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SOMMAIRE

1. ACCESSSOIRES ET EQUIPEMENTS HYDRAULIQUES 2-3


2. HYDRAULIQUE 4-7
3. APPROVISIONNEMENT –GESTION DU STOCK 8-9
4. ASSAINISSEMENT 10-11
5. PROGRAMMES DE FINANCEMENT 12
6. CHLORATION 13-17
7. COMPTAGE 18-19
8. CONDUITE 20-21
9. DESINFECTION 22
10.DESSALEMENT 23
11.ELECTRICITE 24-25
12.ECONOMIE DE L'EAU – RECHERCHE DE FUITES 26-27
13.GROUPES ELECTROGENES 28
14.CONNAISSANCES GENERALES 29-33
15.LOGISTIQUE 34-35
16.FONCTION MAINTENANCE 36-40
17.MOTEURS 41-44
18.NORMES 45
19.GROUPE DE POMPAGE 46-49
20.SYSTEME DE REGULATION 50
21.RESEAU DE DISTRIBUTION 51-53
22.TRAITEMENT DES EAUX 54-55
23.TRANSFORMATEURS 56-57
24. POLLUTION –ENVIRONNEMENT 58
25. PROTECTION CATHODIQUE 59-
60
26. DEMARCHE QUALITE 61

1
1- ACCESSOIRES ET EQUIPEMENTS HYDRAULIQUES
1 Différents types de joint Pour la fonte :
 Joint gibault : 2 contres brides – 2 rondelles en caoutchouc
 Joint express : 1 contre bride – 1 rondelle en caoutchouc
 Joint standard :
Pour le PVC  et B.A:
 Bague d’étanchéité
Pour l’amiante ciment :
 Joint reka
 Joint univit
 JG
2 Différents types de vannes 
Robinet à opercule en caoutchouc

Vanne équilibrée

Vanne à papillon sandwich ou à brides

Vanne à guillotine

Vanne murale
3 Différents appareillages de 
Ventouses pour l’évacuation de l’air lors du remplissage de la
protection des réseaux d’eau conduite et l’admission de l’air lors de la vidange de la conduite
(ventouse à grand débit et triple fonction).

Soupape anti-bélier ou soupape de décharge : assure la protection
des canalisations en cas de surpression
Pour le choix d’une soupape de décharge, il faut connaître :
 1° la pression maximale susceptible d’être appliquée à
l’appareil sans s’ouvrir
 2° le débit à évacuer
 3° la valeur de la surpression lors de l ‘évacuation du débit

Filtre : permet d’éliminer les corps étrangers et protéger les
appareils posés en aval

Vanne de survitesse : destinée à couper le débit en cas d’une
rupture en aval, évitant ainsi l’inondation et le vidange des
réservoirs

Clapet de nez : empêche le retour du fluide

Régulateurs de pression aval : assure une pression constante et
réglable quelque soit les variations de pression à l’amont et les
variation de débit

Régulateurs de pression amont : il débit lorsque la pression amont
est supérieure à la pression du tarage et la pression aval est
inférieure à la pression amont

Robinet altimétrique : il maintient la hauteur d’eau constante et
réglable dans un réservoir

Vanne de régulation multifonctions : elle permet la régulation
amont et aval dans une installation
4 Types de vérin 
Vérin à simple effet

Vérin à double effet
5 Différents types de clapet 
Clapet à battant

Clapet à cône

Clapet à membrane

Clapet à ballon
Clapet sandwich.

Crépine (à 0.5 m du fond)

Clapet d’aspiration

Cône convergent

Pompe

Cône divergent

Stabilisateur
6 Equipement de canalisation de 
Manchette
refoulement 
Compteur

Manomètre amont (pour le calcul de la courbe caractéristique de la
pompe)
2

Vanne de refoulement

Manomètre aval (pour tracer la courbe caractéristique de la
conduite)

Clapet de refoulement

Anti-bélier
7 Equipements nécessaires à la 
Ballon anti-bélier
protection des conduites de 
Ventouse
refoulement 
Clapet rentré d’air

Réducteur de pression

Cheminé d’équilibre
8 Différence entre stabilisateur 
S-3D : utilisé pour des  compris entre 65 et 150 lorsqu’on n’a pas
RJ-1 et S-3D assez d’espace ils ont pas une forme convergent

RJ-1 : stabilisateur à nid d’abeille utiliser pour les gros diamètres et
nécessite un élément droit en aval
9 Quel est le rôle d’une ventouse 
Evacuation d’air lors du remplissage d’une canalisation

Introduction d’air lors de la vidange.
10 Définir les rôles des accessoires 
Crépine : évite l’aspiration des corps solides dans la pompe
suivants 
Stabilisateur : évite les turbulences dans l’écoulement qui pourrait
influencés les mesures du compteur.

Clapet de refoulement : empêche l’inversion du sens de
l’écoulement lors de l’arrêt de la pompe.

Manomètre amont : Indique la pression de la pompe mois les
pertes de charges dues au compteur, stabilisateur et canalisation.
Sert à tracer la courbe C de la pompe H=f (Q).

Manomètre aval : Indique la pression dans le circuit de
refoulement, sert à tracer la C caractéristique du circuit de
refoulement. DH =KQ2

Pressostat : dispositif automatique de régulation dessiné à
maintenir la pression entre deux valeurs de consigne.

Thermostat : dispositif automatique de régulation destiné à
maintenir la température entre deux valeurs de consigne dans une
enceinte fermée.
11 Qu’est ce qu’un régulateur : 
Est un appareil réducteur qui assure une pression aval constante et
De pression aval réglable q.l.q soient les variations de pression à l’aval et la demande
de débit.

Est un appareil qui limite le débit à une valeur maximale réglable et
De débit : maintien une pression amont minimale réglable.

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3
2- HYDRAULIQUE
1 Quels sont les effets d'une cavitation  Explication du phénomène : à l’entrée de la pompe, si la
pression est trop faible, à cause d’une grande hauteur
d’aspiration ou autres paramètres, l’eau passe de l’état
liquide à l’état gazeux, il y a formation de bulle de vapeur,
une fois elles retrouvent une pression supérieure au niveau
de la roue, elles implosent et passe de l’état gazeux à l’état
liquide et produisent un bruit caractéristique de la
cavitation (bruit cailleux, vibration de la pompe avec des
effets d’érosion des roues).
 Vibration ; ° Bruit
 Perte de pression ; ° Perte de débit
 Perte de rendement
Nb : pour éviter la cavitation il faut que : (NPSH) d-(NPSH) r
= 0.5 m
2 Quelles sont les conditions qui peuvent  Crépine bouchée
faire caviter une pompe  Colonne d'aspiration endommagée
 Température du liquide qui change
 Baise de la nappe d'eau
 Entrée d'air à l'aspiration
 Augmentation du débit de la pompe
 Augmentation de la vitesse de rotation
mb : pour les pompes multicellulaire la cavitation n’affecte
que la première roue
3 Quels sont les éléments dont il faut  Débit, longueur, section et profil d’une canalisation
tenir compte dans le calcul de la  Temps d'arrêt de pompes ou de fermeture de vannes
capacité total d'un réservoir anti-bélier  La pression statique du réseau
 La surpression admissible et pertes de charge
4 Pour commander un soupape anti-bélier  la pression de service du réseau à protéger
que faut-il préciser  le débit max à évaluer
 pression max sous laquelle il se déclenche
 DN souhaité
5 Quelle est la différence entre  L’air et l’eau n’y sont pas en contact
Anti-bélier à membrane  Contact air/eau (2/3 eau et 1/3 air)
Anti-bélier sans membrane
6 Que permet de résoudre les réservoirs  Hydrofort: permet de résoudre tous les problèmes de
 Hydrofort surpresseur pression à toutes les hauteurs, débits, et pressions
 Hydrochoc anti-bélier  Hydrochoc: permet de résoudre les problèmes du coup de
bélier provoqués par des variations rapides du régime
7 A quelle hauteur de colonne d'eau 1 bar = 10,20 m
correspond 1 bar ?
8 Quelle est l’étude à mener pour Etude des régimes transitoires
dimensionner un anti-bélier
9 Pour une vitesse de rotation donnée  la courbe Q-H
citer les trois types de courbes  la courbe du rendement
principales qui caractérisent une pompe  la courbe des puissances absorbées
centrifuge
10 Quelles sont les fonctions qu'assure une  Utiliser sur les réseaux d'eau sous pression, la soupape de
soupape de décharge anti-bélier? décharge anti-bélier assure une protection optimale contre
les surpression, qu'elle qu'en soit l'origine
 La protection physique des réseaux elle réduit les
coefficients de sécurité qui conditionnent le
dimensionnement des réseau lors de la réalisation
11 Que signifie la pression nominale d’un  Pression maximale de fonctionnement en service continu
équipement ou d’un tuyau. pour laquelle il est conçu.
12 Citer les principales opérations  Vérifier l'étanchéité
préventives à réaliser sur une vanne  Manœuvre de vanne
 Révision des pièces d'usure
 Peinture
4
13 Quelles sont les fonctions de la vessie  Interdire la dissolution des gaz dans l'eau
 Isoler le liquide des parois métalliques du réservoir
14 Comment calculer la capacité d'un V du réservoir = (Vm3 j/2+120) m3
réservoir?
15 Origines des coups de bélier Le coup de bélier est un phénomène transitoire de propagation
d’onde (surpression-dépression) résultat de la variation
brusque d’écoulement d’eau dans une conduite :
 Coupure du courant électrique
 Arrêt d'un groupe de pompage à vanne ouverte
 Fermeture rapide de la vanne de refoulement
Conséquence : vieillissement prématuré des conduites et
accessoires – déboîtement des joints – casse des conduites,
aplatissement.
16 Les conséquences d’un coup de bélier  Casse de la conduite
 Aspiration des joints (cas de dépression)
 Détérioration du revêtement intérieur (cas de dépression)
 Risque d’introduction de pollution dans la conduite.
17 Appareillage qui assure la protection  Ballon anti-bélier (protection contre la surpression et la
contre le coup de béliers dépression)
 Cheminée d’équilibre (surpression et dépression)
 Volant d’inertie (surpression et dépression) utilisé pour
des conduites <500
 Soupape de décharge (surpression)
 By passe : (dépression)
 Ventouse : (dépression)
 Réservoir de stockage : dépression
18 Calcul du NPSH disponible  Cas d’aspiration : 10 - Ha – Ja
 Cas de refoulement : 10 + Ha - ja
19 Calcul pratique du Diamètre  D = 1.5 Q formule de BRESS
économique
20 Fonction d’un réservoir  Régulation du débit
 Régulation de pression
 Sécurité d’approvisionnement
 Simplification de l’exploitation
 Economie d’énergie
 Réduction des investissements sur les ouvrages de
production
 Réduction des investissements sur le réseau

21 Accessoires hydrauliques d’un réservoir  Conduite d’arrivée équipée de robinet flotteur ou vanne
altimétrique
 Trop plein
 Vidange
 By pass
 Comptage
 Robinet vanne
22 Différence entre corrosion, l’érosion,  Corrosion : causes chimique ou hydraulique
l’abrasion  Abrasion : usure par sable ou gravier
 Erosion : est due à un effort mécanique qui modifie la
surface
23 Dans une conduite de quoi dépend les  Nature de la conduite (rugosité)
pertes de charge linéaire  Débit transité
 Longueur de la conduite
 Le diamètre de la conduite
24 Différents constituant d’un anti-bélier  Vessie en caoutchouc alimentaire
 Clapet anti-retour
 Shunt by pass reservoir
 Purge d’air
 Tube de niveau
5
 Indicateur de pression (manomètre)
 Robinet isolant
 Robinet isolant air/eau
 Valve de gonflage
25 Définition d’un écoulement laminaire et  Dans un écoulement laminaire les file
turbulent
26 Y a t il une différence entre perte de  Non
charge et perte de pression
27 Les vitesses admissibles dans un réseau  Entre 0.3 m/s et 2 m/s
28 Expliquer le phénomène des pertes de  Pertes d’énergies de pression à cause des frottements des
charges, quels sont les différents types. particules d’eau entre elles et contre les parois des
canalisations (pertes de charges linéaires).
 Pertes de pression suite à la présence d’un obstacle ou une
singularité sur la conduite (pdc sigulières) vanne,
coudes….etc.
29 Comment varient les pdc avec la  Augmentent avec la longueur
longueur, le diamètre et le débit  Augmentent avec le débit
 Diminuent lorsque le DN augmente
 Hij = µL/D x V2/2g
30 Taux de branchement  T = P branchée/ P totale en %
31 Comment améliore t- on ce taux  Supprimer les BF dans les Q. canalisés
 Accorder des facilités de paiement (BS ou autre)
 Campagne de sensibilisation pour contracter des
branchements individuels
32 Donner la relation entre Q, V et DN  Q=VxS Q= V x µD2/4
33 Quelle est la différence entre un  En charge les particules de liquide sont soumises à une
écoulement en charge et écolt à surface pression > P atmosphérique
libre  A surface libre ………………….à la P atmosph.
34 Pression absolue  P absolue = P relative + P at
35 Donner l’expression du nombre de  Re = V x D/ v, ce nombre intervient dans la
Reynolds classification des écoulements :
 Ecoulement laminaire Re < à 2000
 Ecoulement turbulent Re > à 3000
 Ecoulement transitoire 2000< Re<3000
 (v = viscosité cinématique de l’eau 1,101. 10-6
36 Quelles sont les unités usuelles pour les  M3, l; m3/h, l/s, l/mn; bar, Pascal; Watt, KW, CV.
grandeur : volume, débit, pression,  1 bar = ………….Pascal
puissance.  1Watt = ………….CV.
37 taux de couverture  Taux C = (P branchée + P pouvant être bran)/P total
38 NPSHd =  Cas aspiration : Pat/eg – Ps/eg – (Hg asp + Jh asp)
 Cas en charge : Pat/eg – Ps/eg + (Hg asp - Jh asp)
39 C’est quoi un lac collinaire  Un lac entre deux collines
40 C’est quoi un barrage collinaire et quel  C’est un barrage artificiel constitué en terre son rôle est :
est son rôle  Stockage de l’eau brute
 Production de l’énergie électrique
 Irrigation
 Protection contre les inondations
41 Quelle est la différence entre nappe  Phréatique : nappe qui donne naissance à des ressources
phréatique et nappe captive  Captive : située entre deux couches imperméables
42 Quelle est la différence entre un puits et  Puits a un grand diamètre et pas très profond
un forage  Forage à un petit diamètre est très profond
43 Citer quelques avantages du  Rapidité d’exécution
forage/puits  Très bonne protection contre la pollution
 Profondeur importante = captage des aquifères profonds
44 Qu’est ce que une ligne piézomètrique  C’est une ligne définie par rapport à un plan horizontal de
référence augmentée de la hauteur Z + P/eg à la verticale
de chaque section

6
45 Ligne de charge  Est déduite de la ligne piézomètrique par translation vers
le haut en chaque point de la valeur V2/2g
E =Z+P/eg+ V2/2g = constante
 Z = la hauteur du point considéré au plan de référence,
elle représente l’énergie potentielle de situation
 P/eg = la hauteur de charge= énergie potentielle de
pression
 V /2g = la hauteur dynamique due à la vitesse, elle
2

représente l’énergie cinétique


46 Qu’est ce qu’une côte pièzomètrique  La cote du niveau où s’établirait la surface libre du liquide
dans un tube fictif dréssé à la verticale. La hauteur de ce
tube exprimée en m est représentative de la pression au
point considéré, côte piézomètrique = altitude+pression
47 Enoncer l’équation de Bernoulli  Entre deux points différents d’une ligne de courant, il y a
conservation de l’énergie totale du fluide,
Z1 +P1/eg + V2 1/2g = Z2+P2/eg + V2 2/eg = Cst

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7
3- APPROVISIONNEMENT –GESTION DU STOCK

1 En matière d'approvisionnement à  Matériel d'eau


l'ONEP, distinguer les différentes  Produit de traitement
familles de matériel codifié?  Gasoil
 Matériel de branchement
2 Quel est le rôle du magasin général  Stockage des compteurs neufs
des compteurs ?  Stockages des pièces de rechange
 Stockage des compteurs réparés
3 Quels sont les trois niveaux de 
magasin central
magasin de stockage de l'ONEP 
magasins principaux régionaux

magasins régionaux
4 Définition des stocks 
un stock est une provision, réserve de produit
constituée en vu de satisfaire un besoin ultérieur dans
un objectif technique et économique ou spéculatif
5 Gestion du stock elle consiste à répondre à trois questions
fondamentales :

quand ?

combien commander ?

et quelle sécurité à prendre ?
6 Les objectifs de la gestion du stock 
quantité (la bonne quantité à stocker)

qualité (le produit)

prix (le moindre prix)

temps (délais de livraison acceptable)

lieu (au bon endroit)
7 Les services responsables de la 
acht
gestion 
gestion des stocks

acheminement interne des matières

prévision, planification et contrôle de la production
8 Règles d’or de la gestion du stock 
assurer un flot continu des biens et services
nécessaires au bon fonctionnement de l’entreprise

réduire au minimum les investissements de stock

assurer le niveau de qualité désiré

si possible standardiser les articles achetés

acheter au prix le plus bas

assurer une relation harmonieuse avec les autres
fonctions de l’entreprise

faire fonctionner le service au coût le plus bas
possible

maintenir de bonne relation avec le fournisseur
9 Avantages et inconvénients du stock Avantages :

a parer à la pénurie

assurer une consommation régulière d’un produit
bien que sa production soit irrégulière

profiter d’une réduction de prix unitaire en achetant
une grande quantité

la rupture de stock entraîne un manque à gagner
Inconvénient

le caractère périssable de certain produit

la présence d’invendus

le stock doit être gardé et protéger

8
10 Différentes méthodes d’évaluation 
Méthode LIFO last in first out
du stock 
Méthode des coûts moyens pondérés

Méthode du coût propre

Méthode de la facture la plus récente

Méthode de la valeur de remplacement
11 Coût du stockage 
Coût de possession : coût de magasin,
fonctionnement du magasin, salaire du personnel,
coût généraux tenu du stock (informatique)

Coût engendré par l’obsolescence, casse, vol.)

Coût de passation des commandes

Coût de rupture
Cg = coût total de la gestion
Cl = coût de lancement
Cs = coût de possession par article et par unité de temps
(%)
P = périodicité de chaque commande
N : nombre d’article par commande
n : nombre de commande
U : prix unitaire
A : consommation annuelle

Cg = Cl x n + Cs UA/2n
La fonction Cg et au minimum lorsque la dérivé = 0
Cg/dn = Cl – CsUA/2n2 =0 Cl = CsUA/2n2

Cl coût de lancement
Coût de possession

n optimale
A=nxN N = A/n
P = A/N CsUA/2Cl = P
12 Définition de la gestion du stock 
Gérer les stocks, c’est chercher les règles, les structures et
les processus de réapprovisionnement, de stockage et
d’expédition, afin de minimiser l’ensemble des coûts qui
leur sont liés
13 Taux de rotation du stock 
Consommation de la période/Stock moyen de la période
14 Taux de couverture 
Stock moyen / consommation moyenne mensuelle
15 Que signifie : Matériel codifié 
Matériel non consommable (produits de
traitement ,matériel de branchement, carburant,
Matériel non codifié compteurs)

Matériel consommable (outillage, électricité, droguerie,
matériel de construction, pièces mécanique et pompes,
bois et divers…)

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9
4- ASSAINISSEMENT
1 définition Collecte, évacuation et rejet des eaux usées, pluviales ou des
déchets solides
2 Dans l'établissement du réseau Assurer :
d'assainissement d'une agglomération,  le transite vers l'épuration des eaux usées ou des eaux
quelles sont les deux catégories de résiduaires industrielles
préoccupations dont il doit répondre  évacuation des eaux pluviales afin d'éviter la submersion
des zones urbanisées ou la stagnation aux points bas
3 Dans le système d'évacuation des eaux  un système séparatif est formé de deux types de réseau
usées et des eaux pluviales qu'est ce l'un pour l'évacuation des eaux domestiques ou
qu'un système séparatif industrielles et l'autres pour les eaux pluviales
4 En matière d'épuration, qu'est ce qu'un :  pré traitement : a pour objectif de séparer les matières les
Un pré traitement plus grossières et les éléments susceptible de gêner les
Un dégrillage étapes ultérieur du traitement
Un dessablage  dégrillage : permet d'éliminer les gros objets qui existent
Un déshuilage dans l'eau brute et qui sont nuisible aux installations aval
(conduites, pompes.)
 dessablage : pour l'élimination des sables présent dans les
effluents
 déshuilage : éviter l'encrassement de station par corps gras
5 Procès de traitement d’effluent urbains  Degrilleur
 Dessableur
 Dégraisseur
 Floculation
 Décantation
 Dénitrification
 De phosphatation
 Dégazeur
 Chloration
6 Pourquoi l’ONEP intervient il dans le  Menace de dégradation des ressources d’eau
secteur d’assainissement  Exigences des bailleurs de fonds
 Réduire les coûts (gestion de l’eau et de l’assainissement)
recommandation du CSEC (conseil supérieur d’eau et du
climat)
7 Les sources de pollution  Pollution d’origine domestique et urbain (matière
organique MO, matière en suspension MES, matière
azotée
 Pollution industrielle (MO ou matière toxique
 Pollution d’origine agricole : nitrate, phosphate pesticide,
matière organique provenant des rejets animales
8 Les solutions simples d’épuration  Jacinthe d’eau : efficace pour l’élimination des polluants,
mais présente un danger pour les plans d’eau
 Lentille d’eau : tester dans la station d’épuration
BOUZNIKA 2000 m3/j
 MARINGA : traitement par les graines de morille sont en
cours de mise en place.
9 Station d’épuration de BEN SLIMANE  Station de type lagunage aérer débit 5600 m3/j
10 L’épuration des eaux deux phases  L’épuration physique 
 L’épuration biologique
11 Objectif visé par le traitement des eaux  L’objectif visé par le traitement des eaux usées est de
usées sauvegarder l’environnement en général et les ressources
en eau en particulier
12 Différents tuyaux utilisés en  CAO : conduite armée ordinaire
assainissement  PVC type assainissement
 Béton vibré
 Béton armé
 Dalot
13 Les principaux procédés d’épuration  Système intensif : lorsque on a problème
10
d’encombrement, la station est renforcée par des
équipements qui permettent l’aération des eaux usée par
des pompes (temps de traitement est court)

 Système extensif : l’aération se fait naturellement et le


temps de traitement est important
14 Citer les conditions hydrauliques de  Vitesse>0.5 m/s
l’auto-currage du réseau  Pente > 3 pour mille
d’assainissement
15 Citer deux essais à subir pour une  Résistance à des charges extérieures
canalisation d’assainissement  L’étanchéité
16 Donner deux méthodes pour s’assurer  Couche d’argile de 40 cm
de l’étanchéité du bassin de décantation  Géomembrane
17 Quel est le type d’écoulement  Ecoulement à surface libre
généralement rencontré dans les
réseaux d’assainissement
18 Donner les différents types de réseaux Les systèmes : Unitaire, Séparatif, Mixtes, non gravitaires,

d’assainissement non collectifs
19 Citer les plus importants critères qui  Comparaison technico-économique entre : un double
sont pris en considération pour le choix réseau (eaux pluviales ; eaux usées) et une usine
entre un réseau séparatif ou unitaire d’épuration pour les eaux usées uniquement et un réseau
unitaire mais une usine d’épuration plus importante pour
le traitement du mélange (E.usées/E.pluviales).
 La pluviométrie de la région
20 Comment doit être posé un réseau  Réseau d’eau au dessus de l’assainissement. En cas de
d’eau/ réseau d’assainissement risque d’infiltration poser des fourreaux de protection
21 Quelle est l’importance de  Constitue une partie fondamentale du cycle de l’eau
l’assainissement puisqu’il met en relation le milieu récepteur et le milieu
urbain à travers l’évacuation des eaux pluviales et les eaux
usées.
22 Quel est le rôle actuel de l’ONEP dans En partenariat avec les collectivités locales l’ONEP :
le domaine de l’assainissement  Elabore les études de schémas directeurs d’assainissement
 Mobilise les financements
 Réalise les ouvrages
 Exploite pour le compte des communes (convention de
co-gestion)
23 Les villes ou l’ONEP a signé un contrat  Ben slimane, khenifra, berkane, taourirt, ain taoujtat,
de gestion de l’assainissement avec les smara, tafoughalt, azilal, elgara, ben ahmed, guelmim, sidi
communes sont elmkhtar, kelaa des S, kelaa meguouna, outat el hadj, dar
el gueddari, elaroui,rissani, bouarfa, zaio, drarka.,
24 Station d’épuration  Installation destinée à épurer les eaux collectées par le
réseau d’assainissement avant leur rejet dans le milieu
naturel
25 Méthodes de curage  Curage manuel
 C .avec boulet
 C. par hydrostat
 C. hydromécanique
 C. par chasse d’eau
 C. mécanique
 Conditions hydrauliques

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11
5- PROGRAMMES DE FINANCEMENT

1 En quoi consiste le projet fond de Réhabilitation des systèmes d'AEP des petits centres pris
réhabilitation des système d'AEP en charge par l'ONEP:
des petits centres de l'ONEP  Préserver les ressources en eau, lutter contre les
pertes par amélioration des rendements
 Atteindre un taux de 75 % de desserte de la
population des centres concernés et un rendement
global >70%
 Réalisation des mesures d'urgences en assainissement
dans la limite de 10 % du montant du projet
2 Bailleurs de fonds  BIRD  : Banque mondiale de développement
 BAD  : banque africain de développement
 BEI  : banque européenne de développement
 KFW : B. dévolt fond communal
 UE : union européenne
 AFD  : agence française de développement
 OECF  : fonds japonais
 MEDA : AEP RURAL 140 MDH
ASSAINISSEMENT 100 MD
(2001 au 2003)
 JICA :

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12
6- CHLORATION

1 En matière de chloration que signifie le C'est la pression régnant au point d’injection du chlore,
terme "contre pression" augmentée des pertes de charge entre l'hydroéjecteur et le
point d'injection
2 Citer la principale opération de  Contrôle visuel de l'étanchéité
maintenance préventive à effectuer sur  Nettoyage filtre d'eau motrice, robinet détenteur avec
un poste de chloration filtre et pièces à chlore, tube de mesure du débitmètre,
coulisseau, convergent, divergent de l'hydro éjecteur,
clapets anti-retour du chloromètre et éjecteur
 Révision générale :
 Démontage complet
 Nettoyage et inspection des pièces
 Changement des joints et tubes flexibles
 Contrôle de la pompe de surpression
 Inspection de la canne d'injection
3 En matière de chloration, que signifie le La quantité de chlore nécessaire pour réagir avec les matières
terme "demande en chlore" organiques ou minérales contenues dans l'eau et obtenir un
début de chlore résiduel
4 Quels sont les différents modèles  Modèle à sonde séparée de l'hydroéjecteur: destiné aux
disponibles d'hydroéjecteur injections au fond des forages, des puits et des réservoirs
 Modèle standard avec sonde solidaire
 Modèle avec SAS de démontage : le sas de démontage
permet de démonter et remonter l'hydroéjecteur sans avoir
recours à vider la conduite sous pression
 Hydro éjecteur "haute pression" : lorsque la contre
pression dans la conduite dépasse 9 bars et jusqu'a 12
bars, il convient d'utiliser un hydroéjecteur renforcé
"haute pression". Cet hydroéjecteur est toujours équipé de
vannes SAS
 Hydro éjecteur "très haute pression" pour les contres
pressions >12 bars et jusqu'à 20 bars, la vanne SAS est
remplacée par une vanne manuelle ébonitée
5 Nature des conduites en amont et en  En amont la conduite peut être en acier ou en PVC, en
aval de l'hydro éjecteur aval la conduite doit être uniquement en PVC
6 Qu’est ce que un hydroéjecteur et de  Appareil produisant l’évacuation du chlore gazeux au
quoi est constitué moyen d’un écoulement d’eau animé d’une certaine
vitesse. Il est constitué de :
 Un tube venturi
 Un clapet de retenu à diaphragme
 Un ressort
 Schéma

7 Principe de fonctionnement d'un L'écoulement de l'eau crée par le biais du venturi une
hydroéjecteur dépression au point A cette dépression se transmet au
diaphragme et le tire vers le bas en s'éloignant du point B, ce
qui permet au gaz d'être aspiré et d'arrivé au venturi et ce
mélanger avec l'eau motrice.

13
8 La valeur nécessaire du vide pour le  Le vide nécessaire pour le fonctionnement de
fonctionnement d'un hydroéjecteur l'hydroéjecteur est de l'ordre de 125 mm de mercure
9 Quels sont les deux systèmes de Le montage des chlorométres dépend du débit de chlore
montage d'un chloromètre nécessaire
 < à 2kg/h montage direct sur bouteille
 2kg/h à 10 kg/h montage mural ou sur tank
 >10 kg/h montage mural
10 Quel est le principe de fonctionnement  Le chlore gazeux est acheminé au chloromètre par
d’un chloromètre l’intermédiaire de la conduite d’alimentation. Une
conduite d’eau sous pression est nécessaire pour faire
fonctionner l’appareil. Le chlore chemine à travers
différentes composantes du chlorateur pour finalement
être mis en contact avec l’eau et forme une eau chlorée.
11 Différents types de régulateurs Régulateur simple ou régulateur avec ressort au dessus du
diaphragme dont la tension est réglée par une vis
12 Rôle du régulateur de vide Le régulateur de vide est utilisé pour équilibrer le vide en
fonction de tous les changements
13 Schéma d'un régulateur

14 Ou est placé le débitmètre En général après le régulateur de pression


15 Quel est le rôle du débitmètre Il indique le débit de chlore distribué par le chloromètre
16 Emplacement du diffuseur dans un Il faut choisir la zone la plus turbulente
canal ouvert
17 Emplacement du diffuseur dans une Au centre de la conduite ou la vitesse est plus grande
conduite sous pression
18 Transport des bouteilles 50 kg On utilise un diable
19 Transport tanks On utilise un palan
20 Entretien des appareils respiratoires Nettoyage, dépoussiérage, vérification de l'étanchéité du
périodiquement masque, date limite du stockage des cartouches filtrantes
21 Date limite de remplissage des Après une année ou après chaque utilisation
bouteilles du système respiratoire
22 Trois types d'appareils respiratoires  Appareils filtrants à base de charbon actif utilisés pour des
faibles fuites et à courte durée (date limite d’une
cartouche filtrante après 1ère ouverture < 6 mois).ces
appareils n’offrent qu’une protection relative (réserver
pour évacuer rapidement une zone contaminée, soit pour
effectuer des travaux de courtes durées lorsque la teneur
en chlore est faible < à 1 à2% en volume)
 Appareils isolants à air libre avec ou sans assistant
(convient pour des travaux à postes fixes avec un champs
d’action limité par la longueur du tuyau d’alimentation
d’air) : Appareils à adduction d'air comprimé (a circuit
ouvert les plus utilisé ou à circuit fermé : oxygène =
travailler dans des atmosphère à très forte concentration
en chlore) (isolants)

14
23 En cas de fuites de chlore  Il est important de maintenir le chlore à la phase gaz en
maintenant la bouteille à la position verticale (1 volume V
liquide du CHL=450 x V gazeux)m), même cas pour les
réservoirs de 1000kg robinet au dessus de R
 Porter des lunettes de sécurité, des gants en caoutchouc et
des chaussures appropriées
 Une autre personne prête à intervenir
 Un appareil respiratoire doit être disponible à l’extérieur
de la salle
 Une trousse d’urgence anti-fuite
 Une douche d’urgence et un poste de secours pour lavage
des yeux
24 Matériel attribué individuellement  Casque léger
 gants de cuir
 gants imperméables
 bottes ou bouteillons en caoutchouc isolant
 tablier
 combinaison isolante.
 Lunettes
 lampe électrique
25 Matériel attribué collectivement  matériel de protection
 Casque léger
(armoire Z)  gants de cuir
 gants imperméables
 bottes ou bouteillons en caoutchouc isolant
 tablier
 combinaison isolante.
 Lunettes
 lampe électrique
 matériel de colmatage des fuites (broches en cuivres,
chevilles en bois, marteau, ciment prompt pour
l’obturation des fuites légères.
26 Principe de détecteur de chlore L'air aspirée continuellement de la salle d’entreposage par
une pompe à air (0.057 m3/h) est acheminé à l'intérieur de
l'appareil contenant deux électrodes en platine baignant
partiellement dans une solution de sel (du bromure de
potassium), lorsque l'air contient du chlore, il se crée un
courant entre les électrodes qui est transmis au circuit imprimé
et déclenche par la suite l'alarme.
Schéma :

27 Par quoi faut-il colmater une fuite de  Sur conduite : isoler immédiatement le segment le
chlore remplacer, on utilise du ciment à prise rapide, attendre
q.l.q minutes et ré alimenter.
 Sur contenant : on utilise des obturateurs en caoutchouc
avec bride spéciale contenue dans la trousse anti-fuite sur
les parois.
 Sur robinet ou vanne : possible que si le robinet est
ouvert, ce type de fuites peut être due au dessèchement de
la garniture : serrer la presse étoupe, capuchon d’urgences
ont été fabriqués pour pallier à ce sujet, neutraliser le
contenu
15
28 Par quoi on détecte les fuites de chlore  Avec une solution d'ammoniaque (NH3) : le cl2 en
présence de vapeurs d’hydroxyde d’ammonium réagit
pour former une fumée blanche : le chlorure d’ammonium
NH3CL
 Matériels requis : flacon flexible en PE muni d’un évent
contenant une solution d’ammoniaque à 27% ou d’un tampon
imbibé d’ammoniaque placé au d’une tige
29 Qu'indique la sortie du chlore par  Le dysfonctionnement du chloromètre ou la dépression
l'évent persiste à l'intérieur du chloromètre

30 En cas d’incendie  Eviter l’utilisation d’eau dans la mesure du possible dans


la salle d’entreposage ou la salle des chlorométres
 Utiliser des extincteurs chimiques
31 Que faut-il faire en cas d’intoxication Le chlore réagit sur : les voies respiratoires, les muqueuses
externes et la peau.
Si la victime respire :
 il faut le dégager à l’extérieur du local
 enlevé ces vêtements
 lui évité de lui faire marché
 appeler un médecin
 ne pas lui faire boire

si la victime ne respire pas :


 une personne compétente lui donne la respiration
artificielle
 appeler un médecin
32 Equipement et matériel de sécurité à  détecteur de fuite
vérifier sont :  alarme sonore ou lumineuse
 extracteur de chlore
 pompe d’arrosage (surpression)
 solution neutralisante
 ventilateur d’aération
 masque à chlore
 cartouches filtrantes
 combinaison anti-chlore avec bouteille à air comprimé
33 Pourquoi on utilise des évaporateurs de Lorsqu'on veut soutirer une grande quantité de chlore des
chlore tanks
34 Principe de fonctionnement du L'hydroéjecteur crée une vide ou dépression. Ce vide se
régulateur de pression transmet jusqu'au régulateur de pression et exerce une force
sue le diaphragme qui relié à son tour à un pointeau et laisse
entrée le chlore gazeux
35 Que peut entraîner une fuite en aval de Entraîne l'entrée d'air dans le chloromètre et le régulateur de
pression pression coupe l'écoulement de chlore
36 Rôle du régulateur de pression Est de réduire le débit du chlore provenant des tanks qui est
sou pression
37 A quelle concentration le chlore gazeux  entre 1 et 2 g/l
est dissous dans l'eau
38 Causes probables lorsque le débitmètre  la bille est bloquée
n’indique aucun passage du chlore  qu’il y a une fuite au niveau de la canalisation reliant
l’hydroéjecteur et le chloromètre qui empêche la
dépression ou vide insuffisant de l’hydro éjecteur.
 la bouteille est vide
 robinet de détendeur fermé ou obturé
39 Quelles sont les précautions et mesures  local loin de toute source de chaleur
techniques de point de vue sécurité qui  ouverture des portes vers l’extérieur
doivent être prises lors de  commutateurs (ventilation/éclairage) à l’extérieur
l’aménagement d’un local  pente de 2,5% du caniveau
d’entreposage du chlore gazeux  fosse d’immersion pour les bouteilles de 50kg
 tour de neutralisation pour les tanks à chlore

16
40 Quel est l’équipement qui permet de  inverseur automatique
basculer un tank à chlore
41 Quels sont les 2 systèmes de montage  le chloromètre est indépendant du récipient de chlore
des chloromètres  le chloromètre est monté à proximité ou sur le récipient
42 Citer 2 types de protection contre les  fosse d’immersion
fuites de chlore  tour de neutralisation
43 Système de ventilation et de  l’air peut être éjecté directement : à l’extérieur (à «éviter
neutralisation en milieu urbain) ou à une tour de neutralisation.
 Le chlore gazeux étant 2,5 fois plus lourd que l’air, donc
occupe le point le plus bas de la pièce, ce point est le
caniveau ou on piège le chlore, c’est la que nous devons
aspirer le gaz débite :
Schéma :

 Tour de neutralisation : schéma

44 Solution neutralisante du chlore  hyposulfite de sodium


45

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17
7- COMPTAGE
1 Citer le différent type de débitmètre  Débitmètres électromagnétiques
 Débitmètre à organe déprimogène
 Débitmètre à ultrason
 Débitmètre à effet DOPPLER
2 Quelle est la perte de pression autorisée  Max: 1 bar
pour tous les compteurs  Min: 0.5 bar
Au débit max, min et nominal  Nom : 0,25
3 Quels sont les critères de choix d'un  Précision (erreur tolérée +-2%)
compteur  Débit à transiter (Qmin – Qmoy-Qmax)
 Les conditions de pose
 La qualité d'eau
 La lisibilité et facilité de lecture
 La facilité d'entretien et d'étalonnage
4 Le débit max d'un compteur représente 2 fois
combien de fois le débit nominal
5 Qu'attend nous d'un compteur  Qu'il nous donne une indication précise du débit transité
 Qu'il résiste aux pressions de l'eau
 Qu'il crée le minimum de perte de charge
 Qu'il nécessite le minimum d'entretien
6 Qu'est ce qu'un compteur combiné  Il est constitué d'un compteur gros calibre (principal) et un
petit calibre (secondaire) et une valve de commutation
 Il permet de comptabiliser les petits débits et les débits
importants
7 Citer les essais de réception d'un Modèle connu :
compteur mécanique dans le cas d'un  essais d'étanchéité
nouveau modèle et dans le cas d'un  essais de précision
modèle connu modèle inconnu
 essais d'étanchéité
 essais de précision
 essais de pression
 essais d'endurance
8 Dans la réglementation des compteurs  Q min : c'est le débit à partir duquel le compteur doit
d'eau froide comment définit on ? respecter l'erreur max admissible (5%)
 Q min  Q n : c'est le débit qui désigne le compteur il ne doit
 Qn ou Q permanent provoquer une chute de pression sup 10 mCE et l'erreur
 Q max ou Q de surcharge admissible est de (2%)
 Q de transition  Q max : égale à 2xQn et pour lequel la perte de
 Etendue de mesure de la charge : charge<1bar) auquel le compteur doit fonctionner sans
détérioration pendant une durée limité en respectant les
erreurs mini admissibles
 Q t : valeur de débit intermédiaire entre le débit de Qmax
et Qmin qui partage l’étendue de mesure en deux zones, la
zone supérieure et la zone inférieure, caractérisée chacune
par une erreur maxi admissible propre
 E.m.c : limites de Qmax et Qmin dans laquelle les
indications du compteur ne doivent pas être attachées
d’une erreur supérieure aux erreurs maximales tolérées
cette entendue est partagée en deux zones ( sup) et (inf) et
séparée par Qt.
9 Quels sont les principaux systèmes de  les compteurs mécaniques
comptage utilisés à l’ONEP  les débitmètres
 les appareils déprimogènes
10 Citer les différents types de débitmètres  eléctromagnétiques
 à ultrason
 à laser
 à vortex
 à organe déprimogène
 à effet doppler

18
11 Quelle est la différence entre un  compteur mesure un volume d’eau par différence entre
compteur et un débitmètre index
 débitmètre mesure un débit (volume par temps)
12 Accessoires hydrauliques qu’on peut  filtre à tamis
trouver dans un système comptage  stabilisateurs
 clapet anti-retour et disconnecteur
13 Différents moyens de contrôle d’un  contrôle par empotage
compteur  contrôles au compteur pilote
14 Avantage des débitmètres à ultrason  mesure réversible
 temps de réponse instantané
 perte de charge inexistante
 pas de perturbation du profil d’écoulement
 pas d’usure de matériel puisqu’il ne comporte pas
d’éléments mobiles
 exploitation économique (faible consommation d’énergie)
 coût d’entretien constant quelque soit le diamètre
 grands débits
 gros diamètres
inconvénient :
 linéarité des sondes
 éléments droits importants
15 Principe de fonctionnement du Il se repose sur la mesure de la force électromagnétique E
débitmètre électromagnétique induite par le déplacement de l’eau entre deux électrodes du
débit mètre où règne un champ magnétique uniforme B :
E = K B V D ou Q= E/KB*D2/4
16 Principe de fonctionnement des Le principe de ces appareils est de calculer la différence de
compteurs ultrasons temps de propagation dune ondes entre deux capteurs placé
sur conduite et d’en déduire la vitesse. Ta-b –Tb-a =T=2vd/C2
où C est la vitesse de propagation d’onde ou célérité.
17 A quelle pression doivent résister au 10 bars
minimum tous les compteurs
18 Lister les diamètres conventionnels des  Petit calibre (15-20-30-40)
compteurs mécaniques  Gros calibre (50-60-65-80-100-150-200-250-300-350-
400-500)
19 Classes des compteurs Classe A, B et C
20 Quelles sont les différentes catégories  Compteurs à piston ou à disque oscillant
des compteurs mécaniques  Compteurs de vitesse à turbine
 A jet multiple
 A jet unique
 Compteurs de vitesse à hélice
 A hélice verticale
 A hélice axiale
 Compteur combiné
21 Dans la réglementation des compteurs  Température entre 0 et 30°
d'eau froide, comment définit-on une
eau froide
22 Comment étalonner un compteur  Vérification primitive : essai de précision, de débits à
Qmin, QR, 0,3Qn, 0,5Qn, et Q max
 Vérification sur place par empotage ou au compteur pilote
23 A quoi sert le plombage des compteurs  Réglementer l’installation des compteurs
 Lutte contre les fraudes par les abonnés
24 Différence entre stabilisateur RJ.1 et S-  RJ.1 : stabilisateur à nid d’abeille utilisé pour les gros
3D DN>150mm, et nécessite un élément droit en aval (8xD)
 S-3D : utilisé pour DN< ou = 150mm lorsqu’on a pas
assez de place ou d’espace, il n’a pas de forme convergent
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19
8- CONDUITE
1 Comment dimensionner une adduction  débit de dimensionnement
(les principaux paramètres)  vitesse d’écoulement
 pression à satisfaire
 défense d’incendie

2 Tracer les caractéristiques équivalentes les deux conduites sont en parallèles :


de deux conduites dans les cas  les débits s’ajoutent
suivants :  la pertes de charge est la même.

les deux conduites sont en séries :


 le débit est le même
 les pertes de charges s’ajoutent

3 Quel est le but de l'essai en tranchée  Eprouver l'étanchéité de la conduite à la pression max
transitoire qu'il pourra subir au cours de son exploitation,
elle est égale à la pression max majorée de la surpression
calculée. PE = Pmax + Surpression
4 Quels sont les éléments à prendre en  pression de service en régime continu
considération dans le choix des  surpression admissible – pression caractéristique
conduites  pression d'essai en tranchée
 charges extérieures dues au remblai et aux surcharges
roulantes
 conditions de pose
5 Comment défit-on la classe d'une  La classe d'une conduite exprime la pression à laquelle
conduite elle est éprouvée en usine. Il est recommander d'utiliser
des conduites qui ont une classe = 2 Ps
6 Rôle d’une buté dans une conduite  C’est pour équilibrer les forces extérieures après
changement de direction de l’eau (coude, Té, cône)
7 Quelle est la caractéristique principale  C’est la courbe qui présente les variations des pertes de
d’une conduite charges totales en fonction du débit Dh =kq2
8 Qu’est ce que l’on veut dire par le  Les frais d’exploitation (énergie liée aux pdc) varient
diamètre économique pour une inversement avec le diamètre de la conduite, le coût de
adduction d’eau l’investissement varie dans le même sens que le diamètre
de la conduite, le diamètre économique est l’optimum
entre ces deux notions
9 Quand utilise –t-on la gravette dans le  Fond de fouille rocheux
lit de pose d’une conduite  Présence d’eau (traversée d’une vallée)
10 Dans quel sens se fait la pose d’une  Du bas vers le haut
conduite en pente raide et quelles sont  ancrage
les protections à mettre en oeuvre
11 Les conduites en AC sont elles toujours  ne sont plus utilisés parce que les bailleurs de fond ont
utilisées dans les projet ONEP décidé de ne plus financer les projets comportant AC,
étude menée par l’OMS déterminant que AC présente des
dangers sanitaires par inhalation
12 Un projet est constitué d’une conduite  Etude géotechnique
en BP, quelles sont les prestations à  Etude d’agressivité
demander au LPEE pour ce projet
13 Dans la pratique, quelles sont les  Entre 0,5 à 2 m/s
vitesses max et min recommandées
pour Canalisation d’eau P

20
14 Quand est ce qu’on parle de classe, PN  Classe : Pour des conduites en amiante ciment
et K  PN : pour les conduite en PVC et PE
 K : pour la fonte, béton précontraint, béton armé
15 Quels sont les différents modes de  Assemblage par collage
raccordement du PVC  Par filetage
 Par joint automatique
 Par bague d’étanchéité
16 Détimbrage des conduites en PVC ou  Lorsqu’on définit Ps on déduit PN de la conduite puis on
PE procède au détimbrage si la température est entre 25 et
34°C et 0.8 x PN >Ps
 Si la température >34 on procède au détimbrage si 0.6 x
PN > Ps
17 Assemblage des tuyaux en PE  Par soudure (méthode du miroir, joint éléctrosoudable
 Par pièces mécaniques autobloquante ou non (avec insert
ou sans insert)
Attention prévoir protection du visage (éclatement du PE
au moment de la soudure)
18 
19

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21
9- DESINFECTION

1 Quantité de chlore à introduire dans La quantité du chlore à introduire dans le réseau ou la


un réseau conduite à désinfecter est fonction de l'état de propreté
des canalisations et le temps de contact.
2 Définition de la désinfection La désinfection consiste à mettre en contact pendant un
temps déterminé une eau fortement désinfectante pour
débarrasser les surfaces internes de ces ouvrages de
souillure de toutes sortes pouvant altérer la qualité de
l'eau d'alimentation humaine.
3 Produit utilisé pour la désinfection  Hypochlorite de sodium
 Hypochlorite de calcium
 Herlisil
4 Différence entre désinfection et La stérilisation consiste à la destruction de tous les
stérilisation organes vivants
La désinfection c’est l’élimination des bactéries
pathogènes, virus, des bio-indicateurs, des parasites
animaux utilisés en cas de nouvelles installations ou
contamination des réseaux
5 Différents produits utilisés pour la  Chlore et ses dérivés : chloramine, dioxyde de chlore,
stérilisation hypochlorite de sodium
 Ozone
 Brome
 Rayons ultraviolet
 Poly électrolyte
6 A quelle concentration le chlore  Concentration comprise entre 1 et 2 g/l
gazeux est dissous dans l’eau
7 Citer les principaux avantages et  Avantages
inconvénients de la pré chloration  Désinfection efficace
 Oxydation du fer et du magnésium : décoloration de
l’eau
 Empêche la prolifération des algues
 Inconvénients
 Les dosages élevés augmentent les coûts du
traitement
 Formation des THM (titre hydrotimétrique
magnésien)
8 Décrire le déroulement des  Ouverture de toutes les vidanges et ventouses
opérations de rinçage et stérilisation  Remplissage de la conduite à faible débit
d’une conduite d’adduction d’eau  Fermeture des vidanges l’une après des sorties de
potable l’eau claire
 Injection de la quantité nécessaire du désinfectant
 Laisser temps de contact
 Rincer à l’eau claire
 Faire prélèvement par labo ONEP.

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22
10- DESSALEMENT
1 Quels sont les principaux procédés  L’osmose inverse (RO)
de dessalement ou déminéralisation  La distillation à détentes étagées (MSF)
 La distillation à multiples effets (MED)
2 Principe de l’osmose inverse Osmose est un phénomène naturel qui se produit
lorsqu’on sépare par une membrane semi-perméable un
liquide dilué comme l’eau et un liquide concentré
comme l’eau de mer, on constate que l’eau passe du
milieu le moins concentré vers le milieu le plus
concentré et crée ainsi une différence de niveau (pression
osmotique). L’osmose inverse consiste à exercer une
pression supérieure à la pression osmotique et
l’écoulement se fera au sens inverse et la perméabilité
sélective de la membrane agit comme barrière qui
s’oppose à la molécule de sel.
3 Principe de la congélation Il consiste à refroidir l’eau jusqu’à congélation et
récupérer la glace qui sera par la suite fondue pour
donner de l’eau douce
4 Principe d’électrodialyse Consiste à faire circuler l’eau salée dans des
compartiments séparés par des membranes perméable
soit aux ions positifs soit aux ions négatifs. Une
électrode positive et une négative sont placées de part et
d’autre de la cellule. Los de l’application d’une tension
continue entre les deux électrodes, on constate une
migration des ions positifs vers la cathode et les ions
négatifs vers l’anode d’où la diminution de la
concentration du sel.
5 Distillation par compression de L’eau à dessaler est portée à ébullition dans une enceinte
vapeur thermiquement isolée puis acheminée dans un réservoir à
basse pression où il se vaporise brutalement (flash).
Après plusieurs flashs successifs, la vapeur condensée
est récupérée et donne de l’eau pure
6 Pourquoi le dessalement de l’eau de  Consommation d’énergie importante
mer est une alternative coûteuse  Frais d’investissement élevés
 Coût du m3 produit par dessalement reste supérieur
au prix de revient classique. 70à 90 DH/m3
7 Citez trois centres ou l’ONEP fait  Laayoune : dessalement
recours à la déminéralisation/  Boujdour : dessalement
dessalement, préciser la nature du  Tarfaya, smara, belkssiri : déminéralisation
traitement
8 


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23
11- ELECTRICITE

1 Citer les fonctions réalisées par les  sectionneur : pour destiné à ouvrir ou à fermer un circuit
éléments électriques suivants: à vide.
Sectionneur  fusibles : protection contre les courts-circuits
Fusible  contacteur : appareil destiné à l’ouverture ou la fermeture
Contacteur d’un ou plusieurs circuits.
Relais  relais : est un appareil qui compare en permanence une
Disjoncteur grandeur à une valeur prédéterminée et qui donne
interrupteur automatiquement un ordre quand la grandeur atteint cette
valeur.
 Disjoncteur : interrupteur capable de déclencher en cas de
défaut et de couper les courants de courts circuits et de
surcharge.
 Interrupteur : appareil qui sert à interrompre ou à rétablir
un courant électrique
2 Lors d'une tournée au niveau d'un  Contacteur du moteur, coffret de démarrage, relais de
forage, il a été constaté que le groupe surintensité défectueux
immergé ne s'arrête pas, identifier les  Remplacer les composantes électriques défectueuses
causes possibles et les remèdes à
apporter
3 Lister les avantages de l'amélioration du  Réduire la facture d'énergie
facteur de puissance  Diminuer les pertes d'énergie dans les installations
 Eviter le surdimensionnement d'énergie (transfo ou
GE)
4 Citer les principales opérations de  Contrôle du fonctionnement des appareils de mesure et
maintenance préventive à effectuer sur signalisation
les armoires électriques  Serrage des raccordements et connexion
 Essais et réglage des protections électriques
 Vérification des fusibles
 Réglage des temporisateurs
 Remplacement des pièces défectueux
5 Quel est le principe d'un relais à  C'est un relais formé de deux lames ayant des coefficients
bilames? de dilatation différents s'échauffe sous l'action d'un
courant et se courbent ce qui provoque l'ouverture du
relais
6 Quelle est la différence entre un  Un sectionneur est un appareil qui permet d'isoler un
sectionneur et un contacteur système de toute source de courant
 Un contacteur destiné à l'ouverture ou fermeture d'un ou
plusieurs circuit
7 Comment peut on minimiser la Pour optimiser la consommation d’énergie en :
consommation d’énergie dans une SP
 Ajustant la puissance souscrite
 Installant des batteries de condensateur
 Exploitant au maximum pendant les heures creuses (tarif
réduit)
8 Schéma d’un Sectionneur à porte
fusible
9 Fonction d’un disjoncteur magnéto- Protège contre :
thermique  les surcharges grâce au relais thermique
 Contre les courts-circuits grâce à un relais magnétique
10 Relais de phase Protège contre :

 Le manque de phase
 L’Inversion phase
 Déséquilibre entre les phases
11 Relais d’isolement  Protège contre les défauts d’isolement

24
12 Quel appareil permet la protection  Relais thermiques, relais magnétiques, relais
d’un moteur électrique triphasé magnéto-thermique, dispositifs à sondes
contre les surcharges
13 Citer les différents types  Automates programmables
d’automatismes utilisés à l’ONEP  Ligne pilote
 Robinet à flotteur
 Poires, électrodes, sondes ; manostats
14 Qu’est ce qu’une ligne pilote  Communication filaire entre un ou plusieurs capteurs
fournissant un signal tout ou rien pour alimenter un
ou plusieurs signaux ou commander un ou plusieurs
actionneurs
15 Types de tension  BT : 120 v, 220V, 380V.
 MT : 5,5KV, 20KV (régies), 22 KV (ONE)
 HT: 60KV
 THT: 120KV, 220KV.





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25
12- ECONOMIE DE L’EAU – RECHERCHE DE FUITES
1 Identifier les différents appareils 2 types :
acoustiques fréquemment utilisés dans  Mécaniques : hydrosol
la recherche de fuites et citer les  Electroniques : tréphone, corrélateur acoustique
principaux
2 Citer les principales fonctionnalités  Repérage des canalisations et des câbles
d'un triphone  Détection de bouches à clé et de toutes masses métalliques
3 Lorsqu'on fait de la recherche de fuites  La nature de la conduite
par la méthode de corrélation  Le diamètre de la conduite
acoustique que faut-il connaître?  La longueur de la conduite
4 Que peut causer les fuites d'eau sur un  des affaissements de terrain
réseau  chute de pression chez les abonnées
 un manque d'eau
5 Que permet un hydrosol?  De localiser les fuites sur réseau de distribution d'eau
potable
6 En matière de suivit des rendements du Pertes techniques :
réseau, identifier les principales pertes  Débordement des réservoirs
techniques et administratives en  Fuites sur conduites et branchements
distribution?  Fuites sur robinets vannes
 Fuites au niveau des vidanges, BI et purge

Pertes administratives :
 Eau gaspillée au BF et BI sans compteur
 Lutte contre les branchements clandestins
 Compteur défectueux
 Erreurs de relevé d'index commis par les encaisseurs
7 Citer quelques mesures pour assurer  Réparer les fuites sur branchements
l'économie d'eau chez les abonnées?  Réduire les pressions élevées chez les abonnées
 Sensibiliser les abonnées sur l’importance de l’économie
de l’eau
Inciter les abonnées à :
 réparer les fuites à l’intérieur
 à utiliser des robinets permettant l’économie d’eau
 utiliser les chasses d’eau à débit réduit
8 Avec un détecteur acoustique, classer Il est plus facile de localiser des fuites sur d-c-b-a
par ordre sur quelle conduite en :
a- PVC
b- Amiante ciment
c- Fonte
d- Acier
9 Que faut il faire pour économiser l’eau  Recherche de fuites
 Réhabilitation du réseau
 Dotation des BF, BI et BA en compteurs
 Comité de vigilance
 Amélioration du système de comptage
 Amélioration du système de régulation
10 Les étapes de recherche de fuites  Mise à jour du plan de réseau
 Sectorisation du réseau
 Mesure du débit de nuit
 Sélection des zones les plus fuyardes
 Recherche des fuites
 Mesure de débit de nuit
 Evaluation (dégagement des résultats obtenu)
11 Quels sont les avantages de disposer  connaître la nature des matériaux
d'un plan de réseau  connaître l'emplacement des éléments du réseau
 savoir ou passe les conduites
 connaître la topographie du terrain
12 Les actions menées par l’ONEP pour  les équipes de RF de l’ONEP ont diagnostiqués 101

26
améliorer le rendement centres et inspecter 2600 km, le débit récupérer est de
l’ordre 1191 m3/h
 sous-traitance : 18 centres
 renouvellement des compteurs dont l’âge dépasse 12
ans 46.000 compteurs
 mise en place d’un fichier compteur abonné
informatisé (DR4)
 compagne de sensibilisation
13 Quelles sont les mesures à prendre en  Eviter les débordements des réservoirs
cas d’un centre déficitaire  Lutter contre les branchements illicites
 Etalonnage des compteurs
 Minimiser le coût d’énergie et du personnel
 Recherche de fuites au niveau des branchements et les
zones où la pression est importante
 Procéder à l’AEP par secteur si la pression et débit
sont trop faibles
14 Quelles sont les principales mesures et  Ouverture partielle du robinet d’arrêt
précautions à prendre pour économiser  Entretien des installations internes
d’eau chez les abonnés  Lavage des linges et la vaisselle dans un seau d’eau au
lieu sous robinet ouvert
 Fermeture d’eau pendant le brossage des dents
 Bon choix des produits sanitaires
15 Quelles sont les principales charges  Frais d’énergie
variables qui interviennent dans le  Produits de traitement
calcul du prix du revient du m3 produit
16 A qui le tarif préférentiel est il appliqué  Aux bains maures et aux BF
17 Citez les différentes modes de gestion  Gardien gérant
des BF  Amicales
 communes

(Retour au sommaire)

27
13- GROUPE ELECTROGENE

1 Critères de choix d’un GE  Service : continu ou secours


Conditions climatiques :
 Altitude : GE perd de puissance en altitude (manque
d’air) 1% pour 100 m
 Température ambiante : perte de puissance 1%
pour 3° au-dessus de 24°
 Surcharge uni horaire : la charge max que peut
supporter pendant 1 heure
 Type de refroidissement : par air pour les
puissances <= 200 kva par eau pour les puissances
>200 kva

(Retour au sommaire)

28
14- CONNAISSANCES GENERALES
1 Donner un petit aperçu sur l’ONEP  Crée 3/4/1972, c’est un établissement public à caractère
industriel et commercial doté de la personnalité civile et
l’autonomie financière placé sous la tutelle du ministère
de l’eau et de la protection du territoire.
Mission de l’ONEP  Planification de l’approvisionnement en eau potable
 Prévoir l’évolution des besoins et obtenir la réservation
des ressources correspondante, dans l’espace et dans le
temps
 Etude, réalisation et gestion des adductions d’eau potable
 La gestion de la distribution d’eau pour les communes qui
la demande
 L’assistance technique en matière de surveillance de la
qualité d’eau
2 Quel est le rôle principal de l’ONEP  Consiste à approvisionner la population en eau saine
répondant aux normes de potabilité et en quantité
suffisante
3 Personnel de l’ONEP Cadre supp. : 859 ; Maîtrise  : 1 821 2001
Exécution  : 3 825 ; Total  : 6505
Frais de personnel par rapport au total de la charge 16 %
4 Nombre total de GE à l’ONEP 177 GE (34 % DMT/A- 18% DR8 – 13% DR1
5 Production total de l’ONEP  669.000.000 de m3 2001
6 Tranches d’eau  0 - 24 (10 DH/mois 53% 2,15 DH/m3
 24 – 60 (50 DH/mois) 39% 6,71 DH/m3
 60 – 120 (164 DH/mois) 7% 9,97 DH/m3
 120 au plus 640 DH/mois) 1% 10,02 DH/m3
7 Ventes d’eau  610 x 10 m3
6

 15 Régie + LYDEC +REDAL 78 %


 Gros consommateurs 3 %
 Abonnées 19 %
8 Quel est le système tarifaire appliqué  Tarif domestique
par l’ONEP à la distribution,  Tarif préférentiel : bains maures et BF
 Tarif industriel : usage industriel
9 Longueur total des adductions 4196 Km
10 Longueur total du réseau 10283 km
11 Nombre de centres 281
12 Nombre d’abonnées 742 000
13 Débit équipé 42 ,4 m3/s
14 Cote part des ST 62 %
15 Nombre de ST 40
16 Stations de déminéralisation et 8
dessalement
17 Laboratoire de contrôle de qualité 47
18 Nombre de réservoir 747
19 Capacité total 609 103 m3
20 Investissement ONEP 1 456 Millions Dh
21 Chiffre d’affaire 1905 Millions Dh
22 Conseil supérieur d’eau et du climat  Crée en 1981
(CSEC)  Emission des orientations générales à suivre dans le
secteur d’eau
 Adoption des schémas directeurs d’utilisation des
ressources d’eau
 Examen des projets de texte relatif à la législation du
secteur
 L’arbitrage en cas de litige dans la répartition des
ressources en eau
23 Nombre de régie 17 régie, dont 3 distributeur et producteur : CASABLANCA,
29
MEKNES, B. MELLAL
24 Qu’est ce qu’une régie C’est un organisme autonome chargé de la distribution de
l’eau et d’électricité
25 AMQE Association Marocaine de la Qualité d’Eau
26 AMEPA Association Marocain de l’Eau Potable et de l’Assainissement
27 DGCL Direction Générale des Collectivités locales
28 SDNAL Schéma Directeur National d’Assainissement Liquide
29 Consommation d’électricité 0.46 kWh /m3
30 Objectif du PAGER Accès à l’eau potable à 80 % de la population rural au bout
d’une décennie
Entamé en 1995 ; Coût : 10 milliards de DHS
31 Consommation de chlore 4.2 g/m3
32 Q exploité moyen Production réelle du mois
Nbre de jours du mois x 24 x 3600
33 Débit exploité de pointe Production des 3 jours successifs les plus chargés
3 x 24 x 3600
34 Débit exploitable C’est le débit max que peut produire la source pour l’AEP
pendant 24 h
35 Débit équipé C’est le débit des installations (équipements de la source,
conduites et stockage)
36 Capacité de production C’est le débit max que peut produire une chaîne de production
37 Taux d’utilisation des équipements Débit exploité de pointe x 100
Débit équipé
38 Déficit en eau Besoins de pointe – débit exploité de pointe
Besoins de pointe
39 Taux de couverture Population branchée + population pouvant être branchée
Population totale
40 Coefficient de pointe mensuelle La consommation moyenne du mois le plus chargé par la
consommation moyenne annuelle
42 Coefficient de pointe journalière Le débit moyen des trois jours successifs les plus chargés par
le débit moyen annuel
43 Coefficient de pointe horaire La consommation moyenne de l’heure la plus chargé par la
consommation moyenne de cette journée
44 Mission de DRH (direction générale de  L’élaboration et mise en œuvre de la politique nationale
l’hydraulique en matière d’eau
 La réalisation des grands projets hydrauliques et leur
entretien
45 Les principaux intervenants dans le  Ministère de l’équipement (DGH)
secteur d’eau  ONEP
 Ministère de l’intérieur
 Ministère de l’agriculture
 Les agences de bassins
 Ministère de la santé
 Secrétariat d’état à l’environnement
 Ministère des affaires général du gouvernement
(tarification)
 OCP –LYDEC- REDAL
46 Planification adoptée par les  Evaluation des besoins
gestionnaires de l’eau  Inventaire des ressources
 Identification des projets
 Evaluation des projets
 Choix de la solution optimale
 Programmation des investissements
47 Journée mondiale de l’eau 22 MARS
48 Journée mondiale de l’environnement 5 juin
49 Les activités des micros entreprises  Travaux des réseaux
crées par l’ONEP  Maintenance électromécanique
 Entretien bâtiments

30
 Entretien espaces verts
 Gestion des stations
 Détection de fuites
 Réparation des équipements hydromécaniques
50 Qu’est ce que la latitude et longitude  Latitude : désigne la hauteur
 Longitude : la distance sur plan
51 Qu’est ce qu’un plan parcellaire  Plan où l’on identifie toutes parcelles existant dans un
plan
52 Nappe phréatique et nappe captive  Nappe phréatique : celle qui se trouve près du sol
 Nappe captive : nappe qui est captée entre deux couches
imperméables
53 Quel est le rôle des directions centrales, Les directions centrales sont chargées de :
régionales, provinciale et centres  Des aspects stratégiques et politiques de planification
 De recherche des moyens d’allocation de ressources
 De suivi de grands travaux
 L’appui aux directions régionales
 Le suivi et le contrôle de l’activité des régions
Directions régionales :
 De la planification et de la programmation des opérations
inter-provinciales
 L’évaluation des plans d’action et l’encadrement
Directions provinciales :
 De l’encadrement quotidien et le suivi des centres qui
leurs sont rattachés.
Les centres :
 Assurent la production et le traitement, la distribution et la
gestion des abonnés
Le CDC représente l’ONEP et assure tous les contacts
avec les autorités locales.
54 Quel est le rôle actuel de l’ONEP dans  PAGER : programme d’approvisionnement groupé des
le domaine de l’AEP rural populations rurales soutenu par le PNUD et de nombreux
bailleurs de fond internationaux (fond koweitien,
programme MEDA de l’union européenne…etc). il
concerne 31.000 localités, soit environ 11millions
d’habitants. Il repose sur la décentralisation et la
participation active des communautés locales.
55 Comment vous voyez ce rôle dans le  Dans son programme futur l’ONEP prévoit d’intervenir au
futur cours de la période 1999-2000 et pour chaque dans 31
centres ruraux regroupant une population de près de
47300 habitants
 Le projet de contrat programme avec l’état-ONEP 1999-
2003 prévoit :
 La desserte en eau e 1450 douars, cout : 1245 millions DH
 Population bénéficiaire : 800.000 habits.
56 Quel est votre avis sur la privatisation  Rendre le secteur d’eau plus active en terme de délai et
de l’ONEP coût.
 Investissement sera plus importante
 Optimisation des moyens de gestion et bonne rentabilité.
 Amélioration de la qualité de service par concurrence avec
les autres régies……………etc
57 A qui revient la responsabilité de la  Au chef de centre
gestion du service de l’eau dans un
centre donné
58 Combien y a t-il de régions économique  16 régions
au Maroc

 c’est un comité présudé par l’autorité locale au niveau de


59 Qu’est ce qu’une comité de vigilance chaque région et regroupant tous les intervenants du secteur

31
60 Quel est le rôle de ce comité  lutte contre le gaspillage
 supression de la gratuité de l’eau dans les logements de fonction
administrative
 rationalisation de la gestion des BF
61  DG
Décrire très sommairement
l’organigramme actuel de l’ONEP

62 Expliquez l’utilisation du tableau de  Pour maîtriser les ratios suivants /


bord comme moyen de gestion  Rendement adduction
 Rendement réseau
 Rendement global
 Ratio d’énergie kwh/m3, litre gasoil/m3, g de chlore/m3,
g de javel/m3, g de sulfate d’alumine /m3.

63 Quel est le but recherché par l’ONEP  assurer le service de l’eau dans les localités rurales
en initiant la création des micro-  créer des emplois
entreprises
64 Comment vous voyez l’intervention du  l’intervention du privé est une opportunité si elle est
privé dans le secteur d’eau synonyme de performances et d’amélioration des
rendements
 dans cette perspective, le contrôle de l’état devra être
renforcé pour pallier à tous les dépassements de nature
spéculative
 le privé peut être sollicité uniquement au niveau
opérationnel. Les dimensions de planification, régulation
et contrôle sont des attributions étatiques ou d’organismes
para-public
65 Production et distribution d’eau à  ONEP : 80% de la production et 28% de distribution
l’échelle nationale  Régies : 6% de la production et 39% de distribution
 Privé : 6% de la production et 31% de distribution
 Commune : 8% de la production et 2% de distribution
66 Objectif ONEP du taux de branchement  Urbain : 86% en 2000 ----- 96% à 2010
 Rural : 46% en 2000 ----- 80% en 2010.
67 Quelle est la différence à l’ONEP entre  Renouvellement : travaux de masse importante
le budget de renouvellement et le
32
budget de fonctionnement  Fonctionnement : petits travaux d’entretien, des produits
consommables, électricité HT-MT, micros-entreprise,
recherche de fuites…………etc
68 Lister les principales désignations des Rubriques renouvellement
rubriques du budget renouvellement et
celles du fonctionnement

Rubriques fonctionnements : 8 (gérées par DR)


rubriques pour la production : 5 PR
rubriques pour la distribution : 5 PR
sécurité : 4 PR
approvisionnement : 6
outillage : 2
micros-entreprises : 2
honoraires : 2
divers : 5

(Retour au sommaire)

33
15- LOGISTIQUE
1 Que permet un marché cadre  Maîtrise des dépenses
 Eviter les procédures répétitives
2 Modalité de passation des marchés  par marché négocié
cadres  par AO ouvert ou restreint
3 Quand est ce qu'on a recours aux  Pour satisfaire des besoins de même nature ou de nature
marchés cadres complémentaire à caractère prévisible et permanent
4 Quels sont les différents types de  AO ouvert ou restreint
passations de marchés?  AO avec présélection
 Avis d’intérêt
 Marché sur concours : se fait lorsque les entreprise
propose des projets pour un problème donné
 Marché négocié
5  Montant maximal
Quelles sont les caractéristiques des  Délai annuel/tacite reconduction
marchés cadre  Révision des prix
 Garantie
6 Quel est l'objectif de joindre à l'AO  pour permettre aux soumissionnaires de proposer les
pour les équipements, l'analyse matériaux convenables
physico-chimique de l'eau de la
ressource
7 Périodes autorisées pour les marchés  2 ans pour les fournitures de bureau
cadres.  3 ans pour les produits de traitement
 5 ans pour les contrats de maintenance
8 L’impôt pour les opérations financées  les personnes physiques ou morales exécutant des
par don de l’UE marchés dans ce cadre sont exonérés d’impôt.
9 Approbation du marché Marché des travaux : AO ouvert
 <=1 000 000 DH Directeur régional et central
 >1 000 000 DH <=marché<5 000 000 DH Directeur
général
 > 5 000 000 DH Directeur Général + CF
Marché négocié
 <=300 000 DH Directeur régional et central
 >300 000 DH Directeur général
10 Phases de réalisation d’une opération  programmation
 planning de lancement
 DAL
 Lancement l’AO (Objet, délai remise des offres, N° AO)
 Avis d’insertion dans les journaux (au moins deux)
 OP – Jugement – Marché – OS – RP – RD
11 Constituants d’un dossier administratif  Attestation fiscale moins d’un an
 Déclaration sur l’honneur : nom et prénom, qualité,
domicile, forme juridique de la société, la raison social,
capital, numéro de patente, numéro d’affiliation à la
CNSSle N° compte bancaire, police d’assurance
 Caution provisoire
 L’attestation d’affiliation à la CNSS moins d’un an
 Attestation d’assurance
 Note indiquant les moyens humains et techniques
 Certificat d’immatriculation au registre du commerce
 Références techniques
12 Constituants de l’offre financière  L’acte d’engagement
 Le bordereau des prix
 Le détail estimatif
13 Prix des marchés  A prix unitaire
 A prix global
 A prix mixtes
14 Quand est ce qu’on applique la retenue  Dans le cas où l’entreprise n’est pas résidant au Maroc
à la source
34
15 Qu’est ce qu’une consultation directe  Consultation d’une seule entreprise
16 Qui donne l’accord pour une  Le directeur général
consultation directe
17 Quelle différence y a t-il entre marché  Marché : durée fixe, marché fixe la totalité des prestations
et marché cadre à réaliser
 M cadre durée renouvelable par tacite de reconduction, ne
fixe que le minimum et le maximum
18 Quelles sont les étapes du processus de  Dégagement des crédits nécessaires
passation des marchés  Préparation des dossiers d’appel d’offre
 Lancement d’appel d’offre
 Etablissement de la décision des membres de la
commission d’ouverture des plis et du jugement
 Etablissement d’un PV d’ouverture des plis
 Ouverture des plis
 Etablissement d’un rapport de jugement
 Présenter le rapport de jugement devant la commission de
jugement et signature PV
 Etablir un marché avec l’adjudicataire, signé et enregistré
par ce dernier
 approuver les marches par les autorités d’approbation
 Notifier cette approbation par ordre de service
19 Rappeler les différentes étapes  Commencement : notifié par ordre de service
d’exécution d’un marché en précisant  Au fur et à mesure de l’avancement des travaux : on
les pièces nécessaires établit des décomptes provisoires mensuels.
 A la fin des travaux : on procède à la réception
provisoire : on établit un dossier qui comprend : décompte
définitif, note de présentation du décompte définitif ; PV
de réception définitive
20 Quelles sont les principaux textes  Le décret 209-65 du 23 joubarbe II 1385 (19/10/65)
réglementant la passation des marchés modifié par décret N° 154-68 du 5 joumada I 1388
publics au maroc. (31/7/68)
 Le décret 2-98-482 du 11 ramadan 1419 (30/12/98)
 Le CPC (cahier des prestations communes défini par le
circulaire N° 2/1242/DNRT du 13/7/87
21 En cas de défaillance d’une entreprise  On lui applique les mesures correctives prévues par
adjudicataire d’un marché, quelle est la l’article N° 35 du décret N° 209-65 du 23 joumada II 1385
procédure à adopter (19/10/65) : Mise en demeure-résiliation
22 Qu’est ce qu’une réception : provisoire,  R. provisoire : à l’achèvement des travaux l’entrepreneur
définitive est tenu d’aviser l’ingénieur chargé du suivi des travaux,
et il est procède à la réception provisoire de ces travaux en
présence de l’entrepreneur et on établit un PV de
réception provisoire.
 R. définitive : après expiration du délai de garantie et si
les travaux ne présentent aucune anomalie il est procédé à
la réception définitive dans les mêmes conditions que la
réception provisoire.
23 Que prévoit la réglementation  90 jours à compter de la date d’ouverture des plis.
marocaine des marchés sur les délais
d’option des offres
24 Qu’est ce qu’une garantie décennale  Garantie de 10 ans sur les constructions en génie civile
25 Quel est le taux de la TVA appliqué  Travaux : 14%
pour les marchés : de travaux et d’étude  Etude : 20%
26 Pour le jugement des offres relatives à  Référence technique dans le domaine (similaire)
une étude, quelles astuces pour : écarter  Dossier administratif incomplet
des offres d’études de qualité médiocres
27 Trouver un compromis entre la qualité  La meilleure offre financière c’est la moins disant
technique de l’étude et la meilleure
offre financière.

35
16- FONCTION MAINTENANCE (Retour au sommaire)
1 Comment définit on la maintenance  Ensemble des actions permettant de maintenir ou de
dans les normes française (norme X 60- rétablir un bien dans un état spécifié ou en mesure
010) d’assurer un service déterminé. Cette définition comporte
deux notions à savoir :
 Maintenir : notion de prévention
 Rétablir : notion de correction
2 Comment définit on l’entretien dans les  Entretenir c’est dépanner et réparer un parc matériel afin
normes française d’assurer la continuité de la production
3 Quels sont les objectifs de la  Optimisation de la maintenance
maintenance  Amélioration de la sécurité
 Assurer le bon état de marche des installations
 Maximiser la disponibilité du matériel
 Dépanner rapidement l’équipement défaillant
 Fiabiliser les équipements
 Prolonger la vie des équipements
 Conseiller la direction
 Améliorer la qualité de production
 Augmenter la production des installations
 Former le personnel
 Assurer la desserte d’eau potable
4 Ou commence le rôle de la maintenance Avant la mise en service des installations, elle veille à :
 La bonne adaptation du matériel aux conditions locales.
 L’envoi en temps utile de tous les documents destinés à
l’exploitation
 La fourniture de matériel et son montage
 La formation du personnel
 L’assistance technique et au service après vente
5 Quelles sont les notions générales de la 1. Disponibilité :
maintenance  caractéristique d’un matériel susceptible de pouvoir
fonctionner et de remplir la ou les missions qui lui sont
assignées.
 paramètres qui détermine la disponibilité
D = Fiabilité + maintenabilité
2. fiabilité :
 caractéristique d’un système qui traduit l’aptitude d’un
dispositif à ne pas tomber en panne durant une période
donnée
 la fiabilité s’attache à l’étude du comportement du
matériel durant son fonctionnement (norme : NFX06501).
3. Maintenabilité :
 caractéristique d’un système à pouvoir être entretenu ou
maintenu avec une logistique adaptée en respectant les
exigences de la production.
6 Quelle différence existe entre la  La maintenance est une opération effectuée pour réduire la
maintenance et le renouvellement probabilité de défaillance d’un bien
 Le renouvellement : opération effectuée après défaillance.
7 Expliquer le différent niveau de la  1 ni: utilisateur (réglage simple avec ou sans outillage
er

maintenance (5 niveaux)  2
ème
niv : utilisateur (dépannage par échange standard
(NORME AFNOR X60-01) d’éléments et opérations mineurs de maintenance
préventive, ou contrôle de fonctionnement)
 3 niv : dépanneur (réparation par échange de
ème

composants fonctionnels, opérations de maintenance


préventive, réglage général…..)
 4 niv: Dépanneur : (travaux importants de maintenance
ème

corrective ou préventive).
 5 niv : constructeur : (rénovation ou reconstruction),
ème

réparation importante confiée à DPA/A ou privé,


fabrication de pièces de rechange.
36
8 Politiques de maintenance
Maintenance

M. corrective M. préventive M. améliorée

Après réduire probabilité amélioration fiabilité


Défaillance défaillance maintenabilité
Tendre la
défaillance vers 0.

M. systématique M. conditionnelle

Effectuée suivant échéancier Effectuée suivant état


(temps, unité d’usage) (information capteur mesure
usure)

M. prédictive

Effectuée suivant
(l’évolution d’un symptôme,
d’une dégradation)

9 Les activités du service maintenance  Fonction méthode


sont réparties en trois grandes fonctions  Préparation des travaux
à savoir:  la gestion des dossiers techniques et historiques
Fonction méthodes  Etablissement et suivi du budget fonctionnement
Fonction ordonnancement  Analyse des coûts
Fonction réalisation  Gestion des pièces de rechange
 Analyse des pannes et choix des méthodes de
maintenance
 élaboration des procédures
 fonction ordonnancement
 rassembler en temps voulu les moyens de tout ordre
nécessaire à l'exécution
 équilibrage les charges de travail
 lancer les travaux
 suivre l'avancement des opérations et contrôler la
réalisation par rapport aux prévisions
 fonction réalisation
 assurer la liaison permanente avec les exploitants
 analyser, commenter les demandes de travail en
collaborant à la préparation des interventions
 assister l'ordonnancement pour la programmation des
interventions en fonction des urgences et moyens
disponibles
méthodes et outils d’analyses de la
maintenance
10 a- Que permet le diagramme PARETO  Identifier essentiellement les causes les plus dominantes
ou analyse ABC ou loi des 20 par 80  De séparer et hiérarchiser les éléments dominants et enfin
cibler les actions
Domaine d'application: gestion du stock- pannes- qualité
11 b- diagramme d'ICHIKAWA ou arbre Le diagramme a pour objectif d'identifier toutes les causes
37
des causes possibles d'un dysfonctionnement
Modalité de construction
 A partir d'un problème donné, lister toutes les causes
possibles
 regrouper les causes en grandes catégorie
 dessiner le diagramme en visualisant les relations
entre les causes dans chaque catégorie
 identifier les causes principales sur lesquelles on peut
agir
Arbre de causes.
 Représentation graphique sous forme d’arbre d’une
marche analytique qui suivant une logique déductive à
partir d’un évènement indésirable cherche à identifier
l’ensemble de ses causes jusqu’aux composantes les
plus élémentaires.
12 c- Comment définit-on l'analyse  Est une procédure systématique pour évaluer et analyser
AMDEC (analyse de mode de les différents modes de défaillance possibles dans un
défaillance et de leur criticité) dispositif, cette analyse doit conduire à une conception
optimale et aux contrôles adéquats.
13 d- planning de GANTT  Objectif : gérer un planning d’activité ou différents
moyens (machines, exécutants, unités) et effectuer les
ajustements nécessaires en fonction des écarts constatés
entre le prévu et le réaliser :
Modalités :
 indiquer sur les lignes les capacités (machines, postes,
unités..) ou les opération à effectuer
 représenter sur les colonnes le calendrier (semaines, jours,
heures)
 visualiser sur chaque ligne :
 le temps total prévu par une barre vide
 le degré de réalisation par un trait épais dans la barre
 indiquer la date par un triangle mobile
14 Coût de la maintenance il y a deux familles de coûts de maintenance :
 coûts directes :
 main d’œuvre
 pièces de rechange
 coût de stockage
 coût des équipements d’intervention
 coût de sous-traitance
 coûts indirects :
 coûts d’indisponibilités
 coûts de non sécurité de bon fonctionnement
o cadence
o qualité
o sécurité
 coût lié à l’image de marque
15 Ratios de maintenance  ce sont des indicateurs pour mesurer l’efficacité de la
fonction maintenance :
1. ratios concernant les performances globales de
l’entreprise :
2. ratios concernant le choix de politique de maintenance
3. ratios concernant l’efficacité de la maintenance au niveau
des équipements (mesure de la disponibilité)

16 Quels sont les apports d'un logiciel de  Connaissance approfondie des équipements sur le plan
gestion de la maintenance (GMAO) technique et géographique
 Associer des opérations de maintenance (gestion du
personnel, gestion des PR, suivi des réalisations.,)
 Analyse de l'activité maintenance (coût, historique des
38
pannes)
17 Quelles sont les conditions nécessaires  La mise en place spécifique d'une organisation spécifique
pour la mise en place d'une à la maintenance
maintenance effective à l'ONEP  La responsabilisation de tous les échelons hiérarchiques
de l'exploitation avec répartition claire des responsabilités
 Une sensibilisation et motivation du personnel et en
particulier ceux du terrain

18 Pour quelle raison renouvelle-t-on un Coût de maintenance très important


équipement à un ouvrage ? Pérennité non assurée
 Non conformité aux normes
 Fiabilité insuffisante
 Sécurité de fonctionnement insuffisante
 Augmentation de la production
 Evolution de la qualité d'eau
19 Quelles sont les différentes phases  Analyser les besoins : lister les objectifs et besoins
d’élaboration d’un cahier de charge  Structure par une formation des fonctions attendues
pour l’automatisation d’une installation  Conception de l'architecture opérationnelle: il s'agit d'une
de production solution élaborée qui intègre les contraintes (éloignement,
disponibilité, temps de réponse)
 Choix de la solution avec définition des fournitures de la
prestation
20 Quelles sont les opérations de  Inspection générale du compresseur
maintenance préventive à réaliser au  Contrôle de l'intensité, tension et pression
niveau d'un compresseur d'air  Contrôle d'alignement
 Vérification de l'isolement du moteur
 Vidange d'huile
 Contrôle et remplacement d'organe défectueux
 Vérification des fixation, raccordement et connexion
 Examen de la corrosion
 Peinture
21 Que signifie le sigle SIG  Syst. d'info géographique qui englobe la cartographie
numérique et la gestion de base de donnée cartographique
22 Avant de se lancer dans une action Analyser :
d'amélioration de la qualité, il est  L'objectif visé
indispensable de conduire une étude de  L'action à mener
faisabilité, en quoi consiste cette étude  Les enjeux concernés et l'intérêt de l'action
de faisabilité  Les atouts et risques concourus
 Les conséquences au niveau du secteur de l'organisation,
des secteurs
 Les méthodologies à utiliser
 La stratégie à mettre en œuvre
23 
24 Quels sont les différents sens de la L'information montante, descendante et latérale
circulation des informations
25 Indiquer les informations à faire figurer  l’intervenant
au niveau d'un rapport d'intervention  temps d'intervention
pour le suivi des dépenses de  coût horaire
maintenance effectuées sur un  indemnité de déplacement
équipement  code, désignation et coût des pièces de rechange
 distance parcourue, taux DH/KM/véhicule
 montant des prestations sous-traitées
26 Avec la mise en place d'une véritable  Les économies sur les coûts d'exploitation
gestion de la maintenance, de la  Les économies sur les interventions (durée de vie
planification des interventions allongées, report des investissements de renouvellement et
d'entretien préventif et curatif et du parfois d'extension)
développement de la fiabilité des  Une meilleure qualité de service
installations, quels sont les résultats
39
qu'on peut attendre
27 Quels sont les avantages et les Avantages:
inconvénients de la sous-traitance de la  Remédier à l'insuffisance qualitative et quantitative de la
maintenance capacité de maintenance des DR
 Améliorer la qualité de service sans grever les coûts de
fonctionnement
 Effectuer des opérations à des prix inférieurs à ceux de
l'organisme donneur d'ordre
 Réduction du stockage des pièces de rechanges

Inconvénients
 Problème de la garantie du respect du délai d'intervention
 Problème d'assurance d'obtenir la qualité requise auprès
du sous-traitant
 Difficulté d'établissement des prix
28 Quel est le but d’établir et mettre à jour  C’est pour avoir des connaissances parfaites des
les inventaires des équipements équipements
 Améliorer leur condition de gestion et de maintenance
29 Les automates programmables Système de commande de l’automatisme adapté à
l’environnement industriel. Il utilise un microprocesseur qui
exécute une suite d’instructions préalablement définies est
stockées dans une mémoire.
30 Mission de la Direction Maintenance Amélioration des méthodes et procédures de travail et moyens
de gestion de la fonction maintenance aux DR
31 Objectif de la cartographie dans la  Modernisation des méthodes de mise à jour des plans des
gestion des réseaux réseaux (support informatique)
 Edition des plans à différentes échelles avec une
localisation précise des équipements et une identification
des caractéristiques physiques et techniques.
 mémorisation des données issues des interventions qui
vont servir pour des décisions en matière de réhabilitation
 optimiser le coût de maintenance sur site, effectuer des
analyses et évaluation technico-économique plus fiables
 synthétiser des informations et établir des budgets
prévisionnels.
32 En quoi consiste le projet FDSPM avec  c’est le projet de diagnostic de la faisabilité et la viabilité
les canadien de la sous-traitance de la maintenance des équipements au
FDSPM : fond de développement du profit des PME.
secteur privé  Les DR concernées par ce projet sont DR1-DR2-DR6-
DR7
33 Gestion des stations de pompage  Choix des heures de fonctionnements (heures creuses de
préférence)
 Amélioration du cos 
 Suivi du démarrage des groupes pour éviter le
dépassement de la puissance souscrite
 Suivi des rendements des groupes
 Suivi du coût du m3 produit
 Respect des plannings d’entretien
 Respect des consignes de sécurités et d’exploitation
34 Citer les principales opérations de  Graissage du mécanisme de commande.
maintenance préventive à réaliser sur  manœuvre
une vanne
35 Définir les concepts suivants :  MTTF : durée moyenne de temps de bon fonctionnement
 MTTR : durée moyenne de temps de réparation
D= MTBF/ (MTBF + MTTR)
 MTBF : Moyenne des temps entre 2 défaillances d’un
système réparable
 MUT: durée moyenne de bon fonctionnement après
réparation
40
 TPM : Taux productif de maintenance
 TRS : Taux de rendement synthétique

(Retour au sommaire)

41
17- MOTEURS

1 Qu’est ce qu’un moteur  c’est une machine transformant l’énergie électrique en énergie
asynchrone mécanique, il est caractérisé par des grondeurs d’entrée qui
sont électriques et par des grandeurs de sortie qui sont
mécaniques
2 Quel est le principe de  Les courants triphasés n'atteignent pas leur valeur max en
fonctionnement d'un moteur même instants, mais les un après les autres, donc ils créent un
asynchrone champ magnétique tournant dans l'ordre des phases de la
source. Cette aimantation tournante crée dans le rotor un
courant induit qui produit à son tour une aimantation opposée à
celle qui lui a donné naissance. ces deux aimantations
s'entraînent.
3 Citer les 2 parties principales  Partie fixe : le stator
constituant un moteur asynchrone  Partie mobile : le rotor
4 Quelles sont les différentes formes  semi-ouvertes
d'encoche du stator  ouvertes
 semi-fermées
5 Isolation de l'encoche  Isolation en carton
 Toile huilée
 Cale en fibre
6 De quoi est constitué un rotor  Des barres conductrices (14)
 Anneaux conducteurs a chaque extrémité (13)
 Bobinage
7 les types de moteurs  moteur à cage d'écureuil
 moteur à bague
8 Plaque à borne Couplage des enroulements
 la PB a toujours les entrées des enroulements repérés en U V
W et les sorties correspondantes X Y Z qui sont raccordées
comme suit :

9 Couplage triangle  les 3 enroulements sont montés en série, les points communs
sont reliés à chaque phase du réseau. (ce couplage correspond à
(ID = 4 à 8 IN) la tension du réseau)
couple : TD = 0,5 à1, 5 TN au  le courant dans chaque enroulement est de I/V3
démarrage le couple M moyen
de 1,5 à 2 fois CN

10 Couplage étoile  les 3 enroulements ont un point commun XYZ qui est réalisé
sur la plaque à B par des barres.
EX : un moteur 220/380V sera  La tension qui traverse chaque enroulement est de U/V3
branché en étoile sur un réseau de
380v entre phase, les enroulements
supportent 220V donc U/V3

11 Que signifie la norme B et V pour  B : signifie position horizontale


les moteurs suivi d'un indice  V: signifie la position verticale
 Indice fixe la position de la patte
12 Classe de la matière isolante des  Classe E >= 110 °
bobinages des moteurs  Classe B >= 120 °
 Classe F >= 140 °

42
 Classe H >= 165 °

13 Les différents types de moteurs à  Moteur à excitation séparée (peut employé et necéssite deux
courant continu sources d'alimentation)

 Moteurs à excitation shunte : très utilisés, sa vitesse est


stable, leurs inconvénient : ne supportent de variation brusque
du couple résistant

 Moteurs à excitation série : ils présentent l'avantage d'un bon


couple de démarrage et un bon réglage de la vitesse

 Moteurs à excitation composés ou compound : il comporte


un couple de démarrage important et il résiste aux variations
brusques de couple résistant

14 Que signifie service de démarrage Le temps globale de démarrage il est exprimé par les valeurs
suivantes:
 Nombre de démarrage par heure
 Nombre de démarrages consécutifs
 Temps de démarrage
15 La classe des isolants les plus  B ET F qui admette en permanence une T° max entre 120 et
utilisés 140
16 Protection interne du moteur  Protection est assurée par une sondes thermique : thermistance
contre l'échauffement ou ipsotherme
17 Puissance absorbée par le moteur  P = 3 UI cos  (kw)
18 Puissance mécanique (utile en  P = CW
arbre) C : couple du moteur en MN
W : vitesse angulaire en radian par seconde = 2N /60
N vitesse de rotation = 60f/p
F : fréquence du réseau
P : nbre de paire pôle
19 Rendement d'un moteur  Puissance mécanique /puissance électrique
20 Que signifie spire du bobinage  Un conducteur aller et retour
moteur
21 Que signifie faisceau du bobinage  C'est l'ensemble des conducteurs placés dans une encoche
moteur
22 Que signifie section du bobinage  Est formée par deux faisceaux
moteur
23 Que signifie pas d'une section ou  C'est la distance entre deux lignes neutres consécutives
pas polaire du bobinage moteur
24 Avantages et inconvénients du Avantages :
moteur à cage d'écureuil  Coût peu élevé
 Simplicité de l'appareillage de commande
 Couple croissant pendant l'accélération
Inconvénient :
 Forte intensité au démarrage
43
25 L'utilisation des moteurs à cage  Pour des machines qui ne nécessitent pas un couple très élevé
d'écureuil au démarrage
26 Le rapport Id/In pour un moteur à  Id/In est compris entre 4 et 8
cage
27 Avantages et inconvénients d'un Avantages :
moteur à bague  Permet d'obtenir des couples élevés pour des courants
relativement faibles
 Permet d'ajuster le couple moteur et le couple résistant en
jouant sur les valeurs de pointe et le nombre de crans
 Grande souplesse pour le démarrage
 Permet le réglage de vitesse
Inconvénients :
 Moteurs à bague sont plus onéreux que les moteurs à cage
 Nécessitant un appareillage de court-circuitage rotorique
 Plus encombrant
28 Les moteurs les plus utilisés sont  Ils sont robustes, moins chers et nécessitent un entretien facile
les moteurs asynchrones ?
29 Citer les principales protections Protection des bobines et paliers par sonde (thermistance ou
d'un moteur électrique asynchrone isotherme)
 Protection contres les surcharges
 Protection contre les inversions de phases
 Manque de phase
30 Avantage et inconvénient du Avantage :
démarrage direct  Simplicité d'appareillage de commande
Emploi : moteur de petite  Couple important et croissant
puissance P< 7,5 CV) ou de  Permet de démarrer tout type de moteur
puissance faible à la puissance du Inconvénient : (Démarrage brutal)
réseau  Forte intensité pendant le démarrage ID= 4 à 8 IN
Machine ne nécessitant pas une  Couple important pour les machines nécessitant un démarrage
mise de vitesse progressive progressif (TD = 0,5 à 2TN)
31 Types de démarrage  D. direct ; ° D.  
 D. électronique progressif ; ° D. statorique (résistance)
 D. par autotransformateur
32 Démarrage en couplage  Avantages : ID = 1,3 à 2,6 IN, TD = 0,2 à 0,5 TN
ID= 1,3 à 2,6 IN. Ce procédé ne  Intensité de démarrage réduite au tiers de sa valeur direct
peut s’appliquer qu’aux moteurs  Couple de démarrage réduit au tiers de sa valeur en direct
dont toutes les extrémités  Mise en œuvre simple
d’enroulements sont sorties sur Inconvénients :
la PB et dont le couplage triangle  Ne s'applique qu'aux moteurs bitension à 6 bornes
correspond à la tension du  Couple moteur assez faible
réseau.  Pointe de courant et couple important au passage d  au 
1er temps couplage Y des  Ne convient qu'aux machines centrifuges
enroulements le moteur démarre à  Limité aux moteurs faibles puissances
U/V3. SCHEMA :
2 temps suspension du couplage
ème

Y et mise du CT le moteur est


alimenté en pleine tension.

33 Démarrage par résistance Avantages :


statoriques  Alimentation du moteur en tension réduite
 On peut ajuster le couple de démarrage
 Mise en vitesse sans à-coup
 Système économique
 Convient bien pour les machines à couple croissant
Inconvénients :
44
 Le couple de démarrage est réduit seulement de  de la valeur
du couple
 Couple initial assez faible
 Nécessite un système de court-circuitage des résistances
34 Démarrage par Avantages :
autotransformateur  Démarrage sous tension réduite
 Permet un couple de démarrage élevé pour un courant
plus faible
 Pas d'ouverture du circuit au passage des temps
 Possibilité de prises sur autotransformateur pour obtenir
une sélection de couple
 Utilisation principale pour les fortes puissances

Inconvénients :

 Matériel lourd, souvent encombrant


 Nécessite trois contacteurs pour la mise en oeuvre
35 Puissance nominale d’un  C’est la puissance disponible sur son arbre. P= CW, P
moteur Watts, C: couple du moteur m/Newton, W: vitesse
angulaire en radian/seconde
36 Puissance absorbée  C’est la puissance qui circule dans les lignes
Pa=Pn/cos
37 Comment réduire les charges  Fonctionnement pendant les heures creuses
d’exploitation de l’énergie  Point de fonctionnement correspondant au rendement max
 Correction du cos
 Ne pas dépasser la puissance souscrite
38 Pourquoi un moteur asynchrone  Parce que le courant appelé au démarrage est très élevé
nécessite un moyen de (de 4 à 8 fois le courant nominal), les installations sont
démarrage dimensionnées pour le courant nominal, ce qui peut
entraîner des dégâts, chute de tentions lors du démarrage
sur les réseaux avoisinants
39 A partir de quelle puissance un  A partir d’une puissance de 15KW
moteur asynchrone nécessite un
procédé de démarrage
40 Quels sont les paramètres qu’il  Puissance
faut prendre en considération  Type d’isolant
lors du choix d’un moteur  Température ambiante
 Altitude
 Le type de service à assurer
 Tension de service
 La vitesse de rotation
 Rendement
 glissement
41 Qu’est ce que le facteur de  c’est le quotient de la puissance active (KW) consommé
puissance par l’installation sur la puissance apparente (KVA)
fournie à l’installation.
Cos = Pac/ v Pa2 +Préa2
42 Les pannes mécaniques et Pannes mécaniques :
électriques les plus courantes  Roulements défectueux
dans les moteurs électriques  Arbre cassé
Pannes électriques :
 Défaut d’isolement
 Inversion de phase
 Manque de phase

45
43 Quel est le rôle d’un parafoudre  La protection des équipements électriques contres les
surtensions d’origine atmosphérique
18- NORMES (Retour au sommaire)

1 Pour un équipement donné, dans le  6 : équipement étanche à la poussière


sigle IP 67 que signifie 67  7 : équipement étanche à l'eau
2 Dans le sigle Ef84, que signifie le L'année d'homologation
chiffre 84
3 Que signifie la désignation IP 357  IP : indice de protection
 3 : protection contre les corps solide pour les
particules >2.5 mm
 5 : protection contre les jets d'eau
 7 : protection mécanique (carcasse blindée)
4 Que signifie la désignation 001  le choléra
5 Définition de la normalisation  la normalisation a pour objet l’élaboration, la
publication et la mise en application de documents de
référence appelés normes.
6 Définition des normes  c’est document qui précise les définitions, les
caractéristiques dimensionnelles ou qualitatives et les
règles d’emploi et de contrôle.
7 Types de normes  normes de terminologie : compréhension mutuelle
 normes de spécification : caractéristiques des
produits en fonction des objectifs visé
 normes d’essais et d’échantillonnage : mesure et
contrôle des caractéristiques des produits
 norme de gestion de la qualité : suivi de la qualité
du produit
 normes de service : exigence relative au service
pour être apte à la consommation
8 Avantage de la normalisation  unifier le dialogue
 maîtriser la technologie
 pénétrer le marché
 contribuer à la réglementation
9 Qu’est ce que la pression nominale  désignation numérique à base d’un nombre arrondi,
(PN) utilisée à des fins de référence.
 Tous les équipements de même diamètre nominal
(DN) désignés par le même numéro de PN doivent
avoir des dimensions de raccordement compatibles
10 Qu’est ce que le diamètre nominal  Désignation dimensionnelle numérique commune à
(DN) tous les éléments d’une même tuyauterie autres que
ceux désignés par leur diamètre extérieur ou par la
dimension du filetage. C’est un nombre entier utilisé
aux fins de référence et qui n’est relié que de manière
approximative aux dimensions de fabrication.

(Retour au sommaire)

46
19- GROUPES DE POMPAGE

1 Citer les principales opérations de  Contrôle d'échauffement, vibration, alignement, corrosion


maintenance préventive à réaliser sur  Vérification du fonctionnement monomètres, vannes,
les groupes de pompage à axe H clapet de pied
 Graissage des roulement, nettoyage et dépoussiérage Mot
 Mesure des paramètres électriques
 Calcul des rendements
 Peinture , scellement
 Changement des pièces d'usure
2 A quoi servent les essais d'une  A tracer la courbe caractéristique de la pompe
installation de pompage  A tracer la courbe caractéristique du réseau
 La courbe du rendement
3 Donner 2 autres types de pompe (autre  Pompe volumétrique
que centrifuge) et donner exemple  Vice d’Archimède
d'utilisation ?
4 Quel précaution faut il prendre pour Il faut éviter que la colonne montant reste toujours pleine pour
éviter le désamorçage d'une pompe à cela il faut que :
axe horizontal  Le clapet de refoulement soit étanche
 La colonne ne soit pas endommagée
5 Principe de fonctionnement d’une L’eau qui entre par le centre de la pompe et projeté à
pompe centrifuge l’extérieur de la turbine vers la sortie qui se trouve en
périphérie, en changeant la vitesse, le débit et la pression
change.
6 La hauteur d’aspiration théorique  Ha = 10.33 m au niveau de la mer
 Ha = 10.33-0.0012*h a une altitude h
7 Constitution d’une pompe Pièces fixes :
 Le distributeur qui fait entrée l’eau à la pompe
 La volute ou diffuseur : qui oriente le liquide vers
l’extérieur
 Supports de palier : assure le positionnement axial ou
radial de la roue
Pièces mobiles
 La roue
 L’arbre
8 Types de roues  Ouvertes : faible hauteur, débit important (agriculture)
 Semi-ouverte : utilisées pour les eaux chargées
 Fermée : utilisé pour l’eau potable, ils ont un bon
rendement
9 Principaux disposition de roues  Roue unique : cas faible hauteur de refoulement
 Roue en série : cas de forte hauteur de refoulement
 Roue à double entrée : cas de forts débits (force axiale
équilibré
10 Différents types de paliers  Palier à roulement : utiliser pour les vitesse importantes
 Palier lisse : (coussinet) pour des charges importantes et
vitesse faible, lubrifié avec de l'huile (en bronze garni de
métal antifriction)
 Palier en caoutchouc : utiliser surtout pour le guidage de
l'arbre des pompes à axe vertical
11 Défauts d'alignement  Désalignement radial
 Désalignement axial
 Désalignement angulaire
12 Types d'accouplements  Accouplement rigide : (par clavette, circlips)
 Accouplement déformable : (déformation angulaire max
de 5%)
 Accouplement semi-élastrique : utiliser pour entraîner les
pompes. Les 4 types de déformation acceptables (axiale,
radiale, angulaire, torsionnelle), silencieux et résiste à
47
135°C si l'élément élastique est composé de EPDM
13 Types de transmission  Par courroie : couple de transmission limité
 Variateur de vitesse
 Engrenage
15 Eléments à vérifier avant la mise en  Caractéristique de la pompe
marche une pompe  Les consignes de démarrage
 Le clapet
 L’assemblage des brides
 L’accouplement moteur – pompe
 Fixation du moteur et de la pompe
 Serrage des boulons
 Sens de rotation
 Serrage de la presse étoupe
 Lubrification des roulements et paliers
16 Que faut-il vérifier après le démarrage ?  Pression de refoulement
 Pression d’aspiration
 Serrage de la presse étoupe
 S’il y a signe de cavitation
 S’il y a des fuites
17 Types de pompes  Horizontal
 Vertical
 Immergée
18 Si Ha < 8 m  Opter pour la pompe horizontale
Meilleur rendement – pose et dépose faciles
19 Si Ha > 8 m  Opter pour les pompes verticales ou horizontales
Pour une profondeur <30 m vertical
Pour une profondeur >30 m verticale et une tranche d’eau
importante ou pompe immergée
20 Puissance moteur P = 3 UI cos 
21 Puissance hydraulique P = 9.81 x HMT x Q/*102 Q en l/s
22 Rendement Puissance hydraulique / puissance moteur
23 Comment est le rendement pour les  Pour les faibles puissances le rendement est faible mois de
faibles puissances et les grandes 60%
puissance et pourquoi ?  Pour les puissances importantes les rendements peuvent
dépasser 80%
Ceci est du aux pertes fer et pertes cuivre qui sont très
importantes pour les faibles puissances
24 Comparer la durée de vie de deux  La durée de vie du moteur de vitesse 3000 t/mn est plus
moteurs de vitesse 3000 et 1500 t /mn courte que celle de 1500 t/mn
25 Mesures et essais d’un groupe de  Hauteur manométrique d’aspiration
pompage  Hauteur manométrique de refoulement
 Débit de la pompe
 Tension et intensité
 Cos 
 Energie active et réactive
26 Dévirage  Rotation inverse de la pompe lors du retour d’eau
27 Systèmes d’amorçage d’une pompe  Amorçage par remplissage : consiste remplir la volute
avec de l’eau
 Amorçage par sous pression : consiste à créer une
pression en amont de la pompe qui maintien toujours la
pompe en charge
 Amorçage par pompe à vide : qui permet d’évacuer l’air
contenu dans la conduite
 Pompe auto-amorçage : même principe que celui de la
pompe à vide
28 Qu’est ce que le point de barbotage  Le point de fonctionnement de la pompe à vanne fermée
29 Quels sont les critères qui entre dans le  Prix (coût d’investissement)
choix d’un matériel proposé dans le  Consommation d’énergie (coût de fonctionnement)

48
cadre d’un AO  Caractéristiques constructives qui garanties la durée de vie
(coût de maintenance)
 Coût d’entretien préventif
 Maintenabilité du matériel
30 Qu’est ce qu’une pompe  Est une machine destinée à communiquer de l’énergie aux
fluide pompé en vue de provoquer leurs déplacement dans
des circuits comportant généralement une élévation de
niveau (hauteur géométrique) , une augmentation de
pression (hauteur de charge) et une perte de charge due au
mouvement.
31 But de l’accouplement  Est de transmettre le couple de rotation entre deux arbres
sans engendrer de vibration, de bruit et d’efforts
anormaux sur les boues d’arbre grâce à un organe de
transmission permettant d’accepter un défaut
d’alignement et parfois un léger déplacement axial .
32 Quel est le but recherché à atteindre  Elever un volume d’eau à une hauteur donnée
pour le fonctionnement d’une pompe  Relever l’eau d’un point bas vers un point haut
 Vaincre les p.d.c
33 Les pompes centrifuges se divisent en  Horizontales
deux grandes familles quelles sont elles  verticales
34 Donner la définition de la HMT  c’est la hauteur que doit vaincre une pompe pour ramener
développée par une pompe le liquide d’un point à un autre. HMT = Hasp + Hrefoul +
Jhas +JHref
35 Définir le point de fonctionnement  point d’intersection des caractéristiques de la pompe et de
d‘une pompe la conduite correspondant au rendement maximum
36 Quelles sont les façons de vérifier Utiliser les flasques de l’accouplement
l’alignement de l’arbre moteur avec  Un calibre (comparateur) pour mesurer le parallélisme des
l’arbre de la pompe flasques et vérifier le désalignement angulaire
 Une règle appuyée parallèle à un flasque permet de
vérifier le désalignement radial
 Une cale pour mesurer l’écart axial nécessaire
37 Quels sont les types de roulements  A billes
utilisés pour les pompes centrifuges  Cylindriques
 coniques
38 Quelle est la caractéristique d’une  c’est le courbe débit hauteur f (QH)
pompe
39 Pour une vitesse de rotation donnée,  la courbe débit hauteur QH
lister les trois types de courbes  la courbe du rendement pour différents débits
principales qui caractérisent une pompe  la courbe des puissances absorbées pour les différents
centrifuge et qui expriment ses débits
performances
40 Quelles sont les principales  débit
caractéristiques nécessaires au choix  hauteur
d’un groupe de pompage  puissance et rendements
41 Quelles sont les mesures à effectuer lors  Intensité, tension, cos, vitesse de rotation moteur, débits,
de l’essai sur site d’un groupe de pression amont et aval
pompage pour vérifier si celui ci est
conforme aux prescriptions d’1 marché
42 Décrire très sommairement le  Lorsqu’on est en présence d’une hauteur d’élévation
fonctionnement d’une pompe importante on installe une pompe à plusieurs roues
multicellulaire (rôle des turbines, montées en séries dans le corps de la pompe et sur le
diffuseurs….etc même arbre d’entraînement. La pression totale engendrée
par les roues est la somme de la pression unitaire que peut
fournir chaque roue
43 Donner 2 types de pompes (autres que  Pompes axiales, hélico-centrifuges
centrifuges) et exemple d’utilisation  Pompes volumétriques rotatives à vis ou alternatives à
piston (utilisation = injection de réactifs)
44 Comment procéderiez-vous pour  R= Pu/Pa
déterminer le rendement d’un groupe de  Puissance absorbée par Pap = egHQ Q en m3/s H en
49
pompage immergé en fonctionnement m
45 Sachant q’une pompe débite 60l/s à une  Phyd = eg HQ/ 367xrendement pour eau
HMT de 80 m calculer sa puissance  Ou Phyd = HQd/ 367xrendement d= densité = e/1000
hydraulique  Ou gQH Q en m3/s, H en m, p en watts
46 Quelles sont les différentes méthodes  Par variation de la vitesse de rotation de la pompe (moteur
possibles pour varier le débit d’une  Ouverture ou fermeture partielle de la vanne de
pompe centrifuge refoulement (déconseillé).
47 Définir la tension vapeur d’un liquide,  C’est la pression en dessous de la quelle l’eau s’évapore à
quelle est sa valeur pour l’eau à 100°C une température donnée. elle est de 1bar pour eau à 100°c
48 lors d’une expertise au niveau d’une  Vitesse de rotation insuffisante
station de pompage, il a été constaté  Clapet de pied crépine s’ouvre mal
que le débit d’un groupe de pompage  Poche d’air à l’aspiration
donné est trop faible. Identifier les  Poche d’air au refoulement
causes possibles de cet incident ainsi  Vanne ou organe mal ouvert sur le circuit
que les remèdes appropriés.  Cavitation
 Impulseur endommagé
49 Lors d’une tournée au niveau d’un  Causes : contacteur du moteur, coffret de démarrage ou
forage, il a été constaté que le groupe relais de surintensité défectueux
immergé ne s’arrête pas identifier les  Remèdes : vérifier, remplacer si nécessaire
causes possibles et les remèdes à
apporter
50 Qu’est ce que : l’implosion, l’érosion  Implosion : écrasement d’un corps creux par une pression
l’abrasion, corrosion supérieure à sa résistance
 Erosion : détérioration du métal des composantes de la
pompe à cause de l’implosion des cavités de vapeur d’eau
 Abrasion : usure par frottement contre un corps dur
 Corrosion : causes chimiques et hydrauliques.
51 Un bruit suspect dans une station de  A la cavitation
pompage peut être du à quoi  Roulement défectueux
 Mauvais accouplement des arbres
52 Quelles sont les conditions qui peuvent  Crépine bouchée
faire caviter une pompe  Augmentation de la vitesse de rotation
 Augmentation du débit de la pompe
 Clapet de pied crépine s’ouvre mal
 Poche d’air à l’aspiration
 Température du liquide qui change
 Baisse de la nappe d’eau
 Colonne d’aspiration endommagée
53 Quelles précautions à prendre pour  Maintenir le clapet anti retour de pied d’aspiration en bon
éviter le désamorçage d’une pompe à état
axe horizontal  Contrôler les fuites sur conduite l’aspiration
 Eviter la rentrée d’air dans la conduite
 La hauteur d’aspiration ne doit pas être supérieure à celle
garantie par le constructeur

54 Pour les pompes qu’est ce qu’une fiche  essai dynamique : hydraulique ou électrique sur plate
d’essai dynamique constructeur forme, comprenant les relevés des valeurs mesurées et le
diagramme des courbes caractéristiques du groupe de
pompage
55 Quels sont les matériaux utilisés pour la  la fonte, l’acier, les alliages de cuivre et aluminium, les
fabrication des constituants d’une matières synthétiques
pompe
Citer les principaux incidents qui  le groupe immergé ne démarre pas
56 peuvent surgir sur un groupe de  la pompe ne débite pas
pompage immergé  débit trop faible
 hauteur trop faible
 le relais de sur intensité se déclenche
 les fusibles déclenchent
 marche bruyante et irrégulière de la pompe
50
 le groupe immergé ne s’arrête pas

51
20- SYSTEMES DE REGULATION (Retour au sommaire)

1 Qu'est ce qu'un régulateur de  Maintien une pression aval pré-reglée constante quels
pression aval et de débit que soient les changements de pression en amont
 Maintien un débit constant quelque soit les
changements des pressions dans le réseau
2 Qu'est ce qu'un système PYRAX Permet l'acquisition des données leur transmission et
l’automatisation des actions
3 Qu'est-ce qu'un système de Est un ensemble de matériels électroniques et
télégestion informatiques qui doté de mémoire programmable
permettant d'assurer les taches suivantes:

 Conduite automatisé et personnalisée des différents


ouvrages
 Supervision à distance, à partir d'un poste central, des
différents fonctionnements
 Gestion après archivage et traitement des paramètres
d'exploitation
4 Qu'est ce qu'une ligne pilote ? C'est une liaison filaire entre 1 ou plusieurs capteurs
fournissant un signal tout ou rien pour alimenter un ou
plusieurs signaux ou commandes ou actionneurs
5 Quel est le principe de  C’est un système mécanique. Lors du remplissage du
fonctionnement d'un robinet flotteur réservoir le flotteur monte et actionne l’obturateur à
disque et ferme la conduite, la pression augmente et
le pressostat commande la pompe pour s’arrêter.
6 Qu'est ce qu'un capteur ?  Un capteur est un appareil qui permet de transformer
une grandeur physique en un signale électrique
(capteur de niveau, capteur de pression, capteur de
température, capteur de débit)
7 Le rôle d’un robinet altimétrique  Permet la régulation du niveau d’eau dans un
réservoir, lorsque le niveau atteint le max il se ferme,
lorsqu’il descend de 15 cm elle s’ouvre.
8 Pressostat  Dispositif automatique de régulation destiné à
maintenir la pression entre deux valeurs de consigne
9 Thermostat  Dispositif automatique de régulation destiné à
maintenir la température entre deux valeurs de
consigne dans une enceinte fermée.

(Retour au sommaire)

52
21- RESEAUX DE DISTRIBUTION
1 Réseau ramifié  Composé de conduites qui vont toujours en se divisant
sans jamais se refermer
Avantage : simple à réaliser et ne nécessite pas trop
d’équipements hydraulique, économique.
Inconvénients : lorsqu’il y a un problème dans en amont la
partie aval restera dépourvu d’eau (pas de retour)
2 Réseau maillé  Composé de conduite suivant des contours fermés
permettant une alimentation en retour
Inconvénient : coûteux
3 Réseau à alimentations distinctes Composé de deux réseaux l’un véhicule l’eau potable l’autre
l’eau réservée aux usages industriels.
4 Réseau étagé Dans le cas d’une agglomération présentant des différences de
niveau importantes
5 La loi des nœuds La somme des débits entrants = la somme des débits sortants
La somme algébrique d’un parcours fermé et orienté des
pertes de charge est nulle
6 Les pertes d’eau  Pertes sur production : lavage des filtres, réservoir,
fiabilité du comptage
 Distribution :
 Branchements
 Sur les équipements : robinet vanne, vidange,
ventouses, BF, bouche d’arrosage, joints
 Pertes techniques :
- fuites
- branchements illicites
- BI, BA, BF : sans compteurs
- Débordement des réservoirs
- Vidanges
- Rinçage des conduites
 Pertes administratives :
- coût d’énergie et du personnel
- charges financières
7 Les principaux facteurs de fuites sur  Mouvement du sol
conduite  Corrosion de la conduite
 Trafic routier
 Pression de service
 Age de la conduite
 Température (cas de gel)
 Condition de pose de la conduite
 Conditions d’exploitation (cas d’un réseau déficitaire)
8 Moyen d’évaluation des pertes d’eau  Débit de nuit : consommation faible et pertes importantes
9 Comment peut on éviter les pressions  Etagement du réseau
excessives dans un réseau de  Pose de réducteurs de pression
distribution 
10 Quels sont les éléments à prendre en  pression de service en régime continu
considération pour le choix des  surpressions possibles : pression caractéristique
conduites  pression d’essai en tranchée
 charges extérieures dues au remblai et aux surcharges
roulantes
 conditions de pose
11 Quelles sont les mesures d’ordre  réparation des fuites et entretien du réseau
technique et administratif à prendre  lutte contre les branchements illicites
pour la gestion des réseaux déficitaires  lutte contre les fortes pressions
 campagne d’économie d’eau (comité de vigilance)
 minimiser le coût d’énergie et du personnel
 réduire les charge financières
 réhabilitation du réseau
53
 mise en place d’un découpage du réseau en secteur
 contrôle permanent (laboratoire)
 aviser les autorités locales
12 Dans un système d’AEP, quelles sont fonctions techniques
les fonctions d’un r réservoir  régulation de débit
 régulation de pression
 sécurité d’approvisionnement
 simplification de l’exploitation
fonctions économiques
 réduction des investissements sur les ouvrages de prod
 réduction «  «  «  sur le réseau
 réduction des dépenses en énergie
13 Rôle d’un réservoir de distribution  modulation de la distribution
 autonomie
 sécurité d’AEP
 réserve incendie
 économie d’énergie
14 Quelles sont les différentes solutions  régulation automatique : ligne pilote, robinet flotteur,
possibles pour éviter le débordement automate programmable.
des réservoirs  Surveillance par gardien et liaison radio ou téléphonique
avec la station de pompage.
15 Comment peut on réduire le coût du m3 Agir principalement sur les charges variables (énergie et
d’eau pour un centre ONEP donné produits de traitement)
 Optimiser la consommation d’énergie : fonctionner
pendant les heures creuses, corriger le cos, ne pas
dépasser la puissance souscrite, améliorer les rendements
et les performances des installations…etc
 Améliorer le rendement du réseau
 Optimiser le dosage des réactifs
 Optimiser les moyens humains et matériel (redéploiement
du personnel, réduction des frais de gestion…etc)
16 Définir la méthode de calcul du besoin  En fonction de la consommation moyenne en m3/j ou l/s
d’un centre  Le rendement
 Débit moyen à la production
 Débit moyen à la distribution
 Débit de pointe journalier à la production
 Débit de pointe journalier à la distribution
17 Quels sont les éléments essentiels qui  Taux d’accroissement de la population à 2% par an
permettent d’évaluer les besoins  Dotation par habitant par jour
 Rendement de l’antenne à 90%
 Coefficient de pointe journalier : 1,5
 Coefficient de pointe horaire : 2
 Taux de branchement individuel entre 0 à 30%
18 Pour entamer une étude détaillée d’AEP  Débit
d’un centre à partir d’un forage quelles  Hauteur géométrique
sont les données que vous voulez  Profil en long
recevoir  Plan côté
 Qualité de l’eau
 Hauteur dynamique
19 Quelle est la différence entre le  R commercial : Ventes sur la production V/P
rendement technique et commercial  R technique : en plus des ventes, il fait intervenir les
d’un centre volumes non comptabilisé (BI, Vidange, Service….etc)
20 Comment la taxe riveraine est elle  Par la méthode du taux fixe pratiqué en fonction des
calculée façades selon le barème en vigueur
 Frais de branchement (matériel posé)
 Taxe riveraine (contribution au réseau posé)
21 Quels sont les frais que doit payer un  Provision
nouvel abonné pour un branchement  Redevance fixe
domestique  timbres

54
22 Quelles sont les mesures et précautions  respect des conditions de pose ONEP
à prendre lors de la pose d’un  lit de pose
branchement d’eau  pose de grillage avertisseur
 pas d’étirement du PE
 serrage modéré des raccords SR
23 Citez les différents cas de résiliation  résiliation normale
d’un branchement  résiliation d’office
24 A quoi sert le relevé contradictoire  enregistrement des quantités produites : énergie et réactifs
d’index des compteurs consommés, taux de m3 produit par jour
 relevés contradictoires des consommations : à la fin de
chaque mois, un relevé contradictoire est effectué à
l’entrée des réservoirs de la régie conjointement par le
chef de la station de l’ONEP et par un agent habilité de la
régie.
25 Quel est l’intérêt de la sectorisation  une surveillance meilleure du réseau
 un contrôle permanent des pertes
 un contrôle du rendement
 une orientation de la RDF de façon optimale
26 Comment calculer la capacité d’un  consommation journalière divisée par 2 (autonomie de 12
réservoir heures) majorée de la réserve d’incendie V= C/2+120m3
27 Quels sont les avantages d’un  -
branchement social  -

28 

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55
22- TRAITEMENT DES EAUX
1 Quel est le rôle d’une station de  Retirer de l’eau toutes les substances dissoutes ou en
traitement suspension qu’elle contient (clarification)
 Eliminer les germes dangereux (désinfection).
2 Quels sont les coagulants les plus  sulfate d'alumine
utilisés  polychlorosulfate d'alumine
 chlorure ferrique
 l'aqualeuc
3 En quoi est due la dureté d’eau  La dureté est due en grande partie aux sels de calcium et
magnésium. Elle peut être supprimée en faisant bouillir
l’eau
4 Par quoi on peut traiter le fer dans l’eau  Par aération ou sédimentation
5 Procès de traitement d’eau potable  Préchloration
 Débourbeur (en cas d’une prise d’eau trop chargée)
 Mélangeur (addition de sulfate d’alumine)
 Floculation
 Décanteur
 Filtre
 Correction nécessaire (PH, odeur, chloration)

6 Qu’est ce qu’une eau potable C’est une eau qui répond aux normes de la potabilité à savoir :
 Turbidité (CMA) 2 FTU
 PH : 6.5 – 9,2
 Nitrate (NO2) : (CMA) 50 mg/l
 Chlorure : (CMA) 750 mg/l
 Sulfate (SO4) : (CMA) 200 mg/l
 Cuivre : 1 mg/l
 Zinc : 5 mg/l
 Plomb : 10 g/l
 …..etc
7 Différents bactéries  bactéries pathogènes (responsable des maladies graves
telles que le choléra, typhoïde…
 bactéries non pathogènes
8 Dans le traitement de l’E.P qu’est ce Destiné à extraire de l’eau les particules de grosses
qu’un pré traitement dimensions qui gène le traitement ultérieur (sable, cailloux, la
boue...)
9 Citer les principales opérations de pré  débourbage
traitement  dégrillage
 déshuilage
10 Jar test  c’est un banc contenant plusieurs récipients à différent
dose de coagulant avec des agitateurs. On déduit par ce
test quelle est la concentration du coagulant la plus
efficace.
11 Dans quel cas on a recours aux  cas d’une eau boueuse dont la concentration est de l’ordre
débourbeurs de 2g/l
12 Citer les 3 réactifs de traitement  sulfate d’alumine
couramment utilisés à l’ONEP  alginate
 chlorure ferrique
 charbon actif
 chlore
13 Qu’est ce le poly électrolyte et à quoi  réactif de traitement (floculant).
sert-il  Permet la constituant d’aggloméré de colloïdes.
14 Décrivez brièvement les étapes  Ajout du coagulant, mélangeur rapide
successives de coagulation et de  Coagulation : formation des particules microscopiques
floculation  Floculation : formation des floques par l’agglomération
des fines particules

56
15 Quelles sont les analyses de routine  Turbidité
qu’un opérateur effectue habituellement  PH
pour évaluer les performances d’un
décanteur
16 Pour une eau destinée à l’alimentation  C’est la valeur minimale qui au –dessous de la quelle il ne
humaine, qu’entend on par valeur faut pas descendre.
minimale requise (V.m.R)
17 Avant d’équiper une source en eau,  Analyses des paramètres physico-chimiques
quelles sont les différentes analyses  Analyses des paramètres biologiques et bactériologiques
d’eau à effectuer (très sommairement).  Essais de traitabilité au laboratoire
18 En cours d’exploitation, quelles sont les  PH
analyses à effectuer (les principales)  chlore résiduel 
 turbidité
 température
 bactériologie
19 Comment se fait le contrôle de la  contrôle du chlore résiduel : comparateur à chlore aux
qualité d’eau au niveau du réseau de extrémités du réseau
distribution  analyses physico-chimiques et bactériologiques
périodiquement
20 Que signifie la désignation : 001  choléra
21 Citer les principales catégories de  Mesures physiques (odeur, saveur, turbidité)
contrôles et mesures de qualité  Mesures chimique (PH, chlore résiduel..)
 Mesures bactériologiques
22 Donner un procédé de traitement des  lagunage
boues rejetées par les stations de
traitement
23 Citer les principaux avantages et Avantages
inconvénient de la préchloration  Désinfection efficace (temps de contact important)
 oxydation du fer et du magnésium : décoloration de l’eau
 Empêche la prolifération des algues
 Inconvénients :
 Les dosages élevés augmentent les coûts du traitement
 Formation des THM (titre hydrotimétrique magnésien)
24 Taux d’utilisation des installations de  57%
production
25 Consommation d’énergie /m3 produite  0,471 KWH/m3
26 Consommation du sulfate d’alumine par  26,5g/m3
m3 traité
27 Consommation du chlore par m3 traité  4,2g/m3
28 Turbidité moyenne acceptable 1 à 5 JTI

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57
23- TRANSFORMATEURS

1 Quel est le rôle du relais bucholz d'un  il détecte le dégagement gazeux en cas de défaut dans
transformateur le bobinage principal du transfo qui provoque
l'échauffement excessif du diélectrique à l'intérieur du
transfo. c'est un appareil de protection des transfos
2 Quel est le rapport de transformation  U2/U1 = I2/I1 = N2/N1
d'un transfo de puissance
3 Qu'est ce qu'un transformateur de c'est une machine d’induction qui permet d'élever ou
puissance abaisser une tension ou courant
4 Lister les principales opérations de  Essais de claquage de diélectrique
maintenance à effectuer sur les postes  Essais du relais de bucholz, purge d'air, et thermostat
de transformations MT/BT?  Mesure électrique: puissance consommée, tension, facteur
de puissance, courant, isolement, rapport de
transformation
 Vérification du couplage
 Contrôle de la terres, éclateur et parafoudre
 Contrôle des cellules moyenne tension
 Etat des batteries de condensateur et des câbles moyen et
basse tension
 Mesure des pertes de courant à vide
 Mesure du bruit
 Mesure de l’échauffement
5 Les différents types de postes et les Types de poste :
différentes catégories de tension  Transformateur sur poteau
 Poste type local
 Poste à l'air libre

Catégories de tensions:
 BT
 MT
 HT
6 Détermination de la puissance optimale  Etablir la liste détaillée des récepteurs dont on dispose
 Appliqué à cette puissance le coefficient de simultanéité
 Appliqué enfin le coefficient en tenant compte du facteur
de puissance
7 Les couplages normalisés dans un  Etoile-zig zag pour  160kva
transfo  Triangle étoile pour P  200 kVa
8 Organes de protection d’un transfo  Protection thermique : assurée par le disjoncteur par le
disjoncteur BT et fusible
 Thermostat simple ou double : 1 contact alarme + 1
contact déclenchement
 Thermomètre à 2 contacts : 1 contact d’alarme + 1 contact
déclenchement
 Protection contre les défauts interne : DGPT
(Dégagement de Gaz (BUCHOLZ), augmentation de
Pression (MANOSTAT), augmentation de Température
(THERMOSTAT)
9 Le rôle des condensateurs  Ils permettent de compenser l’énergie réactive (utilisés
aux postes MT)
 Eviter les pénalités facturées par le distributeur (cas cos 
< 0.8
 Eviter le surdimensionnement des installations
10 Effets d’énergie réactive  Surcharge au niveau du transfo
 Des chutes de tension en bout de ligne
 Echauffement des câbles d’alimentation
 Surdimensionnement des protections

58
 P Active : UI cos 
 P Réactive : UI sin 
11 Formule puissance active, réactive,  Apparente : UI = (Pa2 + Pr2)
puissance apparente Pa (kW)

PR (kvar)
P apparente

12 Différentes liaison à la terre La mise à la terre sert essentiellement à protéger les personnes
contres les contact indirect

 TT (neutre lié directement à la terre


 IT (neutre isolé ou impédant)
 TN (mise au neutre)
13 Protection contre les chocs électriques  Contact indirect : par le régime du neutre IT-TT-TN
et surtension  Protection contre les surtension d’origine
atmosphérique : parafoudre
 Protection contre les cours circuits : par fusible ou
disjoncteur
 Protection contres les surcharges :

 Relais thermique
 Une sonde thermique PTC (coefficient de température
positif)
 Thermostat à deux seuils placé dans le diélectrique (1
seuil pour signalisation, 2ème au déclenchement)
 Protection contres les défauts internes assurés par le
DGPT (dégagement de gaz, surpression, élévation de
température))
14 Que signifie Yzn 11  Y couplage triangle en HT
 z zig zag en BT
 n neutre sortie BT
 11 indice horaire le déphasage entre HT et BT

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59
24- POLLUTION – ENVIRONNEMENT
1 Quelles sont les principales sources de  Rejet urbain
pollution  Rejet industriel
 Rejet agricole
2 Quelles sont les ressources en eau qui  Les ressources de surface, pour les protéger, il faut
sont les plus exposées à la pollution et à contrôler les rejets industriels et autres qui peuvent les
la contamination, comment les protéger polluer
3 Détection de la pollution par les eaux  Absence de chlore
usées  Pollution décelée par les abonnés
4 Mesure à prendre en cas de pollution  Isoler immédiatement le tronçon suspect
 Information du laboratoire centrale et régionale
 Recherche de l’origine de la contamination
 Information de la hiérarchie
 Sensibilisation de la population pour faire bouillir de l’eau
 Renforcement des contrôles de qualité
 Suppression de l’origine de la contamination et rinçage
(stérilisation) des conduites
5 Peut- on éviter la pollution des eaux  Oui, en vue d’empêcher une pollution des eaux naturelles
par les eaux usées, ces dernières doivent être collectées
par les égouts et acheminées vers des stations d’épuration.
6 Quel est le but d’une enquête sanitaire  Evaluer les risques de pollution autour des captages
 Déterminer l’origine de la pollution
7 Expliquer la notion « périmètre de  Le périmètre de protection d’une source en eau est défini
protection » d’une source d’eau potable de telle manière à protéger la ressource en eau contre tout
risque de pollution en interdisant les rejets industriels,
activités agricoles (engrais, pesticides, etc), rejets
domestiques,….etc.
8 C’est quoi la pollution atmosphérique  Toute modification de l’état de l’air provoquée les gaz
toxiques ou corrosifs : les fumées ; les vapeurs, la chaleur,
les poussières, les odeurs ou tout autre polluant,
susceptible d’entraîner une gêne ou un danger pour la
santé des personnes ou des dommages à l’environnement
9 Pourquoi on parle beaucoup de la  Pour protéger les ressources naturelles de l’eau
préservation de l’environnement
10 Quel est le rôle du conseil national de  Stabiliser la dégradation de l’environnement
l’environnement  Etablir un ensemble d(indicateurs de l’environnement
 Définition de la priorité au niveau de 4 secteurs : eau,
déchets, air ,sol.
 Atteindre un ensemble des objectifs de qualité
 Proposer un corps de recommandations d’ordre général
11 Quelles sont les conséquences de la  Sur l’eau potable : diminution des débit des ressources en
sécheresse eau, déficit, diminution des réserves de stockage d’eau
(barrage), demandes en eau non satisfaites à 100%
 Sur l’agriculture : terrains non cultivés, ….etc
 Sur le monde rural : exode rural
 Sur l’économie du pays : menace de l’accroissement de
l’économie du pays.

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60
25- PROTECTION CATHODIQUE
1 Définition de la protection cathodique  technique qui permet de conserver dans son intégrité la
surface extérieure des structures en acier enterrées ou
immergées, en s’opposant au processus électrochimique
d’attaque du métal par le milieu ambiant, c à d la
corrosion ou oxydation
 les conduites en acier constituent le champ d’application
principale de cette protection en raison de sa bonne
conductivité.
 Un métal en contact avec un milieu conducteur eau ou sel,
est le siège de réaction électrochimique appelées effet de
pile. Ce phénomène entraîne une dissolution du métal de
l’anode vers la cathode c à d du tube vers le milieu
ambiant c’est la corrosion ou oxydation
2 Comment définit-on la protection Elle est constituée par le revêtement extérieur dont le rôle est
passive d'une canalisation en contact de créer un effet de barrière électrique entre le matériel des
avec un milieu conducteur (eau ou sel) canalisations et le milieu environnant. Ce revêtement ne
pour éviter la corrosion constitue cependant pas une protection absolue et définitive
3 Quelles sont les différentes techniques Elle consiste à amener par des moyens extérieurs l'ensemble
de la surface extérieur du matériel à un potentiel suffisamment
négatif pour rendre le tube entièrement cathodique et
supprimer ainsi tout risque de corrosion ou oxydation
extérieure.
Le critère de protection cathodique est la valeur du potentiel
au-dessus duquel l'acier ne peut se corroder (-850 mV pour
l'acier)
Les différents techniques
 par anodes sacrificiel : (constituer une pile à l’aide d’un
métal plus électronégatif que l’acier) : Cette protection
consiste à connecter électriquement la structure à protéger
à des masses de métal moins résistant appelées anode
(zinc, aluminium ou magnésium dans le cas de l’acier).
Ces anodes vont se corroder préférentiellement (ce
système s’adapte au milieu dont la résistivité est inférieure
à 50 m).

 par soutirage de courant : (relier une source électrique


convenablement connectée de manière que l’acier devient
la cathode du système et de vérifier le potentiel de cette
cathode) : il consiste à imposer un courant continu, le
pole positif est relié à l’anode et le pole négatif est relié à
la conduite (il s’adapte pratiquement pour toutes les
résistivités.

4 Calcul d’une protection cathodique  Masse anodique : P= (dI . S . n . U) / C


61
I : intensité nécessaire à la protection de l’ouvrage = dI . S en
ampères.
DI : intensité de courant nécessaire A/m2
S : surface à protéger
N : nombre d’années (durée de vie)
U : coefficient d’utilisation des anodes
C : capacité du métal en A an/kg
P : masse en kg
 Nombre d’anodes N = I/i i = Ud/Ra + Rd +Rc
i= intensité débitée par chaque anode
Ud : différence de potentiel entre l’anode et la cathode
Ra : résistance de l’anode
Rc : résistance de la cathode
Rd : résistance du circuit électrique reliant l’anode et la
cathode.

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62
26- DEMARCHE QUALITE
1 Qu’est ce que la qualité  Ensemble des propriétés et caractéristiques d’un produit
ou service. (performances, délais, fiable, durable, sur
l’emploi, non polluant, faible coût……etc).
2 Qu’est ce que la qualité dans  Ensemble des principes et des méthodes organisées en
l’entreprise stratégie globale pour obtenir la satisfaction du client au
moindre coût.
3 Qu’est ce que le management de la  Ensemble des activités qui déterminent la politique
qualité qualité, les objectifs, les responsabilités.
 Planification, maîtrise et l’amélioration de la qualité dans
le cadre du système qualité.
4 Le système qualité  Ensemble d’organisations, procédures, processus, moyens
5 La certification ‫التصديق‬  Procédure par laquelle une tierce partie donne une
assurance écrite qu’un produit ou système de qualité ou un
service est conforme aux exigences spécifiques
6 L’accréditation ‫اعتماد‬  Procédure par laquelle un organisme faisant autorité
reconnaît formellement qu’un organisme ou une entité est
compétente pour effectuer des taches spécifiques
7 Les normes ISO  International organisation for standardisation : fédération
mondiale d’organismes nationaux de normalisation.
 But : développement de la normalisation pour simplifier
les échanges de produits entre les pays :
 ISO 9000 : traite principalement du management de la
qualité
 ISO 90001-9002-9003 : traite l’audit et la certification de
système de qualité 
 ISO 90004-1 : offre les moyens pratique pour mettre en
place l’assurance qualité.
 ISO 14000 : promouvoir dans les établissements une
gestion rentable de l’environnement et l’utilisation des
matières premières de façon rationnelle (réduire les effets
nuisibles sur l’environnement)
8 

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27– QUELQUES FORMULES
1 Vitesse d’eau V = Q/S + 4Q/3,14 D2
F. pratique : V en m/s = 353,7. Q e m3/h / D2 en mm
2 Pertes de charges linéaires

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