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U NIH RSITE CHE I KH ANT.

1 D CO P
Faculté de Méileciii e, de Pharmacie et
d Odoiitologie

Module : Derniatologie-Véiiérologie
médecine-Exaœen 2022

Q C ñ l l (G)- Les étiologies des balanites aiguë s s ont

Une candidose
Une dermite de contact allergique
Une dermite ir ritaÖ ve
Un psoriasis

JC *1 ? (G)- Au cours de la sclérodermie


systémi que, il existe :
Une induratio n cutané e
Des plaques ér\Wémateuses, squam euses et
atrophiques
Des macules hypochromiques en moucheture
Un éry4hè me photo exposé
QC Pl3 (G)- Le lichen plan :

Se caracté rise par des papul es à reflet cuivré


S associe fréquemment au i•irus de l'hépatite B
S‘obseri'e uniquement chez les suj ets de
phototype VI
Est une dermite lichénoïd e à l'histologie

QCbl-i (G)- L épiderme est constitu ëe de bas vers


le haut des couches :
É pineuse, granuleu se, claire, cornée et basale
Cornée, claire, granuleuse, épineuse et basale
Basale, •ranuleuse, épineuse, claire et cornée
Basale, épineuse, granuleuse, claire et cornée

QC *i o((i)- Les balanites infecte uses sont causées


par des germes suivantes :
SOepto coque B—hémolytique B
Gard nerella vaginalis
Herpès simplex virus
Trich omonas i'aginalis
QC *1 6 (G)- Le signe de Nikolsky est :

Une induraÖ on de la peau


Une reproduction des lésions sur les zones de
traumatisme
Parfois liée à une atteinte des desmosomes
Un décoller ent de ia peau lors d'un frotter ent
appuyé

JC *i 7 {Ce)- La tuberculose scrofuloderme est


cara ctérisée par
Une association fréquente avec l’infection à VIH
Des adénopathies fistulisées
Des atteintes v'isc érales fréquentes
Des cicatrices en écrouelles ou en brides

QC *16 (G)- Ces formes cliniques suivantes,


peuvent s’observer au cours de la tuberculo se
cutané e
Le lupus tuberculeux
Une BCGite
Les p°ommeuses
Eérythè me induré de Bazin
QC *1 °.(G)- La syphilis se transmet par

Voie mater rio-fœtal e


Transfusion sanguine
Contact avec un chancre syphiliÖ que digital
Voie injectable

JC *i 10s G)- Au cours de la varicelle maligne, les


lésions suivantes sont retrouvées :
.'. Bulles hémorragiques
Papules ombiliquées
Vésicules
Sclérose

QC 8î l 1(G)- Les sarcoïd es à gros nodules sont :

Douloureux
Lisses
Lipoïd es
Pruri•ineu.x
JC Il 12(G) Ces anomalies sont en faveur d’une
sarcoïdose :
Une hypocalcémie
Un granul ome tuberculoïd e avec nécrose caséeuse
Une lymphocytose
Une êlêvation de 1 enzyme de cont ersion de
1 angiotensine

QC b1 13(G1 - Le phénomène de Raynaud

É t olue en trois phase


:. Est déclenché par le froid
Est transitoire
Est nécroÖ que à sa phase syncopale

Ç3Chl 14 tG j - La lèpre, éliminée au Sé négal depuis


1994, pose toujours un problème de santé car :
Elle sévit toujours dans certain es régions du pays
Elle fait partie des maladies tropicales
négligeables
Ses séquelles sont invaliü antes
Son association avec Ie VIH est fréquente
QC i*l l S f G)- Lè pre tuberculoïde tubercu loïde est
caractérisée par des plaques .
H jj ochromiques ou cuivrées
Avec des bordures en relief
Avec des tendant e à la guérison centrale
Nombreuses et symétriques

QC àl II (G)- Au cours de l'infecti on par le Vlfl,


l’herpè s génital se manifeste par :
Des i esicules groupées en bouquet
Une ulceration chronique
Un écoulement purulent
Des lesions vê êtantes

QCi'l 17[E)- L’infection sexuellem ent


transmissible la plus fréquente à l’échelle
mondiale est
L herpès génital
.: La tricho monose
La chlamvdiose
La •onococcie
:: La donoi anose
QC i*l 18(E) - Un écoulement génital peut résutter
d’une infecÖ on par :
Les sérovars LI L2 L3 de Chlamydia Oacho matis
.. Le hlebsiella •ranulomatis
Haemophilu s ducreyi
Les sérovars D a K de Chlamvdia trachomatis
” . Le sarc optes scabiei

QC 5119 (C)- Les principales causes de


vulvo-vaginites infectieuses sont
Une candidose
Une vaginose bacté rien ne
Une infection à Trich omonas vaginalis
Une infection à terme banal
Une syphilis secondaire

ÇC*l 20(C) - Au cours de la lèpre, la forme


indéte rminée :
Est une forme de début
Touche surtout 1 enfant
Se manifeste par une macule ou un placard
Est multibacillaire
Peut guérir spontanément
Cas Clinique l

Une femme âgée de 18 ans aux antécédents


d’épilepsie depuis 2 mois par du phénobarbital
depuis 3 semaines est hospitalisée en urgence au
service de Dermatologie pour des lésions bulleuses
nécrotiques atteignant 40% de sa surface corporelle
associée à une érosion buccale et génitale.

QCM 2 1 (E)- Que1 est votre diagnostic ?

1) Un érythème polymorphe
2) Un syndrome de Stevens-
Johnson
3) Un exanthème maculo-
papuleux
4) Un syndrome de Lyell
5) Un pemphigus vulgaire

QC M 22(G)- Quelles sont les complications aiguës


attendues ?
1) Un sepsis sévère
2) Un collapsus cardiovasculaire
3) Une insuffisance rénale
fonctionnelle
4) Un déficit musculaire
QCM 23(G)- Quelle est votre conduite à tenir en
urgence ?
1) La consultation ophtalmologique
2) La réanimation hydro -électro
lytique
3) L'arrêt du phénobarbital
4) Le nursing

QCM 24(G) - Quelles sont les complications au


long cours à craindre chez cette patiente
1) Une
hémiplégie
2) Une cécité
3) Des
cicatrices
pigmentair
es
4) Une
synéchie
des
muqueuses
QCM 25(G)- Quelles sont les mesures préventives
à entreprendre chez cette patente ?
1) Une déclaration à la
pharmacovigilance
2) Une carte d’éviction du phénobarbital
3) Proposer au malade une alternative
thérapeutique
4) Une réintroduction ultérieure du
phénobarbital
Cas cf iiiiqne 2

Une femme â gée de 3S ans, praÖ quant une


dépigmentation cosmétique volontaire au clobétasol
depuis 10 ans est hospitalisée pour une grosse
jambe aigue bulleux et fé brile associée à une
adénopathie inflammatoire inguinale homolatérale.

QC hl ? ü (£)- Quel est votre hypoth èse


diagnostique ?
Une thrombophléb ite
Un lymph oedème
Un érysipèle
Une éléphantiasis
:. Une maladie de kaposi

0£ F'l 2 ”(G)- Quelles sont les fä cteurs de risques


locaux à rechercher ?
Un lymphadème
Une plaie post traumatique
Un interOi•o inter orteil
Une dermatose excoriée
JC Pl 28(G)- Quels sont les facteurs de risque
généraux à rechercher ?
Un diabètè
Une dyslip idé mie
Une dépigme mation artificielle
Une obésité

QC 81 ? ? (GJ - Quels moyens thérapeuÖ ques


peuvent étre indiqués chez cette maladie ?
Pénicilline G
Céphalosporin e de 3éme génération
Anti inflammatoire non s téroïdiens
Pristinamycin e

Qt *1 30(G)- Quelles sont les mesures utile à la


prévention des récidives chez cette malade
Une prise en charge correcte des pertes d’entrées
Le traiter ent par de la Pénicilline retard
Les bas de contention
L arrô t de la dépigme ntation artificielle
Module : Deçmatologie
Venereologie
M2S1 Médecine - Evaluation 2022

JC il 1(G)- Au seiris de l’épiderm e les


kératinocytes sont
Entre eux par les desmosom es
î Entre eux par les hémidesmosomes
 la membrane basale par les hémidesmosomes
4. Â la membrane basale par les desmosom es

Q C*I 2(G) Les annexes de la peau compre unent :

1. Les nerfs
2. Les follicules piio-sébac és
3. Les glan des sudorales apocrin es
4. La membrane basale

QC*I 3(G)- Les complications de l’érythrodermie


peuve nt étre :
QC*i3(G)- Les complicaÖ ons de l’érythrodermie peuvent
étre :

1Un collapsus cardiovasculaire


Troubles hydro électrolytiques
Une dénutrition
Un sepsis

QChl4(G)- Les étiologies du syndrome érythrodermique

1 .L'ecz éma
La sclérodermie systémique
Le pemphigus toliacé
La maladie de Kaposi

QC*i5 (G)— Au cours de la sclérodermie


systémique, il existe :

1 . Une induration cutanée


2. Des plaques éryth émateuses, squameuses et
atrophiques
3. Des macules hypochromiques en moucheture
4. Un érythème photo exposé
*1 +(G)- Les balanites infectée uses sont causées
par des germes suivants :
S tre ptoco9 ue B- hem of 'ti'g ue fi
üarceiiella voglna!!'
.' herpès sin.'p les x'!'rus
— T'i!’cfiomonos vog’nazis

ä ' "(G) Les signes tonction nels de la


vulvo-vaginite infectieuse sont :

L ecouleme nt i-a•inal
Le pru rit vulvaire
1.a dyspareu nie
4 La métrorragie

!2L 'î F:(G) Les uré trites non gonococciques


sexuellemeiit transmissibles sont causées par les
germes suivants :

ChinmJ'dïo tra rfiomo tis


Trirfi.onio/! as i agina!is
:+fyro plu sein genitoiiuin
Klebsi'ella grari ulomnt.'s
QC*î9(G)- La tuberculose scrofuloderme est
caractérisé es par :

1 Une association fréquente avec I’infection à


\’IH
2. Des adénopathies fistulisées
3. Des atteintes viscérales fréquentes
4. Des cicatric es en écrouelles ou en brides

QC*J 10(G)- Ges formes cliniques suivantes,


peuvent s'observer au cours de la tuberculose
cutanée :

1. Le lupus tubercuJeux
2 Une BCGite
3 Les gommeuses
4. L éryth ème induré de Bazin

QC*I11(G) - Les atteintes ungué ales du psoriasis

1 .Une hvperkératose sous unguéale


2.Un aspect de • Dé à coudre »
°Une onycholyse
4.Un ptérigion dorsal
JC àl 12(G)— Le rhumatism e psoriasique est
caractérise par :

1. Des facteurs rhumatoïd es positifs


?. Par des lésions pustuleuses diffuse
.° Une association fréquente avec une
infection streptococ cique
4. Une atte inte articulaire périp hérique et
axiale

QC*I 13[G)- La dégénérescence en carcinome


épidermoïde peut se fä ire à partir de :

lichen verruqueux
1.ichen pigmento•èn e
1.ichen érosif
Lichen ungué al

Q C ñ l l4 (E)- Les trois couches de la peau sont :

ñ épide rme, les follicules pileux et le derme


E ñ épide rme, le derme et les annexes
ñ épide rme, les mélano cytes et l’hvpoderme
ñ épide rme, le derme et 1'hyp oderme
E ñ épiderme, les glandes sudorales et
l’hvpode rme
QC *1 15(E)- L'é piderm e est

ñ Un épithélium malp ighien pluristratifié.


kératinisant et pi•menté
3. Constitu é prin cipalement de mélanocvtes et de
cellules de Langerhans
ü . Constitu é de 3 couches de bas en haut
0. Se renoui elle tous les 7 jours
c. Constitu é de kératinocytes, de cellules de I'lerkel
et de glandes

QC hl II (E)- La papule est une :

Surélévation millimétrique contenant un


liquide clair
Surélévation centim éoique ferme
Ulc tration miliimétrique
Surélévation millimétrique contenant un
liquide jaune
Surélévation millimétrique ferme

QC hl 17(C)- Le syndrome érythrodermique est


caractérisé par :

Des lésions éry4hé mato-squameuses


généralisé es
. Des adé nopathies
C. Un prurit diffus
D Une frilosité
- Une prédominance des lésions aux zones
photo exposées
tC*i 18(C)- Au cours de la donovano se,
1’ulcé ration est caractérisé e par une :

ü. .Absence d induration
3 .Absence de douleur
C. Surface végétante
Bordure nette
Adénopathie satellite

JC Il 1°. (])— jumePage

1 Chez les enfants, les 1 ésions


pseudo -con dvlomateu ses ano-génitales ne
peuvent ô tre formellement rattachées à la
s vphilis
Parc- On -
2 Les tests trépon émiques ne pemettent pas
de différencie r la syphilis du Beje1

QCñ 12 0(])- Jumelage

1. Au cours de 1 infection par le \’IH, les


manifestations dermatol ogiques ont une
v'aleur pronostique
Pa: c* '. u-
2. L'he rpè s génital résistant à 1 acvclovir est
retrouvé à une seule stad e avan cé de
l’immunodép ression
QCbl21(])— Jumalage

d. ù érythème nouveau.x est un signe non


spécifique de la sarcoïd ose
Pe: :e c ue
2. L'érythème nouveau.x est douloureux et
fébrile

QC M*2(])- Jumelage

La vulvo-vaginite infectieu se est toujours contagieuse


Par ce que
Les infections sexuellement transmissibles sont les seules cau

Cas clinique 1

Un patient de 26 ans est hospitalisé pour une


éruption du visage et du décolleté survenue
deux jours après une marche au bord de la
mer au mois de juin.
QC hl 23(G)- Quelles sont vos hypothèses
diagnostiques ?

1. Lupus systémique
2. Dermatomyosite
3. Syphilis secondaire
4 Lupus discoïde

A l'interrogatoire la patiente signal e l’existence d


arthralgies d’allure inflammatoire et des
pré cordialgies. Il existe une bouffissure
matinale du visage.

QC M24(E) - Quelles sont les caractéristiques de


l’érythème qui oriente nt vers un lupus systémique

A. Un prurit intense
B. Une localisation sur les régions salaires
recouvrant les sillons naso-géniens
C. Une localisation sur les régions malaires
épargnant les sillons naso-géniens
D. Une localisation au niveau des dos des
mains en regard des régions inter
Une localisation sur les malaires
êpargnant les sillons naso-qeniens
D Une localisation au niveau des dos des
mains en regard des régions inter
phalangiennes
E. Révolution vers une cicatrice indélébile

L’examen dermatologique met en évident e une


alopécie.

QCM 25(C)- dans le cadre d’un lupus systémique


quelles sont les caractéristiques de l’alopécie qui
permettent de retenir un effluvium télogèn e ?

A. Une chute diffuse des cheveux avec un cuir


chevelu clairsemé
B. Une alopécie contemporaine des poussées
de lupus
C. Une alopécie cicatricielle
D. Des cheveux fins et fragiles
E. Une localisation en bordure du
cuir chevelu (front, trempes)

Ces cli ri ique 2


Un homme â gé de 36 ans sans antécédents
pathologiques particuliers présente des
ulcérations douloureuses à fond jaunâ tre
de la muqueuse buccale et génitale
évoluant par poussées et rémission
s’associées à des papulo-pus tules siégeant
au tronc.

QC M26 (E)- Quel est votre diagnostic ?

A) Un pemphigus vulgaire
B) Un lichen érosif
C) Un herpès buccal
Une maladie de Bechet
Une toxidermie

QCM2 7 (G)- Cette affectation s'intègre dans le


cadre

1. Des vascularites des gros irais seaux


2. Des maladies auto-immunes
î› Des maladies immuno -allergiques
4. Des vascularites des vaisse aux de taille
variable
JC ñ î * 8(C)- les autres manifestaÖ ons cutanées de
la maladie sont :

Les nouures
ñ Les ulcération s cutanées des plis
U Les folliculites
Le phénomèn e path er ique test
Les bulles basques

JC Pl 29(G)- Les atteintes viscérales au cours de


cette affectation sont :

1. Une uv'éite
" Une méningoenc éphalite
3. Une thrombose veineuse
4. Une gloméridon éphrite aigue

QCb13(J (G)- Les mëdicam ents prescrits au cours


de cette maladie sont

1 La colchicine
? Le thalid omide
3. La pred nisone
4. Les antipaludéens de synth èse
Module : Dermatologie - Vénérologie
J ZS1 J é de cin e - Examen 2020

Cas cliniq tie 1

Une femme â gée de 40ans, pratiquant une


dépigm entaÖ on cosmétique v'olontaire au cIobétasol
depuis 10 ans est hospitalisée pour une Cross e
jambe rouge aigue fébrile, surmontée de bulles et
associée à une adéno pathie inflammatoire inguinale
homolatérale.

JC *1 l -( I) Quel est votre diagnostic ?

Une thromb ophlébrte


Un lvmphœ dème
Un érysipèl e
Un éléphantiasis
Une maladie de kaposi

QCù I2 -(> ) Quels sont les facteurs de risques


locaux à rechercher ?

1. Un lymphœdème
QCù i2 -(G) Quels sont les facteurs de risques
locaux à rechercher ?

1. Un lyrnp hœdème
2. Une plaie post traumatique
.° Un intertrigo inter orteil
4. Une dermatose excoriée

ÇtC113 -(G) ÇlueIs sont les d'acteurs de risque


généraux à rechercher ?

4. Un diabète
2. Une dyslipidémie
2. Une dépigme ntation arÖ ficielle
4. Une obésité

QC Nl4- (G) Quels moyens thérapeutiques peuvent


ètre indiqu és chez cette malade ?

1. Pénicilline G
2. Céphalosporin e de 3" génération
J. Anti inflammatoire non stéroïdiens
4. Prednisone
Q CRIS (GA Quelles sont les mesures utiles à la
prévenÖon des récidives chez cette malade ?

1. Une prise en charge correcte des portes


d’entrée
1.e Oaiteme nt par de la Pénicillin e retard
Les bas de contention
l'arrêt de la dépigmentation artificielle

C as cf iii iqiie 2

Une femme â gée de 18 ans aux antéc édents


d'épi lepsie dep uis 2 mois Oaitée par du
Phénobarb ital depuis 3 semaines est hospitalisée en
ur•en ce au seri-ice de Dermato logie pour des
lésions bulleuses nécroÖ ques atteignant 60°/o de sa
surface corporelle associée à des érosions bucc ale et
gôri itale et une hype rhémie conjoncÖ v'ale.

QC!+16- (li) Quel est votre diagn osÖ c ?

A. Un érvthème polymorphe
ñ Un svndro me de Stevens-Johnson
En exanth ème maculo-papuleux
U. Un syndrome de Lyell
. E. Un pemphigu s v'ulgaire
qc›i7-(Gy quels sont les complications aigues
attendues ?

d. Un sepsis sévère
î Un collapsus cardio vasculaire
3. Une insuffisance rénale foncÖ onnelle
4. Un déficit mu scuiaire

QCñ l8- (G) Quelle est votre conduite à tenir en urgence ?

q .La consultation ophtalmologique


2.La reanimation-hydro-electroIjtique
?.L arrêt du phen obarbital
4 .Le nursing

ÇtC1T9-(G) Ç\uelles sont les complicaö ons au Iong cours à craind

d .Une hemip lêgie


Une cêcite
Des cicatrices pigmentaires
Une synêchie des muqueuses
QC h1 IO - (G) Les modules cutanés au cours de la
sarcoïdose sont :

" Asymptomatiques
2. Sécrotiques
°. Jaunâ tres
-. Souvent prurigineii.x

ECH 11- (G) Ces anomalies peuvent s'observer au


cours de la sarcoïdo se

. Hypercalcé mie
2. Granulo me tuberculoïde sans nécrose caséeuse
à l’histolo•ie
ü. Lvmphopé nie
4 Baisse du taux de 1 enzyme de conversion de
l'angioten sine

JC Pl II - UG) Le carcinome spinocellulaire peut


ètre causée par :

Une dépigmentation arÖ ficielle


? Une cicaoic e de brû lure
Une chéilite actinique
-i . Une cicatric e de leishmaniose
(jC*l l3 - (C) La maladie de kaposi peut se
manifester par :

A. Des modules an•iomateux du palais buecar


ü. Un ljmphœdème des membres inférieurs
U. Des images réculo-nodulaires pulmonaires
? Des hémorragies digesÖ ves occultes
E. Une acrosclérose

QC i*l 14- Jumelage

1 Le pemphigus : séborrh éique et le pein phigus


foliacé sont caractérisées par des bulles
superficiell es.
Parce que
1. Ces deux affections sont dues à des anticorps
dirigés contre la desmogleine 1.

QC *! lS - Jumelage

’ Chez un patient ayant un mélano me, le temps


de sa survie peut etre estimée.
Parce que
L indice de Bresloiv est corrélé au risque de
mortalité
q . Le principal diagnostic différentiel d'un
nævms est le mélanom e.
Parce que
fl . Ces deux affections partagent les mêmes
caractères de l'acronyme ABC DE

ÇICàï17- (G) La gale commune est caractérisée par:


4Un prurit nocturne
Un prurit familial
Des vésiculo-pustuJes chez le nourrisson
4Des lésions bulleuses

QCM 18- (G) La dermatomyosite aigue est


caractérisée par :

". Un êry9hro-oed em e pêriorbitaire


2. Une acroscléros e
3. Des papules de Gottron
4. Un érythè me en i espertilio
QCM 19 - (G) Ces atteintes extra peuvent
ètre observées au cours de la sclérodermie
systémique :

". Une fibrose pulm onaire


2. Un syndrome de malabsorpÖ on intestinale
3. Une hypertension artérielle pulrnon aire
4. Des convulsions

QC M ?0- Jumetage

" .Au cours des myc êtomes, les atteintes osseuses sont possib
Parce que
4 .Le mode de contamination se fait suite à un traumatisme

1 .Les mycetomes à grains rouges sont traites


par des anÖ biotiqu es
Parce que
1.1.es grains rouges sont toujours actinomycosiques
ÇIChJ û2 (G) 1e bouton ü‘Orieztt est caractérisé
par

4 Un nodule mcéré
2. Une localisation aux zones découvertes
3. Une guérison avec cicatrice indéléb ü e
4. Une adénopathie fistulisé e

Q C Pl ? 3 (G) L’hémangiome commun du

1. É volue en 3 stades
2. .Apparaît après un intervalle libre après la
naissance
Peut regresser spontan êment sans
traitement
Peut se compliquer d'ulcération

ÇICh1*4 (G) 1a varicelle est :

1. Plus fréquente chez l'enfant


2. Caractérisée par une éruption vésiculeuse
?. Caractérisée par des lésions d’â •es
diffé rents
4. Due au Pox virus
QC à 1 ?o - (û ) Le zona est:

Dû au HHV8
3 Soui ent douloureii.x
?. Toujours bilatéral
D'. Soui ent nêcrotique au cours de 1 infection à
\’IH

QC äl â † - (G) Les atteintes neurologiques à la lèpre


sont plus sévères au cours de :
1 La lèpre tuberculo ïde
La réaction de réi'ersion
L érythème rioueux lépreux
La lèpre 1 épromateuse

QC*1?7 - tG) La lèpre lépromateuse peut étre


confondue

Une acné
Un lymph ome cutan é
Une sarcoidose
Un psoriasis vulgaire
regrou pe
lèpre :

Goi de: lins boréei 1::ie


loi de: line l/•proriateuse
L épromat criss
Tuberciil liée

(G) Les molécules anti lépreuses sont :

La rifamp i: nie
La Da;uso:le
L'ai:ioicillii:e

Le traitemeiit syndromique d'une


uré trite :

L a' 3 o11ococcis
La tricher:io:rase
La -hlam'. diose
- La a:id:dcss
QChI31- (G) Au le traitement
syndromique d’une ulcé rafion gé nitale vise :

1. La syphilis primaire
2. La donoi'anose
3. Le chan crem
ou
4. La ljmphogranulo matose vénérien ne

QCù
QCM l 33
32--(G)
(G) L'aphte buccal
La gravité de laau cours de
maladie de la maladie
Behçet est
de Behçet:
liée :

d . Aux manifestaôons
neurologiques
. Est douloureux (neurobehcet)
2. Laisse nouures
? Au.x dermohvpodermiques
une cicatric e indélébil e
?3.. SeAux manifestaÖ
caracté rise parons
son fond jaunfitre
vasculaires (angiobehc et)
4 . Ne s intègre pas dans les critères
4 . dia•n
Aii.x aphtes
ostiquescutan ésmaladie
de la
:..'‹. . î.‹ -' ’î '! La maladie de Beliçet est
caracté risée par

Les pseu dofo lliculites


2 Les aphtes
Les nodules ac ri éiformes
-i Les bulles nier otiques

:. ’ :' ' (G) du cours de la tuberculose


scrofulode rme

Les aden opathies sont fistulisêes


ï Les lésions peuv'ent sie•er en i egard des
zo:res articulaires
Les leslons peuve nt ei'oluei vers des
cicatrices en écrouelles
Les atteintes muqueu ses sont frequentes

i. ' ? Le psoriasis vulgaire se caractérise

La topo grap hic des 1 ésions aux zori es bastions


2 Des lésio ri s ken éralis=ss à tout le corps
Des atte intes muqueu ses
4 Des plaques er\themato -squa!neuses
QC 8î 37 - (G) Le Lichen hypertrophique

Prédomine chez le sujet de phototype VI


2 Si‘ege le plus souvent aux membres
inférieurs
3. Réalise des plaques verruqueuses très
prurigineuses
4 Peut dé•énérer en carcinom e épidemioïde

QC ñ l 38 - (G) Les signes de gravité au cours de P


érythrodermie sont :

Le prurit
? Les troubles hém odvnamiques
La frilosité
4. Lhyper1 eucocytos e

QC *1 39 - (G) Dans la physiopatho logie de 1’acné,


intervient

A L hjp osécrétio n sébacé e


fi Le déficit de kératinisation
'? L'inflammation de la glande sudorale.
3 La prolifé ration de la flore saprophyte
Le prurit
ï. Les troubles hém
odvnamiques La frilosité
4. K hyperleucocytose

QC *l3 S (G) Dans la physiopatho logie de 1’acné,


intervient

A. Eh\posécrétion sébac ée
G Le déficit de kératinisation
L'inflammation de la glande sudorale.
3. La prolifé ration de la flore saprophyte

JC à !40 Jumelage

.A. La peau est 1'or•an e le plus é teridu de


1'organisme
Parce que
G Parce que la zone de contact enoe
1'épiderme et le derme est ondulée
Module : Dermatologie & Vénérologie
M2S1 Médecine - Examen 2020

QC h1 l - jumelage

de syndrome érythrod ermique est une dermatose


bulleuse généralisé e
Parce que
Les anticorps anti substance intercellulaire
attaquent la jonction dermo épid ermique

QC hl ï- (G) Les étiologies du syndrome


érythrodermique de l’adulte sont :
La gale
L'ecz éma atopique
Le psoriasis
La pus tulose exanthématique aiguë généralisée

JC Pl 3- (G) L’isotré tinoïde est un traiter ent de


QC 81 3- (G) L’isotrétinoïde est un traiter ent de
choix de l’acné car :
Il est dépouo'u d'effets indé sirabl es
Il doit etre pris à vie
Il régule la sécrétion sébacée
Il bloque la prolifération kératinocytaire

i - (G) L’acné tétrade associe :

Une acné type mineure


Un kyste pilonidal
Une folliculite
Une hidrosadé nite suppurée

QC ä 1 5- (G)- Le carcinome spinoc ellulaire peut


ètre causée par
Une dépi•m entaÖ on artificiell e
Une cicatrice de brû lure
Une ché ilite actinique
Une cicatrice de 1 eishmaniose
QC hl 6- (G) Le mélanome :

Débute souvent sous form e de macule noirâtre


Peut se localiser à la plante du pied
Peut se localiser sur 1'ongle
Est souvent secondaire à une dermatose
précancéreuse

Q C 81 7- ]um elage :

Chez un paÖ ent ayant un mélano me, le temps de sa


survie peut être estimée
Parce que
l'indice de 8reslow est corrélé au risque de
mortalité

OC i*l c›- jumelage

de principal diagnostic différentiel d’un næims est le


mélanome
Parce que
Ces deux affections partagent les caractères de
l’acronyme ABCDE
QC 819 - (G) La Maladie de KA POS I :

Est due à une infection par le pox-v'irus


Est associée au VIH dans la forme endémique
africain e
Peut se manifester par des lésions d érythème
noueux
Surv'ient souvent chez les patients VIH au stade
de SIDA

Une patie nte de 40 ans con sulte pour des 1 ésions


papuleuses noirâ tres évoluant depuis 04 ans
siége ant sur le haut du dos avec un aspect de rfipe à
la palpation.
A 1'interrogatoire il existe une notion d'utilisation de
produits depigmentant à i isêe cosme tique.

QC ä l II - (E) Quelles hypothèses diagnos tiques


évoquez-vous ?
Une ochronose exogène
Une dermatophytie
Une poïkil odermie
Un carcinom e épidermoïde
Un Lichen plan
(G) Quelles sont les a utres localisations
possibles de 1’ affectioii que rous suspectez ?

Le cuir chcv elu


Le éos ées pieds
Le S espaces i rt: ei taux
di3

(E) Quelles sont les molé cules qui sont


iiicrimiiiées daiis la survenue de cette affection ?
Le ur cpior ate ée clNbét2sol
L h'. dropiiinore
Le g:utat hic n
Les sels û e :ne:
jure L2
béte:néthascns

(E) Les signes de lupus subaigu sont :

Jns scle i css curai:ee


One elopecis cicatrici ella
D ss :esio.is ar nu:air es
Jn lupiis d'scoid e
Jn s:ci:e fie la maniicu: s
QCñ l 14- (G) L’aphte génital au cours de la
maladie de flehçet
Est Indolore
Laisse une cicatrice indéléb ile
Prédomin e au niveau du scrotum
S’intègre dans les critè res diagnostiques de la
maladie

QCñ l II - (G) Ces manifestations suivantes peuvent


s’observer au cours de la maladie de Behçet :
tJi'êite
Thrombose
Pseudofolliculites
Plaques érythémato-squameuses

QChl 15 - (G) Au cours de la tube rculose scrofuloderm e :


Les adenopathies se fistulisent
:'Les lésions peuvent siéger en regard des zones articulaires
Les lésions peuvent évoluer vers des cicatrices en brides
L’atteinte cutanée se tait par voie hématogène
QC Pl 17- (E)- Les adénopathies peuve nt se
fistuliser au cours de :
L'infection à mycoplasina genitalium
La donov'anose
La gon ococ cie
La lymph o•ranulomatose vénérienne
La chlamydiose

QC i*1 l8 - (G) Les adénopathies sont observées au


cours des IST svivantes :
La syphilis
Le chancre mou
La lymph o•ranulomatose i énérienne
La donovano se

QC h1 l ° - (E) L'agent pathogène du Chancre mou est :

L’ilaemoph i'lus ducrevi


Le Chlamydia trachomo stis
Le .X'eisserea gonorrhoeae
Le 7richomonos vngi'nofi's
Le Klebsi'ella granutorn atis
QC Pl 2 ti (G) Les caractères communs au chan cre
mou et à la syphilis sont :
L’existenc e de chancre
La présence d’ad énopathies
Curable
La positii ité des tests tréponémiques

Q C äl ï l (G) Dans le zona, l’érupÖ on est :

Douloureuse
Bilatèrale
il ôtamérique
Nodulaire

QC*1?2 Jumelage :

1.a i aric elle est fréquente chez les enfants


Parce que
Qu'elle n'est pas immu nisante
eri
varicelle peuvent è tre ufilisés :
Les antiltistamii:iques
Le paracétamol
L ac ide acétylsalicylique en cas de forte fièvre
Des antiseptiques
Un anÖ b iotique en cas de surinfection

lÿ E .'\ ï - (G) La gale est caractérisé e par :

Un prurit
Une atteinte de espa ces inter di•itaux
Une atteinte palmo-plantaire chez le nourris sori
Des u!cérations

• ^ï .•! :“ " - (G) La Leishmaiiiose ulcéro-


croû teuse est caractérisée par :
La topographie aux zones découv'ertes
L'ex isten ce de ncdules ulcerés
La pr éserice de halo hypopigmenté
Une douleur atr oce
Ç C Pl 26 - (G) Les mycéto mes sont caracté ris és par :

La fréquence de 1 atteinte podale


Une tuméfaction polyfistulisée émettant des
grains
Une atteinte osseuse exceptionnelle
Sa fréquenc e en miiie u rural

QCSi ? 7- (G) La lésiori de ïa lèpre tubercul oïde est :

Hypochromique
.à nhidrotique
.lnniiiaire
.à rgentée

QC 8i ?8 - (G) La lèpre lépromateuse est


caractérisée par :
Des papulo-nodul es cuivré s
Une atteinte des lobules des oreill es
Une rhinite con•esÖv'e
Une hypertrophie ri erveu se bilatérale et
s vmétrique
JC ù 1?9 - (G) La lèpre tuberculoïde peut ètre
confondue avec :
Un eczéma
Une dermatophytie
Un mvc étome
Une sarcoïdo se

JC *1 30 - (G) La vaginite avec cervicite peut étre


causée par les agents pathogèn es suivants :
Herpès simplex v'irus 2
Chlamydia trachomatis D à K
Gard ri ella vaginalis
Tricho monas vaginalis

QC *13 i - (G) La vulvo-vaginite candidosique est


favorisée par :
L excès d'hygiè ne
L'antibiothé rapie
1.e diab ’ete
L immunodépres sion
'Qt ^! u 2 - (G) Les IST qui entraînent
une vulvo-vaginite sont :
La Tricho inonose
La chlamydiose
La vaginose
La gonococ cie

Ç' . 3 - (G)- L'ulcération de la donovanose se


manifeste par :
Un saignem ent facile au contact
Un aspect en plateau
Une bordure en « marge lle de puits »
Des adénopathies inguinales tumorales

)-i. ! '. •'. - (C)- Les molécuïes pouvant étre utilisées


dans le traitement de la lèpre sont :
1.a dapson e
La thalidomide
La clofazimin e
La rifamp icine
L isoniaz ide
QC à l3 o - (C) Les hémangiomes sont caractérisé s
parune:
Une plus grande fréquen ce chez le nourrisson
Une ré•ression spontanée
Une prolifération maligne de cellules
endothêliales
Une atteinte v'iscé rale en cas d hemangomatose
diffuse
Une mise en jeux du pronostic fonctionnel en cas
d'atteinte péri-orificiell e

ÇC il sû - (C) -Les agents pathogènes suivants sont


responsables d’urétrite chez l'homme :
Condida Albi'ca ns
iYei'sseria ponorrhene
Cfi famj'di'o trorú omotis £1, L2, L3
Trich omonas yepinn ms
Mycop lasma benitaiium

Q C *l37 - (G)-Le syndrome de Lyell est cara clérisé


par :
Une atteinte muqueuse
Une éruption bulleuse à 20% de la surface
corporelle
Une fièvre
Une riêcrose epidermique
QC i*1 38 (G)-Le syndrome d’hypersensibilité type
D.R.E.S.S est caractérisé par :
Un exanthê me maculo-papuleux
Une fi‘evre
Une hypereosinophilie sanguine
Une cy4olvse hêpaô que

QC i*1 39 (G) La sarco ïdose est caractérisée par :

Des papules infiltrées indolores


Un aspect lupoïd e à la v'itropression
Des adénopathies médiastin ales compressives
Un •ranulo me tuberculoïde sans nécrose
caséeus e

Q C ñ l40- (G) Au cou rs de la dermatomyosite :

Le trac é de l’ENG est de type neuro•ène


L’atteinte cardiaque est endocardique
L'atteinte pulmonaire est inte rstitielle
Les anticorps sont de type SSI-SSB
I odule: Dermatologie & Venérologie
M2S1 lédecine - Session 2019

QI(G)- Devant une tuméfaction polyfistulisé e pied, il faut é voqu


Une tuberculose scrofuloderme
Une ostéite chronique
Un mycétome
Un mêlanome

Çi2 (G) - Le mycetozae fongique se distingue de la


forme acÖ nomycosique par :
1. l'inflammation peu importune
2. des fistules peu no mbreuses
3. 1.’évolution lente
4. l’atteinte osseuse peu fréquente
Q3 f G)- L'uré trite peut ètre causé e par les agents
pathogènes suivants :
1. Cù fomydia tua cf omatis L I , L2 et L3

3. Gordne//a vopïnafis
4. Tr’chomanos vaginale’s

Q4(G) - Le diagnostic cytologique de l’urétrite se


fait par la présence de plus de :
1. S polynucléaires neutrophiles au frottis urétra£ au
•rossissem ent 100
2. 10 polynucléaires neutrophiles au frottis urétral,
au grossissement 400

1. 10 polynucléaires neutrophiles à l'exam en du


premier jet d urines centrifugées, au
•rossissem ent 400
2. 10 polynucléaires neutrophiles à l'exam en du
premier jet d urines centrifugées, au
•rossissem ent 100
go (G)- Le zona :

1. Est une circonstanc e fréquente de découi erte de


l’infection à \’IH
2. Est caractérisée par une fréquence des douleurs
post zostériennes chez le sujet â gé
3. Se manifeste par une éruption de i-é sicules à
disposition mé tamérique
4. C'est pas pourvo\-eur de cécité

Q6 (G) — La varicelle est :

1. Secon daire à la réactivaÖ on du VZV


2. Contagieuse par voie transplac entaire
3. Caractérisée par une éruption de papules
4. Nécrotico -hémorragique chez le sujet
immun odép rimé

(j7 (G)- Au cours du syndrom e de Lye11 :

1.1.es signes surf ien ri ent entre 7 et 21 jours après la


prise du médicament
2. 1.e déc ollement cutané riécrotique atteint moin s
de 10°/o de la surface corporell e
3. de signe de li ikolsky est négatif
4. des synéchies oculaires constituent des
prise ou meoicament
2. Le décollement cutané ri écrotique atteint moin s
de 10°/o de la surface corporell e
3. Le signe de li ikolsky est négatif
4. Les synéchies oculaires constituent des
complicaÖ ons à long terme

Q8(G) - Une dermo-hypodermite bactérienne


riécrosante est cara ctérisé e par
1. Un placard hypoesthé sique
2. Des lésions ulcéro-né crotiques
3. Une adénopathie homolatérale fistulisée
4. Une nouure

Q9 (G1 - Les complicaGons évolutives de


1'érysipè le sont :
1. 1.'abcédation
2. Le lvmphœ dème chronique
3. La dermo-hypodermite nécrosante
4. 1.a dé•én éresce rice en carcino me
Q 10 (<u) - Les facteurs de risque de 1’ érysipèle de
jambe sont :
1. Un lymphadème c hronique
2. Un inte rtrigo inter-orteil
3. Une dépigmentation artificielle
4. Une obésité

Q 1 l (G)- La gale peut se manifester par :

1.Des papules excoriées


2. Des bulles basques
3. Des i ésicules perlées
4. Une gomme

Q 12 tG) - Les complicaÖ ons de la gale peuve nt


ètre :
1. Une glomérulonéphrite post sWeptococcique
2. Une érythrodermie
3. Une surinfection bactérienne
4. Un prurit post scab ieux
j 1 3(G)- Au cours du lupus les Né sions sont :

1. bulleus es
2. papulo -squam euses
3. nécrotiques
4. annulaires

Ç 1 4 (G)- la lèpre tuberculoïde peut ètre


confondue avec :
1. Un psoriasis
2.Une sarco'idose
3.Une leishmaniose cutanée
4.Un eczéma chronique

Ç l a (G)- Au cours du traiter ent de la lèpre


tuberculoïde, la rifampicine est administrée :
1.ï'Iensuellement superi isêe
2.Quotidiennement
3. Pendant 6 mois
4.Pendant 12 mois
(j 16 (G) - Les critères diagnostiques de la maladie
de Behçet reposent sur l’existence :
1. D aphtes à répétition
2. D'une uvéite
3. D'une pathergie cutan ée
4. D'une thrombo phlébite

Q 17 (ti) - Au cours de la dermatomyo site on note :

1. Un déficit des muscles des ceintures proximales et


pelviennes
2. Une absence d anticorps anti sm
3. Des papules de gottron
4. Des tach es hypoc hromiques en moucheture

Q 18 (G)- Les mécanismes pathogéniques de


l'acné s ont :
1. La kératinisation infundib ulaire
2. 1.a xérose
3. L'inflammation folliculaire
4. 1.'infection streptococcique
Q i 9 (G) L’éruption de la varic elle est
caractérisée par
1. Des lésions d'âges différents
2. Des i ésicules ombiliquées
3. Un prurit
4. La présent e de nodules

Q20( I) - L'adénopathie peut se fistuliser en un


seul pertuis au cours :
A. De la syphilis
8. Du chan cre mou
C. De la lymp hogranulo matose vénérienne
D. De la donot anose
E. De l’herpès

Q2 i (C) Concernant la prise en charge de la


varicelle, on peut utiliser :
A. Un antifiistaininique
B. Du paracétamol
C.De 1 acide acétyl salicylique s’il existe une forte
fi’evre
D. Un antiseptique
E. Un antib iotique en cas de surinfection
Q22 tC)- L‘eczéma aigu est caractérisé par

A. Un éq'thème
B. Des placards hypertrophiques
C. Des i ésicul es
D. Un suintement
E. Un prurit

Q23[C) - Les signes suivants sont retrouvés au


cours du lupus érythémateux [discoïde) :
A. Une atrop hie cutan ée
B. Une alopécie cicatricielle
C. Un efflui ium télogène
D. En érvthème congesÖ f
E. Des squames au niveau des orifices pilaires

Q 2 4(C)- Au cours du lupus érythémateux systémique,


les manifestafions suivantes sont associées au SAPL
A. Télangiectasies
B. Thromb ophlébites
C. Livedo
D. Gan•rènes périph briques
E. 8ulles
A. Une infiltration des oreilles
8. Des plaques cuivré es diffuses
C. Des nodules cutané s
D. Une alopécie de la queue du sourcil
E. Des macules hypodrotiques

tj2 C[C) - Au cours de la sclérodermie, les signes


suivants peuvent étre observé s :
A. Les macules hypochromiques et moucheture
B. L'acrosclérose
C. Les calcinoses
D. L'érjiro-oedème des paupières
E. Le syndrome de Raynaud

ÿ2 7 tC) L’érythrodermie peut ètre secondaire à :

A- Une gale
B- Un pemphigu s foliacé
C- Un s vndrom e de Lvell
D- Une toxidermie
E- Un psoriasis
Q28(C)- Le sfnàrome érythroderinie sec
comprend :
A- Un prurit
B- Un éryth ème et des squames généralisées
C- Une frilosité
D- Une altération de I’étal général
E- Un suintement diffus

Cas cliiiique
Une patiente de 31 ans est sun'ie pour une maladie
goutteuse depuis 1 mois traité par allopurinol. Elle a
présenté un érvthème diffus 16 jours aprè s le début
d’un traitement par paracétamol (1gx3/j) et .Acide
niflumique (Nifluril* en pommade).
L'exam en réf èle un exanthème maculo-papuleux et
des adéno pathies axillaires. Les explorations
paracliniques mettent en évidenc e une éosinophilie à
1600 éléments /mm3 et une cytolyse hépaÖ que.

Q2 9(E)- quel est le diagnostic le plus probable :

A. Pustulose exanthématique aiguë généralisée


B. DRESS
C. Syndrome de Lyell
D. É ry4hrodermie
E. É rythème pigmenté fixe multiple
Q30(I) - Quels sont les médicaments
potentiellement inducteurs
A. Allopurinol + Acide niflumique
8. Acid e niflumique + Paracétamol
C. Allopurinol seul
D. Parac étamo1 seul
E. Parac étamo1 + Allopurin ol

Une patente de 25 ans consulte pour un érythè me


malaire bilatéral et syméoique évolu ant depuis 1 mois
environ. L'examen clinique retrouv'e une AEG (asthénie
et amaigrissement), une alopécie diffuse, des
arthral•ies des petites articulations distales.

Q3 l (I) - Avec quel diagnostic ce tableau clinique


est-il le plus compatible ?
A. Une rosacé e
8. Une dermatomyosite
C. Une sarcoïdo se
D. Une sclérodermie
E. Un lupus érythémate ux systémique
Q32(C) - Parmi les critère suivants [Critère ACR
1997), quel sont ceux qui perm ettraient de retenir
ce diagnostic ?
A. 1. hjpocompl émentémie
B. La présence d’auto anticorps anti Sm
C. L'ané inie hémolytique auto-immune
D. Les convulsions
E. La proté inurie >0,5g/24H

La patiente signale une aménorrhée de 6 mois, et


1'éch ograp hic abdomin o-pelvienne permet de
retrouver une grossesse év'oluÖ v'e.

tj33 (G)- Quel sont le risques liés à cette


grossesse ?
1. La survenue de lupus néonatal
2. Une pou ssée de maladie lupique
3. Un retard de croissance intra utérine
4. La survenue d'un bloc auriculo -ventriculaire chez
le nouve au-né
Quelques mois plus tard, nous au chevet
de la malade après son accouchement.

Q3 4 (<)- L'examen du nouveau-né peut retrouver


des lésions suivantes :
1. Plaques éq4hé mato-squameuses arrondies et
polycycliques
2. Supus discoïd e
3. Pan niculite lupique
4. Supus pernio

Q3 o(ti)- Q ia els sont les auto-anticorps associés à


la survenue de lupus néonatal ?
1. Anti-SS -A/Ro
2.Anti Sm
3.Anti JOl
4.Anti U1 RCP
Q36 tJ) La tuberculose scrofulod erme est identique
à la tuberculose gommeuse
Parce que
Les deux tuberculoses se traduisent par des
ulcérations cutané es

Ç37 fJ) Une sérologie syphilitique positive est


soutient retrouvée au cours du lupus s vstémique
Parce que
La première cause de SAPL secondaire est le lupus
érythé mateux sjstémique

Q36 ({) Les condvlom es sont des IST dites mincures


dues aux HPV 6 et 11
Parce que
Les condylomes n'entraînent pas une in fertilité chez
les patients qui en sont atte ints
:'.’ 3 .6 . l '. Les condvlom es sont des IST dites mi!ieures
dues aux HPF' 6 et 11
Parce que
Les condyic mes n'entraînent pas une in fertilité chez
les patients qui en sont atteints

' - Le inycétome actin cmycosique présente un


risque d'exten sion viscérale plus impoitant que le
mvcetoi:ie tori gique
Parce que
des grains du inycétome fr ndique sont de plus petite
taille

. -i ':' , i , - Les lésions de la 1 eisli mari rose cutan ée se


ioca!isent essentiellement aux zones découvertes
Parce que
La leishinaii iose est tran smise à 1 homme par des
giqü i es de phlébotoines
Module : Dermatologie & Vénérologie
M2S1 Médecine - Examen 2019

Q l (I) La tuberculose scrofuloderme

Survient toujo urs sur terrain


d'immunodép ression
Se contamine par auto-inoculaÖ on
Laisse des cicatrices rétractiles
Est secondaire à une tubercul ose viscérale
Est cara ctérisée par une ulcération hype ral•ique

Q2(E) - la lèpre BT se traduit par

A Une alopécie de la queue de sourcil


Un faible risque d'atteinte ri erveuse
Un riombre élev'é de lésions cutanées
Une présence de nombreux bacill es hanséniens
Une ét olution possible vers une réaction de
dégradation

Q3{E) - La NIaladie De Kaposi :

Est due à une infection par le pox-v'irus


Q3 {E) - La Maladie De Kaposi :

ñ. Est due à une infection par le pox-v'irus


fi. Est associé au VIH dans la forme endémique
africaine
C Peut se manifester par des lésions d'érythème
noueux
D h 'atteint jamais le poumon
E. Survient souvent chez les patients VIH au
stade de SIDA

Q4(E - Le Pemphigus :
ù . Se Oaduit par une atteinte des zones
séborrhé iques dans sa forme végétante
5 . Se caractérise par un prurit féroce au début
C . AbouÖ t toujours fi des cicatrices
atrophiques et à des grains de milium
Epar•n e constamment les muqueuses
buccales dans la forme i'ulgaire
E. Se caractérise par la présent e d'anticorps
anti-subs tance intercellulaire circulants
dans le sérum des patients.

Q o(C) -La caractéristiques sé miologiques du a


Bouton d’orient sont

Lulc tration crate riform e


Les squames épais ses et adhére ntes
Lulc tration nécrotique et purul ente
La topographie aux zones découvertes
E L'aspect en « cö ne tronqué » du nodule
q (ç Au cours de la syphilis secondaire
La lésion élémentaire de la premiè re floraison
est une macule
Les lésions peuvent mimer un psoriasis
Des manifestations neurol ogiques peuv'ent tue
présentes
La lésion élémentaire de la deuxiè me floraison
est une papul e
Seuls les tests sérol ogiques trépon émiques sont
positif

Q 7 (G) la carcino me spinocellulaire de la lèvre


inferieur est favorisé e par :

ü. La chêilite actinique
G. Le tabagisme
Le i-iô li•o de la lèv're inférieure
U Le lichen êrosif de lu lèvre inferieure
E Le lupus chronique de la lèvre inférieur

Q8 (CJ - Devant une ulcération chronique de


jambe, une dégéné rescerice en carcinome
épidermoïde est évoquée lorsqu’il exis te :
A.. Un aspect bourgeon nant de l’ulcè re
Un sai•nement au moindre contact
U. Une base infiltrée au toucher
Une absence de cicatrisation
Une pi•mentation inhom ogène des bords
de l'ulcere
Q9 {C) - L'indice de Breslow :
.A. Correspond à la distance entre la couche
granuleuse et la limite inférieure de la tumeur
Est corrélé à la mortalité
Permet de déterminer les marges d’exé rèse
Est le facteur pronostique le plus fiable et le
plus indépendant dans le carcinom e
épid ermoïde
Est déterminé au microscope par 1 examen
anato mopath ologique

Q 10(C) L’ulcération au cours de la tuberculose


scrofulode rme est caractérisée par :
.4. Des bords éversés
Une topograp hic ubiquitaire
Une tendance à la cicatrisation en bride
Des bords irrégulier s
Un fond sale

Ç 1 UC) - L’érythème noueux lépreux se


manifeste par
A.. Des arthralgies
6 Unehyperthermie
Des nodules ulcérés
Des macules hypoc hromiques
E Une élévation des gamma globulines
Q 12 (C) - L'ulcération de l’aphte buccal :

A un fond « beur re frais »


Peut sié er sur le frein de la langue
Ne laisse pas de cicatrice
S'accompagne d’ad énopathie
E Est entourée d’un e aréole inflammatoire

ÿ 13 {C) Les critères üiagnosÔques üe la


maladie de Behçet portent sur :
ñ. Le nombre de poussées d'aphte buccal
Les thrombophléb ites
Le test path er•ique
U. L’uvéite
L'éryth ème noueux

Q l UG) La tube rculose scrofulode rme survient


à la suite d'une localisaÖ on :

1 0stéo-articulaire
Hématogène
° Ganglionnaire
4. Put monaire
Q i o(fl) La gomme tu bercule use :

Surraient à la suite d’une tuberculose


ostéo-articulaire
2. Suri'à ent à la suite d ’une tuberculos e
hématogè ne
Est secondaire à une tuberculo se ganglion naire
4 Se traduit par des nodules ulcéré s

Q 1 G (Tr) La lèpre lépromateus e est caractérisée


par :

1. Des plaques infiltrées diffuses


Une bonne immunité à médiation cellulaire
Des papul o-nodules à disposition
symétrique
Des macules hjpochromiques à limite floue

Q 17 (ii) La lèpre BT se traduit par :

Des macules hypoch rouniques


anesthésiques
?. Des plaques infiloées
cuivrées Des papulo -nodules
infiltrés
4. Des éléments satellites
' . b i ii Les agents pathogènes suivants sont
responsables d'urétrite chez l’homme :

Ck inmyd ia tracnom otïs de D à h


? .'S'°e isserio gonorrn° eae
:“ €k lomyd ia trachomatis LI L2 L 3
'l'r!'rfiomonas vnQïrof!'s

i; 2 t ! - Les ulcérations génitales peuvent ètre


dues aux agents pathogènes suivants :

N!ebs!'e 11a pranulomatie


2 I-l8i’1 et II Si’2
:“ Je rroDtes scc be i
HPV 6 et 11

2 i.i :. ü La affections suivantes peuvent ètre


révélatrices de l'infecti on par le VIfl :

Le psoriasis
ï. La varicelle malik ri e
L'angio matose baciliaire
4 Le noma
Q * 1(G) La complications suivantes sont
retrouvé es au cours de l’usage à visée
cosmétique de l’hydroquinone

1. 1.a dermohvpodermite bacté rien ne des


membres inferieurs
L’ochron ose exogène
Les lésions lichenoides du visage
L’ochronose endogèn e

Q22(G) Au cours de la sclérode rmie systémique il


peut exister :

1. Une sclérose en bande


2. Une endocardite ver ruqueuse
3. Des troubles du ryth me et de la conduction
4. Une fibrose pulm onaire

Q?3(G)- Au cours de la dermatomyo site on note :

Un dèficit des mascles des ceintures


proximales et pelviennes
La présent e d'anticorps anti Sm
Les papules de gottron
Les tach es hypochromiques en moucheture
Q ?4(G) les facte urs pronostiques du syndrome
de Lyell sont :

. Le délai de la prise en charge


2. L'étendue de la surface corporelle
?. Les âges extrêmes
4. Le médicam ent incriminé

Q2 o(G) Le syndrome de Steven Johnson est


secondaire à l'absorpfion d’une substance
administrée par voie:

d. Rectale
2. Intraveineuse
3. Intramu sculaire
4. Locale

Q* 6 (G) L'érytfième polymorphe est secondaire à :

. Une infection au mycoplasme pneuraoniae


2. Une infection au cytomegalovirus
3. Une infection au virus herpêtique
4. A une prise mêdicamenteuse
Ç 7 (G) Les comp licaÖ ons de l’eczéma atopique
sont :

Les surinfection s bacté viennes


?. Les surinfection s parasitaires
L'Erythro dermie
J. Le syndrome de kaposi Julius berg

Ç28(G) Le psoriasis associé à l’infecÖ on à YIH est


particu lier :

d. La fréquenc e des récidives


2. La topo•rap hie au i isage
3. La sés érité du tableau clinique
La prédominan ce de la forme imlgaire

Q 2 9(G) Les anomalies biologiques au cours du


lupus peuvent étre :

Un test de coombs positif


ï. Une augmentation des 3 lignées cellulaires
de l’hémogramme
û Une hypocomplémentémie
4. L: o•e* sac* d':nt::t rrs a..t: xc: 7O
Q30 (G) - L’érysipèle de jambe est caractérisé par :

4. Une douleur avec impotence fonctionnelle


2. Un placard érvthémateux
3. Une adénopathie inflammatoire satellite
4. Un purpura riécrotique

Q3 1(G) - Les complications évolutives de 1’


érysipè le sont :

4 . L'abcédation
2. Le lymp hœdème chronique
3. La dermo-hypodermite nécrosante
4. Une glomérulonéphrite aiguë

Q32(G) -Les facteurs de risque de l'érysipèle de


jambe sont :

4. Un lymphadème chronique
2. Un intertrigo inter-orteil
3. Une dépigrnentation arÖ ficielle
4. Une obésité
Q33(G)- Les facteurs de risque d’abcé dation des
dermohypodermites bactériennes sont :

4 . Le retard de l'antib iothérapie


2. L'athé rosclérose
3. La prise d'ami-inflammatoire non
stéroïdiens
4. L'insuffisanc e vein cnse vulvulaire

Q34(G) Les facteurs de gravité de dermohypodermites bactérie

4 .Le choc septique


L insuffisance renale aiguë
La nécrose
4 .L éléphantiasis

Q3o (G)- L’atteinte génitale au cours de la gale peut se manifest

Des papules excoriées


Des biü les basques Des v'ésicules perlées Une gomme
Q36(G) - La forme typique de la gale du
nourrisson est caractérisée par

1. Des pustules palmo plantaires


2. Une absence de prurit
Une localisation possible au visage et au cuir
chevelu
Une év'olution spontanée vers la guérison

Q37(G) - Les complications de la gale peuvent


ê tre :
1. Une •1ornêrulon êphrite post
streptococcique
2. Une éryfirodermie
3. Une surinfection bacté rien
ne Un prurit post scabieux

Q38(G) - Les médicaments anti-scabieux utilisés au cours de la

La benzoate de benzyle 10%


Les Pyréthrines
L Ivermectin e Lalben dazole
Q3 8[G)- Les médicaments anti-scabieux utilisés
au cours de la gale sont :

* La benzoate de benzyle 10%


? Les Pyréthrines
K Ii'ermectin e
4 0 alben dazole

Q3 9(G)- Au cours de la sclérodermie les signes


sont évocateurs :

1. L’ac roscl érose


La scléroâ actylie
Le syndrome de Rayn and
L’érythème du décolleté

Ç40 - Jumelage

.ñ Les HPV 6 et 11 sont responsables de


i'errues génitales
Parce que
5 La i'accination anti HPF’ permet de prêt enir
les condylome ano-gênitaux.
Module : Dermatologie - Vé né rologie
Evaluation 2019

§ChI 1 (G) - Le psoriasis en goutte

1. Est plus fréquent chez les enfants


2. Se manifeste par des plaques
éq4hémato-squameuses
° Peut être précédé par une anite streptococ cique
4. Fait partie des formes graves de psoriasis

Q2 (G) Le psoriasis vu lgaire

1 Est caractérisé par des lésions généralisées sur


tout le corps
2. Se localise aux zones bastions
* lie s’acco mpagne pas de phénomène de Kö b ner
4 Peut se localiser au cuir chevelu

Q3 {G) les formes graves de psoriasis sont :


Q3 (G) les formes graves de psoriasis sont :

La forme érvthro dermique


? La forme arthopathique
La forme pustuleuse de Von Zumbusch
4 La forme inversée

Q4 (G) Le traitements suivants peuvent ètre


utilises au cours du psoriasis :

Les dermocorticoïdes
?. Les dériv'és de la vitamine D
Les rétinoïd es
4. La corticothé rapie par voie géné rale

Q o (Cfi Le liche ri plan

Epargne les muqueu ses


Peut se manifester par des papules
poly onales i iolines
Est une dermatose non prurigineuse
4 laisse une hyperpigm entaÖ on résiduelle après
guérison
Q 6 {(î) re lichen hypertrophique :

touche le plus souv'ent les sujets de phototype \’I


î. se caracté rise par des lésion s verruqueuses
3. . prédomine le plus
souvent aux membres inférieur s
se manifeste par des bulles

tj7 (G) la dégé nérescence en carcinom e


épidermoïde peut s’observer au cours du lichen
plan :

Pigm entogéne
2. Verruqueux et hypertrophique
Eryth émato -squameu
x J . Erosif labiale

§d (G) - Les éöologies ües balanites aiguës sont

InfecÖ euses
2. Allergiques
û Irritatii es
4. Traumatiques
Q 9fC) Les leucorrh ées ont :
Un aspect caill ebotté en cas de candidose
Une odeur de poisson pourri dans la vaginose
bactérienne
Un aspect mousseux et spum eux au cours de
la trichomonose
Un aspect épais et jaune-verdâtre en cas
din fection à germe banal
E. Une odeur de plâ tre frais au cours de la
chlam\-diose

Q 1 0 [C) La vaginite candidos ique est favorisé e


par :

Les toilettes intra -i a•inales


L'antibioth érapie générale
1.e diabètè
L'iminuno dépression
1. es rapports sexuels non protégés

Q ll (C)- Les caractéristiques cliniques du a


Bouton d’orient » sont

A. L'ulcération cratériforme
E. Les squames épais ses et adhérentes
Easpect nécrotique et hémor ragique
D. La topo•rap hie aii.x zones découi-ertes
E. L'aspect en « cô ne trou qué » du nodule
la cervicite peiit étre causée par les
agents pathogènes suivaiits

Candiû a 2lbi:ar s
Chlam'. éia tricho:net:s D é K
(iaréi:e:.a vagii:alis
Tri:hcmor as '.'aginalis

Les exameus complé meiitaires qui


yeriiiettent d'identifier 1’ espèce leish mania
soiit:

L histop at holoe:e

A u cours du myc étonne

Le S 3r ains : ou ges sont toujoui s


actinomycosic ues
LeS 3r ains .icirs scnt toujours fcngique s
Les grains blan:s peuve:it ét: s scit fongiques
soit actin oi:iycosiq ues
Le S 3r ains jaunes peuvent étre soit toi'giques
soit actinoi:iycosiques
t°J
cutanée sont les suivantes

4. Ulcéro -cro ûteuse


2. Sporotrichoide
? Pseudo-lép romateuse
ü Go mmeuse

Q IC (G) Devant des lésions papuleuses et


riodu laires ombiliquées, il faut évoque r :

“ Une histoplasmose cutanée


? Une cryptococcose cutanée
Un molluscum contagiosum
4. Une tuberculose cutanée

§ 1 T (E$ Le myéctome se manifeste par une


tumé facü on :

A. Surmontée de nodules fistulisés


D . Avec une ulcératio ri creusante
U Surmontée de nodules angio
mateux U Surmontée de bulles
E En « choux fleur »
Ç 1 8 (C)- Le carcinom e épidermoïde peut
compliquer :

un angiome
un ulcère chronique de jambe
la dépi•m entaÖ on artificiell e
une cicatrice de brû lure
E un xérod erma pigmentosum

Ql9 (E)

Le pemphigus est caractérisé par un


décollement bulleux sous-épid comique.
Le pemphigus s'accompagne fréquemment
d une hyperêosinophilie.
. Le pemphigus est caractérisé par un dépô t
linéaire de C3 le 1 ont de la membrane
basale

Le pemphigus vulgaire est caractó risó par


un signe de h ikolsky nò gatif.
E Le pemphigus est caractérisé par la
présent e de cellules acanth olytiques à
1 histolo•ie
Q20 tE)- La pemphigoide bulleuse est :

J.. due à la production d’anÖ corps


anti-desmoglé inc 3
E. fréquemment prurigineuse
Ü. caractérisée par un signe de Nikolsky
positif
z“ caractérisée par la surv'enue fréquente de
synéchies conjonctivales
E. constamment associée à une maladie
caliaque

Ç 2 1 fE)- Le mélanome

se Oaduit par des nodules angiomateux


B. est caractérisé par une prolifé ration
maligne de ce llules de Langerhans
C se localise rarement à la plante du pied chez
le sujet noir
a un meilleur pronostic lor sque 1' indice de
Breslow est êlevê
E présente en g énéral les caractè res .ABCDE

Ç 22 (E)- La maladie de Eapos i classique :

A. s accompagne constamment d atteintes


i-iscérales
D. . a une évolution souvent rapide et
agressiv'e U . prédomin e chez i'homme
U suo'à ent chez le sujet \’IH
E. prédomin e chez le sujet jeune
Q23 ( C)- Le carcinom e baso-cellulaire peut se
manifester par:

’.. Une lésion nodulaire, ombiliquée du visage


E. Une lésion simulant une maladie de Paget
'? . Une ulcération chronique sur le visage
Ü. Un aspect de plaque indurée sclé reu se du
i'isage
U Une lésion nodulaire noirâtre de la plante
du pied

Q2 4 (C) - La maladie de kaposi :


A Conce rue préférenÔ ellement l’homme
G. Est une affection toujours opportuniste
C. Est appefée épidémique lorsqu’e lle survient
chez le sujet jeune Africain VIH négatif
Û Est appelée classique lorsqu’elle survient
chez le sujet figé non VIH
E. Est appelé e iatrogène lorsqu’e11 e survient
lors d’un traitement immunosup presseur

QS o (C)- Les manifestations suivantes sont


possibles au cours de la maladie de kapcsi :

A. Des placards rouges an•iomateux du palais


buccal
E. Un lymphadème des membres inférieur s
. Des opacité s nodulaires à la radiographie
pulmonaire
Ü. Une en des lésions cutan êes
'î . Des opacité s nodulaires à la radiographie
pulmonaire
U Une ostéo lyse en regard des lésions cutan
ées E Une atteinte rénale avec proté inurie
importante

Lj2 G ( C) Les complicaÖ ons de la maladie de


8ehçet peuvent ètre :

A Une thrombophlébite profonde


ñ Une gangrèn e distale
C. Une méningo-encéphalite
D Une cécité
û Des svnéchies linguales

Q27 (C) La lèpre TT est caractérisée par

.4. Des macules cuivrées ubiquitaires


fi . Des macules hypoesthésiques
'î Une hypotrich ose
z“ Une névrite hype rtro phique
U Une tendan ce à un éryth ème noueux

QS 8 (G) La lésion cutanée de la lèpre BT peut


ètre confondue avec :
Q28 tG) La lésion cutané e de la lèpre BT peut
ètre confondue avec :

La sarc oïdose
?. Le lupus subaigu
ü La trichophytie
4. La sjphilis secondaire

Q2 9 (G) La réaction lépreuse d’inversion est


caractérisée par

Une névrite des tructrice


?. Une réaction antigè ne-anticorps
. L'absenc e de nous elles lésions cutan ées
J Une altération de 1 état général

Q30 (G) L’érythè me noueux lépreux est


caractérisé piar.'

Des nodules indol oros


2. Une polvarthralgie inflammatoire
Des plaques érythémateuses prurigin euses
4. Une desquamation en collerette
Cascùnique l

Un paÖ ent de 25 ans, consulte pour une


ulcération génital e survenue après des rapports
sexuels non protégés.
Parmi les a•ents pathogènes suii'ants,
quels sont ceu.x qui peuvent être
responsables de l'ulcération génitaie ?

Q3 1 (C)

Neisseria gonorrhe ac
fi Haemophilus ducreyi
. Treponema paliidum
Herpès Simplex
Klebsiella granulomatis
E.

L’ulcération est indolore, à fond propre associée


à des adénopathies inguinales asymétriques
dont une volumineuse.
Le diagnostic le plus probable est le suivant :
Q 3 (E)

A. La syphilis primaire
5. La donoi anose
'î Le chan cre mou
U L'Herpes génital
E La Maladie de Nicolas Favre

Q33 (GJ Les examens complémentaires qui


perm ettent de confirmer le diagn osÖ c sont les
suivants :

La PCR
? Les tests sérologiques
. La Biopsie cutanée
4 La culture bactérienne

Q3 4 (G) Les molécules suivantes permettent de


traiter le patient

La Benzathine Benzvl Penicilline


? La doxycycline
5 L ò ry4hromycine
4 L azithromvcine
Cas clin ique 2
Une patente de 40 ans consulte pour des
papules prurigineuses aux emrnanchures
associées à une hvperpigmentation et des
v'ésicules siégeant aur espac es interdigitaux II
existe une notion de prurit nocturne.
L interrogatoire rapporte une notion de
dépigmentation cosmétique volontaire.
L'étiqueta•e des produits cosm étiques révèle
l'existence de I hydroquinone.

Q3 o (C) Parmi les noms suivants quels sont ceux


qui peuvent étre retrouvé » :

A.
hvdroxvphenol
fi benzène p-hydroxy
.
benzohydroquinone
C
benzoquinol
dihvdroxy-1,6 benzène
E

Q36 (E) Quel est le diagnostic que vous retenez ?

.fi La gale
B La dermatophytie
C. L’eczéma de contact allergique
D. L ochronose exogène
E. L’érysipèle
.à l’examen, elle p rêsente une grosse jambe
doulo ure use surmontée de bulles.
Les produits cosmétiques incrimines dans
cette complication sont les suivants

Q37 (G)

’ Prop ionate de clobétasol


? Bétamethason e
1,4-BEliZEEEDl0L
4. 1,4-DIHYDR0XYBEliZENE

Chez cette patiente, le diagnostic d’êrysipele


bulleux est retenu, les facteurs de •ravitê sont
les suiv'ants
Q16 (G

La prise d.AINS
2 L'0bésité
3. L immun odépression
4. La prise de corticoïdes par voie orale

Q3 9(G)- L’érysipèle de jambe est caractérise par :

Une grosse jambe inflammatoire


2. Un placard érythémateux
Une adénopathie inflammatoire satellite
4. Un purpura ri écrotique

Ç40 (G i - La gale du riourrisson est caraclérisée


par.

’ Une pustulose palmo plantaire


?. Une absence de prurit
. Une localisation possible au visage et au
cuir chevelu
J. Sa sensibilité au l'létronidazo le
OUESTiONs.A CROIx MtiLTIn s HO Pof«ii)
QUsSTiONø TYPE z1•sfTION : ßoi,a• la iponie ó
'QJ(E). Ła s Iogto'4yphijfHqui

A Set toujouts port':ve au oours dc la s pkilli ioϿdairc


B. Ext toujoiirs peiius »u court dc lz syphilis tmondain cncz lbs P VIH

Ö - P<nuet d'tlirriincr lc 4iagnosú c ds cbanccc cjg›hiÎifiąue q\and eilc ost n8gsiÏ>o


E. Monoo dcs Vaux d'enticorps tots £ au-cours dc b spbilis ,

O. ViJgaize est tuir forme de pençú iigus uycdïci¥l

J’immąuoguorcæeucc direclc ã

Ç3{E)- Clsoliir la rźpoase jú sce.

A. La Po»ghiğolde bułl*use est due au dć 6t 4'caticerps an\i•ü aşmoglčioc 3


ï3 Le Fcmphigua sc asdcit Oćgueœœnat per un prur!t lntasc
C, Le .•srnphigoïa• 4ćbutc Yqoœzin<n:.łmr dss ö œ.iaas nuqu•us s
D. Pcinphlgtis vulga o est m fœme do p pbigus suporfiiciel
L La Pc¢iplilgoțde eit pint fü qæok chcz le. iujct Sql
A.
B.

Ü 'E9ż ù tArżeDtP I & p rtØß ittf


p. Peiø so oianifesier pør dcs button
Bet tits fofnie

q ONs zyrz a sua e: tbnJ¢ •4n cspoira venue


(J, eøø¡q de łe øyphftfs seco•dntrø
C. Paul ø’nøsoølør an virus de l'Łòpøtiæ C
D. Peut laism une nypnptgmcotøtim &ädelle
E fqi remanptoble pør l’importa oø du prorit
QÆA( -LaplflpflmØRoW dm#0RflüuWgR#$æmtÆ

B. AlletgiqøH
C. înîtaôvœ
D. 7æua attquae

Un pą›ect caîttcbotć,æ cœ áe caadidœe '. .


B Ętnifi od0uEü*po*3sœpouaÎ, d*æ IN •egiTt090 * •”
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GBOVPA6E : qUESTtO‹s9 A Cicorz Ur,ze'z,5$ i


’*fi J• *u cows be l'JnfectÏoa 6 YTžI, ïc aotsa

4. SB İocdù lc ooiquemctU'eu niveeu dc Is rdqÎœ oyhtaJmlquc

2. Demúte sdborrbdique
3. Wuœgłasic orafc chcv<tu6
4. Zona

î. Ecoulcmcnt u›5tral
2. fłćotîleznœt vaginal
. Doulcui pelvìenne chmøiquș
- 1

, JG) In bodgct, W -pt mpeaxøbłm d« kkhmealeio ctøntat tend :


3. Le froid
2. La cumule
4. L’ iiisiopatlinlogic

Q28 (G) Les complications de Jz gale peuvent ëtre

1. Une gl0mérulonéphlite post sWptoMeiqbc


2. En piirpica
3 Une siirinfcv.‹on bactcrierinr
4. Un prurit post scabieux

Q29 ( ) jpg njdicainenfs sn'ti-scftbieuz qtÎÎiaês au éours d0 Uf gBÏ# 80ttt :

i. Le Benzoate de beazyle ION


2.
3. I.' albend4zole
4. L' Is-crniectine

QUEsxoxflr’rmz: PLACE
Q30{.I).

La comylicaîion it sjcuzc du zona.oylitaJoùq*^ es* c*cit

Le v’ir(is responsable du zona appftrticnt â l8 mixte des licrpnv ridae


A

C- so i¥vamenl de j0 mm œnienars «n liquide ciclr

* ” *!*^^• !e pe!ianI eu etede 6f£ 4 d4ne es farine ea•ocfôo au VIH

c -.Se eréaenta Gêqiæa-ment sous ta rq-rr›e sSH

C “' rwfg›neuses'
D • ÎnBhdes
E - Èryihèmateuses

05 (G) - Au coura do le Lymphop/anulematoœ vèng ne


t • Les Cl1lomydîs s6roî7pe 0 â K sant zesp‹à-iæLïes
2 - Les buôô'ns înquinnux s*obne/•ent due le pfiaaa prïmeire
3 • Le tyrnghoedôme dos organe e¿nIIaur aderneg peut 6lre nbsetye
4 -.On peut obæ<verîe syndrome d6 h1i^S - Leroy - Reiter

Q6 (E) - Dens IB prlge en cierge sy¥¥lromi §g §pgjrIIo m$sguj §y


A - Trader uno gonoœccie ai une cñlamydiœe
g • Trailer cm c gcn4co co'c c* une trichonîDno$ ø
C - J io•icr une triclionio»:se et ur.e chIamyd.ş e
D - Tr ei•cr one gcnoœcc'e =.t une can*idos
E - Tra:!er Hno Eh!a«iyćiose ef unç çøndidose

E - Preomncøq

QB (C) - La fonct.o•. imrnunf[l ira de la peau es} assurée par Yes:


A • Celiules cfo ed‹oi
B - Ką'alinocy
- I.1åIanocyIes
D • C+*Illø s de longorhan s
E • Hisuocytes

A “ Squames

C • HyPe*ž Goa tnse*


D - Puslulos'
E - Nuuus¡t ús

• *:u!-creUo)anibt
D - {2’tJ f¥e cicelrice de br0luœ

D - Peut sié9er en regard a’»oe articulation


E - Peu! ressemt›ler è uno Hiiiopieimese cuisné« frice¡oq

A • Trichomonae vaçin§fe”
B - Caridilà aoicans
C - Mycoplasme
D - truponame paIJ hum .
ü - tfilñ n1ydia frächcmetis

0 \1 (Oj - Le ma¢ula az ddfinit comme:


Ci11 fOj - Lo macule se dêfnij comme:

q1e {G) - Les ræuwes de l'a m• nöW


T - S'cffaceot ñ îa villa rost'ion

' 3 - l2onl doué urWaos
8 - évoluent en u-•o saute pressée
4 - S'avompa¿nent d•arthra g r

i
2 -.Llrtjcaire
.3 Oe =• t omYosito,
4 - DRESS

g1 (G)

Q27 ‹G) Le• espiorallofe nècesseires dans le olagnoslîs de Dormo yaate sont-
1 • Le oosage lles enzymes muse 'laires'' '
2 • Le aocage dia œm@WenIs G3 C4 '

4 - Le doaege des eniloops snV sd z0

Q3z fr) L'u 6‹rae peut A•a •ua a•


î - Neissaf4a gie ”
z - Cnlamydie
3 • Treponema pe idvm

Ög4 {Ciî I.”uIc6rxtion gêÑ!aIa paul 6ire due 8 '


1 - Heissma gonermeae
Q3g {G) L'ur6tre• peut ê•• des â:
î - Neisse+4a gorïor ae
z • Chlarnydie
S • Treponema pMidum
# -'H hguz Oucreyf '

Q24 {CE L”ufc6raîiw gézg\aIa paul due ¥ :

2 • .Ù!PV6 / HÉV11
3 • Haümooñiîua ouwyl

Q2 5 fG) Le pempnłgus vuiCe'ra ea\ ca•ecI6r1s6 pan


1 • De s bu1/e S Teuóuee
z - Lir. s drom• rś - er ptif
3 • Un s no de Niso:sky a\if
4 - Oos zions ”. 'u queu

î - Gai une aarmo'hypnde.w.›ta oec:sienne nor nëoroænfe


2 - La sîaphylcccqco er est ' orinc zd fg8ÿgnseble
3 • Est lana.1sie u «su•ment pa• Il dépit.mentation artifcîalla
4 - 5c t aduit par des nouv‹os

QZ7 (G' - Le boutcn d’Orent:

2 • Esî assoÜê â uoe adènopaÛie satelfila


3 A IonJsncu â r6gresse• sponlsnëmenl
< - Se IoœJise pr6/arenli@e-em su• les zones rouvanes .

Q2 (C) ue my6ome fonpqœ.


1 - Vsi secondaœ à un laumatisma isolant
2 - Se voi•. en Zo+de de o{Uyiom%!lie Bnouelle
3 - peuf iI•e ou 3 ses groi*.s jaures
1 - A une IocaIisaüo« osseuse raplde

pdg (g) Au ceurs ¢fe la dip:'gmon!at:or Gir cotticoîdos, lea complications pewent ôye ;
' Uric gabe

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