Vous êtes sur la page 1sur 13

TD1 QCM

1- Parmi les organites ci dessous, quel(s) est celui(ceux) qui contient (ennent) de l’ADN ?
A. Le réticulum endoplasmique
B. La mitochondrie
C. Le ribosome
D. Le nucléole

2- A propos de l’Acide Désoxyribonucléique : ADN


Parmi les cinq propositions choisissez les bonnes réponses ?
A. Chez les eucaryotes 50% environ est retrouvée dans les mitochondries (ADN
mitochondrial).
B. Chez les procaryotes, l’ADN se trouve dans le cytoplasme
C. Chez les eucaryotes, 100% de l’ADN se trouve dans le noyau (ADN nucléaire)
D. Une petite quantité (1% environ) est retrouvée dans les mitochondries (ADN
mitochondrial)
E. Chez les eucaryotes, la quasi-totalité de l’ADN se trouve dans le noyau (ADN
nucléaire).

3- La structure de l’Acide Désoxyribonucléique (ADN) est caractérisée :


A. Par la présence de deux brins d’ADN associés par des liaisons très fortes (liaisons
hydrogènes)
B. Par la présence des liaisons hydrogènes : au nombre de trois entre l’A et la T
C. Par la présence des liaisons hydrogènes : au nombre de trois entre la C et la G
D. Par une notion de complémentarité : la séquence d’un brin peut être déduite de la
séquence de l’autre.
E. Sur le plan structural, par une structure sous forme d’une double hélice

4- Parmi les propositions suivantes relatives à la structure de l’ADN, laquelle (ou


lesquelles) est (sont) inexacte(s) ?

a. L’ADN adopte une structure en double hélice.


b. Le pas de l’hélice (forme B) est d’environ 30 nanomètres.
c. L’ADN génomique est constitué de l’assemblage de deux chaînes
polynucléotidiques.
d. L’unité de base d’un brin d’ADN est représentée par un nucléotide.
e. L’ADN est riche en charges électriques positives.

5- Les nucléotides et leurs constituants :


A. La thymidine est une base pyrimidique
B. Les bases puriques contiennent deux cycles
C. La base est liée au carbone 1’ du sucre
D. La thymidine est une base pyrimidique typique de l’ARN
E. Le ribose se distingue du désoxyribose par un OH en 4’.

6- Les deux brins d’ADN sont dits « antiparallèles » car :


A. Ils sont parallèles mais leur orientation 5’-3’ est inversée
B. Le brin est perpendiculaire à l’autre.
C. Les plans des paires de bases complémentaires sont parallèles tout au long de la
molécule d’ADN
D. Leurs extrémités 5’ sont à deux extrémités opposées de la molécule
E. Ils ont une séquence identique mais inversée

7- Les deux chaînes de l’ADN sont complémentaires


A. Du fait de la liaison des bases une à une entre les deux chaînes
B. Du fait d’interactions moléculaires entre les sucres et les phosphates des deux
chaînes
C. Quand à une base purique sur un brin correspond toujours une base pyrimidique
sur l’autre brin
D. Parce qu’à une base « adénine » sur un brin correspond toujours une base
« uracile » sur l’autre brin
E. Parce qu’à une base « cytosine » sur un brin correspond une base « guanine » sur
l’autre brin.

8- La conformation de la molécule d’ADN :


a. Dans les conditions physiologiques, cette molécule présente une conformation
appelée A.
b. Dans les conditions physiologiques, cette molécule présente une conformation
appelée B.
c. Dans les conditions physiologiques, cette molécule présente une conformation
appelée Z.
d. La conformation de type B compte plus de paires de bases par tour d’hélice que la
conformation A.
e. La conformation de type A compte plus de paires de bases par tour d’hélice que la
conformation Z.

9- La complémentarité des bases


A. Est la conséquence de liaisons hydrogènes entre les bases
B. Implique trois liaisons hydrogènes entre cytidine et thymine
C. Implique trois liaisons hydrogènes entre guanine et cytosine
D. Implique deux liaisons hydrogènes entre adénine et guanine
E. Implique deux liaisons hydrogènes entre thymine et adénine

10- La composition d’ADN:


A. L’ADN est formé de protéines appelées « Histones »
B. L’ADN est formé d’acide phosphorique, désoxyribose, et de quatre bases azotées
C. L’ADN est une molécule bicaténaire
D. L’ADN est composé de deux brins qui ont la même orientation
E. L’uridine est une des quatre bases de l’ADN

11- A propos de la chromatine


Parmi les cinq propositions choisissez les bonnes réponses ?
A. Est une substance nucléaire qui fixe les colorants acides
B. Est une substance nucléaire qui fixe les colorants basiques
C. Elle se présente comme un mélange de fibres irrégulières dont le diamètre est
variable en fonction du degré d’empilement.
D. La chromatine qui reste condensée pendant l’interphase est appelée
hétérochromatine
E. L’euchromatine correspond aux zones génétiquement actives

12- Le nucléosome
A. Est l’élément de base d’un chromosome
B. Est constitué d’ADN , d’ARN et de protéines
C. Est constitué de protéines qui sont toutes appelées histones
D. Comporte un segment d’ADN de 146 bp enroulé autour des protéines
E. Est spécifique des chromosomes procaryotes

13- Les télomères


A. Sont des séquences répétitives
B. Sont de localisation centromérique
C. Sont des séquences de huit nucléotides
D. Sont en partie délétés lors du raccourcissement des chromosomes au cours de la
division
E. Sont dégradés par la télomérase

14- L’ADN mitochondrial humain présente les caractéristiques suivantes :


A. ADN nu
B. double brin
C. Simple brin
D. circulaire et non lié aux protéines
E. Linaire et non lié aux protéines

15- L’Acide RiboNucléique (ARN) constitue une forme intermédiaire lors du processus
de la traduction de l’information génétique en protéines. C’est un acide nucléique
qui diffère de l'ADN par :
A. Sa structure simple brin.
B. Sa structure double brin.
C. le sucre est le ribose et non le désoxyribose
D. le sucre est le désoxyribose et non le ribose
E. La base azotée « uracile » (U) au lieu de la thymine (T) présente dans l'ADN
16- A propos de l’Acide RiboNucléique (ARN)
Parmi les cinq propositions choisissez les bonnes réponses ?
A. L’ARN messager (ARNm) provient de la réplication de l'ADN
B. L’ARN messager (ARNm) sert de matrice pour la traduction en protéine.
C. L’ARN de transfert (ARNt) véhicule les acides aminés vers les ribosomes au cours
de la transcription
D. L’ARN ribosomal (ARNr) s'associe à des complexes protéiques pour former le
ribosome
E. L’ARN de transfert (ARNt) véhicule les acides aminés vers les ribosomes au cours
de la traduction

17- L’ARN messager (ARNm) :


A. Provient de la transcription de l'ADN.
B. Ne sert pas de matrice pour la traduction en protéine.
C. Après synthèse du pré-ARNm par transcription de l’ADN génomique, les introns
sont éliminés par épissage.
D. Sont les seuls ARN codants
E. Est impliqué dans les modifications et la maturation des ARNr.

18- L’ARN de transfert


A. A une structure secondaire en trèfle et tertiaire en L
B. A toujours un acide aminé fixé à son extrémité 5’
C. Est lié à l’acide aminé par une aminoacyl ARNt synthétase
D. Comporte des segments d’ARN double brin
E. Comporte une séquence de trois nucléotides appelée « codon »

19- Le gène d'un eucaryote :


Parmi les cinq propositions choisissez les bonnes réponses ?
A. En aval du gène, se trouve une séquence régulatrice et le promoteur
B. Promoteur se trouve en amont du gène en 5'
C. Parmi les séquences promotrices les plus connues chez les eucaryotes, on trouve :
la CAAT box et le TATA box
D. Intron est un fragment d'un gène situé entre deux exons
E. Les introns sont présents dans l'ARNm mature

20- A propos du code génétique :


A. Le code génétique est rédondant.
B. UAA, UAG, UGA sont des «codons-stop» signaux de fin de transcription
C. ACG est un codon initiateur à partir duquel commence la traduction
D. AUG est un codon initiateur à partir duquel commence la traduction
E. UAA, UAG, UGA sont des «codons-stop » signaux de fin de traduction.

21- Une séquence nucléotidique est traduite quand elle est sous forme :
A. D’ADN
B. D’ARNr
C. D’ARNt
D. D’ARNm
E. D’ARN nucléaires hétérogènes (ARNnh)

22- L’ADN polymérase :


A. Elle nécessite une amorce
B. Ne possède pas une activité exonucléasique 3'
C. Elle catalyse la polymérisation de l'ADN à partir des nucléotides
D. Déroulent et séparent les deux brins d'ADN
E. Son activité polymérase se fait dans le sens 5'--------> 3'

23- Les protéines SSB (Single Strand Binding) :


A. Permettent le passage de l'ADN d'un état super enroulé, provoqué par la progression de
la fourche de réplication
B. Déroulent et séparent les deux brins d'ADN
C. Elles permettent de modifier l’enroulement des deux brins en hydrolysant un brin
d’ADN et en reconstituant après un tour accompli de l’autre brin.
D. Ce sont des protéines qui stabilisent les brins d’ADN lors de la réplication et
maintiennent séparés les deux brins d'ADN.
E. Effectuent la soudure des deux brins d'ADN ou des fragments d’Okazaki

24- Les topo-isomérases (enzymes de la réplication) :


A. Déroulent et séparent les deux brins d'ADN, ceci conduit à une structure en Y appelée
fourche de réplication.
B. Effectuent la soudure du brin d'ADN entre deux fragments adjacents.
C. Maintiennent séparés les deux brins d'ADN.
D. Permettent le passage de l'ADN d'un état super enroulé, provoqué par la progression de
la fourche de réplication, à des formes isomères de moindre tension.
E. Synthétisent le primer ou amorce et font partie d’un complexe protéique appelé
primosome.

25- La réplication est toujours :


A. Unidirectionnelle
B. Semi-conservative :
C. Réalisée à partir d’un seul point d’initiation
D. Associée à une polymérisation des nucléotides se réalisant dans le sens 3’>5’
E. Discontinue pour l’un des brins

26- La transcription
A. Est l’étape de synthèse de l’ARN
B. Implique principalement une enzyme appelée ARN polymérase
C. Nécessite une amorce ADN pour initier l’action de l’ARN polymérase
D. Nécessite un modèle qui est un brin de la molécule ADN
E. Met en jeu les substrats de l’ARN polymérase qui sont l’ATP, le CTP, l’UTP, le TTP
27- L’ARN polymérase
A. Se déplace de 5’ vers 3’ sur le brin matrice d’ADN
B. Synthétise un nouveau brin d’ARN de 5’ vers 3’
C. Synthétise un brin d’ARN antiparallèle au brin d’ADN copié
D. Reconnaît une région de l’ADN, appelée le promoteur, qui spécifie le début de la
transcription
E. Initie la transcription au niveau de la séquence « ATG » sur le brin ADN matrice
28- Maturation de l'ARN messager
Parmi les cinq propositions choisissez les bonnes réponses ?
A. Tous les ARNm sont transcrits à partir de gènes de structure.
B. Les processus de maturation englobe l’addition d’une queue polyA
C. Au cours de la maturation de l'ARNm, l’'épissage élimine toutes les séquences exoniques
D. L’ARN pré-messager correspond à la copie fidèle d’un brin d’ADN en ARN (exons et
introns compris).
E. L'addition d'une coiffe « capping » : consiste en la fixation d’un « chapeau » à l’extrémité
3′ de l’ARNm.

29- Les promoteurs procaryotes


A. Contiennent deux séquences consensus de six nucléotides chacune
B. Contiennent des séquences consensus situées en aval du site d’initiation de la
transcription
C. Sont reconnus par l’ARN polymérase procaryote, qui est constitué de cinq sous-
unités dont le facteur sigma (σ)
D. Sont reconnus par la sous-unité ou facteur (σ) ce qui permet une interaction forte
entre la polymérase et le brin d’ADN matrice

30- Au cours de la transcription


A. C’est la sous-unité σ de l’ARN polymérase procaryote qui porte l’activité
enzymatique
B. La synthèse du brin d’ARN s’effectue par établissement de liaisons ester entre les
nucléotides
C. La liaison ester s’effectue entre le 3’ OH d’un nucléotide et le 5’ phosphate de
l’ARN en cours d’élongation
D. La majorité des segments d’ADN transcrits codent pour des ARNm
E. La majorité des molécules d’ARN produits dans la cellule sont des ARNm

31- Par convention, au cours de la transcription d’un gène (ADN double brin) en ARN
monobrin on considère que
A. Le brin d’ADN transcrit est brin dit « brin sens »
B. La séquence de l’ARN immature est identique à la séquence du brin ADN sens en
remplaçant les T par des U
C. L’ARN polymérase utilise le brin d’ADN antisens comme modèle
D. L’ARN est complémentaire du brin transcrit
E. L’ARN est antiparallèle au brin sens
32- La transcription des ARN dans les cellules eucaryotes
A. A lieu dans le noyau
B. Implique trois ARN polymérases
C. Met en jeu l’ARN polymérase I pour la transcription des ARNm
D. Met en jeu l’ARN polymérase III pour la transcription des ARNt
E. A lieu dans le nucléoplasme sauf pour l’ARN polymérase I

33- Les différences entre transcription chez les procaryotes et chez les eucaryotes
peuvent être illustrées par les affirmations suivantes :
A. Chez les procaryotes, un ARNm peut être en contact avec des ribosomes avant la
fin de sa propre synthèse
B. Chez les eucaryotes, un ARNm est synthétisé dans le noyau sous forme d’un
précurseur, préARNm, maturé ensuite dans le cytoplasme
C. Chez les eucaryotes, l’ARN polymérase II est nécessaire et suffisante pour initier la
transcription d’un ARNm
D. La mise en jeu de l’ARN polymérase II eucaryote nécessite l’assemblage d’un
grand nombre de protéines au niveau du promoteur, contrairement à la mise en
jeu de l’ARN polymérase bactérienne
E. Chez les eucaryotes, le site d’initiation de la transcription est indiqué par la
présence de la séquence 5’ TATA

34- Le complexe d’initiation de la transcription implique


A. Une sous-unité du facteur d’initiation TFIID, qui reconnaît et se lie à l’ADN au
niveau de la TATA box
B. Des facteurs TFII A , B , et D , qui restent associés à l’ARN polymérase II lors de
l’élongation de la transcription
C. l’ARN polymérase II se dissocier des facteurs généraux de la transcription lors de
l’élongation
D. Aucune modification de la structure chromatinienne de l’ADN lors de la
transcription d’un gène
E. Des histones acétylases

35- L’ARN messager transcrit est « capé » en 5’ :


A. L’addition du « cap » en 5’ s’effectue après la fin de la transcription
B. Le cap consiste en une 7-méthyl guanosine chargée positivement
C. Le cap est lié à l’extrémité 5’ du nucléotide le plus 5’ de l’ARN par le 3’ OH de son
ribose
D. Les ARNr ne sont pas modifiés en 5’
E. La liaison entre le nucléotide 5’ de l’ARN et le cap est une liaison anhydre d’acide

36- Concernant l’excision-épissage d’un préARNm :


A. Il consiste à supprimer les séquences introniques et à rabouter les exons entre
eux
B. Ce sont les exons qui sont excisés et les introns qui contiennent l’information
C. Chez les eucaryotes, l’épissage des ARN a lieu dans le cytoplasme
D. Il n’y a pas d’épissage chez les procaryotes car il n’y a pas d’introns
E. Ce sont des ribozymes qui assurent l’épissage des préARNm

37- Le mécanisme d’excision-épissage des introns implique certaines caractéristiques


structurales des introns :
A. Tous les introns commencent par AG et finissent par GU
B. Le site de branchement du lasso est situé à environ 30 nucléotides en aval de
l’extrémité 3’ de l’intron
C. L’excision-épissage consiste en deux réactions impliquant deux exons
D. Le lasso formé lors de la réaction d’épissage présente une extrémité 3’ OH libre
E. L’intron libéré sous forme d’un lasso est dégradé par des ribozymes

38- Le splicéosome
A. Est constitué de plusieurs small nuclear ribonucléic particles (snRNP) qui
catalysent la réaction d’excision-épissage
B. Est formé de snRNP qui sont des ribozymes
C. Agit par excision-épissage d’un préARNm donné pour produire toujours le même
ARNm mature
D. Présente une taille proche de celle du ribosome

39- Les parties régulatrices d’un gène eucaryotes sont situés en :


A. A côté du gène à transcrire
B. A distance du gène à transcrire
C. Dans le gène à transcrire
D. En aval du gène à transcrire
E. Toutes les réponses sont correctes

40- Le complexe d’initiation de la traduction chez les procaryotes est constitué :


A. De la petite sous unité ribosomale
B. Du facteur IF1
C. Du facteur IF2
D. Du facteur IF3
E. Toutes les réponses sont correctes

41- Lors de la terminaison de la traduction chez les procaryotes, le facteur RF3 :


A. Reconnait le UAA
B. Reconnait le UAG
C. Reconnait le UGA
D. Fixe le GTP
E. Aucune réponse n’est correcte

42- Un opéron :
A. Est retrouvé chez les eucaryotes
B. Est retrouvé chez les procaryotes
C. Peut contenir plusieurs cistrons
D. Contient un promoteur
E. Peut contenir plusieurs promoteurs

43- Pour que l’opéron lactose s’exprime il faut :


A. Il faut que le répresseur ne soit pas lié au promoteur
B. Il faut que le répresseur ne soit pas lié à l’opérateur
C. Que la CAP-AMPc soit liée à l’opérateur
D. Que la CAP-AMPc soit liée au promoteur
E. Toutes les propositions sont fausses

44- L’opéron tryptophane :


A. Contient cinq cistrons
B. C’est un opéron inductible
C. C’est un opéron de la voie anabolique
D. Le tryptophane est l’inducteur
E. Contient plusieurs promoteurs

45- La méthylation d’un gène :


A. Est un moyen de répression du gène
B. Permet au gène de s’exprimer
C. Est retrouvé surtout dans les gènes actifs
D. Facilite la transcription du gène
E. Facilite la réplication

46- Concernant le remodelage de la chromatine :


A. Chez les eucaryotes les méthylations portent sur les guanines et les cytosines.
B. Lors de la réplication, les histones méthylées sont distribuées de façon aléatoire entre
les deux côtés de la fourche de réplication.
C. La traduction d'un exon est associée à la diminution de méthylation dans ce dernier.
D. Les segments d'ADN non exprimés contiennent beaucoup de substituants acétylés.
E. Les histones acétylées sont retrouvées dans les gènes actifs

47- Les mutations faux sens :


A. Sont des mutations aboutissant à des codons stop UAA UAG UGA sur l’ARNm.
B. Sont des mutations qui modifient la signification d’un codon. Il en résulte un
changement d’un AA sur la protéine correspondante. La conséquence de cette
mutation est variable selon la nature du changement et son emplacement.
C. Sont des mutations qui créent ou suppriment un site d’épissage et sont responsables
d’un décalage du cadre de lecture.
D. Sont des mutations qui agissent par délétion ou insertion d’une base, de deux bases ou
d’un nombre multiple de 3 bases et conduisent à une protéine incomplète qui est
presque toujours rapidement dégradée.
E. Sont des mutations qui portent sur la séquence correspondant à l’un des trois codons
stop qui devient signifiant, entraînant ainsi une prolongation de la traduction jusqu’au
codon stop suivant. Il en résulte une élongation de la chaîne polypeptidique.

48- Les mutations non sens :


A. Sont des mutations qui modifient la signification d’un codon. Il en résulte un
changement d’un AA sur la protéine correspondante. La conséquence de cette
mutation est variable selon la nature du changement et son emplacement.
B. Sont des mutations qui créent ou suppriment un site d’épissage et sont
responsables d’un décalage du cadre de lecture.
C. Sont des mutations aboutissant à des codons stop UAA UAG UGA sur l’ARNm.
D. Sont des mutations qui agissent par délétion ou insertion d’une base, de deux bases
ou d’un non multiple de 3 bases et conduisent à une protéine incomplète qui est
presque toujours rapidement dégradée.
E. Sont des mutations qui portent sur la séquence correspondant l’un des trois codons
stop qui devient signifiant, entraînant ainsi une prolongation de la traduction
jusqu’au codon stop suivant. Il en résulte une élongation de la chaîne
polypeptidique.

49- Les mutations élongation :


A. Sont des mutations qui modifient la signification d’un codon. Il en résulte un
changement d’un AA sur la protéine correspondante. La conséquence de cette
mutation est variable selon la nature du changement et son emplacement.
B. Sont des mutations qui portent sur la séquence correspondant à l’un des trois codons
stop qui devient signifiant, entraînant ainsi une prolongation de la traduction
jusqu’au codon stop suivant. Il en résulte une élongation de la chaîne polypeptidique.
C. Sont des mutations qui créent ou suppriment un site d’épissage et sont responsables
d’un décalage du cadre de lecture.
D. Sont des mutations aboutissant à des codons stop UAA UAG UGA sur l’ARNm.
E. Sont des mutations qui agissent par délétion ou insertion d’une base, de deux bases
ou d’un non multiple de 3 bases et conduisent à une protéine incomplète qui est
presque toujours rapidement dégradée.

50- Les mutations décalant le cadre de lecture (Frameshift)


A. Sont des mutations qui agissent par délétion ou insertion d’une base, de deux bases
ou d’un non multiple de 3 bases et conduisent à une protéine incomplète qui est
presque toujours rapidement dégradée.
B. Sont des mutations qui modifient la signification d’un codon. Il en résulte un
changement d’un AA sur la protéine correspondante. La conséquence de cette
mutation est variable selon la nature du changement et son emplacement.
C. Sont des mutations qui portent sur la séquence correspondant à l’un des trois codons
stop qui devient signifiant, entraînant ainsi une prolongation de la traduction
jusqu’au codon stop suivant. Il en résulte une élongation de la chaîne polypeptidique.
D. Sont des mutations qui créent ou suppriment un site d’épissage et sont responsables
d’un décalage du cadre de lecture.
E. Sont des mutations aboutissant à des codons stop UAA UAG UGA sur l’ARNm.
51- Les mutations à effet quantitatif
A. Sont des mutations qui agissent par délétion ou insertion d’une base, de deux bases
ou d’un non multiple de 3 bases et conduisent à une protéine incomplète qui est
presque toujours rapidement dégradée.
B. Sont des mutations qui modifient la signification d’un codon. Il en résulte un
changement d’un AA sur la protéine correspondante. La conséquence de cette
mutation est variable selon la nature du changement et son emplacement.
C. Intéressent les régions promotrices et les régions régulatrices et se traduisent pas
une perturbation du niveau de transcription et donc d’expression du gène.
D. Sont des mutations qui portent sur la séquence correspondant à l’un des trois codons
stop qui devient signifiant, entraînant ainsi une prolongation de la traduction
jusqu’au codon stop suivant. Il en résulte une élongation de la chaîne polypeptidique.
E. Sont des mutations aboutissant à des codons stop UAA UAG UGA sur l’ARNm.

52- Les mutations silencieuses sont :


A. Les mutations non-sens
B. Les mutations iso-sémantiques
C. Les mutations récessives à l’état homozygote
D. La modification d’un acide aminé sans grande importance fonctionnelle
E. Sans modification notable d‘acides aminés

53- Un polymorphisme :
A. Est le résultat d’une mutation
B. Est le résultat d’une délétion
C. Peut se trouver dans les régions codantes et non codantes d’un gène.
D. Peut-être dû à une variation au niveau d’un nucléotide uniquement
E. Peut-être dû à une variation de nombre de répétition

54- Les mutations suivantes peuvent changer la séquence des acides aminés de la protéine :
A. Mutation intronique
B. Mutation silencieuse
C. Mutation par insertion
D. Mutation génomique
E. Mutation germinale

55- Parmi les facteurs ou mécanismes suivants, lesquels peuvent être considérés comme
agents mutagènes :
A. Les rayons infrarouges
B. Le bromure d’éthidium
C. La réplication de l’ADN
D. Les rayons X
E. Le chlorure de magnésium
56- La réparation d’un mésappariement d’un nucléotide, après la réplication
A. Implique une série d’enzymes dont l’altération des gènes est observée dans certaines
formes familiales de cancer du colon
B. Nécessite l’action d’une endonucléase
C. Nécessite l’action d’un ARN polymérase
D. Met en jeu une exonucléase
E. Commence par la vérification du brin méthylé

57- La réparation des dimères de thymidine, liés de façon covalente


A. Fait suite à une erreur de réplication
B. Par l’action d’un agent physique
C. Met en jeu une exonucléase qui coupe le brin anormal
D. Nécessite une ligase
E. Implique des enzymes dont l’altération est responsable de cancer de la vessie

58- La réparation d’une lésion simultanée des deux brins


A. Peut se faire chez les eucaryotes par simple excision/ligation
B. Peut-être consécutive à une erreur de réplication
C. Implique un évènement de recombinaison homologue, qui peut aller chercher
l’information manquante sur le deuxième chromosome
D. Peut impliquer le mécanisme NHEJ
E. Peut réparer la séquence altérée de façon non strictement identique par rapport à la
séquence initiale

59- Le système SOS


A. Est mis en jeu cas de dommages graves du génome
B. Permet la restitution de l’état initial du génome
C. Est mécanisme inductible de recombinaison homologue
D. Est régulé de la même manière qu’un opéron
E. Evite à la cellule l’apoptose

60- La protéine essentielle su système SOS est la protéine RecA :


A. Qui est une protéine essentielle pour la recombinaison homologue
B. Qui a été identifiée initialement chez l’homme
C. Qui a aussi des fonctions protéolytiques
D. Qui n’est pas synthétisée par la cellule en dehors de la mise en jeu de système SOS
E. Qui dégrade la protéine LexA, un facteur de transcription qui réprime sa synthèse

61- La recombinaison homologue est un mécanisme cellulaire


A. Qui peut être mis en jeu lors d’un simple mésappariement
B. Qui est mis en jeu lors d’une lésion simultanée des deux brins
C. Qui participe à la ségrégation des chromosomes lors de la mitose
D. Qui participe à l’évolution des espèces
E. Qui ne peut malheureusement pas être utilisé expérimentalement pour modifier les
gènes dans le génome d’une cellule ou d’un animale

62- Pour évaluer la pureté d’un échantillon ADN, par rapport à des protéines, que
mesurezvous ?
A. La DO à 230 nm
B. La DO à 260 nm
C. Le rapport de DO 260/230 nm
D. Le rapport de DO 260/280 nm

63- Quel est le nom de la méthode utilisée pour transférer de l’ARN sur une membrane ?
A. Eastern blot
B. Southern blot
C. Northern blot
D. Western blot

64- Pour étudier la population d’ARN messager d’un tissu ou d’un organisme, on analyse :
A. Le protéome
B. Le transcriptome
C. L’hybridome
D. Le métabolome
E. Le génome

65- Pour faire une reverse transcription, quelle est la matrice de départ utilisée ?
A. ADN génomique
B. ADN complémentaire
C. ARN messager
D. Un plasmide

66- On veut faire une RT sur des ARN totaux de bactéries, lequel de ces composés est
inutile ?
A. Transcriptase reverse
B. dNTP
C. Hexamères dégénérés
D. Oligo dT (18)

Vous aimerez peut-être aussi