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Inégalités hommes-femmes dans l'emploi et la rémunération

Malgré la crise en 2008 du marché du travail, le taux d'activité croît, les non salariés
progressent et le niveau de qualification persiste à s'intensifier. Cependant, le chômage persévère
(2.7 millions au sens du BIT en 2018) et l'emploi poursuit sa fragmentation, aussi bien au niveau
des contrats de travail, que de la diversification des salaires, ou encore au regard de la sélectivité
accrue- notamment de la part des entreprises-, dans beaucoup de secteurs d'activité, de métiers, suite
aux effets de structure (féminisation, tertiarisation...), opérés depuis plusieurs dizaines d'années.
En fait, l’emploi se définit par rapport à une norme d’emploi : celle qui est dite « typique »
(emploi salarié, à plein temps et à durée indéterminée, assorti de garanties juridiques) et celle qui
peut être considérée comme « atypique » (qualifiée d'emploi précaire, c'est-à-dire à durée limitée,
comme les contrats à durée déterminée, le temps partiel, les contrats aidés, l'intérim ou
l'apprentissage, à l'exception des temps partiels choisis). Quant à elle, la rémunération, qui désigne
la compensation du travail fourni, renferme plusieurs ingrédients : le salaire de base (fixe) et les
suppléments de salaire (primes, gratifications, pourboires, PEE, stock-options, intéressement,
participation...) et peut être également source d'inégalités...
Nous allons nous intéresser aux inégalités entre les hommes et les femmes, qui se
manifestent au sein même de l'emploi, ainsi que dans l'attribution de la rémunération, à travers
différentes sphères, que nous allons explorer. Dans un premier temps, nous nous attacherons à
l'évolution de la réduction des inégalités entre les deux genres, avant de nous focaliser dans un
second temps, sur la persistance de celles-ci.

1) Des disparités qui s'allègent : soit pour les femmes, soit pour les hommes

a) dans l'emploi :

La population totale (en âge de travailler) se décompose en trois ordres : les actifs occupés,
les chômeurs et les inactifs- ces derniers n'étant pas en quête d'un emploi-. Entre 1975 et 2018,
l'écart de taux d'activité entre les deux sexes est passé de 31 à 8 points. Ensuite, de 2010 à 2018, le
taux d'activité des femmes a cru plus que celui des hommes (3.1 contre 1.2 point). De plus, le taux
d'activité des personnes sorties de la formation initiale de 1 à 4 ans entre 2008 et 2018, a vu un
écart de 1.5 points à l'avantage des femmes. Quant à lui, le chômage désigne la totalité des humains
en âge d'être employé (15-74 ans), sans emploi et en quête d'un travail. En 2018, les femmes actives
, débutant sur le marché du travail, sont de 4 points en moins au chômage que leurs confrères
masculins, étant plus gradées qu'eux. D'une manière générale, au sens du BIT (avoir travaillé au
moins une heure la semaine précédant l'enquête), entre 2010 et 2018, le taux de chômage pour les
femmes a diminué de 0.6 points alors que celui des hommes est resté inchangé. Par contre, malgré
le fait que le taux de chômage de longue durée (être actif depuis plus d'un an) des hommes soit plus
sensible entre 2010 et 2018, en raison de la crise de 2008 et de l'augmentation du travail à temps
partiel exercé par les femmes, ces dernières se retrouvent plus dans le halo du chômage (pas de
recherche d'emploi ou non disponible) que les hommes, même si l'écart se réduit de 0.3 point. La
part des femmes dans la catégorie des inactifs (en reprise d'études, ou non disponible, ou s'occupant
de leurs enfants) continue à se réduire (31.8% en 2018), en raison de l'accroissement de leur
scolarisation.
Des formes contemporaines de précarité sont apparues avec l'essor des travailleurs
indépendants, cependant, la proportion de femmes par rapport aux hommes chez les non salariés
entre 2010 et 2018 augmente d'un point. Le taux d'hommes salariés, lui, progresse d'1 point en
comparaison à celui des femmes entre 2010 et 2018, qui elles ont le pourcentage le plus fort.
Dans le domaine des professions, les femmes croissent de 5 points leur présence au Sénat
entre 2014 et 2017 et de 14 points comme députées de 2012 à 2017. En ce qui concerne les
professions intermédiaires, le taux des femmes a augmenté de 3.4 points alors que celui des
hommes de 1.5 points, soit plus du double entre 2010 et 2018. Parmi les 5 catégories d'employés, on
dénombre plus de femmes policiers et militaires entre 1982 et 2019 (hausse de 11 points). De 2010
à 2018, les femmes employés ont perdu 3.9 points alors que leurs homologues masculins n'ont
perdu que 0.1 point, mais si elles demeurent toujours malgré tout dominantes dans la catégorie,
aussi bien chez les employés qualifiés que non qualifiés. A l'inverse, dans la classe des ouvriers, les
hommes ont vu leur taux s'amenuiser de 1.2 point alors que celui des femmes a progressé de 0.3
point, même si les hommes restent supérieurs, autant chez les ouvriers qualifiés que non qualifiés.
Pour ce qui est du domaine des contrats, d'une année sur l'autre (2017 à 2018), les femmes
sous CDI , emploi précaire, perdent leur hégémonie face aux hommes, plus représentatifs
habituellement, dont la progression est plus marquée. Au niveau du sous-emploi, le taux des
femmes, dominantes dans la catégorie, a chu de 0.2 point de 2010 à 2018, alors que celui des
hommes s'est haussé de 0.2 point. Ce taux fluctue ostensiblement selon la catégorie
socioprofessionnelle : plus fort parmi les employés (10,3 %) et les ouvriers (5,2 %) que parmi les
cadres (2 %), en raison des oscillations conjoncturelles (concurrence plus accrue, planétarisation,
industrialisation et externalisation, quête de rendement, obsolescence, changements dans les goûts
des clients). Pour finir, le taux de temps partiel des hommes s'accroît depuis 2000, comparé à celui
des femmes qui oscille toujours et demeure encore nettement plus prononcé (29.6% en 2017, du en
partie pour « reprise d'activité »).

b) au niveau des rémunérations :

La rémunération conventionnelle établit des critères comme : poste/performance,


grade/ancienneté et potentiel/âge. Mais l'ascension des revenus, tout comme les nominations, peut
revêtir d'autres marqueurs comme l'expérience, l'échelon, l'âge, la responsabilisation, l'autonomie,
ou les politiques publiques. Le pari sur une recrue est une tactique des firmes conjuguée à la
novation, au rendement, au savoir-faire, à la sous-traitance, à la dimension de l'entreprise, sa
localisation, voire les 35 heures. Il en résulte une mutation du coût salarial en coût variable, ou une
annualisation du temps de travail, une flexibilité accrue des employés, une individualisation des
salaires, au regard des variations de la demande, engendrant une modification d'horaires, de salaires,
ou d'effectifs.
Depuis 2008, l'écart de salaire entre les hommes et les femmes continue de diminuer, même
s'il demeure encore aux alentours de 20%. Concernant l'EQTP (Equivalent Temps Plein), l'écart de
salaire entre les femmes et les hommes entre 2001 et 2010 s'est réduit d'environ 2 points, alors que
l'écart de quantité de travail diminue tout autant-les femmes travaillent plus-. De plus, entre 2009 et
2010, après la crise qui a frappé plus les hommes, notamment dans le milieu industriel, l'évolution
du salaire brut, net ou mensuel net a tourné à l'avantage des femmes de plus de 0.3 point comparé à
celle des hommes, surtout parmi les cadres, notamment dans les secteurs financiers et de services
aux entreprises, desquels la fluctuation a augmenté en comparaison de 1.4 point en faveur des
femmes. Additionnellement, la différence d'augmentation entre ces deux même dates concernant les
salaires horaires bruts moyens pour des temps complets, s'élève à 0.6 point au profit des femmes.
Pour conclure, l'écart de salaire moyen pour un temps complet était de 29.4% en 1976 contre 16.3%
en 2017, et pour occuper un poste parmi les 10% les mieux rémunérés, l'écart est de 36% contre
48% en 1997, et pour les 1% les mieux rémunérés, l'écart est de 58% alors qu'il était de 76% en
1997.

2) Des déséquilibres constants

a) dans l'emploi :

En 2018, le taux d'activité des hommes est beaucoup plus fort que celui des femmes et celui
des personnes sorties au fur et à mesure de la scolarité, passe de 3 à 9 points, en raison de la
maternité et donc des choix d'activité. Pour ce qui est du taux de chômage- qui induit des concepts
de vulnérabilité (détérioration du marché du travail) et d’employabilité (durée de l'expérience
professionnelle, ancienneté), peut être répétitif, de conversion (atteint plus les hommes ), ou
d’exclusion-, depuis 2013, celui des hommes (9,5 % en 2017) reste plus élevé que celui des femmes
(9,3 %), qui elles appartiennent cependant plus au halo autour du chômage (les emplois précaires
sont plus féminisés). Enfin, l'inactivité accroît l'écart d'activité entre les hommes et les femmes, ces
dernières devant en majorité élever les enfants.
Certaines activités demeurent majoritairement féminines : services à la personne, employés
administratifs d'entreprise, civils et agents de la fonction publique, puéricultrice, assistante
maternelle, secrétaire, employées de maison. Néanmoins, entre 2008 et 2019, les femmes sont de
moins en moins employées (baisse de 6.4 points), en comparaison aux hommes (baisse de 0.4
point), même si trois-quart des employés sont des femmes, et même si la proportion d'employés
détenant un certificat supérieur ou égal au bac a notablement crû, particulièrement chez les femmes.
Concernant les employés de commerce, la part des femmes a diminué de 10 points entre 1982 et
2019. Chez les ouvriers et employés non qualifiés, les femmes sont toujours majoritaires en 2018 de
17.1 point, tout comme chez les employés (30.3 points) ; les hommes, eux, caracolent encore en tête
des agriculteurs, artisans et chefs d'entreprise de 5.1 points, des ouvriers de 23.5 points et des cadres
(5.4 points).
Au regard du temps de travail, les femmes effectuent moins de temps complet que les
hommes (différence de 1 point en 2018) et les CDD les concernent également plus. En ce qui
concerne effectivement le temps complet de 2010 à 2017, le taux des femmes diminue alors que
celui des hommes, plus représentatifs, progresse. Pour ce qui est du sous-emploi en 2017, l'écart
entre les deux genres est de 5.4 points en défaveur une nouvelle fois des femmes. De plus, les
femmes occupent plus les postes à durée limitée (3.8 points de plus d'1 à 4 ans après la scolarité, 0.9
point 5 à 10 ans et 1.9 point pour plus de 11 ans) et le sous-emploi, essentiellement en temps partiel,
quelque soit l'ancienneté (5.5 points de plus 1 à 4 ans après la fin des études, 4 points pour 5 à 10
ans et 5.2 points pour plus de 11 ans) en 2018. Elles représentent plus de 80 % des emplois à temps
partiel (choisi- effet d'appel- ou contraint, ou par le fait de ne pas avoir saisi une opportunité
d’emploi à temps plein) : des facteurs sont sous-jacents : les mutations de la conjoncture, la
diminution du temps de travail, la recherche de flexibilité des sociétés ou le fait d'avoir une famille
nombreuse.

b) au sein des rémunérations :

La loi concernant l'égalité salariale n’interdit pas les écarts de salaires. Entre 2009 et 2010,
l'évolution des salaires brut et net en euros constants des hommes est supérieure à celle des femmes,
qui gagnent 26% de moins que les hommes (du au temps partiel) en 2018. A titre d'illustration, le
rapport inter-décile est à l'avantage de 1 point pour les hommes en 2015. Explicitement, l'écart de
salaire net médian en 2018 se creuse au détriment des femmes (100€ pour les personnes sorties
depuis 1 à 4 ans de la formation initiale et 410€ depuis 11 ans ou plus). De plus, dans la région
Bourgogne-Franche-Comté, le salaire horaire net des femmes en 2013 est inférieur de 16.7% de
celui des hommes, étant considéré qu'elles exercent des métiers moins qualifiés et rémunérés.
Ensuite, dans l'ensemble, l'écart de salaire net est de 28.5%, de salaire net en EQTP 16.8%
(ségrégation professionnelle) et de volume de travail 14.1%. Enfin, les femmes ont un meilleur
accès au 6% d'emplois les moins rémunérés, mais sinon c'est l'opposé pour le reste.
Concernant l'emploi, les femmes occupent des postes moins diversifiés que ceux des
hommes, n'ont pas le même type d'emploi, ne travaillent pas dans les même secteurs ou type
d'entreprise, et des inégalités pyramidales demeurent. A poste équivalent, des inégalités
intraprofessionnelles (10%) perdurent, dues aux écarts de salaires horaires inhérents à chaque
métier (effets de structure : genre de contrat de travail, âge, dimension de l'entreprise, secteur
d'activité, CSP...). En outre, des écart restent non expliqués (6.8%), assimilables à de la ségrégation
professionnelle, pour l'avancement et les primes, même si l'expérience professionnelle, l'ancienneté
et le niveau de diplôme peuvent être avancés. Même si la quantité de travail des femmes reste
inférieure à celle des hommes, les écarts de salaire en EQTP se situent aussi bien à diplôme
équivalent (BAC : 15.8% et BAC+3 : 29.4), pour un même volume de travail (12.6% pour les
moins expérimentés et 9.9 en fin de carrière), pour la même durée d'expérience professionnelle
(moins de 5 ans : 6.4% et 21.7 pour 30 ans de carrière), et lorsque la famille comporte plus d'enfants
(1 enfant : 22%, 3 enfants ou plus 31 et 7% sans enfant). Les autres déterminants des inégalités
peuvent être: la sphère du diplôme, les pauses de carrière, le temps partiel subi, la scolarisation des
femmes, l’individualisation des salaires ou/et la rémunération au mérite voire la scolarisation plus
poussée des femmes, qui rend leur embauche indifférente. Concrètement, le salaire des femmes
augmente avec l'âge mais moins que celui des hommes : dans la tranche d'âge 35-44 ans, l'écart
augmente (période dans laquelle les femmes choisissent de reprendre une activité après avoir élevé
leurs enfants), pour les 55 ans et plus, l'écart est de 29%, en raison de la structure d'emploi,
l'interruption d'emploi et des diplômes moins élevés chez les femmes.
Au niveau de l'activité, dans le secteur privé, les écarts sont plus importants entre les pères et
les mères qu'entre les parents sans enfant- les mères ont la probabilité d'occuper un poste parmi les
1% des emplois les mieux payés à hauteur de 60% des pères, comparé aux femmes sans enfant (à
hauteur de 30% des hommes). Dans la fonction publique, quant à elle, les inégalités de salaire en
EQTP sont inférieurs à ceux du privé : 12.4 contre 16.8%, même si la différence de quantité de
travail est moindre, le revenu salarial des femmes est inférieur de 16.4% de celui des hommes dans
le public, contre 27.2% dans le privé, l'écart de salaire entre les genres diminue moins (95-2017 :
baisse de 1.3 points comparé à 4.7 points dans le privé). Par contre, pour les 10% des emplois les
mieux rétribués, l'écart est de 41% dans la fonction publique comparé à 35% dans le privé. Enfin,
alors que le degré de salaire croît, l'écart grandit plus au sein des Grandes Entreprises.
Concernant certains secteurs d'activité, tout travail confondu, l'écart peut-être important
(31.5% dans le milieu du spectacle, 30.9 finances et assurance, 17.8 domaine pharmaceutique, 16.5
la santé, 13.9 commerce de détail), ou plus réduit (transport 3%, construction 1.1, métiers plus
rémunérateurs). Au total, l'écart avoisine les 16.7% (assimilable à de la ségrégation
professionnelle), et continue d'être important, même à métier équivalent (aux alentours de 12% pour
les cadres du spectacle ou financier). Dans les secteurs majoritairement féminins, les écarts sont
plus resserrés, même si les hommes occupent plus les postes à responsabilité, mais ce sont les
emplois qui sont les moins bien rémunérés et les qualités dites « féminines » ne rémunèrent pas.
Pour ce qui est du temps de travail, malgré la hausse de rémunération des femmes à temps
complet depuis les années 50, la stagnation a fait place depuis les années 90. En outre, des
dissemblances de temps de travail expliquent ces inégalités :les femmes ont plus recours au temps
partiel- duquel le taux de salaire horaire est moindre car fréquemment associé à une déqualification,
ou à une question d'investissement et donc d'efficience, relatifs à une surcharge de travail
professionnelle et domestique- et les hommes pratiquent plus d'heures supplémentaires. Enfin, pour
une même quantité de travail, les inégalités sont faibles en début de carrière mais croissent avec
l'âge, en raison du type d'emploi, du secteur d'activité et de la rémunération qui en est liée.

En conclusion, on constate que les inégalités entre sexes déclinent graduellement en matière de
taux d'activité, de chômage, d'inactivité, de volume de travail, de type de contrat, de salaire, dans
certaines professions, certains secteurs, mais que les disparités s'y consolident toujours également.
En fait, on s'aperçoit que l'emploi typique reste toujours à dominance masculine, tout comme les
emplois les mieux rétribués, alors que l'emploi atypique demeure encore plutôt féminin.
Pourtant, il est essentiel pour la gente féminine de travailler, ne serait-ce que pour leur autonomie
ou même leur recognition sociale.
A la suite de ces données et facteurs explicatifs en résultant, on peut en conclure que : « à travail
égal, salaire égal », « emploi et rémunération inégaux par ailleurs », ce qui signifie que le marché de
l'emploi et de la rémunération, n'est qu'un milieu sexiste encore actuellement.
Pou remédier à cela, d'après l'école des Néo-Classiques, doctrine privilégiant la rationalité et
l'impact de l'homo-oeconomicus dans l'économie, les politiques publiques devraient adoucir la
réglementation du travail et favoriser toute embauche, même à temps partiel.
Mais, je pense que les femmes devraient pouvoir occuper les même métiers que les hommes, être
payées par le même salaire, à métier égal, à diplôme égal, pour la même ancienneté, et à quantité de
travail équivalente, soit du début à la fin de carrière.
Avec la montée en flèche des nouvelles technologies qui risque de faire accroître le chômage,
comment évolueront les inégalités entre genre ?

Bibliographie :

doc 1: INSEE. Tableaux de l'économie française : Edition 2019. 26/03/2019. Disponible à


l'adresse :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/3676619?sommaire=3696937

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vie active. 13/11/2019, n°168. Disponible à l'adresse: https://www.insee.fr/fr/statistiques/4248174

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l'adresse: https://www.insee.fr/fr/statistiques/3741241

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https://www.insee.fr/fr/statistiques/1281126

doc 6: INSEE. Tableaux de l'économie française: Edition 2019. 26/03/2019. Disponible à l'adresse:
https://www.insee.fr/fr/statistiques/3676640?sommaire=3696937

doc 7: INSEE. En 2010, les salaires ralentissent en euros constants: Secteur privé et entreprises
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doc 8: INSEE. Inégalités salariales entre hommes et femmes: les métiers exercés et le temps de
travail expliquent plus de la moitié des écarts. 15/09/2016, n°8. Disponible à l'adresse:
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2128979

doc 9 : INSEE. Ecarts de rémunération femmes-hommes : surtout l'effet du temps de travail et de


l'emploi occupé. 18/06/2020, n°1803. Disponible à l'adresse :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/4514861

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