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Cours

De Biologie Animale 2
ECOLE NATIONALE
D'AGRICULTURE
DE MEKNÈS

Rachid Akki

Scanné avec CamScanner


Les modes de reproduction chez les animaux

Reproduction asexuée et sexuée

La reproduction est l'apparition de nouveaux individus à


partir des anciens : selon le mode asexué ou sexué.

Deux parents
Les modes de reproduction chez les animaux

Reproduction asexuée
■ les gènes des descendants proviennent d'un seul individu et qu'il n'y pas fusion des gamètes
mâles et femelles

■ Repose généralement sur la mitose

Reproduction sexuée
■ Les descendants proviennent de la fusion de gamètes haploïde donnant un zygote diploïde,

■ Les gamètes se forment par méiose,

■ Spermatozoïdes et ovules
■ Production de phénotypes variés qui augmentent les chances de survie
Les mécanismes de reproduction asexuée
• Scissiparité
❖ le parent se scinde pour donner deux ou plusieurs individus de taille
approximativement égale
• Bourgeonnement
❖ fréquent chez les invertébrés
❖ De nouveaux individus se forment à la face externe du parent pour s’en détacher
ensuite, formation de colonies, Ex: coraux
• Formation de gemmules
❖ libération de groupes de cellules variés donnant naissance à de nouveaux
individus, Ex: Eponges
• Fragmentation-régénération
❖ Dissociation du corps en plusieurs morceaux dont certains ou la totalité
deviendront des adultes,

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Un cas particulier : les protozoaires

Division par mitose

Longitudinal chez Transversal chez


les Flagellés les Ciliés
Schizogonie

cndoérythroe v laire ioom ena5

l’hase henatiquc

Anophèle

Cycle de Plasmodium falciparum

7 -5 : schizogonie exoérythrocytaire ;
6-11 : schizogonie érythrocytiare ;
12-18 : gamogonie ,
19 : fécondation ;
20-25 : sporogonie avec réduction chromatique

Scanné
Le bourgeonnement de l’Hydre
d’eau douce

Bourgeonnement de multiplication

Rep'
Les gemmules des
éponges :
Bourgeonnement de résistance

..

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La scissiparité : exemple des Annélides Oligochètes

Deux modalité

1- Fission suivie de régénération

2- Prolifération suivie de fission

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Pas de fécondation = parthénogenèse

Exemple : le phasme
Phasme femelle ■

Ponte

Ovule

Oeuf non fécondé

Éclosion
Pas de mâle
Pas d'accouplement
Pas de fécondation...
Reproduction ASEXUEE
Phasme femelle

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Les mécanismes de reproduction asexuée

• Avantages
□ possibilité d’engendrer une progéniture par des individus vivant

isolément

□ Grand nombre de descendants en peu de temps

□ Le plus avantageux dans les milieux stable car reproduit le génotype

le mieux adapté

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les cycles et les types de reproduction varient considérablement chez
les animaux

• Habituellement, l'activité de reproduction suit un cycle précis souvent


associé à des changements saisonniers

• Les cycles sont déterminés par une série de facteurs hormonaux et


environnementaux

• Les modes de reproduction peuvent être exclusifs ou varier (sexuée ou


asexuée dans certains cas):
J Parthénogénèse
■J Variation selon l'âpreté de la saison
La reproduction sexuée

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0
©
S.
2 adultes de sexe opposé^
« s■■■■nwiuinrâkriUi

2. FECONDATION
Interne ou externe
1. RENCONTRE
Signaux, parades nuptiales,...
Différence entre mâles et
femelles
Différences externes
- Caractères sexuels primaires
■ F<
zoom ena5
1. RENCONTRE
Signaux, parades nuptiales,...

Différences internes : glandes génitales et conduits génitaux IÎS


- Caractères sexuels secondaires
(pas d’intervention sans accouplement et élaboration des gamètes)

Bois du cerf, du daim... Couleur des écailles

Crinière du lion Ergots, crête du coq


2. FECONDATION Truite femelle => ovules
Interne, externe

Ils pondent des œufs


mais....

Ovules arrosés de
spermatozoïdes
FÉCONDATION
Ovules laissés
EXTERNE dans de [Veau
•Pas d’accGUipiemefiji

Chaque ovule
Pas de poissons donne
naissance à un
poisson

"Animaux aquatiques"
Requin : Fécondation interne
Votts voyez actuelle ment Técran de zoom e na5 . Options d,n’affichage '

2. FECONDATION Us pondent des œufë ®


Interne, externe mais...,
_ Œuf proprement dit

L_ Coque gélatineuse
ayant gonflé dans l'eau

FÉCONDATION Têtard en formation

EXTERNE
Accouplement

"Animaux aauatiaues - terrestres


Vousvoyez actuellement l'écran de zoom ena5

2. FECONDATION
Options d'affichage *
a
Interne, externe Ils pondent des œufs mais.

FÉCONDATION
INTERNE
Ascoapienfteirjt

fl
"Animaux terrestres"

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Options d'affichage *

2. FECONDATION Ils pondent des œufs mais.


Interne, externe

FÉCONDATION
INTERNE Hermaphrodisme
AccoupJef/je/ji:

récondiiiiob ini&frjs sezuéè

"Animaux tarmatma"
_______
HOMME TRUITE REQUIN POULE OURSIN FUCUS
ROUSSETT
*
—C. < • —

milieu de vie aerien aquatique aquatique aerien aquatique aquatique


(aérien /
aquatique)
nom des Spermatozo Spermatozoid Spermatozoid Spermatozoid Spermatozoïdes Spermatozoïdes
cellules ides es es es ovules ovules
reproductrices ovules ovules ovules ovules

lieu d’émission Voies Dans l’eau Voies Voies Dans l’eau Dans l’eau
des cellules génitales de Cellule œuf génitales de la génitales de la Cellule œuf dans
reproductrices la femme libérée dans femelle femelle l’eau
Cellule œuf l’eau (exception) Embryon se
se Cellule œuf développe
développe libérée dans dans un œuf
dans le l’eau libéré à l’air
ventre de la libre
mère
viviparité

type de interne Externe interne interne Externe Externe


fécondation
■ (interne/
externe)
résultat de la Cellule oeuf Cellule oeuf Cellule oeuf ' Cellule oeuf Cellule oeuf Cellule oeuf
fécondation
Generaleme Très Environ 30 Quelques uns Plusieurs millions ; bcp
nombre d’œufs
/ de jeunes émis nt 1 nombreux

Peu de survie Generalement Peu de survie Peu de survie


devenir des Generaleme
... «survie . .. . . . ..
L

Des mâles (p©iuir©](u]©3 faire ?


ou des femelles, des femelles que des femelles !

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Vous voyez

Exemple : l'abeille
Abeille mâle faux bourdon

Fécondation
FINE
Reproduction sexuée

Ponte

Pas de fécondation
Oeuf
Reproduction asexuée
(Parthénogenèse)

Éclosion

Abeille femelle

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DEVELOPPEMENT EMBRYONNAIRE CHEZ LES
VERTEBRES

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I- Les modèles animaux

Amphibiens Poulet Souris

<I
'
Il- Les grandes lignes du développement :

• L’Ontogénèse : C’est l’ensemble des étapes qui permettent à un œuf fécondé (zygote)
d’aboutir à un être adulte susceptible de se reproduire
° Fécondation : rencontre des deux gamètes mâle et femelle qui conduit à un zygote
« Segmentation : série de mitoses successives qui conduit à une Blastula (ou morula)
• Gastrulation : mouvement morphogénétique de migration cellulaire qui conduit à une
gastrula
• Neurulation : mise en place du tube ngurale cerveaux + cervelet + moelle épinière qui
conduit à une neurula
• Organogénèse : mise en place des organes. (Adulte)
• Les annexes embryonnaires : Chez les vertébrés supérieurs (oiseaux mammifères) : le
zygote forme en plus de l’embryon des organes destinés à assurer la protection, la
respiration et la nutrition de l’embryon : ce sont les annexes embryonnaires ex : le placenta
chez l’homme. I-
• La nidation : décrit l'étape au cours de laquelle un jeune embryon s'implante dans F
l'endomètre deTutérus, chez les mammifères. _____________ _______ ___________ \L I
Il- Les grandes lignes du développement (suite)

Etapes principales de l’embryogénèse

SEGMENTATION GASTRULATION ORGANOGENESE

* Gastrula ► Neurula ► Adulte

Multiplication cellulaire active Mise en place du feuillet Mise en place progressive des
embryonnaire différenciés et organes (différenciation
{D'une cellule à 103 cellules)
emboîtés selon une disposition cellulaire/ tissulaire)
préfigurant l'organisation du
futur embryon
1
Ensemble cellulaire à Ensemble cellulaire en Ensemble cellulaire
faible niveaux d'organisation cours d'organisation hautement organisés
Ill- Différents modalités de l’ontogénèse dans le règne animai

VIVIPARITE
OVOVIVIPARITE

Embryon se développe Embryon se développe


HORS de f’orgairiiisnie maternel PANS l'organisme maternel
Ill- Différents modalités de l’ontogénèse dans le règne animal (2)

OVIPARE + OVOVIVIPARE
Besoin nutritif embryon satisfait par les réserves de l’œuf
'"Autonome™

VIVIPARE
Besoin nutritif embryon satisfait par les
échanges avec le sang maternel
Le mode ovovovêpare

L’œuf puis l’embryon se développe


dans l'organisme maternel

Besoins nutritifs embryon


satisfaits par les réserves de l’œuf.
« Autonome »

Incubation :
buccale, dans une poche, dans
les voies génitales

Éclosion à l’extérieur ou dans


l’organisme.
III- Différents modalités de l’ontogénèse dans le règne animal (3)

Espèces ovipares

Éclosion
Embryogenèse Développement post-embryonnaire
Métamorphose
▼ Croissance’
Larve ------- -?.>» Jeune ................
œuf fécondé

(Développement indirect)
Embryon ► ou

ADULTE
Croissance
Jeune
(Développement direct)
4^

Espèces vivipares

Parturition
Croissance
Embryogenèse m brnnrnnrntmnmnnnnnnnnnmmmmmnn

Jeune

* Des cas de croissance peuvent également s'observer avant une métamorphose (ex. : Insectes holométaboles).
” Terme utilisé pour les Mammifères vivpares.
ip©s»H»sssi[n©®

Développement direct :

Œuf ------ Jeune Adulte

Développement indirect :
grandes
modifications +
Œuf ----------- ► Larve -———► Adulte
changement de
Métamorphose .milieu
Modification ± importante de forme /------------
Mire©$ ©lh@s tes taasete® s
modifications peu
importantes
(ailes, organes génitaux, taille)

Métamorphose incomplète
ou progressive

modifications
importantes,
changement de
milieu
croissance

Çroissance_co ntinue.deJla tai11e d' un enfant Croissance discontinue de la taille du criquet


IV- Les différente types d’œufs

Types Quantité de Répartition


d’œufs vitellus cytoplasmique
Aléclthes Pas de réserves

Oligolécithes Réserves peu Répartition relativement


abondantes homogène

Hétérolécithes Réserves peu Répartition inégale.


abondantes Existence d’un gradient
vitellin
Centrolécithes Réserves très Masse vitelline regroupée
abondantes au centre de l'œuf

Télolécithes Réserves très Distribution généralisée.


abondantes Zone germinative réduite
à l’état d’un disque
en position polaire
Taille Exemples de taxons
concernés
±100 pm Mammifères aplacentaires
et placentaires
(Métathériens, Euthériens)
...................
±100 pm Échinodermes, Urocordés,
Céphalocordés

± 1 mm Amphibiens, Annélides

± 1 mm Insectes

± 1 cm Mollusques Céphalopodes.
Nombreux Poissons,
Sauropsidés
(Reptiles / Oiseaux),
Mammifères ovipares
(Protothériens)
y. [es différentes modalités de segmentation
1-Segmentation totale ou Holoblastique :
C’est l’œuf entier qui se devise
PA P.A.

Cœloblastulas Sterroblastula

2-Segmentation partielle ou Méroblastique :


Seule une partie de l’œuf (sans vitellus) se devise donnant
VI. Modalités de gastrulation

PHYLA TYPE DE SEGMENTATION TYPE DE GASTRULATION


COELENTERES Totale radiaire Egale ou inégale Immigration (polaire ou
(Cnidaires et cténaires) Cas rares de partielle multipolaires,) déamination
superficielle épibolie et embolie
VERTEBRES Totale radiaire chez les
amphibiens

Partielle chez les poissons, Embolie, épibolie et


les reptiles et les oiseaux immigration

Totale rotationnelle chez les


mammifères
VIL Neurulation et organogénèse

• Mise en place du tube neural et des organes > ADULTE


a

Développement de l’Embryon des amphibiens


A connaître

• Types de reproduction (asexuée et sexuée)


• Les modalités de l’ontogenèse (ovipare, vivipare...)
• connaître les notions de développement embryonnaire (“embryogenèse),
développement post-embryonnaire direct ou indirect, métamorphose, croissance, etc.
• Connaître les notions de: embryon, larve, jeune (“juvénile)..,
• Connaître les phase de développement: segmentation, gastrulation et organogenèse
Cycle de vie de la grenouille
I. L’ovogenese
1- le gamète femelle: un ovocyte secondaire entouré d’enveloppes protectrices

PV

Un double gradient, vitellin et ribonucléoprotéique (RNP), structure l’ovocyte II. Il définit ainsi deux pôles,
pôle animal (PA) et pôle végétatif (PV) aisément reconnaissables.
I. L’ovogénèse (2)

A- Un ovocyte bloqué en metaphase II (ovocyte II)


> le gamète libéré par la femelle est un ovocyte II (=
ovocyte secondaire = ovocyte de deuxième order)
> un ovocyte est une cellule engagée dans la méiose.
Les cellules geminales à l’origine des ovocytes
s’appellent des ovogonies.
> lorsque l’ovogonie s’engage dans la première
division de méiose (division réductionnelle), elle
deviant un ovocyte I (ovicyte primaire).
> Après la prmière division, il y a obtention d’un ovocyte
II (ovocyte secondaire) et d’un premier globule
polaire (noyau et très peu de cytoplasme, appelé à
dégénérer),
> l’ovocyte II s’engage alors dans la deuxième
division de méiose (division équationelle).
> Cet ovocyte II demeure bloqué en métaphase II (la fin
de la méiose n’interviendra que lors de la fécondation
I. L’ovogénèse (2)

A- Un ovocyte bloqué en métaphase II (ovocyte II)


> le gamète libéré par la femelle est un ovocyte II (=
ovocyte secondaire = ovocyte de deuxième order)
> un ovocyte est une cellule engagée dans la méiose.
Les cellules geminales à l’origine des ovocytes
s’appellent des ovogonies.
> lorsque l’ovogonie s’engage dans la première
division de méiose (division réductionnelle), elle
deviant un ovocyte I (ovicyte primaire).
> Après la prmière division, il y a obtention d’un ovocyte
II (ovocyte secondaire) et d’un premier globule
polaire (noyau et très peu de cytoplasme, appelé à
dégénérer),
> l’ovocyte II s’engage alors dans la deuxième
division de méiose (division équationelle).
> Cet ovocyte II demeure bloqué en métaphase II (la fin
de la méiose n’interviendra que lors de la fécondation
I. L’ovogénèse (2)

B- un ovocyte entouré de deux enveloppes protectrices


❖ deux enveloppe extracellulaires:
■ Enveloppe vitelline (évitez le terme « membrane
vitelline »): feutrage filamenteux de protéines et
glycoprotéines adhérant à la membrane plasmique,
■ Gangue: mucopolysaccharides (qui se gorgent d’eau
suite à la ponte) sécrétés par les cellules de l’oviducte
lors de la ponte et qui constituent une enveloppe
épaisse et gélatineuse, associant les œufs entre eux
Un gamète gorgé de réserves qui seront utilisées lors de développement:
La maturation de l'ovocyte, lors de l'ovogenèse, s’accompagne d'une accumulation de réserves
nutritives: c’est la vitellogenèse. l'ensemble de ces réserves pouvant être regroupées derrière le tenue de
vitellus, les réserves se présentent sous forme de plaquettes vitellines riches en macromolécules de
réserve (protéines glycogène,,,) mais aussi des sucres, lipides...

A-Origine exogène (externe) : le vitellus


les plaquettes vitellines
> vitellus
> 80% des réserves protéiques sont d'origine exogène
elles constituent le vitellus
> élaborées dans le foie
> Le vitellus est constitué de protéines hydratées
Croissance des plaquettes vitellines
à partir des vésicules de pinocytose
> et de graisses et de pigments jaunes, Organisation cristalline Issue de l'assemblage
de la phosvitine et de la lipovitelline

> oranges (vitellusjaune).


> Le vitellus pénètre dans l'ovocyte I par pinocytose et
forme les plaquettes et les granulations vitellines
B- Origine endogène (interne) :

Les réserves sont élaboré par l’ovocyte I, elles sont constitué par :

-Des ribosomes (RNP)

-Des ARNm

-DesARNt

-Des pts (ribosomales et du métabolisme)

-Des tubulines (fuseaux achromatique)

-Des granules corticaux (cortex)

-Des granules pigmentaires (mélanine) foncé

Les réserves endogènes sont le résultat d'une réplication particulière d’une partie d’ADN (1000 fois).

Le noyau de l’ovocyte I bloqué en diploteine contient 1000 nucléoles (ARNr)


B- Origine endogene (interne) (2)

Les réserves se distribuent de façon hétérogène dans le cytoplasme et conduisent à une


asymétrie -------------- * Œuf hétérolécithe
établissement de deux gradients : vitellin et ribosomique
Une distribution asymétrique des constituants cellulaires caractérisée par une
polarité (pôes animal et végétatif) et la présence de gradients
/ Matériel génétique situé à un pôle: définit le pôle
animal, notez la position proche du Ie' globule
polaire qui perdure à l'extérieur,
S A l'opposé: pôle végétatif, riche en grosses
plaquettes vitellines,
•S Présence d'un cortex cytoplasmique dont la partie
animale est fortement pigmentée par de la
mélanine (rôle de protection du matériel génétique
contre les UV?)+ présence de granules corticaux.
v" Existence de deux gradients de répartition des
constituants cytoplasmiques:
• Gradient vitellin: plaquettes vitellines de plus
en plus grosses et abondantes à mesure qu’on
PV
va cers le pôle végétatif
• Gradient ribonucléoprotéiques: ARN Un double grad eni. vitellin et nborxick-oprotéique (RNP). structure l'ovocyte II, Il définit ainsi deux pôles,
pôle animal (PA) et pôle végétatif (PV) aisément reconnaissables
(notamment ARNr), protéines et ribosomes
d'autant plus abondants qu'on s'approche du
pôle animal,
2- Le spermatozoïde, gamète mâle motile hautement différencié

❖ Trois parties dans le spermatozoïde: tête, pièce


intermédiaire, flagelle.
❖ Tête: présence d’un noyau avec génome haploïde
hautement condensé + acrosome ( vésicule remplie
d’enzymes capables de digérer les enveloppes
protectrices de l'ovocyte, notamment l’enveloppe
vitelline).
❖ Pièce intermédiaire: à la base centrosome sur lequel se
fixe l’axonème (structure cytosquelette à l’origine de
la motilité de la cellule). + nombreuses mitochondries
permettant la production d’ATP (présence de fructose
dans le sperme).
❖ Flagelle: essentiellement constitué de l’axonème
2- Le spermatozoïde, gamète mâle motile hautement differ

Trois parties dans le spermatozoïde: tête, pièce


intermédiaire, flagelle.
Tête: présence d’un noyau avec génome haploïde
hautement condensé + acrosome ( vésicule remplie
Mitochondrie
d’enzymes capables de digérer les enveloppes
PIÈCE
protectrices de l'ovocyte, notamment l’enveloppe INTERMEDIAIRE

vitelline).
Annulus (anneau dense)
Pièce intermédiaire: à la base centrosome sur lequel se Axonème

fixe l’axonème (structure cytosquelette à l’origine de Gaine fibreuse

la motilité de la cellule). + nombreuses mitochondries


permettant la production d’ATP (présence de fructose
dans le sperme).
Flagelle: essentiellement constitué de l’axonème
II. ponte ovulaire et fécondation

Ponte ovulaire :

Les amphibiens sont ovipares. La femelle pond plusieurs œufs (printemps) qui sont recorîvën^âmês
spermatozoïdes L’accouplement et la ponte ont lieu dans l’eau. Fécondation externe

□ La fécondation :

Les spermatozoïdes traversent la gangue, le chorion et viennent au contact de la membrane


ovulaire de l’ovocyte IL Le noyau est injecté par fusion membranaire : formation du zygote
(2n).
□ La fécondation

1. Reconnaissance entre spermatozoïde et


constituants des enveloppes protectrices
(surtout l'enveloppe vitelline)

2. Exocytose des enzymes acrosomiale (=


réaction acrosomiale) permettant la digestion de
ces enveloppes.

3. Plus fusion des cytoplasmes (plasmogamie),


aboutissant à la libération du noyau du
spermatozoïde (pronucléus mâle) dans le
cytoplasme ovocytaire.
1. L’activation :
• 1 à 2 h après la fécondation, on observe que le cortex du cytoplasme subit une rotation d’environ 30°. c’est la
rotation corticale. Il s’ensuit la formation d’une zone auparavant pigmentée à présent dépigmentée que l’on
nomme parfois le croissant gris, cette zone définit le pôle dorsal de l’œuf ( et en face, on trouvera donc le pôle
ventral): il y a mise en place de l'axe dorso-ventral,
• En outre, on peut faire passer un plan de symétrie au milieu du croissant gris: le plan de symétrie bilatérale est

membrane gangue
de "fécondation
Représentation schématique des réactions d’activation (vues externes). Après la fusion avec le
spermatozoïde (spz), la formation de la membrane de fécondation et de l'espace périvitellin rend l'œuf libre
dans ses enveloppes. Il s'oriente en fonction de la pesanteur (1). La tache de maturation disparaît, le
second globule polaire est émis. Enfin, la rotation corticale (2) conduit à la formation du croissant dépig­
menté (croissant gris). Il marque la future région dorsale de l'embryon. Le second axe est mis en place:
l'axe dorso-ventral (D-V).
Représentation schématique de la rotation corticale. Après la fécondation, la rotation corticale
conduit à la mise en place du croissant dépigmenté (croissant gris). Sa position détermine la future région
dorsale de l'embryon.
pôle animal - pôle végétatif

Définition des axes


PV
de polarités et du plan
axe pôle animal-pôle végétatif
de symétrie bilatérale Représentation de l'œuf après la rotation corticale. La rotation corticale conduit à la mise en place
sur la cellule-œuf d'un deuxieme axe de polarité (axe dorso-vcntral). Il est marqué par le croissant gris qui détermine la
future région dorsale de l'embryon. Sont figurés les futurs plans de segmentation.

La cellule-œuf est observée sur sa face dorsale repérable par la présence du croissant gris.
PA. PV: pôle animal. pOle végétatif; D: face dorsale présomptive.
Rotations d’orientation et de symétrisation dans l’œuf d‘Amphibien. A : Œufs dans / ’oviducte orientés de
façon quelconque. B et C : Pénétration du spermatozoïde, décollement de la membrane de fécondation,
rotation d’orientation. D-F : Rétraction superficielle du pigment vers le point de pénétration du spermatozoïde,
et formation du croissant gris dorsal. Remaniement profond du cytoplasme végétatif et formation du rempart
vitellin dorsal. OEuf vu en coupe sagittale avant (D) et après (F) la rotation de symétrisation.
2. L’amphimixie : (fusion des 2 noyaux)

Elle se fait dans l’hémisphère animal. Elle rétablit la diploïdie (2n). Le pronucléus (haploïde)
laisse derrière lui une traîné de pigment : traînée spermatique

Rapprochement
III. la segmentation :
La segmentation chez les amphibiens, Elle est totale radiaire inégale (micromères et macromères) k
Le 1er plan de division est méridien (PA- 2 cellules 4 cellules 8 cellules Morula
PV) dans 50 % des cas coïncide avec le
plan de symétrie bilatérale (plan sagittal).
Stade 2 : 2 blastomères= 2
cellules filles
Le 2eme plan est encore méridien
égalé Mesomeres
perpendiculaire au 1er plan.
Stade 4 : les divisions sont Pôle animal
Inégale ou déplacée
Micromères
synchrones
Le 3eme plan est latitudinal au-dessus de
l’équateur
Stade 8 : 4 micromères et 4
macromères Macromeres
Pôle végétatif

Par la suite les macromères riches en plaquettes vitellins se divisent plus 1


les micromères (granulations). Les divisions deviennent asynchrones I
III. la segmentation
La segmentation chez les amphibiens, Elle est totale radiaire inégale (micromères e
Le 1er plan de division est méridien (PA- 2 cellules 4 cellules 8 cellul
PV) dans 50 % des cas coïncide avec le
plan de symétrie bilatérale (plan sagittal).
Stade 2 : 2 blastomères= 2
cellules filles
Le 2eme plan est encore méridien
égalé Mesomeres
perpendiculaire au 1er plan.
Stade 4 : les divisions sont Pôle animal
inégale ou déplacée
Micromères
synchrones
Le 3eme plan est latitudinal au-dessus de
l’équateur
Stade 8 : 4 micromères et 4
macromères Macromères
Pôle végétatif

Par la suite les macromères riches en plaquettes vitellins se divisent plus lentement que
les micromères (granulations). Les divisions deviennent asynchrones
Segmentation chez les amphibiens
Blastomères

La segmentation ou clivage, étape de /


divisions cellulaires permettant >.
l’acquisition de la pluricellularité
Stade 2 ccllulus Stade 4 cellules

Stade 32 et 64 cellules : monda (« petite Blastula


mûre ») Après (à partir du stade 128 P.A. P.A.
cellules) : blastula.
Nombreuses mitoses permettant la
formation de deux, puis quatre, puis huit
cellules,
etc. ... Les cellules de l’embryon
P.v. p.v.
s’appellent blastomères. Stade 16 cellules Stade 32 cellules Vue externe Coupe méridienne

• À partir de la troisième division : mitoses inégales. Il y a formation de quatre micromères au PA et quatre


macromères au PV.
• Mitose = à maîtriser parfaitement ! !
• Stades 32-64 cellules : stade morula.
• Fonnation progressive d’une cavité liquidienne dans l’hémisphère animal = blastocœle.
• 128 cellules et plus : embryon = blastula.
• Plus de 10 000 cellules dans la blastula finale !
Segmentation chez les amphibiens
Blastomères

La segmentation ou clivage, étape de /


divisions cellulaires permettant l
l’acquisition de la pluricellularité
Stade 2 cellules Stade 4 cellules Stade 8 cellules

Stade 32 et 64 cellules : monda (« petite d) Blastula


mûre ») Après (à partir du stade 128
cellules) : blastula.
Nombreuses mitoses permettant la
fonnation de deux, puis quatre, puis huit
cellules,
etc. ... Les cellules de l’embryon
s’appellent blastomères.
À partir de la troisième division : mitoses inégales. Il y a formation de quatre micromères
macromères au PV.
Mitose = à maîtriser parfaitement ! !
Stades 32-64 cellules : stade morula.
Formation progressive d’une cavité liquidienne dans l’hémisphère animal = blastocœle.
128 cellules et plus : embryon = blastula.
Plus de 10 000 cellules dans la blastula finale !
Rappel: étapes de la
mitose
Blastula
La blastula, structure pluricellulaire organisée
et cohérente (pour information) [UUUWlfl- Microvillosités

Jonctions sorrôos
B astocooo
• Cellules plutôt de type épithélial, présence de Cadhérines
Micromères
jonctions intercellulaires (jonctions serrées,
Jonctions lacunaires
jonctions gap...) permettant la cohésion mais
Noyau
aussi la communication entre cellules.
Intégrines
• Libération de facteurs paracrines par certaines cellules qui Matrico
diffusent selon un gradient de concentration ; la présence ou exlracellulaire
sur le toit
non de récepteurs à ces facteurs participera à l'induction
* des du blastocoelc
cellules.

* Induction = ensemble de mécanismes aboutissant à une Macromères Cadhérines


e différenciation de cellules.
dit des cellules programmées à donner un
culier
isemble des processus permettant à une cellule d'acquérir les caractères d'un types
r. Une cellule complètement différenciée entre en général en phase GO et ne peut
se diviser.
Blastula
La blastula, structure pluricellulaire organisée
et cohérente (pour information)

8 astocoo g
• Cellules plutôt de type épithélial, présence de
Micromères
jonctions intercellulaires (jonctions serrées,
jonctions gap...) permettant la cohésion mais
aussi la communication entre cellules.
• Libération de facteurs paracrines par certaines cellules qui
diffusent selon un gradient de concentration ; la présence ou extracellulaire
sur le toit
non de récepteurs à ces facteurs participera à l'induction
* des du blastocoele
cellules.

* Induction = ensemble de mécanismes aboutissant à une Macromères Cadherines


détermination ou une différenciation de cellules.
Détermination = se dit des cellules programmées à donner un
type cellulaire particulier
Différenciation = ensemble des processus permettant à une cellule d'acquérifcles caractères d'un types
cellulaire particulier. Une cellule complètement différenciée entre en général en phase GO et ne peut
généralement plus se diviser.
IV. La Gastrulation :
La gastrulation a essentiellement
pour effet de faire apparaître
l’ébauche du tube digestif et de
mettre en place les divers
feuillets embryonnaires. Elle se
réalise différemment selon que la
segmentation est totale ou
partielle.
Épiderme Neuroderme
A. Les territoires Blastocèle
présomptifs : Mésoderme
caudal
Mésoderme caudal
Mésoderme cordai
1) la technique des Mésoderme
Mésoderme précordai
des lames
latérales
marque colorées (Vogt Côté Côté Endoderme
ventral dorsal
1925) p.v.
Vue en coupe sagittale
IV. La Gastrulation :
La gastrulation a essentiellement
pour effet de faire apparaître
l’ébauche du tube digestif et de
mettre en place les divers
feuillets embryonnaires. Elle se
réalise différemment selon que la
segmentation est totale ou
partielle.

A. Les territoires

Vue en coupe sagittale


PA
Mise en évidence de la gastrulation : techniques des marques
colorées (VOGT, 1925) et observations externes ou de coupes
Représentation de la méthode des marques colorées, vue
au microscope électronique à balayage de l’embryon au
cours de la gastrulation

• Première approche : VOGT, 1919 : dépôt de marques


colorées et suivi de leur évolution : l’extension de la tache
colorée marque une extension du tissu, leur disparation au
niveau du blastopore indique T involution (par un
mouvement d’invagination du tissu à l’intérieur de
l’embryon) du tissu correspondant, etc. ...
• Deuxième approche : suivi de la forme extérieure du
blastopore (= orifice qui se creuse et évolue au cours de
la gastrulation) qui définit les différents stades de la
gastrulation :
• stade « encoche bastoporale »
• Stade « fer à cheval »
• Stade « bouchon vitellin »
• Stade « fente blastoporale »
• Troisième approche : observation de coupes d’embryons
Mise en évidence de la gastrulation ; techniques des marques
colorées (VOGT, 1925) et observations externes ou de coupes
Représentation de la méthode des marques colorées, vue ( s»
au microscope électronique à balayage de l’embryon au
cours de la gastrulation b a. <rj.d-d«t

• Première approche : VOGT. 1919 : dépôt de marques


colorées et suivi de leur evolution * 1 extension de la tache
colorée marque une extension du (issu, leur disparation au
niveau du blastopore indique T involution (par un
mouvement d’invagination du tissu à l’intérieur de
l’embryon) du tissu correspondant, etc. ...
• Deuxième approche : suivi de la forme extérieure du
blastopore (= orifice qui se creuse et évolue au cours de
la gastrulation) qui définit les différents stades de la
gastrulation :
♦ stade « encoche bastoporalc »
• Stade « fer à cheval »
* Stade « bouchon vitellin »
• Stade « fente blastoporale »
• Troisième approche : observation de coupes d’embryons

«I. Stade de la f* Me blastoporala


Techniques des marques colorées

Elle consiste à marquer par des


colorants vitaux. Les territoires
cellulaires de la blastula (rouge
neutre et bleu de Nil)
Cette technique a démontré que
tous les futurs organes sont déjà
Vue externe de profil Vue externe, face dorsale
représentés par des territoires
cellulaires précis formant une
Épiderme Neuroderme
mosaïque. Ce sont les territoires
Blastocèle
présomptifs = carte des Mésoderme Mésoderme caudal
caudal
territoires présomptifs Mésoderme cordai
(destinées) Mésoderme
des lames Mésoderme précordai
latérales
Côté Côté Endoderme
ventral dorsal

Vue en coupe sagittale


Gastrulation d’embryon d’Amphibien
Urodèle. Vues externes dorsales. la lèvre
Blastopore Lèvre latérale
blastoporale dorsale (A) se prolonge par des lèvres (lèvre dorsale) du blastopore
latérales (B, C) qui se rejoignent par une lèvre ventrale
(D). Le tout circonscrit un bouchon vitellin qui se
réduit (D, E) etfait place à unefente blastoporale (F)
quand Pendoderme a disparu à l’intérieur. Les vues en
coupe sagittale montrent laformation de
l’archentéron, la réduction du blastocèle, l’élongation
desfeuillets ectodermiques et mésodermiques. A lafin
de la gastrulation, l’embryon bascule sur laface
ventrale (F). Des marques colorées, représentées ici en
noir, sont déposées à la surface de la blastula. On suit Lèvre ventrale Bouchon Fente
du blastopore vitellin blastoporale
leurs déformations et leurs migrationsjusqu ’à lafin de
la gastrulation. Les territoires sont représentés suivant
des conventions précisées

Blastocèle Archentéron
Résultat de la gastrulation

L’observation externe de la gastrulation se traduit par


l’apparition d’un sillon en arc au-dessous du croissant gris :
encoche blastoporale.
Les lèvres dorsales se prolonge par les lèvres latérales (anse
panier) et se referme vcntralement en cercle par la lèvre ventrale
: formation du blastopore.
Les lèvres encerclent les cellules de l'hémisphère végétatif qui
pénètrent à l'intérieur du germe et forment le bouchon vitellin.

A la fin le blastopore circulaire se transforme en fente blastoporale.


Les mouvements de gastrulation
Les mouvements externes

• Initialisation : formation du
blastopore (^dépression), sous
l'emplacement du croissant gris, par
déformation des cellules en
bouteille (contraction apicale plus
élongation microtubules)
* Mouvement d’invagination
=cmbolie : à partir de la région
médio-dorsale, en s’étendant
latéralement puis ventralement, par
recrutement de cellules; aboutit à la
formation du bouchon vitellin
(internalisé ensuite en fente
blastoporale=ouverture de
l’archentéron)
Cellules en
bouteille

Formation de
î’archentérone

canne a
Les mouvements internes

• Mouvement d’involution : cellules adjacentes


poussées vers l’intérieur, les cellules
mésodermiques migrent vers le pôle animal et vont
se retrouver sous l'ectoderme. Cela s'accompagne
de remaniements cellulaires :
1. intercalation radiaire des cellules de la
couche profonde de la zone marginale qui ne
formeront plus qu’une seule couche, et
2. rassemblement, par intercalation latérale, des
cellules mésodermiques ayant pénétré
dorsalement. en une ligne médiodorsale
provoquant une élongation antéro-postérieure
vers le pôle animal, “extension convergente.
De plus, les cellules vitellines fondatrices de
l'endoderme se sont invaginées passivement
pour former le plancher de l’archentéron
thee le aé*r>op» (rvrt en compel teg'ttf>ei)
représentation schématique des processus
d'intercalation.
a. intercalation radiale provoquant l'épibolie des cellules
superficielles.
b. intercalation latérale (médio-latérale) des cellules de la
canné avec CamScanner
V. La Neurulation : la neurula
les mouvements neuraux :
Le neuroblaste au plaque neurale prend une
forme en raquette élargie vers l'avant et dont
les bords se soulèvent : bourrelets ou replis
neuraux.
La partie centrale axiale se creuse : gouttière
neu raie.
Par la suite les bourrelets se soudent. La
soudure commence au milieu, puis progresse
vers la queue (arrière) et vers l’encéphale
(avant)
Après la soudure le tube neural se détache de
Mwedwire caudal---------- ;
l'épiblaste et s’enfonce au-dessus de la corde.

Neurulation d'embryon dAmphibien. 3 stades différents : Plaque neurale, gouttière neurale et tube neural. Haut.
vues externes dorsales. Milieu : coupes transversales. Bas : coupes longitudinales.
’*• Organogenèse = mise en place progressive des
ébauches d’organes puis organes. Comprend au
sens large :
• La neurulation : l'embryon est une
neurula.
* L’organogenèse au sens strict : l’embryon
est un bourgeon caudal puis devient
finalement une larve prête à éclore.
VI. Organogénèse et devenir des feuillets

Post.

ibcanner
INeuroderme Cerveau
Ectoderme Moelle épinière
Crêtes neurales Ganglions et fibres des nerfs crâniens mixtes et leur gaine dt
Schwann, méninges, une partie du squelette céphalique,
cellules pigmentaires, médullosurrénales, etc.
Épiblaste Epiderme,
Dents,
Placodes
Cltorde Guide l’édification de la colonne vertébrale
Dermatome Derme
Sclérotome Squelette vertébral
Myotonie Muscles
Mesoderm
e Somites
Pièces Gonanéphrotome Reins canal de Wolff
intermédiaire Une partie des gonades
G Somatophore Péricarde, derme latéral. Crêtes génitales.
Lames Charpente conjonctive des muscles
latérales splanchnopleure Muscles lisses, rate, mésentère, appareil circulatoire
Endoderm Tube digestif, foie, pancréas, trachée, poumons, oreille
e moyenne, thyroïde
Coupe transversale
d’un embryon lors de
l’organogenèse au
sens strict
V
ë>ILftU ; DEVENIR DES FEUILLETS EMBRYONNAfRES CHEZ LES VERTÉBRÉS
'blastula GASTRULA NEURULA BOURGEON CAUDAL,■! ORGANES DÉF.N1TFS_____________________________________
cpldermo épiderme épldêrrne. dérivés cutanés (glandes, phénères),slomodeum, orociooeum
placodes dérivés sensoriels ^citslalin, narine, oretle, ligne latérale), hypophyse anté/teur
Crêtes neurales crêtes ncuraios gg crâniens, rachidens, synpathques, médultosurrênile; celiiles pigmentaires
EctoblastQ
prosencephala léier eéphate (némsphérM cérébraux) e! dlencâphale
mêsencéphalo mésancépjiale
Tube neural-
rhombencéphalo rnéloncéphalo (cervelet) et myélcncéptulo (bulbe racttdlon)
tube neural post. morale épinlére el racine ventrale motrice des nerls rachidiens
Mésoderme axial— chorde (eh «de embryonnaire)
mésensh. prôchordal squelette, conJoncM et muscles aânIons
dermatome derme
SOUA Mésodorme
myotome muscles strés squelottlquîs
somltlquo
seférotorro *iefle
sgu niia). cobnne vedébrals _______________________________
Chordo- Pièce Intermédiaire’ gorwnéphrofome appiro# urc-génltal néphrons, ccnaJ do Woltl, cellules somatiques dî$ flOtUdes
mésoblaste
muscles vlscérail» céphaliques, squelette appetxlicula ro. aères génitales
aomatopleure
feulilol prwMtaldu pérltolna, des plèvres,du péricarde
llésodermedes
vité cœlomique caviJés péri:ardiqw, pleurale el péritonéale
'âmes latérales
muscles U si es des viscères, muscle cardiaque
splanchnoploure
«(kdathéliurr das vaisseaux âàngulns, cellules sanguines
Joui b I viscéral du oêrltolna «I dos plèvres
ébauche pulmonaire apparei respiratoire pulmonaire
Endoblaste Endoderme
poches branchiales Apparel respirators brandiiat
archenléron tube digest! e1 planées arnaxos,'glandes salivaires, fclo, pancréas)
GERME M Cellules germinales primordiales ovogonies ou spermatogonies
Scanné avec CamScanner
METAMORPHOS

Scanné avec CamScanner


Créer la fiche de révision
• réaliser un lexique des principales définitions
• constitué des schémas et des tableau
° Ovocyte et ses réserves
° Spermatozoïde
° Axone nie et son fonctionnement
° Fécondation et réaction corticale
° Rotation corticale
° Rotation d’équilibration
° Segmentation
° Blastula
° Variation du rythme des divisions lors de la segmentation (graphe)
° Tous les schémas sur les divisions cellulaires !
° Gastrulation :
° Neurulation (coupes transversales)
0 Neurula jeune (CT)
° Bourgeon caudal (neurula âgée) : coupe sagittale + coupe transversale
° Devenir des feuillets lors de l’organogenèse et chez l’adulte (tableau)
O
Développement de l’Embryon des oiseaux

Scanné avec CamScanner


Bilan de la mise en place de
l’organogenèse
symétrie radiaire
OVOCYTE II réserves d*ARN (bleu)
réserves de protéines (jaune)
état unicellu'.airo polarité structurale
< et moléculaire J

ZYGOTE réactions d'activation


symétrie bilatérale
état unicellulaire déterminants cytoplasmiques

SEGMENTATION

BLASTULA z mitoses
5 heures micromères animaux (bleu)
macromêres végétatifs (jaune)
état pluricellulaire détermination dos trois
et diblastique feuillets embryonnaires .

GASTRULATION
GASTRULA
épibolie
9 heures
involution

morphogér.étiquos
matrice extracellulaire (marron)
mise en place dos trois migration
feuillets embryonnaires extension-convergence
l rotation .
état triblastique
ORGANOGENÉSE
EMBRYON
24 heures
organogonôso du tube neural

dérivés cctodormlques (bleu)


dérivés mésodermiques (rouge)
dérivés endodermiques (jaune)/
poule

accouplement

SUM U (22 Mm*-.]

coq oupoule
Développement de (’Embryon des oiseaux
I. Organisation de l’œuf et de ses enveloppes
■/ La croissance de l’ovocyte se déroule lentement
jusqu’à une semaine environ avant l'ovulation
J l’œuf passe de 0,2 à 16 grammes environ. Il se dépose
un vitellus dont les éléments sont élaborés dans le foie. Noyau de Pander
Cicatricule

V Le jour, un vitellus jaune se forme, plus riche en Vitcllm jaune

graisse et en pigment que le vitellus nocturne qui est Membrane chalazifère

Chambre à air Membrane vitelline


blanc.
Membrane Chataze
■S La latebra est la masse centrale du vitellus coquillière
externe
anciennement formé,
Membrane
J le col et le noyau de Pander marquent le chemin de coquillière
interne Membrane
migration de la cicatricule encore appelée disque plasmique

germinatif vers la surface du cytoplasme pendant la Latebra


Vrtelltn blanc î Albumine
croissance de l’œuf. Coquille calcaire

S La cicatricule, de 3 mm de diamètre, marque le pôle animal de l’œuf ; constituée de cytoplasme


sans réserve dans lequel se trouve le noyau, elle seule se segmentera
2. FECONrfSWFT
Interne, externe

FÉCONDATION
INTERNE
AecoupJernani

"Animaux terrestres"
Ill - La segim
> À Tissue de la segmentation, formation de blastodisque
deux cellules

Segmentation
méroblastique des
œufs télolécithes quatre cellules

huit cellules

> le pôle postérieur du futur embryon se trouve en périphérie.


> Alors que le pôle antérieur se trouve vers le centre
> Même si on a une seule couche de cellules dans le disque, on suppose que la face
vitelline sera la face dorsale.
Segmentation méroblastique des œufs télolécithes : l'œuf de Poule :
• Segmentation discoïdale qui débute dans la partie haute de l'oviducte. ■-------------
• Les 3 premiers clivages sont perpendiculaires à la surface du cicatricule (= blastodisque) et font
une découpe en tranches plus ou moins régulières.
1er clivage : méridien qui part du centre du cicatricule vers les extrémités.
2ime clivage : méridien, perpendiculaire au 1er plan de clivage (et perpendiculaire à la surface
de l'embryon)
3ilTie clivage : méridien (apparition de 2 sillons latéraux parallèles au 1er plan de clivage.
Clivages suivants : latitudinaux, très irréguliers, et asynchrones.
• On obtient des blastomères superficiels, individualisés et séparés par une couîhe (ou assise)
syncytiale. Il y a un contact cytoplasmique entre les blastomères.
Jusqu'au stade 64 cellules, on se trouve dans le stade morula.
• Après, on arrive dans le stade blastula, caractérisé par l'apparition d'une cavité entre les
blastomères et le vitellus, remplie d'un liquide sécrété par les blastomères.
• Elle est appelée cavité sous germinale, cavité de segmentation ou blastocœle primaire.
iêcondation
> La progression de l’ovocyte dans l’oviducte
> L’œuf va entrer en rotation et effectue ainsi de 10 à 12
tours par heurs
> (témoignage de cette rotation est l’aspect des
chalazes)
> Le blanc et la coquille peuvent très facilement tourner
> Le vitellus étant trop lourd, l'embryon ne pourra que
s’incliner.
> A ce moment-là que le véritable axe antéro postérieur
est Détermination
cha’aze
Segmentation etformation de la
blastula chez l’embryon
d’Oiseau. A ‘ Premiers stades de
segmentation de 11embryon d’Oiseau en vue
polaire (Blastodisque, stades 2, 4,8, 16 et
128 blastomeres). B ; Jeune blastula (stade
32 à 64 cellules), le blastocèle se forme par
clivages horizontaux au-dessous des
blastomeres centraux; sa présence délimite
l’aire pelhicide. C ; Formation de
1’hypoblaste; cefeuillet provient de
l’immigration dans le blastocèleprimaire,
de cellules isolées (hypoblaste primaire),
qui sont progressivement incorporées dans
lefeuillet provenant de l'aire postérieure,
l’hypoblaste secondaire.
û.'itellus

Blastodisque

C Formation de l'hypoblaste

Zone marginale Ectophylle Zone de


postérieure recouvrement

Région Région
postérieure antérieure
Hypoblaste Blastocèle Hypoblaste Zone de
secondaire secondaire primaire jonction
8 g
IV - La gastrulation :
• Grâce à ces phénomènes,
• on a formation de 2 petits monticules délimitant au centre une
petite dépression : c'est la ligne primitive.
• Lorsque cette ligne arrive à peu près au milieu du
blastodisquc. on voit que la partie antérieure s’épaissit : Ligne primitive
c’est le futur nœud de Hensen. Nœud dc H<_nMn
• qui est l'équivalent de la lèvre du blastopore des Amphibious.

Aire opaque

Ligne primitive et nœud de Hensen siège de mouvement d’immigration cellulaire


place du feuillet mésodennique entre l’ectoderme et l'endoderme
mise en
Carte des territoires présomptifs du blastoderme

A : Avant la ponte. B : Vers 12 h d’incubation. Le feuillet superficiel a été enlevé sur le


côté droit du schéma pour montrer les mouvements de l'endoderme et du mésoderme
(tracés en pointillés). Sous l’équateur, les territoires de I'endo-mesoderme convergent, î
la manière d’un éventail qui se referme, vers la ligne primitive puis divergent après
immigration.
Repli

V - La neuru r céphalique

Proion-g
<épn
A19h,
l'extension de la ligne primitive vers le pôle
antérieur est maximale,
mais pendant les 2 jours suivants, elle va régresser.
Lors de cette régression, on assiste à la mise en
place de structures de type somite,
repli céphalique vers le pôle antérieur.
Ces différentes formations ont pu se développer car
pendant l'extension de la ligne primitive, on a eu des
mouvements cellulaires actifs.
Ligne
Neurulation chez l’embryon d’Oiseau. 3 stades primitive
sont représentés ; 19 h, 21 h et 25 h. La cotrpe
sagittale (à droite) et les 2 coupes transversales (a
et b en bas) correspondent au stade 25 heures.
L’embryon étant translucide, les differents Somites
) . Pièce intermédiaire
niveaux sont visibles. Les lignes a et b permettent
de situer le niveau des structures observées sur les
coupes a et b. Splanchnopîeure
En avant du nœud de Hensen ----- >
épaississement mésodermique : prolongement
céphalique correspondant à la formation de la chorde
sous l’ectoderme.
L’éctoderme se plisse ------ > bourrelet neuraux :
début de la Neurulation
L'extrémité antérieur de l'embryon se soulève en une
structure qui ébauche la tête : soulèvement céphalique
25-26h le soulèvement céphalique s'accompagne du
tube digestif antérieur, veiitralenient l'endoderme
s’enroule et forme la porte intestinale
Dorsalement les bourrelets neuraux céphalique sont
affrontés l'ensemble enveloppé dans l'épiderme ----->
se soulève et s’individualise au dessus du jaune.
Reoli amniotique

Embryon d’Oiseau de 33 heures en vue dorsale et en


coupes sagittale et transversales. L'organogenése a
commencé : ! 'encéphale se découpe en 3 vésicules
cérébrales, les vésicules optiques sontformées. Le coeur
est déjàfonctionnel. L'intestin antérieur est délimité. Le
repli amniotique antérieur recouvre la tête.

Finalement, on voit bien que le Poulet est un


modèle assez complexe, et notamment du fait de
la dissociation des cellules. Ce phénomène est
d'ailleurs dû au "scatter factor", qui est une
cytokine favorisant également la prolifération des
hépatocytes. Chez le Poulet, on connaît très peu
les mécanismes de migration cellulaire, et les
modes de différenciation sont encore
inconnus...
Embryogenèse
Embryon à 68 heures d'incubation.
ANNEXES EMBRYONNAIRES
• Ce sont des formations d’origine ectodermique,
mésodermique et endodermique qui se développent hors
du corps de l'embryon proprement dit.
• Elles assurent des fonctions de protection, d’absorption
des réserves, de respiration, de stockage et
d’élimination des déchets.
• Vers 20-24 heures d'incubation, le corps de l'embryon
commence à se distinguer des tissus périphériques ; les
plis antérieur, postérieur et latéraux le soulèvent et
l’isolent de la masse vitelline. Pendant ce temps, les
feuillets embryonnaires s'étendent hors du corps de
l'embryon et vont contribuer à former les annexes :
vésicule vitelline, amnios et allantoïde. Celles-ci
s'individualisent tandis que l'isolement de l'embryon par
rapport à la masse de l'œuf s’accentue rapidement.
Embtyon

Repli amniotique ——, ,— Somatopleure


. e«trxmbryonn
*re
\ splanchnopleure
r\~ *'extra-embryo
"

Endodetme

C_ Vite llul
• À 96 heures d'incubation, il n’est plus
relié à la vésicule vitelline et à
l’allantoïde que par les pédicules
vitellin et allantoïdien.
• La cavité amniotique l’entoure alors
complètement.
• Ces mêmes annexes vont se retrouver
au cours de l’ontogenèse des
Mammifères o
0

Développement de l'Embryon des oiseaux


/,lconœ/l(Jfl
inl8me

croissance
continue

coq""poule
Développement de !'Embryon des oiseaux
1. Organisation de l'œuf et de ses enveloppes
✓ La croissance de l'ovocyte se déroule lentement 0
jusqu'à w1e semai.ne environ avant !"ovulation
✓ l'œufpasse de 0,2 à 16 grammes environ. Il se dépose
un vitellus dont les éléments sont élaborés dans le foie. Cwc.ttnrule

✓ Le jour, un vitellus jaune se forme, plus riche en


graisse et en pigment que le vitellus nocturne qui est
blanc.
.,__
Clumbr•hlr

✓ La latebra est la masse centrale du vitellus


ancieuuement formé. ,.-,�ne
coqutl6êl�

✓ le col et le noyau de Pander marquent le chemin de


migration de la cicati;cule encore appelée disque
germinatif vers la surface du cytoplasme pendant la
croissance de l'œuf.

✓ La cicatl"icule, de 3 mm de diamètre. marque le pôle animal de l'œur; constit11ée de cytoplasme


sans réserve dans lequel se trouve le noyau, elle seule se segmentera
z. rC:-WQl"tl,;,Mll'-1
Interne, externe lia pondent dea etufa mala ....

FÉCONDATION
INTERNE
( Trajet des
w:.
spermatozoîdes --'-�

:· Trajet de l'oeuf

� -:
., _,,

"Animaux terrestres"
Ill - La segm
► À l'issue de la segmenta1ion, formntion de blastodisque
deux cellules

Segmentation
méroblnstique des
œufs télolécithes quatre œRules

huil œltules

D tUl

► Je pôle postérieur du futur emb1yon se trouve en péripbé!'ie.


► Alors que le pôle antérieur se trouve vers le centre
► Même si on a une seule couche de cellules dans le disque, on suppose que la face
u;ti>llinP �PM l'll f-:,,,-.p rl"rc-311>
Segmentation méroblastigue des œufs télolécithes : l'œuf de Poule :
• Segmentation discoïdale qui débute dans la partie haute de l'oviducte.
• Les 3 premiers clivages sont perpendiculaires à la surface du cicatricule (= blastodisque) et font
une découpe en tranches plus ou moins régulières.
1°' clivage: méridien qui part du centre du cicatricule vers les extrémités.
2•m• clivage: méridien, perpendiculaire au 1er plan de clivage (et perpendiculaire à la surface
de l'embryon)
3'm• clivage: méridien (apparition de 2 sillons latéraux parallèles au 1 er plan de clivage.
Clivages suivants : latitudinaux, très irréguliers, et asynchrones.
• On obtient des blastomères superficiels, individualisés et séparés par une couthe (ou assise)
syncytiale. Il y a un contact cytoplasmique entre les blastomères.
Jusqu'au stade 64 cellules, on se trouve dans le stade morula.
• Après, on arrive dans le stade blastula, caractérisé par l'apparition d'une cavité entre les
blastomères et le vitellus, remplie d'un liquide sécrété par les blastomères.
• Elle est appelée cavité sous germinale, cavité de segmentation ou blastocœle primaire.
r
► La progression de l'ovocyte dans oviducte
► L'œufva entrer e11 rotation et effectue ainsi de 10 à 12

-..
tours par heurs
► (témoignage de cette rotation c�t l'aspect des
chalazes)
► Le blanc et la coquille peuvent rrès facilement tourner

-
:.- Le vitellus étant trop lourd. l'embryon ne pourra que
s'incliner.
► À ce moment-là que le véritable axe aolôro postérieur
c..�t Détermination
C
Segme11tatio11 et for111ation de la
blastula chez l'embryon
d'Oiseau. A : Premiers srades de
segmenrarion de l 'embryon d'Oiseau en vue
polaire (Blastodisque, stades 2, 4, 8, 16 et
128 blasromères). B: Jeune blastula (srade
8. lllaswla primalro
32 à 64 cellules), le blastocèle sefom1e par z.,., de
n . .Blntodenne .
clivages hori=ontau,r: au-dessous des
blastomères centra,rx; sa présence délimite Remp,rt
g,,mlnatit
l'nire pellucide. C: Formalion de
l'ltypoblaste; ce feuillet provient de
Vitellus
1'tmmigmtion dans le blastocéle primaire,
de cellules isolées (hypoblasre primah·e), c. formltlon de rhypobl111e

qui som progressivement incorporées dans Zo,,e morginalo fct<>pl,ytt Zone de


postMitn• ftakM'tff'lfflt
lefeuillet provennnt de l'aire postérieure,
l'ltypoblaste secondaire.
0
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--

24h
anapaque
IV - La gastrulation
• Grâce à ces phénomènes.
• on a formation de 2 petits monticules délimitant au centre une
petite dépression : c'est la ligne primitive.
• Lorsque cette ligue arrive à peu près au milieu du
blastodisque, on voit que la pu1ie antérieure s'épaissit: ligowP'imi�
c'est le futur nœud de Hensen. Nœudd•H•nsen
• qui est l'équivalent de la lèvre du blastopore des Amphibiens.

4h 16h 18 h llh

Lig ne primitive et nœud de Hensen siège de mouvement d'im migration cellulaire � nùseen
Carte des territoires présomptifs du blastoderme

A
Hypoblam---�__,�­

Ectodef

Endodtfffle

A: Avant la ponte. B: Vers 12 b d'incubation. Le feuillet superficiel a été enlevé sur le


côté droit du schéma pour montrer les mouvements de l'endoderme et du mésoderme
(tracés en pointillés). Sous l'équateur, les territoires de l'eodo-mésodenne convergent. à
la manière d·un éventail qui se referme, vers la ligue primitive puis divergent après
V - La neuru
Rtpll
dphàllqu,

❖ A 19b,
❖ l'extension de la ligne primitive vers le pôle 1
antérieur est maximale.
❖ mais pendant les 2 jours suivants. elle va régresser.
❖ Lors de celte régression. on assiste à la mise en
place de structures de type somite,
❖ repu céphalique vers le pole antêrieur. 0
❖ Ces différentes foru1ations ont pu se développer car
pendant l'extension de la ligne primitive. on a eu des Cordt

mouvements cellulaires actifs.

Ne11ru/atio11 chez l'embryon d'Oiseau. 3 stades


19h
sonr rep1·ésentés: 19 J:, 21 h et 25 h. la coupe
21 h
sagiuale (à droite) et les 2 coupes tmnsversales (a
GoulllBt
et b en bas) correspondent au stade 25 heures. ntWalt
!omatopl<urt I lubo dlg,,td
l 'embt)'On étant tra11slucide, les di/Jéren/s Conf< SomitN
Â. 1 -:,_}.,, Pi!tt lntttm<doane
niveaux sont visibles. Les lignes a et b perme/lent
�y-�
de siluer le niveau des stmctures observées sm· les �
SSh
1
• En avant du nœud de Hensen ----->
épaississement mésodennique : pl'olongemenl
céphalique correspondant à la formation de la chorde Antérieur
sous l'ectoderme .
2eh
• L"éctodenue se plisse -----> bourrelet neunux :
20h
début de la Ncurulation 16h I8h
0
• L"extrémité antérieur de l'embryon se soulève en une
stn1cture qui ébauche la tête : soulèvement céphalique
• 25-26h le soulèvement céphalique s·accompagne du
tube digeslif antérieur, nntralement I'endodenne APT
s'enroule e1 forme la po1·lc intestinale
• Dorsalement les bourrelets neuraux céphalique sont
affrontés l'ensemble enveloppé dans !'épiderme ---->
se soulève et s'indîvidualise au dessus du jaune.
Postérieur
.. .
"""....iotlque
-
__ ...�
,antj,i-
,,- YtsiwM opdqu.- ,
Embryon d'Oisem, de 33 heures eu ,,ue dorsale et en MNnc�i.

coupes sagil1ale et transversales. L 'organogenèse a


füwrbw.Jpti�-
1
commencé : l'encéphale se déco,rpe en 3 vésicules
cérébrales, les vésicules optiques sontformées. Le cœ111·
esr déjàfonctionnel. L 'inrestin a111érie11r esr délimité. Le
repli amniotique anrérieur recouvre la tére.

Finalement, on voit bien que le Poulet est un


modèle assez complexe, et notamment du fait de
la dissociation des cellules. Ce phénomène est
d'ailleurs dO au "scatter factor", qui est une
cytokine favorisant également la prolifération des
hépatocytes. Chez le Poulet. on connaît très peu
les mécanismes de migration cellulaire, et les -­
modes de différenciation sont encore
inconnus ...
1

Embryogenèse
1

Embryon à 68 heures d'incubation.


ANNEXES EMBRYONNAIRES
• Ce sont des formations d'origine ectodermique,
mésodennique et endodermique qui se développent hors twta
...

,_
A«:i:ii411m10bqUI­

MfftlOfw..,
vtttli.nli

lil,olh'\1111'1:
-..._
__
..,, ..
f-1.'IJ�•

_,_,..
..��l'\Wt
1
du corps de remb1yon propremenr dit,
• Elles assurent des fonctions de prolection, d'absorplion
des réserves, de respiration, de stockage et
d'élinünation des déchets.
• Vers 20-24 heures d·incubation, le corps de l'embryon
commence à se distinguer des tissus périphériques : les
plis antérieur, postérieur et latéraux le soulévent et
l'isolent de la masse vitelline. Pendant ce remps, les
feuillets emb1yonnaires s'étendent hors du corps de ...
CAMI><-
l'embryon et vont conh'ibuer à former les annexes:
vésicule vitelline, amnios et allantoïde. Celles-ci
sïndividualisent tandis que l'isolement de l'embryon par
rapport à la masse de rœuf s'accentue rapidement.
1
-lntt<tln

• À 96 heures dïncubation. il n'est plus


relié à la vésicule vitelline et à 0

l"aUantoïde que par les pédicule�


vitellin et allantoidicn. ,,...
_,11� Alt.-itoTdt
• La cavité amniotique l'entoure alors -1,to,M dt, von, •., (Cho,.an)
1'1rO. de rillantoldt
complètement. , Fuiur ananto-chooon
• Ces mêmes anne:us vont se retrouver
AlbumJno futs rfduh•)
au cours de l'oologcoèsc des '- """'bfilno a,quiit<e
Mammifères Coqulllo

Paroi dt t.11 W\tMlt v,i..lhne


M��,,itd�
coqulllt

Q:!,:::::,-:t::_ :_... /rf,���9uea,bon...,.


•xw!nt

Echanges fœtales
1
0

Développement de l'Embryon des oiseaux


L
cro,ssance
continue
Développement de l'Embryon des oiseaux
1. Organisation de l'œuf et de ses enveloppes
✓ La crois aoce de l'ovocyte se déroule lentement 0
ju qu'à une semaine environ avant l'ovulation
✓ l'œuf passe de 0,2 à 16 grammes environ. 11 se dépose
un vitellu dont les élémencs sont élaborés dans le foie. Cuuicult
✓ Le jour, un vitellu jaune se fonne. plus riche en
grai.s e et en pigmenl que le vitellus nocturne qui est
blnnc.
✓ La latebra est la masse centrale du vitellus
anciennement formé.
✓ le col et le noyau de Pander marquent le chemin de
migration de la cicatricule encore appelée di que
germinatif vers la surface du cytoplasme pendant la
croissance de l'œuf.

✓ La cicatricule, de 3 mm de diamètre, marque le pôle animal de l'œuf: constituée de cy1opla me


sans réserve dans lequel e trouve le noyau. elle seule se segmentera
FÉCONDATION Trajet des
( spermatozoîdes
INTERNE
:- Trajet de l'oeuf

"Animaux terrestres"
, "•' .:.� ._, D • é 0,.1,..
. . . ' ' ' • •
Quand et où se déroule la fécondation?

0\,Uffl

I
Fimbrin / bSBK

Les spermatozoïdes peuvent se trouver à tout moment du sicle dans les voies génitales
féminin et üs peuvent y survivre environ 48 heures. L'ovocyte II n'est pas libéré qu'au
moment de l'ovulation il peut survivre de 24 à 48 heures. De ce fait, la période de fécondité
humaine est limité aux jours qui précédent et qui suivent l'ovulation.
Lieu de la fécondation
La rencontre des gamètes se fait dans le tiers externe de l'oviducte.
- Le spermatozoïde sont déposés dans le vagin: 200 à 300 millions de spermatozoides, ce milieu
est acide (PH= 3 à 4) et les spennatozoïdes remontent vers le col de l'utérus.
--+ Le passage du col utérin : il est facifüé au moment de l'ovulation par la présence de la glaire
cervicale riche en mucus, alcaline et visqueuse.
- Au niveau de l'utérus les spermatozoïdes groupés en paquets inclus dans le mucus sont entrainé
par des contractions utérines produites par les œstmgènes et la décharge d'ocytocine provoque par
l'accouplement:
--+ Au niveau de l'oviducte: Au minimum 2heures après leur dépôt dans le vagin les spermatozoïdes
se retrouvent dans l'oviducte. Le milieu est alcalin riche du potassium, bicarbonate et du glycocolle.
j -

Seulement 50 atteindront se niveau et pourront y survivre pendant à peu prés 48 héûiés.


Les conditions de la fécondation
1- L'ovocyte doit être fécondable:
Seulement pendant les 6 à 24 heures qui suivent
l'ovulation. 0

2- Le spermatozoïde doit être fécondant:


il a subi la capacitation.
La pénétration du spermatozoïde

Pour que la pénétration du spermatozoïde soit possible le spermatozoïde doit être capacité.
Cette capacitation s'effectue chez l'espèce humaine au contact des cellules du cumulus
oophorus.

La capacitation du spermatozoïde : Elle se traduit par :


La disparition progressive des antigènes et des glycoprotéines de la membrane plasmique et de la
membrane acrosomique (acrosome).
Le début de la décondensation de l'ADN nucléaire.
La vésiculisatjon de la membbne plasmique et de la membrane externe de l'acrosome, c'est-à-dire la
fusion de ces 2 mouvements en petites vésicule qui se dispersent.
Les 4 étapes de la fécondation
1- Contact du spermatozoïde avec
l'ovocyte Il.

li'
2- Entrée du spermatozoïde dans
l'ovocyte.

3- Fusion des deux noyaux.


0

4-Activation du métabolisme de
l'œuf et début du développ\ement.
- f' ;,, fi -
Fécondation - danse

i,..,_.j
Les différentes étapes
de la fécondation
-Olpl.OO g�bukl granulot d'but do r-6.aiCliCn

-tJ-----
ponvne1rm p(<aJro COr1fCaU< 'li �, s zn aaooom1q..,

meinbf'a.no �ano
p<!luclde <MJ<Ytalre
�...

Danse des gamétes

sperma1oz0Tde -........-;1
,_tion
exclu de 1a
-
·-­ ;,
op,è, -

ocfOaOmiquo
Entrèe
1 du spermatozoïde
membrane plasmique +2olmv
glycoprotéines 3
• inversion brutale
/ de la polarisa•
·• lion ml!mbnlnaire ·
récepteur protê1Que
blocage précoce
zone pellucide �
de la polyspenni
91Tibrane 'usion des mem-
plasmique 1, anes plasmiQUes
granules cort1ceu• °"'Jes dou• gamètes

2 blocage tardif de
la libèrat1on
des enzymes la polyspennie
acrosom·1ales • dègradation
entraîne la enzymat,que dei;
d,ges1ion récepteurs
locale de la • expulsion du
zone pellu­ contenu des gra­
nule$ corticau•
4
cide

Fécondation -entrée spz


ACliVf' Wind

Conséquence de la pénétration du spermatozoïde:
a) Blocage de la polyspermie: Exocytose des granules corticaux» réaction corticale» formation de
la membrane de fécondation » blocage de polyspennie.
b) activation du cytoplasme: (réveil)
c) activation des noyaux. Les noyaux male et femelle se transfonnent en pronucléi (lpronucléus).
Le centriole proximal forme un aster = spermaster
d) attraction des pronucléi :
e) fusion des noyaux: Les enveloppe nucléaire disparaissent et les 2n chromosome se place dans
l'équateur du fuseau achrnmatique. L'amphimixie ou caryogamie assure:
Le retour à la diploïde (2n chromosome).
Détennine le sexe génétique. (Male: XX Femelle: XY)
Le zygote esi alors formé (métaphase de la 1ère division)
. . - . . . . . . . . . . . . . -

� ' �• ' .!� ' ' � (JI ,., • Quitter


,-,, "I ,,., C:ar;:, 1.3n• [, L• n ,i�g tr..r i:.,. ,• ,..,,v
fécondation

Fécondation Cellule oeuf

& lères
divisions

1er jour : 2 cellules


1111

2 jours : 4 cellules
Fécondation & lères
divisions - suite

3 jours : 8 cellules
La segmentation
L'œuf humain alécithe
Le germe mène une vie libre et se déplace vers la cavité utérine.
Le zygote, issu de l'amphimixie, se segmente le long de l'oviducte tout en se dirigeant vers la cavité
utérine. La segmentation c onsiste en une série de divisions morcelant le zygote en cellules de plus en
plus petites appelées blastomères. La segmentation dans l'espèce humaine est sub-égale et
holoblastique-elle est aussi asynchrone car la segmentation passe par un stade intermédiaire de 3
blastomères. et ce, par division en premier lieu du plus grand des deux blastomères.

o"'°cy-,e •

►t
... .
► - ► ►

ZVC.O,.F
..il 2 c:.-llul"'°"
c1••�•,o�•>
rc<:ONOATION PAC-ZVc;QTC SCOMCNTATION
.IS� C-Xt�l'K"Ur COUP'J'

•lln'l..d,
• •
do �oUuh.-..\i.

blo.s\ocltl• u·ophobt..,.st•
MORUlA OlASTOCYSTl:
1111
..
LA PREMIER SEMAINE correspond à la « PRO-GESTATION »
4 blastomères
Oviducte

,--�
(40-50 h)

2 blastomères (30 h)
16 blaitomères ;-
(4JOU�) �"' Elpace p6riv1tellin 0

Oissoc,ation de la
corona radiata �
8lanocys1e primaire ... Globules polafres
Blast�eJi�re
1 FécondalJon j
6f�!r,J��
P,wmon

!lmplan�af I Marurauon j
(6-7 JOU � Zone pelluclde

���-:
l
ç,

Myomètre
.��
Endomètre utéiin
� Ovaire

.,.,;,�
Ponte owlairc

Segmentation et migration de l'embryon dans la trompe et éclosion de l'embryon dans la cavité utérine.
1111

Calendrier de la lere semaine

Segmentation : vie libre pro-gestation

Fécondation 2 blastomères Morula Blastocyste


Embryon
120 µm 120 µm
----�----------.-------r-----.------,
0
1 2 3 4 5 6

Annexes Trophoh!aste (ytotrophoblaste


et �ynciriotrophobla'>te
-
Les étapes de la grossesse

1- La fécondation
2- La nidation
3- Le développement embryonnaire et fœtal
0
La deuxième semaine du développement
..
Pendant0la 2éme semaine l'emb ryon humain s'implante dans l'utérus c'est le déhut de la �edalion.
En même temps le genne évolue, devient didennique et acquiert de très nombreuse annexes
embryonnaires.
La ni dation
I. Définition : C'est l'implantation de !"embryon à l'intérieur de l'endomètre utérin par les sécrétions
œstro-progestatives du corps jaune. Chez les primates cette implantation est interstitielle puisque
l'embryon se place à l'intérieur de l'endomètre.
2. lieu de l'implantation : Dans le cas normal, elle a Jieu dans Ja partie antérieure ou postérieure de la
partie haute de l'utérus. Dans les cas de grossesse extra-utérine il y·aura avo1ten\ent à 2 mois. i
l'implantation est trop basse on ama un placenta prrevia c'est-à-dire près du passage de l'enfant.
3. le mécanisme de l'implantation : Le blastocyste sortie de sa ZP oriente le pole embryonnaire vers
l'endomètre et il s'accote à l'épithélium utérin tout en différenciant deux zones dans le trophoblaste
La nidation
trompe

4.5 j(IUf' - ovocyte


) JOUI"' 0

muqueuse
utérine
Certaines cellules du trophoblastes secrètent des enzymes qui vont digérer les cellules de endomètre.
L'œuf ne peut s 'implanter dans l'endomètre que si celui-ci est réceptif: sous l'influence des sécrétions
ovariennes, la muqueuse utérine est épaisse et richement vascularisée. La sécrétion de progestérone
par le corps jaune aide cette implantation à se maintenu-.
..
Le blastocyste

Embryoblaste

Trophoblaste • Trophoblaste -- Placenta


• Embryoblaste Embryon

0
La durée de l'implantation
• L'implantation à lieu pendant la 2éme semaine du développement (6éme -13éme Jour)
• A 6 jours : le blastocyste est accolé à ! 'épithélium utérin.
• A 8 joms : l'embryon est à moitié nidé.
• A 9 jours : l'embryon est totalemenr nidé ; c·est un caillou qui obrure l'épithélium utérin.
• Entre le L3éme et le 15érne jour: l'épithélium utérin se constirue.
0

L'absence d'implantation
E11e peu être due à des anomalies chromosomiques de 1 'embry on ou à une insuffisance hormonale du corps
jaune progestatif.
La réponse de l'endomètre utérin à l'implantation
Au contact de l'embryon les ceUules conjonctives utérines augmentent sa taille, se chargeant de
glycogène et de lipides
Ce tissu modifié est appelé tissu déciduaJ ou caduque qui participera plus tard à la constitution du placenta
4 blastomtrM
Segmentation (40-SOh) Oviducte
1

� 2 blastomèr� (30 h)
Espau �11vitcll1n
Oissoc1a1ion de la "'
corona ,ad1at.t
Blastocyste piimairt � \
• Segmentation rotationnelle 0

Blastocyste libre
(S JOU 1 fécondation 1
• Asynchrooe

�,.
• Compaction qui transforme Pavtllon

l'embryon en une morula


! Implantation1 �
! Maturation 1
• Jonction se1Tées (6-7 jours
Zone pellucide


C a radiata
• Début le la plarisation
Ovaire

[!onte ovulaire
Myometre
E.���!': :..��� -j
Calendrier de la 2éme semaine

Pré-Gastrulation
Gestation

Didermique K nidé Épithélium utérin reconstitué


Emb ry on
120µm 2mm
7 8 9 10 12 13 14

Annexes O!\ite amruot>Que lldthocoele taire Sa!li rNteme! dans les


Membrl!ne de heUffl' lacunes
l.aaJ� oans 1! sr
Quelques questions
• Quand (phase) et où se fait la fécondation? 0

• Quelle serait la définition d'un zygote?


• Pendant le développement de l'embryon, l'embryoblaste va former
différentes structures. Lesquelles?
• Existe-t-il une vésicule vitelline chez les Mammifères ?
• De quelles structures l'ovocyte d'un mammifère est-il entouré lors de
la ponte ovulaire ?
• Que désigne-t-on sous le terme de compaction ?
• À quel stade du développement la nidation se réalise-t-elle?
1111
Gastrulation
B
Trophoblaste ------,= amnlo1ique

► la gastnilarion commence lorsque l'amnios el Pédlcule


embryonnaire - --+- ,____,,
le chorion achèvent de se former, et que la Somatopleure
Amnios 17 j.
nidation a eu lieu. Membrane
pharyngienne
► l'ébauche de l'embryon ou disque Canal cordai _t-1'-__,

embryonnaire : Dide1·mique
Entoblaste
Lécithocèle ___,..,,. ,/
Ï
Nœud de Hensen
► le disque embryonnaire s'allonge ____:.,....--- ( ({ 19j.
Plaque neurale
► Une ligne médiane réunit les deux : symétrie Plaque oordale �
1 �

�,

;�
bilatérale
201.
► Ce stade correspond à une blastoderme Corde __....,-:,
Membrane_.....-#'-''-
d'oiseaux de J 8h d'incubation, il est atteint
)
pharyngienne ,
Allanto1de __,_
chez l'homme vers le tsèmc ou t6tmc jour, Coupes sagittales (A) et transversales (8) de gastrulas
d'embryon humain à 17, 19 et 20 jours.
gastrulation
A

❖ les mouvement morphogéoétiqucs el la mise


en place de feuillet sont O nalogue� à ceu de
oiseaux.
lvMm
•�rr�=:l-H1l'Dl)'OflN�
lntoWai. dllnvlMII
lt lkllhcdlo

Disque embryonnaire au cours de la gastrulation.


A: Vue externe. Les flèches indiquent le sens des mouvements des
feuillets mésodermiques qui se mettent en place. 1: mésoderme caudal
; 2 et 2bis: mésoderme latéral; 3 : canal cordai. A et B: zones des
futures membranes pharyngienne et cloacale, dépourvues de
mésoderme.
La neurulation

✓ Chez l'embryon humain, le tube


neural commence à se former le
21fme jour.

✓ li est fenné Je z9éme jour de 0

gestation.
'
\ NOl!\Jd de Hensen
Lig� ptimitive
fC_:
•·

Trois étapes de la neurulation chez l'embryon humain.


La formation des vésicules du cerveau

► A partir du tube neural antérieur, on va r• Muni YIMtlofMC#tllllllt MCOlldalrtl


.,..,,o, MIi St..._. <1�> ill ,-lodl lClble
avoiI formation de 3 v�siculcs V V Uludph,il
primaiies : prosencéphale, 1,ttl dflCIII 1

mésencéphale et rhombencéphale,
, imperceptiblement à un cerveau à 5
vésicules secondaires (télencéphale. 0

diencéphale, mésencéphale,
métencéphale et myélencéphale)
·�
lll)lt<U•

, Ces différentes vésicules vont ensuite


se différencier pour former toutes les lltlcllct;htlt
@ lwltoiltin Y à YI
structures sensorielles majs aussi
toutes les zones du cerveau. Mt
IMHJ
cj
IUU
l'tlf XIIICM Cl l

liOt '•�n.'ffl
❖ chez les Primates, on assiste à un hyper­ ttte'!XIIU'4

développemeot du cortex cérébral. c.-à-d. du


télencéphale.
• Le creusement de ces vésicules antérieure
nécessite la présence de liquide céphalo-
rachidicn sous pression: cette pression doit
être relativement élevée.
• On ne peut l'atteindre que si tou le liquide du
tube neural est concentré dans les vésicules
30
cela signifie donc que le tube de la moelle
CIOUJol/1Cfdt:I��
épinière doit être obstrué...
• D'ailleurs, si on empêche l'obstruction de la
moelle épinière, alors on empêche dans Je
même temps la vésiculisation.
Remarque:
il existe un stade où tous les Vertébrés sont très
comparables : c'est ce qu'on appelle stade
phylotypique ou pba1yngula. On y retrouve
une grosse tête, une queue, des somites, un
système nerveux creux et des arcs branchiaux
ou poches pha1yngiennes (dont la présence a
donné le nom à ce stade).
Evolution des annexes Embryonnaires et formation de placenta

Amnios

Cavité /
--�--Pl
amniotiq�é --""-_:-__:-_

·�
' \:
ndo4erme

..
1. l'amnios :
1. Son évolution :
L'amnios recouvre le cordon ombilical primitif. L'augmentation du volume de la cavité amniotique va se
poursuivre et peu à peu le cœlome externe est comblé. L'amnios est alors appLiqué contre le chorion et la cavité
utérine esl alors totalement occupée par l'emb1yon et sa poche des eaux.
2. fonctions : 0

--+ la cavité amniotique est pleine d't.n liquide clair au PH légèrement a·calin élaboré par les cellules amniotiques,
mais il dérive aussi du sang maternel (par les vaisseaux de la caduque)
--+ composition : eau, sels minéraux, substance organiques, cellules fœtales et cellule amniotique.
--+ Il s'agit d'une rése1ve aqueuse assurant
L 'hydrarcmon de J 'embryon et c/11 Jœtlls.
La prolechon contre les choc.s grâce à celfe suspension hydraulique.
Les mou,·emenfî du foit1H son/ pouible.\ dans cet em·imnnement hydraulique (pe,·ç11.\ par la mère à 4 mois el demi)
--+ ce liquide est renouvelé toutes les 3 heures. A partir du 5éme mois, le lœtus avale la moitit: du liqmdc (400
cm3/jour) excès de liquide= hydramn.ios.
--+ Cet amnios constitue la poche des eaux qui facilitera l'ouverture du col utérin au moment de l'accouchement.
-+ Ce liquide, contrôlé par cœlioscopie, prouvera par sa clarté que le fœttts ne soufrera pas en cas d'accouchement
retardé.
-+ En prélevant des cellules desquamées (desquamation) dans le liquide amniotique par amniocentèse. On pourra
déterminer le caryotype el le sexe.
Il. Le cordon ombilical
1. Son évolution
A partir de la 6éme semaine c'est le foie qui assure l'hématopoïèse, prolifère et donne la gelée de \.Vha11on
: riche en protéoglycannes.
L·all,mto·1dc régresse et il ne restera qu'une veine ombilicale et 2 artères ombilicales spiralées
protégées par la gelée de Wharton.

2. Les fonctions
C'est la veine qui assure le transport du ga7. oxygéné du placenta vers le fœtus, les artères n"llènent
les déchet au placenta. Ce cordon mesure à la naissance 2 cm de diamètre et 50 à 60 cm de long.
Un cordon Liop long peut entourer le cou du fœtus et un cordon trop court peu entrainer des
complications en arrachant le placeota au cours de l'accouchemeot.
1111
Il. Le cordon ombilical
1. Son évolution
A pa1tjr de la 6éme semaine c'est le foie qui assure l'hématopoièse, prolifère et donne la gcl�e de \Vha1100
: riche en protéoglycannes.
L·a1t,m10·1dc régresse et il ne restera qu'une veine ombilicale et 2 artères ombilicales spiralées
protégées par la gelée de Wharton.

2. Les fonctions
C'est la veine qui assure le transport du ga7. oxygéné du placenta vers le fœtus, les artères n ènent
les déchet au placenta. Ce cordon mesure à la naissance 2 cm de diamètre et 50 à 60 cm de long.
Un cordon uop long peut entourer le cou du fœtus et un cordon trop court peu entrainer des
complications en arrachant le placeota au cours de l'accouchement.
Ill. Evolution des villosités placentaires

• Les villosités existe sur toutes la sirface du chorion= chorion diffus et villeux.
• Les circularions maternelles et fœtales ne sont jamais mélangées : une barrière placentaire sépare les 2 sangs.
• Le sang maternel est directement accessible dans les lacunes. (L'endothélium ayant été détruit). La barric:rc
placentaire humaine est de type hémo-chonnl.

Pendant le 2éme mois


Les villosités deviennent très nombreuses du coté de la caduque basale : chorion touffu. Elles deviennent très
rares ailleurs.
Au 3éme mois
Les villosités ont totalement disparu sauf au voisinage de la caduque basale ou le chorion est très arborisé=
placenta discoïdal
:.- .
�-­
57

·-
__a-­
cP c.at�•

A 1
�......
- ___....,.._ .........,
\-..;
,

'°""""°""' co,.,OOIHoc.ll

Formation de la cavité amniotique


chez l'embryon de Mammifère.
11111
IV. Le placenta humain

1. Sa morphologie:
C'est un disque épais de 2 à 3 cm, de 20 cm de diamètre pesant 1/6 du poids du nouveau né=
placenta di�coïdal.
11 est éliminé¼ heure à �2 heure après la naissance. La délivrance s'accompagne d'une hémorragie. Il
présente 2 faces qui indiquent sa strucrure double
Le coté fœtal: est caractérisé par l'an-ivé du Cordon l'aspect lisse et la présence de l'amnios.
Le coté matel'nel : montre 15 à 20 pseudo-cotylédons ou la muqueuse (paroi) utérine est vif.

2. Critères qui définir un placenta


11 faut utiljser 4 critères
Se forme : le placenta humain est discoïdal et pseudo-cotylédo□é.
Le nombre de tissu à traverser: pendant les échanges : le placenta est hémo-chorial (seul le chorion
doit êu·e traversé).
L'o1igine des vaisseaux : placenta allanto-chorial (vaisseaux sanguins placentaires d'origine allantoïdienne).
L'absence ou présence d'hémorragie lors de hl délh·rance :
Chez l'homme. il y a hém01ngie = placenta décidué
Chez certain groupes zoologiques il n'y pas d .hémorragie = placenta indécidué.
1111
3. Fonction du placenta humain
C'est un lieu d'échanges grâce à la sw-face de contact très grande (respiration et nutritifs) (élimination des
déchets), la vitamine K ne peu pas passer, les protéines maternelles so4îu dégradées en AA et le placenta
élabore (fabrique) des protéines fœtales.
Il assure une fonction protectrice grâce au passage des anticorps maternels.

-UtbUJ

.. .
Plœu,t4-�
Cordon ombillail

� fluide QIIVllot,quc

v-_ lo\vNlraru11111iotiqut

ArtLnolc Sang désoxygéné+ déchets


IIWl1une.li&
MÙ-C
omb1llcdl1.

VclNllc Sang oxygéné+ nutriments


ombil�lc

Paroi lltirtn,.
Celte barrière laisse cependant passer de nombreux éléments toxique : alcool, drogue,

virus 0

(rubéole, hépatite. SIOI\), bactérie parasites (tox:oplnsmosc).


Il assurt' le contrôle endocrinien oe la geitalion :
--+ Il élabore la HCG de la 2éme à la l 6éme semaine, assurant ainsi le maintien du corps jaune
gestatif
qui disparait au 3éme mois.
---+ Il élabore lui-même œstrogènes et progestérone et assure alors à lui seul le maintien de
l'embryon.
- A partir de la 3éme semaine, il élabore la CS Lormon Chorionic Somatomammotrophic.
Qui prépare les glandes mammaires à l"allaitement et rorganisme maternel à l'accouchement
Principaux types de placentation chez les
Mammifères.
A-B : laceota ion inJéciduéc. A : épithélio-choriale
(placenta diffus). B: conjonctivo-chorial (placenta 0
cotylédonaire ).
O
C-D : ->1 ce I tion déciduée. C : endothéliochoriale
(placenta zonaiJ·e) D : hémo-choriale (placenta discoïdal).
11111

Quelques questions

• Qu'est-ce qui constitue la partie fœtale du placenta ?

• Qu'appelle-t-on placenta indécidué ?

• Quel type de placentation observe-t-on chez les XXXXX?


CHRONOLOGIE DU DEVELOPPEMENT
..
l.la période embryonnaire
Elle dure 2 mois
Pendant le ln mois : Les annexes, les 3 feuillets et mbe neural se mettent en place. L'emb1yon se
délimite par rappo1t a ses annexes tout en entament son organogénèse.
Pendant le 2éme mois: rorga.nogénèse.

Période emb ryonnaire Période fœtale


0 30mm
15mm

Au terme de la
5mm grossesse,
3mm lefœtus mesure
environ 50 an.
Fécondation Nidation f

l
l �
1 mols 2 mols 9 moi.s
1 3- 4-

-
1.,.semaine � 5" (1- 1-

ébauche du cœur
l 1
ébauche des la face se forme et
i-...............croissance
cous les organes sont
.............des.
et du système lecœur membreset les doigts sont en place, l'embryon organes
nerveux b.lt des poumons p almés devient fœtus
Il. La période fœtal :
• Elle se caractérise par une crois::;anc� très
rap1dc. Développement du fœtus
• La croissance en longueur s'effecrne
smtout au 4éme et 5éme mois 0

• L'augmentation du poids s'effecn1e


pendant la 2éme partie de la grossesse et
en pa1ticulier pendant les 2 dernier mois
et ½ ou le fœrus double son poids.
'8llOO(
• Pendant les 2 derniers mois, la graisse EMBIIYONNAIII l'8IIOOE FŒTAU

sous cutanée se conshh.lc. l'appareil


respiratoire et le système nerveux se
differenc1ent et d'où l'importance d'une
naissance à terme.
Ill. La naissance
1. Son déclanchement:
Le \-1e· lissement du phccnt1 entraine une chute du taux de progestérone et de plus, le cortisol du fœrus
u·ansfonne la progestérone en œstrogèoes. !.e taux de prostagla11dines est plus élc\'é enfin de grossesse, ce qui
avec les œstrogènes, fivonsc les contract1ons u crincs. L'ocytocine libérée par l'hypophys� favorise le travail
utérin.
2. L'accouchement :
C'est l'ensemble des phénomènes qui aboutissent à la sortie du fœtus et du placenta hors de l'organisme
materne. Grace aux contrnctions utérines le fœtus est peu à peu poussé au dehors.
Trois temps se succèdent
, Lu dilatation du col Uusqu'à 11 cm de diamètre)
, L'expulsion du fœtus résulte des contTactions utérines.
, La délivrance c'est-à-dire l'expulsion du placenta.
3. Le passage de la circulation fœtale à la circulation aérienne
• La suppression brutalt: de la circulation placentaire et le début de la respiration pulmonaire entrainent des
moditïcations importantes brutales.
• Fermeture du ca 1al de B(;tal entre l'oreillette gauche et droite.
• Les poumons sont ventilés.
ANATOMIE COMPAREE DES VERTEBRES:
1- Anatomie comparée des téguments et glandes annexes
0
..
L Sh·uct,ue du tégument:
Ép iderme {q,,Wtélium)
► L'épiderme: .,WIINM"U
,, Le$ ..... cu,wes
. d 1origi1te ectodermique non vascularisé,
d'une couche basale. germinative.
. Les ccllul\!5 sui)l!rficidles de l'épiderme sont aiminées.
• L'épiderme a un rè le protecteur.
> Le derme:
- h ypoderme
• d'origine mésodermique.
ll contient des fibres musculaires lisses, des fibres de collagène
Epodonno
superposés à un réseau de fibres élastiques (soutien et résistance).
. Le derme est p<!n�tré par de très nombreux vaissea1.1x sangubs et
lymph..tiques (nutrition, défense) des renninaisons nerveuses •
(responsables de la sensibilité cllfanée) et des cellules pigmcnta;rcs.
► L' hJpoderme (permet la souplesse de la peau), d'origine
mésodermiq11e.
2- Anatomie comparée du tégument chez différentes classes de Vertébrés :
2.1. Anamniotes
a) Cyclostomes et poissons

✓ L'ipiderme est mou et perméable. Toutes H--- Glande muqueuse

les cellules épidermiques sont i·iva,,tes La i----tpidêmte

:lid---- AssM germinan-.e


couche cornée est absenre (absence de ,..__--Chromotaphores

kératinisation).
✓ L'épiderme est mince, ce qui permet les
éc'l' nges osmotiques el Joniques entre le
milieu intérieur et extérieur.
✓ Le derme est mince
✓ alors que l'hypoderme est absent.
1111
b) Amphibiens

lpd-
❖ L'épiderme est formé par
glltdt muqoRIM -,
• une couch c comce' mince et genera · . ' par une seu 1 e
' . 1 ement 1 1m1tee �Oll�-,

J
assise cellulaire qui s 'élim·nc périodiqu\.mcnt par lambeaux .· ·
. .
r' .._·_· . :
(mucs . . •..t,.., . ..,· .+� . <oooit
• Ainsi, l'épiderme r1.:ste pc-méablc, ce qui lui permet d'assurer les O-'·' • 0
_
gcY""N�'lt
,trom,1opl'Qle
.t:.
echangt.:s osmotiques et la respiration eu �nec. ,, j·(·
�-v- �-�-
- ,.. �•t
- -:::.:.
❖ Les glandes épidermiques sont: -!--�- � ,-; ..
...� �·�il!
• plurice!lubires, nombreuses et logé!) dan!> le derme sous-jacent:
Les glandes muqueuses assurant la sécrétion de mucus (humidité)
et les glandes séreuses secrètent du venin à rôle protecteur.
❖ Le del'me est pénétré abondamment par des cellules pigmentaires dites
les chromatophores (plusieurs couches). trf;s \'u.,cularües pour assurer
la r�spiration cutanee.
❖ L" hypoderme est creusé de vohnnineux sinU'i ou s�cs lymphatiques
dans les quels circule la lymphe.
2. 2. Amniotes : vie totale111ent aérienne
Chez les Amniotes, l'épiderme est imper méab/e. pluristratifié, avec de nombreuses assises
cellulaires kératinisées. L'élimination des assises superficielles se fait soit périoJiquement (ex
Reptiles), ou continuelJeme,t (ex Mammifères).
a) Reptiles: _ Ecailles épidel'llllQues
Epiderme ,mbllqutes
✓ L'épide1·me est tmtemcnt kératini'.'>e et sec, formé pai- des Derme
Couche cornée
Coucbe � M1tlplghl
écailles cornées épidcr iq•1es. L'élimination des assises
superficielles (couche cornée) se fait p�riodiqucmcnt
mue\,
✓ Chez les Sauriens Oézards): la couche cornée de ,...____________________,
l'épiderme subit périodiquemenl une desquamation par
lambca1.1x.
✓ Alors que chez le Ophidiens (serpents) la mue
mti'..res-.c toute la surfact. du corps (d"une seule pièce).
✓ Le derme est présent.
..
b) Olsea,u

❖ L'épiderme est formé de quafre couches:o


✓ une couche génératrite formée d'une seule
assise cellulaire,
✓ une couche de vtalpighi,
✓ couc'ie de cellules aplaties avec des filaments
cornees Dmw

✓ et une couche corncc fo1mée de plusieurs


assises cellulaires dont la plus -.1..pcrficiclle
s'élimine cont inudk ment par periles plaques Hypodtrmt
ou pellicules.
❖ Le derme est peu épais
❖ et )"hypoderme contient des cel/u!es adipeuses
c) Mammifè1-es Coud>< coméc

L'épiderme est formé de S couches dont une cornée:


1. la couche gcnératncc formée d'une seule assise cellulaire; couchcpanuk:u...:

z la couche de Malpish1: (ou couche épineuse) dont les cellulesc• "dicdèM.tv•�• 1

Cellule: Il< l.,;ingrrh,111\


sont de forme polyédrique, reliées entre elJes par des ,,é1.00<}w _,. •
• • •

désmosomes qui apparaissent comme des épines)


J la coi..chc gra 1Ulcusc formée par des cellules fusiformes
4 la couche lucide dont les limites cellulaires ne sont plus
visibles
s. la couche cornée ou couche kératinisée. Elle est constiruée de
..
--...
cellules mortes chargées de kératine. Les cellules
superficielles se détachent (se desq ame t) et sont
........... -·--
___,
remplacées par les suivantes. P••u
.........,.,..,. ,..,.,�..ç.....

Le derme est constitué de fibres de collagène et de fibres élastiques. rie e en vaisseaux sangums et
lymphatiques et de cellules pigmentaires.
L'bypode1·me contient des panicules chargées de graisse pour fonner une couche isolante chez ce11ains
Mammifères; exemple la baleine, le porc ....
Il est situé sous le derme de la peau, fo1mé par un tissu conjonctif lâche, ce qui permet la souplesse de la peau.
1111

Évolution chez les Vertébrés:


*Cyclostomes et Poissons : absence d'hypoderme:

• Amphibiens: l'hypoderme contient de nombreux s;acs lymphatiques;

-----=.� ......
0

--- .0�
*Oiseaux prcscncc de cellules adipeuses; .

*Mammifèl'es: l'hypoderme peut se charger de graisse poUJ


former une couche isolante chez les Mammifères à poils r..rc�.

Coud,. cl.;irc

-[
Co.x:IK de (lblJ>liiJu
C<llul.: di: t..ng,,rfllln,
\l�booc}lt

Cellule de Mctlcl
1111
3- Glandes du tégument:
A. Anamniotes
0

a-1. Cyclostomes et Poissons

Présence de celln/e,;; glandulaires muqueuses et


séreuses. situées dans l'épiderme.

a-2. Amphibiens:

Les Amphibiens possèdent deux types de glandes


d'origine épidermique, mais log<.es dofü le dcrm<..
l.pi::le.
La couche germinative s'invagine dans le derme
pour fonner deux types de rlardcs acineuses
s mpks: Des ghndes · mucl,s (glandes muqueuses)
et des gl;'l__!ld1:� a \Cn 1 (glandes séreuses).
B-Amniotes
b-1. Reptiles

Chez les Reptiles les glandes tégumentaires sont rares puisque l'épiderme est
fo tcmcr:.t kêratini\é et ,ec.
b-2. Oiseaux
Les Oiseaux p;ssèdent pi.:u de gbndcs tégt.mcntaiœs.
Exemple: les glande\ 1 ropygienm,. située à la face dorsale du croupion (glandes à
sécrétion huileuse qui rend les plumes imperméables).
11111
b-3. Mammüères
il y a plusieurs types de glandes épidermiques (enfoncées dans le derme), Exemple:
- l,es gl nde sébacée�. annexées au follicule pileux. Ces glandes sécrètent le sébum qui imperméabilise
le poil,
Lei g .andc sudoripu-cs responsables de la sécrétion de la sueur (lutter contre un échauffement
excessif),
Les gland-.. mammaires, IJdéale galactophore:;, sont des glandes tégumentaires spécifiques des
Mammifères. Ce sont des glandes cutanées, exocrines (sécrétion à l'extérieu1· de l'organisme) et
Tll'" II• p.,1 1
ramifiées (multitude d'acini).

1 ...
.,
Chez les Mammifères monotrèmes, la glande mammaire est .._
·t">--.. _. \ \ �,,Y-
� _ ;?'
·-� 1,'.��-·-
:\'\\. \ '

située à la base du poil fo1manl un champ lactéal; elle est 1 (Jlnlc<tl>l,.ù

constituée de plusieurs acini qui sécrètent le lait qui s'écoule �


le long du poil. Ocrmc
..
► l\tlamelle simple: exemple chez les bovins.
La marneBe comprend quatre quartiers iadépt>ndants,
terminés chacuo par un trayon. Chaque quartier est
constinté d·un tissu épithélial constitué d'alvéoles ou
..
�,�:=�-
.....
� .. -
'""-•­

acini, groupés en lobules qui sont rassemblées en lobes.


Cet ensemble est relié à un réseau de petits canaux qui
convergent vers un seul sinus galactophore 011 cilerne
fr
1
. ..
qui s'ouvre à l'extérieur par le canal du trayon.

► Mamelle composée : exemple chez la femme. J


0 C
:

La mamell.e est constituée de lobes (acini) qui


débouchent sur un sinus galactophore, présentant de
nombreux sinus galactophores qui se jettent au niveau du
mamelon.
4- Les productions cutanées
Phanères
Les phanères sont des productions épidermiques apparentes, fortement kératinisées.
0
Cl1ez les Amniotes
- Ecailles cornées épidermiques sont des épaississements de la couche cornée,
- Bec corné dont son origine est L'épaississement de la couche cornée de la lèvre supérieure et inférieure,
- Cornes sont des excroissances pointues au niveau de la tête de certains Mammifères.
- Griffes, ongles, sabots sont des produc1ions cornées se développant autour de l'extrémité des
doigts des Amniotes.
Plumes sont spécifiques des oiseaux à rôle
protecteur et assurent l 'boméothermie.
��•
,-� 1 _ ��
-:.::.� i-dj-;--=----
--·
Comn dn Mommifères

...-....-
Plumes dt$
Olse.iux (ot Bois dts Ctrvldti.
�) Corop:ice des tor1ues•
tatous, œnts...
S4bots dK
Ongults
OnglH, grilfH Poils dn MammlfèrH
Anatomie comparée de l'appareil respiratoire
Peut être cutanée. Représente jusqu'à 80% des échanges gazeux chez les grenouiUes. Reste malgré tout peu
significatif et peu fréquenl (ble,mies. anguilles ... ). o
Organes accessoires: adaptations de certaines portions du tractus
digestif (bouche. pharynx. estomac. intestin) ou de la vessie
gazeuse consistent toutes en une complexification de l'appareil
circulatoire au niveau des structures d'échanges.

1 La respiration branchiale
Chez les poissons Cho11drichthye11s et Osteichtltye11s, la
respiration branclùale correspond à l'absorption de
l'oxygène dissous dans l'eau et le rejet de gaz carbonique
dissous dans l'eau, elle se fait à co11tre co11ra11t; le sang et
l'eau circulent en sens opposé, par des bra11cilies
• Organisation et structure des branchies aa;hiirdiiîiUl<l@tD
Les branchies sont formées par des évaginations de la cavité
pharyngienne.
✓ Elles sont portées par 4 arcs branchiaux chez les poissons
osseux.
✓ 5 chez les poissons cartilagineux comme les raies et les
requins
2 La respiration pulmonaire
• La respiration Typique des tétrapodes adulte�. y compris pour les espèces
retournées secondairement à l'eau.
• Les poumons(= dérivés pharygiens) peuvent être alvéolaires 1mi-, pauciou pluri­
cavitaires selon les groupes.
• Chez les oiseaux, la strncrure est dite « t bulai ·e », rigide, et est associée à des s:tcs
aenens contractiles.
• Dans tous les cas. ils sont localisées dans la cavité thoracique protection efficace
A B C
Poumon
UIIQYl1M'I �
Pownor1 P0umanl l)IIR:lr,'ilMas Mammifère
lwid Caméléon Yatw, Caunan
Iguane

v
ID-Anatomie comparée de l'appareil circulatoire
Circulation
L'appareil circulatoire est clos, et
véhicule le sang propulsé par un cœur
plus ou moins cloisonné.
«Poissons,: cœur simple

1 ventricule
1 oreillette

Défaut: le sang n'a plus qu'une faible


pression à la sortie des branchies.

En passant dans les vaisseaux sanguins


des branchies, le sang qui s'est oxygéné
en ressort avec peu de pression. Les organes ne sont donc pas irrigués
par un sang sous pression. Les poissons étant des animaux
poïkilothermes, ils n'ont donc pas un métabolisme élevé. Ils s'accom­
modent donc assez bien de ce « défaut » de circulation.
Lissamphibiens : 2 oreillettes et 1 ventricule

Ici, le cœur est divisé en deux


oreillettes qui communiquent
avec un ventricule. Le sang qui a Capillair('S
pulmonai
irrigué les organes se jette dans
l'oreillette droite. L'oreillette
droite le pousse dans le
ventricule.
Ce dernier, en se contractant,
pousse le sang dans les poumons Oreillette
(capillaires pulmonaires) et dans
tout le corps. Le sang qui a été
oxygéné dans les poumons se
jette dans l'oreillette gauche.
Il y a dans le ventricule un
mélange de sang oxygéné venant
des poumons et de sang non
oxygéné venant des organes.
Mammifères et oiseaux : 2 oreillettes et 2 ventricules

[ Cœur séparé par une cloison 1


apillaircs
pulmonair
Système
beaucoup plus
efficace (pas de
mélange,
pression élevée
aux tissus).

Ventricule
Nécessaire au
métabolisme Cœur droit Cœur gauche
élevé des
mammifères et
des oiseaux
(homéothermie).
IV-Anatomie comparée du squelette
-
Le squelette ou appareil de soutien des vertébrés d'origine mésoblastique. Il atteint un stade
cartilagineux (C ondrichtilyens) ou pru1iellement cartilagineux et osseux (Osteich nyens et
Tl.trapodes).
Le squelette comprend:
, Sq11elelle céphalique ou crâne, composé d'un neurocrâne entourant l'encéphaJe et les organes
sensoriels céphaliques pairs, et d'un splanchnocrâne situé au niveau de la bouche et du
pharynx; Sq. céphalique
__.,.,
____
> Squelelle axial: constitué de la colonne Sq. axial
vertébrale, des côtes et du sternum: Sq. appendiculaire
, Squeleffe appendiculaire ou squelette Le squelette
céphallque
des membres; (neurocrâne

'
0
> S,1 uelette zon((/: coITespond aux plus
splanchnocrâne)
ceinnues pectorale et pelvienne est plus ou
uln�s
qui aiticuleot les membres au moins
développé selon
reste du squelette. Sq. zonal les organismes.
BIOLOGIE DES INVERTEBRES

0
Développement embryonnaire de l'insecte : cas de
drosophile melanogaster (Mouche du vinaigre)
L'animal préféré des biologistes de développement
Génome connu contenant 13 600 gènes (homme: 25 000)
0
4 chromosomes: c'est sur la drosophile que TH i\forgan (
Prix Nobel 1933) établit les bases de la génétique et les
premières cartes

Jeffrey Hall. Michael Rosbash et Michael Young. Ils


reçoivent le prix Nobel de médecine 2017 pour avoir mis
en évidence des gènes impliqués dans le rythme circadien
de la drosophile.
1- Développement de la drosophile
Le développement de la drosophile est très rapide : en 9 jours, on obtient un adulte.

• C'est tm petit (1-2 mm) insecte


diptère. trouvé sur les fruüs; -"'
aun-e nom: mouche du vinaigre
• Elle s'élève facilement sur milieu
nutritif; reproduction rapide:
une semaine
• L'œuf (en haut, 0,5 mm) donne
une la1ve (24 h), puis deux autres
larves (milieu) et la pupe (en bas)

0
1111

L'ovocyte

Cellule folliculaire
...+----.1-- Ovocyte
+;,�r-- Cellule nourisslère
1111
1- Segmentation et formation du blastoderme
A B C D
A : Œr,Jfécondé. Chonon
Membrane
B, C, D, E : i\l/11fliplicotio11 des 11oya1L� 011 vrtell1ne • ••• •• ••• •• •
sein d'ufl blastoderme syncylial (Te nombre de
N�auM •• ••••• ••• •••• ••
fecondatlon
• •• •• •• •• ••
noyaux est indiqué sous chaquefigure). Membfane • •• •• •
.
del'OYO<Yfe
C, D: Les 11oya11x du blastoderme se VrteUUJ
Ptnplasme Migratton
mette11t en place à la périphérie, dans le tne,glde des noyaux
périplasme; des noynu:,.; vitelfins restenl dans (noy. + cy1oplasme) du blastoder�
4 32 256
l'aire vi1elline centrale.
F, G: Le blastoderme syncylinl de1 1ie11I rm E Blastoderme F Blastoderme G H
syncytlal cellulaire
blastoderme cel/11loire. Les cellules germinales
initiales sonr individualisées 011 stade 512 noyaux.
H: 3 phases de la cellularisation avec Noyao•
vitellins a C
formatio11 des membranes cel/11/aires par
i11vaginotin11 de la membrane plasmique de
l'œuf iplas

512 ----
Cellules germinal!!i
111ma1es
2- Gastrulation et Neurulation A A

A, B : Carte simplifiée des territoires


présomptifs ,le la blast11la en v11e V

latérale �Yterne (A) et en coupe


transversale (BJ. A', B ': Coupes
sagittale (Aï et h·ans11ersole (B) d'une 01


0 0
blashl/a ; le blastoderme est épaissi
dans sa partie ventrale. C : Co11pe
sagittale 011 début de la gastru/atfon ;
""-
invagination de fa partie postérieure
du tube digestif. C': Détail d'une V V

coupe trans11ersale au même stade; C C'

form{lfion du sillon ventral par Ill

invagination de la bandeleMe
.,,

-
mésodermiq ue. 0


V
.._,
.........
2- Gastrulation et Neurolation (2)
D: Formation de L'ébauche de la partie antériellre
du tube digestif l'ile en coupe sagittale. D': Co11pe
transversale au même stade montrant le mésoderme
internalisé.
E: À un stade ultérieur, deux bandelettes
d'endoderme se tléveloppenf et commencent à
englober le vitelll1s. Immigration de cellules
o-­
ne11roblastiques à partir de l'ectoderme ventral. r

F : Extensio1t en direction dorsale de la partie


postérieure de la bandelette germinative.
F': Coupe transversale a11 même stade q11e
F; l'ébauche de la chaîne nerveuse l•entrale s'est V

formée et fa fermeture de l'i11testin moyen est en


cours d'achèi•ement.
G: V"e externe d',m embryon de 5 he11res. H: Vue w

externe d',m embryon de 10 heures, après rétraction


tle la partie retroussée postérieure de L'embryon. i-wa:
❖ Développement post-embryonnaire
Les insectes changent d'aspect entre l'état immature et le stade adulte (mues,
métamol'phoses), mais le développement de l 'œuf à l'adulte varie selon les groupes.

- chez les insectes les plus primitüs, les modifications sont graduelles et les 0

métamorphoses sont incomplètes = INSECTES RÉTEROMÉTABOLES. Les


jeunes ressemblent beaucoup aux adultes, mais sans ailes ni organes reproducteurs.
orthoptèa-es, pbasmoptères, isoptères ...

- chez les insectes évolués. la modification est spectaculaire, les métamorphoses sont
complètes = INSECTES HOLOMÉTABOLES. Les larves ont un aspect très
différent de celui de l'adulte. Après plusieurs mues les larves se nymphosent, et vont
subir une réorganisation de leurs tissus. Au final un insecte adulte va sortir de
l'exuvie nymphale.
lépidoptères, coléoptères, diptères...
0

Cycle hêtéromêtabole: le développement du criquet pèlerin (Schistocerca gregaria)


Trois étapes: développement embryonnaire. développement post-cmb ryonnaire ou larvaire,
adultes
Ponte: la femeJle fore un trou et dépose les œufs (enfermés dans une oothèque) dans le fond au
moyen de son ovipositeur. Le trou est ensuite rebouché.
Développement larvafre : les œufs éclosent dans l'oothèque après environ 50 jours d'incubation.
A ce moment la larve est vermiforme, elle va subir une mue intermédiaire pour donner une larve de
premier stade. La larve ressemble morphologiquement à l'adulte (les ailes et l'appareil génital en
moins). La croissance larvaire est continue et se réalise par mues successives. On observe 5
stades larvaires chez le criquet pèlerin. Au fiJ des mues la larve va grandir et acquérir toutes les
caractéristiques de l'adulte.
Lu mue imaginale : la larve du 5ème et dernier stade subit une mue imaginaJc qui
donne naissance à un adulte, qui possède des ailes et des organes génitaux complètement
développés. Deux à quatre semaines après la mue, les adultes (imago) ont acquis leur
maturité sexuelle, dès lors les insectes s'accouplent et pondent.
Insectes à métamorphose succession de stades larvaires
incomplète mue imaginale
HÉTÉROM ÉTABOLES adulte

maturation
sexuelle ponte
accouplement

œuf
adulte immature
mue imaginale
éclosion

mues
larvaires
orthoptères,
_,.
larve âgée isoptères
Schistocerca gregaria
larve jeune
Cycle holomêtabole : le développement d'un papillon °(Danaus plexippus)
-
.---:::::;;;a_,...,,,..--.----
4 étapes: œuf, chenille. chrysalide. adulte (imago)
œuf: taille d'une tête d'épingJe. La femelle pond sur une plante nourricière, généralement, les œufs sont
dépo sés sous les feuilles (protection vis à vis des prédateurs). Les petites chenilles éclosent après une
semaine ou deux.
chenille : dotée de mandibules. Elle commence à manger dès sa sortie de l'œuf. Beaucoup d'espèces se
nourrissent principalement la nuit pour échapper aux prédateurs. La chenille est le seul stade où le papillon
grossit en taille. Les chenilles muent de nombreuiics foi.li avant d'atteindre leur maturité.

chrysalide: lorsque la chenille est parvenue à maturité, elle anête de s'alimenter et cherche un endroit pour
se transfonner en chrysalide. Elle vlde sont estomac, s'aftache à son support avec de minces mais solides
fils de soie. et se transforme. La chrysalide est plus petite que la chenille. Certaines espèces conshuisent un
cocon de soie autour de la chrysalide (hétérocères). La chrysalide est immobile et ne e nourrit pas. elle
adopte souvent la couleur de son support. Arrivée à mamriré, elle subit une métamorphose pour donner le
papillon adulte. Le stade nymphal petit durer de 10 jours à un an (souvent hi vernation).

imago (adulte) : lorsque le papillon émerge de sa chrysalide, ses ailes sont humides, petites et très fragiles.
Il doit se tenir ve1tical pendant quelques heures afm que ses ailes puissent sécher et prendre leur forme
défmitive.
succession de stades larvaires
Insectes à métamorphose
métamorphose
complète
stade nymphal
HOLOM ÉTABOLES
dernière mue (mue imaginale)
adulte
métamorphose
adulte ponte

chrysalide

nymphose éclosion

Oanaus p/exippus lépidoptères, coléoptères,

chenille diptères, hyménoptères


❖ Adaptation des insectes à différents modes et milieux de vie
1. Adaptation aux contraintes désertiques

Désert du Namib - cc Eph pigere » quj sont plus spécifiquement inféodées aux milieux
xéro-thermiques. Pimefia bipunclata est souvent
observé, courant ur le sable chaud des plage et
arrière-plages du littoral méditeITanéen à la
recherche des débris végétaux qui constituent son
régime alimentaire
1111
❖ Les insectes parasites et parasitoïdes

Parasites pondant sur


Parasit�s pondant sur une
une chrysalide de LruYes de Micrn-guêpes
cheuille de Chilo s.
Chilo s. quittant leur hôte pour
sacchariphagus
sacchariphagus entrer en nymphose
CIRAD
CIRAD

L'ensemble de ces Arthropodes limite fortement les populations de chenilles de papillons et sont
pa1fois une des causes premières de la disparition de certaines espèces

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