Vous êtes sur la page 1sur 16

Sciences de la Vie

Q01- Les mitochondries :


A- Contiennent les enzymes responsables de la glycolyse.
B- Sont présentes chez les procaryotes qui pratiquent la respiration cellulaire.
C- Contiennent des ribosomes.
D- Sont délimitées par une seule membrane
E- Sont le siège de la fermentation en conditions anaérobies
Q02 -La cellule musculaire striée
A- Possède des fibres nerveuses composées de myofilaments fins et épais.
B- Ne contient pas des mitochondries
C- Présente une striation liée à l'organisation des myofilaments.
D- Est plurinucléée avec des noyaux centraux
E- Se contracte spontanément
Q03 - La réplication de l’ADN génomique dans une cellule eucaryote :
A- a pour effet de doubler le nombre de chromosomes dans la cellule.
B- a pour effet de doubler la quantité d'ADN de chaque chromosome.
C- a lieu au début de la phase M du cycle cellulaire.
D- génère des molécules dont chaque brin est formé d’un mélange d’ancien et de nouvel ADN.
E- Est conservative
Q04 Une molécule d'ADN bicaténaire, a la forme d'une échelle tournant autour d’un axe central
Quelle est la proposition qui la décrit le mieux?
Squelette de
Proposition Constituants échelons
l’échelle
acides aminés, sucres sucres et bases
A acides aminés
et bases azotées azotées
acides aminés, sucres sucres et acides
B. bases azotées
et bases azotées aminés
phosphates, sucres et sucres et bases
C, phosphates
bases azotées azotées
phosphates, sucres et
D. sucres et phosphates bases azotées
bases azotées

A- La proposition A.
B- La proposition B.
C- La proposition C.
D- La proposition D
E- Les propositions C et D
Q05 - Quel événement a lieu lors de la traduction d'un ARNm eucaryote ?
A- Des acides aminés sont incorporés un à un, à l’extrémité N-terminale du polypeptide
B- La formation de la liaison peptidique est catalysée par l’ARNt qui porte l’acide aminé entrant.
C- Le ribosome se déplace progressivement vers l’extrémité 5’ de l’ARNm.
D- A l'exception des codons STOP, chaque codon désigne un acide aminé unique.
E- La traduction d'ADN se fait toujours dans le cytosol d’une cellule eucaryote et s'arrête dans un
codon stop.

1
Q06 - Résultat d'une expérience scientifique française :
Quand on braque une lampe à lumière ultraviolette sur un lapin (appelé Alba), son poil devient vert fluorescent. Alba
a été conçue en introduisant un gène dans une cellule, qui a ensuite été greffée sur un embryon de ce lapin. Ce gène
permet au lapin blanc Alba de devenir vert fluorescent lorsqu’on l’éclaire à la lumière ultraviolette, comme c’est le cas
de certaines espèces qui émettent de la lumière à l’état naturel, telles que les méduses, les lucioles, les crevettes,
les calamars, certains poissons et champignons.
Dans cette expérience : :
A- La luciole est un organisme donneur possible.
B- La protéine fluorescente est la molécule transférée au lapin.
C- Le lapin est un organisme donneur.
D- L'ADN du lapin est lu par les cellules de la luciole.
E- C’est un exemple de clonage.
Q07 - Un homme du groupe sanguin A épouse une dame du groupe B. Ils ont un enfant du groupe 0.
Quel(s) autre(s) groupe(s) sanguin(s) peut-on s'attendre à trouver chez les autres enfants issus de cette union ?
A- le groupe B seul.
B- le groupe A seul.
C- le groupe AB seul.
D- les groupes AB, A et B.
E- les groupes AB et B, seuls.
Q8 - Concernant les conditions nécessaires à I'application de la loi de Hardy Weinberg, quelle est la
proposition juste ?
A - L'effectif doit être limité
B - Il n'y a pas de migration
C - Les croisements s'effectuent au choix.
D - les mutations des gènes responsables du caractère étudié, sont possibles.
E - Présence de sélection naturelle favorisant les génotypes du caractère étudié.
Q09 - L’étude du graphique ci-dessous permet de dire que :

A - l’individu a consommé 0,75L d’O2 pendant la première minute,


B - au repos, le volume cumulé de dioxygène consommé augmente en fonction du temps, de 0 à
0,8L.
C - pendant l’effort, l’individu a consommé 2L d’O2
D - la surconsommation d’O2 due à l’effort permet aux muscles de produire plus d'énergie pour
leur contraction.
E- l’effort a durée 1minutes 30

2
Q10- Voici un segment du brin matrice d'un gène qui code pour la fraction terminale de la chaîne B de
l'insuline. : 5'-CCAAAAAAGATGTGGGGGTTCTGA-3'
Quelle est la séquence de l’ARNm correspondante ?
A- 3'-AGUCUUGGGGGUGUAGAAAAAACC-5'
B- 3'-GGUUUUUUCUACACCCCCAAGACU-5’
C- 5'-GGUUUUUUCUACACCCCCAAGACU-3’
D- 3’-CCAAAAAAGAUGUGGGGGTTCUGA-5’
E- 3’-GGTTTTTTCUACACCCCCAAGACT-5’

Q11 - Concernant le schéma représenté ci-dessous, quelle proposition est vraie ?

A- Certaines des étapes représentées sur ce schéma se déroulent dans la mitochondrie ;


B- Il y a hydrolyse de deux ATP
C- La réaction NADH,H+  NAD+ est une oxydation
D- Ces étapes se déroulent en abondance dans le foie humain
E- La réaction pyruvate acétaldéhyde permet la réduction de NAD+
Q12- Les 4 acides aminés N-terminaux d’un polypeptide donné sont : MET - TRP - LEU - CYS.

En vous référant au code génétique représenté dans le tableau ci-dessus, déterminez la séquence du brin
matrice d’ADN, correspondante ?
A- 3’ - AUGUGGCUCUGU - 5'
B- 5' -ATGTGGCTCTGT-3'
C- 3' - TACACCGAGACA-5'
D- 3' - UACACCGAGACA-5'
E- 5' -ATGCCCCTCTGT-3'

3
Q13 - Le tableau suivant présente les résultats de plusieurs croisements testant le caractère couleur du corps chez
la drosophile.

Condition N° 1 2 3 4 5
Phénotypes des parents croisés

Phénotypes Noir X Noir Noir X Gris Gris X Gris Noir X Gris Gris X Gris
Noir 73 0 15 23 0
Nombre de descendants
Gris 0 45 43 25 36
Quel peut être le génotype des parents dans la condition n°5, si la couleur du corps est définie par un seul
gène biallélique?
A- GG x Gn ;
B- gg x nn ;
C- gg x gg ;
D- Gn x nn ;
E- Gn x Gn.

Q14 - Concernant le mécanisme de dérive génétique, on peut affirmer que :


A - ses effets sont d’autant plus marqués que la population ciblée par la dérive génétique est
grande.
B - les échanges et reproductions entre populations différentes accentuent les conséquences de
la dérive génétique.
C - la dérive génétique ne peut pas agir en même temps que la sélection naturelle.
D - les effets de la dérive génétique sont très marqués au sein d’une population ayant subit un
goulot d’étranglement.
E - La dérive génétique est liée à des phénomènes prédéfinis (non-aléatoires).
Q15 – Dans l’arbre généalogique de la figure suivante, on envisage les phénotypes de l’hémophilie et de la
dystrophie musculaire dans une famille. Les deux pathologies sont liées à des allèles récessifs, portés par le
chromosome X. Les gènes sont relativement distants de 8 centimorgans. On utilisera pour les allèles de
l’hémophile : F ou f et pour les allèles de la dystrophie : D ou d

Déterminez le génotype de la mère de Francis :


A - Xf DXFd
B - XF d XFD
C - XFD Xf d
D - Xfd Xfd
E - XFd Xfd

4
Q16- La drépanocytose est une maladie autosomique récessive dont l’incidence est 1/625 chez la
population afro-américaine. Quelle est la fréquence des hétérozygotes?
A- 1/25
B- 2/50
C- 1/100
D- 2/25
E- 1/200

Q17 - Parmi les énoncés suivants, lequel décrit le mieux la différence entre les réactions des plasmocytes
et celles des lymphocytes T cytotoxiques ?
A - Les plasmocytes confèrent une immunité active ; les lymphocytes T cytotoxiques confèrent une
immunité passive.
B - Les plasmocytes tuent les pathogènes directement ; les lymphocytes T cytotoxiques tuent les
cellules infectées.
C - Les plasmocytes sécrètent des anticorps contre un pathogène ; les lymphocytes T cytotoxiques
tuent les cellules infectées par un pathogène.
D - Les plasmocytes accomplissent l’immunité à médiation cellulaire ; les lymphocytes T
cytotoxiques accomplissent l’immunité humorale.
E - Les plasmocytes réagissent la première fois que l’envahisseur est présent ; les lymphocytes T
cytotoxiques réagissent par la suite.

Q18- La vaccination augmente :


A- Le nombre de récepteurs différents qui reconnaissent un pathogène.
B- Le nombre de lymphocytes dont les récepteurs peuvent se lier avec le pathogène.
C- Le nombre d’épitopes que le système immunitaire peut reconnaître.
D- Le nombre de macrophages spécifiques de ce pathogène.
E- Le nombre de molécules du CMH qui peuvent présenter un antigène.

Q19- Parmi les éléments suivants, lequel devrait être identique chez de vrais jumeaux ?
A - L’ensemble des anticorps produits.
B - L’ensemble des molécules du CMH produites.
C - L’ensemble des récepteurs antigéniques des lymphocytes T.
D - La vulnérabilité à un virus donné.
E - L’ensemble de cellules immunitaires détruites en raison de leur autoréactivité.

Q 20: La division équationnelle:


A- Est la première division de méiose ;
B- Est précédée d'une interphase ou la quantité d'ADN double;
C- Divise le nombre de chromosomes par deux;
D- Réduit la quantité d'ADN à la moitié.
E- Permet des échanges de chromatides entre tous les chromosomes.

5
PHYSIQUE
p1

Propagation d’une onde à la surface de l’eau


A l’aide du vibreur d’une cuve à onde, on crée à t0=0, au point S de la surface libre de l’eau une onde
progressive sinusoïdale de fréquence N. L’élongation du point S est yS(t)=5.10-3.cos(2.N.t).
La figure ci-dessous représente une coupe transversale de l’eau à l’instant t=0,1s.

Q21 : La valeur de la longueur d’onde est :


A =0,5 m B =2,5 cm C =1 cm D =2 cm E =1,5 cm
Q22 : La vitesse de propagation de l’onde est :
A v=0,20 m.s-1 B v=0,25 m.s-1 C v=0,30 m.s-1 D v=0,40 m.s-1 E v=0,45 m.s-1
Q23 : L’élongation d’un point M de la surface de l’eau situé à 0,4 m de S est :

A yM (t)=5.103sin(20πt   ) B yM (t)=5.103cos(20πt   ) C yM (t)=5.103cos(40πt   )

D yM (t)=5.103cos(40πt) E yM (t)=5.103cos(30πt)

Propagation d’une onde dans un milieu transparent


Une radiation lumineuse visible de fréquence =5.1014 Hz a une longueur d’onde  = 400 nm dans un milieu
transparent d’indice n .
Donnée : Vitesse de propagation de la lumière dans le vide : c= 3,0.108 m.s-1 ;
Q24 : La valeur de la longueur d’onde 0 de la radiation dans le vide est :
A 0=760 nm B 0=850 nm C 0=600 nm D 0=570 nm E 0=320 nm
Q25 : La valeur de l’indice est :
A n =1,33 B n =1,5 C n =1,8 D n =2,0 E n =1,0

Un faisceau laser de longueur d’onde dans l’air  = 630 nm éclaire une fente de largeur a. On place un
écran perpendiculairement à la direction du faisceau à un distance D = 2 m de la fente. On observe sur
l’écran une figure de diffraction dont la tache centrale à pour largeur L = 7 cm.
Q26 : La largeur a de la fente vaut :
A a  6, 3  102 mm B a  3, 6  102 mm C a  2, 6 102 mm D a  4, 3  102 mm
E a  5  102 mm
Sans modifier a et D , on remplace la source laser précédente par une source émettant une lumière
monochromatique de longueur d’onde ' dans l’air plus petite que .
Q27 : La largeur de la tache centrale :
A augmente B ne change pas C diminue D est divisée par 2 E est le double
p2
Q28 : Sachant que la largeur de la tache centrale a varié de 20% , la valeur de ' est :

A  '  2. B  '  1, 8. C  '  0, 4. D  '  0, 8. E  '  2, 5.

Etude d’un échantillon radioactif


Une roche de masse m0= 1 tonne contient à l’instant t0=0,5% d’Uranium 235.
Données : Demi-vie d’Uranium 235 : t1/2  7.10 ans=2,20.10 s; ln2=0,7 ; 47  0,128=6,02
8 16

64
 5,82 ; N A =6,02.1023 mol1;M( 235U)=235 g.mol-1.
11
Q29 : Le nombre de noyaux d’Uranium 235 dans la roche à l’instant t0=0 est :
A N0 =2,35.1024 B N0 =1,28.1025 C N0 =6,02.1025 D N0 =7,25.1026 E N0 =8,5.1026

Q30 : L’activité a0 de l’Uranium 235 dans la roche à l’instant t0=0 est :

A a 0 =7.108 Bq B a 0 =6.108 Bq C a 0 =4,07.108 Bq D a 0 =3.107 Bq E a 0 =1,5.107 Bq

Q31 : À l’instant t = 28.108 ans , l’activité de l’uranium 235 est :


A 0,5.a 0 B 0,25.a 0 C 0,125.a 0 D 6,25.102 .a 0 E 3,125.102 .a 0

Le noyau de Radium 226 88 Ra se désintègre en donnant un noyau fils


y
x Rn et une particule .
Q32 : Les valeurs de x et y sont :
A x=88 ; y=226 B x=87 ; y=226 C x=87 ; y=222 D x=86 ; y=222 E x=89 ; y=226
y
Q33 : La composition du noyau fils x Rn est :

A 86 protons B 86 protons C 87 protons D 89 protons E 88 protons


222 neutrons 136 neutrons 135 neutrons 137 neutrons 138 neutrons

Dipôle RL

Un circuit comporte un générateur de force électromotrice E; un conducteur


ohmique de résistance R=40 ; un bobine d’inductance L et de résistance r.
On ferme l’interrupteur K à la date t0=0, on trace , à l’aide d’un système
informatique adéquat les courbes représentant l’évolution de la tension uR(t)
aux bornes du conducteur ohmique ainsi que la tension uB(t) d’évolution
de la tension aux bornes de la bobine.
49
Données : 3.
16
Q34 : La valeur de E est :

A E= 2V B E= 8V C E= 10V
D E= 12V E E= 18V
p3
Q35: Les valeurs de r et de L sont :
A r=8  B r=10 C r=10 
L=0,1 H L=0,5 H L=0,8 H
D r=12  E r=20 
L=1 H L=1,1 H

Q36: L’énergie emmagasinée par la bobine à l’instant t=0,02s :


A Em  7,5.105 J B Em  7,5.104 J
C Em  7,5.103 J D Em  7,5.102 J

E Em  7,5.101 J

Chute libre

On lance verticalement vers le haut avec une vitesse initiale v 0 à un instant


choisi comme origine des dates (t=0), une balle d’une hauteur h = 1,2 m du sol .
Données : v0 =10 m.s-1 ; g=10 m.s-2 ; on néglige toutes les actions de l’air.
Q37: Le centre d’inertie G de la balle atteint une hauteur maximale h m
du sol à la date t1 de valeur:
A hm= 4,2 m B hm= 8,2 m C hm= 6,2 m
D hm= 5,2 m E hm= 4,2 m
Q38: Le centre d’inertie G de la balle passe le point B situé à une
hauteur D=3 m du sol , la vitesse vB a pour valeur :
A vB= 6 m.s-1 B vB= 8 m.s-1 C vB= 10 m.s-1
D vB= 10 m.s-1 E vB=12 m.s -1

Pendule élastique
S
On libère un corps (S) considéré ponctuel de masse m=100 g A
sans vitesse initiale d’un point A, située à une hauteur h du sol,
sur un plan incliné AB d’un angle =30° . Le corps (S) heurte h
au point O (voir figure) un ressort horizontal de masse négligeable  x
de longueur à vide l0 en s’accrochant à lui.
Données : AB= L = 2 m ; la constante de raideur du ressort B Oi
est k= 80 N.m ; g = 10 m.s ; on néglige tous le frottements le long du parcourt de (S) ; 10  3,16 .
-1 -1

Q39 : L’expression de l’énergie cinétique du solide (S) en O est :


A Ec =m.g.L B Ec =m.g.L.cos C Ec =m.g.L.sin
D Ec =m.g.L.(1  sin ) E Ec =m.g.L.1  cos 

Q40 : L’amplitude du mouvement de (S) est :


A XM =10 cm B XM =12 cm C XM =14 cm
D XM =16 cm E XM =20 cm
CHIMIE

P1

Etude cinétique d’une transformation chimique


On mélange initialement une quantité de matière d’éthanol C2H5OH et une quantité de matière de dichromate
de potassium K2Cr2O7 et on ajoute quelques gouttes d’acide sulfurique concentré. Le volume du mélange est
V=100 mL. La réaction chimique qui se produit est modélisée par l’équation :
3 C2 H5OH(aq) + 2 Cr2O7 2(aq) + 16 H+(aq)  3 CH3COOH(aq) + 4 Cr 3+ (aq) + 11 H2O( ) .
Le suivi temporel de la consommation de l’ion dichromate Cr2O72–a permis de tracer la courbe Cr2O7 2   =f(t)
ci-dessous. 2- -1
. [Cr2O7 ] (mmol.L )
Q41 : La valeur de l’avancement final de la réaction est :
A x f =6,75.103 mol B x f =6,75.102 mol
C x f =1,35.103 mol D x f =1,35.102 mol
E x f =4.103 mol
Q22 ; La valeur de temps de demi-réaction
Q42 : Le temps de demi-réaction vaut :

A t1/2 =6,5min B t1/2 =5,5min


30
C t1/2 =3,5min D t1/2 =2,5min
t(min)
E t1/2 =4min
0 5 10 15 20 25
Q43 : La valeur de la vitesse volumique de réaction à t0=5 min est :

A v0 =4 mmol.L1.min 1 B v0 =6 mmol.L1.min 1
C v0 =9 mmol.L1.min 1 D v0 =10 mmol.L1.min 1
E v0 =10 mmol.L1.min 1

Système chimique en état d’équilibre


On introduit initialement dans un bécher ; une solution aqueuse d’acide éthanoïque CH3CO2H(aq) ; une
solution aqueuse d’éthanoate de sodium Na+(aq) + CH3CO2-(aq) ; une solution aqueuse de benzoate de sodium
Na+(aq) + C6H5CO2-(aq) et une solution aqueuse d’acide benzoïque C6H5CO2H(aq). Les 4 solutions ont le
même volume V et la même concentration molaire C.
La transformation chimique est modélisée par l’équation :
CH3CO2H(aq) + C6H5CO2 (aq) CH3CO2(aq) + C6H5CO2H(aq) de constante d’équilibre K=0,25.
Données : K A1 =K A (CH3CO2H(aq) /CH3CO2(aq)  )=1,6 10-5 .
p2
Q44 : L’expression du taux d’avancement final à l’état d’équilibre est :

1 K K K 1 K
A = B = C = D =
K 1 K 1 K 1 K

K 1
E =
K 1

Q45 : La valeur du taux d’avancement final de la réaction est :


A  =0,23 B  =0,33 C  =0,67 D  =0,76 E  =0,80

Q46 : La valeur de la constante d’acidité du couple C6H5CO2H(aq) / C6H5CO2 (aq) est :


A K A2 =1,6.104 B K A2 =4,5.105 C K A2 =6,4.105 D K A2 =2,9.104 E K A2 =6,4.104

Solution aqueuse d’ammoniac


On considère une solution aqueuse (S) d’ammoniac de concentration C=10-2 mol.L-1 et de pH= 10,6 .
Données : pKe =14; 100,4  0,4.
Q47. Le taux d’avancement final de la réaction qui se produit a pour expression :

10 pH 10pH 10pKe  pH . 10pH  pKe 10 pH


= = = = =
A C.K e B C.K e C C D C E C

Q48 : L’expression de la constante d’acidité du couple NH4+ (aq)/ NH 3 (aq) est :

KA =
C.τ 2
KA =
Ke τ2
KA =
1  τ .10 pH KA =
1  τ .10pH
A 1 τ B C.1  τ  C τ D τ

KA =
1  τ .10pH
E
τ2

Q49 : La valeur du pKA du couple NH4+ (aq)/ NH 3 (aq) est :


A pK A =9,8 B pK A = 5,4 C pK A = 9,2 D pK A = 10,7 E pK A = 11,2

On ajoute à un volume VB= 20 mL de la solution (S) d’ammoniac un volume VA = 20 mL d’ une


solution aqueuse d’acide chlorhydrique H3O (aq) + Cl(aq) de concentration molaire CA =5.10-3 mol.L-1.
Données : 1010,7  2.1011 .
Q50 : L’avancement final xf de la réaction qui a eu lieu a pour expression :
A x f = CB .VB  (VA + VB ).10pH  pKe B x f = CA .VA  (VA + VB ).10pH C x f = CB .VB  (VA + VB ).10pH  pKe
D x f = CA .VA  (VA + VB ).10pH  pKe E x f = CA .VA  (VA + VB ).10 pH
p3
Q51 : Le pH du mélange est :
A pH=4,8 B pH=7 C pH=9,2 D pH=10 E pH=11
Q52 : La valeur de la concentration [NH4+ (aq)] vaut :
A  NH4  ( aq )  =103 mol.L-1 B  NH4  ( aq )  =1,5.103 mol.L-1 C  NH   =2,5.103 mol.L-1
 4 ( aq ) 

D  NH4  ( aq )  =2,5.104 mol.L-1 E  NH4  ( aq )  =4.104 mol.L-1

Solution aqueuse d’ammoniac


On ajoute à un volume VA= 10 mL d’une solution (SA) d’acide chlorhydrique H3O+ (aq) + Cl- (aq) de
concentration molaire CA = 4.102 mol.L-1 un volume VB= 10 mL d’une solution (SB) d’hydroxyde de
sodium Na+ (aq) + HO- (aq) de concentration molaire CB = 2.102 mol.L-1 , on obtient une solution (S).
Données : pKe =14 ;log2  0,3.
Q53 : Le pH de la solution (SB) :
A pH=2,3 B pH=8,3 C pH=10,3 D pH=12,3 E pH=14

Q54 : Le pH de la solution (S) :


A pH=1,5 B pH=2,3 C pH=2 D pH=10,3 E pH=12

Pile Aluminium-Argent
On réalise la pile de schéma conventionnel Al(s) | Al3 +( aq ) || Ag +( aq ) | Ag( s )  . Les deux solution ont le
même volume V0 = 100 mL , et les concentrations des deux ions Ag + ( aq ) et Al3 + ( aq ) ont la même
concentration Ag +( aq )  =  Al3 +( aq )   0,1 mol.L1 . On ferme le circuit de la pile à t0 = 0 , un courant
i i

d’intensité constante I=10 mA passe dans le circuit de la pile. À un instant t 1 on constate la diminution de de
l’une des deux électrodes de 41,6 mg.
Données : 1 F = 96,5 .103 C.mol-1 ; M(Al)=27g.mol-1 ; M(Ag)=108g.mol-1; 4,62  965 =4460 ; 13 1,54 = 20.

Q55 : L’avancement de la réaction qui a eu lieu à l’instant t1 vaut :


A x=1,54.102 mol B x=2,0.102 mol C x=1,54.103 mol D x=2.103 mol
E x=1,54.101 mol

Q56 : La concentration des ions Ag + ( aq ) à l’instant t1 vaut :

A Ag +  =0,07 mol.L-1 B Ag +  =0,05 mol.L-1 C Ag +  =0,04 mol.L-1 D Ag +  =0,03 mol.L-1
E Ag +  =0,02 mol.L-1

Q57 : L’instant t1 vaut :


A t1  4,46.104 s B t1  4,46.103 s C t1  4,46.105 s D t1  8,3.104 s
E t1  104 s
p4

Réaction d’éstérification
On mélange initialement la même quantité de matière n0 = 0,5 mol d’éthanol C2H5OH et d’acide
propanoïque C2H5COOH, l’ester formé a pour formule brute C5H10O2.
Données : la constante d’équilibre de la réaction est K=4 ; la masse molaire de l’ester M=102 g.mol-1.
Q58 : Le rendement de cette réaction d’estérification est :
A r = 33% B r = 40% C r = 60% D r = 67% E r = 80%

Q59 : La quantité de matière (en mol) de l’acide propanoïque à l’équilibre est :


A n = 0,017 B n =0,17 C n = 0,33 D n = 0,6 E n = 0,67

Q60 : La constante d’équilibre de la réaction d’estérification :

A dépend des B dépend des concentrations à C dépend de la température


concentrations initiales l’équilibre
des réactifs
D ne dépend pas de la E dépend du taux d’avancement final de la réaction
température
MATHEMATIQUES

Q61 :
ln 2 (1  x)
lim est égale à
x 0
x2  1  1

A 0 B 1 C 2 D 1 E 2

Q62:
ln 4 2e x  3
ln 3 e x  2e x  3
dx 

A ln 4 B ln 3 C ln 2 D ln 6 E ln 12 

Q63:
e x
2

Soit f la fonction définie sur 


par : f ( x)  . Alors f '( x) 
x

 e x (2 x 2  1)  e x ( x 2  2) e x ( x 2  2) e x (2 x 2  1)  e x (2 x 2  1)
2 2 2 2 2

A B C D E
x2 x2 x2 x2 x2

Q64 :
 1 1 1 1
Si x  1,  alors lim 1   2  3  .........  n  est égale à :
n 
 x x x x 

x x 1
A 1 B  C D E
x 1 1 x 1 x

Q65 :
1  1  x3 
Soit h la fonction définie sur 1,1 par : h  x   ln   si x  0 et h  0   0 . h '  0  est égal à :
x 2  1  x3 

4
A 2 B 0 C 1 D E h n’est pas dérivable en 0
3
Q66 :

L’équation x  2  ln x  0 :

A admet une seule solution  et 0    1 B admet une seule solution  et 1  e


C admet deux solutions D admet trois solutions
E n’admet pas de solution

Q67 :
 2x
x

lim 
x   x (2 x )

A 0 B 1 C 2 D  E n’existe pas

Q68 :
1
1
L’intégrale 1
3

x x2  x
dx est égale à :

A 2 B 2 2 C 2  2 D 4  2 2 E 42 2

Q69 :

Dans l’ensemble , si z  3 et z  2  1 alors z  2 est égal à :

A 1 B 2 C 3 D 3 E 13

Q70 :

Le nombre cos(4 ) est égal à :

A cos4   6cos2  sin 2   sin 4  B cos4   6cos2  sin 2   sin 4 


C cos4   6cos2  sin 2   sin 4  D cos4  10cos2  sin 2   sin 4 
E cos4   6cos2  sin 2   sin 4 

Q71 :

f est une fonction deux fois dérivables sur telle que f "( x)  2 f '( x)  0 pour tout x de et

f (0)  f '(0)  e . Alors f (1) 

e3 e2
A 2e B e C
2
D
2
E
2
 e  1
e 2
Q72 :

 un  n  0 est la suite définie par u0  0 et pour tout 𝒏 ∈ , un 1 


1
 4un
2

16
La limite de la suite  un n0 si elle existe , est égale à :

1 1
A B C  D 0 E Autre valeur
16 8
Q73:

Si f  x   x3  3x2  8x  5 et g  x   f 1 ( x) pour tout x de alors g '(5) est égal à :

1 3 5 1 1
A B C D  E
8 8 8 8 2
Q74 :

Une urne contient trois boules blanches et une boule noire ( les boules sont indiscernables au toucher )
On tire au hasard , successivement et avec remise trois boules . La probabilité d’obtenir exactement deux
boules noires est :

3 1 9 15 3
A B C D E
64 16 64 16 4
Q75 :

i
1 e 4
La forme exponentielle du nombre complexe z 
i
1 e 4

  3  3
D tan    e 4   i
i i i i
A e 4
B e 2
C 2e 2 E tan   e 2

8 8
Q76 :
e
Soit n un entier naturel non nul . L’intégrale : I n  1 x n ln x dx est égale

nen 1  1 ne n 1 nen 1  1
A B C
(n  1) 2 (n  1) 2 (n  1) 2

en 1 en 1
D  E 
n(n  1) (n  1) 2 n  1 (n  1) 2

Q77 :

 x 1 1
3  a ;x  2
Soit f la fonction définie sur  ,    2 par : f ( x)   x2 avec a et b deux réels donnés
2   2x  3  b
 ;x  2
x2
f admet une limite finie en 2 si et seulement si :
A a  2 et b  1 B a  1 et b  2 C a  0 et b  1

D a  1 et b  0 E a  0 et b  0

Q78 :
1
 un  n  0 est la suite définie par u0  0 , u1  et pour tout 𝒏 ∈ , un  un1un1
2
La limite de la suite  un n0 est égale à :

1
A 0 B  C 1 D 2 E
2

Q79 :
Le plan complexe rapporté à un repère orthonormé direct (𝑶, 𝒖, ⃗ ).
⃗⃗⃗ 𝒗
z 1
L’ensemble de points M d’affixe z tel que est imaginaire pur est :
z 1

A L’axe des réels privé du point A(1,0)


B Le cercle de centre O et de rayon 1
C Le cercle de centre A(1,0) et de rayon 1 privé du point B  0,1
D Le cercle de centre B  0,1 et de rayon 1 privé du point A(1,0)
E Le cercle de centre O et de rayon 1 privé du point A(1,0)

Q80 :
⃗ ).
L’espace est muni d’un repère orthonormé direct (𝑶, 𝒊, 𝒋, 𝒌
On considère les points A(1,1,1) , B  0,1,1 et C 1, 0,1 .

A A , B et C sont alignés
1
B A , B et C forment un triangle d’aire
3
1
C A , B et C forment un triangle d’aire
2
D une équation cartésienne du plan  ABC  est x  y  z  3  0

E une équation cartésienne de la sphère de diamètre  AB  est x2  y 2  z 2  x  2 y  2 z  2  0

Vous aimerez peut-être aussi