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II -Puissance électrique Chapitre 1 : Effet calorifique en régime permanent dans un conducteur ohmique.
Loi d’ohm.
Chapitre 2 : Loi d’Ohm pour un générateur ou pour un récepteur.
Puissance électrique fournie ou reçue en régime permanent
Chapitre 3 : Bilan énergétique dans un circuit électrique
D - CHIMIE ORGANIQUE I -Importance de l’élément Chapitre 1 : Importance de l’élément carbone dans la nature.
carbone dans la nature
II –Dérivés saturés : les Chapitre 1 : Tétravalence du carbone et chaine carbonée des alcanes : la liaison C – C
alcanes Chapitre 2 : Nomenclature des alcanes.
Chapitre 3 : Quelques propriétés des alcanes : combustion et halogénation par
substitution.
V -Pétroles et gaz naturels Chapitre 1 : Pétroles et gaz naturels, matières premières des produits de base de la
chimie organique.
VI - Composés organiques Chapitre 1 : Présentation des composés oxygénés les plus simples.
D - CHIMIE ORGANIQUE
oxygénés Chapitre 2 : Obtention de l’éthanal et de l’éthanol à partir de l’éthylène.
Chapitre 3 : Oxydation de l’éthanol en éthanal et en acide éthanoïque.
Chapitre 4 : Estérification. Hydrolyse des esters.
E - CHIMIE MINERALE ET I -Réaction d’oxydoréduction Chapitre 1 : Action des solutions acides sur les métaux.
GENERALE en solution aqueuse Chapitre 2 : Réactions d’oxydoréduction entre un métal M et un ion métallique M n+.
Chapitre 3 : Notion de couple oxydant-réducteur.
Chapitre 4 : Notion de potentiel d’oxydoréduction ; potentiel standard.
Chapitre 5 : Généralisation de la notion de couple oxydant-réducteur.
Chapitre 6 : Dosage d’oxydoréduction.
IV – Engrais Chapitre 1 : Composition des sols et besoin des plantes ; nécessité des engrais.
Chapitre 2 : Engrais azotés, phosphatés et potassiques.
Chapitre 3 : Engrais composés.
Chapitre 4 : Engrais organiques.
Chapitres et objectifs pédagogiques du programme de première S
CHAPITRES OBJECTIFS
Cinématique du point matériel Révision du chapitre : Le mouvement. Notion de vitesse instantanée en classe de 2°S
Définir la cinématique du point matériel
Définir le mobile, ou l’objet ou le point matériel
Définir la vitesse angulaire d’un mobile
Connaitre la relation reliant la vitesse angulaire ω, la période T ou la fréquence N d’un mouvement
Travail et puissance des forces Définir le travail d’une force constante en grandeur, direction et sens, sur un déplacement rectiligne AB
agissant sur un solide en mouvement Donner les conditions d’application de l’expression : WAB = ⃗.⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = f.AB.cosѲ avec Ѳ = f.AB
de translation Donner les unités des grandeurs de cette expression
Savoir que le travail d’une force perpendiculaire au déplacement est nul
Savoir que, dans les autres cas, il faudrait passer par le travail élémentaire (calcul non exigible)
Savoir que le travail du poids dans le champ de pesanteur uniforme est indépendant du chemin suivi et qu’il dépend de la
différence d’altitude
Déterminer qualitativement la nature du travail (moteur, résistant, nul) en vérifiant par là le signe du résultat numérique
Définir la puissance moyenne d’une force constante
Calculer la puissance moyenne, avec les unités convenables
Définir la puissance instantanée d’une force constante
Calculer la puissance instantanée, avec les unités convenables
Définir le kilowattheure
Convertir le kilowattheure en Joule
Energie cinétique d’un mouvement Définir l’énergie cinétique pour un point matériel ou un solide de masse m en mouvement de translation
de translation Calculer l’énergie cinétique, avec l’unité convenable
Convertir l’électron- volt (eV) en Joule
Définir le travail d’une force de moment constant dans une rotation d’angle Ѳ
Travail et puissance des forces Donner les conditions d’application de l’expression : W = M.Ѳ
Donner les unités des grandeurs de cette expression
agissant sur un solide en mouvement
Déterminer qualitativement la nature du travail (moteur, résistant, nul) en attribuant à w le signe correspondant
Définir la puissance moyenne d’une force constante
Calculer la puissance moyenne, avec les unités convenables
de rotation Déterminer qualitativement la nature de la puissance (motrice, résistante, nulle) en attribuant à P le signe correspondant
Energie cinétique d’un mouvement Définir l’énergie cinétique pour un point matériel ou un solide de masse m en mouvement de rotation
de rotation Calculer l’énergie cinétique, avec l’unité convenable
Théorème de l’énergie cinétique. Cas Appliquer le théorème de l’énergie cinétique au solide en translation :
de la chute libre - Choix du système ;
- Inventaire des forces appliquées au solide ;
- Choix des deux états entre lesquels on applique le théorème
Appliquer le théorème de l’énergie cinétique au solide en rotation au tour d’un axe :
- Choix du système ;
- Inventaire des forces appliquées au solide ;
- Choix des deux états entre lesquels on applique le théorème
Exploiter un diagramme de chute libre (v² = 2 g.h)
Energie potentielle de pesanteur – Définir le champ de pesanteur uniforme g identique en tout point
Energie mécanique : sa conservation Définir l’énergie potentielle d’un solide dans le champ de pesanteur supposé uniforme
Exprimer l’énergie potentielle d’un solide, l’état de référence étant donné
Calculer l’énergie potentielle d’un solide, l’état de référence étant donné
Savoir que lorsque l’énergie E est constante, l’énergie potentielle diminue quand l’énergie cinétique augmente
Savoir que l’énergie potentielle diminue quand l’altitude diminue
Savoir que lorsque l’énergie mécanique totale se conserve dans le cas d’une chute libre et du glissement sans frottement
sur une rampe de profil quelconque (toboggan)
Donner la signification microscopique de la pression (la pression croît avec l’agitation moléculaire)
Compressibilité et dilatation des gaz Connaitre les unités mesurant la pression : le pascal, le bar
Connaitre la valeur de la pression atmosphérique normale en pascals et en cm de mercure
Donner la signification de la quantité de matière (mole)
Utiliser le nombre d’Avogadro NA
Appliquer la loi d’Avogadro – Ampère
Utiliser le volume molaire d’un gaz
Mesurer une différence de pression à partir d’une dénivellation manométrique ou d’un manomètre
Utiliser la loi de Boys et Mariotte
Convertir les centimètres de mercure en pascals ou en bars
Appliquer la loi entre plusieurs états d’une même masse de gaz à température constante
Définir la température absolue d’un corps
Connaitre les échelles Celsius et Kelvin de température
Connaitre l’existence du zéro absolu de température
Savoir que l’agitation moléculaire dans un gaz croît avec la température
Utiliser la proportionnalité entre P.V/T et la quantité de matière n
Exploiter la loi des gaz parfaits sous la forme P.V = n.R.T et P1V1/T1 = P2V2/T2 entre deux états d’une même masse de gaz
Donner les conditions pour qu’un gaz puisse être considéré comme parfait
Transformation travail - chaleur. Donner quelques exemples de diminution de l’énergie mécanique d’un système par frottement
Savoir qu’il est plus facile de transformer du travail en chaleur que l’inverse
Connaitre l’unité de mesure de la quantité de chaleur Q
Donner la signification des termes :
- Calorimétrie (bouteille thermos…) ;
- Equilibre thermique ;
- Chaleur massique ou capacité thermique massique d’une substance homogène ;
- Chaleur de réaction
La calorimétrie Différencier température et chaleur
Utiliser les relations Q = m.c.│Ѳf - Ѳi│et Q = m.L
Connaitre les unités de c et L
Reconnaitre qualitativement quand un système perd ou pas de l’énergie sous forme de chaleur
Appliquer la méthode des mélanges au calcul :
- D’une capacité thermique massique ;
- D’une chaleur de changement d’état ;
- D’une chaleur de réaction
Savoir que :
- Lorsque l’on met en contact deux corps à des températures différentes, le transfert d’énergie sous forme de
chaleur se fait toujours spontanément du corps dont la température est la plus élevée (corps chaud) vers celui
dont la température est la moins élevée (corps froid) ;
- A l’intérieur d’un calorimètre, la somme des quantités de chaleur cédées par les corps « chauds » est égale à la
somme des quantités de chaleur absorbées par les corps « froids »
Décrire le dispositif permettant d’obtenir un champ électrostatique uniforme
Le champ électrostatique Connaitre l’existence de l’espace champ électrostatique
Exploiter la relation F = q.E, avec les unités convenables
Savoir que E ne dépend pas de la charge q
Savoir que E est identique en tout point
Décrire le dispositif permettant d’obtenir un champ électrostatique uniforme
Energie potentielle électrostatique Savoir qu’une charge q placée dans un champ électrostatique possède de l’énergie potentielle électrique : EPA – EPB = q. (VA
– VB) = WAB(F)
Donner les caractéristiques du vecteur champ E crée entre les armatures A et B d’un condensateur plan
Exploiter la relation : EPA – EPB = q. (VA – VB)
Exploiter la fiche technique d’un appareil électrique en tenant compris des limitations en tension, en puissance et en
Puissance électrique. Cas des intensité
Exploiter la relation P = U.I = r.I²
conducteurs ohmiques
Connaitre l’unité de puissance
Utiliser un ampèremètre, un voltmètre et un ohmmètre
Savoir qu’en régime permanent, un conducteur ohmique libère une quantité de chaleur égale au travail
électrique qu’il reçoit pendant le même temps : W = R.i².t
Appliquer la loi d’ohm à un conducteur ohmique UAB = R.I
Appliquer la loi d’ohm à un générateur : UPN = E – r. I
Appliquer la loi d’ohm à d’autres récepteurs :
UAB = E’ + r’. I avec E’ : force contre électromotrice (V) et r’ la résistance interne du récepteur (Ω)
Savoir qu’un dipôle traversé par un courant d’intensité I aux bornes duquel existe une tension U(en valeur absolue),
Puissance électrique. Cas des fournit de l’énergie au reste du circuit (cas du générateur) ou en consomme (cas du récepteur). La puissance électrique
générateurs et des récepteurs correspondante est : P = U.I
Savoir qu’un générateur (E, r) « fabrique » la puissance électrique EI et en consomme ri² par effet joule ; il fournit le reste
U.I au circuit
Savoir qu’un générateur (E’, r’) consomme la puissance électrique U.I ; il restitue r’i² sous forme de chaleur et le reste E’I
sous une autre forme (mécanique, chimique…)
Retrouver la loi d’ohm pour un diplôme en faisant le bilan énergétique en régime permanent
Bilan énergétique dans un circuit Savoir qu’en régime permanent, toute l’énergie électrique fournie à un circuit est restituée par celui – ci sous forme de
chaleur et éventuellement sous d’autres formes
Faire le bilan énergétique dans un circuit électrique, en régime permanent
Repérer l’énergie électrique fournie au circuit et l’énergie restituée sous différentes formes
Comparer, dans le cas de dispositifs électroniques, puissance d’entrée et puissance de sortie ; donner les raisons de leur
différence (dissipation, rôle de l’alimentation…)
Savoir qu’un condensateur interrompt la chaîne conductrice
Savoir que les charges des armatures sont toujours opposées : QA = QB ; QA = C. (VA – VB) = C.UAB.
Connaitre l’unité de la capacité C d’un condensateur.
Savoir que la variation ∆QA de l’armature A pendant la durée ∆t est la quantité d’électricité qui circule dans le circuit
Les condensateurs. pendant la même durée.
Exprimer la charge en précisant, à chaque fois, l’armature (A ou B) : QA ou QB.
Relier qualitativement l’existence d’un courant à la variation de la charge des armatures (ou de la tension aux bornes) :
Les condensateurs - Un courant n’existe (i ≠ 0) que si la tension (donc la charge des armatures) varie ;
- Trouver le sens du courant suivant que le condensateur se charge ou se décharge.
Savoir que le sens d’orientation du circuit étant choisi, relier le signe de i au sens du courant.
Schématiser le montage de la charge d’un condensateur par un courant d’intensité constante.
Relier l’observation de l’oscillogramme aux relations : QA = CUAB ; i = dQA/dt.
Savoir que le condensateur est un dipôle capable d’emmagasiner de l’énergie pendant la charge, de la stocker, et de la
restituer lors de la décharge.
Exploiter la relation E = ½ CU²AB.
Faire qualitativement un bilan énergétique simple dans un circuit comportant un condensateur.
Savoir que pour un montage dérivateur, la tension de sortie du montage est proportionnelle à la dérivée par rapport au
temps de la tension de sortie de ce montage.
Savoir que pour un montage dérivateur, la tension d’entée du montage est proportionnelle à la dérivée par rapport au
Les montages dérivateur et temps de la tension de sortie de ce montage.
intégrateur Savoir que l’alimentation d’un amplificateur opérationnel doit être branché en premier et débranchée en dernier.
Schématiser le montage dérivateur ou le montage intégrateur.
Utiliser un oscillographe pour visualiser Ve(t) et Vs(t) dans les deux cas.
Reconnaitre à partir d’un schéma de montage s’il s’agit d’un montage intégrateur ou dérivateur.
Reconnaitre qualitativement sur les oscillogrammes le rôle dérivateur ou intégrateur du montage.
Les phénomènes vibratoires Déterminer la fréquence, la période et la relation entre ces deux grandeurs pour un phénomène vibratoire.
entretenus Connaitre leurs unités.
Reconnaitre la nature vibratoire d’une source sonore.
Donner la hauteur d’un son, les fréquences audibles, l’ordre de grandeur des valeurs limites, ultrasons.
Reconnaitre, pour un signal, l’ébranlement transversal, longitudinal.
Donner le nom des deux techniques d’étude des vibrations.
Les phénomènes vibratoires Relier une fréquence à une vitesse de rotation.
entretenus Interpréter qualitativement une immobile et /ou un ralenti apparent dans le cas où N = N 0.
Déterminer une fréquence ou une période à partir d’un document :
- Enregistrement graphique ;
- Oscillogramme.
Propagation d’un phénomène Reconnaitre l’élasticité et l’inertie du milieu de propagation.
vibratoire Donner l’ordre de grandeur de la célérité du son et de la lumière.
-1 -1
Connaitre l’unité : m.s ; km.h .
Donner les propriétés d’une onde progressive.
Distinguer l’amortissement de l’onde de la dilution de l’énergie.
Définir la longueur d’onde λ.
Exploiter la relation : λ = C.T avec les unités convenables.
Déterminer la longueur d’onde, la célérité d’onde à partir d’un document.
Déterminer, à partir d’un document :
- La direction de la propagation ;
- La longueur d’onde ;
Les phénomènes de réflexion, - Les lignes d’onde de l’onde transmise ou réfléchie.
Définir :
Pour la réflexion :
- Un obstacle fixe, une réflexion libre ;
- La normale, le plan d’incidence.
réfraction et diffraction Pour la transmission :
- La frontière ;
- La relation λ1/λ2 = C1/C2 = sini/sinr.
Savoir qu’il y a diffraction si d est de l’ordre de λ.
Les phénomènes de réflexion, Connaitre la nature vibratoire de la lumière.
réfraction et diffraction : cas de la Savoir que la lumière se propage de manière rectiligne.
Définir les termes : rayon, pinceau, faisceau incident, réfléchi, réfracté, diffracté, réfringent, indices de réfraction relatif,
lumière
indices de réfraction absolu : n = c/v, réfraction limite, réflexion totale, fibre optique.
Savoir que la lumière blanche se disperse et qu’elle est monochromatique.
Exploiter la loi de Descartes.
Connaitre la célérité de la lumière dans le vide ; les indices du verre, de l’air et de l’eau.
Mesurer des angles :
- D’incidence ;
- De réfraction ;
- Limite de réfraction.
Tracer le trajet d’un rayon lumineux qui subit une réflexion ou une réfraction.
Déterminer la position de l’image d’un point lumineux fournie par un miroir plan.
Déterminer un indice de réfraction à partir des résultats de mesures.
Donner le principe de superposition des petits signaux.
Définir la différence de marche δ.
Connaitre les interférences :
Les interférences
- Constructives : d = k.λ ;
- Destructives : d = (2k + 1) λ/2.
Faire graphiquement la somme de deux signaux donnés.
Déterminer l’état vibratoire en un point connaissant ses distances aux sources, uniquement dans les cas où : d = k.λ ou
bien : d = (2k + 1) λ/2.
Interpréter une expérience d’interférence.
Reconnaitre les franges brillantes, les franges obscures, les interfranges pour les sources cohérentes.
Donner l’ordre de grandeur des longueurs d’ondes visibles dans le vide, l’ultra violet et l’infra rouge.
Mesurer un interfrange.
Etablir la relation : i = λ.D/a connaissant l’expression de la différence de marche.
Calculer la longueur d’onde à partir de l’interfrange.
Donner le schéma de principe d’une expérience d’interfrange lumineuse.
Importance de l’élément carbone Savoir que tous les corps organiques renferment l’élément carbone.
dans la nature Donner les méthodes permettant de mettre en évidence cet élément : pyrolyse, oxydation….
Savoir que la plupart des composés peuvent donner lieu à des oxydations brutales (combustion).
Connaitre :
Hydrocarbures saturés : Les alcanes - La structure des chaines carbonées par l’enchainement d’atomes de carbone tétraédriques ;
- L’angle entre les liaisons d’un carbone tétraédrique ;
- La possibilité de rotation autour d’une liaison C- C ;
La formule générale des alcanes : CnH2n+2 ;
- L’ordre de grandeur des liaisons C- C et C- H.
Savoir que la liaison C – C est plus longue que la liaison C – H.
Savoir ce que représentent une formule développée et une formule semi développée.
Connaitre la notion d’isomérie et de squelette carboné.
Trouver tous les isomères des alcanes ayant au plus cinq atomes de carbone.
Ecrire les formules semi développées de ces corps.
Connaitre :
- Les règles de nomenclature ;
Hydrocarbures saturés : Les alcanes - Les noms et les formules des alcanes jusqu’à quatre atomes de carbone.
Savoir où l’on rencontre le méthane, le propane et le butane dans la vie courante.
Dans le cas d’un alcane ayant au plus huit atomes de carbone et au plus une ramification :
- Savoir le nommer ;
- Passer de la formule au nom et du nom à la formule.
Savoir qu’en dehors des réactions de destruction, les alcanes ne donnent que des réactions de substitution.
Connaitre des applications pratiques de produits de substitutions des alcanes (des fréons en particulier).
Ecrire l’équation bilan de la combustion d’un alcane dans les conditions données.
Connaitre :
- Les conditions expérimentales, les formules des réactifs et des produits dans les réactions de combustion et
d’halogénation du méthane ;
- Le vocabulaire : comburant, carburant, combustibles, réaction de combustion ;
- La nomenclature des dérivés substitués.
Ecrire l’équation bilan de la combustion de l’halogénation d’un alcane dans les conditions données.
Traduire les équations bilan par une relation entre les volumes gazeux et ou les masses.
Connaitre :
- La géométrie des molécules d’éthylène (angle entre les liaisons) ;
- Les formules et les noms des alcènes ayant au plus quatre atomes de carbone et une liaison multiple ;
Hydrocarbures insaturés : les alcènes - L’isomérie Z ou l’isomérie E (ou cis – trans).
Savoir qu’en dehors des réactions de destruction, les hydrocarbures insaturés donnent essentiellement des réactions
d’addition.
Savoir que les composés insaturés possèdent une grande réactivité.
Savoir que l’éthylène est un produit industriel important.
Savoir que toute réaction d’addition modifie la géométrie du squelette carboné.
Décrire la réaction d’addition du brome sur un alcène dans un solvant non aqueux.
Décrire le test des alcènes.
Connaitre :
- La géométrie des molécules d’acétylène (angle entre les liaisons) ;
- Les formules et les noms des alcynes ayant au plus quatre atomes de carbone et une liaison multiple.