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MA201.

Méthode des éléments finis (2013-2014) 11

Séance 2 : Formulations variationnelles


(Sonia Fliss, Philippe Moireau et Patrick Ciarlet)

Exercice 7 Problème avec condition aux limites de Fourier


On considère le problème aux limites
Trouver u 2 H 1 (⌦) telle que
(
u u=f dans ⌦
@u . (4)
+ u = g sur @⌦
@n
avec 0, f 2 L2 (⌦) et g 2 L2 (@⌦).

Q1. En multipliant la 1ère équation de (4) par v 2 H 1 (⌦) et en integrant sur ⌦ on


obtient facilement
Z Z Z
uv d⌦ u v d⌦ = f v d⌦, 8v 2 H 1 (⌦)
⌦ ⌦ ⌦

En appliquant la formule de Green généralisée au deuxième terme, on a


Z Z Z Z
@u
uv d⌦ + ru · rv d⌦ vd = f v d⌦, 8v 2 H 1 (⌦).
⌦ ⌦ @⌦ @n ⌦

Il suffit enfin d’utiliser la 2ème équation de (4) pour trouver la formulation variationnelle
associée :
Trouver u 2 H 1 (⌦) telle que
Z Z Z
uv d⌦ + ru · rv d⌦ + uv d (FV4)
⌦ ⌦ Z
@⌦ Z
= f v d⌦ + gv d , 8v 2 H 1 (⌦).
⌦ @⌦

Q2. Soient u1 , u2 deux solutions de (FV4), alors


Z Z Z
(u1 u2 )v d⌦ + r(u1 u2 ) · rv d⌦ + (u1 u2 )v d = 0, 8v 2 H 1 (⌦).
⌦ ⌦ @⌦

On choisit la fonction-test v = u1 u2 pour trouver

ku1 u2 k2H 1 (⌦) + ku1 u2 k2L2 (@⌦) = 0.

Puisque 0, on en déduit que ku1 u2 kH 1 (⌦) = 0 et donc u1 = u2 .


⇧ Lorsque < 0, le 1er terme est positif, et le 2nd est négatif : on ne peut pas conclure.
Pour avoir un problème bien posé, il semble donc préférable d’imposer 0.
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Q3. D’après ce que l’on vient de voir, si u est solution de (4), alors u vérifie (FV4).
Examinons la réciproque. Dans (FV4), si on choisit v 2 D(⌦)(⇢ H 1 (⌦)), on a alors :
Z Z
(uv + ru · rv) d⌦ = f v d⌦,
⌦ ⌦
Z
puisque v = 0 sur @⌦. On remplace ensuite les intégrales · @↵ v d⌦ par des crochets de

dualité h·, @↵ vi, puis on dérive au sens des distributions :
X @u @v X @ 2u
hf, vi = hu, vi + h , i = hu, vi h 2 , vi = hu, vi h u, vi.
i=1,3
@x i @x i i=1,3
@xi

On en déduit que
hu u, vi = hf, vi , 8v 2 D(⌦),
c’est-à-dire que u u = f au sens des distributions. Puisque u et f appartiennent à
L (⌦), u 2 L (⌦) et ainsi u
2 2
u = f presque partout dans ⌦. En particulier, on a :
Z Z
(u u) v d⌦ = f v d⌦, 8v 2 H 1 (⌦). (7)
⌦ ⌦

Maintenant, en revenant à (FV4) et en appliquant la formule de Green généralisée, ce


qui est possible puisque u 2 {w 2 H 1 (⌦) | w 2 L2 (⌦)}, on trouve
Z
@u
(u u) v d⌦ + h , viH 1/2 (@⌦),H 1/2 (@⌦) + hu, viH 1/2 (@⌦),H 1/2 (@⌦)
⌦ @n
Z
= f v d⌦ + hg, viH 1/2 (@⌦),H 1/2 (@⌦) , 8v 2 H 1 (⌦),

et, d’après (7), on aboutit à


@u
h + u g, viH 1/2 (@⌦) = 0, 8v 2 H 1 (⌦).
@n
Comme ( @n @u
|@⌦
+ u|@⌦ g) est par définition une forme linéaire et continue sur H 1/2 (@⌦),
l’égalité ci-dessus valable pour tout v 2 H 1 (⌦) prouve que @n @u
|@⌦
+ u|@⌦ = g. Pour
conclure, comme g et u|@⌦ appartiennent à L2 (@⌦), on en déduit que @n @u
+ u = g
presque partout sur @⌦.

Exercice 8 Diffusion de la chaleur


On considère le problème aux limites
Trouver u 2 H 1 (⌦) telle que

div (kru) = f dans ⌦
. (5)
u=0 sur @⌦

avec f 2 L2 (⌦), k 2 L1 (⌦) et k(x) kmin > 0 presque pour tout x dans ⌦.
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Q1. Puisque u 2 H 1 (⌦) et u|@⌦ = 0, on doit chercher u dans H01 (⌦).


En multipliant la 1ère équation de (5) par v 2 H01 (⌦) et en integrant sur ⌦ on obtient
Z Z
div (kru) v d⌦ = f v d⌦, 8v 2 H 1 (⌦)
⌦ ⌦

On a vu la formule de Stokes (démontrée dans l’Exercice 1 du TD1),


Z Z
1 ¯ 3 1 ¯
8u 2 C (⌦) , 8v 2 C (⌦), (div u v + u · rv) d⌦ = v(u · n) d .
⌦ @⌦

Si on pose u = kru et en tenant compte du fait que v|@⌦ = 0, on obtient par analogie
Z Z
div (kru) v d⌦ = kru · rv d⌦.
⌦ ⌦

Ou bien, on raisonne par densité, en utilisant le fait que D(⌦) est dense dans H01 (⌦), et on
remplace la fonction-test v par une suite (v` )` d’éléments de D(⌦) tels que lim`!1 kv`
vkH 1 (⌦) = 0 : lim`!1 kv` vkL2 (⌦) = 0 et lim`!1 k @x @v`
i
@v
k 2 = 0 pour i = 1, 2, 3.
@xi L (⌦)
Ensuite, on utilise la dérivation au sens des distributions :
Z Z
div (kru) v d⌦ = lim div (kru) v` d⌦ = limhdiv (kru), v` i
⌦ ` ⌦ `
3
X ✓ ◆ 3
X
@ @u @u @v`
= limh k , v` i = lim
, i hk
`
i=1
@xi `@xii=1
@xi @xi
Z X 3 X3 Z Z
@u @v` @u @v
= lim k d⌦ = k d⌦ = kru · rv d⌦
` ⌦ i=1 @xi @xi i=1 ⌦
@xi @xi ⌦

Dans les deux cas, on en déduit la formulation variationnelle associée à (5) :


Trouver u 2 H01 (⌦) telle que
Z Z (FV5)
kru · rv d⌦ = f v d⌦, 8v 2 H01 (⌦).
⌦ ⌦

Q2. Soient u1 , u2 deux solutions de (FV5), alors


Z
kr(u1 u2 ) · rv d⌦ = 0, 8v 2 H01 (⌦).

On choisit la fonction-test v = u1 u2 pour trouver


Z
k|r(u1 u2 )|2 d⌦ = 0.

Par définition de k on sait que


Z Z
2
kmin |r(u1 u2 )| d⌦  k|r(u1 u2 )|2 d⌦
⌦ ⌦

avec kmin > 0, et on conclut que r(u1 u2 ) = 0 dans ⌦. Ainsi, u1 u2 est une fonction
constante sur chaque composante connexe de l’ouvert ⌦. Comme de plus on sait que
(u1 u2 )|@⌦ = 0, toutes les constantes sont nulles et donc u1 = u2 .
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Q3. D’après ce qui précède, si u est solution de (5), alors u vérifie (FV5). La réciproque
est très simple à établir. En effet, comme u une solution de (FV5) appartient à H01 (⌦),
on a u|@⌦ = 0. Puis, on choisit dans (FV5) une fonction-test v de D(⌦), et on raisonne à
l’inverse de la 1ère question pour trouver que div (kru) = f au sens des distributions.
Puisque f appartient à L2 (⌦), div (kru) 2 L2 (⌦) et finalement div (kru) = f presque
partout dans ⌦.

Exercice 9 ⇧ Coefficients discontinus


On veut interpréter le problème variationnel (P)
Trouver u 2 H01 (⌦) telle que
Z Z
ru · rv d⌦ = gv d⌃, 8v 2 H01 (⌦).
⌦ ⌃

(i) Tout d’abord, comme u 2 H01 (⌦), on sait que u 2 H 1 (⌦) et u = 0 sur @⌦.
(ii) On ne peut pas raisonner directement au sens des distributions dans D(⌦)
dans la suite, puisque d’une part la forme linéaire ` ne s’annule pas automati-
quement sur D(⌦) et d’autre part elle met en jeu des intégrales qui ne sont pas
"volumiques"...
Soit plutôt i 2 D(⌦i ), pour i = 1, 2, que l’on prolonge par 0 à ⌦ : son pro-
longement, noté , appartient à D(⌦). Comme D(⌦) ⇢ H01 (⌦), on peut l’utiliser
comme fonction-test dans (P), et on a `( ) = 0 :
Z Z
0= ru·r d⌦ = i (ru)|⌦i ·r i d⌦i = i hr(u|⌦i ), r i i = i h (u|⌦i ), i i.
⌦ ⌦i

NB. Pour justifier l’égalité (ru)|⌦i = r(u|⌦i ), voir Ex2–Q2.


Dans la suite, nous notons ui := u|⌦i pour i = 1, 2. Ainsi, ui = 0 au sens des
distributions, à savoir dans D0 (⌦i ) ; en particulier ui = 0 presque partout.
(iii) Pour finir, prenons v 2 H01 (⌦) et intégrons par parties sur ⌦1 et ⌦2 .
Ici, vi := v|⌦i pour i = 1, 2 :
Z Z
gv d⌃ = ru · rv d⌦
⌃ ⌦Z Z
= 1 ru1 · rv1 d⌦1 + 2 ru2 · rv2 d⌦2
⌦1 ⌦2
✓ Z ◆
= 1 hru1 · n1 , v1 iH 1/2 (@⌦1 ),H 1/2 (@⌦1 ) u1 v1 d⌦1
⌦1
✓ Z ◆
+2 hru2 · n2 , v2 iH 1/2 (@⌦2 ),H 1/2 (@⌦2 ) u2 v2 d⌦2
⌦2
= 1 hru1 · n1 , v1 iH 1/2 (@⌦
1 ),H
1/2 (@⌦
1)
+ 2 hru2 · n2 , v2 iH 1/2 (@⌦
2 ),H
1/2 (@⌦
2)
.

Par définition v s’annule sur la frontière @⌦. Ainsi, le support de v|@⌦i est inclus
dans l’interface ⌃, pour i = 1, 2. On peut donc remplacer dans ce cas les crochets
de dualité (entre espaces fonctionnels définis) sur @⌦i par des crochets de dualités
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(entre espaces fonctionnels définis) sur ⌃. Et de même pour le membre de gauche.


Notons enfin que n1 = n2 sur ⌃. Il reste donc

hg, v|⌃ iH 1/2 (⌃),H 1/2 (⌃) = h(1 ru1 2 ru2 )·n1 , v|⌃ iH 1/2 (⌃),H 1/2 (⌃) , 8v 2 H01 (⌦).

Par surjectivité de l’ensemble des traces sur l’interface ⌃ d’éléments de H 1 (⌦)


dans H 1/2 (⌃), on trouve
0
(1 ru1 2 ru2 ) · n1 = g dans H 1/2 (⌃) .

Comme g 2 L2 (⌦), on en déduit finalement que

(1 ru1 2 ru2 ) · n1 = g presque partout sur ⌃.

Exercice 10 ⇧ Equations de Maxwell


I. Modélisation (régime stationnaire)
Q1. En remplaçant E, H et J dans le système des équations de Maxwell par les
expressions données, on trouve classiquement que le système de Maxwell stationnaire
s’écrit
Trouver e, h tels que

ı!✏e rot h = j dans ⌦ (8)


ı!µh + rot e = 0 dans ⌦ (9)
e ⇥ n = 0, sur @⌦ (10)

Q2. Pour éliminer le champ h du système stationnaire, il suffit de diviser la relation


(9) par ı!µ, d’en prendre le rotationnel et de sommer le résultat avec la relation (8). On
obtient alors ✓ ◆
1
ı!✏e rot rot e = j, dans ⌦.
ı!µ
En rajoutant les conditions aux limites, le problème (Pe ) est donc :
Trouver e tel que (
rot µ 1 rot e ! 2 ✏e = ı!j, dans ⌦,
(Pe )
e ⇥ n = 0, sur @⌦

Q3. Pour éliminer le champ e du système stationnaire, il suffit cette fois de diviser la
relation (8) par ı!✏, d’en prendre le rotationnel et de soustraire le résultat à la relation
(9). On obtient alors
✓ ◆ ✓ ◆
1 1
ı!µh rot rot h = rot j , dans ⌦.
ı!✏ ı!✏
Il n’y a pas de condition aux limites sur h. En revenant à (8) et (10), on a

✏ 1
(rot h j) = ı!e dans ⌦ et e ⇥ n |@⌦ = 0.
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D’où ✏ 1 (rot h j) ⇥ n |@⌦ = 0. Le problème (Ph ) s’écrit donc :


Trouver h tel que
(
rot ✏ 1 rot h ! 2 µh = rot ✏ 1 j , dans ⌦,
(Ph )
✏ 1
(rot h j) ⇥ n = 0, sur @⌦

II. Formulations variationnelles


Supposons pour l’instant a priori que e 2 L2 (⌦)3 , h 2 L2 (⌦)3 (et j 2 L2 (⌦)3 !).

Q4. Tout d’abord, si u et v appartiennent à H(rot , ⌦), les intégrales sur ⌦ sont
bien définies. De plus, si u appartient à H0 (rot , ⌦), l’intégrale sur @⌦ disparaît. Si v
appartient à H0 (rot , ⌦), on remarque que (u ⇥ n) · v = (v ⇥ n) · u = 0 sur @⌦ et
l’intégrale sur @⌦ disparaît aussi. Dans ce cas, la généralisation est
( Z
8(u, v) 2 H0 (rot , ⌦) ⇥ H(rot , ⌦)
, (u · rot v rot u · v) d⌦ = 0.
8(u, v) 2 H(rot , ⌦) ⇥ H0 (rot , ⌦) ⌦

Q5. D’après (8) et (9), h et e sont dans H(rot , ⌦) mais du fait de la condition aux
limites (10) vérifiée par e, on a même e dans H0 (rot , ⌦).

Q6. Pour obtenir la formulation variationnelle pour le problème (Pe ), il suffit 1 de


prendre le produit scalaire de la première équation de (Pe ) avec v 2 H0 (rot , ⌦) et
d’intégrer sur ⌦ :
Z Z Z
1 2
rot µ rot e · v d⌦ ! ✏e · v d⌦ = ı! j · v, 8v 2 H0 (rot , ⌦).
⌦ ⌦ ⌦

Si on applique la formule de Stokes au premier terme (avec u = µ 1 rot e), on obtient


Z Z Z
1 2
µ rot e · rot v d⌦ ! ✏e · v d⌦ = ı! j · v, 8v 2 H0 (rot , ⌦).
⌦ ⌦ ⌦

La formulation variationnelle (F Ve ) pour le problème (Pe ) est donc donnée par


Trouver e 2 H0 (rot , ⌦) tel que
Z Z Z
1
µ rot e · rot v d⌦ ! 2
✏e · v d⌦ = ı! j · v, 8v 2 H0 (rot , ⌦). (F Ve )
⌦ ⌦ ⌦

Q7. D’après ce que l’on vient de voir si e est solution de (Pe ) alors elle est solution de
(F Ve ). Examinons la réciproque. Tout d’abord comme e est cherché dans H0 (rot , ⌦), il
vérifie par définition la condition aux limites de (Pe ).
De plus, dans (F Ve ), on peut choisir v 2 D(⌦)3 ⇢ H0 (rot , ⌦). On remplace ensuite
1. De cette façon, la fonction-test v et la solution e appartiennent au même espace fonctionnel.
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R R
toutes les intégrales ⌦
. . . · v et ⌦
. . . · rot v par des crochets de dualité h. . . , vi et
h. . . , rot vi :

hµ 1 rot e, rot vi ! 2 h✏e, vi = ı!hj, vi, 8v 2 D(⌦)3 .

En dérivant au sens des distributions, on montre après quelques calculs que


⌦ 1 ↵ ⌦ ↵
µ rot e, rot v = rot µ 1 rot e , v , 8v 2 D(⌦)3 .

On en déduit que
⌦ ↵
rot µ 1 rot e ! 2 ✏e, v = ı! hj, vi , 8v 2 D(⌦)3 ,

c’est-à-dire que

rot µ 1 rot e ! 2 ✏e = ı!j au sens des distributions.

Comme e et j appartiennent à L2 (⌦)3 , rot (µ 1 rot e) est dans L2 (⌦)3 et donc

rot µ 1 rot e ! 2 ✏e = ı!j presque partout dans ⌦.

En conclusion, e est solution du problème (Pe ). (F Ve ) et (Pe ) sont donc équivalents.

Q8. Essayons de faire de même pour le problème en h. Pour obtenir la formulation va-
riationnelle pour le problème (Ph ), nous allons prendre le produit scalaire de la première
équation de (Ph ) avec v 2 H(rot , ⌦) et intégrer sur ⌦ :
Z Z Z
1 2
rot ✏ rot h · v d⌦ ! µh · v d⌦ = rot ✏ 1 j · v, 8v 2 H(rot , ⌦).
⌦ ⌦ ⌦

Si on veut appliquer la formule de Stokes au premier terme (avec u = " 1 rot h) et au


dernier terme (avec u = ✏ 1 j), il faut que u ⇥ n |@⌦ = 0, ce qui n’est pas le cas. Mais
on a vu queR ✏ 1 (rot h j) ⇥ n |@⌦ = 0. On peut donc appliquer la formule au terme
"regroupé" ⌦ rot (✏ 1 (rot h j)) · v d⌦, pour trouver
Z Z
1 2
✏ (rot h j) · rot v d⌦ ! µh · v d⌦ = 0, 8v 2 H(rot , ⌦).
⌦ ⌦

On a donc obtenu la formulation variationnelle du problème (Ph ), à savoir


Trouver h 2 H(rot , ⌦) tel que
Z Z Z
1
✏ rot h · rot v d⌦ ! 2
µh · v d⌦ = ✏ 1 j · rot v, 8v 2 H(rot , ⌦) (F Vh )
⌦ ⌦ ⌦

Pour conclure, on pourrait montrer en utilisant les mêmes arguments que dans les ques-
tions précédentes, que les problèmes (Ph ) et (F Vh ) sont équivalents.
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