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AUBANE MELEK MELIKE RAJAA

Introduction:
Bonjour tous d’abord donc aujourd’hui .
Nous allons aborder la question du rapport homme/femme dans au sein de notre
société. De récent scandales ont mis en lumière le comportement indécent et parfois
criminel de certains hommes à l’encontre des femmes. Ces faits divers nous
rappellent que, au-delà des textes de lois et des déclarations publiques, l’égalité entre
les hommes et femmes est encore un but à atteindre plutôt qu’une réalité objective.

Ainsi, nous pouvons voir que les inégalités homme-femme existent notamment dans
les domaines éducatifs et politique dans la parité homme/femme parmi les élus. Des
politiques d’égalité existent mais reste insuffisantes.

Comment peut-on lutter contre ces comportements et mieux promouvoir l’égalité


entre les hommes et les femmes, dans le monde politique et à l’intérieur de
l’entreprise ? Après avoir passé en revue dans une première partie les principales
inégalités et discriminations dont peuvent souffrir les femmes au sein d’un monde
politique, une deuxième partie sera consacrée à la place des femmes au sein des
parcours d’éducation et de formation. Enfin nous traiterons des mesures prises par les
pouvoirs publics pour parvenir à l’égalité homme-femme.

Parité et politique : Melek et Aubane


Les inégalités entre femmes et hommes sont présentes dans de nombreuses
sphères de la société. Focus ici sur la vie politique et l’emploi, domaines dans
lesquels des inégalités de genre subsistent. Celles-ci ont, toutefois, reculé au
cours des dernières années, notamment en raison de l’évolution de l’appareil
législatif français.
Les lois dites «de parité» ont été crées pour permettre l’égal accès des femmes et des
hommes aux mandats électoraux et aux fonctions électives, ainsi qu’aux
responsabilités professionnelles et sociales.

De nombreuses lois sur la parité ont été mises en place. Cela a débuté dès 1999 avec
la révision des articles 3 et 4 de la Constitution de 1958.
L’obligation de compter 40% de femmes dans les flux de nominations aux postes de
cadres dirigeants de l’État s’applique dès 2017.

On constate également une répartition inégale des femmes et des hommes au sein des
municipalités. Certains secteurs sont majoritairement représentés par des femmes,
comme le social ou tout ce qui touche l’enfance/petite enfance/famille, alors que
d’autres sont davantage représentés par des hommes, comme les finances ou le sport.

 Malgré une amélioration de la parité en France, il reste des inégalités en termes


d’accès aux responsabilités. Dans les entreprises en France en 2016, les
femmes ne représentent que 3% des postes à la présidence (PDG) et 15% des
membres exécutifs.

Ainsi, la loi du 26 décembre 2021, vise à « accélérer l’égalité économique et


professionnelle ». Elle impose notamment aux entreprises un quota de 30 % de
femmes parmi les cadres dirigeants. Ce taux passera d’ici quelques années à 40 %.
Depuis 2019, toutes les entreprises comptant plus de 250 salariés doivent, par
ailleurs, calculer et publier leur index de l’égalité professionnelle entre les femmes
et les hommes. Cette obligation a été étendue en 2020 aux entreprises de plus de 50
salariés (loi du 5 septembre 2018).
Plus tôt, la loi du 4 août 2014 pour « l’égalité réelle entre les femmes et les hommes »
prévoyait plusieurs mesures pour renforcer l’égalité professionnelle au sein des
entreprises et notamment le renforcement de la parité dans les conseils
d’administration des grandes entreprises. Avant elle, la loi du 27 janvier 2011, dite « loi
Copé-Zimmermann », avait prévu la mise en place progressive d’un quota de 40 % de
femmes dans les conseils d’administration des entreprises de plus de 500 salariés,
cotées ou non en Bourse, et des entreprises moyennes.

Plus de femmes dans les instances politiques…


Selon le classement du Forum économique mondial sur la parité, publié en juillet
2022, la France se situe aujourd’hui à la 15e place sur 146 pays étudiés. Classée
première dans le domaine de l’éducation, la France reste en retard en matière de
participation des femmes à la vie politique et à la vie économique, ainsi que dans
le domaine de la santé. Le rapport du Forum économique mondial sur la parité note,
toutefois, une plus grande participation des femmes à la sphère politique.

… mais toujours des écarts de salaires significatifs


Le classement du Forum économique mondial sur la parité relève la mauvaise note
(82e) de l’Hexagone concernant l’égalité salariale. D’après les données de l’INSEE, les
femmes gagnent, en effet, 16,2 % de moins que les hommes, avec 2200 euros nets
par mois, contre 2627 euros pour les hommes (salaire mensuel net moyen en
équivalent temps plein).
En 2019, selon la dernière enquête de l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) sur
les rémunérations des cadres dans le secteur privé, le salaire annuel brut médian des
femmes es inférieur de 13 % à celui des cadres hommes, avec 46 000 euros contre 52
000 euros.
Dans la fonction publique d’État, les femmes ont un salaire net moyen de 16 %
inférieur à celui de leurs homologues masculins (selon l’étude de l’INSEE publiée en
2022).
Et l’activité professionnelle des femmes demeure
largement impactée par l’arrivée des enfants
Le taux d’activité des femmes de 25 à 49 ans diminue nettement avec le nombre
d’enfants, surtout s’ils sont en bas âge (moins de trois ans). Ce taux d’activité passe de
84,5 % avec un enfant (taux d’activité de 94,5 % pour un homme ayant un enfant) à
65,5 % avec trois enfants ou plus (taux d’activité de 93,7 % pour un homme avec trois
enfants ou plus).
Par ailleurs, les emplois occupés par les femmes sont plus souvent sous forme de
contrat à durée déterminée (pour 10,6 % des femmes salariées contre 6,5 % des
hommes, tous secteurs confondus en 2020). Et les femmes travaillent très largement
à temps partiel (27,5 % des femmes actives sont à temps partiel, contre 7,5 % des
hommes actifs). Les postes à temps partiel sont occupés à 78,9 % par des femmes.

- appareil législatif français = pouvoir législatif détenu par le Sénat et


l'Assemblée nationale mais également par le peuple français
- Forum économique mondiale sur la parité : 13 juil. 2022
Selon le rapport annuel du Forum économique mondial publié « à ce rythme il
faudra encore cent trente-deux ans pour atteindre l’égalité homme-femme ».
L’étude examine la parité entre les deux sexes dans les domaines économique,
politique, éducation et la santé.

- Exposer mon idée de solution : contravention au chef d’entreprise, qui accepte


un écart de salaire homme/femme à poste égal et compétence égale.
- Analyser effectifs et données salariales.
- 3. Davantage de droits à formation pour les salariés à temps partiel, qui sont en majorité des femmes
• Tous les salariés qui travaillent à mi-temps ou plus bénéficieront des mêmes droits sur leur compte personnel de
formation que les salariés à temps plein*.
• Les femmes représentent aujourd’hui 80 % des salariés à temps partiel : elles seront donc les premières
bénéficiaires de ces nouveaux droits

- Multiplier par 4 les contrôles et interventions de l’inspection du travail, en passant de 1 730 à 7 000 contrôles par
an sur le seul sujet de l’égalité professionnelle et salariale, qui est l’une des 4 priorités de l’inspection.

Question réponse:
Si les femmes sont aujourd’hui en moyenne plus diplômées que les hommes, on constate que leur revenu
salarial mensuel est inférieur de 24,5 % à celui des hommes.

Conclusion:
Pour conclure ,on peut dire que l’égalité entre hommes et les femmes n’est pas acquise bien qu’elle
soit en bonne voie. En effet ,depuis des années on se bat pour légalité entre les deux sexes dans un
grand nombre de domaines .Malgré cela ,il y a toujours eu des inégalités ,et il y’ en a encore .
Il faudra un bon nombre d’années pour réduire ou effacer les stéréotypes (ou clichés )qui continue
encore de nos jours .

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