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CHIRURGIE

Objectifs de l’enseignement

L’étudiant doit être capable:

-Acquérir des notions sur le processus


infectieux.
-Identifier les signes cliniques des différentes
pathologies chirurgicales.
-Prendre en charge un malade présentant une
infection chirurgicale.
Contenu de la matière
1 - Infection en chirurgie.
2- Abcès Chauds
3- Abcès Froids
4- Furoncle
5- Anthrax
6- Le panaris
7- Lymphangite
8- Phlegmon
9- La gangrène gazeuse.
- Chirurgie [GiYyYFi] n. f. ÉTYM. 1171, cirurgie; lat. méd.
chirurgia, grec kheirourgia « opération manuelle ».

Méd. Partie de la thérapeutique médicale qui comporte une


intervention manuelle et instrumentale (intervention sanglante ou
manœuvre externe) sur l'organisme humain (→ Opération, . |

- Petite chirurgie :
opérations simples (plâtres, ponctions, sondages, petites incisions,
etc.).

-Chirurgie générale;

chirurgie cardio-vasculaire, digestive, gynécologique, neurologique


La chirurgie est la partie de la
médecine qui consiste à intervenir sur
un organe à main nue ou à l ’aide
d ’instruments.

Il existe de nombreuses spécialités


en fonction des appareils.
A chaque spécialité , correspond des
soins spécifiques.

Quelque soit le type d ’intervention,


les différentes périodes,
préopératoire, per-opératoire,post-
opératoire, obéissent à des règles
précises auxquelles on ne peut
déroger.
L’infirmière(e) devra adapter ses
actions en fonction de l’intervention
et sur conseil du chirurgien .
LES INFECTIONS LOCALISEES

Les lésions cutanées


-Furoncle
-Anthrax
-Panaris

Les lésions sous cutanée


-Phlegmon
-Abcès chaud
-Lymphangite
Objectifs du cours
-Mécanismes physiopathologiques d’une infection
-Agents responsables d’une infection
-Voies de transmission possibles d’un germe et
les conditions favorables au développement
des infections
-Précautions Standard et mesures
additionnelles pour limiter le risque infectieux
dans votre contexte de pratiques
professionnelles
Généralités
On entend par infection chirurgicale toutes les
infections qui nécessitent une intervention
chirurgicale et celles qui surviennent après un
traumatisme ou acte opératoire .

Elles sont relativement fréquentes dans le


domaine de la pathologie externe, occupant un
taux de 30-50% des cas de maladies
chirurgicales.
Introduction
Pour qu'il y ait infection, il faut d'une part un
agent infectieux et d'autre part que cet
agent infectieux ait une interaction avec un
hôte.
Toute interaction entre un agent infectieux
et un hôte n'aboutit pas à une infection car
dans la grande majorité des cas il se crée un
équilibre entre les forces en présence et cet
équilibre aboutit à une colonisation de l'hôte
par différents germes, ceci sans infection.
Pour qu'il y ait infection, il faut qu'il y ait
une rupture de cet équilibre.
Définition
C'est l'envahissement de l'organisme par un agent pathogène
(micro-organismes) .
Elle résulte de la rupture d'équilibre qui existe entre
le germe et l'homme (hôte).
Ce déséquilibre provient donc soit d'une diminution des
défenses du sujet (congénitale ou acquise) soit d'un
accroissement de virulence des germes.

La pénétration d’un germe pathogène et sa

multiplication dans l’organisme entraîne un ensemble de

manifestations locorégionales
La colonisation

C’est la présence d’un germe à la surface de


la peau ou d’une muqueuse, avec
éventuellement multiplication mais sans
signe de maladie

L’infection :
C’est l’envahissement de l’organisme par des
germes capables de provoquer une maladie
Germe en cause :
Essentiellement les bactéries, polymorphisme
microbien.

• Selon le milieu de culture nous distinguons:


Germe Aérobie :
Cocci gram positif :
-Staphylocoque doré methicilline sensible,
-streptocoque A, B, C, G.
-Pneumocoque .
Germe en cause :
- Bacille gram négatif (BGN) :
Echerichia Coli ,entérobactérie,
serratia, proteus, klebsiella, pyocyanique,
bacille de koch.

Germe anaérobies :
- BGN, Bacteroides fragilis , clostridium
perfrengens
Bactériologie
• Bactéries aérobies : Cocci gram+ Staphylocoque
Streptocoque
Bacilles gram + rares
Bacilles gram - E coli
Pyocyanique Protéus
• Bactéries anaérobies : Cocci gram + :
streptocoque
Bacilles gram + :
Clostridium perfringens
Bacilles gram –
• Spirochetes
• Mycoses
• Parasitoses
*Porte d’entrée :
- Plaie , injection, eczéma (apparente)
- O .R.L , uro - génitale, pulmonaire.
Facteurs favorisants :
- Tares : diabète, dénutrition,
- terrain : cancer, urgences(Péritonite ou occlusion)

*Moyens de lutte :
- Asepsie en milieu chirurgical + hygiène collectif.
- Vaccination.
- Antibiothérapie prophylactique
*Types d’infection :
- Locales : abcès, furoncle etc. ...
- Spécifique ou non : tuberculose
- généralisée : Septicémie avec défaillance multi
viscérale.
Classification des infections
chirurgicales

Infections non spécifiques : furoncle, anthrax,


cellulite, abcès chaud, appendicite aigue, cholécystite
aigue et ostéomyélite aiguë etc.

Infections spécifiques : tuberculose, tétanos,


gangrène gazeuse etc.

Infections des plaies opératoires et infections


post-traumatiques: abcès ; cellulite de la plaie.
Infections postopératoires : abcès sous
phrénique, abcès du bassin.

Infections iatrogènes : causées par


cathétérisme, sondage, examens
exécutés à l’aide d’instruments
Caractéristiques Des Infections chirurgicales :

caractérisées par :

1.La pluralité des agents pathogènes


produisant ultérieurement des
infections associées, bien qu’au
début, quelques cas puissent être
déclenchés par une espèce simple
de microbe.
1. La manifestation marquée par des signes
locaux dans la plupart des cas.

2.La localisation limitée du foyer, évoluant vers


la formation de pus, de gangrène, qui
détruisent les tissus, laissant une cicatrice
après la guérison.
Abcès
plan

1-Définition

2-Classification

3-Signes cliniques

4-Traitement
abcès
• Un abcès est une collection de pus se constituant dans une
cavité et repoussant progressivement les tissus en périphérie.
Au départ, il existe une infection locale, puis on constate une
destruction progressive de ces tissus qui sont refoulés.
peuvent être :
Superficiels :
le plus fréquent est le panaris (abcès au doigt), mais ils
peuvent se rencontrer dans toute autre région du corps.
Ils sont visibles et palpables .
Profonds :
sur un organe interne (cerveau, foie, poumon, rein).
Leur gravité est fonction de leur localisation.
peuvent être:
Chauds :
provoqués par des microbes que l'on qualifie de
pyogènes (entraînant la production du pus).
Ils s'accompagnent d'un phénomène
inflammatoire et d'un afflux important de
globules blancs appelés polynucléaires, dont
le rôle est la destruction de ces microbes.
L'abcès chaud se traduit par l'apparition d'une

rougeur, d'une chaleur, d'une augmentation de

volume (tuméfaction), d'une douleur, d'une fièvre

élevée, d'une augmentation des globules blancs

(neutrophiles) quand on effectue une analyse de sang.

La fabrication de pus à l'intérieur de la cavité close

est à l'origine d'une augmentation de volume de

l'abcès.
Froids :
dus à la présence de la bactérie à l'origine
de la tuberculose ou de certaines levures.

Dans ce cas, l'abcès se constitue


insidieusement et on voit apparaître à la
suite de la mort des tissus (nécrose), une
forme de pus particulière que l'on appelle le
caséum. (Zone collectée purulente, réalisant
une cavité remplie de pus).
Point de départ : plaie infectée,
furoncle (surtout « manipulé »), plaie
opératoire (abcès post opératoire en
regard de la zone d’incision), et toute
lésion avec franchissement de la
barrière cutanée (injections).
Signes locaux :

rougeur ,chaleur, tuméfaction et douleur.

Signe généraux :

fièvre frissons, croissance de la


tuméfaction.

En période collectée (importance de sa mise


en évidence dans le cadre du traitement) il
existe fluctuation de la collection.
Le traitement
- Passe essentiellement par la mise à plat chirurgicale de
l’abcès en période de collection.
- Avant cette période, il conviendra de réaliser des soins
locaux (compresses humides, pansement alcoolisés…).
-Pas d’antibiotiques sauf si cellulite associée.
-Le traitement chirurgical passe par la mise à plat de
l’abcès, l’effondrement de toutes les logettes, la
réalisation d’une bactériologie et le drainage éventuel.
Furoncle
Définition

Le furoncle est une folliculite

(Inflammation du follicule pilo-sébacé (de la


peau) profonde avec nécrose
(Mortification) périfolliculaire
Causes
le germe responsable est le staphylocoque doré
(staphylococcus aureus), ce qui provoque la
suppuration et la nécrose du follicule et du derme
avoisinant.
• A noter des localisation dangereuses :
lèvre supérieure et aile du nez, car le territoire de
drainage peut ensemencer les territoires cérébraux
et donner surtout des phlébites cérébrales et
constituer un véritable AVC septique.
Clinique
Se manifeste par l'apparition progressive d'une tuméfaction
conique, rouge, chaude et très douloureuse, autour d'un poil.
Au sommet de la tuméfaction apparaît une pustule jaunâtre
qui va bientôt s'ouvrir, et le bourbillon s'élimine.
S'accompagne de lymphangite, d'adénopathie et de fièvre.

Il peut y avoir aussi des lésions multiples et récidivantes (la


furonculose). L'anthrax, plus grave, est formé par
l'évolution simultanée et la réunion de plusieurs furoncles.
Les myases furoncloïdes peuvent aboutir aux mêmes
symptômes.
Les complications

Locales sont possibles à type de

lymphangite, d’adénopathies dans le

territoire de drainage et l’abces.


Traitement.
Il ne faut jamais manipuler un furoncle, pour éviter la
dissémination du germe dans les tissus sous-
cutanés, ce qui provoquerait un érysipèle
Il convient de réaliser un pansement antiseptique
en attendant la maturation.
Une excision chirurgicale pourra être utile dans
certaines formes.
Les antibiotiques ne sont justifiés que dans les
formes graves .
La vaccinothérapie est prescrite dans les formes
récidivantes.
Anthrax
DEFINITION:

Infection de la peau due au staphylocoque


et constituée par plusieurs furoncles.
-Siège habituelle la nuque.
Agglomération de furoncles.
-Plaques plus ou moins étendue, modérément rouge
saillante et douloureuse, insomniante.
- L’examen attentif montre la présence de plusieurs
fistules.
- Il existe également parfois des nécroses cutanées
en regard.
- Leur localisation préférentielle est située dans les
zones séborrhéiques : nuque, dos, thorax.
-Son traitement passe le plus souvent par la mise à
plat chirurgicale de cette forme d’abcès
PLAN

-Definition

-Evolution

-Classifications

-Étiologie

-Traitement:
Définition

Le panaris (du latin panaricium), est un terme général

employé pour désigner « toutes les inflammations aiguës

(des parties molles) des doigts, quelles que soient leur

nature, leur étendue et leur profondeur .

Le mal blanc désigne une infection aiguë du doigt le

plus souvent par un staphylocoque doré à l'occasion

d'une blessure, avec formation de pus sous l'ongle


Le panaris est
une inflammation cutanée bénigne que l'on
retrouve au niveau des ongles et des doigts
sur les mains et les pieds.

Bien que sans gravité, cette affection


doit être traitée, et certains gestes peuvent
être évités afin de prévenir son apparition.
Risques
• Sans traitement, un panaris superficiel peut
s'étendre en profondeur et entraîner une infection :
 de l'os, appelée ostéite ;
 des articulations, c'est l'arthrite ;
 de la peau, appelée nécrose cutanée.

Ces complications peuvent parfois, dans des cas


extrêmes, conduire à une amputation partielle du
doigt ou de l'orteil.
Evolution:
- à la peau (fistulisation) et/ou aux tissus
celluleux de la main et/ou des doigts :

- à une articulation ( arthrite caractérisée


par une douleur spontanée quand
l'articulation est mobilisée) .
Evolution
- à un ou plusieurs tendon(s), avec éventuelle
nécrose du tendon paralysant le doigt:

- aux tissus osseux (ostéite qui nécessite une


radiographie pour être diagnostiquée avec
certitude):

- aux gaines synoviales


Classifications:
- Panaris péri-unguéal (ou tourniole), avec risque d'arthrite
et atteinte du tendon extenseur: Panaris de la pulpe du
doigt;
- Panaris de la face dorsale du doigt;
-Panaris de la face palmaire des phalanges (avec risque
d'infection du tendon fléchisseur et de sa gaine
-Panaris « en bouton de chemise » : deux collections
(accumulation de pus) sont en communication transdermique,
le risque étant que la collection profonde ne soit pas
détectée.
Étiologie:
staphylocoque doré est responsable dans 65%
des cas (près de deux cas sur trois);

streptocoques béta-hémolytiques sécrétant des


toxines et détruisant rapidement les tissus sont
en cause dans 15% des cas;

streptocoques viridans et des entérobactéries


sont responsables dans 12% des cas

Escherichia coli, Proteus


Traitement:
-Vaccination antitétanique;
-Bains du doigt (classiquement 3 bains de 10
minutes par jour) dans une solution type Dakin
-Surveillance pour détecter toute évolution
défavorable et opérer - si nécessaire - à temps;
-Rééducation à débuter dès possible (faisable
dans le bain de solution antiseptique;
-Des prélèvements bactériologiques multiples
doivent être faits;
-Le panaris au stade 2 ou 3 est traité par une
opération chirurgicale (excision
correspondant à l'ablation du pus et des
tissus infectés.

Le site est ensuite laissé ouvert avec


réalisation d'un pansement gras toutes les
48 heures) qui entaille la partie inflammée
pour nettoyer le pus s'y trouvant.
L'opération est réalisée sous anesthésie.
- Des prélèvements bactériologiques multiples
(pus et fragments de tissus infectés) sont faits
au moment de l'opération.

-Antibiothérapie :l'antibiothérapie n’est pas


nécessairement indiquée si l’excision est bien
faite, mais elle est poursuivie en cas
d'antibiothérapie prescrite avant la chirurgie et
recommandée dans les signes régionaux ou
généraux de réaction à une infection
Prévention
• Soins des ongles

 Coupez vos ongles à la sortie du bain par


exemple, lorsqu'ils sont ramollis.
 Utilisez un matériel spécial (ciseaux à ongles
ou coupe ongles) et propre !
 Ne coupez pas les ongles trop court.
Soin des pieds et des mains

 Portez des gants lors d'activité manuelle : jardinage,


bricolage, etc.
 Portez des chaussures confortables, pas trop
serrées.
A la maison, enlevez vos chaussures et laissez «
respirer » vos pieds.
 Portez des chaussettes en coton.
 Evitez le contact avec les irritants et les allergènes
LES LYMPHANGITES
Plan

-Définition

-Formes cliniques

-Symptomatologie

-Evolution

-Traitement
Définition:

C’est l’inflammation des vaisseaux


lymphatiques, consécutif à un
processus infectieux.
Formes cliniques
1 La lymphangite réticulaire
Se caractérise par une induration érythémateuse (durcissement
rouge) de la peau qui entoure une lésion, c’est une affection
bénigne.

2 La lymphangite tronculaire
Cette forme touche les vaisseaux lymphatique de gros calibre
se caractérise par une induration érythémateuse qui forme un
placard rouge plus long que large.
L’induration se propage de la lésion primitive au ganglion le plus
proche, qui s’infecte et devient sensible.
Symptomatologie
Les lymphangites sont caractérises par :
- rougeur avec œdème loco-régionale et
douleur.
- gonflement des ganglions lymphatiques
(étendus de l’infection).
-fièvre.
-sensation de malaise.
Evolution
La lymphangite dure de 08 à 10 jours ; elle peut se
compliquer par des abcès.
Traitement

Médical
Le traitement à base d’antibiotique et d’antipyrétiques
s’impose pour traiter l’infection et prévenir les
complications.
Chirurgical
-Incision de la collection de pus en cas des complications
-prélèvement de pus pour antibiogramme.
Phlegmon
DEFINITION:
Le Phlegmon est une propagation diffuse
inflammatoire processus avec formation
suppurative / purulente exsudat ou du pus .

Ceci est le résultat de l'inflammation


purulente aiguë qui est due à une infection
bactérienne.
Classifications
En évolution clinique: aiguë ou subaiguë

• Par gravité de l'état: légère, moyenne ou sévère (avec la


diffusion à un autre emplacement)

• Par lieu:

– Superficielles: cutanée, sous-cutanée, tissu interstitiel,


intramusculaire

– Deep: médiastinale ou rétropéritonéale

• En étiologie: unique ou mix (par exemple: spores et non des


spores anaérobies formation)
Par caractère exsudatif:
– phlegmon purulente
– phlegmon purulente-hémorragique
– phlegmon putride
En présence de complications:
– avec complications (troubles de la mastication,
l'ingestion, de la parole, le système cardiovasculaire
et respiratoire, une péritonite, lymphadénite, perte
de conscience dans les cas graves, etc)
– sans complication
Clinique:
- Les caractéristiques systémiques d'infection
tels que la température corporelle (jusqu'à 38-
40 ° C), fatigue générale, des frissons, des
sueurs, des maux de tête, perte d'appétit).
- signes inflammatoires - (douleur localisée),
(augmentation de la température locale des
tissus), rougeur (rougeur de la peau , tumorales
(soit ou non clairement délimitée tissus clairs
gonflement).
Diagnostic
• Les plaintes et les aspects cliniques
• Anamnèse
• Visuels et palpations
- leucocytose (jusqu'à 10-12 × 10 9 / L), la
diminution ou l'absence d'éosinophiles niveau,
déplacement de la différence de nombre de
globules blancs vers la gauche (neutrophilie),
ESR augmentation .
• test d'urine - présence de bactéries dans
l'urine, augmentation de leucocytes urinaires.
• échographie
Traitements
L'objectif principal du traitement est de
supprimer la cause du processus phlegmoneux
afin de parvenir à un traitement efficace et
la prévention des residives.

Si l'état du patient est doux et les signes de


processus inflammatoires sont présentes sans
signes d'infiltration, un traitement
conservateur par antibiotiques est suffisant.
Si l'état du patient est grave, cependant,
l'exploitation immédiate est généralement
nécessaire à l'application du système de
drainage.

Tous ces éléments sont fait sous anesthésie


générale. Pendant le fonctionnement, la
cavité ou le lieu de processus phlegmoneux
sont lavées avec un antiseptique, des
solutions antibiotiques.
En période post-opératoire, les patients sont
traités avec des antibiotiques par voie
intraveineuse, vitaminothérapie.
Macule érythémateuse Papules dermiques

Pustule

Nodule Vésicules

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