Vous êtes sur la page 1sur 6

CENTRE DE TD CLE DE LA REUSSITE

MATIERE : DROIT DE LA FAMILLE


ENCADREUR : André ALINSATO
REVISION 1 : LA PARENTE ET L’ALLIANCE
I-QCM
1-La parenté est le lien :
a) qui unit l’époux à l’épouse ;
b) qui, unissant les individus qui, par filiation, descendent les uns des autres ou d’un
auteur commun ;
c) qui, unissant les individus qui, par alliance, descendent les uns des autres ou d’un
auteur commun.
2-L’alliance est un lien juridique :
a) qui unit les membres d’une même famille légitime ;
b) qui unit un époux à sa famille d’origine ;
c) qui unit un époux aux parents de l’autre.
3-La parenté repose :
a) sur des liens de sang ;
b) sur l’alliance ;
c) sur l’alliance et sur le lien d’adoption.
4-L’alliance naît :
a) de la filiation des familles naturelles des époux ;
b) du mariage ;
c) du lien de sang.
5-La ligne directe de parenté comprend :
a) les personnes qui descendent d’un auteur commun ;
b) les personnes qui descendent de deux auteurs en commun ;
c) les personnes qui descendent les unes des autres.
6-L’alliance :
a) n’entraîne jamais des empêchements à mariage selon le CPF ;
b) entraîne dans certains cas des empêchements à mariage prévus par les articles 120 et
125 du CPF ;
c) entraîne dans deux cas des empêchements à mariage prévus par les articles 150 et 151
du CPF.
7-La ligne collatérale de la parenté :
a) relie ceux qui descendent les uns des autres ;
b) relie ceux qui descendent d’un auteur commun ;
c) relie les frères et sœurs entre eux.

8-On parle de collatéraux germains lorsque :


a) deux personnes descendent de deux autres personnes qui sont frères ou sœurs
germains ;
b) deux personnes descendent d’un frère germain et d’une sœur germaine ;
c) deux personnes descendent d’une sœur consanguine et d’un frère germain.
9-La ligne directe se divise :
a) en ligne descendante et ligne ascendante ;
b) en ligne collatérale et ligne descendante ;
c) en ligne ascendante et ligne collatérale.
10-La ligne ascendante se divise :
a) en ligne ascendante germaine et ligne ascendante consanguine ;
b) en ligne ascendante maternelle et ligne ascendante paternelle ;
c) en ligne ascendante maternelle et ligne descente paternelle.
11-Les collatéraux consanguins se retrouvent :
a) du côté maternel ;
b) du côté gauche de l’arbre ;
c) du côté paternel.

12-Les collatéraux utérins se retrouvent :


a) du côté droit de l’arbre ;
b) du côté ventriculaire ;
c) du côté de la mère.
13-L’Alliance est :
a) en ligne directe ou collatérale comme la parenté ;
b) seulement en ligne directe ;
c) seulement en ligne collatérale.
14-On entend par ascendant d’une personne :
a) ses fils et petit-fils ;
b) enfants et cousins issus de germain ;
c) ses père et mère, grand-parents…
II-Répondez aux questions suivantes :
a-Qu’ est-ce que le degré de parenté ?
b-Comment compte-t-on les degrés dans la ligne collatérale ?

REVISION 2 : LE MARIAGE
I-QCM
1-Relativement à la formation du mariage, le consentement des futurs époux :
a) est une condition d’aptitude biologique ;
b) est une condition relative à l’élément psychologique ;
c) est une condition relative à la liberté matrimoniale.
2-Selon l’article 119 du CPF, le mineur ne peut être fiancé :
a) que sur autorisation de ses parents ;
b) en aucun cas ;
c) que sur autorisation du président du Tribunal.
3-Le courtage matrimonial est :
a) une convention conclue entre des candidats au mariage et des maisons d’assurance ;
b) un contrat valable lorsqu’il tend à rapprocher les candidats au mariage sans peser sur
leur consentement ;
c) un contrat portant sur la crainte révérencielle.
4-En ce qui concerne les vices de consentement :
a) seuls l’erreur et le dol sont pris en compte dans le mariage ;
b) seules la violence et la lésion sont prises en compte dans le mariage ;
c) seules l’erreur et la violence sont prises en compte dans le mariage.
5-Dans l’interprétation de l’article 145 al.1 du CPF :
a) une seule conception de l’erreur dans la personne est possible ;
b) deux conceptions de l’erreur dans la personne sont possibles ;
c) trois conceptions de l’erreur dans la personne sont possibles.
6-Contre la bigamie :
a) la loi a prévu des sanctions civiles uniquement ;
b) la loi a prévu des sanctions pénales ;
c) la loi a prévu des sanctions pénales et civiles.
7-L’inceste :
a) concerne les parents par le sang et les alliés ;
b) concerne les parents par le sang seulement ;
c) est un interdit matrimonial.
8-Selon le CPF, l’opposition au mariage :
a) se fait par acte notarié ;
b) se fait par acte dressé par le maire ou un conseiller municipal ;
c) se fait par exploit d’huissier.
9-La publication du projet de mariage se fait au moyen d’une affiche :
a) à la porte du Tribunal pendant 20 jours ;
b) à la porte de la mairie pendant 15 jours ;
c) à la porte de l’hôtel de ville pendant 10 jours.
10-La preuve du mariage peut se faire:
a) par l’acte de mariage ;
b) par le contrat de courtage matrimonial ;
c) en dehors de l’écrit.
11-Le non- respect des conditions de fonds et de forme prévues pour la validité du mariage peut
être sanctionné :
a) par la nullité ;
b) par la peine capitale ;
c) par le divorce par consentement mutuel.
12-Le mariage putatif est :
a) un mariage en principe nul mais, les deux époux sont de mauvaise foi ;
b) un mariage en principe sanctionné par le divorce pour faute ;
c) un mariage en principe nul mais, l’un au moins des époux est de bonne foi.

13-Selon l’article 145 du CPF :


a) l’impuissance du mari non révélée au préalable est un cas de nullité relative ;
b) le vice de consentement conduit à la nullité relative du mariage ;
c) la lésion est une cause de nullité absolue du mariage.
14-Le mariage nul même putatif entraîne la perte :
a) de la nationalité béninoise acquise par le mariage ;
b) de la nationalité béninoise peu importe le mode d’acquisition ;
c) du droit à liberté d’association familiale.
II-Répondez aux questions suivantes :
a-Que savez-vous des effets du mariage ?
b-Que signifie le pouvoir domestique ?
REVISION 3 : LA SEPARATION DE CORPS ET LE DIVORCE
I-QCM
1-On distingue deux conceptions du divorce à savoir :
a) le divorce d’accord et le divorce par consentement mutuel ;
b) le divorce remède et le divorce sanction ;
c) le divorce factuel et le divorce de droit.
2-En droit béninois, l’adultère :
a) est infraction pouvant conduire à la nullité du mariage ;
b) est une cause de divorce prévue à l’article 234 du CPF ;
c) est le respect de l’obligation de fidélité des époux.
3-La procédure du divorce pour faute comporte :
a) deux phases ;
b) trois phases ;
c) quatre phases.
4-La première phase de la procédure du divorce pour faute commence :
a) par la requête que présente le défendeur à l’action au président du tribunal ;
b) par la requête que présente le demandeur à l’action au tribunal ;
c) par la requête que présente le demandeur à l’action au président du tribunal.
5-La seconde phase de la procédure du divorce constitue :
a) la phase contentieuse ;
b) la phase gracieuse ;
c) pré-gracieuse.
6-Pendant la première ou la seconde phase du procès en divorce, le juge peut être amené à
prendre certaines mesures provisoires telles que :
a) la résidence séparée des époux ;
b) la garde provisoire des enfants ;
c) les mesures tendant à la sauvegarde des intérêts pécuniaires de la femme.
7-Relativement à l’exécution du jugement de divorce :
a) les délais des voies de recours sont non suspensifs ;
b) les délais des voies de recours sont suspensifs ;
c) les délais des voies de recours sont semi suspensifs.
8-En ce qui concerne la publicité du divorce :
a) le jugement peut être transcrit sur les registres de l’état civil du lieu de célébration du
mariage ;
b) le jugement peut être mentionné en marge de l’acte de naissance des époux ;
c) le jugement peut être publié dans un journal des annonces légales lorsque les époux sont
commerçants.
9-Le divorce a pour effet :
a) le relâchement du lien matrimonial ;
b) la dissolution du lien matrimonial ;
c) le relâchement du lien ombilical.
10-Le divorce par consentement mutuel ne peut être demandé au :
a) cours des quatre premières années du mariage ;
b) cours des trois premières années du mariage ;
c) cours des deux premières années du mariage.
11-La séparation de corps résulte d’un :
a) jugement qui dispense les époux de l’obligation de vivre ensemble ;
b) arrêt autorise les époux à ne plus vivre ensemble ;
c) arrêté ministériel qui dispense les époux de l’obligation de fidélité.
12-La séparation de corps obéit à toutes les conditions qui justifient :
a) la séparation de fait ;
b) la séparation de résidence ;
c) le divorce.
13-La séparation de corps met :
a) définitivement fin à la vie commune et aux obligations qui en découlent ;
b) définitivement fin aux devoir de secours ;
c) provisoirement fin à la vie commune et aux obligations qui en découlent.

14-La séparation de corps peut prendre fin par :


a) la reprise de la vie commune après réconciliation ;
b) le décès de l’un des époux ;
c) le divorce
II-Répondez aux questions suivantes :
a-Différence entre la séparation de corps et la séparation judiciaire de résidence
b-Que savez-vous du divorce demandé par un époux et accepté par l’autre ?

Vous aimerez peut-être aussi