Vous êtes sur la page 1sur 10

Les égrégores (1ere partie)

Les trois centres

L'être humain est constitué de trois centres principaux ou «moteurs énergétiques». Grâce à ces trois
centres, le corps humain capte et transforme l’énergie du cosmos.

Le premier centre est celui du bassin, celui de l’énergie vitale fondamentale. Il constitue le moteur de
l’action sur le plan physique, ainsi que le centre de l’instinct de conservation (alimentation, protection-
sécurité) et de l’instinct de reproduction. Il est relié au plan subtil inférieur, le plan instinctif. Il capte
l’énergie provenant de ce plan énergétique.

Le second centre est celui du cœur. C’est le centre des désirs, des émotions, des sentiments et de la
dévotion. Il est relié au plan intermédiaire, émotionnel ou astral. Sur ce plan, il capte une énergie plus
raffinée et de plus haute fréquence.

Le troisième centre est celui de la tête. Il capte une énergie supérieure qu’il transforme soit en
électricité pour transmettre ses ordres via le système nerveux, soit en énergie psychique pour produire
la pensée.

Nous sommes reliés à ces trois plans énergétiques subtils et notre conscience passe d’un plan à l’autre
en fonction du type d’expérience que nous vivons.

Ces plans subtils sont une réalité. Ils sont notre réalité. Ils sont les dimensions sur lesquelles nous
existons, mais également les dimensions sur lesquelles nous construisons, le plus souvent sans le savoir.

En effet, notre activité, qu’elle soit instinctive, émotionnelle ou psychique, a des effets durables sur les
dimensions subtiles.

La construction d’un égrégore

Par notre activité nous créons tous, individuellement, des objets subtils, tout aussi réels que les objets
matériels, des objets que les clairvoyants peuvent observer et que toute personne sensible peut capter
et ressentir.
Par la répétition d’un désir, d’un sentiment ou d’une pensée, nous pouvons même donner vie à une
entité énergétique autonome et auto-conservatrice.

Une telle entité subtile qui naît de la répétition d’une activité, quelle que soit la nature de cette activité
(instinctive, émotionnelle ou mentale), est ce que l’on appelle un golem.

Le sentiment amoureux donne vie à un golem. Les tics et les tocs (troubles obsessionnels compulsifs)
constituent un trait psychiatrique des effets d’un golem. La consommation de cigarettes produit
également un golem.

Un golem peut être formé par l’activité d’un groupe de personnes, auquel cas on parle d’un égrégore.

Les égrégores ne sont rien d’autre que des golems collectifs.

On peut considérer les égrégores comme des créatures énergétiques artificielles produites par la
pensée, le désir ou la volonté unifiée d’un groupe d’individus, dynamisés et vivifiés par des rites – voire
des sacrifices, et qui acquièrent une puissance d’action occulte.

Pour qu’un égrégore se crée, le groupe de personnes doit avoir une volonté unifiée, un objectif
commun, un même but, qui peut aller du plus futile au plus élevé. Par exemple, une famille, un club de
foot, une association humanitaire ou un parti politique sont associés à des égrégores particuliers.

Hiérarchie des égrégores

Les égrégores s’organisent et se hiérarchisent sur trois niveaux qui dépendent du centre énergétique
auquel ils s’alimentent.

Le premier niveau est celui du plan instinctif. À ce niveau, les égrégores se nourrissent de l’énergie
instinctive, principalement celle de l’instinct de conservation et de protection, ainsi que celle de l’instinct
de reproduction.
À ce premier niveau correspondent les égrégores familiaux, des discothèques, des clubs de foot, etc. Ces
égrégores disposent d’une puissance d’action occulte réelle mais limitée.

Le deuxième niveau est celui du plan intermédiaire ou émotionnel, où sont apparus différents types
d’égrégores, dont les égrégores humanitaires et religieux.

Leur survie repose sur le détournement de l’énergie dévotionnelle. Alors que le centre énergétique du
cœur doit normalement insuffler le désir d’élévation, les égrégores situés sur le plan émotionnel
cherchent au contraire à rabaisser la personne et à la rendre passive.

La puissance d’un égrégore dépend de la somme d’énergie des membres qui l’ont produit.

On comprend facilement que, du fait de la quantité d’énergie qu’il est capable de recueillir chaque jour,
un égrégore religieux dispose d’une puissance d’action occulte considérable.

Lorsqu’on compare l’égrégore d’un club de foot, à celui de l’Église Catholique, qui focalise la ferveur
d’un milliard deux cents millions de fidèles ou encore à l’Islam qui réunit un milliard six cents millions de
musulmans, on imagine aisément la supériorité, en termes de puissance occulte, des égrégores religieux
sur les égrégores instinctifs.

Cette puissance permet aux religions de procurer à la personne un intense sentiment de sécurité, un
sentiment de fusion avec la communauté des croyants, un sentiment de puissance.

Ces égrégores peuvent produire des guérisons spectaculaires, des «miracles» qui s’expliquent
parfaitement du point de vue énergétique ou occulte. Ces égrégores religieux, de fréquence
intermédiaire, peuvent vivre plusieurs millénaires.

Le troisième niveau est celui du plan psychique ou intellectuel. Ce plan est principalement composé des
égrégores de type idéologique et magique, tels que l’égrégore des Jésuites.

Les Jésuites ont progressivement développé des rituels magiques dans le but de renforcer leur pouvoir
occulte sur l’Église. Par leur grande connaissance des forces occultes, ils se sont progressivement élevés
au-dessus des égrégores religieux.
Ces égrégores situés sur le plan psychique sont d’une si haute fréquence qu’ils sont capables de
produire des effets occultes puissants. Ce sont eux qui dominent la hiérarchie occulte.

Conclusion

Nous savons maintenant pourquoi et comment apparaissent les égrégores, comment ils s’organisent sur
les plans subtils, et quelle puissance occulte ils peuvent acquérir.

Pour comprendre comment s’en libérer, il nous reste à découvrir comment, concrètement, les égrégores
se nourrissent et renforcent ainsi leur emprise sur nos trois centres énergétiques. C’est ce que nous
découvrirons dans la 2e partie de cette publication.

Partie 2

2ème partie – Les différents types de rituels

Dans la première partie de cet article, nous avons vu que l’être humain est constitué de trois centres
énergétiques reliés à trois plans subtils : le plan instinctif, le plan émotionnel et le plan psychique. Nous
existons et nous construisons sur ces trois plans subtils. Nous créons par notre activité énergétique
(instinctive, émotionnelle ou psychique) des objets subtils qui deviennent des entités énergétiques
autonomes (golems) lorsque l’activité est répétitive. Ces golems, lorsqu’ils sont collectifs (créés par un
groupe de personnes), deviennent des égrégores. La puissance d’action occulte de ces égrégores
dépend de la qualité et de la quantité d’énergie qui leur est transférée.

Les égrégores sont ce qui constitue l’au-delà, plus que tout autre élément.

Nous devons donc en saisir parfaitement le fonctionnement si nous voulons appréhender sans erreur
notre réalité subtile et nous libérer de toute influence ou manipulation occulte. Nous allons maintenant
découvrir comment se nourrit un égrégore, et comment il utilise l’énergie de l’un ou l’autre des trois
centres moteurs humains.

C’est à travers les rituels que l’énergie est transférée vers l’égrégore. Chaque type d’égrégore se nourrit
d’une manière spécifique, par un rituel approprié.
Sur le plan instinctif, les égrégores sont nourris par des rituels peu structurés : cérémonies familiales
(offrandes, libations, protocoles, etc.), football (inventé par une société secrète anglaise qui a laissé sa
signature à travers différents symboles apparaissant dans les matchs), émissions de télévision, etc.

Sur le plan émotionnel, le rituel le plus efficace est celui de la messe. Il s’agit d’un rituel très structuré,
peu exigeant pour les participants qui fournissent l’énergie, mais très exigeant pour les officiants qui
canalisent l’énergie avant de la transmettre. La messe utilise l’énergie issue du bassin et du cœur des
fidèles.

Sur le plan psychique entre en jeu un rituel particulier, très structuré, parfaitement codifié et intégrant
de puissants symboles. Tous les participants sont sélectionnés, formés et initiés. Il s’agit d’un rituel total
qui implique l’énergie issue du bassin, du cœur et de la tête. En intégrant des symboles incompris ou
mal compris, ce type de rituel place la personne sous une emprise occulte, à tous les plans de son être.

Toutefois, malgré l’utilisation de rituels adaptés, les égrégores ont du mal à s’octroyer toute l’énergie
dont ils ont besoin.

Ces créatures énergétiques autonomes deviennent voraces.

Il en découle une guerre des égrégores, qui luttent pour trouver de plus grandes sources d’énergie. Les
missionnaires catholiques sont une illustration de ce combat pour la survie. Une autre possibilité pour
accroître l’alimentation énergétique de l’égrégore consiste à augmenter la fréquence des rituels (les
repas), ce qui cependant n’est matériellement pas toujours possible.

Le rite de sang

La solution la plus efficace qui permet d’accroître l’intensité du rituel (et donc du transfert énergétique)
est celle du rite de sang.

Le sang est le liquide physiologique qui concentre l’énergie des trois centres : la puissance psychique de
la tête, l’énergie pranique du cœur et la force karmique du bassin. On sait à quel point les guerriers sont
galvanisés lorsque le sang coule sur le champ de bataille.

Un exemple pertinent de rite de sang est celui du 11 septembre 2001 – en fait une grande messe
médiatique. On y retrouve tous les éléments propres au rituel : sacrifice de personnes (2 000 morts),
participation émotionnelle et dévotionnelle (au niveau planétaire), structuration de l’énergie captée par
de hauts initiés et utilisation de symboles puissants tels que le pentagramme (Pentagone) et les deux
colonnes du temple (les deux tours).

Il est certain que lorsque l’on choisit de médiatiser un meurtre parmi des milliers d’autres, c’est que ce
meurtre participe d’un rituel secret.

Outre les assassinats rituels, les rites de sang sont pratiqués ouvertement et régulièrement par le
judaïsme et l’Islam : l’abattage rituel kasher ou hallal et l’aïd (« fête » du mouton) en sont des exemples
connus.

Malgré l’exploitation maximale de toutes les sources d’énergie dont il peut disposer, l’égrégore reste
insatiable et accroit régulièrement sa pression sur les êtres auxquels il soutire son énergie. Beaucoup
cherchent alors à se soustraire de son emprise, ce qui est difficile.

Comment échapper à un égrégore ?

Entrer en contact avec un égrégore signifie établir un lien avec lui. En quelque sorte, la personne fait un
emprunt auprès de la banque de l’occulte et vit ainsi au-dessus de ses moyens énergétiques/karmiques
normaux, en « empruntant » divers plaisirs, du pouvoir, une guérison, etc.

Mais cet emprunt doit être remboursé, et parfois cela est impossible, même au prix de toute une vie
d’efforts. Le taux d’intérêt peut être exorbitant. Le pacte est de type mafieux et peu réussissent à s’y
soustraire.

Dans certains cas, on doit s’attendre à subir les représailles de l’égrégore, comme les su¬bissent les
personnes qui quittent l’Islam, ou celles ayant quitté l’Église et finissent sur le bûcher après de longues
tortures. Il en est de même pour les nations cherchant à se soustraire de l’égrégore planétaire, qui se
voient imposer la « démocratie » par les bombes.

La force de cohésion des égrégores repose sur la peur inconsciente des représailles qu’ils suscitent.

Inutile d’être juif ou témoin de Jéhovah, catholique ou musulman pour être sous l’emprise d’un
égrégore.
Nous sommes tous liés aux égrégores qui dominent l’au-delà, ce en participant inconsciemment à toutes
sortes de rituels : médiatiques, politiques (élections, etc.), économiques (travail, consommation, etc.),
sociaux, familiaux, scolaires, administratifs, etc.

De la naissance à la mort, nous sommes totalement sous contrôle des égrégores.

Cette emprise perdure et ne prend fin que si l’on parvient à libérer et maîtriser nos trois moteurs
énergétiques principaux (tête, cœur et bassin), ce que l’on ne peut faire que de notre vivant.

Après la mort

Lorsqu’un membre d’un groupe structuré (donc relié à un égrégore) vient à mourir, que son être
multidimensionnel dépose son corps matériel, la volatilisation de la personnalité et la dissolution des
éléments subtils devraient normalement avoir lieu. Néanmoins, ce processus peut être retardé, voire
totalement interrompu, car une grande quantité d’énergie issue du plan physique nourrit les restes de la
personnalité, au point que celle-ci ne peut être anéantie.

Cette survie artificielle et parasitaire de la personnalité dans l’au-delà est la contrepartie qui rend le
pacte occulte intéressant pour des êtres foncièrement égocentriques ayant toujours refusé d’affronter
la question existentielle de la mort.

En définitive, si nous n’avons conclu aucun contrat occulte important durant la vie, c’est notre égrégore
religieux de naissance qui nous accueillera, après la mort, pour nous offrir encore quelques belles
années de survie parasitaire, faisant de nous des vampires de l’au-delà qui influencent les désirs des
vivants pour les inciter à fournir de l’énergie à leur égrégore, la structure énergétique dans laquelle ils se
sont désincarnés.

L’au-delà est parfaitement structuré par ce système hiérarchique d’égrégores qui constitue une sorte de
reflet du monde physique. Chaque action survenant sur le plan physique a ses effets sur les plans subtils
car chaque groupe humain est associé à un ou plusieurs égrégores.

Au sommet de la hiérarchie des égrégores trônent des puissances que la tradition gnostique a
longtemps gardé secrètes, n’en divulguant l’existence qu’au sein des Ecoles des Mystères pour ne pas
attirer les foudres des autorités religieuses.
Ce sont ces puissances égrégoriques suprêmes appelées les Éons qu’il nous restera à découvrir dans le
prochain numéro d’Abraxas…

Partie 3

Les égrégores – 3ème partie

Les éons, égrégores suprêmes

Dans les deux premières parties (1 et 2) de cet article, nous avons vu que l’être humain est constitué de
trois centres énergétiques reliés au trois plans subtils; que par notre activité énergétique (instinctive,
émotionnelle ou mentale), nous créons des égrégores sur ces différents plans; enfin, que c’est à travers
le rituel que les égrégores puisent leur énergie. Nous allons maintenant nous intéresser aux égrégores
les plus importants: les éons.

Les égrégores constituent la pierre de fondation de l’au-delà et donnent forme à un édifice subtil
parfaitement structuré. Toute structure visible ayant son reflet dans le monde invisible, l’au-delà est
tout aussi bien organisé que notre réalité physique et le hasard n’y a aucune place.

Au sommet de la hiérarchie des égrégores trônent des puissances que la tradition gnostique a
longtemps gardées secrètes, n’en divulguant l’existence qu’au sein des écoles des Mystères pour ne pas
s’attirer les foudres des autorités religieuses.

On appelle ces puissances égrégoriques des «éons», du grec aion qui signifie «temps», «éternité» ou
«très longue période de temps», car leur durée de vie dépasse largement celle d’un simple égrégore.

Les initiés décrivent les éons comme des formations énergétiques colossales engendrées au cours des
âges par les pensées, les sentiments et les passions égocentriques de l’humanité. Ces puissances
titanesques sont, à l’instar des égrégores, des puissances auto-conservatrices qui tiennent les hommes
sous leur emprise et les poussent à l’égocentrisme.

Les éons se distinguent surtout des autres égrégores par le degré d’autonomie qu’ils ont atteint, étant
devenus quasiment immortels.
Comme toute entité énergétique parasitaire, ils sont voraces et demandent à être nourris en
permanence. Parce qu’ils ne tirent leur nourriture que de l’activité égocentrique de l’humanité
(intellectuelle, émotionnelle, sexuelle…), ils poussent par tous les moyens les hommes vers la voie de
l’égocentrisme.

À notre époque qui est celle de l’Âge noir, les éons ont acquis une telle puissance que, même si
l’humanité entière mettait fin à ses activités égocentriques, ils pourraient se passer de nourriture
pendant des siècles avant de disparaître. Ils seraient alors amenés à dévorer la hiérarchie des égrégores
intermédiaires, telle une mère qui se nourrirait de ses enfants. Ceci peut arriver lorsque le système
occulte subit une crise énergétique (chute d’une civilisation majeure, changement de religion
dominante, etc.)

Au vu de la nature occulte de l’emprise dans laquelle se trouve l’humanité, nous venons d’évoquer une
hypothèse purement théorique. Cette emprise ne laisse à l’homme aucune chance d’opérer un
changement d’orientation spirituelle radical – au contraire, elle le fait sombrer chaque jour davantage
dans l’égocentrisme et le matérialisme.

À un autre niveau, où ils sont comme personnifiés, les éons sont appelés les souverains hiérarchiques de
l’espace-temps. Ces êtres qui nous gouvernent sont les douze princes de l’au-delà, émanés de
l’humanité déchue dont ils sont le sombre reflet.

Les éons ont mis en place un système d’exploitation et d’emprisonnement qui repose sur la
vampirisation de l’énergie des hommes et des forces de la nature. Ce système de vampirisation, dans
lequel l’énergie soutirée remonte d’un niveau hiérarchique à l’autre jusqu’aux éons, est contraire aux
lois naturelles, en vertu desquelles l’énergie doit descendre (la mère nourrit son enfant pour le rendre
autonome, et non le contraire). Cette liberté que se sont octroyés les éons induit la chute de l’humanité
dans la souffrance et l’inconscience.

Eliphas Levi, grand maître de l’occultisme, voit dans les égrégores des dieux.

Cette croyance est légitime du point de vue des occultistes. On notera d’ailleurs que l’au-delà est
constitué de trois plans qui peuvent être perçus comme des centres énergétiques, à l’image des trois
centres spirituels de l’être humain. Au sommet de cette pyramide occulte règnent les douze éons, qui
sont comme les douze paires de nerfs crâniens trônant au sommet de notre système nerveux directeur
et dirigeant l’ensemble de notre système énergétique. Analogiquement, il existe donc dans l’au-delà une
entité gigantesque, cosmique, qui est à l’image de l’être humain.
S’il n’existait que le monde manifesté, constitué du monde physique et de l’au-delà, alors Eliphas Levi
aurait entièrement raison. Les égrégores seraient une myriade de dieux jaloux commandant aux êtres
humains et se menant une guerre sans merci pour accroître leur vol énergétique. Mais celui qui connaît
la véritable nature de ce monde illusoire, qui est à la fois d’ordre physique et subtil, sait que ni les
égrégores ni les éons ne sont de véritables dieux. Ensemble, ils forment cette entité toute puissante que
les religions appellent le «Bon Dieu», Jéhovah ou Allah, mais dans laquelle les gnostiques voient le
Démiurge.

N’étant pas reliés aux égrégores de l’au-delà, les êtres conscients, réellement dévoués à leur divinité
intérieure, ont établi un lien avec les dimensions divines, ils n’alimentent donc les éons en aucune
manière.

Si aujourd’hui l’humanité tout entière n’a aucune possibilité d’échapper à l’emprise des éons, il existe
malgré tout une possibilité de libération. Par la connaissance de soi, de l’univers et des dieux, et surtout
en opérant une véritable transformation intérieure, nous pouvons inverser notre système énergétique,
cesser d’alimenter les puissances occultes parasitaires et nous relier à des puissances supérieures qui,
elles, n’ont qu’un désir : nous ramener à notre état originel d’immortels.

Voici ce qu’ont toujours défendu, à travers les âges, les écoles des Mystères, les fraternités initiatiques
et la véritable Franc-Maçonnerie spirituelle.

Vous aimerez peut-être aussi