1.A.5. Diversité Mode de Reproduction

Thème 1 : Les enjeux
environnementaux
contemporains
Partie A : Transformation des

habitats et accès aux ressources
Chapitre 5 : La diversité des modes
de reproduction en relation avec le
milieu
Mots clés : multiplication végétative, parthénogénèse,
gamétogénèse et fécondation, double fécondation, cellule
œuf, zygote principal, zygote accessoire
29/11/2023 Thème 1, Partie A, Chap. 5 : La diversité des modes de reproduction... 2

1. Préacquis Rappel
 Pour assurer la pérennité d’une espèce dans un milieu,

les êtres vivants se reproduisent. Ils disposent de deux
modes de reproduction :
 Le mode asexué ou végétatif, que peut réaliser un individu seul.
 Le mode sexué, qui nécessite la rencontre de deux partenaires
de sexes opposés.

2. Multiplication asexuée
2.1. Exemples
 Dans le règne végétal, de nombreuses espèces
peuvent se multiplier sans avoir recours à la
reproduction sexuée.
 Par des stolons : fraisier, chlorophytum…
Chlorophytum Fraisier
 Par des feuilles : Saintpaulia, arbre de Jade, Bégonias…
Saintpaulia Arbre de Jade

 Par des organes souterrains : bulbes, tubercules, rhizomes…
Rhizome d’Iris, Tubercule de pomme de terre, Bulbe

d’oignon et de tulipe

 Marcottage de nombreux arbustes : vigne…
Marcottage d’un cèpe de vigne

2.2. Utilisation en production végétale
 Bouturage de rameaux feuillés : Géranium…
Bouturage d’un rameau de Géranium

 Bouturage in vitro : rosier, rhododendron, carotte,
pomme de terre…
Microbouturage
 Intérêt : nouvelles plantes = identiques à la plante mère.

2.3. Le cas particulier de la parthénogénèse
 Obtention d’un individu à partir d’un ovule non fécondé.
 Présente chez de nombreux végétaux, ainsi que dans
certains groupes animaux (nématodes, arthropodes, et
reptiles).
 Nombreuses formes différentes selon les groupes ; les
individus parthenogéniques peuvent être :
 Haploïdes ou diploïdes
 Que des mâles, que des femelles.
 obligatoire (permanente ou cyclique), facultative, accidentelle.

Parthénogénèse chez l’abeille
Parthénogénèse chez le puceron

2.4. Origine cellulaire de la multiplication végétative
 Principale caractéristique de la multiplication végétative :
les individus issus de la division sont génétiquement
identiques au plant parent. Ce sont des clones.
 Au niveau cellulaire c’est toujours le même mécanisme :
une division cellulaire conforme (mitose) qui suit une
duplication de l'ADN, les cellules filles sont identiques à
la cellule mère.

4 molécules d’ADN sous la forme
de chromosome à une chromatide
INTERPHA MITOSE =
SE = SÉPARATIO
DUPLICATI Cellule N DES
Cellule ON DE après CHROMATID
mère L'ADN ES
interphase
(MOLÉCULE
S D'ADN
Cellules
IDENTIQUES
filles
)
Principe de la division conforme (interphase + mitose) pour une
cellule possédant 4 molécules d’ADN donc 4 chromosomes.

2.5. Bilan de la reproduction asexuée
 Descendants = clones ; si le parent est bien adapté à
son environnement, tous les descendants le seront.
 Avantages :
 Simple : un seul individu nécessaire
 Peu énergivore : mitoses ; pas de recherche de partenaire
 Rapide
 Si le parent est bien adapté à son environnement, tous les
descendants le seront.
 colonisation d'un milieu stable
 Inconvénients
 Pas de variabilité génétique
 Population non adaptable en cas de changement de
l'environnement.

3. Reproduction sexuée
 Reproduction sexuée : association au hasard de la

moitié du patrimoine génétique de chacun des parents.
Quelles sont les deux étapes essentielles pour une

reproduction sexuée réussie ?
 La production par chacun des parents de cellules n’ayant que la
moitié du patrimoine génétique du parent = gamètes. C’est la
réduction chromatique qui se fait lors de la gamétogénèse. Le
mécanisme cellulaire impliqué est une division non conforme
appelé méiose.
 La fusion de deux gamètes pour former la cellule œuf ou zygote
qui est de nouveau diploïde. Elle se fait lors de la fécondation.

3.2. Etape clé : la division cellulaire non conforme
Problème : Quelles sont les évènements cellulaires

nécessaires pour obtenir 2 cellules filles ne possédant que
la moitié du patrimoine génétique de la cellule mère.
 Dans une cellule diploïde, présence de chromosomes
par paires : chromosomes homologues. Ils portent les
mêmes gènes. Chaque individu porte deux exemplaires
de chaque gène.
 La division cellulaire non conforme ou méiose sépare les
chromosomes homologues. Les cellules filles haploïdes
ne portent plus qu'un exemplaire de chaque gène.

1ère paire de chromosomes
homologues
2de paire de chromosomes
homologues
DIVISION
INTERPHA DIVISION EQUATIONNELLE
SE REDUCTIONNEL = "MITOSE"
LE
= REDUCTION
CHROMATIQUE =
Cellule Cellule SÉPARATION
germinale après DES
diploïde interphase CHROMOSOMES
HOMOLOGUES 4 cellules haploïdes
Principe de la division non conforme (interphase + méiose) pour une
cellule possédant 4 molécules d’ADN donc 2 paires de chromosomes.
3.3. Chez les animaux (être humain)
 L’appareil reproducteur ou génital existe chez tous les
animaux métazoaires, sauf les spongiaires et les
cnidaires.
 Premier rôle : production des gamètes = gamétogénèse.
 Rôles supplémentaires :
 Chez les espèces terrestres : fécondation (l'acquisition de la
fécondation interne a permis de s'affranchir du besoin d'eau).
 Chez les placentaires début du développement du juvénile
(embryon et fœtus).

3.3.1. Gamétogénèse chez le mâle (homme)
 L’appareil reproducteur mâle assure
 la production des gamètes mâles : spermatogénèse.
 leur transport dans l’appareil génital femelle grâce à la
copulation.

Rectum
Vessie
Vésicule séminale
Pénis Prostate
Uro-spermiducte Glande de Cowper

= urètre
Corps caverneux Anus
Canal déférent
Corps spongieux
Gland Testicule
Prépuce
Epididyme
Méat urinaire
Appareil reproducteur mâle

1
1. Tube séminifère ; 2. lumière du tube ; 3. Cellules dez Leydig

(testostérone) ; 4. Capillaire ; 5. Lame basale ; 6. Cellule de Sartoli ; 7.
Spermatogonie ; 8. Spermatocyte I ; 9. Spermatocyte II ; 10.
Spermatide ; 11. Spermatozoïde
Structure du testicule (photo x 400)

 Débute à la puberté, activité
maximale vers 20-30 ans,
puis ralentit progressivement
mais peut se poursuivre
jusqu'à un âge avancé.
 Se déroule par poussées ou
vagues successives dans
les tubes séminifères.
 Processus lent et continu
demandant 74 jours.
 Spermatogonies = cellules
germinales 2n chromosomes
 RC entre spermatocyte I et
spermatocyte II (méiose I).
Spermatogénèse
3.3.2. Gamétogénèse chez la femelle (femme)
 L’appareil reproducteur femelle assure
 la production des gamètes femelles : ovogénèse.
 le transport des gamètes mâles et femelles pour permettre la
fécondation.
 la gestation (développement embryonnaire et fœtal).

Pavillon
Ovaire
Rectum
Trompe de Fallope Muqueuse utérine
Paroi utérine
Col de l’utérus
Vessie
Vagin
Urètre
Anus
Clitoris
Lèvres
Hymen
Glande de Bartholin
Appareil reproducteur femelle

 Les cellules folliculaires produisent les œstrogènes.
 Les cellules des corps jaunes produisent la
progestérone.
Follicule
tertiaire
Follicule de De Graaf
 Le follicule à maturité
crève à la surface de
l’ovaire et éjecte l’ovocyte
dans le pavillon de la
trompe de Fallope : c’est
l’ovulation.
Structure de l’ovaire (photo x100)

• Discontinue : pendant
l’embryogénèse, il y a
production d’un stock
d’ovocytes I restant bloqués
à ce stade (300 000
environ).
• A partir de la puberté,
chaque mois, quelques
ovocytes I reprennent leur
évolution, un seul arrivant
au stade bloqué ovocyte II.
• C’est la fécondation qui
stimule la maturation de
l’ovocyte II en ovule.
• Ovogonies = cellules
germinales à 2n
chromosomes
• RC entre ovocyte I et
ovocyte II (méiose I).
L’ovogénèse

3.3.3. La fécondation (être humain)
 Spermatozoïdes remontent le col
de l’utérus, l’utérus puis les 2/3
des trompes.
 L’ovocyte entouré de la corona
radiata descend 1/3 de la trompe.
 Processus de reconnaissance
entre ovocyte et spermatozoïde
hautement spécifique ; un seul
spermatozoïde pénètre l’ovocyte.

 Le zygote entame immédiatement ses divisions pour
donner l’embryon.

 L’embryon descend la trompe jusqu’à l’utérus
 Il s’implante dans la muqueuse utérine vers le 10aine de
jour.
 Développement embryonnaire jusqu’au 3ème mois
(différenciation des tissus et organes, mises en place
des enveloppes embryonnaires, du placenta et du
cordon).
 Du 3ème au 9ème mois développement fœtal, avec
croissance et maturation des organes.

3.3.4. Les adaptations
 En fonction des milieux, les adaptations sont
nombreuses :
 Fécondation externe, ne nécessite pas d'adaptation pour la
copulation (mode le plus simple) mais est peu efficace et donc
couteux en production de gamètes.
 Fécondation interne permet d'augmenter les chances de
fécondation (eaux vives), et est nécessaire pour une
reproduction sur terre.
 La viviparité permet d'améliorer la survie de l'embryon pendant
son développement (vulnérabilité des œufs et éventuellement
des parents lorsqu'ils couvent). Permet une meilleure mobilité
des parents.

3.4. Chez les végétaux (angiospermes)
TP : analyse florale
 La fleur contient les organes reproducteurs mâle et
femelle de la plante angiosperme.
 Plantes hermaphrodites : les fleurs contiennent à la fois des
organes reproducteurs mâles (étamines) et des organes
reproducteurs femelles (pistil).
Fleurs de coquelicot, de fraisier et de muscari

 Plantes monoïques : chaque pied porte des fleurs femelles
(n’ayant qu’un pistil) et des fleurs mâles (n’ayant que des
étamines). Ex. : Fagacées (châtaignier, hêtre…), Bétulacées
(bouleau, noisetier, charme…), maïs…
 Plantes dioïques : Les fleurs mâles et femelles sont portées par
des pieds différents. Ex. : Saules, ortie, houx, kiwi…
Fleurs du hêtre ; mâle à gauche et femelle à droite

3.4.1. Production des gamètes
 La production des gamètes mâles :
 Etamines = Androcée = organes reproducteurs mâles. Formées
d’un filet portant deux anthères, chacune contenant 2 sacs
polliniques.
Etamines (gauche) ; anthère mûre (droite ; MO fluorescence)

 La gamétogénèse a lieu dans les sacs polliniques des anthères
jeunes, elle donne naissance aux grains de pollen qui
contiennent chacun deux cellules haploïdes (dont le futur
spermatozoïde).
Diversité des grains de pollen (à gauche ; MEB) ;

Structure schématique d’un grain de pollen (à droite)

 La production des gamètes femelles :
 Les carpelles libres ou le pistil (carpelles soudés) = Gynécée =
organes reproducteurs femelles. Formés des loges ovariennes
dans lesquels se trouvent un ou plusieurs ovules.
Carpelles libres de Renoncule ( à gauche haut), pistil d’hibiscus (à

gauche bas), de tulipe (à droite haut) Les différents type de
placentation (position des ovules dans les carpelles)
 La gamétogénèse à lieu dans l’ovule jeune et donne l’oosphère
(gamète femelle).
Style et stigmate
Ovaire
Ovule
Sac embryonnaire
Loge ovarienne
Schéma d’un carpelle schéma d’un sac embryonnaire

3.4.2. La pollinisation
 Transport du pollen d'une étamine vers un pistil. Pour
assurer une pollinisation et donc une fécondation
croisée, les grains de pollens doivent être transportée
des étamines d'une plante au pistil d'une autre plante.
 Différents modes donc différentes adaptations :
 Transport par l'eau (hydrogamie) : rare, quelques plantes
aquatiques.
 Transport par le vent (anémogamie ou anémophilie) : sans doute
le plus ancien, mais ne garanti pas le résultat (absence de vent ;
dépôt aléatoire…).  adaptations :
• Plantes souvent monoïque ou dioïque, fleurs à pétales peu
développés, verdâtres, voire absents.
• Etamines longues à filet très souple sortant de la corolle pour une
grande sensibilité au vent.
• pollens de petite taille, léger, en grande quantité, avec très peu
d'ornementations (possibilité de petites facettes, comme les balles
de golf)
Fleurs mâles de saule
(haut gauche), de maïs
(bas gauche)
Grains de pollen de
noisetier (haut droite), de
maïs (bas droite)

 Transport par les animaux (zoogamie) : la relation peut être
épisodique, accidentelle (par la fourrure des animaux), mais
lorsqu'elle résulte d'une coévolution, elle permet une grande
efficacité.
• Entomogamie (ou entomophilie), ornithophilie ou chéiroptérophilie.
• Plantes hermaphrodites, les animaux visitant successivement les
fleurs.
• Etamines disposées dans une corolle colorée attirant les animaux,
avec production de nectar.
• Forme de la corolle (tube plus ou moins long), production de
phéromones, peuvent favoriser une relation exclusive (symbiose ou
parasitisme), qui permet d'éviter les visites d'autres espèces par le
pollinisateur.
 Remarque : pour éviter l'autopollinisation, chez les plantes
hermaphrodites ou monoïque : maturation décalée entre pistil et
étamines, anatomie adaptée (monoïque, cloison entre pistil et
étamines…), incompatibilité des gamètes…

Mouche sur euphorbe
(haut gauche), colibri sur
Fuschia (bas gauche),
Bombix sur faux lierre
(haut droite), Machaon sur
chardon (bas droite)

 Dépôt du grain de pollen sur le stigmate d’un pistil ou carpelle.
 Reconnaissance spécifique entre stigmate et grain de pollen qui
s’hydrate.
 Germination du grain de pollen qui produit un tube pollinique qui
pousse jusqu’à atteindre le sac embryonnaire.
La pollinisation et le début de la croissance du tube pollinique

 La double fécondation :
 Une cellule haploïde du grain de pollen se divise en deux
spermatozoïdes dont seuls les noyaux migrent par le tube
jusqu’au sac embryonnaire.
 Un spermatozoïde féconde l’oosphère et forme le zygote qui
donnera un embryon.
 L’autre spermatozoïde féconde une cellule à deux noyaux,
donnant une cellule triploïde qui produit un tissu de réserve :
l’albumen.
La double fécondation
3.4.3. La graine et le fruit
 Le zygote se divise rapidement pour donner le germe.
L’albumen se développe pour donner le tissu de réserve
de la graine.
 Le reste de l’ovule se développe pour donner le
tégument de la graine.
 Le pistil ou le carpelle donne le fruit.

29/11/2023 Thème C, Partie 1, Chap. 2 : La multiplication des individus par voie sexuée 44
Schéma d’une graine (à gauche) ; schéma d’un fruit (à droite)
29/11/2023 Thème C, Partie 1, Chap. 2 : La multiplication des individus par voie sexuée 45
 Diversité des graines et fruits
selon mode de dissémination.
 Anémochorie : petites graines très
légères, éventuellement pourvue de
soies (pissenlit). Distribution aléatoire.
 Hydrochorie (nautochaurie) :
dispersion par l'eau : plante aquatique
ou de bord d'eau (noix de coco).

 Epizoochorie : transport involontaire
par les poils ou les plumes (graines de
l'aigremoine).
 Dyszoochorie : graines comestibles
enterrées et oubliées par les animaux
(écureuil).
 Endozoochorie : Le fruit comestible

contenant les graines est ingéré par
des animaux, et la graines est rejeté
avec les déjections (fructivores, ici
merle consommant le fruit du
cornouiller).

3.3. Bilan de la reproduction sexuée
 Reproduction sexuée = RC (méiose) puis Fusion
(Fécondation)
 Similitude chez les végétaux et les animaux.
 Avantages :
 Brassage génétique grâce à la méiose et fécondation, les
descendants héritent d'une combinaison de caractères des
parents.
 Plus grande diversité des populations.
 Diversité génétique favorable à une meilleure survie d'une
population en milieu changeant.

 Inconvénients
 Beaucoup d'énergie déployée pour :
• Produire les gamètes (organes spécialisés producteurs de gamètes)
• Assurer les mécanismes de transport des gamètes, de fécondation
• Trouver un partenaire (attraction du sexe opposé, compétition avec
le même sexe) ; certains organismes ne deviennent jamais parents.
 La progéniture issue du brassage peut être moins bien adaptée
à l'environnement, il y a donc moins d'efficacité de la
reproduction.
 Les « erreurs » génétiques sont plus fréquentes.

4. Reproduction asexuée ou sexuée ?
 Si chez les animaux, la multiplication végétative

(parthénogénèse) est exceptionnelle, elle est très
présente chez les végétaux.
 Beaucoup de végétaux peuvent donc utiliser les deux,
mais certaines espèces privilégient un type plutôt que
l'autre, selon l'environnement.
Coquelicot :
Comme toutes les annuelles et
bisannuelles, pas de
reproduction asexuée.

Anémone des bois :
Les rhizomes assurent
l'essentiel de la colonisation, la
reproduction sexuée est peu
efficace (peu de pollinisateurs
au début du printemps)
Benoite rampante à 2800 m

d'altitude :
Les stolons permettent de
coloniser les éboulis schisteux.
La reproduction sexuée est
présente mais l'altitude diminue
l'efficacité (peu de pollinisateurs,
période favorable courte,
germination aléatoire…)
Peuplier (robinier, saules…) :
Drageons de peuplier (jeunes
pousses émergeant le long des
racines superficielles) dans une
clairière, permettant une
colonisation rapide de cette
espace.
Hêtre (châtaigner, chêne…) :

Marcottage (enracinement d'une
longue branche basse touchant le
sol sous son poids), qui favorise
sa descendance s'il meurt.

5. Bilan
 Deux modes de reproductions :

 Asexué = végétatif : unicellulaires, végétaux ; nécessite un seul
individu ; "clonage" donc absence de diversité des descendants.
 Colonisation rapide de milieux stables.
 Sexué = pluricellulaires ; nécessite deux individus de sexe
opposé ; plus énergivore ; assure une diversité des
descendants.
 Assure une population adaptable aux variations du milieu.
 Souvent un mode privilégié par rapport à l'autre selon
l'environnement.
 Assurent la pérennité des populations dans leur
environnement.

1.A.5. Diversité Mode de Reproduction

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Thème 1 : Les enjeux

Partie A : Transformation des

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 Pour assurer la pérennité d’une espèce dans un milieu,

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Saintpaulia Arbre de Jade

Rhizome d’Iris, Tubercule de pomme de terre, Bulbe

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Marcottage d’un cèpe de vigne

Bouturage d’un rameau de Géranium

 Intérêt : nouvelles plantes = identiques à la plante mère.

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 Reproduction sexuée : association au hasard de la

Quelles sont les deux étapes essentielles pour une

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Problème : Quelles sont les évènements cellulaires

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Uro-spermiducte Glande de Cowper

Appareil reproducteur mâle

1. Tube séminifère ; 2. lumière du tube ; 3. Cellules dez Leydig

Structure du testicule (photo x 400)

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Trompe de Fallope Muqueuse utérine

Appareil reproducteur femelle

Structure de l’ovaire (photo x100)

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Fleurs de coquelicot, de fraisier et de muscari

Fleurs du hêtre ; mâle à gauche et femelle à droite

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Etamines (gauche) ; anthère mûre (droite ; MO fluorescence)

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Diversité des grains de pollen (à gauche ; MEB) ;

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Carpelles libres de Renoncule ( à gauche haut), pistil d’hibiscus (à

Schéma d’un carpelle schéma d’un sac embryonnaire

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La pollinisation et le début de la croissance du tube pollinique

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 Endozoochorie : Le fruit comestible

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 Si chez les animaux, la multiplication végétative

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Benoite rampante à 2800 m

Hêtre (châtaigner, chêne…) :

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 Deux modes de reproductions :

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