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Chapitre 3 : Comment lutter contre le chômage?

Intro : Chômage et sous-emploi définition et mesures


Le chômage :
- Situation d’une personne en âge légal de travailler et qui en veut un
- état du marché du travail (travail = L) lorsque l’offre (Offre [O] = travailleurs) est
supérieure à la demande de L (entreprises qui embauchent)

On peut chercher à observer :


● Le taux d’activité
Pop act/Pop en âge de travailler × 100

● Le taux d’emploi
Pop act occupée/Pop en âge de travailler × 100

● Le taux de chômage
Pop act inoccupée/Pop active × 100

a) Part des actifs dans la population de 15 ans ou plus


29 682 200/53 645 600 × 100 ≈ 55.3
(taux d’activité)

La part des actifs dans la population de 15 ans ou plus est de 55,3%.


En 2019, plus de la moitié (55,3%) de la pop de 15 ans ou plus était active
b) Part des actifs occupés dans la population de 15 ans ou plus
27 176 000/ 53 645 600 × 100 ≈ 50.3
(taux d’emploi)

La part des actifs occupés dans la population de 15 ans ou plus est de 50.3%
En 2019, un individu en âge de travailler /2 occupe effectivement un emploi.

c) Part des chômeurs dans la population de 15 ans ou plus


2 506 200/53 645 600 × 100 ≈ 4.7
En 2019, 4.7% de la population de 15 ans ou plus est en situation de chômage
Taux de chômage

La part des chômeurs dans la population de 15 ans ou plus est de 4.7%

d) Part des chômeurs dans la population active


2 506 200/29 682 200 × 100 ≈ 8.4
Taux de chômage

La part des chômeurs dans la population active est de 8.4%

Il existe en France 2 comptabilisation officielles du nombre de chômeurs :


➔ définition de pôle emploi : Ils comptabilisent les DEFM
5 catégories de chômeurs
- A : Tous les demandeurs d’emplois qui n’ont exercé aucune heure d’activité
dans le mois = chiffres officiels du chô
- B : Ensemble des individus qui ont eu une activité inférieure à 78h dans le
mois
- C : Ensemble des individus qui ont eu une activité supérieure à 78h dans le
mois
- D et E : Inscrits au pôle emploi mais pas comptabilisés ⇐ n’ont pas à rendre
compte d’actes de recherches car en stage ou en contrat aidé ou en maladie

Cette comptabilisation a 2 limites :


- Elles forment des catégories statistiques en ne considérant en chômeur que les
individus de la catégorie A, alors que le nombre de gens inscrit au Pôle Emploi est
plus important
- C’est une méthodologie nationale (c’est une façon de dénombrer les chômeurs
propre à la France et qui ne permet donc pas une comparaison internationale

Voilà pourquoi il y a une 2ème comptabilisation officielle


Celle de l’INSEE c’est par le BIT, le nombre de chômeurs est calculé par l'Insee tous
les trimestres, à partir de l'enquête Emploi, dont l'objectif principal est de mesurer le
chômage au sens du BIT.
- Il faut être en âge de travailler mais ne pas avoir d’emploi
- Ne doit pas avoir exercé d’activité depuis 1 semaine (avant enquête)
- Déclarer une recherche active d’emploi
- Personne doit être disponible pour travailler (dans les 2 semaines pour
travailler)

1975-1987 :
Le taux de chômage passe de 3% à 9%, le chômage a triplé, il a augmenté de 6
points.

1993-1999 :
Le niveau le plus élevé historiquement, de chômage

2007-2008 :
Le niveau a baissé à 7%

2015 :
+3 points

2020-21 :
tendance baissière

Depuis le début des années 80 le taux de chômage n’est jamais redescendu en


dessous de 7%.

Contrairement au Pôle Emploi, l'INSEE s’intéresse aussi à la question du


sous-emploi c’est-à-dire à la situation des personnes qui ont un emploi à temps
partiel, qui veulent et peuvent travailler davantage (temps partiel subi). Ou d’une
personne qui a un emploi à temps complet mais qui a dû travailler moins que
d’habitude du fait d’un chômage technique ou chômage partiel.

5,4% des actifs en 2019, voudraient et pourraient travailler plus. Entre 1990 et 2000
le taux est passé de 4% à 6%, 2000 et 2009 le taux de sous-emploi est resté à peu
près stable et de 2009 à 2019 le taux a baissé (6,6 à 5,4).
Les femmes sont en moyenne trois fois plus touchées que les hommes par le
sous-emploi. Pour les hommes la tendance est extrêmement stable, +1 point en 30
ans alors que pour les femmes en seulement 10 ans ça a été + 3 points et en 20 ans
+3,3.
Les plus jeunes sont le plus touchés par le sous-emploi (1 jeune/10) alors que les
vieux ont été très stables (~5%). Les jeunes femmes sont particulièrement touchées
par le sous-emploi.

Ⅰ) Quelles sont les sources du chômage?


L’observation de l’évolution des taux de chômage et de sous-emploi est une
préoccupation aussi bien économique que politique car certaines variations (des
taux) s’expliquent par la conjoncture économique (état de la croissance). Pour autant
le taux de chômage ne descend jamais en dessous des 7% depuis plus de 40 ans
même dans les périodes de forte croissance. C’est donc qu’il y a des raisons
structurelles à son existence, on parle donc d’un chômage conjoncturel
(conséquence des fluctuations économiques) qui s’ajoute à un chômage structurel
(de long terme).

A) Les origines du chômage structurel


Le chômage structurel se comprend comme la part du chômage incompressible à
court et moyen terme. Il s’explique essentiellement par un déséquilibre durable du
marché du travail imputable à :
1. des rigidités liées aux institutions

Institutions : On appelle institution l’ensemble des règles qui permettent et encadrent


la rencontre de l’offre et la demande de travail et qui s'incarnent dans des
organisations spécifiques (syndicats de salariés ou de patrons, via l'État, via des
regroupements professionnels mais également via le tribunal des prud’hommes).
Mais également via des réglementations (un droit du travail, via des conventions
collectives, le salaire minimum).

a) Le salaire minimum

Selon un courant de pensée économique appelé “modèle néoclassique du marché


du travail”, le marché permet toujours l'allocation optimale des ressources. Ainsi il ne
peut pas y avoir de chômage (ou un chômage volontaire). Par conséquent introduire
un salaire minimum c’est créer une rigidité qui va perturber le bon fonctionnement du
marché du travail et le déséquilibrer.

De ce fait si les gens ne consomment plus et travaillent au noir.


b) Les règles de protection de l’emploi
Exemple de la réglementation des licenciements :
- Motif valable grave (pas à cause de 1 réunion de loupé par exemple)
- Préavis doit être accordé (entre 1 et 3 mois)
- Il faut peut-être verser des indemnisations

Cette réglementation qui protège les salariés par rapport au risque de licenciement,
peut créer du chômage puisque les entreprises vont attendre, être sûr d’avoir le bon
candidat pour embaucher, ça ne va pas être si facile que ça. Les entreprises sont
donc frileuses puisqu’elles appréhendent le coût d’un licenciement, de plus si elles
doivent embaucher elles vont être très sélectives. C’est un effet pervers de la
réglementation sur le licenciement.

Si il n’y avait pas cette réglementation, il n’y aurait pas de vie stable pour les gens au
chômage. Si il y a trop peu c’est pas bon et si il y a trop de réglementation c’est pas
bon non plus.

2. Les problèmes des asymétrie d’informations


asymétrie d’info = les infos ne sont pas transparents, les 2 partis de l’échange n’ont
pas le même nombre d’infos

Dans le cadre du marché du travail, l’asymétrie d’information est principalement une


entrave pour la demande de travail. Par exemple, un candidat à l’embauche peut
mentir sur son CV, ses qualités, des compétences… Le candidat peut aussi avoir
reçu des lettres de complaisance/recommandation. Le problème des asymétries
d’information c’est qu’ils font courir le risque d’une sélection adverse (choisir le
mauvais candidat). L’entreprise risque de se tromper, le pensant motivé, compétent
alors qu’il ne l’est pas.
Asymétrie d’info → sélection adverse salaire → d’efficience
Le salaire d’efficience paraît alors être un bon moyen pour limiter ce problème.
Le salaire d’efficience est un salaire supérieur au salaire d’équilibre. L’objectif de
l’employeur est d’envoyer un signal pour dire que si le salaire est plus élevé c’est
que les compétences attendues sont aussi plus élevées. L’entreprise n’espère donc
attirer que les candidats qualifiés. Toutefois, l'entreprise peut rencontrer de graves
déconvenues une fois le salarié embauché. Par exemple un salarié qui considère
qu’il est couvert de son contrat de travail et qu’il ne peut quasiment plus être licencié,
qu’avec ce contrat de travail vous êtes assuré d’avoir un salaire, quelle que soit la
volonté que vous mettrez à travailler (ex : Macron voulait faire en sorte que les profs
travaillent au mérite). L’entreprise peut se retrouver face à des comportements de
passager clandestin et en plus on le paye au-delà du salaire d’équilibre. En réalité le
salaire d’efficience est censé stimuler la productivité des travailleurs :
- Le salaire a une incidence sur la motivation au travail, plus on est payé plus
on est enclin à s’investir, on a le sentiment d’être reconnu
- Le salarié est conscient d’être payé au-delà du salaire d’équilibre, il ne va
donc pas se comporter en passager clandestin, parce qu’il va avoir peur de
perdre son emploi (= temps pour la recherche d’un emploi peut-être moins
bien payé que l’actuel)
- Le salaire d’efficience a aussi la vertu de désinciter les salariés à chercher un
autre emploi. C’est coûteux pour l’entreprise de chercher un autre salarié en
temps et en effectifs mobilisés.
Le problème qui se pose alors c’est que si toutes les entreprises ont recours à cette
stratégie de salaire d’efficience alors il va y avoir une augmentation du salaire
moyen.

3. Les problèmes d’appariement


Cette phrase (voir doc “Appariement…”) fait référence au chômage fonctionnel.
Chômage frictionnel: Chômage lié au délai nécessaire à la recherche d’emploi pour
l’offreur de travail. Ex: Une personne tout juste diplômée, va s’inscrire au Pôle
emploi pour une recherche d’emploi, il va prendre un délai nécessaire à la recherche
d’emploi. Une personne en transition va s’inscrire à Pôle Emploi. Les rédigent des
offres d’emploi. L’appariement ne peut se faire immédiatement. Parfois c’est un
choix délibéré des individus de choisir de rester au chômage pour éviter un mauvais
appariement = chômage de prospection. Il y a des inadéquations :
- Spatial = ex. le nord de la France est une région régulièrement sinistrée en
matière d’emploi, transition énergétique et délocalisation du textile. A l’inverse
il y a des régions avec beaucoup d’offres d’emplois qui créent des
mouvements de population (Île-de-France).
- Qualifications = besoin de compétences précises. Les compétences
attendues ne matchent pas avec le travail, conséquence : certains domaines
sont en tensions, il y a créations d’emplois mais on ne trouve pas de salariés.
(couvreur, restauration, informatique). Dans ces cas-là on a donc une
situation ou la création d’emploi est concomitante à un chômage élevé parce
que les emplois créés ne correspondent pas aux chômeurs disponibles.
- Appariements Instables = L’entreprise ou le salarié accepte la relation en
pleine conscience qu’elle n’apporte pas une totale satisfaction. L’appariement
a toutes les chances d’être de courte durée donc une situation de chômage
est peut-être à venir, c’est pourquoi certains salariés renoncent à ces
appariements infructueux pour poursuivre la recherche d’emploi (chômage
frictionnel)

B) Les fluctuations de l’activité économique et le chômage frictionnel/conjoncturel

Le chômage conjoncturel est une forme de chômage qui est lié au ralentissement de
l'activité économique, il s'explique donc par les variations, les fluctuations de
l’activité économique. En effet lorsque la production ou la demande baisse, une
récession est susceptible d’engendrer une augmentation du chômage. Mais dès lors
que la croissance reprendra (c’est-à-dire que la production augmentera), alors ce
chômage se résorbera.

1) les fluctuation liées aux chocs d’offres

2) les fluctuations liées aux chocs de demandes

Il y a un lien très étroit entre croissance économique et chômage, puisque la


croissance est une situation d’augmentation du niveau de la production et que pour
produire plus les entreprises doivent souvent embaucher plus, donc le chômage
diminue. Un cercle vertueux peut même s’enclencher car - de chômage c’est plus de
croissance et d’emploi.
A l’inverse une récession (voire une dépression) à tendance à engendrer plus de
chômage car l’activité, donc la production et l’offre se contractent tout comme la
consommation des ménages diminue, cette baisse de l’activité = plus de
licenciement et de chômage.

2. Quelle grande politique mettre en œuvre pour lutter contre le chômage ?

A) Les politiques macroéconomiques de soutien de la demande globale


Pour Keynes : moteur de la croissance économique = la demande = il faut soutenir
le pouvoir d’achat des ménages.
Solution 1 : les politiques budgétaires de relance (diminuer les recettes et augmenter
les dépenses publiques) = ça va créer du déficit à court terme mais le retour de la
croissance permettra à moyen ou long terme de le combler.
- politique de grands travaux publics : créer des infrastructures, bâtiments
publics = mobilisation de corps de métiers = embauche = baisse du chômage
→ cercle vertueux : baisse du chômage = augmentation du pouvoir d’achat =
augmentation de la consommation = augmentation production = baisse du
chômage.
- augmentation d’aides sociales : ⚠ les ménages les + pauvres ont la
propension marginale à consommation la + élevée = tout supplément de
Revenu est consommé par les pauvres. = augmentation du pouvoir d’achat
des + pauvres = augmentation de la consommation = augmentation de la
production = baisse du chômage → cercle + : baisse du chômage =
augmentation du pouvoir d’achat = augmentation de la consommation =
augmentation de la production = baisse du chômage
- baisse de l'impôt et des taxes = augmentation du pouvoir d’achat =
augmentation de la consommation = augmentation de la production = baisse
du chômage → cercle vertueux : baisse du chômage = augmentation du
pouvoir d’achat = augmentation de la consommation = baisse du chômage /⚠
augmentation de l’épargne alors l’effet de la mesure est nul pour la
croissance mais l’état s’est endetté
- l’Etat peut soutenir l’innovation privée (subvention à l’innovation) = gains de
productions :
● augmentation du salaire = augmentation du pouvoir d’achat = augmentation
de la croissance = augmentation de la production = baisse du chômage cercle
vertueux
● baisse des prix = augmentation du pouvoir d’achat = augmentation de la
croissance = augmentation de la production = baisse du chômage cercle
vertueux
● réinvestissement = progrès technique = répartition supplémentaire de revenu
⚠ inégalités
⚠ dép/recettes : Budget public soumis aux critères de Maastricht = dette 60% max
du PIB et déficit public de 3% max du PIB

Solution 2 : politique monétaire de relance = agir sur la masse monétaire (Quantités


de monnaie en circulation dans l’économie)
- baisse du taux d’intérêt directeurs = incitation aux entreprises/aux ménages à
faire des crédits :
● Investissement Recherche et développement → innovation ou
s’agrandir) = augmentation de la production = baisse du chômage →
cercle vertueux : augmentation du pouvoir d’achat = augmentation de
la consommation = augmentation de la production = baisse du
chômage
● Investissement (immobilier) ou consommation =augmentation de la
consommation = augmentation de production = baisse du chômage →
cercle vertueux : augmentation du pouvoir d’achat = augmentation de
la consommation = augmentation production = baisse du chômage

B) Des politiques d’allégement au coût du travail


Embauche = Coût du travail : salaires (Contractuel, Smic) et cotisation patronales

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Cours de jeudi

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Exemple 1 : l’Allemagne
La lutte contre le chômage est passée par l’idée d’instaurer des “mini-jobs”
c'est-à-dire des emplois avec un faible nombre d’heures (flexibilité) et des cotisations
patronales très réduites voire nulles. Allègement du coût du L. Ce sont les lois
HARTZ (2003-2005). En même temps, il y aussi eu une réforme par rapport à
l’indemnisation du chômage, qui s’est révélée être plus restrictive. Avec ces deux
mesures, le taux d'activité et le taux d’emploi ont augmenté. Précarité lié au principe
du mini-job. Faible qualité de l’emploi créé.

Exemple 2 : Angleterre
En Angleterre ils ont créé le “contrat 0 heures”, ce contrat c’est la possibilité pour le
patron de faire travailler son salarié uniquement lorsqu’il a besoin de lui, en
contrepartie le salarié à le droit de refuser. Il travaille, il a un revenu, il ne travaille
pas, il n'a pas de revenu. Il est payé à l’heure, c’est une forme d’engagement
extrême.
3 exemple : Danemark, Flexisécurité
Les employeurs bénéficient d’une assez grande souplesse dans l’embauche et le
licenciement, mais les chômeurs sont très accompagnés. Il a un référent qui
l’accompagne dans la recherche d’emploi, il l’aide à toutes les étapes, régulièrement
et puis il y a aussi des incitations (6 mois de chômage max)
Au Danemark le taux de chômage est extrêmement bas.

2) L’importance de la formation
Formation initiale :
La formation initiale est souvent associée au diplôme obtenu, normalement, plus le
niveau du diplôme est élevé, plus l’embauche est censée être facilitée. Ainsi une
meilleure adaptation des qualifications des individus au besoin du marché du travail
devrait permettre une baisse du chômage ( meilleure adéquation). De plus, les
travailleurs les plus qualifiés sont ceux qui ont le plus de chances d’être rémunéré à
un salaire d’efficience. Pour un employeur une main-d'œuvre plus formée est une
main-d'œuvre plus productive.

Formation Professionnelle/continu :
Les connaissances doivent parfois être actualisées voire les développers, en
acquérir davantage, c’est dans l’intérêt du patron qui obtient une main-d'œuvre plus
productive et du salarié qui peut prétendre à une augmentation de salaires.
Toutefois il peut apparaître des limites à cette formation, la formation ça prend du
temps au patron et le travail du salarié ne se fait pas. Le salarié doit s’investir pour
cela.
Dans la formation il faut une adéquation temporelle ou éviter les inadéquations
temporelles, c’est-à-dire, éviter la formation qui n’est plus utile dans 5 ans.
Former le salarié c’est une prise de risque puisque ça coûte et s’il va chez le
concurrent il ne rapportera pas les coûts à l’entreprise.

La formation continue/Prof en France connaît 2 grands problèmes, 1ère difficulté, la


formation des jeunes est assez peu développé même dans les niveaux de diplômes
élevés par conséquent l’insertion sur le marché du travail peut-être plus longue et
plus difficile, les entreprises recherchent des salariés qui seront vite opérationnels
seuls des systèmes d’alternance ou de stages permettent aux jeunes de développer
cette expérience.
2ème problème : La formation continue est généralement suivie par les plus
qualifiés, les individus les moins qualifiés sont ceux qui ont le plus de difficulté à aller
vers la formation or ce sont ceux qui en ont le plus besoin.

Conclusion :
Pour être efficace, la formation doit porter sur les réels besoins des entreprises.
Cette formation doit bien être orienté car les travailleurs qui en ont le plus besoin
sont parfois ceux qui ont le moins accès

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