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: De la liberté
Ce livre publié en 1859 comptant environ 200 pages divisé en 5 parties. Notre auteur se nomme John
Stuart Mill il est un philosophe, logicien et économiste du 18 ième siècle. Il faut comprendre que John
Stuart Mill été élevé et à suivi le courant utilitarisme qui est par définition une Doctrine qui fait de
l'utile, le principe de toutes les valeurs. La liberté abordée par l’auteur car tel est le thème de notre
essai sera donc grandement inspiré de celle-ci.
Afin de comprendre au mieux cet ouvrage il est important de saisir de comprendre que le sujet
de cet essai et la liberté au sens social ou civil et non pas le libre arbitre ou de se questionner
sur la véritable liberté de l’homme par sa nature même. Il se pose une question simple qu’elles
sont les limites qu’une société peut exercer de manière légitime sur un individu ? Il montre en
ramenant l’idée à la démocratie que par définition celle-ci repose sur la volonté de la majorité
et que dès lors celle-ci peut appliquer sa propre tyrannie ce qu’il appelle donc la tyrannie de
la majorité. Cette fameuse tyrannie peut s’exercer de deux manières par la tyrannie dite du
magistrat et par la tyrannie dite de l’opinion. Pour la tyrannie du magistrat on peut citer le
délit d’opinion, restreindre de manière pénale certaines idées et concept. Et pour celle
d’oignon elle consiste à imposer un code de conduite à tous. il évoque ainsi pour illustrer son
idée son meilleur instrument la coutume, ancrer telle une enclume au fond de l’océan et si
bien établi qu’il est extrêmement dur de la remettre en question et par ailleurs personne
n’éprouve le besoin de la bouger. Une citation résume parfaitement l’idée de ce qu’est la
liberté selon notre auteur « Chacun est le gardien naturel de sa propre santé aussi bien
physique que mentale et spirituelle. L'humanité gagnera davantage à laisser chaque homme
vivre comme bon lui semble qu'à le contraindre à vivre comme bon semble à l'autre. » , c’est
le principe de non-nuisance .
Pour finir avant d’avancer les différents exemples d’applications à ces thèses notre auteur
répond finalement à la question initiale. Quelles sont les limites légitimes que l’autorité peut
exercer sur un individu ? Dans ce sens il reprend totalement l’idée de non-nuisance. La liberté
s’arrête lorsque l’on atteint celle des autres. Il rajoute cependant plusieurs points à cette idée.
En effet par l’aspect utilitarisme de la pensée de Miles nos actes, notre travail doit être utile à
la société, chacun doit travailler à la défense de la société et de ces membres. Pour autant un
comportant nocif envers soi-même ou un comportement nocif entre deux individus
consentants ne doit pas être limité. Nous devons tous pour avoir être le propre juge de nos
actions tant qu’elle respecte les deux principes précédemment évoqués