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École nationale polytechnique d’oran.

La Société d’eau et d’assainissement d’Oran

Rapport de stage
Station d’épuration step El-kerma

Spécialité : génie des procédés

Présenté par : Bachir Abderrahmen. Duré de stage : 7 jour


Encadré par : M.Toufahi. Année universitaire : 2022/2023

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Sommaire :

I. Introduction .
II. À propos du station :
1. Situation de la STEP .
2. Ses caractéristiques .
3. Alimentation de la station d’El kerma .
III. Les procédés d’épuration de la station :
❖ Pour les eaux :
A. Traitement physique :
✓ dégrillage .
✓ Le dessablage et déshuilage .
✓ Traitement des graisses .
✓ Décantation primaire .
B. Traitement biologique :
✓ Aération .
✓ Décantation secondaire .
✓ Chloration .
❖ Pour la boue :
✓ Recirculation des boues .
✓ Evacuation des boues en excès .
✓ Traitement des boues primaires et des boues en excès .
✓ La digestion anaérobie des boues .
✓ Déshydratation des boues .
IV. Partie laboratoire :
✓ DBO5 .
✓ DCO .
✓ MES .
✓ Turbidité.
✓ COT .
✓ Azote .
✓ Phosphore total et phosphate .
✓ Ph .
✓ La conductivité .
✓ Oxygène dissous .
✓ Température .
✓ L’odeur et la couleur .
V. Utilisation des eaux épuré et des boues .
VI. Conclusion .

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I. Introduction :
L’eau ne peut être considérée comme un simple produit commercial. Elle doit être classée
comme un patrimoine universel qui doit être protégée, défendue et traitée comme tel. C’est
ressource vitale pour l’homme, sa survie, sa santé, son alimentation ; elle l’est également pour ses
activités agricoles, économiques et la qualité de son environnement en dépend étroitement.
Cependant, elle est le réceptacle universel de tout type de pollution.

Pour la préservation de l’environnement, des stations d’épuration ont été mises en place afin
d’assurer l’épuration des eaux résiduaires urbaines avant leur rejet dans les milieux récepteurs ; tel
est l’objectif premier de la STEP à boues activées D’EL KERMA. Elle est conçue sur la base de
traitement biologique à moyenne charge avec stabilisation des boues .

II. A propos du station :

1. Situation de la STEP :

Wilaya : ORAN, Commune : Kerma,


Zone géographique : au sud de la wilaya
Région hydrographique : au bord de la Sebkha d’Oran
Nom de la STEP : Station d’épuration du groupement urbain d’Oran
Les agglomérations raccordées à la STEP : partie d’Oran, Bir El Djir, Es Sesia et El Kerma
Nature des eaux usées : Urbaine
État de la STEP : exploitation

. Figure 1 : schéma d’implantation des équipements

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2. Ses caractéristiques :

Charge hydraulique :

La station est dimensionné pour un débit de point horaire en temps de pluies et de: 16200
m3/h , Pour le dimensionnement des décanteurs primaire et le traitement biologique est donner par
un débit de 15400m3/h . Le débit nominale de journalier et de : 270100 m3/j .

Tableau 1 : les caractéristiques de la STEP :

Capacité 1 526 000 Eq.H (270 100m3/j)


DBO5 91 560 kg/j
DCO 228 910 kg/j
MES 96 860 kg/j

Tableau 2 : les valeurs maximales à ne pas dépasser pour les eaux de sortie (c’est-à-dire pour les
eaux épurées) :

DBO5 25mg/l
DCO 125 mg/l
MES 35 mg/l
NTK 15mg/l (eau >19°)
NTK 10mg/l (eau>22°)
NGK 35mg/l (eau >19°)
NGK 30mg/l (eau>22°)

3. Alimentation de la station d’El kerma :

La ville d’Oran est accordée à un réseau d’assainissement relié à la station de pompage (petite
lac). Cette dernière pompe les eaux usées vers la station d’El kerma. Il Fondera un débit de
Q=270.100 m3 /j pour que la station soit opérationnelle à 100%. Mais, actuellement elle fonctionne
avec un débit Q=80.000 m3 /j.

III. Les procédés d’épuration de la station :


Les differences étapes du traitement des eaux usées et des boues dans la station sont :

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❖ Pour les eaux :

Des traitements sont effectués sur les effluents urbains que se soient des traitements physiques,
biologiques et tertiaires (chloration pour la désinfection :)

A. Traitements physiques :

✓ dégrillage (les déchets solides de l’eau) :

Figure 2 : dégrilleur

Le dégrillage est composé de quatre chenaux de dégrillage équipés des dégrilleurs fins
(espacement entre les barreaux = 10 mm) . PiLes grilles mécaniques sont inclinées de 75 ° offrant
une grande surface de passage ; leur nettoyage se fait d’une manière très simple par une racle rigide
qui épouse la forme des barreaux de la grille. Les grilles sont disposées sur un même axe
perpendiculaire à l’axe du chenal d’amenée.

Pour l’isolement des grilles en cas de panne et/ou d’entretien, il existe des barreaux à l’amont et à
l’aval des appareils. Le dimensionnement des canaux de dégrillage est tel que le débit de pointe du
temps de pluie peut passer à travers trois grilles en cas ou une des quatre grilles est en panne. Les
refus des dégrilleurs sont déchargés sur une bande transporteuse commune qui les transporte vers
une presse laveuse. Les refus de dégrillage sont lavés, ensachés et déchargés dans une benne. Les
dégrilleurs seront couverts et l’air pollué sera traité par le biofiltre.

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✓ Le dessablage et déshuilage :

Figure 3 : dessableur- déshuileur

Un chenal de sortie fait suite au poste de dégrillage en amenant les eaux dégrillées vers quatre
chenaux de dessablage- déshuilage.

C’est la lame de débordement, à la sotie des dessableurs, qui impose la cote du plan d’eau vers
l’amont, et notamment dans le chenal d’amenée assurant une équi-répartition du débit entre les
ouvrages lorsqu’ils sont utilisés en parallèle. L’entrée des dessableurs- déshuileurs est équipée de
batardeaux.

Chaque dessableur- déshuileur aura une longueur de cinquante mètres (50m), exécuté en béton
armé de section trapézoïdale avec un baffle ajouré, commun aux deux ouvrages et un autre étant
pentu du coté extérieur.

Dans chaque chenal, un baffle à claire voie installé parallèlement à l’axe principal délimite deux
zones distinctes du point de vue fonctionnel : une zone turbulente de dessablage d’une largeur de
4,8 m (via l’action de bulles d’air) et une zone calme pour le déshuilage d’une largeur de 2 m. cette
apport d’air a pour effet d’empêcher la sédimentation des matières plus légères lavées (matières
organiques et autres en suspension) et assure une vitesse d’écoulement constante.

Les sables décantent et se retrouvent au fond de l’ouvrage dans une partie approfondie. Les
grains de sables ainsi décantés dans la fosse sont extraits par le système air lift.

La zone située à l’opposé de l’axe d’installation des rampes d’air est séparée de la zone de
dessablage par un baffle ajouré installé sur toute la longueur de l’ouvrage . L’ouvrage est équipé de

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ponts racleurs suceurs jumelés animés d’un mouvement de « va-et-vient » destinés à extraire les
sables déposés au fond de l’ouvrage ; qui serons transportés par la suite dans une rigole centrale qui
débouche vers une fosse collectrice. Le mélange eau et sable sera transporté vers un calibreur de
sable situé à coté du dessableur. Le sable est asséché puis déchargé dans une benne.

Un déssablage composé de quatre lignes est réalisé. Les dimensions d’une ligne sont :

Longueur = 50 m

Largeur dessablage = 4,8 m

Largeur déshuilage = 2,0 m

Profondeur utile dessablage = 4,6 m

temps de séjour dans le dessablage correspondant au débit hydraulique maximal est d’environ
15 min. le taux de séparation des granulés de 150 micromètre sera don’t de l’ordre de 95%.

✓ Traitement des graisses :

Les matières flottantes et les graisses s’accumuleront à la surface du déshuilage et seront raclées
jusqu’à l’entrée d’un puits a graisses . ces matières peuvent au besoin avec un clapet être
entreposées dans le puits . Ces matières sont envoyer vers le digesteurs dans une grande partie
organique est transformée de façon anaérobie en biogaz.

✓ Décantation primaire (4 bassin de décantation) :

Après avoir dessablée et déshuilée L’eau arrive par un canal ver les bassins de décantation
primaires qui a un racleur qui tourne avec une vitesse 1tour chaque 35min. dans ces bassins les
matières en suspension tombe au fond du bassin. Elles constituent des boues primaires qui seront
par la suite évacuées vers la filière de traitement des boues : l’épaississement primaire.

Le taux d’élimination estimatif dans la décantation primaire est de:

DBO5 = 33%

DCO = 29%

MES = 63%

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Figure 4 : décanteur primaire

B. Traitement biologique ( à boues activées ) :

✓ Aération :

Seuls les traitements biologiques permettent, de façon acceptable sur le plan technico-
économique, d’éliminer de façon très poussée la fraction soluble et organique de la pollution. En
effet, les bactéries en raison de leur taille très réduite (et de leur capacité d’échange membranaire),
de leur forte densité, de leur capacité d’adaptation (forte capacité de dissémination en général) et
de leur fort taux de développement, sont les plus capables d’épurer efficacement les eaux usées.

Au niveau de la STEP, pour le traitement biologique il utilise le procédé aérobie (boues activées)
C’est l’étape du traitement biologique qui repose sur l’activité des bactéries. A cette étape, on
éjecte d’air par des aérateurs de surfaces : turbines lentes, turbines rapides

Ces bactéries se nourrissent des matières organiques, c’est-à-dire de transformer naturellement


la pollution organique et diminuent le carbone, l’azote, et le phosphore contenus dans l’eau.

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Figure 5 : le bassin d’aération

✓ Décantation secondaire (8 décanteurs secondaires) :

Figure 6 : le décanteur secondaire ( clarificateur)

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Après le traitement biologique, l’eau arrive vers les décanteurs secondaires (fig ) .Ce dernier a le
même principe que la décantation primaire, contenant à un racleur qui tourne avec une vitesse
1tour chaque 35min.

Dans ces bassins les matières en suspension tombent au fond du bassin. Elles constituent des
boues secondaires (actives) et l’eau sort par les conduites de débordement. Concernant les boues
évacuées, une partie se dirige vers la filière de traitement des boues et l’autre vers le bassin
d’aération.

✓ Chloration ( désinfection ) :

La désinfection des effluents a pour objectif principal d’améliorer la qualité bactériologique de


l’effluent épuré afin de protéger la zone de rejet.

Sur la base d’un temps de séjour de 30 min pour le débit de pointe du temps de pluie, le bassin de
contact présente un volume utile de 7700 m3.

Le bassin de contact sera de type à chicanes et aura les dimensions suivantes :

Nombre d’ouvrage :2

Longueur : 100 m

Largeur : 10 m

Hauteur d’eau : 4, 05 m

Les eaux épurées à la sortie de la station d’épuration seront rejetées dans la grande sebkha.

❖ Pour la boue :

✓ Recirculation des boues :

Les boues décantées sont acheminées par une tuyauterie vers deux fosses de pompage des boues
de recirculation et des boues en excès pour assurer un traitement biologique efficace, il faut
maintenir un taux de MES stable dans le bassin d’aération. Pour cela, il est nécessaire de faire
recirculer une partie des boues qui sont extraites du décanteur secondaire vers l’entrée du bassin
d’aération. Ces boues sont appelées boues de retour ou de recirculation.

Le choix est porté sur quatre pompes à vis d’Archimède pour relevage des boues de retour dans un
canal. Ces boues seront acheminées par la suite gravitairement vers les bassins à boues activées. Les
moteurs d’entrainement des pompes à vis seront mis sous boitiers.

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✓ Evacuation des boues en excès :

La biomasse augmente quotidiennement, avec la quantité de pollution traitée. Il est donc


nécessaire d’extraire régulièrement les boues excédentaires pour maintenir un taux de MES stable
dans le bassin d’aération.

✓ Traitement des boues primaires et des boues en excès :

La boue primaire des 4 bassins de décantation sont prélever plusieurs fois par jour par deux
pompe a vis et transportées vers l’épaississeur de boue primaire .

La boue en excès est transporter vers la station d’épaississement mécanique elle est épaissie par
3 épaississement à bondes d’une teneur en matière solide d’environ 0.8% à environ 6% en ajoutant
des polymères . puis transporter vers le bassin d’homogénéisation .

Le bassin d’homogénéisation est d’un volume 200m3 ,ce bassin permet de former une boues
brutes a partir des boues primaire et les boues en excès puis les boues sont transporter vers le
digesteur .

✓ La digestion anaérobie des boues :

Figure 7 : les digesteurs

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La stabilisation des boues s’effectue en un milieu mésophile dans des digesteurs anaérobies d’une
température d’environ 37°C ,pour un volume total de 38420m3 , on obtient un temps de séjour de
21,6 jours .Ce temps permet une bonne stabilisation des boues.

Le chauffage du digesteur s’effectue grâce à système de circulation de boue chaude, un injecteur


à mélange pour l’introduction de boue brute et un échangeur thermique ,la circulation de boue
chaude apporte de l’énergie thermique nécessaire pour le chauffage de la boue brute à 37°C .

Le processus de stabilisation anaérobie des boues permet de produire de biogaz utilisé par la suit
dans l’alimentation des chaudières .

✓ Déshydratation des boues:

La déshydratation est faite par 8 filtres à bondes presseuses en utilisant le polymère .le but de la
déshydratation est de l’obtention d’une teneur en substances sèche d’au moins de25% . la boue
déshydratée et chaulée est transporter et réutilisé comme matière fertilisante .

Figure 8 : Schéma représentatif de la chaîne de digestion anaérobi

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IV. Partie laboratoire :

Le laboratoire de la station d’épuration d’EL KERMA à boue activée a pour fonction


d’effectuer des analyses quotidiennes en suivant un planning pour les eaux (entrée et sortie), de
même que pour les boues. Grâce à ces analyses on peut en déduire le rendement de l’épuration.

➢ DBO5 (Demande Biologique en O2) :

Elle permet de connaître la quantité d’oxygène nécessaire à l’oxydation de l’effluent par les
micros organismes qui consomment de l’O2. L’effluent est dilué avec de l’eau saturée en O2,
ensemencé et mis en étuve à 20ºC. Au bout de 5 jours on réalise un titrage de l’O2 restant.

DBO est la partie biodégradable de la DCO. Pour un type d’industrie ou d’effluent donné le
rapport est constant.

Le rapport R = sera prépondérant dans le choix du traitement de l’effluent :

▪️ < 0,2 : inhibition par produits toxiques qui tuent les micro organismes.

▪️ 0,25<0,35 : Essai pilote indispensable pour vérifier la faisabilité d’un traitement. On peut être
amené à mesurer la DBO21 : Test sur 21 jours

▪️ R>0,35 : traitement biologique possible (les effluents sont considérés de type urbains si
R>0,4).

Remarque : _ la DCO dite “dure” est la fraction non biodégradable de la DCO= DCO-DBO.

_ Ce mesure est quotidienne pour l’entré et la sortie.

➢ DCO (Demande chimique en Oxygène):

Ce paramètre caractérise la quantité nécessaire d’oxygène nécessaire à l’oxydation des matières


organiques et des matières minérales (S2-, NO2-,) contenues dans l’eau.

On mesure la quantité d’O2 consommée par 1 L de solution dans des conditions de température
et de durée définies (ébullition pendant 2 h). L’oxydant utilisé est le bichromate de potassium :
K2Cr2O7 (le chrome est sous forme CrVI et est très toxique). Seuil de détection : 15 mg.l-1 O2

Il existe aussi des méthodes colorimétriques (précision de + ou -20%), qui permet pour un
exploitant d’avoir un ordre de grandeur de la DCO.

Ce mesure est quotidienne pour l’entré et la sortie.

➢ MES : Matières en suspension:

Les deux techniques utilisées sont :

→ La filtration sur membrane et pesée du retentât,

→ La centrifugation et pesée (si MES>1,5 g/l

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Ce mesure est quotidienne pour l’entré et la sortie.

➢ Turbidité

La mesure de la turbidité est une mesure indirecte des MES. On mesure l’affaiblissement d’un
pinceau lumineux qui traverse l’échantillon.

Cette mesure peut se faire par :

→ Opacimétrie

→ Effet Tyndell (réflexion à 90º d’un pinceau lumineux)

➢ COT (carbone Organique Total) :

Les deux méthodes utilisables permettent de déterminer la quantité de carbone lié aux matières
organiques. Cette recherche se fait par oxydation après élimination du CO2 lié aux carbonates et
bicarbonates :

À froid : UV + Persulfates (rapide)

À chaud : par oxydation catalytique (2 jours).

La corrélation entre le COT et la DCO est difficile à réaliser mais pour une industrie donnée le
rapport est constant.

La mesure du COT est très utilisée en eau destinée à la consommation humaine, et en contrôle
de qualité d’eau ultra-pure.

➢ AZOTE:

L’azote peut se trouver sous forme minérale ou organique à différents niveaux d’oxydation.
On distingue :

→ L’azote ammoniacal : NH4+qui est une forme réduite pouvant provenir de l’action de bactéries
anaérobies (réduction des nitrates) .

→ L’azote organique (urée, amines, …) qui est aussi une forme réduite et donc consommatrice
potentielle de l’oxygène.

→ L’azote minéral : nitrates et nitrites.

→ L’azote Kjeldahl : NTK. Il mesure l’azote ammoniacal et organique. L’échantillon est soumis à
une ébullition en milieu acide : on mesure ensuite l’ammoniac par une méthode de titrage adaptée à
la concentration.

→ L’azote global : NGL. Il mesure la totalité des formes azotées présentes dans l’échantillon.

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➢ Phosphore total ( PT) et phosphate (PO4 )3- :

★ Les formes chimiques du phosphore dans les eaux usées sont très variées. Ils peuvent être
solubles ou bien particulaires, minérales et organiques.

Phosphore Total = Phosphore particulaire + Phosphore dissous

Phosphore dissous = Phosphore minéral + Phosphore organique

★ Phosphates (appelés orthophosphates) est le composé le plus présent dans la charge totale en
phosphate on les utilisent en pisciculture afin d’augmenter la biomasse planctonique.

➢ Ph (potentiel d’hydrogène) :

On mesure ce potentiel à l’aide d’un pH-mètre dans l’eau brute ( l’entré ) et dans l’eau traité ( la
sortie) , on fait ce mesure plusieurs fois par jour , il doit être situé entre 6.5 et 8.5 .

➢ La conductivité :

Du meme , à l’aide d’un conductimètre on mesure la conductivité de l’eau brute et traité


plusieurs fois par jour .

➢ L’oxygène dissous :

Autrefois , on mesure la quantité l’oxygène dissous dans l’eau brute et de la sortie , plusieurs fois
par jour .

➢ Température :

Ce dépend du période de épuration de ces eaux brutes , ce mesure est quotidienne et la


température de ces eaux ne doit pas dépasser 30° c quelque soit la saison

➢ L’odeur et la couleur :

Doit être incolore et n’a pas d’odeur (on l’élimine par le digesteur )

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V. Utilisation des eaux épuré et des boues :

• Pour les eaux épuré

→ Utilisation agricole (Irrigation la Plus répandue )

→ Utilisation municipale (Arrosage des espaces verts , lavage des rues ,lutte contre les Incendies
……)

→ Utilisation industrielle (refroidissement)

→ Amélioration des ressources En eau (recharge des nappes)

• Pour les boues :

Les boues sont destinées à la valorisation agricole. Des essais ont déjà été effectués afin de lancer
des conventions de réutilisation des boues.

VI. Conclusion :

En guise de conclusion, je tiens à préciser que mon stage au sein de la Station d’épuration du
groupement urbain d’Oran a été très bénéfique, il m’a permis de profiter des connaissances et de
l’expérience professionnelle des personnes avec qui j’ai été en contact. Les informations acquis
compléteront mes connaissances théoriques on pratique

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Bibliographies :
• Rapport de stage de salamba par ndir salamba
• Rapport de stage de Mohammed

Webographie :
• https://www.1h2o3.com/apprendre/parametres-des-eaux-
usees/parametres-de-qualite-des-eaux-usees/composes-phosphates-
des-eaux-usees-phosphore-
orthophosphates/#:~:text=de%200%2C1%2D0%2C,mg%2Fl%20en%20ea
u%20stagnante.
• https://www.academia.edu/29467090/rapport_de_stage_step_el_kerm
a

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