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1AM : MODULE DE BIOPHYSIQUE Page 1 sur 20

QCM – BIOPHYSIQUE
RADIOACTIVITE – OPTIQUE
Pr. M. ÇAOUI

Pour chaque question, cochez la ou les bonnes réponses en les désignant par les lettres : a; b; c; d Puis
reportez ces réponses sur la grille.
Remettez à la fin de l’épreuve la grille de réponse et le formulaire du QCM

RADIOACTIVITE
CM1: Structure de la matière : Atome – Noyau
Bases de la radioactivité

1. Un noyau instable est radioactif lorsque :


a. Il possède un excès de protons
b. Il possède un défaut de neutrons
c. Il possède un excès d’énergie
d. Il possède une période physique

2. Un noyau instable est radioactif lorsqu’il constitue :


a. Un atome lourd situé éloigné de la vallée de stabilité
b. Un édifice électriquement neutre
c. Un isomère
d. Un radio-isotope

3. Un noyau est radioactif lorsqu’il peut :


a. Avoir une forte énergie de liaison qui assure la cohésion de ses nucléons
b. Émettre un ou plusieurs rayonnements ionisants
c. Se transformer par désintégration ou désexcitation
d. Il peut se désexciter en émettant un rayonnement électromagnétique

4. Un noyau instable est radioactif lorsqu’il :


a. Subit une transformation radioactive par désintégration et ou par désexcitation
b. Peut se désexciter à cause d’un défaut d’énergie
c. L’énergie de liaison assurant la cohésion de ses nucléons est plus faible
d. Dispose d’une énergie initiale suffisamment élevée et au moins positive

5. Un noyau instable et radioactif a les caractéristiques suivantes :


a. Il possède une constante radioactive
b. Il a un défaut de nucléons
c. Il a un excès d’énergie
d. Possède une période physique

6. Un noyau radioactif peut :


a. Se transformer en un autre noyau stable ou parfois instable
b. Se désexciter en produisant une paire (électron, positron)
c. Arracher de sa couche un électron et l’expulser hors de l’atome
d. Il peut déplacer un électron d’une couche interne vers une couche externe

7. Un noyau radioactif ne peut que :


e. Se transformer uniquement en un autre noyau stable
f. Se désexciter en cédant son excédent d’énergie à un électron d’une couche externe
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g. Arracher de sa couche un électron et l’expulser hors de l’atome


h. Il peut déplacer un électron d’une couche interne vers une couche externe

8. Un noyau radioactif est un noyau instable car :


a. Il possède un excès d’électrons
b. Il a un excès de protons ou un excès de neutrons ou les deux
c. Il se transforme par désintégration en un autre noyau
d. Il se désexcite en libérant de l’énergie

9. Un noyau instable est radioactif lorsqu’il constitue :


a. Un atome lourd situé éloigné de la vallée de stabilité
b. Un édifice électriquement neutre
c. Un radio-isotope
d. Un isomère

10. Une transformation radioactive est une réaction qui :


a. Ne peut être une désexcitation
b. Peut s’effectuer en deux temps : désintégration suivie d’une désexcitation
c. Peut concerner n’importe quel atome instable avec une énergie positive
d. Ne peut-être causée par un excès d’électrons

11. Une transformation radioactive est une réaction qui :


a. Produit parfois des éléments métastables
b. Aboutit toujours à une stabilité du noyau
c. Transforme un neutron en un proton ou vice versa
d. Peut-être une désintégration suivie d’une désexcitation

12. Une transformation radioactive est une réaction qui :


a. Due à un excès de nucléons ou à un excès d’énergie
b. Qui concerne un noyau lourd ou léger mais avec une énergie au moins positive
c. Aboutit toujours à un noyau final de même famille chimique
d. Qui s’accompagne de l’émission d’un rayonnement gamma

13. Les transformations radioactives sont des réactions qui :


a. Donnent toujours naissance à un atome différent chimiquement de l’atome initial
b. Nécessitent, pour s’effectuer, une énergie de départ au moins positive
c. Donnent toujours naissance à un atome stable
d. Ne peuvent s’effectuer pour les atomes lourds faiblement excités

14. Une transformation radioactive est une réaction qui :


a. N’aboutit pas toujours à une stabilité du noyau
b. Produit parfois des éléments métastables
c. Aboutit à obtenir un noyau stable ou non
d. Peut constituer une simple désintégration

15. Une transformation radioactive est une réaction qui peut :


a. Être uniquement une simple désexcitation
b. S’effectuer en deux temps : désexcitation suivie d’une désintégration
c. Concerner un atome lourd instable possédant peu d’énergie
d. Concerner un atome demeurant instable après désintégration

16. Une transformation radioactive est une réaction qui :


a. Nécessite que l’atome de départ instable ait une énergie élevée ou au moins positive

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b. Nécessite que le noyau initial capture un électron du cortège électronique


c. Aboutit à transformer l’atome initial en un autre noyau final chimiquement différent
d. Produit un atome final de même famille chimique que l’atome initial

17. Une transformation radioactive est une réaction qui émet :


a. Successivement de plusieurs rayonnements ionisants
b. Uniquement des rayons X de fluorescence
c. Des rayonnements ionisants sous forme de particules ou de photons
d. Des rayonnements ionisants de différentes énergies

18. Une désintégration radioactive est une réaction qui :


a. Constitue une transformation radioactive
b. Est liée à une instabilité du noyau
c. Ne concerne que les atomes lourds instables
d. Donne naissance à un atome chimiquement différent de l’atome initial

19. Une désintégration radioactive est une réaction qui :


a. Fait suite à une désexcitation
b. Peut produire un élément métastable
c. Émet des rayonnements ionisants chargées
d. Aboutit à un atome chimiquement différent chimiquement de l’atome initial

20. Une désintégration radioactive est une réaction qui :


a. Aboutit à un atome final de même famille chimique que l’atome initial
b. Nécessite, pour se produire, au moins une énergie positive de l’atome initial
c. N’aboutit qu’à l’émission de particules chargées légères
d. Peut donner naissance à un atome métastable

21. Une désintégration radioactive est une réaction qui :


a. Est causée par un atome possédant un excès d’énergie
b. Produit un atome chimiquement identique à l’atome initial
c. Aboutit toujours à un atome stable
d. Est causée par un atome possédant un excès de nucléons

22. Une désintégration radioactive est une réaction qui :


a. Est causée par un atome possédant un excès de nucléons
b. Produit un atome chimiquement différent à l’atome initial
c. Est causée par un atome instable possédant un excès d’énergie
d. Aboutit toujours à un atome chimiquement différent et parfois stable

23. Une désexcitation radioactive :


a. Constitue une transformation radioactive
b. A pour cause un excès d’énergie
c. Donne un noyau final de même famille chimique que le noyau initial
d. Aboutit à une stabilité du noyau final

24. Une désexcitation radioactive :


a. Aboutit à une émission gamma, une conversion interne ou une production de paire
b. N’aboutit pas toujours à une stabilité nucléaire
c. Est à l’origine de l’émission de photons
d. Transforme un noyau métastable en un atome stable

25. Une désexcitation radioactive :

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a. Permet à un atome instable d’expulser son excèdent d’énergie


b. Est une transformation radioactive
c. Ne survient que lorsque l’atome instable possède une énergie seuil élevée
d. Peut concerner des atomes lourds faiblement excités

26. Une désexcitation radioactive est une réaction qui a pour effets secondaires :
a. L’émission de deux photons gamma de 0,511 MeV
b. L’émission d’un rayonnement X de freinage
c. L’émission d’un rayonnement X de fluorescence
d. L’ionisation et l’excitation des atomes de la matière

27. Une désexcitation radioactive :


a. Se produit suite à une désintégration
b. Aboutit à l’émission de photons gamma ou de particules chargées
c. Est à l’origine de l’émission de particules chargées lourdes
d. Transforme un noyau métastable en un atome stable

CM2: Interactions des RI avec la matière –


Détection des RI : Détecteurs à gaz et à scintillation Dosimètres individuels
Notions de Dosimétrie : Modes d'exposition - Moyens et écrans de protection -Grandeurs
Dosimétriques :

28. Les particules chargées ont les caractéristiques suivantes


a. Elles sont légères ou lourdes
b. Elles sont chargées et ont une masse
c. Elles ne peuvent ioniser directement la matière
d. Elles interagissent avec la matière en déposant de l’énergie

29. Les particules chargées ont les caractéristiques suivantes :


a. Sont des ondes
b. Légères ou lourdes
c. Chargées et sans masse
d. Parcours court ou moyen, dans la matière, exprimé par le TLI et la DLI

30. Les particules chargées sont à l’origine de la production de :


a. Rayons X de fluorescence et de RX de freinage
b. RX de freinage si elles interagissent à proximité du noyau
c. Rayons gamma de haute énergie
d. Un spectre complexe continu et discontinu de RX

31. Les particules chargées légères :


a. Ont un parcours court dans la matière
b. Ont une interaction aléatoire avec la matière
c. Sont atténuées par des matériaux à Z (numéro atomique) faible
d. Sont à l’origine de la production des Rayons X de freinage

32. Les particules chargées ont les caractéristiques suivantes :


a. Atténuées par des matériaux légers
b. Ont une interaction aléatoire avec la matière
c. Sont indirectement ionisantes

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d. Sont absorbées, diffusées et sont transmises totalement par interactions avec la matière

33. Les photons X et Gamma, ont les caractéristiques suivantes :


a. Ce sont des ondes qui transportent de l’énergie
b. Ils possèdent une charge positive mais n’ont pas de masse
c. Ils ont une interaction obligatoire avec la matière
d. Leur longueur d’onde est variable

34. Un faisceau de Rayonnements X :


a. A une interaction obligatoire directe avec la matière
b. Met secondairement en mouvement des électrons dans la matière
c. Est atténué par des matériaux légers
d. A un parcours long dans la matière

35. Dans les modes d’interactions des Rayons X (RX) avec la matière :
a. Leur parcours étant long, seuls des matériaux lourds stoppent les RX
b. Le facteur de pondération du RX est égal à 1
c. Seule l’exposition externe est concernée
d. L’individu, exposé à un faisceau de RX, ne peut contaminer l’entourage

36. L’atténuation du faisceau de photons X, par une structure, dépend :


a. De l’épaisseur et de la densité du tissu traversé
b. De la nature, la composition des différentes structures de la matière traversée
c. De l’énergie du RX incident
d. De l’origine des photons produits

37. L’atténuation d’un faisceau de RX par la matière :


a. Est de type aléatoire
b. Diminue l’intensité du faisceau de RX qui traverse la matière d’une épaisseur x.
c. S’accompagne d’absorption totale, de transmission et de diffusion d’énergie
d. La diffusion du faisceau de RX est liée à l’effet photoélectrique

38. L’effet photoélectrique concerne :


a. Un photon incident qui interagit avec un électron peu lié sur sa couche
b. Une interaction d’un atome lourd avec une énergie peu élevée
c. L’émission d’un photoélectron avec une énergie cinétique
d. L’ionisation et l’excitation de la matière par le photoélectron émis

39. L’effet photoélectrique est l’interaction :


a. D’un photon avec un électron fortement lié sur sa couche
b. Lors de laquelle l’intensité de l’énergie du photon incident diminue partiellement
c. Qui s’accompagne de l’émission d’un électron
d. Qui concerne les atomes lourds faiblement excités

40. Lors de l’effet Compton, le photon :


a. Diffuse entre un angle de 0° à 90°
b. Projette l’électron selon un angle entre 0° et 90° lors du choc tangentiel
c. Rebrousse chemin à 180° quand le choc est frontal
d. Dévie en en cédant une partie de son énergie

41. Dans l’effet de production de paire (e - , e+), le photon incident :


a. Possède une énergie seuil au-delà de 1,022MeV

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b. Interagit à proximité du noyau


c. Disparaît totalement
d. Donne naissance à un électron et un positron

42. Dans l’effet de production de paire (e - , e+), le photon incident :


a. Possède une énergie seuil au-delà de 1,022MeV
b. Interagit à proximité du noyau
c. Disparaît totalement
d. Donne naissance à un électron et un positron

43. Les conséquences après production de paire (e -, e+) sont les suivantes :
a. Le photon incident reste à proximité du noyau
b. L’électron et le positron se partagent l’énergie du photon incident
c. Le positron s’annihile avec un électron de la matière en donnant 2 photons gamma
d. L’électron ionise la matière grâce à son énergie cinétique reçue du photon incident

44. Le détecteur est un appareil qui :


a. Détecte la présence d’un photon lorsqu’il interagit avec la matière
b. Signale la perte d’énergie par le Rayonnement Ionisant au sein de cette matière
c. Convertit l’énergie « visible » du Rayonnement Ionisant en signal mesurable
d. Détecte et mesure la présence du Rayonnement Ionisant

45. La détection est basée sur :


a. La production de radicaux libres consécutives au dépôt d’énergie dans le détecteur
b. Le dépôt d’énergie des Rayonnements Ionisants (RI) au sein du détecteur
c. La mise en évidence de l’énergie du RI déposée au sein du détecteur
d. La conversion de l’énergie « invisible » du RI en signal mesurable

46. Le dosimètre passif est un appareil qui :


a. N’est obligatoire pour tout professionnel que lors d’actes opérationnels
b. N’affiche pas les doses cumulées sur une période d’un mois ou un trimestre
c. Est de lecture directe s’effectuant à postériori
d. Est à lecture différée pour les actes opérationnels

47. Le dosimètre passif est un appareil :


a. Obligatoire pour tout travailleur sous rayonnements ionisants
b. Qui affiche les doses cumulées sur une période d’un mois ou un trimestre
c. De lecture différée s’effectuant à postériori
d. Électronique à lecture immédiate pour les actes opérationnels
a;b;c

48. Le dosimètre électronique :


a. Donne une information en temps réel
b. Affiche l’historique des doses
c. Émet un signal sonore en cas de dépassement de dose
d. N’affiche que la dose sans le débit de dose

49. Le dosimètre électronique :


a. Donne une information en temps différé
b. Affiche la dose et le débit de dose ainsi que l’historique
c. Mieux adapté aux actes opérationnels
d. Permet de mieux contrôler l’exposition

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50. Dans les modes d’interactions des Rayons X (RX) avec la matière :
a. Leur parcours étant long, seuls des matériaux lourds stoppent les RX
b. Le facteur de pondération du RX est égal à 1
c. Seule l’exposition externe est concernée
d. L’individu, exposé à un faisceau de RX, ne peut contaminer l’entourage

51. Les moyens de protection contre l'exposition externe sont de :


a. Augmenter la distance qui sépare l’individu de la source
b. Porter un dosimètre actif opérationnel
c. Augmenter le temps près de la source
d. Porter un tablier et s’abriter derrière un écran

52. En exposition externe :


a. La source radioactive est à l’extérieur mais au contact de l’organisme
b. Le sujet irradié est sans danger pour autrui ou l’environnement
c. La protection s’effectue derrière un écran à numéro atomique élevé
d. Près de la source radioactive, il faut augmenter la distance et écourter le temps

53. Lors de la contamination Interne :


a. La source radioactive peut être incorporée dans l’organisme
b. Le sujet ne peut exposer ou contaminer l’entourage
c. Le sujet, ne risque pas d’avoir de nouvelles lésions, dans l'organisme
d. Le sujet doit être isolé en confinement strict

54. En contamination interne, la source radioactive, non confinée, peut :


a. Être dispersée sans présenter un risque pour l’environnement
b. Être incorporée accidentellement dans l’organisme
c. Créer en continu des radiolésions, dans l'organisme du sujet exposé
d. Le sujet contaminé et confiné, constitue toujours un danger pour l’entourage

55. La dose absorbée est un paramètre :


a. Que l’on mesure en Gray
b. Que l’on ne peut calculer
c. Qui ne prend pas en compte la nocivité du rayonnement
d. Indépendant de la nature du tissu

56. La dose absorbée est un paramètre :


a. Que l’on mesure en Gray
b. Qui ne prend pas en compte la nocivité du rayonnement
c. Que l’on ne peut calculer
d. Indépendant de la nature du tissu

57. La dose efficace E est un paramètre :


a. Qui dérive de la dose absorbée
b. Dont l’unité mesurée est le Bequerel
c. Est lié à la nocivité du rayonnement
d. Qui prend en compte la nature du tissu

58. Une source de Rayons X a :


a. Une activité que l’on mesure en Becquerel
b. Une dose absorbée que l’on mesure en Joule par kilogramme
c. Une dose équivalente que l’on mesure en Gray

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d. Une dose efficace que l’on calcule en Sievert

CM3 : Radiobiologie : Effets physico-chimiques – Effets cellulaires


Notions de Radiopathologie : Effets déterministes – Effets stochastiques

59. La radiolyse de l’eau produit des radicaux libres qui :


a. Constituent un oxydant et un réducteur
b. Peuvent se regrouper et se recombiner sans conséquence biologique
c. Sont des oxydants puissants non toxiques pour les molécules biologiques
d. Peuvent induisent un stress oxydatif qui modifient la structure cellulaire

60. Les Radicaux libres produits par radiolyse de l’eau peuvent :


a. Se recombiner en molécule d’eau sans conséquence biologique
b. Constituer de puissants oxydants toxiques pour les molécules biologiques
c. Engendrer des lésions de la molécule d’ADN par effet indirect
d. Peuvent induire un stress oxydatif modifiant la structure cellulaire

61. La radiolyse de l’eau contribue à la formation de Radicaux libres qui :


a. Peuvent se recombiner en molécule d’eau sans conséquence biologique
b. Sont des produits oxydants et réducteurs
c. Sont des produits oxydants puissants non toxiques pour les molécules biologiques
d. Peuvent induire un stress oxydatif responsable de modification de la structure cellulaire

62. L’effet direct des Rayonnements Ionisants résulte de :


a. L’action des radicaux libres formés par radiolyse
b. La rupture de liaison covalente modifiant la structure de la molécule
c. L’atteinte des cellules par des oxydants très puissants
d. Destruction de molécules assurant un rôle vital : ADN

63. La mort cellulaire survient en cas :


a. D’atteintes multiples de la molécule d’ADN
b. De retard de mitose
c. D’exposition à des doses élevées de radiations ionisantes
d. De perte irréversible des capacités cellulaires de prolifération

64. La mort cellulaire survient en cas :


a. D’atteintes multiples de la molécule d’ADN
b. D’exposition à des doses faibles de radiations ionisantes
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c. De perte irréversible des capacités cellulaires de prolifération


d. L’atteinte des cellules par des oxydants très puissants

65. Les effets indirects des Rayonnements Ionisants sur la molécule d’ADN concernent :
a. Une rupture de la double chaine ou rupture simple chaine
b. Une altération des bases
c. Une destruction des sucres
d. Une modification de la structure

66. Les effets moléculaires des Rayonnements Ionisants touchent :


a. La molécule d’ADN
b. Les protéines
c. La membrane cellulaire
d. Les mitochondries

67. Les effets moléculaires des Rayonnements Ionisants touchent :


a. La molécule d’ADN
b. Les protéines
c. La membrane cellulaire
d. Le calcium

68. L’oxygène est utilisé en radiothérapie car :


a. Il favorise la réparation des tissus sains
b. Il s’oppose à la prolifération des cellules cancéreuses
c. Il rend les cellules tumorales plus réceptives aux Rayonnements Ionisants
d. Les cellules tumorales sont agressives par manque d’oxygène

69. Les réparations de la molécule d’ADN peuvent être :


a. Fautives si les lésions sont minimes et ne s’accumulent pas
b. Fidèles si les lésions sont nombreuses ou importantes
c. Fautives et viables
d. A l’origine de mutations transmises à la descendance

70. Les réparations de la molécule d’ADN peuvent être :


a. Fidèles si les lésions sont minimes et ne s’accumulent pas
b. Fautives si les lésions sont nombreuses ou importantes
c. Fautives et viables
d. A l’origine de mutations transmises à la descendance

71. Le devenir d’un tissu après irradiation dépend :


a. Du nombre de cellules souches survivantes qui entrent en prolifération
b. De la population cellulaire qui n’entre pas en croissance
c. De la durée de vie moyenne des cellules différenciées
d. De la sensibilité des cellules et de la rapidité d’expression clinique des lésions

72. Les facteurs qui interviennent dans la radiosensibilité cellulaire :


a. La gravité des lésions produites liée à la nature du rayonnement ionisant
b. L’environnement cellulaire et l’aptitude de la cellule à réparer ses radiolésions
c. La forte différenciation de la cellule
d. L’âge de la cellule, sa nature et sa forte activité mitotique

73. Les cellules radiorésistantes sont des cellules :


a. Jeunes et moins différenciées

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b. Qui se divisent peu


c. Une durée de vie plus longue
d. Qui entrent en phase de maturation

74. Les effets déterministes sont des effets :


a. Obligatoires
b. Caractéristiques
c. Dont la gravité non liée à la dose
d. Tardifs

75. Les effets stochastiques sont des effets :


a. Dont la gravité est non liée à la dose
b. Obligatoires
c. Non caractéristiques
d. Tardifs

76. L’intérêt du fractionnement dans la radiothérapie est :


a. La redistribution des cellules dans le cycle cellulaire
b. La réparation des lésions létales

c. La destruction des cellules tumorales et saines


d. La réoxygénation des cellules tumorales pour devenir plus radiosensibles

77. Les effets cancérigènes des rayonnements ionisants résultent :


a. Des mutations génétiques
b. A partir de doses de plus de 2 Gy
c. Des réparations fautives de l'ADN
d. D’atteintes variables des cellules somatiques

CM4 : Applications des RI en Radiologie – en Médecine Nucléaire et en Radiothérapie

78. Le tube à rayons X se compose des éléments suivants :


a. Le tube est en verre résistant à la chaleur et sous vide poussé
b. Une cathode pôle négatif, qui produit un faisceau d’électrons
c. Une haute tension accélératrice d'électrons appliquée entre la cathode et l’anode
d. Une anode cible métallique, responsable d’émission d’un faisceau de RX

79. L’origine de la production des rayons X nécessite :


a. De chauffer un filament cathode par effet joule et de lui extraire des électrons
b. Un vide poussé pour éviter toute interaction des électrons avec l’air
c. De freiner le faisceau d’électrons par une forte différence de potentiel électrique
d. Une anode que les électrons percutent pour donner naissance aux rayons X.

80. La production d’un photon X de freinage est obtenue si :


a. Le faisceau d’électrons est accéléré par une forte tension entre la cathode et l’anode
b. L’électron incident interagit à grande distance du champ coulombien du noyau cible
c. Le matériau de la cible de l’anode possède un numéro atomique élevé
d. Le tube est sous vide pour éviter toute interaction des électrons avec les atomes de l’air

81. Le spectre des Rayons X (RX) est un spectre qui :


a. Représente deux types de RX: RX de fluorescence et RX de freinage
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b. Est formé de raies issues des RX de fluorescence qui plus nombreux


c. Est complexe formé de spectre de raies discontinu et d’un spectre continu
d. Représente les RX les moins énergétiques qui sont plus nombreux

82. La production des RX de freinage et de fluorescence énergétiques nécessite :


a. Une grande énergie de l’électron incident
b. Une tension élevée pour mieux accélérer les électrons qui percutent la cible
c. Que l’électron incident interagisse avec un électron d’une couche plus externe
d. Un matériau léger pour favoriser l’interaction avec un électron d’une couche interne

83. La production des rayons X au sein du tube, survient par :


a. Un échauffement par effet Joule de la cathode d’où production d’électrons
b. L’absence du vide favorise les interactions des électrons avec les atomes de l’air
c. L’accélération de faisceau d’électrons par une basse tension
d. Les électrons accélérés percutent la cible qui assure leur freinage d’où émission de RX

84. L’émission des Rayons X par le foyer de l’anode :


a. Nécessite une forte accélération des électrons par la tension du tube
b. 99% de l’énergie apportée à l'anode sert à produire des photons X
c. 1% de cette énergie est dissipée en chaleur.
d. Le tungstène de l'anode résiste mieux à la chaleur

85. En radiologie, l’atténuation du faisceau incident dépend de :


a. L’énergie des photons
b. La taille du tube de Coolidge
c. L’épaisseur et de la nature du tissu traversé
d. La température du milieu

86. Les paramètres du tube à Rayons X qui conditionnent l’émission des Rayons X :
a. Z du tungtène qui est un paramètre dépendant de l’opérateur
b. La nature du matériau de l’anode qui est st un paramètre fixé et imposé par le fabricant.
c. La présence de l’air sous pression au sein du tube
d. La tension V en kV et la charge i.t (mAs) dépendent de l’opérateur

87. L’image radiante traduit l’atténuation des structures traversées :


a. Elle est située entre le patient et le détecteur
b. Elle dispose de toute l'information concernant les matériaux traversés
c. Elle correspond au faisceau qui sort homogène de l'organisme
d. Elle est virtuelle et devient visible grâce à un détecteur.

88. L’atténuation des photons X ou γ par la matière :


a. Est une loi d’atténuation exponentielle en fonction de l’épaisseur du matériau
b. Ne tient compte que du coefficient d’atténuation 
c. S’exprime sous forme d’une droite descendante en échelle semi-logarithmique
d. Permet de calculer directement la couche de demi atténuation

89. Lors de l’atténuation d’un faisceau de photons X par la matière il y a :


a. Une réduction du nombre de photons qui traversent la matière
b. Un dépôt partiel dans la matière de l’énergie du faisceau incident
c. Une diffusion totale du faisceau
d. Une absorption au sein de la matière d’une partie du faisceau incident

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90. La couche de demi- atténuation d’un matériau est un paramètre qui :


a. Correspond à l’atténuation de 50% d’un faisceau de photons X incident
b. Ne tient pas compte de la densité de cette matière
c. Dépend de la nature de la matière traversée
d. Joue un rôle peu important dans le respect des normes de radioprotection

91. La couche de demi- atténuation d’un matériau est un paramètre :


a. De dimension L.T -1
b. Plus efficace au-delà du double ou encore mieux, le triple de sa valeur initiale
c. Utilisé pour réduire l’exposition des professionnels en milieu médical
d. Qui ne réduit que de moitié le faisceau transmis

92. Le coefficient d’atténuation massique est un paramètre qui :


a. Est lié à la nature de la matière traversée
b. Contribue peu à la qualité de l’image en radiologie
c. Tient compte de la densité de la matière traversée
d. Explique mieux l’absorption des photons X par les tissus

93. Le contraste radiologique RX est un paramètre important qui :


a. Rend l’image radiante visible
b. Est affaibli par le rayonnement diffusé
c. Est lié à la nature et la densité du tissu traversé
d. Est lié aux coefficients d’atténuation et à la qualité du RX

94. Lesquelles de ces structures atténuent le plus fortement les Rayons X :


a. Gazeuses.
b. Calciques
c. Musculaires
d. Graisseuses

95. L’atténuation du faisceau de photons X, par une structure, dépend de :


a. L’épaisseur et de la densité du tissu traversé
b. La nature, la composition des différentes structures de la matière traversée
c. L’énergie du RX incident
d. La chaleur produite dans le tube à RX

96. Le contraste radiologique RX est un paramètre important qui :


a. Explique les différences d'intensité du noircissement de l'image
b. Est renforcé par le rayonnement diffusé
c. Est lié à la nature et la densité du tissu traversé
d. Est lié aux coefficients d’atténuation et à la qualité du RX

97. Le contraste radiologique est un paramètre qui :


a. Quantifie la différence d’atténuation entre deux milieux
b. Augmente par le rayonnement diffusé
c. Diminue avec l’épaisseur du milieu traversé
d. Dépend de l’énergie du photon X et de la nature du milieu

98. Le contraste radiologique est un paramètre qui :


a. Dépend de la densité du milieu traversé
e. Différencie peu deux milieux de structure voisine
b. Dépend des différents coefficients d’atténuation linéaires des milieux traversés

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1AM : MODULE DE BIOPHYSIQUE Page 13 sur 20

c. Traduit la différence d'intensité du noircissement de l'image entre deux milieux traversés

99. Le produit de contraste radiologique est une substance qui :


a. Augmente le contraste entre deux milieux de structures différentes
b. Augmente le contraste entre deux milieux de structures proches
c. Diminue le contraste entre deux milieux de structures proches
d. Accentue la différenciation entre deux structures voisines

100. Un médicament radiopharmaceutique est :


a. Un vecteur marqué par un élément radioactif
b. b. Parfois peut être un marqueur et un vecteur à la fois
c. Composé d’un vecteur qui s’oppose à toute fixation
d. Une substance qui se fixe préférentiellement au niveau de l’organe cible

101. En médecine nucléaire, l’imagerie par détection monophotonique est obtenue par :
a. Détection d’un seul photon gamma émanant le plus souvent du 99mTc
b. Administration d’un radiopharmaceutique émetteur de positrons
c. Une gamma caméra de type SPECT (Single Photon Emission Tomography)
d. Une substance qui se fixe préférentiellement au niveau de l’organe cible

102. Une scintigraphie est une exploration d’imagerie qui se distingue par :
a. La détection des Rayons γ (gamma)
b. Son caractère morphologique
c. Sa qualité par rapport à l’image en radiologie
d. Son caractère fonctionnel, permet un diagnostic plus précoce que la radiologie

103. Une scintigraphie est une exploration d’imagerie qui a les caractères suivants :
a. C’est une image par transmission à caractère morphologique
b. C’est une image qui se base sur la détection des Rayons γ (gamma)
c. C’est une image de meilleure qualité que l’image en radiologie
d. Par son caractère fonctionnel, permet un diagnostic plus précoce que la radiologie

104. Une gamma caméra de tomographie par émission de positrons nécessite :


a. Un vecteur marqué par un élément radioactif émetteur de positron
b. L’administration au patient d’un produit de contraste
c. L’émission par le patient de 2 photons gamma à 180° l’un de l’autre
d. La détection par une couronne de détecteurs autour du patient

105. La radiothérapie externe fait appel aux techniques suivantes :


a. La Cobaltothérapie qui utilise des sources de Cobalt 60
b. La Curiethérapie Interstitielle
c. La Radiochirurgie utilisant des sources de rayonnements gamma
d. Des accélérateurs de particules

106. Les techniques faisant appel à la radiothérapie externe sont :


a. Curiethérapie interstitielle
b. Production des RX par le Tubes à RX
c. Accélérateurs linéaires
d. Radiochirurgie stéréotaxique

107. Indiquer parmi ces techniques, celles utilisées en radiothérapie externe :


a. Curiethérapie interstitielle
b. Accélérateurs linéaires

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1AM : MODULE DE BIOPHYSIQUE Page 14 sur 20

c. Curiethérapie endoluminale
d. Radiochirurgie stéréotaxique

CM5 : Radioprotection en milieu médical: Organisation - Objectifs généraux - Applications

108. La radioprotection est organisée selon le schéma suivant :


a. Les données scientifiques sont validées par un comité de lecture
b. Des experts définissent à partir de ces données les principes généraux
c. Des directives européennes s’appliquent à tous les États même non européens
d. Des recommandations sont élaborées et des règles de radioprotection proposées

109. L’organe de Sureté actuel au Maroc a pour appellation :


a. Organe Marocain Indépendant de Sureté et Sécurité Nucléaire et radiologique
b. Agence Marocaine de Sureté et Sécurité Nucléaire et radiologique
c. Centre National de Radioprotection et de Sécurité Radiologique
d. Commission Nationale de Radioprotection de Sureté Nucléaire

110. Les principes « Justification, Optimisation » s’appliquent pour :


a. Toutes ces personnes : patients, professionnels et public
b. Les professionnels seulement
c. Les patients seulement
d. Les patients et les professionnels seulement

111. La justification de l’acte médical doit prouver que :


a. L’avantage attendu est supérieur aux techniques qui n’exposent pas aux RI
b. Les avancées des connaissances et technologiques prouvent cette supériorité
c. En cas d’enfant, seule une réduction de dose d’exposition est requise
d. Il y a eu concertation entre le médecin prescripteur et le médecin réalisateur

112. Le principe d’optimisation, en radioprotection, vise à :


a. Réduire la dose d’exposition même au détriment de la qualité de l’image
b. Réduire la dose d’exposition du patient autant qu’il est raisonnablement possible
c. Respecter et à réviser les procédures régulièrement des différentes explorations
d. Veiller au contrôle de qualité périodique de l’équipement de l’imagerie médicale

113. L’optimisation, concerne les personnes suivantes :


a. Les enfants en bas âge
b. Les femmes : enceintes ou qui allaitent
c. Les personnes âgées
d. Les professionnels

114. Le principe d'optimisation implique :


a. Le bon choix de l’équipement et de la technique.
b. Le respect du protocole selon le guide des procédures
c. L’évaluation des doses et la protection des tissus environnants
d. D’assurer un contrôle périodique de l’équipement et des procédures

115. Les principes « Limitation » s’applique pour :


a. Les patients seulement

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FMA1 – CAM - BIOPHYSIQUE
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b. Les professionnels seulement


c. Les patients et les professionnels seulement
d. Les professionnels et les personnes du public

116. Un Travailleur de catégorie A est susceptible de :


a. Recevoir une dose efficace annuelle > 6 mSv
b. Ne pas dépasser une dose efficace de 6 mSv /an
c. Recevoir une dose équivalente à 3/10 d'une autre limite
d. Dépasser une limite pour le public

117. Un Travailleur de catégorie B est susceptible de :


a. Recevoir une dose efficace annuelle de moins de 6 mSv
b. Recevoir une dose équivalente à 3/10 de cette limite
c. Dépasser une limite pour le public
d. Ne pas dépasser une dose efficace de plus de 20 mSv /an

118. Un Travailleur de catégorie A est susceptible de :


a. Recevoir une dose efficace annuelle de moins de 6 mSv
b. Recevoir une dose équivalente à 3/10 de cette limite
c. Dépasser une limite pour le public
d. Ne pas dépasser une dose efficace de plus de 20 mSv /an

119. Un Travailleur de catégorie B est susceptible de :


a. Peut dépasser une dose efficace de plus de 20 mSv /an
b. Recevoir une dose efficace annuelle de moins de 6 mSv
c. Recevoir une dose équivalente à 3/10 de cette limite
d. Dépasser une limite pour le public de 1mSv

120. Les couleurs désignant les zones contrôlées sont :


a. Le rouge
b. Le vert
c. L’orange
d. Le jaune

121. Actuellement au Maroc, l’organisme en charge de la radioprotection est :


a. Le Ministère de l’Énergie et des Mines
b. L’Agence Marocaine d’Assurance et de Sécurité Nucléaire
c. Le Ministère de la santé
d. Un organisme indépendant

122. Les couleurs désignant une matière radioactive sont :


a. Le vert et le bleu
b. Le jaune et le noir
c. Le rouge et le noir
d. Le noir et le blanc

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FMA1 – CAM - BIOPHYSIQUE
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123. Les zones contrôlées sont représentées par un trisecteur de couleur :


a. Bleue
b. Verte
c. Jaune
d. Jaune et noire

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OPTIQUE DE LA VISION
CM6 : Dioptrique géométrique - Dioptrique de l’œil normal

124. Le dioptre sphérique est une surface qui :


a. Sépare deux milieux transparents hétérogènes de même indice de réfraction
b. Sépare 2 milieux transparents homogènes d’indices de réfraction différents
c. Possède un centre de courbure et un rayon de courbure
d. Dévie la lumière par réfraction s’il est transparent

125. Dans un dioptre sphérique sépare deux milieux transparents, la lumière traverse :
a. Ces milieux et se propage normalement en ligne droite
b. Ces milieux sans déviation si leurs indices de réfraction sont différents
c. Ces milieux et subit une réfraction si l’interface du dioptre est transparente
d. Ces milieux et subit une absorption si l’interface du dioptre est opaque

126. Le dioptre sphérique est une interface transparente qui :


a. Sépare 2 milieux transparents d’indices de réfraction identiques
b. Sépare deux milieux transparents d’indices de réfraction différents
c. Dévie la lumière par réfraction
d. Dévie la lumière par réflexion ou absorption

127. Le punctum rémotum est :


a. Le point conjugué de la rétine lorsque l’œil accommode au maximum
b. Situé à l’infini pour un œil normal au repos et donc sa puissance est minimale
c. Rapproché chez le sujet myope
d. Inchangé fixe chez le sujet presbyte

128. Le punctum Proximum est :


a. Situé à une distance finie pour un œil normal lorsqu’il accommode au maximum
b. Très rapproché chez le sujet myope par rapport au sujet emmétrope
c. Un point conjugué de la rétine où la puissance est minimale
d. Très rapproché chez le sujet presbyte

129. Le punctum proximum est situé :


a. En arrière de la rétine chez le sujet emmétrope au repos
b. A l’infini chez le sujet myope en accommodation maximale
c. Rapproché chez le sujet hypermétrope en accommodation continue
d. En avant du punctum rémotum

130. Le dioptre torique possède :


a. Deux méridiens principaux (MP), en général, orthogonaux
b. Deux puissances dont une nulle et une autre non nulle
c. Un MP Horizontal de puissance horizontale qui génère une focale verticale.
d. Un MP Vertical de puissance verticale qui génère une focale verticale

131. La puissance totale de l’œil au repos est :


a. D’une valeur moyenne de 60 Dioptrie
b. Due essentiellement au Dioptre Cornéen Antérieur

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c. Plus élevée chez le sujet presbyte
d. Plus faible chez le sujet hyperope

132. Dans un système astigmatique un Méridien Principal (MP) :


a. Vertical, détermine une puissance verticale
b. Horizontal, génère une image sous forme de focale horizontale
c. Détermine une puissance nulle dans un verre plan cylindrique
d. Peut avoir deux puissances non nulles si l’autre méridien lui est orthogonal

133. L’accommodation est par définition :


a. Une augmentation normale de la puissance de l’œil chez le sujet emmétrope
b. Le cristallin augmente ses rayons de courbure
c. Un phénomène anormal important chez le sujet âgé
d. Un phénomène de permet de voir les objets éloignés

134. L’accommodation est un phénomène :


a. Physiologique qui permet de voir les objets rapprochés
b. Assuré par le cristallin dont les rayons de courbure diminuent
c. Réflexe anormal qui vise à augmenter la puissance de l’œil
d. Réflexe rapide et important chez le sujet jeune

CM7 : Les amétropies sphériques et non sphériques - Diagnostic des amétropies


Perception de l’image rétinienne - Vision des couleurs

135. Une amétropie est une anomalie liée à un trouble :


a. De la dioptrique oculaire
b. De la réfraction qui peut être sphérique ou non sphérique
c. Où l’image d’un objet à l’infini, ne se forme pas sur la rétine lorsque l’œil est au repos
d. Où un dioptre (au moins) de l’œil n’est pas sphérique

136. Une amétropie est une anomalie liée à un trouble :


a. De la dioptrique oculaire
b. De la réfraction qui peut être sphérique ou non sphérique
c. Où l’image d’un objet à l’infini, se forme sur la rétine lorsque l’œil est au repos
d. Où Un dioptre (au moins) de l’œil n’est pas sphérique

137. Chez le sujet myope :


a. La puissance de l’œil est élevée par rapport à la normale
b. La presbytie survient précocement chez le sujet myope
c. L’image d’un point se situe en arrière de la rétine
d. La correction vise à diminuer sa forte puissance

138. La correction de l’œil myope vise à :


a. Diminuer la puissance de l’œil par des verres sphériques divergents
b. Améliorer la vision des objets rapprochés
c. Déplacer l’image en avant de la rétine au niveau du foyer de la rétine
d. Augmenter son accommodation défaillante

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139. Chez le sujet myope :
a. La puissance de l’œil est faible par rapport à la normale
b. La presbytie survient précocement chez le sujet myope
c. L’image d’un point se situe en arrière de la rétine
d. La correction vise à diminuer sa forte puissance

140. Chez le sujet myope :


a. La puissance de l’œil est forte par rapport à la normale
b. L’image d’un point se situe en arrière de la rétine
c. Le Punctum Proximum est trop rapproché
d. La correction vise à diminuer sa puissance par un verre sphérique divergent

141. La correction de l’œil hypermétrope vise à :


a. Déplacer sur la rétine, l’image formée en arrière
b. Déplacer son Punctum Rémotum virtuel
c. Diminuer la puissance de l’œil par un verre sphérique convergent
d. Relâcher son accommodation trop forte lors de la vision de loin

142. La correction de l’œil hypermétrope vise à :


a. Déplacer sur la rétine, l’image formée en arrière
b. Augmenter la puissance de l’œil par des verres sphériques convergents
c. Éloigner son punctum proximum trop rapproché
d. Relâcher son accommodation trop forte lors de la vision de loin

143. On corrige un astigmatisme composé, par un verre :


a. Plan cylindrique pour corriger l’astigmatisme en ramenant une focale sur l’autre
b. Sphérique pour corriger l’amétropie sphérique qui subsiste
c. Sphéro-cylindrique
d. Non torique

144. Dans les astigmatismes simples, la puissance de l’œil :


a. Est normale dans un Méridien Principal (MP) mais anormale dans l’autre MP
b. Est nulle dans un MP mais non nulle dans l’autre MP
c. Est corrigée par un verre sphéro cylindrique qui agit sur la puissance anormale
d. Qui est anormale dans un seul MP, définit le degré d’astigmatisme

145. Dans les astigmatismes composés, la puissance de l’œil est :


a. Nulle dans un MP mais non nulle dans l’autre MP
b. Corrigée par un verre sphéro cylindrique convergent ou divergent
c. Anormale dans les deux Méridiens Principaux (MP)
d. Corrigée par un verre torique

146. Un sujet ne voit pas bien un objet rapproché car :


a. Il est emmétrope
b. Il a un excès d’accommodation
c. Son Punctum Proximum est éloigné
d. Il est presbyte

147. Un sujet ne voit pas bien un objet rapproché car :

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a. Il est emmétrope
b. Il a un défaut d’accommodation
c. Il est myope
d. Il est presbyte

148. Un sujet ne voit pas bien un objet rapproché car :


a. Il est âgé
b. L’image d’un objet est située en dehors de la rétine
c. Son œil est trop puissant
d. Son Punctum Rémotum (PR) est rapproché

149. Un sujet ne voit pas bien un objet rapproché car :


a. Il est âgé
b. L’image d’un objet est située en dehors de la rétine
c. Son œil est trop puissant
d. Il a une presbytie

150. Un sujet ne voit pas bien un objet rapproché car :


a. L’éclairage de l’objet est insuffisant
b. Son Punctum Rémotum (PR) est virtuel
c. Il a une amétropie sphérique ou non sphérique
d. Il ne porte pas ses lunettes

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