Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Préparé par :
SADIK HASNA
Soutenu le : 21/05/2022
Pr.
Pr.
I Pollution de l’air............................................................................................................. 5
Conclusion.............................................................................................................................. 19
Figure 2: Schéma Montrant La Voie Des Pluies Acides avec les réaction chimiques............. 7
Figure 8 : Indices de la qualité de l’air en 2012 (a) jamae lafnae ; (b)Mhamid et (c) Daoudiat
[13] ..................................................................................................................................................... 16
UV : Ultraviolet
O3 : Ozone
PM : matiére particulaire
INTRODUCTION
La dégradation de la qualité de l'air et son impact sur la santé des populations sont considérés
comme des problèmes majeurs de l'environnement, en milieu urbain. La pollution de l'air est une
question sensible car elle affecte la santé, l'environnement et les intérêts économiques. Les villes
marocaines qui connaissent un trafic routier, de plus en plus intense, un vieillissement accentué du
parc automobile caractérisé par un manque d'entretien et une industrialisation accélérée,
n'échappent pas à ces problèmes. La ville de Marrakech n'est pas une ville à caractère industriel
marqué ; par contre elle subit fortement les effets des polluants issus des véhicules automobiles. Les
principales sources de pollution atmosphérique sont donc les sources anthropiques et tout
particulièrement les véhicules à moteur. Cette situation a de graves répercussions sur la qualité de
l'air. La pollution de l'air est un problème complexe. Premièrement, divers polluants proviennent de
sources différentes, ont des impacts différents et nécessitent des solutions différentes ;
deuxièmement, leurs sources et leurs emplacements sont intrinsèquement variables. Notre étude a
pour objectif de présenter une recherche bibliographique sur l'état de la qualité de l'air à Marrakech.
On mettra en évidence les principales sources de pollution atmosphérique. Ceci va nous permettre
de conclure sur la qualité globale de l'air à Marrakech.
1
CHAPITRE 1 : GENERALITE
CHAPITRE 1 : GENERALITE
I STRUCTURE DE L’ATMOSPHERE
L'atmosphère terrestre est formée d’une série de couches. En se déplaçant vers le haut à
partir du niveau du sol, ces couches sont appelées la troposphère, la stratosphère, la mésosphère, la
thermosphère et l’exosphère (figure 1) [1].
I.1 TROPOSPHERE
La troposphère est la couche la plus basse de notre atmosphère. Elle commence au niveau du
sol et s'étend jusqu'à environ 10 km au-dessus du niveau de la mer. La plupart des nuages
apparaissent dans cette couche. La pression atmosphérique et la température diminue au fur et à
mesure qu’on s'élève dans la troposphère [1].
2
CHAPITRE 1 : GENERALITE
I.2 STRATOSPHERE
La couche suivante est la stratosphère. Elle s'étend sur environ 50 km. La fameuse couche
d'ozone se trouve dans la stratosphère. Les molécules d'ozone de cette couche absorbent la lumière
ultraviolette (UV) convertissant ainsi l'énergie UV en chaleur [1].
I.3 MESOSPHERE
I.4 THERMOSPHERE
II POLLUTION ATMOSPHERIQUE
Les polluants atmosphériques sont très nombreux car ils englobent la quasi-totalité des
molécules synthétiques produites par les activités humaines, dans leurs états d'origine, transformées
ou brûlés sous forme de gaz ou de particules de matière.
Malheureusement, l'air n'est plus pur, Il contient un mélange très complexe de tous ces
polluants, dont les concentrations dépendent de l’emplacement, de la saison et de la proximité des
activités industrielles [2].
La pollution atmosphérique est l'altération de la composition de l'air par des polluants nocifs
pour la santé et l'environnement. Ces polluants peuvent être gazeux, particulaires et éventuellement
liquides [3].
L'air est le mélange invisible de gaz qui entourent la Terre. L'air contient des substances
importantes, comme l'oxygène et l'azote, dont la plupart des espèces ont besoin pour survivre. Parfois,
le mot "atmosphère" est utilisé à la place du mot "air".
3
CHAPITRE 1 : GENERALITE
L'air sec standard est la composition de gaz qui constituent l'air au niveau de la mer. Il s'agit
d'une unité de mesure scientifique standard. L'air sec standard est composé d'azote, d'oxygène, d'argon,
de dioxyde de carbone, de néon, d'hélium, de krypton, d'hydrogène et de xénon. Il ne comprend pas la
vapeur d'eau car la quantité de vapeur varie en fonction de l'humidité et de la température [4].
L'air est animé de mouvements incessants provoqués par des différences de température et
de pression. En effet, par exemple, la température de l'air dans la troposphère diminue d'environ
6°C pour chaque kilomètre, assez pour générer un mouvement convectif rapide [5].
L’air est un mélange gazeux constitué essentiellement par les mélanges des gaz suivants :
78 % de diazote (NO2)
21 % de dioxygène (O2)
1 % d'argon (Ar)
0 ,033% de dioxyde de carbone (CO2)
des traces de néon(Ne) , de krypton(Kr), de xénon(Xe) et d'hélium(He).
Ces proportions, même si la concentration de l'air diminue avec l'altitude, sont identiques quel que
soit le lieu et jusqu'à une altitude de 100 km. Au-delà, il n'y a quasiment plus d'air. L'air contient
également de la vapeur d’eau à des pourcentages qui peuvent beaucoup varier, aussi bien dans le
temps que dans l'espace. Ainsi, le volume de vapeur d'eau dans l'air ne dépasse pas les 0,6 % dans
un air froid. En revanche, il peut monter jusqu'à plus de 4 % dans un air chaud [5].
4
CHAPITRE 2 : POLLUANTS DE L’AIR
Les émissions dans l’air proviennent essentiellement des secteurs d’activité suivants :
II PRINCIPAUX POLLUANTS
Le dioxyde de soufre (SO2) a pour origine principale la combustion des énergies fossiles
(fioul, charbon) qui libèrent du soufre. Les principales sources de SO2 sont donc les installations de
chauffage industrielles, tertiaires et résidentielles, les raffineries de pétrole, les moteurs diesels,
ainsi que certains procédés de fabrication.
Le SO2 est un gaz irritant pour l’appareil respiratoire. Sous l’action du rayonnement solaire,
il peut s’oxyder puis, en présence d’eau, se transformer en acide sulfurique (phénomène des pluies
acides) [7].
5
CHAPITRE 2 : POLLUANTS DE L’AIR
Chroniques par les composés chlorés peuvent engendrer des troubles respiratoires, oculaires ou
digestifs, ainsi que des réactions cutanées. Il contribue également à l’acidité de l’air [7].
Poussières
Outre les poussières d’origine naturelle, l’air contient des particules très fines qui sont
émises par certains procédés industriels, les installations de combustion, les carrières, ainsi que les
véhicules. Les poussières les plus fines peuvent provoquer des difficultés respiratoires [7].
Le monoxyde de carbone (CO) est formé par la combustion incomplète (gaz, charbon, bois
…) et provient essentiellement des moteurs des véhicules et des installations de combustion mal
réglées [7].
Ozone (O3)
L’ozone (O3) n’est pratiquement pas rejeté directement dans l’air, car c’est un polluant
secondaire, résultant de transformations chimiques complexes entre d’autres gaz (NOx, COV), sous
l’effet de l’ensoleillement (pollution photochimique). L’ozone est particulièrement irritant pour le
système respiratoire et les muqueuses oculaires [7].
Métaux lourds
Les métaux lourds (plomb, cadmium, mercure…) sont émis lors de la combustion du
charbon ou de l’incinération des déchets, et par certains processus industriels (sidérurgie,
cristallerie…). Plusieurs de ces métaux peuvent s’avérer très toxiques. L’automobile reste la
principale source de plomb, malgré l’amélioration des carburants [7].
6
CHAPITRE 2 : POLLUANTS DE L’AIR
Les principaux gaz à effet de serre sont d’origine anthropique. Ce sont notamment le
dioxyde de carbone (CO2), le protoxyde d’azote (N2O), l’ozone troposphérique, les CFC et HCFC
et le méthane (CH4). Ils ont une influence sur le climat de notre planète. La concentration croissante
de ces gaz a entraîné un accroissement des températures moyennes globales de 0,3 à 0,6 degré
Celsius au cours du siècle dernier. Ce phénomène pourrait s’accentuer au cours des 100 prochaines
années [7].
La pollution de l'air est une modification de la qualité de l'air qui peut être caractérisée par la
mesure de polluants chimiques, biologiques ou physiques. Elle peut avoir des conséquences
néfastes sur la santé humaine.
Figure 2: Schéma Montrant La Voie Des Pluies Acides avec les réaction chimiques
7
CHAPITRE 2 : POLLUANTS DE L’AIR
III.2 OZONE(O 3 )
L’ozone n'est pas directement émis dans l'atmosphère mais se forme par réaction chimique à
partir d'autres polluants, en particulier les oxydes d'azote et les composés organiques volatils, sous
l'action des rayons UV du soleil [9].
NOx + COV = O3
Les NOx participent aux phénomènes des pluies acides, à la formation de l’ozone
troposphérique, dont ils sont l’un des précurseurs et à l’atteinte de la couche d’ozone
stratosphérique comme à l’effet de serre [10].
Les COV jouent un rôle majeur dans les mécanismes complexes de formation de l’ozone en
basse atmosphère (troposphère), participent à l’effet de serre et au processus de formation du trou
d’ozone dans la haute atmosphère (stratosphère) [10].
IV TRAITEMENT DE L’AIR :
La pollution atmosphérique constitue une grave menace pour la santé des êtres humains et
pour la préservation de la planète. Parmi les émissions les plus nuisibles, on trouve les oxydes
d’azote, les composés organiques volatils, les composés inorganiques, les aérosols et les odeurs,
entre autres. Les oxydes d’azote ne sont pas les uniques responsables de la pollution atmosphérique,
mais ils font partie des polluants les plus importants. Toutes ces émissions peuvent être traitées
correctement à travers un ensemble de techniques efficaces et compétitives. Parmi ces techniques,
on en trouve:
8
CHAPITRE 2 : POLLUANTS DE L’AIR
L’oxydation catalytique.
Récupération de NOx.
La réduction catalytique sélective (RCS) [12].
Le traitement par filtration au charbon actif est basé sur la capacité d'adsorption du charbon
actif pour éliminer les faibles concentrations de divers composés polluants.
Lors de la filtration sur charbon actif conventionnel, l'adsorption se produit dans le sens dans
lequel les molécules polluantes adhèrent aux particules de charbon. Lorsque le filtre est saturé, il
doit être remplacé ou régénéré (incinération ou régénération thermique) [12].
Photo-oxydation
L'oxydation thermique régénérative détruit les COV en les convertissant en CO2 et H2O. Le
processus se déroule dans une tour remplie de matériau céramique, (figure 3) où l'oxydation des
contaminants se produit à 750 C [12].
L'oxydation thermique récupérative est une technologie de traitement des COV qui nécessite
des coûts d'investissement inférieurs à la régénération, mais qui a des coûts d'exploitation plus
élevés en raison d'une plus grande consommation de carburant. Les températures de travail peuvent
monter jusqu'à 1450 °C. Etant donné que les gaz de procédé doivent être portés à une température
aussi élevée, les unités d'oxydation entraînent une consommation de carburant supplémentaire [12].
9
CHAPITRE 2 : POLLUANTS DE L’AIR
Oxydation catalytique
Récupération de NOx
O3 + H2O → 2OH· + O2
Transformation des oxydes d’azote (NO et NO2) en acide nitrique (HNO3) à travers la haute
réactivité de l’ozone et des radicaux hydroxyles :
NO + O3 → NO2 + O2
10
CHAPITRE 2 : POLLUANTS DE L’AIR
L’acide nitrique est absorbé dans un procédé de lavage des gaz à travers un absorbeur-
neutraliseur (scrubber) et neutralisé dans une solution alcaline de NaOH ou KOH, conduisant au sel
correspondant (NaNO3 ou KNO3) [12].
11
CHAPITRA 3 : ETUDE DESCRIPTIVE DE LA QUALITE DE L’AIR DANS LA VILLE
MARRAKECH
La ville de Marrakech (31° 37' Nord ; 8° 02' Ouest) est la quatrième plus grande ville et
première destination touristique au Maroc. Elle est située dans la plaine centrale du Haouz délimitée
par les montagnes du Haut Atlas au sud, la Province de Safi au nord, Chichaoua et Safi à l'est et El
Kelaa de Sraghna à l'ouest. La zone présente une topographie uniforme d'altitude modérée. Les
seuls reliefs sont formés par les collines de Gueliz et Koudiat Al Abid. L'altitude moyenne est
d’environ 465 mètres. Le climat est semi-aride, annuellement la température moyenne est de 22°C
avec des plages de -7°C et 46,6°C observés sur plusieurs années. La hauteur des précipitations
annuelles est estimée à 240 mm avec une répartition inégale (liée aux reliefs). L’humidité est de
73% en janvier et 33% en juillet et peut s’annuler au cours de ce mois lorsque les vents secs
soufflent. La ville connaît une expansion industrielle rapide et une croissance démographique due à
l'exode rural. L'économie de la région repose principalement sur l’agriculture, l’élevage, le
tourisme, l’artisanat et l'industrie composée principalement d'agro-industries [13].
Le tourisme joue un rôle principal dans la pollution d'air car lorsque les touristes arrivent à
Marrakech, le taux de travail des petits taxis et les véhicules en général augmente ce qui provoque à
la pollution d'air
le tourisme contribue pour 4 à 6 % des émissions de CO2 d’après une étude de l’ONU pour
l’étude poursuivie [14].
La ville Marrakech est connue par son trafic intense du parc auto avec des impacts négatifs
sur la qualité de l’air, et par conséquent sur la santé des populations notamment les personnes
vulnérables. La circulation automobile contribue principalement aux émissions de monoxyde de
12
CHAPITRA 3 : ETUDE DESCRIPTIVE DE LA QUALITE DE L’AIR DANS LA VILLE
MARRAKECH
carbone (CO), d’oxyde d’azote (NOx), d’hydrocarbure (HC), de plomb (Pb) et de dioxyde de soufre
(SO2).
Les NOx comprennent le dioxyde d’azote (NO2) et le monoxyde d’azote (NO); ces
précurseurs du smog1 photochimique proviennent principalement des processus de combustion
(industrie, transport, etc.); il est généralement admis que 70 à 75 % des émissions dans les zones
urbaines proviennent des véhicules. La figure (4) montre que la situation a évolué au cours de la
période d’étude 2009-2012. Dans les sites de Jamae lafnae directement touchés par les émissions
des véhicules et Mhamid touchés par le trafic de l’aéroport de Marrakech-Menara ; les niveaux
annuels ont augmenté depuis 2009 [13].
1
Mélange de fumée et de brouillard stagnant parfois au-dessus des concentrations urbaines
et industrielles.
13
CHAPITRA 3 : ETUDE DESCRIPTIVE DE LA QUALITE DE L’AIR DANS LA VILLE
MARRAKECH
La figure (5) représente l’évolution annuelle du SO2 ; les niveaux ont tendance à augmenter à la
ville Marrakech depuis 2009 dans tous les sites de mesure, mais ils demeurent relativement faibles
par rapport aux seuils réglementaires [13].
III.3 OZONE O 3
14
CHAPITRA 3 : ETUDE DESCRIPTIVE DE LA QUALITE DE L’AIR DANS LA VILLE
MARRAKECH
En raison de leur petite taille, les particules fines sont capables de pénétrer profondément
dans les voies respiratoires et atteindre les poumons. De courtes expositions peuvent causer de la
toux, une irritation et une inflammation. La moyenne annuelle (figure 7) montre des valeurs très
élevées sur tous les sites. La valeur limite pour la protection de la santé (50µg/m3) est largement
dépassée. Cette augmentation est associée au trafic routier et aux conditions météorologiques qui
empêchent la dispersion des particules sur l'ensemble des sites de mesure. Le site de Daoudiat
enregistre les plus fortes concentrations en particules [13].
IV INDICE ATMO-MAROC
L'Indice Atmo-Maroc est calculé à partir des concentrations de quatre polluants (NO2,
SO2, PS et O3) dans l'air ambiant mesurées en continu par des équipements automatisés :
15
CHAPITRA 3 : ETUDE DESCRIPTIVE DE LA QUALITE DE L’AIR DANS LA VILLE
MARRAKECH
Indice Qualité
1 Très] bien
2 Bon
3 Bon
4 Moyen
5 Moyen
6 Médiocre
7 Médiocre
8 Mauvais
9 Mauvais
10 Très mauvais
Figure 8 : Indices de la qualité de l’air en 2012 (a) jamae lafnae ; (b)Mhamid et (c) Daoudiat
[13]
16
CHAPITRA 3 : ETUDE DESCRIPTIVE DE LA QUALITE DE L’AIR DANS LA VILLE
MARRAKECH
En raison de la pandémie, toutes les activités évitables dans le pays ont été interdites depuis
que le royaume a annoncé le confinement général le 20 mars 2020. La plupart des transports étaient
interdits et presque toutes les activités humaines extérieures évitables ont cessé dans tout le pays.
Cette étude [17] vise à comparer l'état de la qualité de l'air, avant la pandémie et pendant le
confinement à Marrakech. L'objectif principal est de montrer si le confinement imposé par le
COVID-19 a sauvé des vies en limitant la pollution de l'air en plus de la prévention contre
l'infection. L’étude a été effectuée pendant la période du 16 février 2020 au 19 mars 2020 (avant
confinement) et la période du 20 mars 2020 au 20 avril 2020 (période de confinement), par
comparaison avec les résultats de même période des années 2016-2019. Les auteurs ont constaté
que le NO2, PM2,5 et CO ont chuté de respectivement − 7 μg/m3, − 14 μg/m3. Le CO a baissé de −
0,12 mg/m3 à Marrakech (Figure 9). Cette réduction de la pollution de l'air ne peut avoir que des
effets bénéfiques sur la santé humaine [17].
17
CHAPITRA 3 : ETUDE DESCRIPTIVE DE LA QUALITE DE L’AIR DANS LA VILLE
MARRAKECH
18
COCLUSION
CONCLUSION
En conclusion, La qualité de l’air peut être décrite comme étant généralement bonne pour
certains indicateurs de pollution (NO2 et SO2), mais demeure préoccupante pour PM10 et O3.
Les mesures de confinement liées au COVID-19 ont entraîné une réduction des niveaux de
concentration des polluants liés au trafic (NO2, PM2,5 et CO) et par la suite l'amélioration de la
qualité de l'air dans la ville de Marrakech. Cette situation sans précédent, peut également être due à
la réduction de la pollution transfrontalière en raison des mesures de confinement dans les pays
limitrophes.
L’application de la loi 12-03 et 13-03 relatives aux études d’impact sur et l’environnement
et la pollution atmosphérique et le décret du 28 janvier 1998 sur les gaz d’échappement des
véhicules.
Elaboration des schémas de circulation dans la ville de Marrakech.
Introduction des moyens de transport en commun plus propres (Tramway).
Stations fixes pour le suivi et l’évaluation de la qualité de l’air.
Aménagements d’espaces verts (absorption du CO2).
Actions d’aménagement du territoire (délocalisation de la gare routière et du Marché du
Gros…)
Installation des fours à gaz dans les unités de poterie de la ville [15].
19
REFERENCE BIBLIOGRAPHIE
[1] « Layers of Earth’s Atmosphere | Center for Science Education ».
https://scied.ucar.edu/learning-zone/atmosphere/layers-earths-atmosphere (consulté le 9 mai
2022).
[2] « Tout savoir sur la qualité de l’air - Respire ». https://www.respire-asso.org/tout-savoir-sur-
la-pollution-de-lair/ (consulté le 13 mai 2022).
[3] « La pollution de l’air, c’est quoi ? - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes ».
https://www.auvergne-rhone-alpes.developpement-durable.gouv.fr/la-pollution-de-l-air-c-est-
quoi-a11001.html (consulté le 13 mai 2022).
[4] « You searched for air clean - National Geographic Society ».
https://www.nationalgeographic.org/search/+/ (consulté le 13 mai 2022).
[5] « Définition | Air | Futura Sciences ». https://www.futura-
sciences.com/sciences/definitions/chimie-air-4452/ (consulté le 13 mai 2022).
[6] « Les sources de pollution | Bruxelles Environnement ».
https://environnement.brussels/thematiques/air-climat/qualite-de-lair/les-sources-de-pollution
(consulté le 13 mai 2022).
[7] « pano_20072008_5_Air_cle0d523c.pdf ». Consulté le: 13 mai 2022. [En ligne]. Disponible
sur: https://www.bretagne.developpement-
durable.gouv.fr/IMG/pdf/pano_20072008_5_Air_cle0d523c.pdf
[8] « Le dioxyde de soufre (SO2) - Atmo Réunion ». https://atmo-reunion.net/Le-dioxyde-de-
soufre-SO2 (consulté le 13 mai 2022).
[9] « L’ozone | Airparif ». https://www.airparif.asso.fr/lozone (consulté le 13 mai 2022).
[10] « Scal’Air - Polluants surveillés ». https://www.scalair.nc/l-air-en-
question/generalites/polluants (consulté le 13 mai 2022).
[11] « Sources et effets | ATMO Grand Est ». http://www.atmo-grandest.eu/air-exterieur-sources-
et-effets (consulté le 13 mai 2022).
[12] « Technologies pour le traitement de l’air | Condorchem Envitech ».
https://condorchem.com/fr/technologies-traitement-air/ (consulté le 13 mai 2022).
[13] M. Inchaouh1, M. Tahiri1 et B. E. J. R. Abboubi2, «STATE OF AMBIENT AIR QUALITY
IN MARRAKECH CITY (MOROCCO) OVER THE PERIOD 2009 – 2012,» International
Journal of GEOMATE,, vol. 12, pp. 99-106, 2017.
[14] M.TERHZAZ, A.ABDELLAOUI, A.BOUHAFID, V.NOLLET, J-C.DECHAUX et Jamal
OUARZAZI, «Etude descriptive de la mesure de polluants atmosphériques dans
Ilagglomération de Marrakech,» POLLUTION ATMOSPHERIQUE, n° %1177, pp. 137-151,
2003.
[15] M. A. H. e. A. Y. Ahmed BELASRI, «Extensio contemporaine de la ville de Marrakech et
dégradation de l'environnement cas de la qualité de l'air,» Article pollution de lair,
n° %1332594419, 2019.
21