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Thème 1 

: Analyser le marché du travail : outils statistiques, grandes


évolutions historiques, tendances récentes et perspectives
I. Taux d’activité, taux d’emploi, taux de chômage, formes d’emploi…De quoi parle-t-on  ?
A) Le taux d’activité

Pour mesurer un taux d’activité il faut distinguer qui est actif ou pas. Le taux d’activité mesure le
pourcentage actif sur le total de la population multiplié par 100. On peut l’affiner selon les
catégories. Un actif est soit quelqu’un qui a un emploi soit quelqu’un qui est chômeur cad disponible
à travailler et qui recherche un emploi. Plus on a une pop qui fait des études longues, plus le taux
d’activité est bas. L’acticité des jeunes a diminué car ils peuvent faire des études pendant de longues
années (3, 4, 5ans) et le départ à la retraite a été avancé ce qui a fait baisser le taux d’activité. En
France, environ 45% de la pop cherche un emploi ou est dispo. En Allemagne ce chiffre tourne autour
de 42%.

Si on se base sur une population en âge de travailler (15-64 ans) on a un taux d’activité de :

- 73.4% en France
- 64.5% en Italie
- 78.1% en Allemagne

En France, 8 personnes sur 10 sont actives. Dans les autres pays ce chiffre diffère notamment grâce à
la culture, au gouvernement et aux décisions politiques qui favorisent ou non une pop active. De
plus, les jeunes rencontrent plus de difficultés à s’insérer sur le marché du travail, ce qui est lié aux
politiques gouvernementales. Il en est de même en fonction du sexe.

B) Le taux d’emploi

C’est le nombre de personnes ayant un emploi sur la pop totale. On raisonne en termes de qui a un
emploi. Il est influencé par des politiques publiques ainsi que par certaines mesures. Il mesure le
pourcentage de gens qui ont un emploi dans une population donnée. En avril 2022, le taux d’emploi
était de 68% en France, en Italie 60% et en Allemagne 77%. On a un taux d’emploi en all supérieur au
taux d’emploi en France. Si on s’intéresse par tranche d’âge, on voit que sur les 15-64 ans on a un
différentiel hommes/femmes. En Allemagne il y a un lourd différentiel entre les hommes et les
femmes.

C) Le taux d’emploi à temps partiel

On préfère que les personnes soient bien payées au chômage plutôt que les personnes soient mal
payées à temps partiel. Si on prend l’ensemble des emplois et que l’on se base sur les données de
l’OFCE, la France compte 13,8% d’emplois à temps partiel en 2021, l’Italie 17% et l’Allemagne 22.2%.

Des taux d’activité et des taux d’emplois similaires peuvent masquer des réalités bien différentes, de
même que les écarts constatés peuvent être expliqués par une structure des emplois différentes.

D) Le chômage et son halo

Un chômeur selon le BIT se définit comme étant une personne de plus de 15ans qui répond à trois
critères :

- Elle est sans travail, et n’a pas travaillé au cours de la semaine de référence ;
- Elle est disponible pour travailler sous deux semaines
- Elle est à la recherche active d’un travail et a entrepris au moins une démarche de recherche
d’emploi au cours du mois précédent l’enquête

Taux de chômage = (Nombre de chômeurs/population active) *100

Un chômeur sur deux touche 0€. Il y différentes formes de chômage. On peut comparer les pays sur
le taux de chômage de longue durée (quelqu’un qui est au chômage depuis plus d’un an).

Personnes dans le halo du chômage = «  Personne sans emploi qui soit a cherché un emploi, mais
n’est pas dispo pr travailler, soit n’a pas recherché d’emploi, mais souhaite travailler et est dispo pr
travailler, soit souhaite travailler, mais n’a pas recherché un emploi et n’est pas dispo pr travailler  ».
En France en 2022, 1.8 millions de personnes sont dans ce halo.

Le sous-emploi regroupe, selon la définition au sens du BIT «  toutes les personnes pourvues d’un
emploi salarié ou non, qu’elles soient au travail ou absentes du travail, et qui travaillent
involontairement moins que la durée normale du travail

Les hommes sont 2x moins touchés par le sous-emploi que les femmes. Selon l’âge, les plus touchés
sont les 15-24 ans.

II. Les évolutions profondes du marché du travail depuis le XIXe siècle

A) Les grands bouleversements de la pop active : d’une société agraire à une société de
services

Tout au long du XIXe siècle on a une pop active qui augmente progressivement, les personnes
veulent travailler (12,8 millions -> 19,6 millions). Vers le XXe siècle, il y a une stagnation du taux
d’activité autour de 20 millions =. Au cours des années 1960, le babyboom et l’accès au travail plus
ouvert pour les femmes implique une augmentation de la pop donc du taux d’activité. En revanche,
le taux d’activité est relativement stable sur une longue période.

Sous le Second Empire, 65% des actifs sont agricoles. Le passage à une société de service se fait à
la suite de la 2GM suite à une quasi-disparation de la classe paysanne, un début de la classe ouvrière
et l’explosion d’emplois de bureaux et de services. L’industrie atteint son apogée en 1974 (39% des
emplois). Aujourd’hui la prééminence du tertiaire est considérable : environ 86% des emplois
aujourd’hui se situent dans le secteur tertiaire, et environ 2% pour le secteur agricole. La faibkesse
industrielle française a posé pb notamment pendant le covid par exemple puisque du matériel
protecteur pr les médecins ou la population ne pouvait pas être produit en France. Lorsqu’il y a un
conflit avec un pays, on observe un pb lors des crises car la France n’est pas capable de produire.

 Changement de la structure de la pop active, passage d’une société agricole à une société de
service.

B. Une hausse continue de la productivité et des salaires…jusqu’à la période récente

A la fin du XXe siècle, une heure de travail est 28 fois plus productive qu’au début de
l’industrialisation donc la richesse est multipliée. Pendant les 30 Glorieuses, on augmente de 5% la
production tous les ans.

Marchand et Thélo estiment qu’en deux siècles, le capital humain a été multiplié par 3,5.
Aujourd’hui, il y a un retournement de tendance perceptible (net ralentissement des gains de
productivité ces dernières décennies, perte très récemment). En France, la productivité du travail des
branches marchandes ralentit depuis le début des années 1980, passant d’un rythme de 2,6% par an
en moyenne dans les années 1980 puis 1,9% dans les années 1990 à 1,2% dans les années 2000
jusqu’à la crise financière de 2008 et 0,8% depuis 2010, après avoir même baissé de 0,3% par an
entre 2008 et 2010. Chaque décennie les gains annuels de productivité sont de plus en plus faibles.
=> baisse de la productivité du travail d’environ 1% en 2021 (INSEE).

Comment expliquer le ralentissement/la baisse de la prod ?

La productivité c’est soit l’innovation, soit une entreprise qui meurt donc une autre qui est plus
productive reçoit plus de K alors la productivité augmente. Le vieillissement de la population fait
baisser la productivité, une personne âgée est moins productive qu’un jeune.

La faiblesse de l’investissement : il dépend de la propension des entreprises à investir et donc de la


confiance en l’avenir…De 2013 à 2021, les crédits étaient nombreux mais les entreprises n’en n’ont
pas beaucoup profité. Le ralentissement s’explique par le fait que la productivité n’est plus tirée par
les mêmes secteurs.

 Il y a un changement dans la structure sectorielle de l’emploie.


 Les emploie industrielle sont les emplois dans lesquelles sont réalisé le plus de gains de
productivité. Le secteur industriel regroupe 12% des emplois en France.
Dans d’autre secteur, exemple l’aide à la personne les gains de productivité sont faible et ne
peuvent pas augmenter.
 Les gains de progrès technique ont ralenti => il y a un essoufflement du progrès technique.
Certes on avance dans le progrès mais bien moins que dans les année précédente.
 Ce qui fait aussi baisser/ralentir la productivité sont les personnes âgées. En effet ces
personnes-là ne sont pas formé en continue et donc ne sont pas au courant des dernière
« tendance » d’étude. Le vieillissement de la population fait que le capital humain décroît.

 Il y a donc beaucoup de chance de croire que cette tendance va perdurai. La question


serait de savoir si elle va continuer en stagnant ou s’empirer.

Par ailleurs depuis la crise de 2008, les crédits sont de plus en plus compliqués en termes d’accès. Les
entreprises sont donc affectées par cela, car le progrès technique dépend de l’investissement. Quand
le crédit se bloque, les entreprise/ l’état investissent moins : - de progrès technique = Facteurs
aggravants.

 Il y a un essoufflement du Progrès T qui concerne toutes les branches de l’économie.

Accroissement spectaculaire des salaires et de leurs pouvoir d’achat  :

Le salaire moyen aurait été multiplier par 11-12 depuis 150ans. Durant les trente glorieuses, le
salaires réel ouvrier augmentait de 4%/an.

On constate que le revenu des gens à sensiblement fluctuer durant les dernières années et le pouvoir
d’achat diminue dans les mêmes propensions.

Le pouvoir d’achat des individus est à la baisse. A savoir que l’inflation est calculée sur le panier
moyen d’un consommateur, aussi le secteur de l’immobilier ne fait pas partie du calcul de l’inflation.
L’inflation actuelle risque de s’implanter de façon structurelle et non conjoncturelle. Cela est dû à
plusieurs point :

 En France la question de la production d’énergie inquiète beaucoup, il y a un problème


d’offre
 Il y a l’effet PS5 =Il n’y a pas de PS5, car il y a des composants qui sont tellement rare que cela
provoque une baisse de l’offre. En effet sur terre dû à la crise écologique qui se profile, il y a
une rareté des matières première qui s’agrandit tout comme leurs coûts qui explose. Cela
créer une augmentation des prix.
 Le prix de l’immobilier augmente lui aussi.
 Ce qui menace les travailleurs en France est la perte de pouvoir d’achat.
 Globalement ce qui a permis de maintenir jusqu’aujourd’hui le pouvoir d’achat du plus
pauvres est la mondialisation. Les prix à la consommation ont baissé car on à baisser les prix
à la production en délocalisant.

C. Une brève histoire du chômage, de son « invention » à nos jours :

Dans l’histoire du chômage, il y a plusieurs périodes. Durant la décennie 1880, il y a eu une grande
dépression de chômage. Entre 1896 et 1936 => émergence de la catégorie de chômeur mais au max
de cette période il y a 3% de chômeur, à l’époque => fait extrêmement grave.

La crise des année 30 créer en France et comme partout ailleurs un taux de chômage qui augmente.
Notamment dû à la crise de 29.

Vient ce « paradis des trente glorieuse » de 1945 à1970, le taux de chômage n’excède pas les 2% de
chômeur, ce qui n’est vraiment rien. Le taux d’emploi était extrêmes dynamiques => c’était même
une période de suremploie car la croissance était très forte mais ralentie par le manque de main
d’œuvre.

La situation change après 1974, => c’est très net. La hausse du chômage à été brutal, et depuis nous
n’avons jamais réussis à résorber ce chômage important. On reste sur un taux de chômage élevé.

Au niveau individuel : une longue période de chômage créer un état psychique peu favorable. Au
niveau sociétale la frustration créer une colère qui peut avoir un effet sur la politique.

En effet le revenu dans les classes populaire= ce qui va pousser Mr X à voter plutôt Mélenchon ou
Lepen.

Si on ajoute à cette montée du chômage, le halo du chômage, ce qui n’existait pas dans les années
80, la situation n’est vraiment pas géniale. Aujourd’hui le marché du travail est beaucoup moins
ouvert qu’il y a 30-40 ans.

II. Tendances et perspectives du marché du travail dans la période récente

L’objectif pour Macron est d’arriver au plein emploi (-de 5% de chômeur) pour la fin de son.
Quinquennat. En effet il a déjà réussi de façon structurelle à faire baisser le chômage de 8% à 7,5%.

Mais cela s’explique par :

- Le changement des classifications, en effet pôle emploi à changer ses classifications.


- Le développement massif des contrats d’apprentissages = l’état subventionne les jeunes. EN
2019 = 490.000 personnes qui n’était pas dans les chiffres du chômage car elles sont en
apprentissage. = En bref c’est une baisse du taux de chômage qui n’est pas produit par un
dynamisme du marché du travail.

Il y a un passage d’une société fonder sur le salariat à une société plus flexible. Il y a une
tendance de très longue durer qui est que la part de la population salariale dans la pop active est
élevé = Salarisation massive.

Au moment où le salariat commence à exploser (fin des années 30), on a fondé tout notre
système de protection social sur le salariat. En effet le statut d’indépendant comporte des risques
très fort. Ces derniers ont du mal à pouvoir faire des crédits. A l’inverse un fonctionnaire à plus de
faciliter.

Les droits à l’assurance chômage sont prélevé sur le salaire des salariés. Il y a donc un
accroissement des salariés au détriment des indépendants. Le souci étant qu’il y a une norme du
salariat qui commence à s’effriter. Récemment le taux d’indépendant commence à s’élever => ces
indépendant viennent du genre de plateforme comme Uber qui en créer énormément. Ce sont des
faux indépendants, car c’est une population déjà précariser qui se tourne vers ce genre d’emplois qui
se dit indépendant mais qui ne l’ai pas du tout car il ne dépend pas de lui-même. Il n’est pas libre de
déterminer sa quantité de travail, il ne fixe pas ses tarifs, le revenu ne lui revient pas totalement car
une partie est ponctionner par Uber. Si demain notre économie se base seulement à partir
d’indépendant alors il n’y aura plus d’assurance sociale.

A) De la société du salariat à la flexibilisation du marché du travail  :

Il y a de nouvelles formes d’emplois qui naissent. Par exemple l’intérim qui n’existe pas
légalement avant les années 80, tout comme les CDD. La durée moyenne des CDI a baissé en 2000
6/10 des embauches était de – d’un an. La durée moyenne des contrats court est en baisse. Les CDD
était en moyenne en 2001 de 108 jours, 80 jours en 2008, et 46 en 2017. Lorsque l’on est en CDD la
demande de prêt est très compliqué. Cela créer des problèmes en termes d’accès à certains B&S.

Aujourd’hui 75% des gens qui ont un emploi ont un CDI. Ce stock à tendance à diminuer depuis
15, 20 ans. A force d’embaucher en CDD, le stock de personne disponible pour un CDI baisse. Il y a
par ailleurs une augmentation des licenciements. En effet les patrons ont plus de liberté, ils licencient
+ facilement et embauchent aussi facilement.

On voit depuis 2007 que les licenciements pour motif personnel et économique évoluent. Il y a une
augmentation de la rupture des contrats. Selon le type de licenciement nous n’avons pas le droit aux
mêmes aides à la réinsertion.

 Plan de licenciement de l’emploi


 Le motif de licenciement pour motif personnel est en constante évolution
 Le licenciement boursier = On vire des gens pour faire augmenter le cours de la bourse.

On est passé d’une société sécurisante à une société précaire.

Par ailleurs l’entreprise peut faire appel à une prestation de services. Au lieu d’embaucher quelqu’un,
payé un cout supplémentaire, on rémunère les gens que sur leurs temps de travail. Bcp de contrats
de travail se développent puisque le coût est moins élevé et le rompre est bien plus facile.

La manœuvre est plus flexible. Cela a créé une insécurité grandissante sur le marché du travail. Il y a
aussi une externalisation des entreprises. La flexibilité du marché du travail se répercute grandement
sur les femmes, les personnes âgées et les jeunes. On a créé autour du CDI la clé pour avoir bcp de
services dans la société.

On constate un accroissement du pouvoir de l’employeur par rapport à celui du travailleur mais cette
relation de supériorité se paye avec le sésame d’accès. Finalement, l’équilibre sui s’était construit,
l’échange de « subordination contre sécurité » est largement entamé ce qui fragilise une partie de la
société non seulement sur l’emploi mais également sur l’accès à d’autres services.

On va se poser la question d’ubérisation de l’économie. On manque des chiffres et de données à


l’heure actuelle sur les effets réels de l’ubérisation. Cependant, l’observation empirique laisse voir
que la « destruction créatrice fonctionne » et que le régime du salariat est menacé.

La réduction des métiers intermédiaires pour les technologies est de plus en plus présente (ex : app
bancaires).

On va retrouver deux types de numérisation :

- Hauts qualifiés : les indépendants proposent leurs services en freelance aux sociétés
- Très peu qualifiés ou personnes souhaitant avoir un revenu (étudiants) : faux indépendants
qui ne bénéficient pas des négociations contractuelles. Ce sont les plus proches d’une
situation instable => cf. ubérisation. Par exemple, Uber était une manière de ne pas
dépendre de l’Etat et une subsistance plus noble que les allocations chômages

Selon Bruno Teboul, l’uberisation est le futur de notre économie où la relation employeur/employé
lié par le contrat de travail va devenir minoritaire par rapport à d’autres formes d’emploi. 2
interprétations sont possibles : l’une négative et l’autre positive mais il y a une règlementation.

Le secteur des hautes qualifications est aussi menacé par les technologies. Par exemple, le divorce va
devenir de plus en plus automatisé donc l’intervention d’un avocat sera de moins en moins
nécessaire et ne seront appelés que s’il n’y a pas d’accord commun. Ces métiers sont donc en danger
face à la numérisation comme les métiers tels que notaire, juge... Il ne faut pas penser que le PT ne
s’attaque que sur les métiers intermédiaires. Des métiers plutôt manuels tels que garagistes ne sont
pas forcément impactés par cette numérisation.

B) La polarisation récente du marché du travail : mythe ou réalité ?

La polarisation est l’idée que tous les emplois intermédiaires disparaissent au profit d’emplois très
qualifiés ou peu qualifiés. Le progrès technique serait responsable d’un accroissement des inégalités
de revenus pour certains. Il serait aussi responsable de la suppression de certains emplois peu
qualifié remplacés par des robots et tendrait donc à disparaître. Ainsi, le salaire des plus pauvres
diminuerait au profit de ceux des métiers plus qualifiés devant s’occuper des nouvelles technologies
mises en place.

Un emploi non qualifié est :

- Un emploi dont l’exécution est peu complexe et comportant peur de responsabilité ni


d’autonomie dans les situations de travail
- Pas de formation spécifique ou des connaissances élevées nécessaires
- Ne procure qu’un salaire faible

= triangle de la qualification
Néanmoins, ces critères varient en fonction des pays et de leurs critères concernant les métiers
hautement qualifiés, intermédiaires et peu qualifiés. Par exemple, en France les enseignants sont bcp
moins payés qu’en Allemagne ou qu’en Suisse.

La baisse des emplois moyennement qualifiés se fait par la hausse des emplois très peu qualifiés ou
très qualifiés = polarisation.

Le vieillissement et la féminisation de la société ont porté vers le haut les emplois peu qualifiés (aides
à domicile, assistantes maternelles).

Conclusion :

On a bcp d’outils pour mesurer le marché du travail. Il est donc extrêmement fragile et peu
dynamique => bcp de chômage.

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