocalcémiantes, et la vitamine D3*, vitamine
exogène.
c. La PTH et la calcitonine, deux hormones hypercalcémiantes, et la vitamine D3*, vitamine
exogène.
d. La PTH (hormone hypocalcémiante), la calcitonine (hormone activant la fonction
ostéoclastique) et la vitamine D (hormone hypercalcémiante).

*D2 ou D3 ?

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 3 3 3 7

=> PARTIE 2 : ORGANISATION

La figure ci-dessous représente


a. Une molécule régulatrice de la transcription et présente uniquement chez les eucaryotes et les
procaryotes.
b. Une molécule appelée « doigt à magnésium », essentielle lors de l’activation de l’apoptose.
c. La molécule appelée « doigt à zinc », essentielle lors de la mitose.
d. Une molécule utilisée dans la régulation de l’expression génétique.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 4 4 4

=> PARTIE 2 : ORGANISATION

41
De gauche à droite, les molécules représentées ci-dessous sont
a. La leucine, la galactose, un acide gras insaturé et un constituant membranaire.
b. Un acide aminé, un sucre, un lipide et le cholestérol.
c. Un sucre, un cycle aromatique, un acide gras et une protéine.
d. La leucine, un sucre, un acide gras saturé et le cholestérol.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 5 5

=> PARTIE 3 : ORGANISATION

De gauche à droite, les molécules représentées ci-dessous sont


a. La vitamine D, l’insuline, le saccharose et le phosphate de calcium.
b. Le phosphate de calcium, l’insuline, le saccharose et la vitamine D.
c. Le phosphate de calcium, la vitamine D, l’insuline et le saccharose.
d. L’insuline, le saccharose, le phosphate de calcium et la vitamine D.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 5

=> PARTIE 3 : ORGANISATION

42
Les températures de fusion et d’ébullition anormalement élevées de l’eau sont dues
a. Aux liaisons hydrogènes intramoléculaires.
b. À la différence d’électronégativité entre O et H au sein d’une molécule d’eau.
c. Aux liaisons ioniques entre molécules d’eau.
d. Aux liaisons ioniques intermoléculaires, liaisons à briser lors de la fusion ou de l’ébullition.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 6 6 6

=> PARTIE 3 : ORGANISATION

Le fonctionnement des aquaporines est contrôlé par


a. La vasopressine : le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine cause le
diabète insipide.
b. L’ADH : le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine cause le diabète sucré.
c. La vasopressine : le disfonctionnement du complexe aquaporine/vasopressine génère une
réduction importante du volume des urines.
d. L’ADH : le disfonctionnement du complexe aquaporine/ADH génère une diminution de la
sensation de soif.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 7 7 7 10

=> PARTIE 2 : ORGANISATION

La molécule ci-dessous
a. Est un acide polyinsaturé et a comme formule C18 : 3ω3, 6, 9
b. Est un acide saturé et a comme formule C18 : 3ω3, 6, 9
c. Est un acide gras polyinsaturé et a comme formule C18 : 3ω3, 6, 9
d. Est un acide gras saturé et a comme formule C18 : 3ω3, 6, 9

=> PARTIE 2 : ORGANISATION

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 8 11

43
Dans les fluides extracellulaires, le rapport des concentrations en NA « /K » est
a. < 1, le sodium sortant de la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
b. > 1, le sodium sortant de la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
c. < 1, le sodium rentrant dans la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
d. > 1, le sodium rentrant dans la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 9 8 12

=> PARTIE 3 : ORGANISATION ou CYTOLOGIE

Dans les fluides intracellulaires, le rapport des concentrations en NA « /K » est


a. < 1, le sodium sortant de la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
b. > 1, le sodium sortant de la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
c. < 1, le sodium rentrant dans la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.
d. > 1, le sodium rentrant dans la cellule par le transport actif, consommateur d’énergie.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 9

=> PARTIE 3 : ORGANISATION ou CYTOLOGIE

44
La figure ci-dessous représente
a. Le caryotype d’une cellule diploïde d’un homme en phase post S.
b. Le caryotype d’une cellule haploïde d’un homme en phase post S.
c. Le caryotype d’une cellule haploïde d’un homme en phase G1.
d. Le caryotype d’une cellule diploïde en phase G1.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 10 9

=> PARTIE 6 : CYCLE CELLULAIRE

45
La figure ci-dessous représente
a. Le caryotype d’une cellule diploïde en phase post S.
b. Le caryotype d’une cellule haploïde en phase post S.
c. Le caryotype d’une cellule haploïde en phase G1.
d. Le caryotype d’une cellule diploïde en phase G1.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 10

=> PARTIE 6 : CYCLE CELLULAIRE

46
La figure ci-dessous représente
a. Le caryotype d’une cellule diploïde en phase post S.
b. Le caryotype d’une cellule haploïde en phase post S.
c. Le caryotype d’une cellule haploïde en phase G1.
d. Le caryotype d’une cellule diploïde en phase G1.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 13

=> PARTIE 6 : CYCLE CELLULAIRE ou PARTIE 3 : CYTOLOGIE ?

La photo ci-dessous représente, de gauche à droite


a. Le nucléole, le nucléoplasme, la membrane nucléaire et le cytoplasme avec un dictoyosome.
b. Le noyau, la membrane cytoplasmique, le milieu extracellulaire avec un corps en phase
d’endocytose.
c. Le nucléole, le nucléoplasme, la membrane nucléaire et, dans le cytoplasme, l’ensemble de
l’appareil de Golgi.
d. Le nucléole, le nucléoplasme, la membrane nucléaire et dans le cytoplasme, le réticulum
endoplasmique.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 11 10

=> PARTIE 4 : CYTOLOGIE

47
La photo ci-dessous de gauche à droite
a. Le nucléole, le nucléoplasme, la membrane nucléaire et le cytoplasme avec un dictoyosome.
b. Le noyau, la membrane cytoplasmique, le milieu extracellulaire avec un corps en phase
d’endocytose.
c. Le nucléole et dans le cytoplasme, l’ensemble de l’appareil de Golgi.
d. Le nucléoplasme, la membrane nucléaire et, dans le cytoplasme, le réticulum endoplasmique
avec ribosomes et une mitochondrie.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 11

=> PARTIE 4 : CYTOLOGIE

Les deux figures ci-dessous


a. Illustrent le transport actif (gauche) et les fibres protéiques de connexions entre cellules
voisines.
b. Représentent les protéines responsables des transports extra-intracellulaires.
c. Illustrent, dans le cours, l’importance des mitochondries dans la production d’énergie cellulaire.
d. Représentent des filopodes (gauche), excroissances cytosquelettiques, et des protéines.
assurant la « rigidité » des microvilosités (droite).

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 12 12 11

48
=> PARTIE 4 : CYTOLOGIE

En plaçant une cellule dans un milieu hypotonique


a. On risque la plasmolyse.
b. Les sels minéraux rentrent dans la cellule et l’eau en sort jusqu’à l’isotonie.
c. Les sels minéraux sortent de la cellule et l’eau rentre dans la cellule jusqu’à l’isotonie.
d. On accélère la sortie du sodium et l’entrée du potassium afin de maintenir le potentiel
électrochimique membranaire.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 13 13 12

=> PARTIE 4 : CYTOLOGIE ?

Lors de la transcription
a. L’entièreté du brin matrice de l’ADN est répliqué en ARN messager.
b. L’entièreté du brin codant de l’ADN est répliqué.
c. Le brin codant d’un fragment d’ADN est transcrit en ARN messager.
d. Le brin matrice (non-sens) d’un fragment d’ADN est transcrit.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 14 14 13 17

=> PARTIE 5 : SYNTHÈSE DES PROTÉINES

Une cellule provenant d’un embryon d’une semaine d’âge


a. Est qualifiée de pluripotente.
b. Est qualifiée de totipotente et peut « théoriquement » lors d’une culture cellulaire, générer un
nouvel individu « complet ».
c. Contient l’ensemble des gènes de l’embryon ; certains gènes seront éliminés lors de la
différenciation cellulaire.
d. Est qualifiée de « souche » au même titre que les cellules différenciées d’un individu adulte.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 15 15 14 18

=> PARTIE 5 : SYNTHÈSE DES PROTÉINES

49
Respectivement à gauche et à droite, nous observons
a. Des cellules en prophase et des cellules en métaphase : ces cellules sont toutes en
interphase.
b. Des cellules en prophase et des cellules en métaphase.
c. Des cellules en métaphase et des cellules en fin d’anaphase : ces cellules sont toutes en
interphase.
d. Des cellules en métaphase et de cellules en fin d’anaphase.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 16 15

=> PARTIE 6 : CYCLE CELLULAIRE

Respectivement à gauche et à droite, nous observons


a. Des cellules en interphase.
b. Des cellules en prophase et des cellules en métaphase.
c. Des cellules en télophase et de cellules en anaphase.
d. Des cellules en anaphase et des cellules en télophase.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 16 19

=> PARTIE 6 : CYCLE CELLULAIRE

50
A l’issue de la réplication, une cellule à n = 7
a. Possède 14 brins d’ADN.
b. Possède 28 brins d’ADN indépendants l’un de l’autre.
c. Possède 14 chromosomes en forme de bâtonnet.
d. Possède 28 chromosomes en forme de X.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 17 16

=> PARTIE 5 : CYCLE CELLULAIRE

A l’issue de la réplication, une cellule à n = 8


a. Possède 32 brins d’ADN groupés deux par deux.
b. Possède 32 brins d’ADN indépendants l’un de l’autre.
c. Possède 16 chromosomes en forme de bâtonnet.
d. Possède 32 chromosomes en forme de X.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 17

=> PARTIE 5 : CYCLE CELLULAIRE

A l’issue de la réplication, une cellule à n = 5


a. Possède 20 brins d’ADN groupés deux par deux.
b. Possède 20 brins d’ADN indépendants l’un de l’autre.
c. Possède 10 chromosomes en forme de bâtonnet.
d. Possède 10 chromatides soeurs.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 20

=> PARTIE 5 : CYCLE CELLULAIRE

Les réticulocytes
a. Sont les cellules dermiques à l’origine des fibres de collagène d’élastine.
b. Sont des cellules différenciées situées dans la moëlle épinière.
c. Sont considérés des cellules souches.
d. Sont des cellules différenciées situées dans la moëlle osseuse.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 17

51
=> PARTIE 5 : CYCLE CELLULAIRE

Dans la technique des anticorps monoclonaux


a. La métalloprotéase sert d’antigène pour fabriquer des anticorps capables de mettre en
évidence des métastases.
b. La métalloprotéase sert d’anticorps pour fabriquer des antigènes capables de mettre en
évidence des métastases.
c. Le terme « clone » se rapporte aux anticorps produits par un lymphocyte.
d. Le terme « clone » se rapporte aux antigènes produits par un lymphocyte.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 18 18 18 21

L’apoptose
a. Est évitable, même lorsque les télomères sont usées après 50 divisions cellulaires.
b. Est la conséquence de la reconstruction des télomères.
c. Est une mort physiologique programmée génétiquement.
d. Est une mort brutale de la cellule normalement déclenchée lors de la perte de l’adressage
cellulaire.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 19 19 19 26 22

=> PARTIE : CYCLE CELLULAIRE

La molécule ci-dessous (regarder les atomes symboliques de la fonction inférieure de la


molécule) joue un rôle préventif sur le développement d’un cancer. Il s’agit de
a. La lame basale.
b. La télomérase.
c. La métalloprotéase.
d. L’acétylsalcylique.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 20 22

52
La photo ci-dessous montre
a. L’endocytose cellulaire.
b. L’attaque d’un globule rouge par un anticorps.
c. L’action de la métalloprotéase sur la lame basale.
d. L’exocytose cellulaire.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 20 23

=> PARTIE 3 : CYTOLOGIE ?

Une cycline et le facteur de croissance épidermique régulent


a. L’harmonie dans l’expression des proto-oncogènes.
b. L’harmonie dans l’expression des anti-oncogènes.
c. Respectivement la vitesse du cycle et le passage d’une phase du cycle cellulaire à l’autre.
d. Respectivement le passage d’une phase du cycle cellulaire à l’autre et la vitesse du cycle.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 20 27

=> PARTIE : CYCLE CELLULAIRE

53
La figure ci-dessous représente une mutation
a. Par substitution.
b. Par décalage du cadre de lecture ; son incidence est d’autant plus importante qu’elle a lieu au
début du gène.
c. Par addition.
d. Par décalage du cadre de lecture ; son incidence est d’autant moins importante qu’elle a lieu
au début du gène.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 21 24

=> PARTIE 7 : MUTATION

Bcl2 est une cycline qui frêne l’apoptose et p53 contrôle l’état de santé des cellules. Ces
cyclines sont
a. Un anti-oncogène pour la première et un proto-oncogène pour la seconde.
b. Un proto-oncogène pour la première et un anti-oncogène pour la seconde.
c. Deux anti-oncogènes et leurs gènes sont susceptibles de muter.
d. Deux proto-oncogènes et leurs gènes sont susceptibles de muter.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 21

=> PARTIE : CYCLE CELLULAIRE

54
Un décalage dans le cadre de lecture est causé par
a. Une substitution.
b. Une délétion.
c. Une mutation chromosomique touchant un autosome.
d. Une mutation chromosomique touchant un chromosome sexuel.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 22 22 23 25

=> PARTIE : MUTATION ET MALFORMATIONS

Sachant que le père et la mère sont hétérozygotes (gauche) et que seul le père est
hétérozygote (droite), les figures ci-dessous illustrent
a. Une maladie à transmission récessive à gauche comme à droite.
b. Une maladie à transmission dominante à gauche comme à droite.
c. Une maladie à transmission dominante (gauche) et une maladie à caractère récessive (droite).
d. Une maladie à transmission récessive (gauche) et une maladie à caractère dominante (droite).

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 23

=> PARTIE 7 : MUTATION

55
Sachant que le père et la mère sont hétérozygotes (gauche) et que seul le père est
hétérozygote (droite), les figures ci-dessous illustrent
a. Une maladie à transmission récessive à gauche comme à droite.
b. Une maladie à transmission dominante à gauche comme à droite.
c. Une maladie à transmission dominante (gauche) et une maladie à caractère récessive (droite).
d. Une maladie à transmission récessive (gauche) et une maladie à caractère dominante (droite).

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 25

=> PARTIE 7 : MUTATION

L’arbre généalogique ci-dessous représente


a. Une mutation hétérosomique et dominante.
b. Une mutation autosomique et dominante.
c. Une mutation hétérosomique et récessive.
d. Une mutation autosomique et récessive.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 23 26

=> PARTIE 7 : MUTATION

56
Dans cet arbre généalogique, la mutation (représentée par la couleur noire)
a. Est récessive et autosomique.
b. Est dominante et autosomique.
c. Est dominante et hétérosomique.
d. Est récessive et hétérosomique.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 21

=> PARTIE 7 : MUTATION

La trisomie 21
a. A pour origine une duplication du chromosome 21 lors de la maturation des ovules.
b. A pour origine une malségrégation des chromosomes 21 lors de la mitose réductionnelle.
c. A pour origine une malségrégation des chromosomes 21 lors de la mitose équationnelle.
d. A pour origine une duplication du chromosome 21 lors de la maturation des spermatozoïdes.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 24 24 26 27

=> PARTIE 7 : MUTATION

L’origine de la phocomélie est


a. Une substitution sur un gène important pour le développement des membres supérieurs.
b. Une mutation chromosomique qui raccourcit le chromosome 5.
c. L’interaction du thalidomide avec le développement de l’embryon.
d. Une mutation chromosomique touchant un autosome.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 24 23

=> PARTIE 7 : MUTATION

57
Chez l’homme, la spermatogenèse est déclenchée
a. Par l’action de la testostérone et de la protéine liante, hormone produite par le système
hypothalamo-hypophysaire.
b. Par l’action conjointe de l’hormone luténisante (produite par les cellules de Leydig) et de
l’hormone foliculostimulante (produite par les cellules de Sertoli).
c. Par l’action conjointe de la testostérone et de la protéine liante, deux hormones produites par
le système hypothalamo-hypophysaire.
d. Par l’action conjointe de la testostérone (produite par les cellules de Leydig) et de la protéine
liante (produite par les cellules de Sertoli).

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 25 25

La différenciation des crêtes génitales masculines est possible


a. Lors de l’activation du gène SRY au début de la 7ème semaine qui suit la fécondation.
b. Lors de l’inactivation du gène SRY au début de la 7ème semaine qui suit la fécondation.
c. Grâce à la répression du gène SRY présent sur le chromosome Y.
d. Grâce au gène SRY présent sur le chromosome X.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 26 26

L’atrésie
a. Touche plus les spermatozoïdes que les ovules.
b. Touche uniquement les cellules sexuelles de l’homme.
c. Touche uniquement les cellules sexuelles de la femme.
d. Touche autant les cellules sexuelles de la femme que celle de l’homme.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 27 27

58
Le pouvoir de résolution du ME est supérieur à celui du MO car
a. La longueur d’onde d’un faisceau électronique est largement inférieure à celle d’un faisceau de
photons.
b. La longueur d’onde d’un faisceau électronique est largement supérieure à celle d’un faisceau
de photons.
c. Les lentilles des ME ont une capacité de grossissement supérieure à celle du MO.
d. Les lentilles des ME ont une capacité de grossissement inférieure à celle du MO.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 28 28

=> PARTIE 1 : ORIGINE ?

Le pemphigus
a. Est une maladie auto-immune de la peau (maladie bulleuse).
b. Est une pathologie qui induit un « raidissement » du derme.
c. Est une pathologie du tissu conjonctif adipeux.
d. Est une pathologie du tissu conjonctif osseux.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 29 29

=> PARTIE 7 : MUTATION ?

59
Les photos ci-dessous illustrent
a. Des fibres musculaires squelettiques au MET (gauche) et au MEB (droite).
b. Des fibres nerveuses au MET (gauche) et au MEB (droite).
c. Des fibres musculaires squelettiques au MEB (gauche) et au MET (droite).
d. Des fibres nerveuses au MEB (gauche) et au MET (droite).

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 30 30

La molécule ci-dessous
a. Est un hexose.
b. Est un combustible essentiel pour la cellule (production d’ATP).
c. Appartient à la famille des lipides.
d. Est impliquée dans la composition de l’ADN.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 7

=> PARTIE 2 : ORGANISATION ou CYTOLOGIE ?

60
La formule de la molécule ci-dessous est
a. C17 ω3, 6, 9
b. C18 ω3, 6, 9
c. C18 ω3, 15, 12
d. C17 ω3, 15, 12

SCHÉMA (mais n’est pas sur l’annale)

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 8

=> PARTIE 2 : ORGANISATION ?

La cellule ci-dessous
a. A un n = 4.
b. Est en phase prophasique.
c. Est en phase télophasique.
d. Est diploïde.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 18

=> PARTIE 6 : CYCLE CELLULAIRE

La télomérase
a. Permet aux cellules cancéreuses de dissoudre la terre basale.
b. Permet aux cellules cancéreuses de pénétrer dans le système circulatoire.
c. Reconstitue les télomères après chaque division cellulaire.
d. Une des télomères après chaque division cellulaire.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 19

=> PARTIE 6 : CYCLE CELLULAIRE ?

61
Lors de cette mutation la délétion du nucléotide « G »
a. N’introduit aucun modification dans la protéine ; on parle de mutation silencieuse.
b. Produit un décalage dans le cadre de lecture.
c. Introduit une modification d’un seul acide aminé.
d. Introduit un décalage dans le cadre de lecture, en amont du lieu de délétion.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 20

=> PARTIE 7 : MUTATION

La trisomie 21 est due à une non ségrégation des chromosomes 21


a. Lors de l’anaphase de la division réductionnelle.
b. Lors de l’anaphase de la division équationnelle.
c. Lors de la télophase de la division équationnelle.
d. Lors de la télophase de la division réductionnelle.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 22

=> PARTIE 7 : MUTATION

Si une mère est séropositive


a. Un enfant sur trois aura la malchance de développer le SIDA.
b. Il n’y a aucune malchance que son enfant développe le SIDA par transmission
transplacentaire.
c. Il n’y a aucune malchance que son enfant développe le SIDA par transmission « par parfum ».
d. Tous ces enfants développeront la pathologie.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 24

=> PARTIE 7 : MUTATION

62
Dans une cellule en méïose, si la quantité d’ADN en G2, de 4C, les cellules haploïdes sont
a. En 8 C.
b. En 6 C.
c. En 2 C.
d. En 1 C.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 25

=> PARTIE 8 : MEIOSE ET GAMÉTOGENÈSE

63
La figure ci-dessous montre
a. Le hatching et l’insertion du syncynophoblase dans le tissu endométrial.
b. Le hatching et l’insertion du bouton embryonnaire dans le tissu endométrial.
c. L’ovulation et la phase de …dation.
d. L’ovulation et la phase d’imprégnation.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 28

=> PARTIE 9 : EMBRYOLOGIE

Le placenta
a. Est strictement d’origine embryonnaire.
b. Est strictement d’origine maternelle.
c. Est à la fois d’origine embryonnaire (caduque basillaire) et d’origine maternelle (chorion
villeux).
d. Est à la fois d’origine embryonnaire (chorion villeux) et d’origine maternelle (caduque
basillaire).

Caduque basillaire = maternelle

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 29

=> PARTIE 9 : EMBRYOLOGIE

64
Le schéma ci-dessous montre
a. La différenciation des cellules mésoblastiques et leur positionnement entre les cellules
ectoblastiques (au dessus) et les cellules endoblastiques (en dessous)
b. La différenciation des cellules mésoblastiques et leur positionnement entre les cellules
ectoblastiques (en dessous) et les cellules endoblastiques (au dessus)
c. La différenciation des cellules ectoblastiques et leur positionnement entre les cellules
mésoblastiques (en dessous) et les cellules endoblastiques (au dessus)
d. La différenciation des cellules endoblastiques et leur positionnement entre les cellules
ectoblastiques (en dessous) et les cellules mésoblastiques (au dessus)

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 30

=> PARTIE 9 : EMBRYOLOGIE

Dans l’équation ν = c / λ, la fréquence d’une onde


a. Est inversement proportionnelle à sa longueur d’onde : cela signifie que l’éloignement de corps
célestes correspond à un décalage vers le bleu de la lumière émise par ces derniers.
b. Est inversement proportionnelle à sa longueur d’onde : cela signifie que l’éloignement de corps
célestes correspond à un décalage vers le rouge de lumière émise par ces derniers.
c. Est proportionnelle à sa longueur d’onde : cela signifie que l’éloignement de corps célestes
correspond à un décalage vers le bleu de la lumière émise par ces derniers.
d. Est proportionnelle à sa longueur d’onde : cela signifie que l’éloignement de corps célestes
correspond à un décalage vers le rouge de la lumière émise par ces derniers.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 1

=> PARTIE 1 : ORIGINE

65
Il y a plusieurs milliards d’années, l’atmosphère de l’époque
a. Était oxydante vu la présence massive d’O2 : l’absence d’ozone permettait un apport d’énergie
permettant les réactions biochimiques.
b. Était réductrice vu l’absence d’O2 : l’absence d’ozone permettait un apport d’énergie
permettant les réactions biochimiques.
c. Était oxydante vu la présence massive d’O2 : la présence d’ozone permettait un apport
d’énergie permettant les réactions biochimiques.
d. Était réductrice vu la présence massive d’O2 : la présence d’ozone permettait un apport
d’énergie permettant les réactions biochimiques.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 2

=> PARTIE 1 : ORIGINE

Dans l’évolution du métabolisme cellulaire


a. Les cellules photosynthétiques ont précédé les cellules hétérotrophes à respiration
anaérobique.
b. Les cellules autotrophes ont précédé les cellules hétérotrophes à respiration anaérobique.
c. Les cellules hétérotrophes à respiration aérobique ont précédé les cellules hétérotrophes à
respiration anaérobique.
d. Les cellules hétérotrophes à respiration anaérobique ont précédé les cellules hétérotrophes à
respiration aérobique.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 3

=> PARTIE 1 : ORIGINE

Les réactions de transcription, de réplication et de respiration mitochondriale sont


respectivement des réactions
a. De catabolisme, de destruction et d’anabolisme.
b. De biosynthèse, de synthèse et de catabolisme.
c. Catabolique, anabolique et « de synthèse ».
d. Anabolique, catabolique et « de synthèse ».

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 4

=> PARTIE 2 : ORGANISATION

66
La réaction suivante : C6H12O6 + 6 O2 —> 6 CO2 + 6 H2O + ENERGIE
a. Illustre simultanément une réaction anabolique et une réaction catabolique.
b. Illustre l’oxydation du sucre et montre une réaction de catabolisme.
c. Illustre l’oxydation du sucre et montre une réaction d’anabolisme.
d. Illustre la réduction du sucre par l’oxygène.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 5

=> PARTIE 2 : ORGANISATION

La figure ci-dessous représente


a. La structure tertiaire d’une protéine.
b. Quatre histones structurant un nucléotide.
c. La structure primaire d’une protéine.
d. Quatre globines et quatre groupements prosthétiques.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 6

=> ORGANISATION

67
La molécule (1) et la molécule (2) représentent
a. Deux acides aminés.
b. Le sucrose et le lactose.
c. Le ribose et le désoxyribose.
d. Le désoxyribose et le ribose.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 8

=> PARTIE 2 : ORGANISATION

La conséquence de la polarité de la molécule ci-dessous


a. Est la formation de liaisons électrostatiques intramoléculaires.
b. Est la formation de liaisons électrostatiques intermoléculaires.
c. Est la formation de liaisons covalentes polarisées intramoléculaires.
d. Est la formation de liaisons covalentes polarisées intermoléculaires.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 9

=> PARTIE 2 : ORGANISATION

68
Dans la chromatine
a. L’hétérochromatine constitue les portions les moins condensées de l’ADN.
b. L’hétérochromatine constitue 10% de l’ADN.
c. L’euchromatine constitue les portions les moins condensées de l’ADN.
d. L’euchromatine constitue 80% de l’ADN.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 14

=> PARTIE 3 : CYTOLOGIE

La molécule d’ADN
a. Est monocaténaire et a la forme d’une échelle dont les montants sont faits par la succession
« sucre-phosphate-sucre-phosphate-sucre-phosphate… » et les barreaux par l’union « base/
base ».
b. Est monocaténaire et a la forme d’une échelle dont les barreaux sont faits par la succession
« sucre-phosphate-sucre-phosphate-sucre-phosphate… » et les montants par l’union « base/
base ».
c. Est bicaténaire et a la forme d’une échelle dont les montants sont faits par la succession
« sucre-phosphate-sucre-phosphate-sucre-phosphate… » et les barreaux par l’union « base/
base ».
d. Est bicaténaire et a la forme d’une échelle dont les barreaux sont faits par la succession
« sucre-phosphate-sucre-phosphate-sucre-phosphate… » et les montants par l’union « base/
base ».

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 16

=> PARTIE 3 : CYTOLOGIE

L’émergence du mésoblaste (derme)


a. Est la caractéristique de la deuxième semaine de la vie embryonnaire.
b. Est la caractéristique de la troisième semaine de la vie pré-embryonnaire.
c. Est la caractéristique de la troisième semaine de la vie embryonnaire.
d. Est la caractéristique de la deuxième semaine de la vie pré-embryonnaire.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 28

=> PARTIE 8 : EMBRYOLOGIE

69
Sur les deux schémas ci-dessous, on observe respectivement
a. Une inflexion longitudinale montrant en (1) la cavité vitelline et une inflexion transversale
montrant la réduction de la cavité amniotique.
b. Une inflexion transversale montrant en (1) la cavité vitelline et une inflexion longitudinale
montrant la réduction de la cavité amniotique.
c. Une inflexion transversale montrant en (1) la cavité amniotique et une inflexion longitudinale
montrant la réduction de la cavité vitelline.
d. Une inflexion longitudinale montrant en (1) la cavité amniotique et une inflexion transversale
montrant la réduction de la cavité vitelline.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 29

=> PARTIE 8 : EMBRYOLOGIE

70
La figure ci-dessous
a. Montre la vascularisation de l’embryon avec l’artère ombilical (1) et la veine ombilicale (2). La
partie inférieure du schéma représente le chorion villeux et la partie supérieure représente la
caduque basilaire.
b. Montre la vascularisation de l’embryon avec la veine ombilical (1) et l’artère ombilicale (2). La
partie inférieure du schéma représente le chorion villeux et la partie supérieure représente la
caduque basilaire.
c. Montre la vascularisation de l’embryon avec l’artère ombilical (1) et la veine ombilicale (2). La
partie inférieure du schéma représente la caduque basilaire et la partie supérieure représente
le chorion villeux.
d. Montre la vascularisation de l’embryon avec la veine ombilical (1) et l’artère ombilicale (2). La
partie inférieure du schéma représente la caduque basilaire et la partie supérieure représente
le chorion villeux.

Correspondance :
2012 / 2013 - 2012 / 2013 - 2013 / 2014 - 2014 / 2015 - 2015 / 2016 -
EVAL N°
1ÈRE SESS 2ÈME SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS 1ÈRE SESS

QUEST N° 30

=> PARTIE 8 : EMBRYOLOGIE

71

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