Concours Blanc Version FR - 220723 - 174044

2022
Health Universe
4ème édition
CONCOURS BLANC D’ACCÈS AUX

FACULTÉS DE MÉDECINE, PHARMACIE ET
DE MÉDECINE DENTAIRE
Concours blanc d’accès aux facultés de médecine, pharmacie
et de médecine dentaire de l’année universitaire 2022-2023
– Session Juillet 2022 –
Version Française
Sciences de la vie
Choisir la bonne réponse :

La respiration cellulaire : c’est une oxydation complète de matière organique (glucose)
A en milieu aérobie, elle nécessite l’intervention des mitochondries et produit une
quantité importante d’énergie.
La fermentation : c’est une oxydation incomplète (partielle) de matière organique en
B milieu anaérobie, elle se déroule dans l’hyaloplasme et produit une faible quantité
d’énergie et des molécules organiques incapable de produire d’énergie.
Les mitochondries sont des organites délimités par une membrane qui présente des
C
replis appelés crêtes mitochondriales.
L’équation globale de la glycolyse est : C6H12O6 + 2ADP + 2Pi + 2NAD+ → 2CH4-
D
CO-COOH + 2ATP + 2NADH,H+
Dans les conditions cellulaires, les sphères pédonculées de la membrane interne des
E mitochondries catalysent la synthèse d’ATP dans la matrice. L’énergie nécessaire à
cette synthèse vient d’un flux de neutrons
La contraction musculaire :
Une secousse musculaire est une contraction musculaire qui se déroule en 2 phases :
A
la contraction et le relâchement.
Pendant la contraction musculaire, il y a libération des ions calcium du réticulum
B sarcoplasmique et il se produit un glissement des filaments d'actine sur la myosine avec
libération d'ADP.
La phosphocréatine est un composé riche en énergie, issu de l'hydrolyse des réserves de
C
glycogène dans le muscle.
Au cours d'un effort de longue durée, la voie métabolique principale qui permet le
D renouvellement de l'ATP nécessaire à la contraction musculaire, est la fermentation
lactique.
Une myofibrille est un ensemble de filaments musculaires fins et épais. formés
E
respectivement de myosine qui possède une activité ATPase et d'actine.
1
Version Française
Concernant la chaîne respiratoire mitochondriale :

Les électrons passent d'un couple rédox (oxydant-réducteur) de haut potentiel standard
A
vers un couple redox de bas potentiel standard.
En aérobiose les oxydations phosphorylantes fournissent moins de 50% de l'ATP
B
synthétisée dans les cellules.
Elle est formée -entre autres- de cytochromes qui transportent les protons jusqu'à
C
l'oxygène
Le nombre de protons nécessaires -devant traverser la membrane- pour la synthèse
D
d'une molécule d'ATP est égal à 4.
E Elle est située dans la membrane mitochondriale externe.
Concernant le muscle strié :

L'arrangement du muscle est coordonné d'une cellule à l'autre et la fibre musculaire,
A unité fonctionnelle, peut ainsi être indifféremment unicellulaire ou pluricellulaire selon
le type de muscle.
La contraction fonctionne de façon harmonieuse grâce à un système de régulation
couplant l'impulsion nerveuse ou électrique à la contraction par l'intermédiaire d'un
B
messager unique, le proton H+; il se lie en effet à une famille de protéines régulatrices
comportant toutes un site, toujours le même ou presque, capable de fixer le proton H+.
Il existe deux types de contraction musculaire. Si les deux insertions sont mobiles, ou
seulement l'une des deux, la contraction entraîne un raccourcissement du muscle : elle
C est dite isométrique. Si, au contraire, les deux extrémités restent fixes, il n'y a pas de
raccourcissement, mais une mise en tension des fibres musculaires : la contraction est
dite isotonique.
La secousse musculaire isolée est la réponse d’un muscle à un seul stimulus au-dessous
D du seuil de stimulation. En réponse à cette stimulation le muscle se contracte
rapidement puis se relâche.
Le sarcomère est l’élément répétitif et fonctionnel de base du tissu musculaire, il est
E
délimité par deux stries Z et mesure quelques millimètres de longueur.
2
Version Française
Concernant les mutations génétiques :

Un agent mutagène est éliminé de la cellule grâce aux systèmes enzymatiques de
A
réparation.
Les erreurs d’appariement lors de la réplication de l’ADN sont dues à des agents
B
mutagènes.
C Une mutation spontanée est toujours corrigée par les systèmes de réparation.
D Les mutations ne sont jamais carcinogènes.
E Une mutation spontanée est un événement rare à l’échelle cellulaire.
Dans le cadre de diagnostic prénatal des maladies génétiques, toutes ces

techniques de prélèvement peuvent être utilisées pour dépister in utero les
anomalies fœtales, sauf une. Laquelle ?
A Rachicentèse
B Choriocentèse
C Amniocentèse
D Cordocentèse
E ADN fœtal libre en circulation dans le sang maternel
Concernant la réplication de l’ADN, cochez la bonne réponse :
A Se fait au cours de la phase S du cycle cellulaire
B Le brin tardif est synthétisé de façon discontinue
C Se fait selon un modèle semi-conservatif.
D Fait intervenir la transcriptase inverse.
E Se fait par synthèse d’un nouveau brin dans le sens 5' vers 3'.
3
Version Française
Parmi ces formules chromosomiques, laquelle correspond à un fœtus

triploïde :
A 46, XY
B 47, XXY
C 69, XXX
D 92, XXYY
E 23, X
La mitose animale se distingue de la mitose végétale par :
A Elle se déroule en 4 phases.
B Forme deux cellules identiques.
C Assure le maintien de l’information génétique.
D La séparation des deux cellules se fait par étranglement équatoriale.

Présence de la calotte polaire correspondant à une condensation cytoplasmique en
E
prophase.
Lors de la transmission de deux gènes indépendants :

50% de F1 ressemblent au phénotype d'un parent et 50% ressemblent au phénotype de
A
l'autre parent.
Une part de 9/16 de F2 ressemblent au phénotype d'un parent, 1/16 ressemblent à l'autre
B
parent, 3/16 ont un phénotype nouveau et 3/16 ont un autre nouveau phénotype
50% de F2 ressemblent au phénotype d'un parent et 50% ressemblent au phénotype de
C
l'autre parent.
D Dans F2, on n'aura jamais d'individus avec un nouveau phénotype.
E 100% de F2 présentent un nouveau phénotype.
4
Version Française
Enoncé commun aux questions 11, 12 et 13 :

L’hémophilie A est une maladie du sang provoquée par un
dysfonctionnement du processus de coagulation. Il s’agit d’un trouble
hémorragique héréditaire qui se traduit par l’incapacité du sang à coaguler
correctement. La maladie est liée à un déficit en facteur VIII, une des protéines
responsables de la coagulation sanguine, pouvant entraîner un saignement grave
et incontrôlé. Afin de déterminer le mode de transmission de ce gène, on réalise
l’arbre généalogique d’une famille exprimant cette maladie.
D’après l’arbre généalogique, quel est le mode de transmission ?
A Transmission récessive liée à l'X
B Transmission dominante liée à X
C Transmission autosomique dominante
D Transmission autosomique récessive
E Transmission liée au chromosome Y
5
Version Française
En analysant l’arbre généalogique de cette famille, choisissez la bonne

réponse :
Il est impossible qu’une fille soit atteinte de cette maladie car la maladie est portée par
A
le chromosome Y.
B Pour qu’une fille soit atteinte de cette maladie, il faut que son père soit malade.
C Il est possible qu’une fille soit atteinte de cette maladie avec une probabilité de ¼
D Il est possible qu’une fille soit atteinte de cette maladie avec une probabilité de ½
E Toutes les propositions sont fausses.
M. et Mme D. (individus III 4 et III 5) attendent un 4ème enfant (IV 4).

L'échographie montre qu'il s'agit d'une fille. Des tests complémentaires indiquent
pourtant qu'elle souffre de l'hémophilie. Le généticien a proposé de réaliser un
caryotype afin d'étudier plus précisément son cas :
A partir du caryotype, cochez la bonne réponse :

Le syndrome de Jacobs est à l’origine de l’expression de la maladie chez
A
cette fille
Le syndrome de Turner est à l’origine de l’expression de la maladie chez
B
cette fille
Le syndrome de Klinefelter est à l’origine de l’expression de la maladie
C
chez cette fille.
Le syndrome de Down est à l’origine de l’expression de la maladie chez
D
cette fille.
E Ce caryotype ne permet pas d’expliquer l’expression de la maladie chez cette fille.
6
Version Française
Enoncé pour la question 14 :

Le document photographique suivant représente les étapes de la méiose
dans une cellule.
L’ordre des étapes de la division méiotique est le suivant :
A 6, 3, 4, 8, 5, 2, 1, 7
B 6, 3, 4, 5, 8, 2, 1, 7
C 3, 6, 4, 8, 5, 2, 1, 7
D 3, 6, 4, 5, 8, 2, 1, 7
E 6, 3, 4, 8, 2, 5, 7, 1
7
Version Française
Une femme phénylcétonurique sous traitement, épouse un homme

hétérozygote pour la phénylcétonurie. Sachant que la phénylcétonurie est
une maladie autosomique récessive, quel pourcentage d'enfants nés de cette
union auront un génotype normal :
A 0%
B 25%
C 50%
D 75%
E 100%

Dans une population en équilibre de Hardy-Weinberg concernant un gène
codant des molécules à la surface des globules rouges. Il existe deux allèles
pour ce gène, l’allèle M et l’allèle m :
Génotype Nombre d’individus

MM 250
Mm 700
mm 50
Quel est le pourcentage des individus présentant le caractère dominant à

la génération suivante:
A 4%
B 16%
C 48%
D 84%
E 96%
8
Version Française
La tyrosine (Tyr) est un acide aminé produit par l’organisme, contribuant au bon
fonctionnement du système nerveux, intervient également dans la synthèse des
hormones thyroïdiennes et joue un rôle important dans la production de mélanine. Un
de ses codons est le triplet TAC, son anti-codon au niveau de l’ARNt est :
A 5'-UAG-3'
B 5'-TAC-3'
C 5'-UAG-3'
D 5'-UAC-3'
E 5'-AUG-3'
Enoncé commun aux questions 18, 19 et 20 :
Chez la drosophile, les caractères « couleur du corps » et « longueur des ailes »

sont respectivement codés par deux gènes.
Document 1 :
Gène codant chaque Gène Gène
caractère « couleur du corps » « longueur des ailes »
Phénotypes possibles pour
[clair] ou [noir] [longues] ou [vestigiales]
chaque caractère
Allèles codant chaque b+ codant [clair] vg+ codant [longues]
phénotype b- codant [noir] vg- codant [vestigiales]
Document 2 : Schéma d'un premier croisement.

On croise deux lots de drosophiles (P1 et P2) homozygotes pour les deux gènes considérés
(c'est-à-dire possédant deux allèles identiques pour chaque gène) et de phénotype différent. On
obtient une première génération de drosophiles appelée « F1 »
9
Version Française
Document 3 : Schéma d'un second croisement (croisement test)

On croise les drosophiles F1 issues du premier croisement (document 2) par des parents P2.
On obtient une seconde génération de drosophiles appelée « F2 ».
Le premier croisement « DOCUMENT 2 » permet de conclure que :

L'allèle b+ est dominant par rapport à l'allèle b- et que l'allèle vg+ est dominant par
A
rapport à l'allèle vg-
L’allèle b+ est récessif par rapport à l'allèle b- et que l'allèle vg+ est récessif par rapport
B
à l'allèle vg-
Les gènes codant la couleur du corps et la longueur des ailes sont portés par le même
C
chromosome.
Les gènes codant la couleur du corps et la longueur des ailes sont portés par des
D
chromosomes différents.
E Toutes les réponses sont fausses.
Les drosophiles obtenues en F1 sont :
A Homozygotes pour les deux gènes considérés.
B Hétérozygotes pour les deux gènes considérés.

Homozygotes pour le gène codant la couleur du corps et hétérozygotes pour le gène
C
codant la longueur des ailes.
Homozygotes pour le gène codant la longueur des ailes et hétérozygotes
D
pour le gène codant la couleur du corps.
E Toutes les réponses sont fausses.
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Version Française
D’après le second croisement « DOCUMENT 3 », les propositions des

phénotypes encadrés s’expliquant par :
A Un brassage génétique interchromosomique lors des méioses parentales.

B Un brassage génétique intrachromosomique lors des méioses parentales
C L'absence totale de crossing-over lors des méioses parentales.
D Des duplications géniques lors des méioses parentales.
E Toutes les propositions sont fausses.
11
Version Française
PHYSIQUE
En passant de l’eau dans le verre, un faisceau de lumière jaune se

réfracte. Laquelle des affirmations suivantes est correcte ?
A Sa longueur d’onde ne change pas.

B Sa fréquence ne change pas
C Le produit de sa fréquence par sa longueur d’onde ne change pas.
D Sa vitesse de propagation ne change pas
E Aucune proposition n’est juste.

Le graphe ci-dessous représente la « photo » d’une onde en un temps t donné.
Si on analyse le mouvement des points C et D, on peut affirmer que le

mouvement du point C est :
A Déphasé de 0 radian par rapport à celui du point D

𝝅
B Déphasé de radians par rapport à celui du point D
𝟑
𝝅
C Déphasé de radians par rapport à celui du point D
𝟒
D Déphasé de π radians par rapport à celui du point D
E Aucune proposition n’est juste
12
Version Française
Enoncé pour la question 23 et 24 :

Un faisceau de lumière monochromatique atteint en incidence normale en un point I la face
verticale d’un prisme d’angle au sommet. A=30°(figure). On note (N) la normale à la face
oblique du prisme.
Données:
- Indice de réfraction de l’air : n=1
- Indice de réfraction du prisme : np = 1,42
- Célérité de la lumière dans l’aire : 3.108 m/s
- Longueur d’onde du faisceau dans l’air est proche de 656,3 nm
Choisissez la bonne réponse :
A Le faisceau incident se dévie après sa réfraction au point I.

La valeur de l’angle de réfraction du faisceau incident sur la face oblique du prisme est
B
proche de 45°
La valeur de l’angle de réfraction du faisceau incident sur la face oblique du prisme est
C
proche de 30°
D la célérité du faisceau à l’intérieur du prisme est de V=2,1.106m.s-1
A La longueur d’onde du faisceau dans le prisme est 656,3 nm

B La longueur d’onde du faisceau dans le prisme est 462,1 pm
C La fréquence du faisceau dans le prisme est N=3,2.1015Hz
D La fréquence du faisceau dans le prisme est N=4,57.1014Hz
13
Version Française

Au cours d’une séance de travaux pratiques, un élève dispose du matériel suivant : • un
émetteur d’ultrasons E et son alimentation électrique ;
• deux récepteurs d’ultrasons R1 et R2 ;
• un oscilloscope;
• une règle graduée. II réalise le montage suivant :
L’émetteur E génère une onde ultrasonore progressive sinusoïdale qui se propage dans l’air
jusqu’aux récepteurs R1 et R2. L’émetteur et les deux récepteurs sont alignés. Le récepteur R1
est placé au zéro de la règle graduée. Les signaux captés par les récepteurs R1 et R2 sont
appliqués respectivement sur les voies (1) et (2) d’un oscilloscope pour être visualisés sur
l’écran de celui-ci.
Lorsque le récepteur R2 est situé à d = 2,8 cm du récepteur R1, les signaux reçus par les deux
récepteurs sont en phase. On observe l’oscillogramme ci-dessus sur l’écran.
Déterminer la fréquence f des ultrasons émis :
A La fréquence f = 5.104Hz
B La fréquence f = 5.105Hz
C La fréquence f = 3.105Hz
D La fréquence f = 104Hz
E La fréquence f = 105Hz
14
Version Française

Une sonde, jouant le rôle d’émetteur et de récepteur, envoie une impulsion ultrasonore de faible
durée et de faible puissance en direction du crâne d’un patient. L’onde sonore pénètre dans le
crâne, s’y propage et s’y réfléchit chaque fois qu’elle change de milieu. Les signaux réfléchis
génèrent des échos qui, au retour sur la sonde, y engendrent une tension électrique très brève.
Un oscilloscope relié à la sonde permet la détection à la fois de l’impulsion émettrice et des
divers échos.
L’oscillogramme obtenu sur un patient permet de tracer l’échogramme ci-dessus : les tensions
électriques étant redressées, seule la partie positive de celles-ci est envoyée sur l’oscilloscope ;
la durée d’émission de l’impulsion étant très brève ainsi que celle des échos, on observe sur
l’écran des pics verticaux : P0, P1, P2, P3.
P0 correspond à l’émission à l’instant de date t = 0s de l’impulsion ; P1 à l’écho dû à la réflexion

sur la surface externe de l’hémisphère gauche (G sur le schéma) ; P2 à l’écho sur la surface de
séparation des deux hémisphères ; P3 à l’écho sur la surface interne de l’hémisphère droit (D
sur le schéma). La célérité des ultrasons dans les hémisphères est v = 1500 m.s-1 .
La durée t du parcours de l’onde ultrasonore dans l’hémisphère

gauche ainsi que dans le droit, et déduire la largeur L de chaque
hémisphère :
A t=300 µs | L = 12,3 cm
B t=250 µs. | L = 10,9 cm
C t=150 µs. | L = 11,3 cm
D t=100 µs. | L = 10,1 cm
E t=50 µs. | L = 11,8 cm
15
Version Française
La célérité d’une onde mécanique progressive :
A Dépend de l’amplitude de la perturbation

Dans le cas d’une onde périodique, dépend toujours significativement de la période de
B
cette onde
C Est constante au cours de la propagation si le milieu est homogène
D Diminue au cours de la propagation
E Dépend du milieu de propagation
À propos de la radioactivité :
A La radioactivité β- concerne les noyaux instables à cause d’un excès de protons

B La radioactivité β+ concerne les noyaux instables à cause d’un excès de neutrons
La radioactivité β+ concerne les noyaux instables à cause d’un excès de protons et
C
neutrons.
D La radioactivité β- concerne les noyaux instables à cause d’un excès de neutrons.
Pour les espèces chimiques :
A Les isobares ont un numéro A identique

B Les isotopes ont un numéro Z identique.
C Les isotones ont un numéro N identique.
D Les isomères ont un numéro A et Z identiques.
E Toutes les propositions sont justes.
Lors d’une réaction nucléaire, toutes ces grandeurs sont conservées (lois
de conservation) sauf une, laquelle ? :
A Le nombre total de protons.

B La charge électrique totale.
C Le nombre total de neutrons.
D Le nombre total d’électrons.
E Le nombre total de nucléons.
16
Version Française
Quelle(s) est(sont) la(les) unité(s) correcte(s) pour décrire l’activité :
A Désintégrations par an.

B Désintégrations par jour.
C Désintégrations par minute.
D Désintégrations par millisecondes.
E Becquerel

On utilise du phosphore 32P comme traceur dans la détection de certaines tumeurs. Cet
élément est un émetteur β- de période 14,2 j. Des préparations cellulaires marquées au 32P ont
une activité de 1,6 mCi. (On rappelle que 1 Ci = 37 GBq)
Calculer la durée d’utilisation de ces préparations, sachant qu’elles sont

jetées lorsque leur activité n’est plus que de 10 µCi.
A La durée t = 71j.
B La durée t = 69j.
C La durée t = 70j.
D La durée t = 73j.
E La durée t = 72j.
Plus le noyau est stable :
A Plus sa masse est grande.

B Plus son énergie de liaison est grande.
C Plus son énergie de liaison par nucléon est grande.
D Plus son énergie de liaison est petite.
E Plus son énergie de liaison par nucléon est petite.
17
Version Française

Un circuit électrique est constitué de deux condensateurs en série de capacités C1 = 2µF et
C2 = 4µF reliés à un générateur de tension continue E = 600V.
Dans ce cas les tensions V1 et V2 aux bornes des condensateurs C1 et C2

sont respectivement :
A V1= 600V et V2= 600V

B V1= 200V et V2= 400V
C V1= 400V et V2= 200V
D V1= 300V et V2= 300V
E V1= 600V et V2= 0V

Un condensateur de capacité C = 5 mF est chargé à l’aide d’un générateur débitant un courant
d’intensité constante I0 = 2 mA.
La tension aux bornes des deux armatures du condensateurs et l’énergie

électrique stockée dans ce dernier au bout de 10 secondes sont données par
les valeurs :
A U= 2V ; W= 10-2 Joule
B U= 4V ; W= 4.10-2 Joule
C U= 6V ; W= 10-3 Joule
D U= 2V ; W= 10-3 Joule
E U= 3V ; W= 10-2 Joule
18
Version Française
Un générateur qui délivre un échelon de tension donne :
A Une tension qui passe de façon instantané d’une valeur nulle à une valeur constant E
Une tension périodique telle que UG = E sur la première demi-période et UG = -E sur la
B
seconde demi-période
C Une tension triangulaire
D Une tension qui passe de façon instantané d’une valeur E à une valeur nulle
Lors de la charge d’un condensateur par un échelon de tension,

l’intensité I du courant dans le circuit :
A Est constante au cours du temps

Est maximale à l’instant initial, puis diminue pour s’annuler lorsque le condensateur est
B
chargé
Est minimale à l’instant initial, puis augmente, passe par un maximum, puis diminue
C
pour s’annuler lorsque le condensateur est chargé
D Les propositions A et C sont justes
Enoncé pour la question 38, 39 et 40 :

Soit le montage ci-dessous :
Le condensateur est initialement déchargé. Le générateur délivre une tension E0. De t = 0 à

T= 10 ms ; K1 est fermé et K2 est ouvert. T est suffisamment long pour charger complétement
le condensateur.
Données : C = 10 µF ; R1 = 10 Ω ; R2 = 20 Ω ; E0 = 4 V
19
Version Française
L’énergie accumulée dans le condensateur à t=T vaut :
A Ee = 2.10-5 J
B Ee = 5.10-5 J
C Ee = 6.10-5 J
D Ee = 8.10-5 J
E Ee = 10.10-5 J
L’énergie dissipée par effet de joule de t=0 travers R1 vaut :
A Eth = 1,6.10-5 J
B Eth = 8,0.10-5 J
C Eth = 1,2.10-5 J
D Eth = 1,4.10-5 J
E Eth = 6,9.10-5 J
L’énergie fournie par le générateur de t=0 à t=T vaut :
A EG = 16.10-5 J
B EG = 8,0.10-5 J
C EG = 24.10-5 J
D EG = 32.10-5 J
E EG = 64.10-5 J
20
Version Française
Chimie
Enoncé pour la question 41, 42 et 43 :

On se propose de réaliser le tirage d’une solution d’acétate de sodium CH3COONa de volume
Vb=200mL et de concentration Cb = 1,00.10-2 mol.L-1 par une solution d’acide chlorhydrique
de concentration Cb = 1,60.10-1 mol.L-1 par une méthode conductimétrique.
Calculer le volume a l’équivalence :
A Veq = 1,25 ml
B Veq = 12,5 ml
C Veq = 32 ml
D Veq = 125 ml
E Toutes les propositions sont fausses
L’équation de la courbe donnant la conductivité en fonction du volume

Va de l’acide versé avant l’équivalence s’écrite sous la forme :
A σ= 34,1 Va - 300
B σ= 34,1 Va + 300
C σ= 2,8 Va - 91
D σ= 2,80 Va +91
L’équation de la courbe donnant la conductivité en fonction du volume

Va de l’acide versé après l’équivalence s’écrite sous la forme :
A σ= 34,1 Va - 300
B σ= 34,1 Va + 300
C σ= 2,8 Va - 91
D σ= 2,80 Va +91
21
Version Française
Etude de la cinétique d’une réaction chimique

On va étudier la cinétique de la transformation chimique décrite par la réaction suivante :
Parmi les espèces en solution, seul diiode est coloré, il présente une couleur jaune. On peut
donc le doser par spectrophotométrie
On utilise le spectrophotomètre pour réaliser de l’absorbance d’une solution aqueuse de diiode
de concentration C0 = 1,0.10-2 mol.L-1.
On mesure alors une absorbance A0 = 0,60. Sachant que l’absorbance A est proportionnelle à
la concentration en diiode, le coefficient de proportionnalité étant 𝑘 = 60 𝐿. 𝑚𝑜𝑙 −1
A une date t=0, on mélange dans un bécher une solution d’iodure de potassium (K+, I-) de
volume V1 = 25 mL de concentration C1 = 5,0.10-2 mol.L-1 et acidifiée (les ions oxonium H3O+
seront considérés en large excès) à une solution d’eau oxygénée H2O2 de volume V2 = 50 mL
et de concentration inconnue C2.
On verse alors rapidement un faible volume (négligeable devant V1 et V2) de ce mélange
réactionnel dans une cuve qu’on introduit dans le spectrophotomètre.
22
Version Française
En supposant que l'iodure de potassium est le réactif en défaut, quelle

valeur numérique l'avancement devrait-il prendre lorsque le système
chimique atteindra son état final ?
A 𝑥𝑓 = 0,625 𝑚𝑚𝑜𝑙
B 𝑥𝑓 = 0,725 𝑚𝑚𝑜𝑙
C 𝑥𝑓 = 0,925 𝑚𝑚𝑜𝑙
D 𝑥𝑓 = 0,674 𝑚𝑚𝑜𝑙
La valeur finale de l’absorbance attendue si l'iodure de potassium est le

réactif limitant est :
A 𝐴𝑚𝑎𝑥 = 0,4
B 𝐴𝑚𝑎𝑥 = 0,3
C 𝐴𝑚𝑎𝑥 = 0,6
D 𝐴𝑚𝑎𝑥 = 0,5
Déterminer le temps de la demi réaction :
A t1/2 = 2min
B t1/2 = 4min
C t1/2 = 6min
D t1/2 = 8min
23
Version Française
Exercice (questions 47, 48, 49 et 50) :

On va étudier l’avancement de la réaction de l’acide formique HCOOH (acide méthanoïque)
avec l’eau pour deux concentrations apportée en acide formiques,
C1 = 10-2 mol.L-1 et C2 = 10-4 mol.L-1
La réaction étudiées est la suivante :
Données :
MHCOOH = 46g.mol
Couple HCOOH(aq)/HCOO-(aq)
Volume de solution utilisée pour la mesure est V1 = 100mL
Quel volume d’une solution commerciale d’acide méthanoïque (solution

à 100% d’acide) faut-il prélever pour préparer la solution dans une fiole
jaugée de 200mL ?
A 𝑉 = 65,8 µ𝑙
B 𝑉 = 0,2 L
C 𝑉 = 75,5 µ𝑙
D 𝑉 = 0,3 L
L’avancement final de la réaction est :
A 𝑥𝑓 = 1,26. 10−3
B 𝑥𝑓 = 1,26. 10−4
C 𝑥𝑓 = 1,26. 10−9
D 𝑥𝑓 = 1,26. 10−6
24
Version Française
Le taux d’avancement de la réaction est :
A 𝜏 = 0,23
B 𝜏 = 0,435
C 𝜏 = 0,158
D 𝜏 = 0,126
Déduire la valeur pKA du couple HCOOH/HCOO- :
A 𝑝𝐾𝐴 = 4,5
B 𝑝𝐾𝐴 = 9,8
C 𝑝𝐾𝐴 = 3,74
D 𝑝𝐾𝐴 = 7,2
Transformations non totales d’un système :
A Toute réaction limitée se fait dans les deux sens

B A l’état d’équilibre des quantités de matière des réactifs et produits sont égales
A l’état d’équilibre les vitesses d’évolution dans le sens direct et dans le sens inverse
C
sont nulles
D Le taux d’avancement final d’une réaction limitée diminue avec la dilution
E Le taux d’avancement final est toujours constant
Cinétique chimique :
A La vitesse d’une réaction augmente généralement avec le temps

La vitesse de la réaction est d’autant plus grande que la concentration des produits est
B
plus grande
C La vitesse de la réaction est d’autant plus grande que la température est plus élevée
Le temps de demi-réaction t1/2 d’un système chimique est la moitié de la durée tf de la
D
réaction
E La vitesse d’une réaction diminue avec la diminution de la température
25
Version Française
L’ELECTROLYSE
L’électrolyse du cuivre consiste dans un cas à déposer une fine couche d’étain sur toute
la surface du récipient. Ce procédé est appelé étamage. L’électrolyte est constitué de sulfate
d’étain Sn2+ (aq) + SO42-(aq) et de différents additifs.
Le récipient à étamer constitue une électrode, l’autre étant de l’étain Sn(s) pur.
Données :
Masse molaire de l’étain : M(Sn)
Constante de Faraday : F
Le couple : Sn2+(aq) / Sn(s)
L’intensité du courant électrique I est maintenue constante pendant toute la durée ∆t de
l’électrolyse.
La durée de l’électrolyse peut être exprimée par la relation :

4. 𝑚(𝑆𝑛). 𝐹
A ∆t =
𝐼
2𝑀(𝑆𝑛)
B ∆t =
𝐼. 𝐹
2. 𝑚(𝑆𝑛). 𝐹
C ∆t =
𝐼. 𝑀(𝑆𝑛)
4. 𝑚(𝑆𝑛). 𝐹
D ∆t =
𝐼. 𝑀(𝑆𝑛)
𝑀(𝑆𝑛)
E ∆t =
𝐼. 𝐹
Etude de l’hydrolyse d’un ester en un milieu basique

Une pile est constituée de deux compartiments séparés par un électrolyte acide, jouant
le rôle d’un point ionique et deux électrodes A et B
La pile est alimentée au cours du fonctionnement par le méthanol liquide et du dioxygène
gazeux
Données :
Constante de Faraday : F = 96 485, 3321 C/mol
Masse volumique du méthanol liquide : 𝛒 = 𝟎, 𝟕𝟖 𝐠/𝐜𝐦𝟑
Masse molaire du méthanol : 𝐌 = 𝟑𝟖 𝐠/𝐦𝐨𝐥
Les couples intervenants dans la transformation : O2(g) / H2O(aq) et CO2(g) / CH3OH(aq)
La pile alimente le circuit extérieur par un courant d’intensité I = 45mA constante durant
𝚫𝐭 = 𝟏𝐡𝟑𝟎𝐦𝐢𝐧
26
Version Française
La quantité d’électricité Q s’écrit sous la forme :

6𝐹
A Q=
Δt. I
6𝐼
B Q=
F. Δt
𝐼. Δt
C Q=
6𝐹
𝐹. Δt
D Q=
6F
Le volume V du méthanol consommé durant Δt est :
A 𝑉 = 0,17 cm3
B 𝑉 = 23 cm3
C 𝑉 = 0,17 mm3
D 𝑉 = 23 mm3
E 𝑉 = 2,3 cm3
Acide formique en solution aqueuse :

L’acide méthanoïque, appelé plus couramment acide formique, est un acide sécrété par
les fournis. On mesure le pH d’une solution aqueuse d’acide formique HCOOH(aq) de
concentration C=1.10-2 mol.L-1 . le pH-mètre indique la valeur 2,9
Données :
10-0,9 =0,13
Le pourcentage p(HCOOH) de l’acide dans la solution préparée vaut :
A 𝑝(𝐻𝐶𝑂𝑂𝐻) = 10%
B 𝑝(𝐻𝐶𝑂𝑂𝐻) = 52%
C 𝑝(𝐻𝐶𝑂𝑂𝐻) = 13%
D 𝑝(𝐻𝐶𝑂𝑂𝐻) = 78%
E 𝑝(𝐻𝐶𝑂𝑂𝐻) = 87%
27
Version Française
Enoncé :
Des préparations contenant de l’acide glycolique sont utilisées en dermatologie. Elles
permettent de débarrasser la peau des cellules mortes et stimulent le renouvellement cellulaire
afin de faire une peau neuve. On dilue 50 fois une solution S0 d’acide glycolique de
concentration massique C0=1,52 g.L-1, On obtient une solution S de pH=3,65
Données :
M(HOCH2CO2H) = 76 g.mol-1
10-0,65 = 0,22
𝟕𝟔𝟎
=5
𝟏𝟓𝟐
Le taux d’avancement final τ de la réaction dans la solution S vaut :
A 𝜏 = 55%
B 𝜏 = 7,4%
C 𝜏 = 74%
D 𝜏 = 5,5%
E 𝜏 = 40%
LES TRANSFORMATIONS INCOMPLETES DES SYSTEMES CHIMIQUES :

On considère une solution acquise S d’acide éthanoïque de concentration molaire
C=10-2 mol.L-1.
La concentration des ions oxonium dans S vaut : [H3O+] = 4.10-4 mol.L-1
Données :
𝟏
= 1,7.10-1 ; 𝝀(H3O+)= 35 mS.m2.mol-1 ; 𝝀(CH3COO-)= 4 mS.m2.mol-1
𝟔
La valeur de la constante d’acidité du couple CH3COOH/CH3COO- vaut
A 𝐾𝐴 = 1,7. 10−1
B 𝐾𝐴 = 1,7
C 𝐾𝐴 = 1,7. 10−5
D 𝐾𝐴 = 9. 10−2
28
Version Française
L’expression du taux d’avancement final de la réaction d’acide

éthanoïque avec l’eau :
C
A τ=
pH
10−pH
1
B 𝜏=
C
C
C 𝜏=
10 − pH
10pH
1
D 𝜏=
C
pH
E 𝜏=
C
L’expression de la constante d’acidité du couple est :
C
A 𝐾𝐴 =
τ
C. τ
B 𝐾𝐴 =
1−τ
C. τ
C 𝐾𝐴 =
1−τ
C. τ
D 𝐾𝐴 =
1 − τ2
C. τ2
E 𝐾𝐴 =
1−τ
29
Version Française
Mathématiques

On considère la suite numérique (Un) n∈ℕ* définie par :
U0=1
n
Un= 7 + (-1)n+1 (∀n∈ℕ)
𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = ?
𝒏→+∞
A 1
B +∞
C -∞
D -2
E 0

Soit :
𝜋
S1= ∑9𝑛=0 sin(𝑘 5 ) (∀n∈ℕ)
𝜋
S2= ∑9𝑛=0 cos(𝑘 5 )
A S1=1 et S2=1
B S1=0 et S2=1
C S1=1 et S2=0
D S1=0 et S2=0
E Toutes les réponses sont fausses
30
𝟐√𝟑
L’écriture géométrique du nombre complexe z = 𝟐 + 𝒊
𝟑
4√3 𝜋
A [ , ]
2 3
4√3 𝜋
B [ , ]
2 6
4 𝜋
C [ , ]
√3 4
16 𝜋
D [ , ]
3 6
2√3 𝜋
E [ , ]
3 3
Enoncé pour les questions 64 et 65 :

On considère dans l’ensemble ℂ l’équation Z3+(2-i)Z2+(i+1)Z+6i+2=0
L’équation admet une solution le nombre réel :
A Z1= 2
B Z1= 1
C Z1= -2
D Z1= -1
E Z1= 0
L’équation admet les solutions complexes :
A Z2= i-1 , Z3= i+1

B Z2= -i+2 , Z3= i+2
C Z2= 2i-1 , Z3= i+1
D Z2= 2i-2 , Z3= i+2
Version Française
Dans le plan complexe rapporté à un repaire orthonormé, l’ensemble

des points M d’affixe z tel que (1-z)(i+𝒛̅) est un nombre réel est :
A Demi droite
B Droite
C Cercle
D Demi-cercle
E {0}
𝒙−𝟐
L’ensemble de définition de la fonction f définie par 𝒇(𝒙) = est :
𝒍𝒏(𝒙+𝟏)
A ]−1, +∞[
B ]0,2[ ∪ ]2, +∞[
C ]−1,0[ ∪ ]0, +∞[
D ℝ*
E ]0, +∞[
𝒆𝒙 −𝒍𝒏𝒙
𝐥𝐢𝐦 𝟑 =?:
𝒙→+∞ √𝒙−𝒙𝟑
A 0
B +∞
C 1
D -∞
32
Version Française

𝟏
On considère 𝑳 = ∑𝒏+𝟏
𝒌=𝟐 𝟑𝒌 𝐧 ∈ ℕ
𝐥𝐢𝐦 𝑳 = ? :
𝒏→+∞
A 1
B +∞
1
C
6
1
D
9
1
E
3
𝒆 (𝒍𝒏√𝒙)𝟐
La valeur de l’intégrale 𝑰 = ∫𝟐 𝒅𝒙
𝒙
1
A (1 + (𝑙𝑛2)3
12
1
B (1 − (𝑙𝑛2)3
12
C 1 + (𝑙𝑛2)3
D 1 − (𝑙𝑛2)3
1 1
E (1 + (𝑙𝑛2)2
12 3
𝟏
𝐥𝐢𝐦 (𝟏 + )𝒙 = ? :
𝒙→+∞ 𝒙
A 1
B 0
C N′ existe pas
D +∞
E 𝑒
33
Version Française

𝒏 𝒏 𝒏
Soit Un = + + ⋯+ (∀n∈ℕ*)
𝒏𝟐 +𝟏 𝒏𝟐 +𝟐 𝒏𝟐 +𝒏
𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = ? :
𝒏→+∞
A 0
B +∞
1
C
2
D 1
L’ensemble de solutions de l’inéquation 𝟏𝟎𝟐𝒙 − 𝟑 × 𝟏𝟎𝒙 − 𝟒 > 𝟎 :

𝑙𝑛2
A 𝑆 = ]0, ]
𝑙𝑛10
𝑙𝑛10
B 𝑆 = ]0, ]
𝑙𝑛2
𝑙𝑛10
C 𝑆=[ , +∞[
𝑙𝑛2
𝑙𝑛2
D 𝑆=[ , +∞[
𝑙𝑛10
𝑙𝑛4
E 𝑆=] , +∞[
𝑙𝑛10
𝟐𝒙𝟐 −𝟑𝒙+𝒍𝒏𝒙
La courbe représentative de f définie par 𝒇(𝒙) = met une
𝒙
asymptote au voisinage de +∞, la droite d’équation :
A 𝑦 = 2𝑥 − 3
B 𝑦 = −2𝑥 + 3
C 𝑦 = 2𝑥
D 𝑦 = 2𝑥 + 2
E 𝑦 = −2𝑥 − 3
34
Version Française
(𝒙−𝟏)𝟐
Soit la fonction f définie sur [1, +∞ [ par 𝒇(𝒙) =
𝒙
La valeur de f-1(1) est :
A 1
3 − √5
B
2
3 + √7
C
2
3 + √5
D
2
E 3
𝑒𝑘
Soit : 𝑆𝑛 = ln(∑𝑛
𝑘=0 ) (𝑛 ∈ ℕ)
3𝑘+1
𝐥𝐢𝐦 𝐒𝒏 = ? :
𝒏→+∞
A ln(3)
B −∞
C ln(𝑒)
D +∞
E −ln(3 − 𝑒)
35
Version Française
𝟏
𝐥𝐢𝐦 (√𝒏𝟐 +𝒏+ 𝟏 −√𝒏𝟐 −𝒏+𝟏+ 𝒏𝟐 )𝒏 = ?:
𝒏→+∞
A −2
B +∞
C −3
D 0
E 1
On considère la fonction R définie par :

1 𝑥 2
𝑅(𝑥) = ∫ 𝑒 𝑡 𝑑𝑡 (Ɐx∈ℝ)
𝑥−1 1
𝐥𝐢𝐦 𝑹(𝒙) = ? :
𝒙→𝟏
1
A
𝑒2
1
B
e
C N’existe pas
D +∞
E 0
𝟏
𝒙+𝒙𝒍𝒏(𝟏+ )
𝐥𝐢𝐦 𝒆 𝒙 = ?:
𝒙→+∞
A 1
B N’existe pas
C 0
D −1
E +∞
36
Version Française
Soit la fonction h définie par :

𝒉(𝟏) = 𝒂
𝒔𝒊𝒏𝒙
𝒉(𝒙) = 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒙 ≠ 𝟏
𝒙−𝟏
La valeur de a pour que la fonction h soit continue est :
A −𝜋
B 𝜋
C √2
𝜋
D
2
1
E
2
37

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2022

CONCOURS BLANC D’ACCÈS AUX

Choisir la bonne réponse :

Concernant la chaîne respiratoire mitochondriale :

Concernant le muscle strié :

Concernant les mutations génétiques :

D Les mutations ne sont jamais carcinogènes.

E Une mutation spontanée est un événement rare à l’échelle cellulaire.

Dans le cadre de diagnostic prénatal des maladies génétiques, toutes ces

E ADN fœtal libre en circulation dans le sang maternel

Concernant la réplication de l’ADN, cochez la bonne réponse :

A Se fait au cours de la phase S du cycle cellulaire

B Le brin tardif est synthétisé de façon discontinue

C Se fait selon un modèle semi-conservatif.

D Fait intervenir la transcriptase inverse.

Parmi ces formules chromosomiques, laquelle correspond à un fœtus

La mitose animale se distingue de la mitose végétale par :

A Elle se déroule en 4 phases.

B Forme deux cellules identiques.

C Assure le maintien de l’information génétique.

D La séparation des deux cellules se fait par étranglement équatoriale.

Lors de la transmission de deux gènes indépendants :

E 100% de F2 présentent un nouveau phénotype.

Enoncé commun aux questions 11, 12 et 13 :

D’après l’arbre généalogique, quel est le mode de transmission ?

A Transmission récessive liée à l'X

B Transmission dominante liée à X

C Transmission autosomique dominante

D Transmission autosomique récessive

E Transmission liée au chromosome Y

En analysant l’arbre généalogique de cette famille, choisissez la bonne

E Toutes les propositions sont fausses.

M. et Mme D. (individus III 4 et III 5) attendent un 4ème enfant (IV 4).

A partir du caryotype, cochez la bonne réponse :

Enoncé pour la question 14 :

L’ordre des étapes de la division méiotique est le suivant :

Une femme phénylcétonurique sous traitement, épouse un homme

Enoncé pour la question 16 :

Génotype Nombre d’individus

Quel est le pourcentage des individus présentant le caractère dominant à

Enoncé commun aux questions 18, 19 et 20 :

Chez la drosophile, les caractères « couleur du corps » et « longueur des ailes »

Document 2 : Schéma d'un premier croisement.

Document 3 : Schéma d'un second croisement (croisement test)

Le premier croisement « DOCUMENT 2 » permet de conclure que :

Les drosophiles obtenues en F1 sont :

A Homozygotes pour les deux gènes considérés.

B Hétérozygotes pour les deux gènes considérés.

D’après le second croisement « DOCUMENT 3 », les propositions des

A Un brassage génétique interchromosomique lors des méioses parentales.

En passant de l’eau dans le verre, un faisceau de lumière jaune se

A Sa longueur d’onde ne change pas.

Enoncé pour la question 22 :

Si on analyse le mouvement des points C et D, on peut affirmer que le

A Déphasé de 0 radian par rapport à celui du point D

E Aucune proposition n’est juste

Enoncé pour la question 23 et 24 :

A Le faisceau incident se dévie après sa réfraction au point I.

Choisissez la bonne réponse :

A La longueur d’onde du faisceau dans le prisme est 656,3 nm

Enoncé pour la question 25 :

Déterminer la fréquence f des ultrasons émis :

Enoncé pour la question 26 :