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Chapitre 1 

: le mirage de la JS : mise en cause de cette notion

Idee selon la perte d’une situation habituelle est une injustice.


Paragraphe 53 : chacun dans un ordre de marche, bénéficie des avantages non mérites donc
accepte
Puisqu’on peut gagner sans l’avoir mérité il faut accepter de perdre dans mérite. Pas une
question de cmb de mal je me donne ou temps que je me donne. La reussite dépend de la
trouver ce qui sert le mieux aux autres pas le mérite mais la capacité pas de servir o mieux les
interet des autres.
Exemple : Qu’avons-nous fait pour mériter la technologie d’aujourd’hui ? or ce qui a permis
ca, c’est que ceux qui ont permis de faire bénéficier
En contestant ceux qui n’arrive pas à mettre
La société ne doit rien à personne, pcq elle n’est pas une personne a part en tiere, mais une
structure interpersonnelle qui permet a chacun d’éventuellement de trouver par son activite a
servir l’intérêt collectif. On n’a pas a demader un revenus qui serait merite, car les prix que
nous obtenons sont ds signaux de si oui ou non on doit continuer. Les prix ne sont pas la pour
reconnaitre un mérite, si on a travaillé bcp, ou bien fait.
55 : si on refuse les pertes pour la raison qu’elle sont du au hasar, il faut accepter de perdre les
gain. La roue tourne, il faut accepter que certains change de statut en acceptant
Si on bloque les prix (en empêchant le feed-back négatif), cela signifierait que l’on empêche
l’adaptation de la production. Cela signifie que tout serait planifié, et qu’il n’y aurait plus du
tout dans une liberté.
Protéger une situation acquise, reviendrait à bloquer la dynamique d’adaptation à
cataclacsie : idee d’une système autoreguler
Logement en abondance :
56 : Tout le monde ne revendique pas la production de ces prix. Les autres parce qu’ils ne
disent rien il ne faut rien leur donner. Ce n’est pas accorder ces droits qui est juste mais ne pas
les accorder qui serait injuste. Il y a une inversion de l’idee de justice des interet fortement
organise (structure de revendication, des lobby) reussissent souvenet a faire passer leurs
interet comme leur propre interet
57 : Etre nombreux à revendiquer ne vous rend pas legitime, mais nous rende une force pour
que ca passe. En Belgique, on avait bloqué le prix du lait (deconnection du prix par rapport à
la demande), force de mobilisation et bloquer toutes les infracstructures. L’interet general de
tous, etant que l’ensemble puisse s’adapter. A notre époque, certains on parler de notre ere,
comme la didacture des minorité.
58 : Conclusion : recapitulation
Il fait un pas en arrière, il dit qu’il n’y a pas moyen de le prouver que c’est vide de sens.
Assertion : une affirmation. Assertion négative : la justice sociale n’a pas de sens. Il dit que
c’est très compliqué de prouver qqch de négatif.
Généralement, on utilise « justice sociale », comme un simple slogan, parce-que on ne se met
pas d’accord sur le contenu  il faut savoir ce que ça signifie, peut-être que lui n’arrivera pas
à prouver que la « justice sociale » n’a pas de sens, mais que ce sera alors à nous de le
prouver.
Dans une société d’homme libre, on ne peut pas considérer qu’il puisse y avoir une autorité
qui puisse redonner selon le mérite.
La vacuité = le fait que ça soit vide, notion vide. « De mauvais alois » : utiliser pour la
monnaie = fausse monnaie, pas un bon alliage.  La notion de justice sociale fait penser à la
fausse monnaie. ??
L’acuité du jugement = la finesse, la précision, qu’on est rigoureux dans le jugement. 
Plutôt qu’utiliser un simple slogan, qui est vide de sens, (c’est souvent un alibi pour défendre
ces intérêts et non la justice) Etre rigoureux : on se met d’accord sur ce que ca signifie, sinon
il faut abandonner cette notion.
L’usage de la notion de JS aboutit au fait que certains disent que comme celle-ci n’a pas de
sens, c’est la justice qui n’a pas de sens. Et si on utilise cette notion d’une mauvaise façon, on
peut arriver à un abandon de l’idéal de la justice, alors que la justice à un sens pour Hayek
mais non la notion de « justice sociale ».
L’idée de justice est fondamentale dans une société libre (principe d’Egalite, être traité de la
même façon). Il ne s’agirait pas, parce qu’on a critiqué cette JS, on en vienne a douter de cet
ideal de justice.
Le système moral dans une société libre, doit permettre au système social d’être efficace. Or,
il ne faudrait pas adopter des règles, suite à des revendications faites sur les JS. L’Etat n’est
pas là pour subsidier des choses plus viables, qui n’intéressent plus personne. Inverse de
l’idéal pour Hayek serait de transformer l’ordre social comme un musée (qqch figé) en
permettant des revendications constantes. Si on transforme l’ordre social en musée, il
s’effondre !
« Révérer la sainteté » : Etant donné que certaines personnes sont réputées, considérées
comme de grandes personnes et qui utilisent cette notion de JS, on pense que ça a du sens, que
c’est vers ça qu’on doit aller.
Exemple : Marx a été révérer comme un saint alors qu’il est responsable de la ruine de
l’URSS. On peut très bien être tellement admiratif par rapport à des personnes qu’on révère,
qu’ils peuvent être responsables de notre ruine.
Revendiquer la JS : ça en revient à revendiquer une morale non viable, rend une justice
inefficace, mais également cache ???
Critiques du texte de HAYEK
Remarque de méthode : en philo, il y a deux grands types de critiques, deux gdes manière
d’aborder une critique de pensées, à savoir :
- La critique interne : consiste à suivre la pensée, l’argumentation, les démonstrations
et a vérifier leur cohérence (voir si ça tient ensemble) avec l’idée qu’on va suivre, sans
contester mais seulement si ça tient en sens.
Exemple : quand il pleut le trottoir est mouillé : or le trottoir est mouillé donc il pleut.
On peut le critiquer de manière interne : on va entrer dans le raisonnement et
seulement voir si c’est logique. Ce n’est pas forcement parce que le trottoir est
mouillé, qu’il pleut  on peut avoir lancé un seau d’eau, un chien peut avoir uriner…
ça ne tient pas, ce n’est pas cohérent.

- La critique externe : ne va pas seulement vérifier la cohérence, mais va mettre en


avant la réalité. Elle ne se contente pas de contester la cohérence, mais va vérifier si
chaque proposition correspond à la réalité, à l’extérieur de la pensée.

Exemple : « Tout ce qui est rare est cher, or un cheval à 5 euros c’est rare, donc un
cheval à 5 euros est cher ». Critique interne : ce n’est pas critiquable au niveau interne
 c’est logique, c’est cohérent. Critique externe : Tout ce qui est rare est cher, ce
n’est pas vrai. Il y a un tas de choses qui est rare mais pas cher. Pas une description
fidèle du réel.

Critique interne : debut du texte : définition de la JS. Il a lui-même reconnu que ce netait quun
conception de la JS. Pourquoi n’examine-t’il pas les autres définitions autre que MILS. Il
n’a pas pas fait sa démonstration sur le fait que la JS serait d’éviter l’exclusion sociale.
Critique externe : une des idées qui revient à travers tout le texte (6) : idée qu’il ne peut pas
avoir d’injustice s’il n’y a pas d’auteur à l’injustice  pas d’auteur identifiable puisque c’est
la société.  Confusion de notions : en disant ça, il confond la justice et la culpabilité. On
peut dire qu’il ne peut pas avoir de culpabilité sans coupable par contre on peut très bien
envisager des situations d’injustice sans qu’il y ait de coupable. Il confond la justice et la
culpabilité. Exemple : la catastrophe naturelle : anthropomorphisme : personnifier la nature.
Il disait que ce n’est ni bien ni mal.
Exemples : des situations ou il n’y a pas vraiment d’auteurs : le réchauffement climatique =
effet de système : difficile de dire que c’est quelqu’un ou un groupe qui serait coupable de
cet effet, pourtant c’est bien quelque chose qui peut être cataloguer comme négatif pour la
collectivité. Il peut y avoir des effets de système moralement acceptable ans qu’il y ait
d’auteurs.
Augmentation des prix de logement dans les centres villes= gentrification : effet d’exclusion
de certaines catégories de la population, mais peut-on dire que c’est autre chose qu’un effet
de système  non. Le résultat est de l’ordre du mal = injuste, mais pas de coupable.
Il y a des effets collectifs qui sont dominants

Paragraphe 11

Critique interne : Elément par contamination : les dictatures mettent en avant les JS. Quand on
a une dictature , il y a des luttes pour la JS, donc si on lutte pour la JS, c’est qu’on est déjà
dans la dictatures  pas cohérent, c’est une contamination. Si on était pas dans une
implication (la dictature implique la JS°, mais dans une égalité (la didacture est une JS) alors
ce serait cohérent.
CE : 9 : dramatisation « toutes intervention socialiste aboutit à une société où le contrôle est
intégral » : en tenant compte de l’histoire, il y a des régimes socialistes qui n’ont pas abouti à
des contrôles totalitaires.

Paragraphe 20 et 28 :

Il parle de jeu économique : le marché est un jeu ou chaque operateur reçoit des infos via le
prix le prix est un signal à la fois CI et CE : imaginons que ce soit vrai : dans un jeu si
c’est toujours les mêmes qui perdent, on a envie d’arrêter de jouer. Si le marché est un jeu,
cela signifie qu’on a l’éternité pour juger les chances de chacun  le jeu est vu comme s’il
était en dehors du monde.
Et dire : de toute façon ce n’est qu’un jeu : dire ça à qqun qui perd systématiquement : le fait
que nous n’arrivons même plus à vivre avec ce que nous gagnons  = c’est un peu court pour
les personnes qui perdent, qui changent complètement leur vie  vécu comme un échec,
comme qqch qu’on ne pourra pas forcement surmonter  vision désincarnée. J’ai tout perdu,
je vais tout recommencé » : ce n’est pas comme cela que fonctionne les hommes. C’est une
vision systémique : circulaire, plus que mécanique comme si la société était un ensemble
d’information, un ensemble de rouages= Un PC.

Hayek tombe sous sa propre critique : argument par rétorsion, on lui retourne son propre
argument  critique à la fois externe et interne  h commet une forme
d’anthropomorphisme : il a dit que seul un être doué de raison pouvait être à l’origine du mal :
faire comme si un être semblable à l’homme pouvait causer le mal, or on a vu que le mal ou
l’injustice peut être un effet de société

Paragraphe : « égalité »

Derrière la réussite, il y a d’abord la chance. Il insiste tellement sur la chance et le fait que
personne n’est responsable du sort de chacun (c’est pas grâce à vous, que vous réussissez, ou
à cause de quelqu’un que vous perdez) – insiste sur la chance, pas vraiment lié aux mérites
ça ressemble plus à une crainte non avouée de la jalousie, crainte de contester l’ordre (= si je
n’ai pas les bonnes cartes c’est parce que ce sont les autres qui ont eu les bonnes cartes -> or
ça va créer des contestation  H. dit que la distribution des cartes est aléatoire  il défend le
fatalisme). Pourquoi? Pour H. ce qui est important c’est que chacun se dise que s’il est à un
endroit, il ne peut le reprocher à personne  c’est une question de chance. Pas pour ceux qui
ratent  démonstration qui vise à faire accepter son sort à chacun, pcq si on rate on ne se
rebelle pas et se dire « c’est comme ça» c’est le fatalisme : garder le système tel quel et que
chacun garde sa place.

Assurer l’égalité complète : société totalement égalitaire en résultat, pourrait difficilement


échapper au totalitarisme. Par contre, est-ce que pour autant toute rectification, modification
des abus, des excès de la liberté, est ce que c’est forcément totalitaire. Il prétend tirer une
conclusion qui va au-delà de son argument.

Paragraphe : fin
L’effort est parfois déçu  on ne peut pas le contester, pas de critique interne. Mais est-ce
que pour autant pcq l’effort est déçu (Ex : on travaille énormément pour un résultat et on y
arrive), on peut faire obligation aux autres de récompenser cet effort ? Il est vrai que certains
revendiquent ça comme les agriculteurs (on devrait pouvoir me garantir de pouvoir en vivre).
Dans ces revendications, ce qui compte plus c’est la force et non la raison  sorte de menace
sourde  Est-ce que pour autant parce qu’il y a des abus pour obtenir des avantages, est ce
que toutes les revendications doivent être considérer comme ça ? Comment on peut organiser
une revendication sans utiliser des tiers pour faire pression sur celui qui être notre
interlocuteur. Pour H, ces personnes sont de véritables victimes, et donc il y a vraiment des
coupables.
L’intérêt d’Hayek est d’obliger ses critiques à aller plus loin qu’un slogan, a aller plus loin
que de simple évidence. Il n’est pas évident de définir la JS, la JS n’est pas évidente, il faut
encore lui trouver une certaine légitimité surtout si on espère lui fonder une action politique
 c’est un défi  il a pas démontré que ça n’avait pas de sens, il n’a pas réussi à détruire
cette notion de JS mais il est parvenu à démontré que cette notion n’était pas encore clair =
aspect positif du texte.

Chapitre 2 : Justice sociale et charité

On va s’intéresser à un fondement religieux.


C’est la tradition chrétienne, qui veut « la charité est le moyen du salut »  Pourquoi faut-il
se soucier des autres, pourquoi faut-il agir de façon à donner à chacun ce dont il a besoin,
assurer une JS et bien pour garantir son salut  motivation individuelle, pas qqch de social.
Résumé trois textes pour comprendre, le second chapitre
Le 1er texte : « Le jeune homme riche » : jeune homme qui vient voir jésus et qui demande :
maitre que je doive faire pour avoir la vie éternel  jésus lui dit de respecter les 10
commandements  Jesus dit qu’il lui manque autre chose, c’est le 11ème commandement : il
lui dit de tout donner aux autres et de le suivre  = le chemin du salut : par la charité on se
garantit la vie éternelle. Le jeune homme ne vend rien du tout et il s’en va  il a peur de
devenir comme ceux à qui il va tout donner.
Le 2ème texte : texte qui répond à la crainte du jeune homme riche : «  les oiseaux du ciel  » :
qqun a peur de la pauvreté et en fait état à jésus. Il ne faut pas se soucier de demain ; de
manquer, dieu veillera à votre subsistance. Dieu veille même sur les oiseaux, alors il veillera
sur vous.
Le 3ème texte : on peut être tenter de garder ce que l’on a, parce qu’on estime qu’on l’a mérité.
On ne va donc pas donner notre argent : c’est l’orgueil, ce que j’ai, je l’i mérité les autres
n’ont rien fait. Ce sont les deux causes de l’attachement à la richesse  Qu’as-tu que tu n’as
pas reçu : que tu l’ais reçu par héritage, par des talents, efforts - Tout ça est dû parce que tu
l’as reçu par ton éducation… et si tu l’as reçu pourquoi t’en glorifies-tu ? Vision encore plus
catégorique, radical que Hayek : car H. dit qu’il y a encore un effet par rapport aux cartes
qu’on a joué.
 Vision qui a guidé des millions de croyants depuis des millions d’années.
La charité n’est qu’un mobile d’action, ne peut justifier l’action que dans le cadre d’une
vision eschatologique (= la croyance en un destin éternel, un destin après la mort) de la vie. Si
on ne croit pas en un destin après la mort, alors il n’y a pas d’intérêt à faire ça. On ne peut pas
dire que nos sociétés partagent cette vision. Autrement dit ça a pu justifier des actions pendant
des siècles, la charité a été un sens donné à une forme de justice sociale, mais on peut
difficilement prétendre qu’il s’agisse encore aujourd’hui d’un fondement.
C’est encore un mobile, mais c’est moins fréquent.
Exemple : dans l’islam, une des actions c’est de donner  mais difficile de croire que ça
pourrait être un mobile d’action collectif politique qui pourrait être accepté.

Théorie de la justice et droit à l’aide social. Il est le réceptacle de deux théories :


 Théorie du contrat social : qui permet de justifier les redistributions : on est tous égaux
et on se s’est mis d’accord qu’il faut aider ceux qui sont dans le besoin
 Théorie de la dignité humaine : chacun serait dépositaire de dignité : assuré une dignité,
une position… une sorte de justice sociale.

Chapitre 3 : La justice social : entre contrat social et dignité humaine

Texte de François Ost : auteur contemporain vivant, professeur de St-Louis : orientation


droilomiste, militant fervant des droits fondamentaux, selon lui on peut considérer que la lutte
de la JS. Il s’appuie sur un auteur : John Roos : université Harvard, considéré comme l’un des
plus gd philosophe politique du 20 ème siècle qui a écrit : théorie de la justice. Dans cet
ouvrage, il actualise les idées de Rousseaux (18ème) en mettant ces idées à l’époque
d’aujourd’hui. Son ambition était de dépasser l’utilitarisme : doctrine morale, qui prescrit
d’agir de façon à maximiser le bien-être du plus grand nombre. John Stuart Milss est l’un des
paires de l’utilitarisme. Roos veut dépasser cet utilitarisme dans tout le monde anglo-saxon 
toute la société sur deux principes
 Principe de liberté : dans une société juste, il faut un droit a des libertes de base (= liberté
d’expression, d’association, de conviction, d’opinions, de propriété…)  garantir un
nombre maximal de liberté fondamentale.
 Principe de différence : est composés de deux sous-principes :

- Les inégalités entre individus doivent être ie dans une société juste, a des positions
ouvertes à tous : dans une société juste, s’il y a des inégalités entre des individus, tout le
monde doit pouvoir occuper n’importe quel poste dans la société  Même idée qu’Hayek :
s’il y a des inégalités, dans la mesure où tout le monde peut occuper la même position. Pas
accepter des différences, liés à des postes pas ouverts à tous.
- Les inégalités dans une société juste doivent être au plus grand avantage des désavantagés
= « le Maximin » : il faut maximiser le minimum de ceux qui ont le moins dans la société,
il faut maximiser les positions les plus bases dans la société. Il vaut mieux une société où il
a des inégalités mais où les classes les plus basses soient mieux, qu’une société où tout le
monde est égalitaire, où tout le monde est mal. Il est question d’un choix. Un critère de
justice est d’assurer
Les deux principes sont (classés par ordre lexico-graphique : il est pas question de faire
passer le deuxième avant le premier) : il n’est pas question de négocier une amélioration du
deuxième en sacrifiant le premier principe
Francois Ost expose sa propre pensée, mais également celle de Roos.
Différence avec Hayek, c’est qui expose ses idées face à ses adversaires. Ici, c’est un
auteur qui dvp la théorie d’un auteur dont il est proche et il prolonge le mouvement en
allant plus loin qui lui est propre.

Substantialiste : on dit qu’une théorie est substantialiste quand elle postule l’existence de
principe permanent valables malgré les changements de contexte. = Elle nous dira qu’il
existe des principes de justice, valable dans 100 ans.
Utilitarisme : est-ce que le but est garanti par l’action, si ça maximise alors c’est juste
Déontologique : lié à des devoirs, on n’est pas dans nos devoirs. ON parle de déontologie
lorsqu’on affirme que chaque action doit être jugée selon sa conformités à certain devoir.
Ex : un médecin déontologiquement n’est pas censé donné des informations relatives à un
patient à d’autres patients. C’est se demander ce qui est juste dans ma situation.
Theléologique : pas à connaître, s’oppose à déontologie : « vers l’bjectif » ce qui affirme que
les actions… est-ce que le mensonge peut être justifiée ?
Résumé du texte :
1 : dans son ouvrage, ce qu’il propose ce sont des principes de base qui permettraient de
fonder une société juste, et transposables dans n’importe quel contexte, situation.
On est dans le déontologique. Ce qui compte c’est d’avoir des structures juste, peut importe le
résultat  en opposition à l’utilitarisme.

2 : Intuitionnisme : pas connaître= théorie affirmant que les connaissances reposent sur la
perception immédiate de certaines vérités et non pas sur la construction rationnelle  on peut
se fonder sur le sens commun, ce que tout le monde à en tête, voit comme évident.
Le point de départ de la théorie, c’est la dignité humaine :
cela permet de considérer qu’une société juste, est basée sur le contrat : les hommes étant
egaux en dignité en droits.
L’utlitarisme est une forme de téléologie : qui juge en fonction des résultats, or lui il dit que le
juste prévaut avant le bien. Le bien-être vient après ce qui est juste. Il veut également dépasser
l’intuitionnisme. Selon lui, les principes de justice, ne sont pas intuitif, on peut les réfléchir,
les raisonnées, ce ne sont pas des vérités immédiates  des personnes qui pourraient discuter,
argumenter pourraient formuler les principes de justice  contraire de vérités immédiates.
Fongibilité : pas retenir : idée de fondre, caractéristique qui peut être remplacée par une autre
chose de même nature.
Exemples de réalités fongibles : on a commandé une tonne de charbon = chose fongible.
Imaginons qu’on renverse de l’eau sur charbon  est inutilisable. Pouvons-nous le
remplacer ? Oui  le charbon on peut le remplacer par qqch d’identique. = choses de genre.
Il en existe des tas d’autres. S’oppose aux choses d’espèces  exemple : un tableau de
Magritte.
L’objectif de l’utilitarisme implique une fongibilité : Le problème de l’utilitarisme, est que les
individus peuvent être sacrifié à partir du moment où le groupe sera heureux  renouer avec
des situations de sacrifices. Exemple : bruler des juifs pour que la société aille mieux.
Idée qu’un plaisir vaut un autre : s’il y a un plaisir pour l’un est équivalent à un autre plaisir.
C’est inacceptable pour Roos, car si le plaisir d’un criminel est d’étrangle une personne est
équivalent au plaisir d’un père de s’occuper de son enfant par exemple.
L’intuitionnisme s’accorde à dire que : …
5 : « L’impératif catégorique » chez Kaent : pas retenir : ce qui doit être fait, sans autre
choix  injonction morale, un principe moral correspondant à qqch qui doit être fait
inconditionnellement. Exemples : « tu ne peux mentir » : il n’y a pas d’exception, il faut
toujours considère autrui aussi comme une fin (comme l’objectif) et jamais seulement comme
un moyen : exemple : on connait quelqu’un qui a un poste important, et on a un fils qui
cherche un boulot. Si on est gentil avec lui seulement pour que notre fils ait le job alors on ne
respecte pas l’impératif catégorique, car on le considère seulement comme un moyen.
Kaent, est quelqu’un qui n’a pas une moralité pour les personnes d’aujourd’hui, il a une
morale pour les anges.
Etre dans la continuité de kaent mais dans une réalité actuelle.
La justice procédurale pure : pas retenir : aussi chez Kent qu’on trouve ça, mais aussi chez
Rools : Il n’existe pas de critère indépendant pour déterminer un résultat correct, c’est la
procédure et son respect qui permet d’assurer que son résultat est équitable. Exemple : On
joue au Lotto, est-ce qu’on peut déterminer qui doit gagner ? Non. Une fois qu’on aura tiré les
boules, en appliquant la procédure, alors le résultat sera juste, en exécutant la procédure. 
respect total de la procédure

6 : Rawls propose de formuler des principes que des personnes raisonnables pourraient
formuler après une négociation. Imaginons que des personnes se rassemblent dans une pièce
et devaient négocier des règles pour que la société soit juste.
7 : L’optimal de Pareto : connaître, se définit comme étant un état dans lequel on ne peut pas
améliorer le bien-être d’un individu sans détériorer celui d’au moins un autre. A quoi cela
sert ? ça permet de définir un état social, considéré comme ne pouvant pas être uniformément
amélioré. Il est impossible de faire en sorte que tout le monde soit mieux après.  Cette
situation-là ne peut pas être amélioré uniformément, pour tout le monde. Si on améliore une
situation pour l’un, on abîme la situation de l’autre. On augmente la qualité de l’un et on nuit
à la situation de l’autre.
7 : Le voile d’ignorance de chez Rawls : pour discuter rationnellement, il ne faut pas qu’on
sache la place qu’on va avoir plus tard dans la société.
C’est invraisemblable : on n’a pas de passion, sans envie… on est moins qu’un homme.

Rappel :
Cmt peut-on donner une justification a la JS. Hayek= slogan, pour justifier des mécanismes
qui abouterait a une forme de totalitarisme= donner pouvoir a des instance politiques a des
individus.
Ces théories ont été critiquées : voix qui tiennent a la religion. Le salut vient par le fait qu’on
se souci des autres  par la charité on se garantit une vie éternelle Par contre si on ne croit
pas à cette théorie, alors elle n’a pas de sens.
Mécanisme de redistribution = idée de contrat  John Rolls
A comme idée de fonder une société juste : C’est possible si on place une personne dans une
situation raisonnable ensemble, qui doivent discuter sans savoir ce qu’ils vont faire plus tard.
Ils ne sont pas parcourus de passion, ni de jalousie... mais simplement des êtres voulant
aboutir à des principes.
JR = utilitarisme.
Kant : opposé de JR- il faut faire les choses du moment qu’elles sont justes  différent de
l’utilitarisme  On ne peut pas traiter l’autre comme un moyen, pour une fin, peu importe les
conséquences on ne peut jamais mentir  Foncien
Paragraphe 8 : Place les gens sous le voile d’ignorance : nul n’est informer de la position
qu’il aura plus tard : Exemple : négocier des principes de justice : si on est une femme pas
riche  l’itaxer les haut revenus et les hommes  pas bon, il faut pas imaginer ce qu’on sera
plus tard, ce qui permet de veiller à l’intérêt de tout le monde. Si on savait ce qui se passera
plus tard, on négocierait pour notre avantage. Difficile, car ce sont toujours des négociations
pour lesquelles on sait quelle place on occupe.
Pour trouver les principes d’une société juste (Ex :élaborer la constitution), il faut pas qu’on
sache qui on sera plus tard, par contre si on va dans des normes plus particulières, on doit
avoir plus d’informations (savoir qui est qui) Plus on est dans des règles générales = voile de
transparence total, si on doit choisir des règles plus spécifiques = le voile de transparence ne
doit pas être total (Ex : Règles pour construire une usine : on doit savoir si c’est pour une
usine sou). En ce qui nous concerne, on doit rester dans un voile de transparence total, car on
doit élaborer des règles sur une
Garantir l’intérêt de chacun : Faire comme si, on pourrait être le plus mal lotis  essayer de
ne nuire à personne
Paragraphe 9 : les principes auxquels il va aboutir, JR ne prétend pas qu’ils sont
révolutionnaires. Il est possible de se mettre d’accord, et ces règles, ses principes vont être
assez proche de ce qu’on connait dans les sociétés déjà existence.
Paragraphe 10 : résumer des 3 principe de JS. Un peu comme Kant et son principe
catégorique (tjrs agir de façon a universaliser la maxime de la raison). Selon JR, il y a
seulement 2 principes fondamentaux de justice :
Principe 1 : Principe d’égal liberté : droit de propriété privée, liberté politique, d’agir
ensemble de passer des accords, de conscience (opinion) = Libertés fondamentales  garantir
à chacun ces libertés les plus larges possible, à partir du moment où c’est compatible les unes
avec les autres. Ex : total liberté d’expression  on pourrait donc appeler aux meurtres  ce
n’est pas un principe de société juste car ça nuirait à d’autres libertés fondamentales des
autres.
Second principe : Les inégalités économiques doivent être cmt dans une société juste
comment justifier les inégalités. Selon certains, une société juste est une société ou tout le
monde est au même niveau (société communiste). JR écrit ça en 1971 (communiste est une
valeur défendue, très fort au niveau philosophique)  Même dans une société juste, il peut y
avoir des inégalités. Les inégalités ne sont pas des injustices a conditions :
- De maximiser ceux qui auront le minimum = Maximin. Il faut donc s’il y a une
inégalité, que ce soit celui qui a moins, qui soit le plus avantagé  S’intéresser à celui
qui est le plus mal lotis.  Opposé à l’utilitarisme
- Pour qu’une société soit juste, selon des esprits raisonnables qui discuteraient, il faut
que toutes les positions sociales soient ouvertes à tous. Le B qui est énoncé comme le
2eme principe du 2eme, est le 1er. Importance de l’ordre, car les principes ont un ordre
fondamental.
Un ordre lexicaux graphique : ordre du dictionnaire. Importance ordre des principes.
D’abord l’égale liberté pour tous, puis égalité pour tous (pas de société de classes, tt le monde
doit bouger) et puis le Maximin.  Lien avec les textes d’Hayek : lien entre la société juste
de JR et justice sociale société juste = société ouverte, lien avec la roue qui tourne de Hayek.
Non seulement les principes doivent être dans l’ordre, le premier l’emporte sur le 2ème, mais le
contenu des principes doit également être négocié. On ne peut pas marchander certains
principes pour d’autres : Exemple : Je vous vends mon droit de vote, pour un peu de condition
de vie : Droit fondamental ne peut pas être marchander par rapport à un principe économique.
Il essaye de voir si une société peut être dite juste tout en tolérant certains écarts, comme des
inégalités matérielle  pour JR oui, si on garantit le Maximin. JR explique l’idée suivante :
intuitivement, on dirait une société plus égalitaire = plus c’est juste  selon JR cette intuition
est illusoire. Optimum de Pareto : si on sait garantit d’avantager sans désavantager l’autre.
Analogie pâtissière : si on garantit l’égalité parfaite lorsqu’on produit qqch : si on répartissait
autrement le résultat final ou les tâches de chacun, il faut accepter que celui qui fait plus ait
plus à la fin, si on peut garantir Si on permet d’avoir retour sur investissement, voir
enregistrement 48 min.
Inversion aux risques : crainte, tant qu’on peut éviter le risque.  si on peut choisir une
situation qui maximise la position du moins favorisé.
On peut justifier, légitimer, une inégalité du moment qu’elle est à l’avantage du moins
bien lotis. Fait écho à la revendication d’égalité d’Hayek
Paragraphe 13 : Etat social, l’état providence (Walter…)
Il ne suffit pas de garantir l’égal liberté pour tous, il faut qu’on redistribue pour éviter qu’il y
ait un écart entre les individus, à condition que ça ne soit pas au désavantage des autres 
idée de seuil, limite. Hayek : redistribution peut se justifier, en prenant un système
d’assurance or JR justification de l’assistance (système sécurité sociale classique).
Juste principe d’épargne : il ne faut pas redistribuer mnt ce qui pourra servir aux générations
futures. Le minimum a redistribué ne sera donc pas très élevé, car les générations futures ont
des droits mêmes si elles ne sont pas encore là.
Inhibiteur : qui empêche.
Paragraphe 14 : Olympe : montagne où réside les dieux : Seuls les dieux
On est amené à faire des calculs sur ce qu’on peut donner, sans dépasser le seuil. Exemple :
dans certains pays, on a voulu instaurer un revenu universel  suisse  plus ou moins 2100€
de revenus/mois  Pour savoir si cela est possible, il faut voir si les autres générations ne
vont pas être pénalisées  Ne répond pas aux principes de justice de JR.  2 limites =
pénalise l’avenir, et au bout d’un an, plus assez de richesses, pas assez d’impôts pour financer
cela.
Jusqu’à un certain point, certains disaient qu’il y avait un égalitarisme, car il dit qu’il faut
garantir un minimum  gauchiste.
Apologie= éloge, présentation positive de… Ce qu’il écrit est souvent déjà dit. On a critiqué
JR en disant qu’il était un horrible gauchiste, mais également un droitiste.
Paragraphe 16 : 2 critiques venant de JR : 1ère critique : L’idéalisme de Rawls : les individus
rationnels dépourvu de sentiments, de champs de passion et dispose au service du bien
communs : Pas de prise en compte des rapports de force, en commun… Comme ci, il était
déjà dans une société pacifiée avant de commencer à négocier. Il fait comme si, sa théorie
était compatible avec d’autres sociétés différentes de la sienne. N’est-il pas déconnecté, dans
un monde des idées ?
La rectitude : conforme, correct...Mais il prétend de fonder des sociétés réelles  donner des
principes réels servant une société pas comme Platon.
2 ère critique : Le voile d’ignorance, où la position originale est remise en question : comment
est-ce possible de décider sans sentiments…  vu comme une société conçue comme des
anges  rupture entre les êtres qui nous représentent et ceux qui représentent les anges.
Examen : Identifier dans quel courant se trouve l’auteur, où vers quel courant il se rapproche.
Importance de savoir qui parle. Dire si on est face à un auteur qui adhère ou pas : « il est plus
vraisemblable de soutenir », « Certains prétendent »= ne soutient pas, n’adhère pas, « ne sont
pas convaincantes »
Ost répond aux critiques de émises par JR :  défend JR
Construction transcendantale : qui concerne les principes à priori détaché de l’expérience.
Ex : Kant on dit qu’il y a des formes transcendantales qui sont le temps et l’espace : humains
ne peut faire des expériences que dans le temps et l’espace  choses qui ne dépendent pas de
nous, elles sont au-dessus de nous. = La position originelle est une position qui correspond à
des principes qui vont être détaché de l’expérience, une sorte de position qui ne va pas
dépendre de… Détour momentané avant de revenir à l’expérience.
Réponse à la 1ère critique : Ost dit que toutes les critiques ne sont pas justifiées. JR est idéaliste
par un moment mais après il prétend revenir au réalisme.
Réponse à la 2ème critique : Intuitionnisme : selon JR, il faut s’en écarter, le dépasser.
Lorsqu’il dit dans la position originelle, que certains principes sont connus, c’est étonnant, car
l’optimum de Pareto est censé être connu de tous  Partage une sorte d’intuitionnisme, car
dans l’optimum de Pareto, il se dit qu’il y a des connaissances de bases, sur lesquelles tout le
monde se base.
Paragraphe 21 : Que reproche-t’on a JR dans la position originelle ? puisqu’on ne saura pas
ce qu’on sera dans l’avenir, on choisira de ne pas désavantager l’autre  Or, dans la position
originelle : il dit que chacun maximise sa position, son bien-être  pas loin de l’idée des
utilitaristes. Dans la position originelle, on a des êtres calculateurs, pas dictés par le devoir,
inverse de l’homme foncien. Par certains côtés, il a une idée qui s’éloigne de Kant et qui se
rapproche de ses adversaires.
Paragraphe 22 : Même si JR insiste sur les moins favorisés, il dit qd même que si on sait
garantir un certain rendement  il a quand même des points communs avec les utilitarismes
si ce n’est qu’il a un intérêt pour les moins bien lotis.
Lorsqu’on applique le Maximin, dans une société juste, ça aboutit soit à un redistribution
élevée ou pas en fonction des générations futures, et a demain  calculs non-stop : calcul
variable, contingent (relatif : ça pourrait être tout à fait différent de ce que c’est ou ne pas
exister du tout. Exemple : est-ce qu’on est contingent ? oui on est très différent en fonction de
qui on rencontre…  se rapproche de  Le niveau de justice est contingent : dépend d’un
calcul économique pointu  Calcul utilitariste.
Paragraphe 23 : Prima = Priorité
Certains auteurs ont vu que dans les ouvrages de JR, il était moins affirmatif que l’ordre des
principes est indispensable. Dans une époque historique différente, on peut admettre qu’il y a
un certain troc entre la liberté pour avoir un peu de confort Ordre lexical non respecté 
On met une sorte d’historicité aux principes de JR.
Même les principes de justice, qui semblait être classe suivant un ordre inchangeable, semble
pouvoir être modifié, permuté en fonction de la période à laquelle on se trouve.
Ost dit qu’il y a un JR a abandonné et un JR a gardé :
Ost va faire une critique par expurgation : on va éjecter certains passages mauvais, on retire ce
qui n’est pas à la hauteur  Il commence à exposer sa vision. S’apparente à une critique, car
c’est en quelque sorte dire qu’il n’est pas à la hauteur de ses idées  critique interne, mais
également externe, car il tire ce qu’il ne colle pas avec la réalité.
Les libertés fondamentales qui rendent possible les droits sociaux.
Paragraphe 25 : Critique de OST, proximité avec Kant.
Mâitre de Koning… = Kant
JR a écrit tellement, qu’il y a la fois des contradictions et des faiblesses  il faut donc garder
le meilleur, et le meilleur a gardé chez JR, c’est ce qui se rapproche de Kant. Expurger :
fréquent en philosophie.
Paragraphe 26 : JR a une vision Kantienne = chacun est pourvu d’une égale dignité. C’est là-
dessus qu’on peut fonder la Justice sociale, et la redistribution. Selon JR, on est parti d’un
contrat social, selon Ost pas basé forcément sur un contrat mais sur une égale dignité, tout ça
sur fond de JR C’est pcq on a une égale dignité, qu’un contrat est possible = inversion des
principes.
« Traiter soi-même et les autres toujours comme une fin et non pas comme un moyen » 
Kant = principe de catégorique : je dois faire ça car c’est juste.
Il revient à la JS : l’aide sociale est un exemple de redistribution : c’est plus par l’idée de
dignité que Maximin, : Tandis que si le fondement est la dignité humaine, on pourrait plus
facilement justifier un revenu universel fixe et inconditionnel (Y a-t ’il une condition a une
dignité ?)
Inconditionnel : on est dans du catégorique.
Les concessions : aux générations futures, conditions économiques actuelles... On peut dire
que c’est une nécessite éthique d’assurer à la société, un minimum, en faisant sauter toutes
conditions.
Ce Ost propose s’est de choisir chez JR, ce qu’il y a de mieux, car JR peut tomber sous la
critique, si on ne garde pas l’essentiel.
Chapitre 4 : La justice sociale comme équilibre des ressentiments (conclusion de l’ensemble
des textes)

Critique interne de JR : il y a une totale contingence du résultat d’application du critère de


maxima : pas du tout garantit  ce qui veut dire, qu’on peut très bien, dans une société qui se
dit juste, redistribuer à des seuils insuffisants : La société est juste et pourtant il peut y avoir
des gens qui meurent car économie basse…
Critique externe (voir ce qui est présenté, peut être comparé à qqch qui existe) : Les
présupposés anthropologiques de JR sont simplistes, non seulement les hommes ne sont pas
comme il le veut dans la position originelle, mais même si on lève le voile d’ignorance, il est
encore naïf car il dit que les hommes agissent en fonction de leurs propres intérêts, chacun
essayant de maximiser son intérêt  L’égoïsme est bien plus étranger à l’homme que
l’imitation.  JR s’imagine les hommes comme ils ne le sont pas, et donc a toutes les peines
du monde a proposer une societe telle qu’elle devrait être.

Le 04/05
1er texte correspond à un courant critique radical
2eme texte : plusieurs notions : Dignité
3eme texte : récapitulation des deux premiers textes
Epigraphe : texte au-dessus : texte qui est mis en avant qui présente un intérêt pour donner
une sorte de perspective sur ce qui va suivre
Ce ne sont pas les vertus qui font les richesses, mais les vices  si on lutte contre les vices, il
faut s’attendre à être pauvre  lien paradoxale entre les vices et les richesses  il présente
une incompatibilité paradoxale. Mettre un pa idee de la justice sociale sur un paradoxe : si la
JS peut avoir du sens, c’est sur un paradoxe : relation paradoxale qui permet de donner du
sens, mais ce n’est pas évident.
Paragraphe 1
La question qui est posée c’est la question du sens de la JS. C’est à la fois une question qui
peut sembler provocante car ça semble mettre en question la solidarité, la redistribution : ça
peut choquer certain car ça peut paraitre normal d’aider. Parce que on va se poser une
question très théorique loin de la réalité. Néanmoins, ce n’est pas banal : il faut comprendre,
savoir pourquoi on le fait, pourquoi sont attribués les mécanismes de redistributions, au nom
de quoi c’est mieux de le faire ou pas.
2 : On ne peut pas dire qu’il y un consensus global sur la légitimité de la redistribution : En
philosophie, il faut accepter d’écouter les contestations et accepter la mise en cause des idées.
3 : On commence par l’idée la plus radicale (Hayek)
4 : Epigones : les adeptes, ceux qui le suivent. S’il y a un penseur important, il y a une « école
» qui les suit. Il y a des auteurs qui s’apparentent. Epigone décidant : il pense comme l’auteur
dont il reprend l’idée mais il dévie vers ses pensées à la fin (donne son avis).
Relation particulière : l’individu prête la main à ce qui existe = c’est un acteur mais il est pris
dans un jeu et n’a donc pas une liberté totale  il joue avec les cartes qu’on lui donne. Ce
n’est pas lui qui créer le jeu, mais il le continue, il prolonge l’existence de ce qui existe =
enchevêtrement.
Hiérarchie enchevêtrée = quand une réalité est à la fois au-dessus et en dessous  on n’est
pas dans une hiérarchie simple, les deux sont à la fois au-dessus et en dessous. (De Douglas :
1970 - Goedel (mathématicien), Hescher (dessinateur) et Back (musicien) -> Ces trois auteurs
sont soit à la base de dessins enchevêtrés, soit de théorèmes mathématiques enchevêtrés, ou
musiques enchevêtrées.  Il y a une codécision indissociable ou causalité circulaire
Exemples :1) Hescher : les mains dessinant : deux mains qui sont en train de se dessiner : il
est indecidable de dire quelle main qui dessine puisque les deux se dessinent en même temps.
2) blague du bucheron
3) 6 : L’envol des oies : Quand on interroge la cause de l’envol des oies, on se demande si
c’est un individu dominant, un agent extérieur perçu par les oies…Chaque oiseau se
représente une l’envol comme une contrainte extérieure qui fait qu’elles s’envolent, mais c’est
aussi leur position individuelle qui provoqque l’envol = exemple de causalité circulaire.
 Emboitement logique indécidable ente le niveau de la cause et celui de l’effet.
- Hiérarchie simple : Les structures sociales détermine l’individu, ce qu’’on peut être (si
on vient de la haute bourgeoisie on connaît notre future)
- L’individualisme méthodologique = les individus sont au-dessus et les structures
dépendent du social, du collectif. Ce sont les individus déterminent les structures.
La main invisible : présente le marché comme si c’était dirigé par une main invisible vers un
équilibre (entre offre et demande…)  Ça émerge comme un ordre auto-organisé.
8 : Le temps T+1 : on ne peut pas prévoir ce que ça donnera, parce qu’il y a toujours des
causes et des effets qui changent la donne  Idée de la « roue qui tourne » de Hayek. On est
pas dans la pure reproduction sociale : on ne fait pas qu’hériter et que reproduire selon Hayek
(comparé aux idées de Bourdieu…). « D’abord, on habite la pensée et puis on critique ».
On fait semblant comme si l’ordre social était extérieur, or c’est grâce à notre action qu’il
continue à exister. Le fait de participer come acteur, cela renforce le marché. On semble être
déterminer par, mais on détermine également ce que le marché devient par exemple.
Selon Hayek, la liberté consiste à s’adapter et de se rendre utile aux autres.
Nietzche : la véritable liberté de chacun, ne consiste pas à faire n’importe quoi ou à maximiser
son intérêt personnel, c’est arriver à découvrir comment on peut servir au mieux les autres,
parce que c’est comme ça qu’on sait renforcer notre action.
Exemple : si on arrive à développer un service, on va avoir un retour positif = renforcement
positif, on arrivera donc à mieux développer notre service.  Idée de rechercher ce qu’on est
pour devenir qui on est  Hayek s’inspire de Nietzche.
 En découvrant en quoi on peut servir les autres, on peut devenir ce qu’on est =
liberté selon Hayek. On trouve notre place pour mieux servir les autres.
9 : Dès qu’il y a un ordre, dès qu’il y a des choses qui semblent aller dans le même sens, il y a
une intention, une volonté méchante : toute régularité, réorientation est l’indice que c’est
négatif = Anthropomorphisme.
Résumé de bas de page : en Belgique jusqu’en 1999, seules les personnes physiques
pouvaient être pénalement sanctionnés. En un jour, les êtres moraux pouvaient être
pénalement sanctionnés. Le législateur a considéré qu’il y avait une intention méchante, une
âme, une volonté de nuire derrière une personne morale.
Pour Hayek, l’Etat ne peut être/ impacter l’auto-organisation.
Pensée mythologique : rappel à des explications divines pour justifier devant nous.
Représentation du monde, expliquant à la fois les phénomènes naturels et les regles sociales à
l’aide de recit fabuleux ou magiques mettant en scene des herios, des dieux, ou des elements
cosmiques personnifiés. Exemple : la terre tourne, parce que jupiter jouait aux billes, et
qu’une de ces billes était la Terre.
L’auto organisation est une organisation complète : Un groupe ne peut pas seulement définir,
ou changer l’histoire de l’humanité  sinon c’est une pensée mythologique
Aristote : Philosophe grec du 4eme avant JC, professeur d’Alexandre Le grand  personnage
déterminant linguistiquement, géographiquement… élève de Platon, qui a élaboré une théorie
des causes : Selon Aristote, on peut distinguer 4 causes derrières les réalités qui existent :
Exemple : on découvre une statue de Dyonisos, on se dit qu’il y a 4 niveaux de cause :
- Cause matérielle : cette statue a une cause matérielle qui est le marbre : S’il n’y avait
pas ce marbre, cette statue ne pourrait pas exister puisque c’est ce dont elle est faite.
- Efficiente : ceux qui ont sculpté cette statue : s’il n’y avait pas eu ces sculpteurs, elle
n’aurait pas été sculptée.
- Cause formelle : modèle qui a été donné à l’auteur : s’il n’y avait pas eu de modèle, le
sculpteur n’aurait pas pu sculpter la statue, qui n’aurait pas eu cette forme-là.
- Cause finale : quelle était l’intention de sa création ? quel était le but de cette
création ? Le fait que cette sculpture soit là dans la lignée des autres, but = créer
l’ensemble des dieux de l’Olympe, terminer une collection.
L’ordre social de Hayek, correspond à aucun but, il n’y a pas de cause finale  Paradoxe par
rapport à Aristote. L’ordre auto-organisé ne correspond à rien.
10 : Selon Hayek, c’est un abus d’aider quelqu’un dans la misère car on bloque la roue qui
doit continuer à tourner. La dénonciation par Hayek du fait que si on fait comme si c’était un
projet, on laisse croire que ça en est un, alors que ce n’est pas vrai : faire comme s’il y avait
une intention collective, alors qu’il n’y en a pas. Intervenir le moins possible sur l’auto-
organisation.
Selon lui, la vertu majeure du marché (l’ordre du marché) est qu’elle permet de faire vivre,
cohabiter, le plus grand nombre de gens en même temps sur terre.  Ce marche permet la
coexistence du plus grand nombre de personnes sur Terre, et permet un accroissement
constant. La nouveauté permet à la roue de tourner car ce qui ne servait rien, servira demain
 L’innovation= argument pour laisser tourner la roue >< a le redistribution - Il faut
intervenir le moins possible dans cette roue, dans cette autorégulation.
11 : auto-poïétique : qui se réalise soi-même, se produit et de reconstitue par lui-même.
L’individualisme méthodologique (s’oppose à l’holisme= expliquer les phénomènes
individuels à partir de déterminants sociaux ou collectifs) = courant de pensée selon lequel,
les phénomènes sociaux s’impliquent integralement à partir des individus de leurs actions et
de leurs interactions. Cela permet de développer, de dépasser le simplisme
Ce que Hayek fait, consiste à confondre culpabilité et injustice : tout le mal ne vient pas
forcement d’un individu, mais souvent d’un ensemble de choses  il peut y avoir de
l’injustice sans trouver de raison.
Le mal peut avoir un auteur non identifiable, mais ce n’est pas pour autant qu’on ne doit le
laisser courir. Or Hayek, dit que comme il n’y a pas d’auteur, il ne faut rien faire.
Notes de bas de page : Il faut avoir foi car ne pas autoréguler le marché va profiter à plusieurs
personnes, mais ça laisse beaucoup de personnes sur le bord de la route.
Conclusion de Hayek : conclusion abusive que la JS n’a pas d’utilité. Que faut-il faire ? Lutter
pour la dignité humaine, pour la charité, pour le contrat social. Au nom de quel solidarité
serait mieux que la non solidarité. La solidarité pourrait être justifiée par le contrat social, la
charité ou la dignité. Solidarité doit être fondé : si un prisonnier a été condamné suite à un
délit, sommes-nous solidaires pour le respect de la dignité (donner à manger) ? solidaire
jusqu’au point de le libérer ? Il faut se demander pourquoi on est solidaire : pour accéder à la
vie éternelle ? Est-ce que c’est respecter la dignité de chacun ? est-ce que c’est gagner son
salut ?
Résumé texte 2 : Idée de la charité car par la charité on reçoit la vie éternelle
13 : La richesse est la bénédiction de Dieu  les évangiles ont une pensée inverse : quand on
est riche, on s’accroche à la richesse et donc ne suit pas dieux, ne sait pas bien le servir, ça
nous écarte de dieux : On ne peut pas avoir deux dieux  Il faut lâcher pour recevoir, il faut
être prêt à s’appauvrir pour accéder à la rédemption éternelle = Paradoxe  Comment se
défaire de ses richesse, en les redistribuant  On en revient à la justice sociale : c’est le
chemin du salut, qui est très étroit car il faut se séparer de tout ce qu’on a accumuler depuis
des années ( chemin de la perdition est large).
La 1ère chose qui attache le riche à sa richesse c’est :
- Craindre de manquer : Appel à s’appauvrir volontairement. Pas de crainte à avoir, car
la providence divinement veillera à ce qu’on ne manque de rien.
- Estimer qu’on le mérite : le riche trouve qu’il mérite sa richesse : pourquoi lâcher ses
richesses alors que j’ai travaillé, ce sont mes efforts donc ça doit me revenir. On dit
souvent : ce que j’ai acquis, je l’ai mérité. Juda dit que les capacités ont les a
également reçues, et donc on ne doit pas s’en glorifier.
La raison de la solidarité, c’est trouver son salut en imitant Jésus  raison de la JS, du fait de
partager  est-ce que cela peut s’appliquer à nos sociétés. Non, car plus bcp de pensée
chrétienne chez tout le monde.
Vertu cardinale = Les 4 vertus les plus importantes de base, qui permettent d’ordonner les
passions en menant les vies bonnes, sont : Prudence, tempérance, force et justice. La seule
vertu qui reste est la Charité dans le royaume de Dieu, car la charité est l’amour du prochain.
Les pêchés sont l’inverse des vertus. Pendant des siècles, la vertu : la charité a été la raison
de la solidarité.
18 : sécularisation : opposition des siècles (monde des hommes, horizontalité) à la règle (qui
vient d’en haut)  on parle de sécularisation lorsqu’on estime que la règle doit venir des
hommes et non de Dieux.
Vision eschatologique : perspective qui rapporte toute action à la vie éternelle  Si on retirer
l’espoir de la vie éternelle, on retire toute cette charité  si on a rien à l’arrivée, on n’aidera
pas son prochain.
Aujourd’hui, la vision de la solidarité, de la charité : c’est pour se donner bonne conscience,
ou pour perpétuer ce qu’on faisait avant.
19 : Maximin : idée qu’il y a un contrat social qui vise à aider le plus mal lotis.
John Rawls : contrat social :
1er principe de justice : égalité : on peut justifier des injustices, mais si on respecte l’idée qu’il
faut aider le plus mal lotis
2 ème principe de différence : Le voile d’ignorance : on ne doit pas savoir si on sera dans
l’avenir un pauvre, un riche (pas connaître sa place future),comme ça lors de la négociation on
va décider en se disant qu’on pourrait avoir la place du plus mal lotis.
L’imposition ne peut pas être trop importante, car sinon les personnes ne vont plus vouloir
dépasser un certain seuil pour ne pas payer, et ce sont donc les plus mal lotis qui vont subir les
conséquences car ces personnes plus riches n’engageront plus de personnels… Optimum de
Pareto 
25 : Vision de la JS selon JR : trouver un fondement purement rationnel, se traitant tous
comme des êtres raisonnables, rationnels, sans aller chercher dans des croyances. 7
Contingence : un résultat peut être contingent (le résultat de la redistribution peut être très
différent en fonction du marché >< inverse de nécessaire (2+2=4, ça ne peut pas être
autrement). Une fois que les principes sont élaborés, la justice sera d’office juste.
27 : L’indigence : pauvreté  la représentation qui est à la base de la justice de Rawls est
pauvre, illusoire.
Monades de Leibniz (philosophe 17ème) : sorte de microcosme de la totalité de l’univers=
Unité élémentaire des composants de l’univers. Ces monades ne sont pas que matérielles mais
également spirituelles. Dans chaque monade, on a déjà tout ce qui est représenté ailleurs. 
Pour JR : Les hommes sont un peu comme des monades : pas besoin d’avoir des interactions
entre eux car ils sont repliés sur eux-mêmes.
« Si vous n’étiez pas ce que vous êtes, vous accepteriez votre sort » position originelle :
l’homme me doit pas avoir de passions, d’intérêts (il doit être rationnel) mais après une fois
les principes décidés, ils sont sensés avoir des passions… Mais comment peuvent-ils décider
de tels principes s’ils en sont dépourvus à la base ? C’est un trop grand rationalisme. Il
imagine des hommes de pure raison, qu’ils ne sont pas.
29 : Idée que s’ils sont rétribués, est justifié parce qu’on sert l’intérêt des autres et pas parce
qu’on a du mérite. Ce point à une proximité avec la vision de la JS de Hayek. (Société juste de
Rawls (essaye de justifier une intervention sociale  juste) et société ouverte de Hayek) Ce
qui est important c’est l’utilité qu’on représente pour les autres et non nos talents.
30 : Si le pauvre est pauvre, ce n’est pas la faute de son semblable, il ne peut donc pas le
blâmer, et doit même le remercier car il rend sa cause moins pire que ce qu’elle pourrait être
puisqu’il assure, applique le Maximin.  JR justifie les écarts et neutralise même les
revendications  vision similaire à Hayek car on ne veut pas de contestations, mais JR va
plus loin que Hayek car il justifie la redistribution tandis que Hayek ne la justifie, l’accepte
pas.
31 : L’ataraxie= absence de troubles ou de passions, ou ressenti.
Stoïcien : philosophe de l’Antiquité qui prônaient le détachement. La passion= la souffrance.
Seule manière d’être bien, c’est d’être détaché de toute passion. Pas de passion, pas de
chagrin, pas de passion, pas de souffrance. Ce détachement ne peut être le résultat d’une vie
complète de réflexion.
Ataraxie est accessible à la fin d’un processus. Or l’auteur dit qu’il devrait être stoicien dès le
départ. JR pense que tout le monde devrait y arriver.
Il imagine des êtres come des anges, une société d’anges, mais ils ne le sont pas. JR
n’envisage pas les êtres humains comme envieux  risque de guerre, de contestations
permanentes ; imaginer les hommes comme ils ne sont pas, aboutit à des catastrophes.
32 : Ingénue = naïve/ fallacieux = trompeur.
François Host : justice sociale et dignité humaine
S’il faut être solidaire, c’est pour mener une vie digne.
Abandonner le Maximin (c’est conditionnel : on va jusque…), ici c’est un impératif
catégorique : on doit garantir à chacun une vie digne.
Le droit de créance : si on n’a pas une vie digne, on peut le faire valoir à l’Etat.
Robespierre : connu pour être un partisan de l’égalité. Révolutionnaire français : si le riche à
une dette % au pauvre, l’inverse est vrai aussi  dette sacrée : pas avec l’idée d’un dieu, mais
une dette entre hommes. Héritier du christianisme mais rompt également le christianisme.
L’égalité est devenue une passion : tout ce qui s’en écarte est considéré comme suspect. 
L’égal liberté est considérée comme la priorité.
37 : on n’est pas dans un système qui alloue des prestations pour le simple fait qu’on existe
(conditionnalité), non on est scrupuleux.  La dignité ne suffit pas à justifier la redistribution.
Si dignité humaine, on devrait passer dans l’inconditionnalité.
Irénique : place la paix et l’entente au centre de tout. Si on fait ça, c’est comme si on
définissait l’homme, avant tout, comme un être de besoin. Il y aurait deux logiques qui
coexistaient : celle du marché où tout se calcule, une autre où l’homme est au centre sans
calcul.

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