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& SCIENTIFIQUE DE RÉFÉRENCE 1 000 FICHES PRATIQUES

EXTRAIT
ISSU DE L’OFFRE

Agroalimentaire

Fabrication des pâtes alimentaires

par Joël ABECASSIS

RÉSUMÉ

L’objet de cet article est de donner les clés pour comprendre et maîtriser les différentes étapes de la fabrication des pâtes
alimentaires. Les différentes opérations unitaires (hydratation, malaxage, extrusion, séchage à haute et très haute
température, précuisson et pasteurisation) y sont décrites de manière détaillée et compréhensible. Pour chacune de ces
étapes, sont précisés les principaux paramètres influents, les transformations physicochimiques subies par la matière et leurs
conséquences sur la qualité des produits finis.

ABSTRACT

The aim of this article is to provide the keys to understanding and mastering the different stages of pasta production. The
different unit operations (hydration, mixing, extrusion, drying at high and very high temperature, pasteurisation and
pre-cooking) are described in detail and comprehensively. For each of these unit operations, are specified the most influential
parameters and physicochemical changes along the process as well as consequences on the quality of the end-products.

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Document téléchargé le : 17/08/2023 | © Techniques de l'Ingénieur | Tous droits réservés


Fabrication des pâtes alimentaires

par Joël ABECASSIS


Ingénieur, UMR-IATE, INRAE-Montpellier

1. Mise en forme des pâtes alimentaires............................................ F 6 190 - 2


1.1 Alimentation et dosage............................................................................ — 2
1.2 Hydratation et malaxage.......................................................................... — 2
1.3 Mise sous vide .......................................................................................... — 4
1.4 Extrusion et formage................................................................................ — 4
1.4.1 Mécanismes de formation de la pâte au sein d’une presse ....... — 4
1.4.2 Tréfilage et mise en forme des pâtes alimentaires ..................... — 6
1.4.3 Débit d’une presse pour pâtes alimentaires ................................ — 7
1.4.4 Conduite de la presse .................................................................... — 8
1.5 Influence des conditions de mise en forme sur la qualité
des pâtes alimentaires ............................................................................. — 9
2. Séchage des pâtes alimentaires ....................................................... — 10
2.1 Principe du séchage des pâtes alimentaires .......................................... — 10
2.2 Séchage des pâtes alimentaires longues ............................................... — 11
2.2.1 Pré-séchage .................................................................................... — 11
2.2.2 Séchage........................................................................................... — 12
2.2.3 Stabilisation finale.......................................................................... — 12
2.2.4 Refroidissement ............................................................................. — 12
2.3 Séchage des pâtes courtes ...................................................................... — 13
2.3.1 Pré-séchage .................................................................................... — 13
2.3.2 Séchage........................................................................................... — 13
2.4 Influence des conditions de séchage sur la qualité des pâtes
alimentaires .............................................................................................. — 15
3. Autres types de pâtes.......................................................................... — 15
3.1 Pâtes fraîches............................................................................................ — 15
3.2 Pâtes à cuisson rapide ............................................................................. — 16
3.3 Pâtes aux œufs et autres spécialités....................................................... — 16
4. Conclusion et perspectives................................................................ — 17
5. Glossaire.................................................................................................. — 17
Pour en savoir plus ....................................................................................... Doc. F 6 190

S i les pâtes alimentaires sont aujourd’hui consommées dans le monde


entier, c’est qu’elles présentent de nombreuses caractéristiques aptes à
satisfaire le consommateur : diversité de compositions (nature, aux œufs, enri-
chies en fibres ou en légumes…), multiplicité de formes (longues ou courtes,
aspect de surface lisse ou rugueux), facilité de préparation (cuisson dans l’eau
bouillante, à la poêle ou au micro-ondes), longue durée de conservation (de
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plusieurs semaines pour des pâtes fraîches à plusieurs années pour les pâtes
sèches), valeur nutritionnelle (source de protéines végétales, faible indice gly-
cémique), associées à une bonne qualité hygiénique ainsi qu’à un très bon
rapport qualité-prix.
La fabrication des pâtes alimentaires met en œuvre une succession d’opéra-
tions unitaires, toutes physiques. Après que l’albumen vitreux du blé dur a été
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extrait par mouture sous forme de semoule (particules dont la granulométrie


est comprise entre 150 et 500 microns), celle-ci est hydratée, malaxée, pressée
et tréfilée pour obtenir la forme voulue. La structure obtenue est ensuite stabi-
lisée généralement par séchage. Cette séquence d’opérations a été développée

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FABRICATION DES PÂTES ALIMENTAIRES _______________________________________________________________________________________________

à l’échelle industrielle dans la première moitié du XXe siècle et les principes


mis en place n’ont pas beaucoup changé depuis les années 1950. Cependant,
le débit des lignes de production a augmenté de façon spectaculaire, passant
de quelques centaines de kilogrammes de production à 8 000 kg/h aujourd’hui.
Cette évolution a été rendue possible grâce à une intégration rapide des
connaissances comprenant le savoir-faire empirique des praticiens, des
données scientifiques sur les propriétés physico-chimiques de la matière pre-
mière et des produits finis, sur la science des matériaux ainsi que sur le
développement de nouveaux capteurs et d’automatismes pour la conduite des
lignes de fabrication.
Cet article présente les principales opérations unitaires mises en œuvre dans
une approche technologique. En même temps, sont décrits les principaux chan-
gements physico-chimiques qui se produisent lors de la fabrication des pâtes.
En effet, la production des pâtes alimentaires doit répondre à des normes
d’hygiène et de qualité finale très strictes. C’est pourquoi il est nécessaire
d’avoir une bonne connaissance des transformations physico-chimiques inter-
venant au cours des différentes opérations unitaires (hydratation, malaxage,
extrusion/séchage). Au cours de ces étapes, les constituants des matières pre-
mières sont soumis à différentes contraintes mécaniques (compression,
étirement, cisaillement) et thermiques (transition vitreuse, gélatinisation, déna-
turation). Une connaissance approfondie des effets de ces contraintes sur les
différents constituants biochimiques (protéines, amidon, lipides, pentosanes)
est essentielle pour maîtriser la qualité des produits finis et ajuster les para-
mètres des lignes de production. L’utilisation de capteurs pour suivre finement
la rhéologie de la pâte et les changements biochimiques est également très
utile pour optimiser et produire régulièrement.

1. Mise en forme à pain. Plusieurs facteurs déterminent ce point de pâte. Une teneur
en protéines élevée des semoules permet de diminuer la quantité
des pâtes alimentaires d’eau à ajouter, alors qu’un fort taux d’amidon endommagé accroît
l’absorption d’eau. D’autres facteurs sont aussi à prendre en
compte tels que la température des semoules et de l’eau, ou
La mise en forme constitue la première étape de la fabrication encore la granulométrie des semoules (taille moyenne D50) ainsi
des pâtes alimentaires. Les produits obtenus peuvent ensuite être que la distribution de la taille des particules (D90-D10).
précuits, séchés, surgelés ou commercialisés en l’état. Générale-
ment, la mise en forme est effectuée dans une presse pour pâtes
alimentaires (figure 1) au sein de laquelle se succèdent quatre 1.2 Hydratation et malaxage
phases :
– alimentation et dosage des matières premières ; Contrairement au pétrissage d’une pâte à pain, le malaxage ne
– hydratation et malaxage ; conduit pas à la formation d’une pâte continue. Sa fonction est de
– mise sous vide ; répartir l’eau ajoutée de manière uniforme dans chaque particule
– extrusion et formage. de semoule. L’eau va y pénétrer en fonction du coefficient de diffu-
sion de l’eau, de la température et de la granulométrie des pro-
duits. On estime qu’une durée de 5 à 7 minutes est nécessaire
pour hydrater à cœur des particules de semoule de ∅ 300 μm à la
1.1 Alimentation et dosage température de 25 °C. Plus les particules à hydrater sont grosses et
sèches, plus la durée de malaxage sera longue. Si la durée de
Le dosage des constituants de la pâte alimentaire est détermi- malaxage est insuffisante, le cœur des particules de semoule ne
nant, non seulement en termes de prix de revient (ex. : pâtes aux sera pas hydraté, et cela va se traduire en sortie de filière par des
œufs), mais aussi pour assurer un fonctionnement régulier de la pâtes dont la texture est rugueuse et avec la présence de « points
ligne de fabrication. Il doit être aussi régulier et constant que pos- blancs ». L’utilisation de matières premières dont la granulométrie
sible quels que soient les équipements utilisés (doseurs volumé- est trop dispersée, dont la teneur en eau et/ou la température sont
triques ou pondéraux). En effet, la quantité d’eau ajoutée à la trop hétérogènes peut aussi entraîner une hydratation non uni-
semoule (ou « point de pâte » en termes de métier) définit le forme. Ceci va provoquer au sein du malaxeur la formation, autour
point de fonctionnement de la presse ainsi que le volume d’eau à d’un noyau trop sec ou trop humide, d’agglomérats de taille
éliminer au cours du séchage. La quantité d’eau à ajouter doit importante qui pourront s’avérer problématiques pendant la phase
être dosée avec précision pour éviter soit un allongement (si le d’extrusion.
produit est trop humide) soit un fendillement et un échauffement
du produit (si le produit est trop sec) lors de l’extrusion ainsi qu’au Pour obtenir une hydratation uniforme qui se manifeste par une
début du séchage. La teneur en eau de la semoule hydratée est granulométrie régulière des particules en fin de malaxage,
d’environ 30-32 %, ce qui est nettement inférieur à celle d’une pâte plusieurs technologies sont utilisées.

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_______________________________________________________________________________________________ FABRICATION DES PÂTES ALIMENTAIRES

Dosage

Alimentation
et mise sous vide*
Distribution Premix
et mise
sous vide**
Malaxage

Extrusion

Tréfilage

* La mise sous vide est effectuée dès le malaxage (GEA-Pavan)


** La mise sous vide est effectuée après le malaxage (autres équipementiers)

Figure 1 – Les différentes étapes de la mise en forme des pâtes alimentaires (source GEA)

Moteur
Alimentation semoule

Arrivée
des liquides

Moteur

Vis d’extrusion
Tête de moule
et filière
Figure 2 – Prémélange centrifuge (premix) au-dessus d’une
mélangeuse sous vide (source GEA)
Figure 3 – Schéma de principe d’une presse Polymatik :
l’hydratation et le malaxage des semoules sont effectués par un
• Procédés de mélange centrifuge (figure 2) : la semoule et système bi-vis juste avant l’extrusion (source Buhler)
l’eau sont projetées dans un système de mélange mécanique
intensif dénommé « premix ». Ce mélangeur centrifuge à haute
vitesse permet d’améliorer le mouillage en augmentant la surface élevé. Le temps de mélange peut ainsi être réduit à moins de
de contact entre l’eau et les particules. Cette phase très intense qui 1 minute. De plus, ce dispositif permet un nettoyage facile des
ne dure que quelques secondes est suivie d’un malaxage classique équipements. Cependant, la granulométrie des semoules doit elle
à pression atmosphérique (procédé Buhler Priomatik) ou sous vide aussi être réduite et uniformisée (< 350 microns). L’important
(procédé GEA-Pavan) pendant lequel la semoule est brassée une apport énergétique peut aussi entraîner une élévation de la tempé-
dizaine de minutes par deux bras de mélange à faible vitesse (envi- rature des produits.
ron 60 rpm). Alternativement, la semoule peut aussi être laissée au D’un point de vue physico-chimique, l’hydratation et le malaxage
repos sur un tapis (procédé Storci-Fava) pendant environ ont pour objet de rendre réactifs les constituants de la pâte,
15 minutes pour permettre à l’eau de diffuser au cœur des parti- notamment les protéines. En franchissant la température de transi-
cules de semoule. tion vitreuse (encadré 1), les protéines sont alors prêtes à interagir
• Procédé à haut apport énergétique (figure 3) : ce procédé a entre elles pour former un réseau de gluten et donc une pâte. Par ail-
été développé par la société Buhler avec les presses Polymatik. Le leurs, les enzymes d’oxydation sont elles aussi activées et vont agir
malaxage est réalisé dans une bi-vis avec un apport d’énergie très sur la couleur des produits (brunissement, perte de couleur jaune).

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FABRICATION DES PÂTES ALIMENTAIRES _______________________________________________________________________________________________

Encadré 1 – Notion de transition vitreuse

La transition vitreuse est un concept issu de la science des


matériaux qui peut s’appliquer à de nombreux procédés des
industries alimentaires mettant en œuvre des polymères
(amidon, protéines). Lorsque des conditions particulières de
température et de teneur en eau sont réalisées, un change-
ment de phase se produit au sein des polymères. En franchis-
sant la température de transition vitreuse (Tg), le produit
passe d’un état vitreux, rigide et cassant à un état plus mal-
léable dit « caoutchoutique » car comparable à celui d’un élas-
tomère. Au niveau moléculaire, ce phénomène s’accompagne
d’une modification de la mobilité et de la réactivité des
chaînes polymériques qui vont conduire à la rupture et la for-
mation de nouvelles liaisons. Trois points sont ici à retenir :
– la réactivité des polymères ne peut être obtenue que
lorsque ceux-ci sont au-dessus de leur température de transi-
tion vitreuse, dans un état caoutchoutique ;
– il existe une équivalence entre teneur en eau et tempéra-
ture pour faire passer un polymère d’un état vitreux à un état
caoutchoutique et réciproquement ;
– la température de transition vitreuse des protéines du
Figure 4 – Fourreau d’une vis d’extrusion : les cannelures
gluten est inférieure à celle de l’amidon (pour une teneur en contribuent aux mécanismes de formation de la pâte et permettent
eau de 14 %, la Tg du gluten est estimée à 22 °C alors que d’éviter que la pâte ne tourne avec la vis
celle de l’amidon se situerait aux environs de 50 °C).

La vis d’extrusion s’insère dans le fourreau avec un jeu méca-


nique minimal. Elle doit faire avancer le produit jusqu’au moule et
1.3 Mise sous vide le comprimer pour assurer la formation d’une pâte avant extru-
sion. Le profil d’une vis d’extrusion est présenté figure 5. En fai-
Après malaxage, le mélange granulaire passe dans une chambre sant varier le pas et/ou le diamètre du noyau de la vis, trois zones
sous vide partiel d’air (environ 100 Pa). Cette opération a pour effet y sont distinguées : alimentation de la vis, transfert du produit et
d’obtenir des produits finis plus translucides et de freiner les extrusion proprement dite.
activités enzymatiques (lipoxygénasiques et péroxydasiques) En théorie, tout élément contenu dans un filet de vis devrait
en diminuant le taux d’oxygène dans le mélange. De plus, avec le avancer, à chaque tour, d’un pas du filet de la vis. Cependant, la
développement des techniques de séchage à haute température, la présence d’un moule en sortie de filière va créer une pression qui
mise sous vide est devenue quasi indispensable pour éviter l’appa- va avoir tendance à faire reculer la pâte et générer au sein de
rition de certains défauts dans les pâtes sèches (présence de chaque filet de la vis un mouvement de la pâte. La pâte est ainsi
microbulles d’air). C’est pourquoi certains équipementiers pro- soumise à une action de cisaillement du filet avant de la vis. C’est
posent des équipements permettant de réaliser toutes les étapes ce cisaillement assimilé à un pétrissage qui réalise la transforma-
de mise en forme sous vide, dès le malaxage, pour limiter les réac- tion du mélange hydraté en une pâte homogène.
tions d’oxydation et ainsi obtenir des pâtes moins brunes et plus
jaunes.
1.4.1 Mécanismes de formation de la pâte
au sein d’une presse
1.4 Extrusion et formage Dans une presse, la pâte s’écoule suivant deux modes princi-
paux : soit par écoulement en cisaillement simple (figure 6), soit
L’extrusion représente une étape clé de la fabrication des pâtes par écoulement de type Poiseuille-tube (figure 7).
alimentaires. Elle détermine à la fois le débit de production de la Dans le cas de l’écoulement par cisaillement, le produit placé
ligne de fabrication et la qualité des produits finis. Au cours de entre deux plaques va se déplacer (débit Q) si l’on exerce sur lui
cette étape qui ne dure que quelques minutes, le mélange granu- une contrainte (F/S). Comme pour un jeu de cartes, le produit en
laire de semoules hydratées est transporté et soumis à forte pres- contact avec la plaque supérieure est entraîné à la vitesse de la
sion, par une vis sans fin, pour être pétri en une masse homogène contrainte (Vmax) alors que le produit en contact avec la plaque
et faire sortir la pâte formée au travers des orifices d’un moule. Du inférieure reste immobile. Au sein de la pâte se crée un gradient de
point de vue physico-chimique, l’énergie mécanique fournie à la cisaillement (Vmax/h) d’autant plus important que la viscosité de la
pâte (70-100 kJ/kg) sert à développer au sein de la pâte un réseau pâte est élevée (encadré 1).
protéique continu (gluten) autour des grains d’amidon. Une Dans le cas de l’écoulement Poiseuille-tube (figure 7), pour
partie de l’énergie mécanique est transformée en chaleur, ce qui a que la matière s’écoule, il faut que la pression à l’entrée du tube
pour conséquence de modifier l’écoulement de la pâte ainsi que la soit supérieure à la pression de sortie. Dans ce cas, la contrainte
qualité des produits finis. L’excès de chaleur généré doit être éva- est égale à la différence de pression entre l’entrée et la sortie du
cué par un système de refroidissement efficace. tube (Pe-Ps), et le taux de cisaillement est proportionnel au débit
Le système vis d’extrusion-fourreau permet de faire avancer le du produit. La vitesse d’écoulement du produit est maximale à mi-
produit jusqu’à la filière. Pour éviter que la pâte ne tourne avec la hauteur du courant et minimale au contact des parois du tube.
vis, des cannelures sont taillées dans le fourreau (figure 4). L’état Pour décrire plus facilement les mouvements de la pâte pendant
de ces cannelures est très important car leur usure entraîne un l’extrusion, il est plus commode de considérer que c’est le four-
échauffement de la pâte et une diminution de la capacité de pro- reau qui tourne et que la vis reste stationnaire. Dans ces condi-
duction des presses, notamment dans le cas de la fabrication de tions, le flux hélicoïdal dans la vis est représenté par un chenal
produits humides ou additionnés d’œufs. rectiligne de section rectangulaire entre le filet avant et le filet

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