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Journée du 10 Août 2021

Hier nous avons mentionné le fait que, lorsque Barnabas et Saul, ont été envoyé, on ne leur a pas
donné des détails de ce que leur mission devait comporter ; cela présuppose qu’ils savaient
allaient faire. Nous avons aussi mentionné, que la mission se ramène à deux choses. La mission
c’est tout d’abord : là où tu as été envoyé et deuxièmement, ce que tu as été envoyé faire. Et nous
avons vu l’exemple de notre Seigneur Jésus. Quant à là où il a été envoyé, nous avons vu le
Seigneur, allant de ville en ville, de village en village dans une itinérance méthodique. Quant à
ce qu’il devait faire, la Bible nous rapporte : qu’il enseignait dans leur synagogue, qu’il prêchait
l’évangile du royaume, qu’il guérissait les malades, il chassait les démons et appelant les
disciples. Dans toutes villes, il y avait la définition de taches, ce qu’ils devaient avoir été
accompli dans cette ville pour qu’on dise que la mission a été accomplie. Donc la mission à avoir
avec là où j’ai été envoyé, et la mission a aussi un rapport avec ce que j’ai été envoyé faire. Et
nos missionnaires, les missionnaires de notre étude, Barnabas et Saul, ils ont été envoyés par le
Saint-Esprit sans détails ; cependant ils ont su quoi faire. Comment ont-ils su quoi faire ? ils
avaient l’exemple de notre Seigneur Jésus à suivre. Ils avaient aussi la nature des commissions
du Seigneur Jésus desquelles apprendre. Dans les différentes commissions missionnaires que
Jésus a donné aux apôtres et aux disciples, en énonçant la commission, tout missionnaire qui
vient après, pouvaient apprendre de ces commissions là ce que le travail à faire comportait.
Combien de commissions missionnaires Jésus a-t-il déclaré pendant qu’il était sur la terre ? qui
peut deviner ? combien de commission missionnaires Jésus a-t-il déclaré pendant son
ministère sur terre ? j’aimerai que quelqu’un devine !
Le Seigneur Jésus avait libéré quatre commissions. Je voudrais que nous les lisions, parce que
tout missionnaire qui est venu après, devrait apprendre de ces commissions là ce que c’est
l’œuvre du missionnaire et ce que comporte le travail du missionnaire. Pouvons-nous lire Marc
6 ?
Marc 6 : 4-13 (version semeur) ; Lisons aussi Luc 10 : 1-12 
La grande commission est répétée quatre fois dans Matthieu, Marc, Luc et Jean.
Matthieu 28 : 18-20 ; Marc 16 : 15-18 ; Luc 24 : 46-49 ; Jean 20 : 21-23 ; Jean 17 : 18
Ça c’est la grande commission. Elle est aussi répétée dans Actes 1 : 7-8.
Le frère Wachman dit qu’il y a une cinquième commission : Luc 22 : 32-38
Ce sont là des commissions répétées de notre Seigneur Jésus. A l’Ecole de la Connaissance et du
Service de Dieu, nous devrions identifier toutes les commissions, faire ressortit chaque
instruction l’une après l’autre. Pour une analyse détaillée et une étude détaillée. Si on prend par
exemple Matthieu 10, où il donne une commission exhaustive au 12, et qu’on ressorte les
différentes instructions, on va apprendre ce que c’est la mission ; on va apprendre ce que c’est la
mission. A cause de la nature de ce cours, nous n’avons pas le temps de ressortir toutes les
instructions de chaque commission. Mais pour la personne qui est appelée, à aller comme
missionnaire, pour pouvoir faire son travail intelligemment, elle devrait ressortir chaque
instruction et comprendre la pensée du Seigneur derrière cette instruction afin de pouvoir être le
missionnaire que Jésus veut qu’il soit. Lorsque le Seigneur a dit au 12 : n’emportez aucune
bourse avec vous, ne portez pas beaucoup de vêtements, ne prenez pas deux paires de sandales.
Lorsque le Seigneur donnait ces instructions, au sujet de la présentation physique du
missionnaire, ainsi que de ses biens matériels qu’est-ce qu’il avait en pensée ? nous vivons dans
une aire où le travail doit être rémunéré, ça fait partie des droits de l’homme. Et il y a beaucoup
de départements, des gouvernements, et des états, pour s’assurer que du travail fait soit
proportionnellement rémunéré. Mais dans la commission de notre Seigneur Jésus, il a dit : au
point de décollage de la mission si tu as tout ton salaire, et tout ton argent, tu ne vas pas réussir
comme le Seigneur. Contrairement à ce que plusieurs missionnaires pensent, à savoir que, s’ils
avaient une allocation suffisante, leur travail serait plus facile et ils réussiraient. C’est un
mensonge ! dans la psychologie de la mission, Dieu gère son système économique. Et dans ce
système, il faut que le prédicateur ait des besoins autant que les personnes à qui il prêche. Les
personnes à qui il prêche, ont des besoins spirituels. Il faudrait que le prédicateur soit
matériellement vulnérable afin que l’évangile puisse accomplir son dessein. Donc le prédicateur
leur donne sa richesse spirituelle, et eux, ils lui donnent de leur abondance matérielle en réponse
à ce qu’ils ont reçu : voilà l’économie du royaume ! voilà ce qu’on appelle Galates 6 : 6. Le
passage de Galates 6 : 6, n’a pas été inventé pour que les pasteurs demandent de l’argent à leurs
brebis. Galates 6 : 6, c’est le système économique de Dieu dans la gestion de son œuvre. Le
missionnaire vient avec des richesses spirituelles, comme les lévites dans temps. S’ils devaient
servir dans le sanctuaire, il ne fallait pas qu’ils aient du terrain comme les autres israélites.
L’intendance du sanctuaire, les positionnait comme serviteurs de la communauté toute entière. Et
la responsabilité du reste de la communauté, c’était leur soutien matériel. Et Dieu a ainsi planifié
les choses, pour que le missionnaire puisse réussir. Donc un système missionnaire, où nous
générons un système salarial, et qu’on bourre le missionnaire avec ses allocations, et on l’envoie
prêcher l’évangile, il ne va pas réussir ! son salaire aura bloqué son succès. Si tu répertories les
choses que le Seigneur Jésus a dites dans cette commission, et tu les étudies l’une après l’autre,
l’une après l’autre, et permettant au Seigneur de t’enseigner, tu vas te former toi-même comme
un missionnaire qui va réussir. C’est ça que j’avais fait avant d’aller au Nigéria. Donc en allant
au Nigéria, je suis allé avec ma valise, j’ai laissé tout autre chose ; parce que, comment vas-tu
pouvoir trouver tes Co-ouvriers ? comment vas-tu trouver ceux que Dieu t’a donné ? lorsque
Dieu suscite des aides, il faut que ces aides trouvent quoi aider. Si tu es autosuffisant, comment
auras-tu des aides ? ce qu’ils apportent matériellement, ce n’est pas ça le vrai enjeu. C’est que
Dieu va susciter, ceux qui te voient, qui voient tes besoins, et cela va te permettre de les
identifier comme ceux Dieu t’a donné. Si tu as tous tes besoins pourvus, comment auras-tu donc,
ce de dont tu as le plus besoin en champ de mission, à savoir les Co-ouvriers ? que personne ne
se permette de corriger Jésus de Nazareth. Il est Seigneur ! et il sait ce qu’il est en train de faire.
Et lorsqu’il envoie des ouvriers, ces ouvriers devraient apprendre de lui. Il est notre modèle
suprême et ce qu’il dit marche. Il dit que : le ciel et la terre passeront, mais pas un seul iota, de ce
que j’ai proclamé n’échouera. Il sait ce qu’il est en train de faire. l’approche selon le monde, où
il faudrait qu’une organisation ait un capital, qu’elle mette en place des mesures de sécurité,
qu’elle garantisse la police d’assurance, et les sécurités d’emplois selon la CNPS à long termes,
toute cette réflexion, c’est une bonne réflexion ! mais dans le service de Dieu, là où Dieu est
l’employeur, là où Dieu est celui qui envoie, et là où Dieu est celui qui rémunère, Dieu a sa
manière à lui de gérer son œuvre. Ne le corrige pas ! tu ne vas faire que te casser toi-même. Ne
corrige pas Dieu !
Au Nigéria j’avais décidé d’en faire une démonstration. J’avais déjà expérimenté cela dans ma
propre vie. J’ai pris environ 20 candidats missionnaires, je les ai formé pendant environ 1 an et je
leur ai dit que : les paroles de Dieu sont vraies ! et la parole qui dit que : Jésus-Christ est le même
hier, aujourd’hui et éternellement, signifie que les choses qu’il a dites et qui étaient valables au
premier siècle, sont valides pour le 21ème siècle. Donc je les ai pris tous les 20, et je les ai formés
pendant 1 an, et je leur ai dit… je leur ai donné mon numéro de téléphone. J’ai dit faisons une
expérience ! voyons si Dieu peut échouer ! j’ai dit à tel : tu vas aller dans la ville appelée :
Djebo-Odé, voici ton argent de transport pour y arriver. Il n’y a pas d’argent de poche, il n’y a
pas d’argent de transport retour. Pas d’argent pour louer une chambre d’hôtel. J’ai dit : prend !
j’ai dit : si tu arrives à Idjebou-Odé, et tu dors à la belle étoile, parce que Dieu n’est pas
intervenu, appelle-moi je vais t’envoyer ton transport. Et je les ai envoyé. J’ai envoyé 20 d’entre
eux. J’ai envoyé à Idjebou-Odé, j’ai envoyé l’autre à Chagamo, les villes du Nigéria, j’ai envoyé
un autre… je leur ai donné quelques traités. Lorsqu’ils sont revenus, le premier est venu, il
s’appelait Mbaa, il est allé à Idjebou-Odé, il a atterri au stationnement, et il était déjà arrivé dans
son champ de mission ; donc il fallait qu’il commence à travailler. Il a essayé de donner des
traités à la première personne, on lui dit : ha dégage ! il a essayé de donner un traité à une autre
personne, la personne a pris, et s’est pressée de partir. Il a donné des traités à une autre personne,
le monsieur a pris le traité, il s’est tenu là, il a lu le titre, il s’est retourné et l’a regardé et puis il
lui a demandé : est-ce tu es un missionnaire ? il a dit : oui ! il a dit : où est-ce que tu vas passer la
nuit ? il lui a dit : je viens juste d’arriver sur instructions du Seigneur, il lui a dit : suis moi !
Question : depuis hier je suis un peu troublée sur le fait de sortir prêche, on fait des dons et qu’on
en reçoive ; parce qu’il y a une certaine catégorie de personne auxquelles quand tu prêches
l’évangile, quand ils voient que tu prends quelque chose qu’on t’a offert, ils se disent que l’église
c’est pour les pauvres et tout ça. Ça c’est une des choses qui me dérangent. La deuxième chose
c’est que : parfois il y a des gens qui donnent des dons, mais, une manière d’attaquer
spirituellement par la suite. J’ai été victime une fois, mais ce n’est pas moi qui recevais, je
donnais pendant que je prêchais ; quelqu’un m’a posé un problème de faim je lui ai donné et j’ai
été vraiment attaquée. Et ça me trouble un peu. S’il faut prendre quand est ce qu’on sait que, on
doit reconnaitre qu’il faut prendre ? Je suis troublé de quand est-ce qu’il faut prendre.
Réponse : on n’est pas en train de parler sur les dons. On n’est pas en train de parler sur recevoir
ou donner les dons. On est en train de parler dans le cadre de celui qui a été envoyé par le
Seigneur pour accomplir une mission pour lui. Et la Bible dit que : ceux qui vont recevoir sa
parole, ce n’est même pas tout le monde qui va te donner. Comme j’ai dit, certains ont rejeté ce
qu’il avait offert, et l’autre l’a emmené chez lui. L’enjeu ce n’est pas le don. Celui qui part pour
prêcher, en attendant les dons, a déjà avili ses mobiles pour prêcher l’évangile. La Bible dit
clairement : vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement ! donc situe toi dans le contexte
de ce qu’on est en train de parler. On est en train de parler de missionnaire et de la mission. Tu
sors de ce contexte, ça devient autre chose. On devient des mendiants qui passent partout avec
l’évangile comme moyen de mendicité. Ce n’est pas de ça qu’on parle. Est-ce que Dieu t’appelé
pour être missionnaire ? est ce qu’il t’a envoyé pour aller à Obala ? s’il t’a envoyé à aller à
Obala, il a prévu… c’est dans l’économie générale de Dieu. J’ai beaucoup enseigné sur ça dans
le passé. Il a appelé Adam, il a fait Adam en son image, il a fait Eve et il leur a donné sa
commission de remplir la terre et de dominer ; et après, il les a pourvus leur provision. Il leur
dit : je vous donne toutes les herbes sur la terre pour manger. Dieu donne toujours la provision,
après avoir donné la commission. Il donne la commission toujours après avoir qualifié l’ouvrier.
Tu dois être faite en son image, tu dois être en train de faire son travail, et tu vas recevoir sa
provision. C’est toujours comme ça. Donc ce n’est pas, juste du fanatisme. Ce n’est même pas
pour ceux qui aiment recevoir les dons. Et si tu as reçu les dons, et on t’a attaqué, qui t’a envoyé
là-bas ?
Réponse de la sœur : c’était à l’école d’évangéliste, on prêchait à des personnes dehors et
quelqu’un m’a posé le problème de faim je lui ai donné 500 et ça a tourné comme ça avait
tourné.
Réponse du frère TA : tu as fait une bonne chose. Si tu as été attaquée c’est Satan qui hait la
prédication de l’évangile, ce n’est pas ton don. En république du Niger, on m’a dit là-bas que
tous les mendiants qui sont assis là, ils attendent, quand ils te voient bien habillés ils tendent
la main, tu leur donne ton don, ils prennent ça pour faire du fétichisme et de l’occultisme. Si je
les vois, s’ils font vraiment pitié, je vais leur donner. Mais s’ils n’en n’ont pas besoin je vais
garder mon argent. Quand tu as fait une bonne chose, ne croit pas au-delà de ce que la Bible
prévoit. La Bible dit : les choses profondes du diable ne soit pas expert là-dedans. Tu as visionné
trop de films. Continue à faire le bien ! dis amen ! quand tu trouves un autre misérable donne lui
si tu en as et Dieu va te bénir. Alléluia !
Deuxième question : concernant le fait que le missionnaire dans sa préparation doit accumuler de
l’argent pour la mission à l’exemple de l’apôtre Paul. Et le fait qu’un missionnaire pour réussir
ne doit pas avoir tout ce qu’il veut au point de décollage. Est-ce qu’il faut limiter le montant à
accumuler lors de la préparation pour pouvoir manquer de ressources de manière à être dans le
besoin dans le champ de mission ?
Réponse du frère TA : tu as écouté le passage que Wachman a donné ? le Seigneur leur a
demandé : quand je vous ai envoyé, en vous disant de ne pas prendre une bourse, et tout, et
tout… est ce que vous avez manqué de quelque chose ? les disciples ont dit non ! et il leur a dit
désormais que celui qui a une bourse prenne, et désormais celui qui a des habits prenne ! on ne
gère pas les choses de Dieu de façon empirique. Dieu n’a pas donné des instructions quelconques
qu’on peut suivre en dehors d’une communion avec lui. Dieu ne donne pas les instructions pour
se remplacer de sorte qu’on ne traite plus avec lui, on ramasse ça comme un ordinateur, et on
applique et ça marche. Dieu ne nous a pas donné des formules ; Dieu donne des directives.
Question de TA : ton cas c’est lequel entre les deux ?
Réponse de la sœur : en fait j’avais planifié, monter une affaire de manière à ce que, même si je
pars dans un champ de mission ça continue à générer les finances.
Réponse de TA : là où est ton trésor, là sera ton cœur. Tu ne seras jamais missionnaire. Fait ça,
ton corps va aller dans l’autre pays et ton cœur va rester dans ta boutique. Tu as compris ? c’est
une manière de détruire ta mission avant même de commencer. Il ne faut jamais partir comme
missionnaire, si le Dieu qui t’a envoyé, te rend responsable pour être la personne qui pourvoit
aussi. Pas seulement toi ; il y a beaucoup de gens ici, qui pensent que c’est la bonne chose à
faire. Nos missionnaires au Portugal, ils regrettent, parce qu’ils ont construit beaucoup de
maisons, au Gabon pour avoir de l’argent, quand ils seront au champ de mission. Dès qu’ils sont
arrivés au champ de mission, ils m’ont dit qu’ils ont fait gaffe. Actuellement, elle est au Gabon
pour chercher à vendre toutes ces maisons là pour qu’ils ne puissent avoir rien au Gabon. Les
missionnaires qui sont partis du Cameroun dans les chroniques de notre histoire missionnaire, les
missionnaires qui sont partis du Cameroun, dans les autres pays et qui sont revenus pour
chercher les primes, la pension, et les pensions retraites, ou bien les primes de non logement, qui
sont partis déjà en mission, et qui avaient les cœurs au pays pour récupérer tout leur argent,
chacun d’eux systématiquement n’a pas d’église stable dans son pays, aucun d’eux. Quand tu
veux commencer un certain travail, il faut connaitre les règles qui accompagnent ce travail. Et le
travail missionnaire, rassure-toi que c’est Dieu qui t’appelle, ne t’appelle pas toi-même ! si tu
commences ta boutique ici, tu pars au Niger, tu vas revenir plusieurs fois pour récupérer ton
argent ; Tu n’es pas parti comme missionnaire, tu es parti en touriste. Tu as compris ? là où est
ton trésor, là aussi sera ton cœur. Il ne faut pas essayer de trop aider Dieu. Je sais que nous
sommes les croyants, mais ne cherchons pas à aider Dieu pour qu’on puisse dire au monde quand
on a fini d’aider Dieu par derrière, on vient dire aux non croyants que Dieu est vivant. Mais ne
cherchons pas trop à aider Dieu. Fait ce que Dieu t’a demandé de faire, c’est de l’obéissance et
laisse le reste, Dieu est fidèle. Qu’à celui qui veut venir à Dieu comme Hébreux dit : doit croire,
que Dieu existe et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent diligemment. Ça c’est la
première loi de la foi : que celui qui veut venir à Dieu, doit croire que Dieu existe et qu’il est le
rémunérateur de ceux qui croient, qui le cherchent diligemment. Ne faisons pas des choses pour
aider Dieu, pour dresser Dieu, pour orner Dieu. Je viens du Nigéria, on fait beaucoup de choses
comme ça au Nigéria pour aider Dieu. Quelqu’un vient à l’église il dit : alléluia ! God my
hélélélélé ! Jesus na waya ! brethen, i get waiti which I want tell we na (frères, j’ai quelque chose
à vous dire). Je parle de quelqu’un qui a fait ça. Il a pris la cocaïne, il est parti vendre en
république du Benin et il est revenu à l’église avec des dimes en millions. Et quand il a
commencé à secouer son mouchoir, secouant ça disant : Jésus est merveilleux oh ! Il n’y a
personne comme lui, personne n’est comme toi. Alléluia !
Prie que Dieu t’accorde de le croire tout simplement et d’avoir le cœur simple. Pour que tu aies
l’opportunité de le connaitre, pas de le feindre.
Donc le missionnaire comprend la mission à partir des différentes commissions du Seigneur
Jésus. Les différentes commissions, lorsqu’elles sont étudiées instruction par instruction, vont
nous enseigner le contenu de la mission de que ça implique. Le Seigneur Jésus a donné d’autres
instructions, par rapport aux missionnaires qui stratifient les missionnaires par rapport à ce que
chacun est appelé à faire. Donc tous les missionnaires ne sont pas appelés à faire la même chose.
Nous allons prendre un exemple : dans Jean au chapitre 4 : 35-38.
Jean 4 : 35-38
Il y a des missionnaires pionniers qui sèment, et il y a des missionnaires secondaires qui viennent
pour moissonner sur le même champ de mission. Il y a des missionnaires qui sèment, il y a des
missionnaires de la moisson. Celui qui est envoyé, doit connaitre sa mission. L’apôtre Paul dit :
j’ai semé, Apollos est venu nourrir, est venu arroser. Donc il y avait le semeur, il y avait
l’arroseur, et même dans le cas que le Seigneur mentionne ici, il y avait le moissonneur. Dans la
mission, la commission définie le travail à faire, le travail distinct qui doit être fait. Et il y avait
d’autres commissions que le Seigneur a donné qui définissait le lieu, ou qui définissait le travail,
qui mettait l’emphase, sur le lieu, ou qui mettait l’emphase sur le travail qui devait être fait. Et
même lorsque le travail à faire était le même, il y avait des commissions du Seigneur Jésus qui
définissaient la période du travail du missionnaire.
Lisons dans Matthieu au chapitre 20 : 1-16 !
Je voudrais vous apporter un message d’encouragement ! tu peux être le missionnaire de la 11 ème
heure. Le passage nous dit que : l’envoie des ouvriers, n’est pas une entreprise qui va prendre fin.
L’envoie des missionnaires, doit continuer ! Le Seigneur l’a commencé. Même si nous savons
que le Seigneur Jésus va revenir à la prochaine heure, envoyons des missionnaires maintenant. Et
la bonne nouvelle c’est quoi ? même si tu es un missionnaire étant un jeune, même si tu es jeune,
et tu s venu en retard, après que les gens comme le frère Zach aient fini de travailler, après que
CT Stud a travaillé, et tu as été paresseux depuis le matin, et à 17 heures, le maitre pose sa main
sur toi, il dit : va dans ma moisson, va dans ma moisson, la Bible dit : tu es aussi important pour
lui que les premiers qui ont été envoyés. Donc ne te décourage pas de ce que tous les vétérans
ont déjà vécu et ils sont morts. L’entreprise missionnaire est autant pertinente aujourd’hui
demain, qu’elle l’était hier. C’est le moment pour toi de partir comme missionnaire. Tu peux être
le missionnaire de 12 heures, le missionnaire de 15 heures, le missionnaire de 17 heures, mets tes
bottes de cent-lieu missionnaires et vas-y ! le maitre t’appelle dans sa vigne. Il ne dit pas qu’il est
trop tard, même s’il reste une seule heure de moisson. Dans l’entreprise missionnaire, il y a aussi
une catégorisation par rapport au temps. Il y a les missionnaires qui sont partis les premiers, et il
y a les missionnaires de la dernière heure et il y a les missionnaires jeunes. Le maitre te veut.
L’entreprise missionnaire n’est pas démodée. Viens ! viens à bord ! viens ! vient à bord ! mes tes
bottes et allons au travail ! la moisson attend. Même si ce n’est que du travail pour une heure, le
Seigneur te veut, le Seigneur te veut.
Calme-toi s’il te plait pour qu’on puisse recevoir la parole que le Seigneur a pour nous !
Lisons Actes 20 : 24 ! (Version Semeur), (Version Parole Vivante)
La plus grande au sujet de la mission, c’est que toi et moi, ayons un sens de mission comme Paul
le déclare pour lui-même dans ce passage. Au-delà de toute l’émotion, nous devons nous assurer
d’avoir un sens de mission. Qu’est ce que c’est un sens de mission ? c’est ce que Paul est en train
de déclarer là. Toute chose mise de coté afin que je puisse accomplir ma mission, même ma
propre vie. Toute chose mise de côté afin que je puisse accomplir ma mission, même ma vie.
Le Seigneur a décrit la mission de plusieurs manières, de manière à inclure tout. De manière à
inclure tous ses enfants. La grande commission est répétée dans la Bible de plusieurs manières
afin d’inclure tout. A certains endroits, il est dit : allez dans toutes les nations ! toutes les
nations !
Certains iront vers des nations !
Toutes les tribus ! certains iront vers les tribus !
Toutes langues, certains d’entre vous, auront besoin d’aller à l’Université et faire des études et
entrer dans certaines langues, entrer dans certaines langues avec l’évangile !
Tous les peuples, certains iront vers des peuples !
Toutes créatures !
Toutes maisons !
Et le Seigneur Jésus-Christ a dit : allez dans toutes les rues, dans toutes les allés, même
jusqu’aux autoroutes ! toutes les villes ! tous les villages !
Cette commission à toutes les nations, à toutes les tribus, à tous les peuples, à toutes les langues,
à toutes les tribus, à toutes, à toutes… à toutes maisons, toutes familles, à toutes créatures, à
toutes classes, à tout homme, il y a de la place pour toi. Il y a ceux que seul, tu peux atteindre. Tu
es notre missionnaire, auprès de certains, tu es notre missionnaire, tu es le missionnaire de Dieu
auprès de certains. Ça pourrait être auprès de ceux qui parlent une certaine langue, au travers de
la traduction, au travers des audios, au travers des scripts. Tu pourrais être le missionnaire de
Dieu auprès d’une certaines tribu qui ne sont que 2000 sur toute la terre. Toutes les nations ! il y
a de la place pour toi. Mais comme Paul, nous devons nous consacrer nous-mêmes, à la mission.
Le Seigneur Jésus-Christ a dit : ma nourriture c’est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé et
d’achever ma mission. Ma nourriture, c’est de faire la volonté de celui là qui m’a envoyé et
d’achever son œuvre. Voilà l’engagement qui est considéré comme un sens de mission. Il élime
beaucoup de distractions, il concentre la personne, ça canalise toutes les ressources vers un seul
objectif, cela investi toutes les relations dans l’accomplissement de ce seul but, cela donne à ta
vie une voie droite sur laquelle courir. Un sens de mission.
Je voudrais que tu baisses la tête et que tu pries ! Dieu nous a appelé de façon généreuse, il a
ouvert grand ses bras pour chacun d’entre nous, je voudrais que tu lui répondes, dans le silence
de ton cœur, pour qu’en partant d’ici, tu ailles le vivre pendant le restant de ta vie. Dieu nous a
généreusement appelé, il a ouvert les portes pour son service à chacun d’entre nous.
Je voudrais que tu fasses l’abandon nécessaire et que tu embrasses cet appel, et que tu partes
d’ici, pour vivre pour cela pendant le reste de ta vie, partout où la vie va te mener. Partout où la
vie va te mener. Prie et écrit ta prière ! c’est juste entre toi et Dieu

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