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a. Introduction
La réduction de la consommation d'énergie rend aujourd'hui une nécessité
fortement demandé à cause de ses effets économiques, environnementale
et même naturelles. Dans ce domaine, d'une part, le secteur résidentiel en
Algérie consomme 33% de l'énergie finale et émet en moyenne 21% des gaz
à effet de serre donc il est considéré comme la deuxième source d'émission
de CO2 [3]. D'autre part, cette consommation augmentée d'une année à
l'autre, risquerait d'être inefficace sans la recherche d'une solution efficace
pour l'avenir des prochaines générations et l'orientation vers les énergies
renouvelables.
L'adaptation d'une politique énergétique qui prend en charge l'intégration
la réduction de la consommation d'énergie encore chère était la démarche
de plusieurs pays dans le monde entier depuis les années quatre-vingt-dix
comme celle de la fabrication des bâ timents à énergie positive ou de basse
consommation.
Le bâ timent à énergie positive c’est un bâ timent producteur d’énergie qui
dépasse le niveau de zéro énergie : il produit globalement plus d’énergie
qu’il n’en consomme.
Historiquement, les bâ timents à énergie positive peuvent être considérés
comme une extension du concept de bâ timents passifs qui à été développé
depuis les années 1970 et dont de nombreux bâ timents de démonstration
ont été construits autour du monde. Il existe de nombreux travaux de
modélisation énergétique dans le secteur résidentiel. Citons ici quelque des
études
b. Maison Hölken
En 1992, l'institut Fraunhofer de recherche solaire européen (ISE) a
entrepris
l'exploitation de la maison solaire autosuffisante de Fribourg (ISE, 2000);
ceci peut être considéré comme le premier bâ timent à énergie positive.
On est certain que cette maison solaire autonome expérimentale a été
construite à
Fribourg-en Brisgau (Allemagne) en 1992 d’une surface chauffée de 145
m², par l'institut
Fraunhofer de recherche solaire européen (ISE); ceci peut être considéré
comme le premier bâ timent à énergie positive (Voss et al. 1996). Cette
maison a été conçue selon une approche bioclimatique avec une façade
solaire composée de vitrages (coefficient de déperditions égal à 0,6 W.m-
2.K-1), d’isolants opaques (coefficient de déperditions inférieur à 0,2 W.m-
2.K-1) et d’isolants transparents associés à des protections solaires
intégrées (Figure II-2). Un échangeur de chaleur sur air vicié associé à un
échangeur air-sol permet de minimiser les besoins de
Maison ZEN
L'utilité de la maison ZEN (« Zero Energy Net »), située à Montagnole
(Savoie, France), est utilisée depuis début 2008 par son concepteur, Alain
Ricaud, et son entreprise [22]. D’une surface de 200 m², cette maison de
structure en bois massif (Figure II-3) a pour but d’atteindre le bilan
d’énergie positif, l’absence d’émission de CO2 et la reproductibilité. Conçue
selon les principes du bioclimatisme, elle est isolée par une couche de liège
expansée et est composée de larges fenêtres à triple vitrage peu émissif
avec lame argon et de protections solaires. Le chauffage ou le
rafraîchissement par l’air de ventilation est assurée par une pompe à
chaleur sur air extrait couplée à un échangeur air-sol. Une pompe à chaleur
air-eau produit, quant à elle, l’eau chaude sanitaire et un complément de
chauffage par les murs. L’ensemble de l’énergie consommée correspond à
de l’électricité, compensée par une toiture photovoltaïque de 13,5 kWc. En
matière de bilan, la production photovoltaïque prévisionnelle (12 000 kWh)
couvre en théorie largement la totalité des consommations, estimée à 9 000
kWh environ.
Lotissement Solarsiedlung
L’éminent architecte allemand Rolf Disch a conçu plusieurs projets selon le
concept bâ timent à énergie positive. C’est le cas notamment du lotissement
solaire Solarsiedlung de Fribourgen-Brisgau (Figure II-4), dont le projet a
démarré en 1997 et la construction s’est achevée milieu des années 2000.
Les 58 maisons à ossature bois offrent des surfaces habitables comprises
entre 75 m² à 270 m² et présentent des besoins de chauffage inférieurs à 15
kWh.m2 .an-1. Chaque maison est équipée d’une toiture photovoltaïque
(PV) d’une puissance crête de 3 à 10 kWc. La production électrique est
injectée sur le réseau public [23]. Un monitoring a été effectué sur 20
logements (Heinze et Voss 2009) et les résultats montrent un bilan
d’énergie primaire en moyenne très positif (+36 𝑘𝑊ℎ.𝑚−2.𝑎n−1). En énergie
finale, les postes du chauffage et de l’ECS représentent 25 𝑘𝑊ℎ.𝑚−2.𝑎−1, la
consommation d’électricité spécifique
- ventilation mécanique double flux avec récupération de chaleur à haute
efficacité ;
- électroménager à très faible consommation et utilisation appropriée par
les occupants ;
- présence d’un réseau de chaleur produite par un système de cogénération
à bois et gaz naturel.
Il est remarquable de constater que même si le bilan moyen est largement
positif pour les 20 logements, il existe quelques logements qui n’arrivent
pas à atteindre la condition de « zéro, énergie », notamment ceux avec un
ratio défavorable entre surface de PV et surface habitable (immeubles à
trois étages) et ceux situés à l’extrémité d’un immeuble (surfaces
déprédatives plus importantes). Le nombre d’occupants par logement peut
aussi être un des facteurs, explicatifs.
THEORIE
1. Cellule photovoltaïque.
La production de courant par des cellules photovoltaïques repose sur le
principe de l'effet photoélectrique. Ces cellules produisent du courant
continu à partir du rayonnement solaire. Ensuite l'utilisation de ce courant
continu diffère d'une installation à l'autre, selon le but de celle-ci. On
distingue principalement deux types d'utilisation, celui où l'installation
photovoltaïque est connectée à un réseau de distribution d'électricité et
celui où elle ne l'est pas.
2. Modules photovoltaïques
Article détaillé : Capteur solaire photovoltaïque.
Il existe plusieurs techniques de modules solaires photovoltaïques :
- Les modules solaires monocristallins possèdent le meilleur
rendement au mètre carré et sont essentiellement utilisés lorsque les
espaces sont restreints. Le coû t, plus élevé que celui d'autres
installations de même puissance, contrarie le développement de cette
technique ;
- Les modules solaires polycristallins ont actuellement le meilleur
rapport qualité/prix, c'est pourquoi ce sont les plus utilisés. Ils ont un
bon rendement et une bonne durée de vie (plus de 35 ans) ;
- Les modules solaires amorphes ont aussi des atouts car ils peuvent
être souples et ont une meilleure production par faible lumière.
Cependant, le silicium amorphe possède un rendement divisé par
deux par rapport à celui du cristallin, cette solution nécessite donc
une plus grande surface pour la même puissance installée. Toutefois,
le prix au mètre carré installé est plus faible que pour des panneaux
composés de cellules cristallines.
3. Caractère renouvelable
Selon le type de cellule photovoltaïque considéré, le caractère renouvelable
de cette énergie est discutable, car la fabrication des panneaux
photovoltaïques nécessite de l'énergie grise en quantité, dont l'origine est
actuellement essentiellement non renouvelable. En effet, les pays qui
produisent la quasi-totalité des panneaux photovoltaïques installés dans le
monde (Chine, É tats-Unis, Japon, Inde) ont tous des bilans énergétiques
dominés par les énergies non renouvelables ; ainsi de la Chine, qui produit
70 % des panneaux installés dans le monde en 20182 et tirait 90,8 % de son
énergie de sources non renouvelables en 20173.
DEVELOPPEMENT TECHNOLOGIQUE
1. Prévisibilité de la production
La production photovoltaïque peut être prévue avec une assez bonne
précision grâ ce à des modèles informatiques croisant les prévisions
météorologiques détaillées par régions avec la localisation des installations
photovoltaïques : en France, le modèle Préole de RTE effectue ces calculs à
partir des prévisions de Météo France à trois jours ; cela permet d'anticiper
les mesures d'adaptation à prendre pour compenser les variations de la
production photovoltaïque18.
2. Surface occupée
Selon un article de la revue Nature, il faudrait théoriquement l'équivalent
de la production d'une surface photovoltaïque de 100 000 km2 (soit la
superficie de l'Islande) pour couvrir la totalité des besoins mondiaux en
électricité19.
3. Photovoltaïque flottant
Dans les régions qui manquent de place pour leurs installations solaires, les
fermes photovoltaïques flottantes se développent, en particulier au Japon
qui concentre près de 80 % des fermes solaires flottantes en service en
2017. En Chine, une installation de 40 MWc a été mise en service en mai
2017 dans la région de Huainan. Ses 160 000 panneaux solaires couvrent
sur plus de 800 000 m2 un lac artificiel qui s'est formé à la suite de
l'abandon d’une ancienne mine de charbon ; l'eau, très polluée par la mine,
ne peut pas servir pour d'autres fonctions. Dans la même province, une
centrale de 150 MWc est en construction depuis juillet 2017. Une centrale
flottante d'une puissance de 330 MWc est en chantier en Australie et l'Inde
développe un projet d'une puissance de 648 MWc qui devrait recouvrir une
surface de 10 km2. Au sud de Strasbourg, la commune d'Illkirch-
Graffenstaden installe sur l'étang artificiel de Girlenhirsch une centrale
solaire qui alimentera plusieurs services municipaux ; sa production
annuelle de 40 000 kWh permettra de couvrir 35 % de la consommation
des installations municipales voisines ; mais des associations de protection
de l'environnement redoutent une déstabilisation de l'écosystème
aquatique.
Les avantages de tels panneaux sont la réduction de l'évaporation naturelle
et de l'échauffement de l’eau. Par rapport aux installations terrestres, le
photovoltaïque flottant évite par ailleurs la concurence de l'agriculture ou
de l'exploitation forestière sur des surfaces fertiles. Le centre d'une grande
étendue d'eau n'est jamais à l'ombre et dispose donc d'un ensoleillement
maximal. Surtout, la fraîcheur de l'eau permet d'éviter la surchauffe des
panneaux et leur rendement est dès lors nettement amélioré. En outre, la
technique permet d’orienter et d'incliner les panneaux de façon optimale
face au Soleil, ce qui est rarement le cas en toiture. Ces installations sont
également moins coû teuses que lorsqu'elles sont posées sur des toitures ou
des surfaces terrestres20.
4. Combrières photovoltaïques
Des panneaux solaires peuvent aussi être installés en couverture de
parking, formant des ombrières pour les véhicules. L’avantage de ces
petites centrales solaires est qu'elles n'entrent pas en conflit avec les
activités industrielles, commerciales ou agricoles. Par ailleurs, le sol étant
déjà bétonné, leur impact environnemental est quasi nul21.
Domaine de recherche
a. Cellule photovoltaïque : Prospective, recherche et développement.
La recherche est très active dans le domaine du solaire
photovoltaïque. Les prix diminuent constamment et les rendements
progressent. L'essentiel des progrès se fait au niveau des cellules. Il
existe aussi des innovations au niveau d'autres éléments qui peuvent
réduire le coû t global ou améliorer les fonctionnalités : amélioration
des onduleurs, des héliostats, intégration dans des éléments
standards de toitures (sous forme de tuiles par exemple), de vitrage
ou de façade, mécanismes anti-poussières automatiques, vitres des
panneaux solaires laissant mieux passer l'énergie solaire, PV à
concentration, trackers innovants, moules en carbone… Fin 2011, on
comptait au moins 70 solutions différentes d'intégration dans le
bâ ti105.
Le système peut synergiquement être associé à une pompe à chaleur,
avec amélioration des rendements respectifs. C'est ce qu'a montré
une expérimentation récente (ex. : +20 % de rendement dans les
conditions climatiques de Chambéry en Savoie). C'est un des moyens
(breveté en France sous le nom « Aedomia ») d'atteindre la "basse
consommation", voire le bâ timent à énergie positive ; la chaleur
accumulée par les panneaux photovoltaïques peut être récupérée
pour améliorer le rendement d'une pompe à chaleur, elle-même
alimentée par l'électricité produite. De plus le module photovoltaïque
produit plus d'électricité quand il est ainsi refroidi. Un stockage
intermédiaire de calories (ballon d'eau chaude) est nécessaire, car les
pompes à chaleur classiques s'arrêtent (sécurité) au-dessus de 40 °C
alors que l'air chauffé par le soleil peut atteindre 50 °C106.
Parmi les projets émergents figure un ballon/cerf-volant
photovoltaïque autonome dénommé « Zéphyr » revêtu de capteurs
solaires à couche mince CIGS (cuivre-iridium-gallium-silicium) (prix
Artscience en 2014 - thématique était les énergies du futur) facile à
déployer dans des lieux isolés pour réponde à des besoins
humanitaires, provisoire ou de crise via un câ ble d'accrochage au sol,
permettant aussi de transporter le courant vers des batteries. Il est
gonflé par de l'Hydrogène produit sur place par électrolyse d'eau, au
moyen des panneaux. Le prototype de 3,80 mètres de diamètre
devrait produire 3 kW, assez pour remplacer un groupe électrogène
classique107.
Si la limite théorique d'une cellule solaire comprenant une seule
jonction p-n est de 30 % environ, les scientifiques du National
Renewable Energy Laboratory ont produit une cellule solaire à six
jonctions, combinant en sandwich plusieurs couches de matériaux
ajustées avec précision pour convertir différentes portions du spectre
lumineux en électricité et atteint ainsi un rendement de 47 %. En
ajoutant un miroir pour concentrer la lumière en un point, le
rendement augmente jusqu'à près de 50 % et le nombre de cellules
nécessaires est réduit108.
Sécurité incendie : S'il existe des normes sur les circuits électriques et
onduleurs, depuis leur apparition, les prescriptions techniques
d'installation et d'utilisation des panneaux solaires sont fournies par
les industriels. Il n'existe pas de normes européennes ou nationales
spécifiques au photovoltaïque. Le ministère chargé de l'É cologie a
commandé une étude à l'INERIS et au CSTB pour évaluer les risques
d'incendies et le comportement au feu des panneaux photovoltaïques.
Cette étude a été suivie d'un groupe de travail associant notamment
la direction de la Sécurité civile112.
En laboratoire, des essais et tests d'inflammabilité et de dégagement
éventuel de gaz ou fumées toxiques ont été réalisés sur des
échantillons de panneaux à cellules amorphes (panneau collé sur une
membrane d'étanchéité) et sur des panneaux à base de cellules en
tellurure de cadmium insérées entre deux couches de verre. Les
analyses ont montré que les impacts toxiques des émissions de
fumées ou de vapeur de cadmium sont négligeables112.
En conditions réelles de bâ timents industriels, des tests ont étudié la
propagation des flammes sur une toiture certifiée BROOF (t3), avec
panneau seul et panneau sur étanchéité en bitume, avec pente de
toiture faible, et présence d'un isolant en dessous du panneau. Les
panneaux se sont montrés « très résistants, même en présence d'une
étanchéité combustible ». Le panneau seul n'a pas ou peu contribué à
propager le feu (seul le support brû lait), sur une toiture d'entrepô t,
l'étanchéité (bitume) a peu contribué à propager le feu. Dans les deux
cas, le courant a continué à circuler, malgré la destruction des
éléments. En conditions de toiture type entrepô t, la puissance
électrique délivrée reste à un niveau relativement important, mais
des variations de puissance sont induites par la destruction d'une
partie des panneaux et la présence de fumées. En conditions réelles
de maison d'habitation (maquettes de maison avec ou sans panneaux
photovoltaïques sur combles), le panneau semble jouer un rô le
isolant qui se traduit par une augmentation plus rapide des
températures observées sous la toiture dans les combles durant le feu
; les températures critiques sont atteintes environ 5 minutes plus tô t
que sans panneaux (« températures atteintes au bout de 11 minutes
contre 6 pour un incendie avec panneau » lors de cet essai où les
matériaux d'étanchéité utilisés étaient combustibles. L'Ineris
recommande que les recommandations sur la sécurité incendie ne
concernent pas seulement le panneau photovoltaïque lui-même mais
tout le dispositif d'accueil du panneau en toiture112.
Le Centre scientifique et technique du bâ timent (CSTB) et l'Institut
national de l'environnement industriel et des risques (INERIS) ont
conclu que les systèmes photovoltaïques composés de modules
standards sur cadres métalliques ou matériaux peu inflammables
(classé au plus B-s3, d0 ou M1) et non déformables, ne contribuent
que faiblement au développement du feu, et répondent aux exigences
réglementaires du bâ timent. Quand les panneaux sont directement
intégrés dans le bâ ti, le CSTB recommande, pour limiter le risque de
court-circuit électrique et d'incendie induit, d'éviter tout contact
direct des panneaux avec une structure ou un écran facilement
inflammable. Les installations sur façade accrochées sur un mur de
béton ou sur un bardage métallique en acier ne présentent pas de
danger en situation d'incendie, à condition d'éviter un effet cheminée
au dos des systèmes (comme pour n'importe quel bardage). Diverses
recommandations ont été publiées, dont pour les « interventions
pompier »113.
Afin d'améliorer la sécurité électrique des installations (37 % des
installations étant non conformes en 2009, 72 % pour risque
d'électrocution et 28 % pour risque d'incendie), le ministère de
l'É cologie, du Développement durable, des Transports et du
Logement a modifié le décret du 14 décembre 1972 afin d'étendre
l'attestation de conformité aux centrales photovoltaïques.
Parcs au sol et concurrence d'usage : L'installation de parcs
photovoltaïques au sol entraîne une concurrence d'usage de la terre
entre la production d'énergie et la production agricole par exemple.
Néanmoins, leur installation peut avoir des avantages comme la
valorisation des sols artificialisés ou pollués et entraîner des
économies d'échelle en comparaison des panneaux solaires posés sur
les toits.
Plusieurs associations et organisations intervenant dans les domaines
de l'énergie et de la protection de l'environnement proposent cinq
recommandations à considérer pour tout projet de création de parc
photovoltaïque au sol114 :
- le parc photovoltaïque doit s'inscrire dans une politique de territoire ;
- tout projet de parc photovoltaïque doit avoir fait l'objet d'études sur
l'usage des sols et leur artificialisation ;
- la préservation de la biodiversité doit faire l'objet d'une considération
particulière ;
- la multifonctionnalité doit être favorisée ;
- la réversibilité doit être recherchée.
Schéma installation
Schéma installation
CONCLUSION
Compte tenu des données techniques et économiques présentées ci-dessus,
on peut espérer que le photovoltaïque participera d’une façon significative
à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Concernant les filières technologiques pour la production des panneaux
photovoltaïques répondant à cette forte demande, plusieurs pistes sont
envisagées :
Concernant le marché photovoltaïque, tous les feux sont au vert avec une
production d’électricité et des capacités installées en forte croissance ainsi
que des prix en baisse continue (le coû t du solaire PV a diminué de près de
80 % en quelques années). Ces indicateurs sont les témoins d’un
développement massif de cette source d’énergie dans le portfolio des
usages. Il faudra cependant se pencher sérieusement sur les possibilités de
stockage de cette source d’énergie intermittente pour permettre un plus
large déploiement.
BLIOGRAPHIE
energie-solaire-pour-produire-de-l-electricite
http://panneausolaire.free.fr/fabrication_fonctionnement.php
plusieurs fois :
http://tpesp.free.fr/effetphotovoltaique/fonctionnement/fonctionne
ment.html
photovoltaique-toulouse