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Choix du lieu d’étude 

:
De prime abord, le choix de la région n’est pas par coïncidence ou bien du hasard
mais surtout pour les différentes raisons qui suivent. D’abord, il s’agit de nos villes
de résidence pour moi et bien mon binôme, c’est une évidence alors que les
différents prospects de l’inspection seront plus simples à mener et moins
compliquer pour aller chercher l’information parce que nous parlons d’une zone
géographique que nous connaissons bien et que nous fréquentons assez souvent.

D’une autre part, et comme mentionné, ci-dessous, puisque nous traitons une
province que nous connaissons mieux les résultats seront plus parlants ainsi que
l’explication et la connexion des données résultants avec les circonstances qui
peuvent en être la cause sera plus précise et moins compliquée à réaliser.
Présentation de la problématique :
Cette étude mettra en cause de manière spécifique l’impact direct de l’épidémie
sur les moyens de transport et nous permettra de mettre la lumière sur les
solutions proposées et par les autorités et par les individus pour faire face à cette
problématique. Par ailleurs, elle (l’étude) nous permettra aussi de faire une
ouverture plus générale dans le cas où cette problématique se reproduisent dans
un cadre autre que la pandémie et comment bien cerner les enjeux du transport
dans une dimension régionale et nationale par la suite.
Hypothèses de recherche :
L’hypothèse 1 :
Due à la crise sanitaire, on suppose que les nombres de personnes qui avaient
l’habitude de se déplacer, d’un lien à un autre en utilisant n’importe quel moyen
de transport, va diminuer. Autrement dit la fréquence sera impactée.

DIMINUTION DE NOMBRE DES PASSAGERS


Influence négativement le secteur Transport
L’hypothèse 2 :
Aussi que, on ne peut pas ignorer l’arrêt brutal des activités qui a menacé le
secteur Transport, dues aux restrictions de déplacement décrétées par les
autorités, on suppose que les tarifs du transport public vont s’élever.

LE MAROC EN ARRÊT
Arrêt non prévu dans le secteur Transport
L’hypothèse 3 :
D’une autre part, suite aux règles sanitaires retenues visent à assurer la sécurité
sanitaire et la prévention de la propagation du virus, les moyens de transport
public sont contraints de ne transporter que la moitié des passagers, la chose qui
va impacter l’unité de temps chez les opérateurs et les utilisateurs des moyens de
transport.

50% SERA LA CAPACITÉ AUTORISÉE


Règles sanitaires non-plaisantes
Méthodologie de travail :
Notre objectif de ce type d’étude est d’aller plus loin dans l’analyse et la
compréhension de ce nouveau phénomène qui se traduit par l’impact de la
propagation du covid 19 sur le secteur du Transport : Cas du trajet Sidi Slimane -
Kenitra, afin de trouver une réponse aux questions et de confirmer ou infirmer nos
hypothèses de recherches.
Chapitre 3 : Enquête sur l’impact de Covid-19 sur le
transport 
Pour se rendre de Sidi Slimane à Kenitra, il y a 3 moyens de transport pour le faire
tout en prenant en considération les acteurs qui influence le choix d’utilisateur
d’un moyen et non pas l’autre, comme montrant le tableau suivant :

Distance Durée Disponibilité

Taxi 64.03 km 57mins Moyenne

Covoiturage 64.03 km 1h05mins Moyenne

Train 60 km 40mins Forte

Le tableau ci-dessous présente les facteurs qui jouent un rôle très important,
disant nécessaire, pour les utilisateurs et même les opérateurs de Transport.

La distance : le trajet le plus court de Sidi Slimane et Kenitra est de 64.03 km pour
les grands taxis et le covoiturage, par ailleurs le trajet ferroviaire est le plus court
parmi les 3 moyens avec seulement 60 km de distance.

La durée : le temps de conduite est approximativement de 01h05mins pour le


covoiturage ce qui le met en dernier lieu, les grands taxis nécessites 57mins pour
arriver et finalement le train le moyen le plus rapide avec une durée qui varie
entre 40 et 45mins.

La disponibilité : le covoiturage est se situe avec une disponibilité moyenne vue


qu’il n y a pas d’organisation qui gère ce dernier ( à Sidi Slimane ) aussi les grands
taxis avec le même degré de disponibilité, voici comme vous connaissez la forte
disponibilité des trains se traduit par un train pour chaque heure faisait le trajet.
Analyse des résultats d’enquête :

L’utilisation des moyens de transport :

La nécessité d’avoir des réponses concernant l’utilisation des moyens de transport


est de mieux connaître s’il y a un changement pour comprendre à la suite ce fait.

L’effectif total des répondants est de 100 personnes.

La totalité des répondants utilisaient les moyens de transport avant la pandémie,


par contre, à cause d’arrêt total du secteur transport et tout le Maroc, la nécessité
d’avoir une autorisation pour se transporter et les mesures de sécurité
( distanciation sociale, 50% de capacité humaine, le port obligatoire des bavettes
… ) le nombre des utilisateurs a connu une diminution de 30%, durant la situation
actuelle, les utilisateurs utilisent les moyens de transport de presque le même
pourcentage en remarquant que 10% n’utilisent encore aucun moyen de transport
pour des raisons inconnues nous espérons de les connaître en suite.
La fréquence d’utilisation :

Un peu près de la question précédente, mais la raison principale de ce diagramme


est pour avoir une claire vision avec des chiffres approximatives mais réels.

Avant la pandémie, presque la moitié d’effectif utilisait les moyens de transport


chaque jour durant la semaine, l’autre moitié est divisée aux personnes qui les
utilisaient 3 fois par semaines et moins.

Durant la pandémie, une baisse intéressante au niveau des personnes qui


utilisaient les moyens de transport chaque jour le pourcentage diminue à 0%,
d’une autre part, une augmentation de 57% par rapport les utilisateurs
qu’utilisaient les moyens de transport 1 fois par semaine.
Actuellement, 71% d’effectif total sont de retour et utilisent les moyens de
transport chaque jour, suivi par une baisse au niveau des utilisateurs à fréquence
de 3 fois et moins dans la semaine.
Disponibilité des moyens de transport :

L’importance d’avoir des réponses à cette question va nous aider à bien connaître
le plus possible détail sans ignorer rien.

On remarque une disponibilité faible des moyens de transport durant la


pandémie, par contre qu’avant et actuellement une disponibilité disant suffisante
et forte.
Augmentation des tarifs :

Parmi les facteurs les plus impactés par la propagation du virus COVID-19, les
tarifs.

Avant la pandémie, avec l’offre Attalib pour se rendre de Sidi Slimane à Kenitra
avec le train les utilisateurs vont payer 50dh ( aller - retour ), pour les grands taxis
ils doivent payer 60dh ( aller - retour )

Durant la pandémie, une hausse non-plaisante de 30dh expliqué par plusieurs


règles on les voit prochainement, aussi pour les utilisateurs des trains hausse à
peine de 5dh.
Actuellement les prix ont diminué, si on les compare avec les prix qu’on avait
durant la pandémie, mais, une augmentation dite petite par rapport qu’avant la
pandémie.

Les tarifs pour les trains ont augmenté de 8% après la pandémie, suivi d’une
augmentation de 34% au niveau des prix des grands taxis.
Degré de satisfaction :

Parlant des facteurs importants qu’influence l’utilisation des gens certains moyens
de transport et non pas autres, on trouve la satisfaction.

Très satisfait Satisfait Insatisfait

Avant la pandémie 39 52 9

Durant la pandémie 7 4 89

Actuellement 31 54 15
Avant la pandémie, presque tout l’effectif est satisfait des services, ponctualité et
autres conditions des moyens de transport juste 9% des utilisateurs qui ne sont
pas satisfaits.

Durant la pandémie, une baisse intéressante au niveau de satisfaction se traduit


par 90% des utilisateurs non-satisfaits.

Actuellement, le degré de satisfaction à revenir vers les mêmes niveaux, avec un


pourcentage de 85%.
Analyse des résultats :

Analyse 1 :

Les résultats collectaient affirme la première hypothèse concernant la diminution


des nombres de personnes qu’avaient l’habitude d’utiliser les moyens de
transport en commun. Comme il était noté durant avant, le taux de diminution
s’élève à 17% d’effectif total des répondants, après la pandémie. Parmi ces
derniers, des personnes augmentaient leurs utilisations des moyens de transport à
chaque jour durant la semaine d’un taux élevé à 29%, après la pandémie. Ils
utilisent les moyens de transport plus qu’avant la crise sanitaire.

Analyse 2 :

Passant d’utilisation des moyens de transport à un facteur très important pour les
deux acteurs de ce secteur : les utilisateurs et les opérateurs/organisations, les
tarifs. Les moyens de transport ont connu des changements par rapport les tarifs,
78% des répondants avaient affirmé la même chose. Comme les graphs nous
montrent, les tarifs des trains ont connu un taux d'augmentation minime de 8% et
aussi les utilisateurs des grands taxis connaissent une augmentation eux-mêmes
de 20%, après la pandémie.

Pensant que ceux sont des augmentations faibles tellement remarquable, mais,
parlant des utilisateurs à une fréquence de chaque jour de la semaine faisait
vraiment une différence.
Analyse 3 :

Les moyens de transport et leurs disponibilités, une minime augmentation de 5%,


changeant les conditions et donnant une résilience aux moyens de transport
marocains, 100% des personnes interrogées avaient répondu que la disponibilité
des moyens de transport avait augmenté.
Conclusion :

Le gouvernement a décidé d'adopter une nouvelle approche préventive, basée sur


le "pass vaccinal", en tant que document agréé par les autorités sanitaires et ce à
travers une série de mesures, indique le communiqué du gouvernement.

Ces mesures se concentrent sur l'habilitation des personnes à passer es


déplacements en transport privé ou public entre les provinces à condition de
présenter le "pass vaccinal", ce "pass " est également obligatoire comme
document de voyage.

Les fonctionnaires, les employés et les usagers des administrations sont


également tenus de fournir le "pass vaccinal" pour accéder aux administrations
publiques, semi-publiques et privées, ajoute la même source, indiquant qu'il est
nécessaire de présenter ce "pass" pour accéder aussi aux restaurants, aux cafés,
aux espaces fermés, aux commerces, aux salles de sport et hammams.

Ceux-ci-dessus, nous confirme que le nombre des passagers / utilisateurs des


moyens de transport à diminuer après la relance du secteur de transport en
commun, face aux préoccupations des gens par rapport le vaccin, résulte un refus
de la vaccination donc ils n’ont pas le droit de se déplacer, automatiquement, un
nombre non-négligeable des utilisateurs arrêtaient d’utilisation des moyens de
transport public. On s’étale sur ces derniers informations, parlant de l’ONCF par
exemple : impose-il une limitation de la mobilité des personnes. Le secteur
ferroviaire n’a donc pas échappé aux impacts de la pandémie COVID-19 et bien
ressenti les effets.

"Ainsi, sur la période du 1er Janvier au 15 Mars 2020, le chiffre d’affaires de


l’activité Voyageurs avait connu une progression remarquable de +29% comparée
à la même période en 2019, avant de subir l’impact de la pandémie. Sur
l’ensemble de l’année 2020, le trafic global s’est établi à 21,1 Millions de
voyageurs avec un chiffre d’affaires de 803 Millions de Dirhams, en baisse de 52%
par rapport à 2019. Par ailleurs, le taux de régularité des trains voyageurs, tous
types confondus, était de 95% en amélioration de 3 pts par rapport à 2019".

Le nombre de voyageurs transportés durant le quatrième trimestre 2021 a atteint,


pour sa part, 9,6 millions, en hausse de 31% par rapport à la même période de
2020. Cette amélioration provient principalement de la reprise du trafic suite à la
levée des restrictions de déplacement décrétées par les autorités. Ceci indique
l’augmentation minime des prix des tarifs des moyens de transport.

Tout bien considéré, deux changements remarquables pour la situation


prépandémie et postpandémie. Affirmant 2/3 de notre hypothèse et infirmant
1/3, impact de COVID-19 n’était pas le seul facteur impactant le secteur transport,
en outre la situation postpandémie chez tous les pays avait changé.

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