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LES CONSPIRATEURS
HIÉRARCHIE:
L'HISTOIRE DE
LE COMITÉ
DE 300
Dr John Coleman
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AVANTPROPOS
Au cours de ma carrière d'agent de renseignement professionnel, j'ai eu de nombreuses occasions d'accéder à
des documents hautement classifiés, mais pendant mon service en tant qu'officier de science politique sur
le terrain en Angola, en Afrique de l'Ouest, j'ai eu l'occasion de voir une série de documents classifiés top
secrets qui étaient exceptionnellement explicites. Ce que j'ai vu m'a rempli de colère et de ressentiment
et m'a lancé sur une voie dont je n'ai pas dévié, à savoir découvrir quel est le pouvoir qui contrôle et gère
les gouvernements britannique et américain. Je connaissais parfaitement toutes les sociétés secrètes
bien connues telles que l'Institut royal des affaires internationales (RIIA), le Conseil des relations étrangères
(CFR), les Bilderbergers, les trilatéraux, les sionistes, la francmaçonnerie, le bolchevisme, le rosicrucianisme
et toutes les retombées. de ces sociétés secrètes. En tant qu'officier du renseignement, et même
avant cela en tant que jeune étudiant dans le cadre de mes études au British Museum de Londres, je m'étais fait
les dents sur chacun d'eux, ainsi que sur bon nombre d'autres que j'imaginais que les Américains connaissaient. .
Mais quand je suis arrivé aux ÉtatsUnis en 1969, j'ai découvert que des noms comme l'Ordre de SaintPierre.
John of Jerusalem, Club of Rome the German Marshall Fund, the Cini Foundation, the Round Table, the
Fabianists, the Venetian Black Nobility, the Mont Pelerin Society, Hellfire Clubs, et bien d'autres étaient au
mieux totalement inconnus ici, ou bien leur véritable les fonctions étaient au mieux mais mal comprises,
voire pas du tout.
En 19691970, j'entrepris de remédier à la situation dans une série de monographies et de cassettes. À ma
grande surprise, j'ai rapidement trouvé beaucoup de gens prêts à citer ces noms comme s'ils les connaissaient
depuis toute leur carrière d'écrivain, mais qui n'étaient pas du tout au courant des sujets, mais assez peu
disposés à indiquer la source de leur informations récemment acquises. Je me consolais en pensant que
l'imitation est la forme la plus sincère de flatterie. J'ai poursuivi mes enquêtes, poursuivant malgré les risques
graves, les attaques contre moimême et ma femme, les pertes financières, le harcèlement continu, les
menaces et les calomnies, tout cela faisant partie d'un programme soigneusement conçu et orchestré
pour me discréditer, dirigé par des agents du gouvernement et informateurs, intégrés dans la soidisant droite
chrétienne, le "Mouvement identitaire" et les groupes "patriotiques" de droite. Ces agents opéraient, et
opèrent toujours, sous le couvert d'une opposition franche, forte et intrépide au judaïsme, leur principal ennemi,
voudraientils nous faire croire.
Ces agentsinformateurs sont dirigés et contrôlés par un groupe d'homosexuels appréciés et respectés par
les conservateurs politiques et religieux de tous les ÉtatsUnis. Leur programme de calomnie, de mensonges
et de haine, de désinformation sur mon travail, l'attribuant même dernièrement à d'autres écrivains, se poursuit
sans relâche mais n'a pas eu l'effet escompté. Je poursuivrai ma tâche jusqu'à ce que j'aie finalement arraché
le masque de tout le gouvernement parallèle secret de haut niveau qui dirige la GrandeBretagne et les États
Unis. Ce livre fait partie de cet effort continu.
Dr John Coleman, novembre 1991
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UN APERÇU ET QUELQUES HISTOIRES DE CAS
Certes, un bon nombre d'entre nous sont conscients que les personnes qui dirigent notre gouvernement ne
sont pas celles qui contrôlent réellement les questions politiques et économiques, nationales et étrangères.
Cela a conduit de nombreuses personnes à rechercher la vérité dans la presse alternative, ces rédacteurs
de newsletters qui, comme moi, ont cherché, mais pas toujours trouvé, ce qui rend les ÉtatsUnis malades
en phase terminale. "Cherchez et vous trouverez" n'a pas toujours été le cas avec ce groupe. Ce que nous
avons découvert, c'est que les gens marchent dans une grande obscurité, ne se souciant généralement
pas ou ne se souciant pas de savoir où va leur pays, convaincus qu'il sera toujours là pour eux. C'est ainsi que le
plus grand groupe de population a été manipulé pour réagir, et leur attitude fait le jeu du gouvernement
secret.
Nous entendons souvent parler "d'eux" faisant ceci, cela ou autre chose. "Ils" semblent littéralement pouvoir s'en
tirer avec un meurtre. "Ils" augmentent les impôts, envoient nos fils et nos filles mourir dans des guerres qui ne
profitent pas à notre pays. "Ils" semblent hors de notre portée, hors de vue, frustrants et nébuleux quand
il s'agit d'agir contre "eux". Personne ne semble capable d'identifier clairement qui "ils" sont. C'est une situation
qui dure depuis des décennies. Au cours de ce livre, nous identifierons les mystérieux « ils » puis, après cela,
c'est au peuple de remédier à sa situation.
Le 30 avril 1981, j'ai écrit une monographie révélant l'existence du Club de Rome en l'identifiant comme un
comité de 300 corps subversif. Ce fut la première mention de ces deux organisations aux ÉtatsUnis. J'ai averti
les lecteurs de ne pas se laisser berner par le sentiment que l'article était tiré par les cheveux et j'ai établi
un parallèle entre mon article et l'avertissement émis par le gouvernement bavarois lorsque les plans secrets
des Illuminati sont tombés entre ses mains. Nous reviendrons plus loin sur le Club de Rome et le rôle du Comité
des 300 dans les affaires américaines.
Bon nombre des prédictions faites dans cet article de 1981 se sont depuis réalisées, comme l'inconnu Felipe
Gonzalez devenant Premier ministre d'Espagne et le retour de Mitterrand au pouvoir en France ; la chute
de Giscard D'Estang et Helmut Schmidt, le retour au pouvoir du noble suédois et membre du Comité des 300
Olaf Palme, l'annulation de la présidence de Reagan et la destruction de nos industries de l'acier, de
l'automobile et du logement en termes de zéro postindustriel arrêté de croissance rendu par le Comité
des 300.
L'importance de Palme réside dans l'utilisation qu'en a fait le Club de Rome pour livrer la technologie à
l'Union soviétique sur la liste interdite des douanes américaines, et le réseau mondial de communication de
Palme utilisé pour braquer les projecteurs sur la fausse crise des otages en Iran. , alors qu'il faisait la navette
entre Washington et Téhéran dans le but de saper l'intégrité souveraine des ÉtatsUnis et de placer la fausse
crise dans le domaine d'une institution du Comité des 300, à savoir la Cour mondiale de La Haye, aux Pays
Bas.
Dans ce qui est en fait une conspiration ouverte contre Dieu et l'homme, qui comprend l'asservissement de la
majorité des humains restés sur cette terre après que les guerres, les pestes et les meurtres de masse en ont fini avec
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eux n'est pas bien caché. Dans la communauté du renseignement, on enseigne que la meilleure façon de
cacher quelque chose est de le placer à la vue de tous. À titre d'exemple de ce qui précède, lorsque
l'Allemagne a voulu cacher son nouvel avion de chasse Messerschmidt en 1938, l'avion a été exposé au Salon
du Bourget. Alors que des agents secrets et des espions collectaient des informations dans des troncs d'arbres
creux et derrière des briques détachées dans un mur, les informations qu'ils cherchaient les
regardaient droit dans les yeux.
Le gouvernement secret parallèle de niveau supérieur n'opère pas à partir de soussols humides et de
chambres souterraines secrètes. Il se place bien en vue à la Maison Blanche, au Congrès et au numéro 10
Downing Street et dans les Chambres du Parlement. Cela s'apparente à ces films de "monstres" étranges et soi
disant terrifiants, où le monstre apparaît avec des traits déformés, des cheveux longs et des dents encore
plus longues, grognant et bavant partout. C'est de la distraction, les VRAIS MONSTRES portent des costumes
d'affaires et se rendent au travail à Capitol Hill dans des limousines.
Ces hommes sont EN VUE LIBRE. Ces hommes sont les serviteurs du gouvernement mondial
uniqueNouvel Ordre Mondial. Comme le violeur qui s'arrête pour proposer à sa victime une balade amicale,
il ne RESSEMBLE PAS au monstre qu'il est. S'il le faisait, sa future victime s'enfuirait en hurlant de peur. Il en
va de même pour le gouvernement à tous les niveaux. Le président Bush ne RESSEMBLE PAS à un serviteur
dévoué du gouvernement parallèle de niveau supérieur, mais ne vous y trompez pas, il est tout autant un
MONSTRE que le sont ces horreurs trouvées dans les films d'horreur.
Arrêtezvous un instant et considérez comment le président Bush a ordonné le massacre brutal de 150
000 soldats irakiens, dans un convoi de véhicules militaires portant des drapeaux blancs, sur le chemin du
retour en Irak, conformément aux règles de désengagement et de retrait convenus de la Convention de Genève.
Imaginez l'horreur des troupes irakiennes quand, malgré leurs drapeaux blancs, elles ont été fauchées par
les avions américains. Dans une autre partie du front, 12 000 soldats irakiens ont été enterrés vivants
dans les tranchées qu'ils occupaient. N'estce pas MONSTRUEUX au vrai sens du terme ? D'où le président
Bush atil reçu ses ordres d'agir de cette façon MONSTRUEUSE ? Il les a obtenues de l'Institut royal des
affaires internationales (RIIA) qui a reçu son mandat du Comité des 300, également connu sous le nom
d'"Olympiens".
Comme nous le verrons, même les "olympiens" ne cachent pas leur visage. Souvent, ils proposent un spectacle
qui pourrait s'apparenter au Salon du Bourget, alors même que les complotistes passent leur temps à chercher
infructueusement au mauvais endroit et dans la mauvaise direction. Remarquez comment la reine Elizabeth II
exécute la cérémonie d'ouverture du Parlement britannique ? Là, bien en vue se trouve le chef du Comité des
300. Avezvous déjà assisté à la cérémonie d'assermentation d'un président des ÉtatsUnis ? Il y a bien en
vue un autre membre du Comité des 300. Le problème n'est qu'un problème de perception.
Qui sont les conspirateurs qui servent le puissant et toutpuissant Comité des 300 ? Les mieux informés
de nos concitoyens sont conscients qu'il y a un complot et que le complot porte divers noms tels
que les Illuminati, la francmaçonnerie, la table ronde, le groupe Milner. Pour eux, le CFR et les trilatéraux
représentent l'essentiel de ce qu'ils n'aiment pas en matière de politique intérieure et étrangère. Certains
savent même que le
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La Table ronde a une grande influence sur les affaires des ÉtatsUnis par l'intermédiaire de l'ambassadeur
britannique à Washington. Le problème est qu'il est très difficile d'obtenir de véritables informations
fiables sur les activités de trahison des membres du gouvernement invisible.
Je cite la profonde déclaration du prophète Osée, qui se trouve dans la Bible chrétienne : « Mon
peuple périt faute de connaissance. Certains ont peutêtre déjà entendu mon exposé sur le scandale
de l'aide étrangère, dans lequel j'ai nommé plusieurs organisations complotistes, dont le nombre est légion.
Leur objectif final était le renversement de la Constitution des ÉtatsUnis et la fusion de ce pays, choisi
par Dieu comme SON pays, avec un gouvernement impie d'un seul monde et du nouvel ordre mondial qui
ramènera le monde dans des conditions bien pires que celles qui existaient à l'âge des ténèbres.
Parlons de cas réels, de la tentative de communautarisation et de désindustrialisation de l'Italie. Le
Comité des 300 a décrété il y a longtemps qu'il y aura un monde plus petit beaucoup plus petit
et meilleur, c'estàdire leur idée de ce qui constitue un monde meilleur. les myriades de
mangeurs inutiles consommant des ressources naturelles rares devaient être abattus. Le progrès industriel
soutient la croissance démographique. Par conséquent, le commandement de multiplier et de soumettre
la terre trouvé dans la Genèse devait être renversé.
Cela appelait à une attaque contre le christianisme; la désintégration lente mais sûre des Étatsnations
industriels ; la destruction de centaines de millions de personnes, qualifiées par le Comité des
300 de "population excédentaire", et la destitution de tout dirigeant qui oserait faire obstacle à la
planification globale du Comité pour atteindre les objectifs susmentionnés.
Deux des premières cibles du Comité étaient l'Italie et le Pakistan. Feu Aldo Moro, Premier ministre
italien, était l'un des dirigeants qui s'opposait à la "croissance zéro" et aux réductions de population
prévues pour son pays, s'attirant ainsi les foudres du Club de Rome mandaté par les "Olympiens"
pour mener à bien sa politique à cet égard. . Dans une salle d'audience de Rome le 10 novembre
1982, un ami proche de Moro a témoigné que l'ancien Premier ministre avait été menacé par un agent
de l'Institut royal des affaires internationales (RIIA) qui est également un comité de 300 membres alors
qu'il était encore aux ÉtatsUnis. Secrétaire d'État. L'ascension fulgurante de l'homme que le témoin a
nommé Kissinger sera traitée plus tard.
On se souviendra que le Premier ministre Moro a été enlevé par les Brigades rouges en 1978, puis
brutalement abattu. C'est au procès des membres des Brigades rouges que plusieurs d'entre
eux ont témoigné du fait qu'ils étaient au courant d'une implication américaine de haut niveau dans
le complot visant à tuer Moro. En menaçant Moro, Kissinger ne menait manifestement pas la politique
étrangère américaine, mais agissait plutôt selon les instructions reçues du Club de Rome, la branche de
politique étrangère du Comité des 300.
Le témoin qui a livré la bombe en audience publique était un proche associé de Moro, Gorrado Guerzoni.
Son témoignage explosif a été diffusé à la télévision et à la radio italiennes le 10 novembre 1982 et
imprimé dans plusieurs journaux italiens, mais cette information vitale a été supprimée aux ÉtatsUnis.
Ces fameux bastions de la liberté avec un
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droit impérieux de savoir, le Washington Post et le New York Times, n'ont pas jugé important d'imprimer
ne seraitce qu'une seule ligne du témoignage de Guerzoni.
Les nouvelles n'étaient pas non plus diffusées par les agences de presse ou les stations de télévision.
Le fait que l'Italien Aldo Moro ait été un homme politique de premier plan pendant des décennies et
qu'il ait été kidnappé en plein jour au printemps 1978, tous ses gardes du corps massacrés de sang
froid, n'a pas été jugé digne d'intérêt, même si Kissinger a été accusé d'être complice de ces délits ? Ou
le silence étaitil À CAUSE de l'implication de Kissinger ?
Dans mon exposé de 1982 sur ce crime odieux, j'ai démontré qu'Aldo Moro, un membre fidèle du Parti
chrétiendémocrate, a été assassiné par des assassins contrôlés par la maçonnerie P2 dans le but
de mettre l'Italie en conformité avec les ordres du Club de Rome de désindustrialiser le pays et réduire
considérablement sa population. Les plans de Moro pour stabiliser l'Italie par le plein emploi et la
paix industrielle et politique auraient renforcé l'opposition catholique au communisme et rendu la
déstabilisation du MoyenOrient un objectif primordial d'autant plus difficile.
De ce qui précède, il devient clair à quel point le plan des conspirateurs est en avance. Ils ne pensent
pas en termes de plan quinquennal. Il faut revenir aux déclarations de Weishaupt sur l'Église catholique
primitive pour comprendre ce qui était impliqué dans le meurtre d'Aldo Moro. La mort de Moro a levé
les obstacles aux plans de déstabilisation de l'Italie et, comme nous le savons maintenant, a permis
la réalisation de plans de complot pour le MoyenOrient pendant la guerre du Golfe 14 ans plus tard.
L'Italie a été choisie comme cible de test par le Comité des 300. L'Italie est importante pour les
plans des conspirateurs car c'est le pays européen le plus proche du MoyenOrient lié à l'économie et à
la politique du MoyenOrient. C'est aussi le siège de l'Église catholique, dont Weishaupt a ordonné la
destruction, et le foyer de certaines des plus puissantes familles oligarchiques d'Europe de
l'ancienne noblesse noire. Si l'Italie avait été affaiblie par la mort de Moro, cela aurait eu des
répercussions au MoyenOrient qui auraient affaibli l'influence américaine dans la région. L'Italie
est importante pour une autre raison ; c'est une porte d'entrée pour les drogues entrant en
Europe depuis l'Iran et le Liban, et nous reviendrons sur ce sujet en temps voulu.
Divers groupes s'étaient regroupés sous le nom de socialisme pour provoquer la chute de plusieurs
gouvernements italiens depuis la création du Club de Rome en 1968. Parmi ceuxci figurent la
noblesse noire de Venise et de Gênes, la maçonnerie P2 et les brigades rouges, tous travaillant pour le
mêmes objectifs. Les enquêteurs de la police de Rome travaillant sur l'affaire des Brigades rouges
Aldo Moro sont tombés sur les noms de plusieurs familles italiennes très en vue travaillant en
étroite collaboration avec ce groupe terroriste. La police a également découvert des preuves que dans
au moins une douzaine de cas, ces familles puissantes et éminentes avaient permis que leurs
maisons et/ou leurs biens soient utilisés comme refuges pour les cellules des Brigades rouges.
La "noblesse" américaine faisait sa part pour détruire la République d'Italie, une contribution notable
étant venue de Richard Gardner alors même qu'il était en sa qualité officielle d'ambassadeur du
président Carter à Rome. À cette époque, Gardner opérait sous le
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contrôle direct de Bettino Craxi, membre important du Club de Rome et homme clé de l'OTAN. Craxi
était à l'avantgarde des tentatives des conspirateurs pour détruire la République italienne. Comme
nous le verrons, Craxi a presque réussi à ruiner l'Italie et, en tant qu'acteur principal de la
hiérarchie des conspirateurs, a réussi à faire passer le divorce et l'avortement par le Parlement
italien, ce qui a entraîné les changements religieux et sociaux les plus profonds et les plus destructeurs
jamais frappés. à l'Église catholique, et par conséquent, les mœurs de la nation italienne.
Après l'élection du président Ronald Reagan, une réunion importante s'est tenue à
Washington DC en décembre 1980 sous les auspices du Club de Rome et de l'Internationale
socialiste. Ces deux organisations sont directement responsables devant le Comité des 300. L'ordre
du jour principal était de formuler les voies et moyens de neutraliser la présidence Reagan. Un
plan de groupe a été adopté et, en regardant en arrière, il est parfaitement clair que le plan que les
conspirateurs ont convenu de suivre a été très réussi.
Afin d'avoir une idée de l'ampleur et de l'omniprésence de cette conspiration, il serait approprié à
ce stade de nommer les objectifs fixés par le Comité des 300 pour la conquête et le contrôle
imminents du monde. Il existe au moins 40 "succursales" connues du Comité des 300, et nous
les énumérerons toutes, ainsi qu'une description de leurs fonctions. Une fois que cela est étudié, il
devient facile de comprendre comment un corps conspirateur central est capable
d'opérer avec autant de succès et pourquoi aucune puissance sur terre ne peut résister à leur assaut
contre les fondements mêmes d'un monde civilisé et progressiste, basé sur la liberté de
l'individu. , d'autant plus qu'il est déclaré dans la Constitution des ÉtatsUnis.
Grâce au témoignage sous serment de Guerzoni, l'Italie et l'Europe mais pas les ÉtatsUnis ont
appris que Kissinger était à l'origine de la mort d'Aldo Moro. Cette affaire tragique démontre la
capacité du Comité des 300 à imposer sa volonté à n'importe quel gouvernement sans
exception. Sécurisé dans sa position de membre de la société secrète la plus puissante du monde,
et je ne parle pas de la francmaçonnerie, Kissinger a non seulement terrifié Moro, mais a mis à
exécution ses menaces d'"éliminer" Moro s'il n'abandonnait pas son plan. apporter le progrès
économique et industriel à l'Italie.
En juin et juillet 1982, l'épouse d'Aldo Moro a témoigné en audience publique que le meurtre de son
mari était survenu à la suite de graves menaces contre sa vie, proférées par ce qu'elle a appelé "une
personnalité politique américaine de haut rang". Mme Eleanora Moro a répété la phrase précise qui
aurait été utilisée par Kissinger dans le témoignage sous serment de Guerzoni : "Soit vous arrêtez
votre ligne politique, soit vous la paierez cher." Rappelé par le juge, on a demandé à Guerzoni
s'il pouvait identifier la personne dont parlait Mme Moro. Guerzoni a répondu qu'il s'agissait bien
d'Henry Kissinger comme il l'avait précédemment laissé entendre.
Guerzoni a poursuivi en expliquant au tribunal que Kissinger avait proféré ses menaces dans la
chambre d'hôtel de Moro lors de la visite officielle des dirigeants italiens aux ÉtatsUnis. Moro alors
Premier ministre et ministre des Affaires étrangères d'Italie, pays membre de l'OTAN était un
homme de haut rang, quelqu'un qui n'aurait jamais dû subir de pressions et de menaces
mafieuses. Moro était accompagné lors de sa visite américaine par le président italien en sa qualité officielle.
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Kissinger était alors, et est toujours, un agent important au service de l'Institut royal des affaires internationales,
membre du Club de Rome et du Council on Foreign Relations. Le rôle de Kissinger dans la déstabilisation
des ÉtatsUnis au moyen de trois guerres, le MoyenOrient, la Corée et le Vietnam, est bien connu, tout comme
son rôle dans la guerre du Golfe, au cours de laquelle l'armée américaine a agi en tant que mercenaires pour le
Comité des 300 pour amener le Koweït sous son contrôle et en même temps faire de l'Irak un exemple pour
que d'autres petites nations ne soient pas tentées de décider de leur propre destin. Kissinger a également
menacé feu Ali Bhutto, président de la nation souveraine du Pakistan. Le "crime" de Bhutto était d'avoir favorisé les
armes nucléaires pour son pays. En tant qu'État musulman, le Pakistan se sentait menacé par la poursuite de
l'agression israélienne au MoyenOrient. Bhutto a été judiciairement assassiné en 1979 par le représentant du
Council on Foreign Relations dans le pays, le général Zia ul Haq.
Dans son ascension planifiée au pouvoir, ul Haq a encouragé une foule frénétique à mettre le feu aux ÉtatsUnis
Ambassade à Islamabad dans une tentative apparente de montrer au CFR qu'il était son propre homme et
d'obtenir plus d'aide étrangère et, on l'a appris plus tard, d'assassiner Richard Helms.
Quelques années plus tard, ul Haq paya de sa vie son intervention dans la guerre qui faisait rage en
Afghanistan. Son avion C130 Hercules a été touché par un tir ELF (fréquence électrique faible) peu de temps
après son décollage, provoquant une boucle de l'avion dans le sol.
Le Club de Rome, agissant sur ordre du Comité des 300 pour éliminer le général ul Haq, n'a eu aucun scrupule
à sacrifier la vie d'un certain nombre de militaires américains à bord du vol, y compris un groupe de l'US
Army Defense Intelligence Agency dirigé par le général de brigade Herber Wassom. Le général ul Haq avait
été averti par les services secrets turcs de ne pas voyager en avion, car il était la cible d'un bombardement en vol.
Dans cet esprit, ul Haq a emmené l'équipe des ÉtatsUnis avec lui comme "une police d'assurance", comme il
l'a commenté à ses conseillers proches.
Dans mon ouvrage de 1989 "Terror' in the Skies", j'ai donné le récit suivant de ce qui s'est passé : "Peu de temps
avant que le C130 d'ul Haq ne décolle d'une base militaire pakistanaise, un camion à l'aspect suspect a
été aperçu près du hangar qui avait abrité le C130. La tour de contrôle a averti la sécurité de la base, mais au
moment où l'action a été prise, le C130 était déjà en vol et le camion était parti. Quelques minutes plus tard,
l'avion a commencé à boucler la boucle jusqu'à ce qu'il touche le sol et a explosé en une boule de feu. Il n'y a
aucune explication pour un tel comportement du C130, un avion avec un dossier merveilleusement fiable, et une
commission d'enquête conjointe pakistanoaméricaine n'a trouvé aucune erreur de pilote ni défaillance mécanique
ou structurelle. la boucle est une marque reconnue d'un avion touché par le feu ELF.
Le fait que l'Union soviétique ait été en mesure de développer des dispositifs de radiofréquence à crête
élevée est connu de l'Occident grâce aux travaux de scientifiques soviétiques qui travaillent dans la division
des faisceaux d'électrons relatavistiques intensifs de l'Institut de l'énergie atomique de Kurchatov. Deux de
ses spécialistes étaient YA Vinograov et AA Rukhadze. Les deux scientifiques ont travaillé à l'Institut de
physique Lededev, spécialisé dans les lasers électroniques et à rayons X.
Après avoir reçu cette information, j'ai recherché la confirmation d'autres sources et j'ai découvert qu'en
Angleterre, l'International Journal of Electronics avait publié des
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matériel qui semblait confirmer les informations qui m'avaient été données sur la méthode choisie
pour abattre le C130 du général ul Haq. De plus, l'information a été confirmée par deux de mes
sources de renseignement. J'ai reçu des informations utiles d'un article scientifique
soviétique sur ces sujets, publié en Angleterre sous le titre "Soviet Radio Electronics and
Communications Systems". Il n'y avait aucun doute dans mon esprit que le général ul Haq avait été
assassiné. Le camion vu près du hangar C130 transportait sans aucun doute un appareil ELF
mobile du type que les forces armées soviétiques sont connues pour posséder.
Selon le témoignage écrit de Bhutto, sorti clandestinement du pays alors qu'il était en prison,
Kissinger l'a sévèrement menacé: "Je ferai un exemple horrible si vous continuez avec vos
politiques d'édification de la nation." Bhutto s'était opposé à Kissinger et au Club de Rome en appelant
à un programme d'énergie nucléaire pour amener le Pakistan dans un État industrialisé moderne
qui, aux yeux du Comité des 300, était une violation directe de ses ordres délivrés par
Kissinger aux Pakistanais. gouvernement. Ce que Kissinger faisait lorsqu'il menaçait Bhutto
n'était pas la politique officielle des ÉtatsUnis, mais la politique des Illuminati modernes.
Il faut comprendre clairement pourquoi l'énergie nucléaire est si haïe dans le monde entier, et
pourquoi le faux mouvement "écologiste", créé et soutenu financièrement par le Club de Rome,
a été appelé à faire la guerre au nucléaire énergie. Avec l'énergie nucléaire générant de
l'électricité bon marché et abondante, les pays du tiers monde deviendraient progressivement
indépendants de l'aide étrangère américaine et commenceraient à affirmer leur souveraineté.
L'électricité d'origine nucléaire est LA clé pour sortir les pays du tiers monde de leur état
arriéré, un état que le Comité des 300 a ordonné de maintenir.
Moins d'aide étrangère signifie moins de contrôle sur les ressources naturelles d'un pays par le
FMI. C'est cette idée que les pays en développement prennent en main leur destin qui était un
anathème pour le Club de Rome et son Comité des 300 au pouvoir. Nous avons vu l'opposition
à l'énergie nucléaire dans les ÉtatsUnis ont utilisé avec succès pour bloquer le
développement industriel conformément aux plans "Pos Industrial ZeroGrowth" du Club.
La dépendance visàvis de l'aide étrangère américaine maintient en fait les pays étrangers dans
la servitude du Council on Foreign Relations. Les populations des pays bénéficiaires reçoivent très
peu d'argent car il finit généralement dans les poches des chefs de gouvernement qui
permettent que les actifs en matières premières naturelles du pays soient sauvagement dépouillés
par le FMI. Mugabe du Zimbabwe, anciennement Rhodésie, est un bon exemple de la façon dont
les actifs de matières premières, dans ce cas le minerai de chrome à haute teneur, sont
contrôlés par l'aide étrangère. LONRHO, le conglomérat géant dirigé par Angus Ogilvie, membre
important du Comité des 300, au nom de son cousin, la reine Elizabeth II, a désormais le contrôle
total de cette précieuse ressource alors que les habitants du pays s'enfoncent de plus en plus dans la
pauvreté et la misère , malgré une aide de plus de 300 millions de dollars des ÉtatsUnis.
LONRHO a maintenant le monopole du chrome rhodésien et facture n'importe quel prix, alors
que sous le gouvernement Smith, cela n'était pas autorisé. Un niveau de prix raisonnable a été
maintenu pendant vingtcinq ans avant que le régime de Mugabe ne prenne le pouvoir. Alors qu'il y avait
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ont été des problèmes pendant les 14 ans de règne d'Ian Smith, depuis son départ, le chômage a
quadruplé et le Zimbabwe est dans un état de chaos et de facto de faillite. Mugabe a reçu suffisamment
d'aide étrangère des ÉtatsUnis (de l'ordre de 300 millions de dollars par an) pour lui permettre de
construire trois hôtels sur la Côte d'Azur française, Cap Ferat et Monte Carlo, tandis que ses citoyens
sont aux prises avec la maladie, le chômage et la malnutrition, sans parler d'une dictature au poing de
fer qui n'autorise aucune plainte. Comparez cela avec le gouvernement Smith qui n'a jamais
demandé ni reçu un seul centime d'aide des ÉtatsUnis. Ainsi, il est clair que l'aide étrangère est un
puissant moyen d'exercer un contrôle sur des pays comme le Zimbabwe et, en fait, sur tous les
pays africains.
Cela maintient également les citoyens américains dans un état de servitude involontaire et donc moins
en mesure de monter une opposition significative au gouvernement. David Rockefeller savait ce qu'il faisait
lorsque son projet de loi sur l'aide étrangère est devenu loi en 1946. Depuis lors, il est devenu l'une des
lois les plus détestées des recueils de lois suite à la révélation publique de ce qu'il s'agit d'un racket
géré par le gouvernement et payé par nous le peuple.
Comment les conspirateurs peuventils maintenir leur emprise sur le monde, et plus particulièrement,
leur emprise sur les ÉtatsUnis et la GrandeBretagne ? L'une des questions les plus posées est la
suivante : "Comment une seule entité peutelle savoir à tout moment ce qui se passe et comment le
contrôle estil exercé ?" Ce livre tentera de répondre à ces questions et à d'autres. La seule façon de
comprendre la réalité du succès du conspirateur est de mentionner et de discuter des sociétés
secrètes, des organisations écrans, des agences gouvernementales, des banques, des
compagnies d'assurance, des entreprises internationales, de l'industrie pétrolière et des centaines de
milliers d'entités et de fondations. dont les chefs de file constituent les membres du Comité des 300
l'organe de contrôle ULTIME qui dirige le monde et ce depuis au moins cent ans.
Puisqu'il existe déjà des dizaines de livres sur le Council on Foreign Relations (CFR) et les trilatérales,
nous irons directement au Club de Rome et au German Marshall Fund.
Lorsque j'ai introduit ces organisations aux ÉtatsUnis, peu, voire aucune, n'en avaient entendu
parler. Mon premier ouvrage, "Le Club de Rome", publié en 1983, n'attira presque pas l'attention.
De nombreux noninitiés pensaient que le Club de Rome avait quelque chose à voir avec l'Église
catholique et que le German Marshall Fund faisait référence au plan maréchal.
C'est précisément pourquoi le Comité a choisi ces noms, pour semer la confusion et détourner
l'attention de ce qui se passait. Non pas que le gouvernement américain ne le sache pas, mais comme il
faisait partie du complot, il a aidé à garder le voile sur les informations plutôt que de faire connaître la
vérité. Quelques années après que j'ai publié mon ouvrage, quelques écrivains y ont vu une mine
d'informations jusquelà inexploitées et ont commencé à écrire et à en parler comme s'ils en avaient
toujours eu pleine connaissance.
Il leur est apparu comme une révélation que le Club de Rome et ses financiers sous le nom de German
Marshall Fund étaient deux organismes conspirateurs hautement organisés opérant sous le couvert
de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et que la majorité du Club de Rome les cadres
étaient issus de l'OTAN. Le Club de Rome a formulé tout ce que l'OTAN prétendait être sa politique et,
grâce aux activités du Comité des 300
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Lord Carrington, a réussi à diviser l'OTAN en deux factions, un groupe de pouvoir politique (de gauche) et
son ancienne alliance militaire.
Le Club de Rome est toujours l'un des bras de politique étrangère les plus importants du
Comité des 300 l'autre étant les Bilderbergers. Il a été créé en 1968 par des membres purs et durs du
groupe Morgenthau d'origine sur la base d'un appel téléphonique passé par le regretté Aurellio Peccei
pour un nouvel élan urgent visant à accélérer les plans du gouvernement mondial unique maintenant
appelé le New World Order, bien que je préfère l'ancien nom. C'est certainement une meilleure description
de poste que le Nouvel Ordre Mondial, ce qui est quelque peu déroutant car il y a eu plusieurs
"Nouvel Ordre Mondial" auparavant, mais pas de Gouvernement Mondial Unique.
L'appel de Peccei a été répondu par les "futurs planificateurs" les plus subversifs venus des États
Unis, de France, de Suède, de GrandeBretagne, de Suisse et du Japon qui pourraient être rassemblés.
Au cours de la période 19681972, le Club de Rome est devenu une entité cohésive de nouveaux
scientifiques scientifiques, globalistes, futurs planificateurs et internationalistes de tous bords. Comme l'a dit
un délégué, « Nous sommes devenus le manteau aux multiples couleurs de Joseph ». Le livre de
Peccei "Human Quality" a constitué la base de la doctrine adoptée par l'aile politique de l'OTAN.
Ce qui suit est extrait du livre du Dr Peccei, "Human Quality":
"Pour la première fois depuis qu'on s'est approché du premier millénaire dans la chrétienté, de
grandes masses de gens sont vraiment en haleine à propos de l'avènement imminent de quelque
chose d'inconnu qui pourrait changer entièrement leur destin collectif... L'homme ne sait pas comment être
un homme vraiment moderne. homme.... L'homme a inventé l'histoire du mauvais dragon, mais si jamais il
y a eu un mauvais dragon, C'EST L'HOMME LUIMÊME. des sables mouvants plus il utilise son pouvoir,
plus il en a besoin.
"Nous ne devons jamais nous lasser de répéter à quel point il est insensé d'assimiler l'état
pathologique profond actuel et l'inadaptation de l'ensemble du système humain à une crise cyclique ou à
des circonstances passagères. Depuis que l'homme a ouvert la boîte de Pandore des nouvelles technologies,
il a subi une prolifération humaine incontrôlée, la manie de la croissance, les crises énergétiques, les
pénuries réelles ou potentielles de ressources, la dégradation de l'environnement, la folie nucléaire et
une foule d'afflictions connexes."
Ceci est identique au programme adopté par le faux mouvement "écologiste" bien plus tardif
engendré par le même Club de Rome pour émousser et faire reculer le développement industriel.
Globalement, le contreprogramme attendu du Club de Rome couvrirait l'invention et la diffusion d'idées de
« postindustrialisation » aux ÉtatsUnis, couplées à la propagation de mouvements de contreculture tels
que la drogue, le rock, le sexe, l'hédonisme, le satanisme, la sorcellerie et l'« environnementalisme ». ."
Tavistock Institute, Stanford Research Institute et Institute for Social Relations, en fait, tout le large éventail
d'organismes de recherche en psychiatrie sociale appliquée avait soit des délégués au conseil
d'administration du Club de Rome, soit agi en tant que
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conseillers et a joué un rôle directeur dans la tentative de l'OTAN d'adopter la «conspiration
du Verseau».
Le nom, New World Order, est considéré comme quelque chose qui s'est développé à la suite de la
guerre du Golfe en 1991, alors que le gouvernement mondial unique est reconnu comme vieux de
plusieurs siècles. Le Nouvel Ordre Mondial n'est pas nouveau, il existe et se développe sous l'une ou
l'autre forme depuis très longtemps mais il est perçu comme un DEVELOPPEMENT DU FUTUR, ce
qui n'est pas le cas ; le Nouvel Ordre Mondial est PASSÉ ET PRÉSENT. C'est pourquoi j'ai dit plus tôt que
le terme One World Government est, ou devrait être, préféré.
Aurellio Peccei a un jour confié à son ami proche Alexander Haig qu'il se sentait comme "Adam Weishaupt
réincarné". Peccei possédait une grande partie de la brillante capacité de Weishaupt à organiser et à
contrôler les Illuminati d'aujourd'hui, et cela s'est manifesté dans le contrôle de Peccei sur l'OTAN et
dans la formulation de ses politiques à l'échelle mondiale.
Peccei a dirigé le Conseil économique de l'Institut de l'Atlantique pendant trois décennies alors qu'il était
le directeur général de Fiat Motor Company de Giovanni Agnellis. Agnelli, membre d'une ancienne
famille de la noblesse noire italienne du même nom, est l'un des membres les plus importants du Comité
des 300. Il a joué un rôle de premier plan dans les projets de développement en Union soviétique.
Le Club de Rome est une organisation faîtière conspiratrice, un mariage entre des financiers anglo
américains et les anciennes familles de la noblesse noire d'Europe, en particulier la soidisant
«noblesse» de Londres, Venise et Gênes. La clé d'un contrôle réussi du monde est leur capacité à créer
et à gérer des récessions économiques sauvages et d'éventuelles dépressions.
Le Comité des 300 considère les convulsions sociales à l'échelle mondiale, suivies de dépressions,
comme une technique d'adoucissement pour de plus grandes choses à venir, comme sa principale
méthode pour créer des masses de personnes partout dans le monde qui deviendront ses bénéficiaires
de "l'aide sociale". du futur. Le comité semble fonder une grande partie de ses décisions importantes
concernant l'humanité sur la philosophie de l'aristocrate polonais, Felix Dzerzinski, qui considérait l'humanité
comme étant légèrement audessus du niveau du bétail. En tant qu'ami proche de l'agent de
renseignement britannique Sydney Reilly (Reilly était en fait le contrôleur de Dzerzinski pendant les
premières années de la révolution bolchevique), il se confiait souvent à Reilly lors de ses beuveries.
Dzerzinski était, bien sûr, la bête qui dirigeait l'appareil Red Terror. Il a dit un jour à Reilly, alors que les
deux étaient en train de boire, que "l'homme n'a pas d'importance. Regardez ce qui se passe quand vous
l'affamez. Il commence à manger ses compagnons morts pour rester en vie.
L'homme ne s'intéresse qu'à sa propre survie. C'est tout ce qui compte. Tous les trucs de Spinoza sont
beaucoup de déchets. »
Le Club de Rome a sa propre agence de renseignement privée et "emprunte" également à
INTERPOL de David Rockefeller. Toutes les agences de renseignement américaines coopèrent très
étroitement avec lui, tout comme le KGB et le Mossad. La seule agence restée hors de sa portée
était le service de renseignement estallemand. le STASSY. Le Club de Rome possède également ses
propres agences politiques et économiques hautement organisées. Ce sont eux qui ont dit au
président Reagan de retenir les services de Paul Volcker, encore un autre important
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Comité de 300 membres. Volcker est resté président du Federal Reserve Board, malgré la
promesse fidèle du candidat Reagan qu'il le destituerait dès que lui, Reagan, serait élu.
Le Club de Rome, après avoir joué un rôle clé dans la crise des missiles de Cuba, a tenté de vendre son
programme de "gestion de crise" (l'ancêtre de la FEMA) au président Kennedy.
Plusieurs scientifiques de Tavistock sont allés voir le président pour expliquer ce que cela signifiait,
mais le président a rejeté les conseils qu'ils ont donnés. La même année que Kennedy a été
assassiné, Tavistock était de retour à Washington pour parler avec la NASA. Cette fois, les
pourparlers ont été couronnés de succès. Tavistock a reçu un contrat de la NASA pour évaluer l'effet de
son prochain programme spatial sur l'opinion publique américaine.
Le contrat a été confié au Stanford Research Institute et à la Rand Corporation.
Une grande partie du matériel produit par Tavistock, Stanford et Rand n'a jamais vu le jour et reste
scellé jusqu'à présent. Plusieurs comités et souscomités de surveillance du Sénat que j'ai
approchés pour obtenir des informations m'ont dit qu'ils n'en avaient «jamais entendu parler», et qu'ils
n'avaient pas la moindre idée de l'endroit où je pourrais trouver ce que je cherchais. Tel est le pouvoir et
le prestige du Comité des 300.
En 1966, mes collègues du renseignement m'ont conseillé d'approcher le Dr Anatol Rappaport qui avait
écrit un traité dans lequel l'administration était apparemment intéressée. C'était un document destiné à
mettre fin au programme spatial de la NASA, qui, selon Rapport, avait perdu son utilité. Rappaport
était assez heureux de me donner une copie de son article qui, sans entrer dans les détails, affirmait
essentiellement que le programme spatial de la NASA devait être abandonné. La NASA compte trop
de scientifiques qui exerçaient une mauvaise influence sur l'Amérique parce qu'ils étaient toujours
désireux de faire la leçon aux écoles et au public universitaire sur le fonctionnement des fusées, de
la construction à la propulsion. Rappaport a affirmé que cela produirait une génération d'adultes qui
décideraient de devenir des scientifiques de l'espace, pour se retrouver "superflus" car personne n'aurait
besoin de leurs services d'ici l'an 2000.
Dès que le rapport de profilage de Rappaport sur la NASA a été présenté à l'OTAN par le Club de
Rome, le Comité des 300 a exigé une action. Les responsables du Club OTAN de Rome chargés
d'une action antiNASA urgente étaient Harland Cleveland, Joseph Slater, Claiborne K. Pell, Walter J.
Levy, George McGhee, William Watts, Robert StrauszHupe (ambassadeur américain auprès de l'OTAN)
et Donald Lesh. En mai 1967, une réunion a été organisée par le Comité scientifique et technologique de
l'Assemblée de l'Atlantique Nord et l'Institut de recherche sur la politique étrangère. Elle s'appelait
"Conférence sur le déséquilibre transatlantique et la collaboration" et s'est tenue dans le palais de la
reine Elizabeth à Deauville, en France.
L'objectif fondamental et l'intention de la conférence de Deauville étaient de mettre fin au progrès
technologique et industriel américain. De la conférence sont sortis deux livres, dont l'un est
mentionné ici, "Technotronic Era" de Brzezinski. L'autre a été écrit par le président de la conférence,
Aurellio Peccei, intitulé "The Chasm Ahead". Peccei était largement d'accord avec Brzezinski, mais
a ajouté qu'il y aurait du chaos dans un monde futur NON DIRIGÉ PAR UN GOUVERNEMENT
MONDIAL UNIQUE. À cet égard, Peccei a insisté pour que l'Union soviétique
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doit se voir offrir « une convergence avec l'OTAN », une telle convergence aboutissant à un
partenariat à parts égales dans un Nouvel Ordre Mondial avec les ÉtatsUnis. Les deux
nations seraient responsables de la future "gestion des crises et de la planification mondiale". Le
premier "contrat de planification globale" du Club de Rome est allé au Massachusetts Institute of
Technology (MIT), l'un des premiers instituts de recherche du Comité des 300. Jay Forrestor
et Dennis Meadows ont été chargés du projet.
De quoi parlait leur rapport ? Cela ne différait pas fondamentalement de ce que prêchaient Malthus
et Von Hayek, à savoir la vieille question du manque de ressources naturelles pour tout le
monde. Le rapport ForrestorMeadows était une fraude totale. Ce qu'il n'a pas dit, c'est que le génie
inventif éprouvé de l'homme contournerait selon toute vraisemblance les « pénuries ».
L'énergie de fusion, l'ennemi MORTEL du Comité des 300, pourrait être appliquée à la
CRÉATION de ressources naturelles. Une torche à fusion pourrait produire à partir d'un mile carré
de roche ordinaire assez d'aluminium, par exemple, pour combler nos besoins pendant 4 ans.
Peccei ne s'est jamais lassé de prêcher contre l'Étatnation et à quel point ils sont destructeurs
pour le progrès de l'humanité. Il a appelé à la "responsabilité collective". Le nationalisme était un
cancer pour l'homme était le thème de plusieurs discours importants prononcés par Peccei. Son
ami proche Ervin Lazlo a produit en 1977 une œuvre dans la même veine qui s'appelait "Goals
of Mankind", une étude historique pour le Club de Rome. L'ensemble du document de position était
une attaque au vitriol contre l'expansion industrielle et la croissance urbaine. Tout au long de ces
années, Kissinger, en tant qu'interlocuteur désigné, est resté en contact étroit avec Moscou au nom
du RIIA. Des articles sur la " modélisation globale " étaient régulièrement partagés avec les amis de
Kissinger au Kremlin.
En ce qui concerne le tiers monde, Harland Cleveland du Club de Rome a préparé un rapport qui était
le comble du cynisme. À l'époque, Cleveland était ambassadeur des ÉtatsUnis auprès de l'OTAN.
Essentiellement, le journal a déclaré qu'il appartiendrait aux pays du tiers monde de décider entre
eux quelles populations devraient être éliminées. Comme Peccei l'a écrit plus tard (sur la base du
rapport Cleveland) : "Endommagé par les politiques contradictoires de trois grands pays et blocs,
grossièrement rafistolés ici et là, l'ordre économique international existant est visiblement en train
de s'effondrer... La perspective de la nécessité du recours au triage décider qui doit être
sauvé est en effet très sombre. Mais, si malheureusement, les événements devaient en arriver
là, le droit de prendre de telles décisions ne peut être laissé à quelques nations seulement. car cela
se prêterait à un pouvoir inquiétant sur la vie des affamés du monde."
On y trouve la politique du comité consistant à affamer délibérément les nations africaines à mort,
comme en témoignent les nations subsahariennes. C'était du cynisme à son comble, car le
Comité des 300 avait déjà abrogé les décisions de vie et de mort, et Peccei le savait. Il l'avait
précédemment indiqué dans son livre "Limits of Growth". Peccei a complètement rejeté le progrès
industriel et agricole et a exigé à sa place que le monde relève d'un seul conseil de coordination, à
savoir le Club de Rome et ses institutions de l'OTAN, dans un gouvernement mondial unique.
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Les ressources naturelles devraient être allouées sous les auspices de la planification mondiale.
Les Étatsnations pourraient soit accepter la domination du Club de Rome, soit survivre selon la loi de la
jungle et se battre pour survivre. Dans son premier "cas test", Meadows et Forrestor ont planifié la guerre
araboisraélienne de 1973 au nom du RIIA pour faire clairement comprendre au monde que les
ressources naturelles comme le pétrole seraient à l'avenir sous le contrôle des planificateurs mondiaux,
ce qui signifie bien sûr, sous le contrôle du Comité des 300.
L'Institut Tavistock a appelé à une consultation avec Peccei à laquelle McGeorge Bundy, Homer
Perlmutter et le Dr Alexander King ont été invités. De Londres, Peccei s'est rendu à la Maison Blanche où
il a rencontré le président et son cabinet, suivi d'une visite au département d'État où il s'est entretenu avec
le secrétaire d'État, le service de renseignement du département d'État et le conseil de
planification de la politique de l'État. Ainsi, dès le début, le gouvernement des ÉtatsUnis était
pleinement conscient des plans du Comité des 300 pour ce pays. Cela devrait répondre à la question
souvent posée : « Pourquoi notre gouvernement permettraitil au Club de Rome d'opérer de manière
subversive aux ÉtatsUnis ?
Les politiques économiques et monétaires de Volcker étaient le reflet de celles de Sir Geoffrey Howe,
chancelier de l'Échiquier et membre du Comité des 300. Cela sert à illustrer comment la GrandeBretagne
a contrôlé les ÉtatsUnis, en commençant peu après la guerre de 1812, et continue d'exercer un contrôle
sur ce pays par le biais des politiques du Comité des 300.
Quels sont les objectifs du groupe d'élite secrète, les héritiers de l'Illuminisme (Moriah Conquering
Wind), du Culte de Denys, du Culte d'Isis, du Catharisme, du Bogomilisme ? Ce groupe d'élite qui se fait
également appeler les OLYMPIENS (ils croient vraiment qu'ils sont égaux en puissance et en stature
aux dieux légendaires de l'Olympe, qui, comme Lucifer leur dieu, se sont placés audessus de notre vrai
Dieu) croient absolument qu'ils ont été accusés d'imple mentionnant ce qui suit de droit divin :
(1) Un gouvernement mondial unique Nouvel ordre mondial avec une église unifiée et un système
monétaire sous leur direction. Peu de gens savent que le gouvernement mondial unique a commencé à
mettre en place son "église" dans les années 1920/1930, car ils ont réalisé la nécessité pour une
croyance religieuse inhérente à l'humanité d'avoir un exutoire et, par conséquent, ont créé un corps
"d'église". pour canaliser cette croyance dans la direction qu'ils souhaitaient.
(2) La destruction totale de toute identité nationale et de toute fierté nationale.
(3) La destruction de la religion et plus particulièrement la religion chrétienne, à la seule exception, leur
propre création mentionnée cidessus.
(4) Le contrôle de chaque personne par des moyens de contrôle de l'esprit et ce que Brzezinski appelle la
"technotronique" qui créerait des robots humains et un système de terreur à côté duquel la Terreur rouge
de Felix Dzerzinski ressemblera à des enfants en train de jouer.
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(5) La fin de toute industrialisation et de la production d'énergie électrique d'origine nucléaire dans ce qu'ils appellent
"la société postindustrielle à croissance zéro". Sont exemptés les secteurs de l'informatique et des services. Les
industries américaines qui resteront seront exportées vers des pays comme le Mexique où une abondante main
d'œuvre esclave est disponible. Les chômeurs à la suite de la destruction industrielle deviendront soit des
toxicomanes à l'opiumhéroïne et/ou à la cocaïne, soit deviendront des statistiques dans le processus d'élimination
que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de Global 2000.
(6) Légalisation des drogues et de la pornographie.
(7) Dépeuplement des grandes villes selon l'essai mené par le régime de Pol Pot au Cambodge. Il est
intéressant de noter que les plans génocidaires de Pol Pot ont été élaborés ici aux ÉtatsUnis par l'une des fondations
de recherche du Club de Rome. Il est également intéressant de noter que le Comité cherche actuellement à
réintégrer les bouchers Pol Pot au Cambodge.
(8) Suppression de tout développement scientifique à l'exception de ceux jugés bénéfiques par le Comité.
L'énergie nucléaire à des fins pacifiques est particulièrement visée. Particulièrement détestées sont les
expériences de fusion actuellement méprisées et ridiculisées par le Comité et ses chacals de la presse. Le
développement de la torche à fusion ferait exploser par la fenêtre la conception du Comité de "ressources naturelles
limitées". Une torche à fusion correctement utilisée pourrait créer des ressources naturelles illimitées et
inexploitées à partir des substances les plus ordinaires. Les utilisations de la torche à fusion sont légion et
profiteraient à l'humanité d'une manière qui n'est pas encore comprise à distance par le public.
(9) Causer au moyen de guerres limitées dans les pays avancés, et au moyen de la famine et des maladies dans les
pays du tiers monde, la mort de 3 milliards de personnes d'ici l'an 2000, des gens qu'ils appellent des
"mangeurs inutiles". Le Comité des 300 a chargé Cyrus Vance d'écrire un article sur ce sujet sur la meilleure
façon de provoquer un tel génocide. Le document a été produit sous le titre de "Rapport mondial 2000" et a été
accepté et approuvé pour action par le président Carter, pour et au nom du gouvernement américain, et accepté
par Edwin Muskie, alors secrétaire d'État. Aux termes du rapport Global 2000, la population des ÉtatsUnis doit
être réduite de 100 millions d'ici 2050.
(10)Affaiblir la fibre morale de la nation et démoraliser les travailleurs de la classe ouvrière en créant un chômage
de masse. Alors que les emplois diminuent en raison des politiques postindustrielles de croissance zéro introduites
par le Club de Rome, les travailleurs démoralisés et découragés auront recours à l'alcool et à la drogue. La
jeunesse du pays sera encouragée par le biais de la musique rock et de la drogue à se rebeller contre le statu
quo, sapant ainsi et éventuellement détruisant l'unité familiale. À cet égard, le Comité des 300 a chargé
l'Institut Tavistock de préparer un plan sur la manière dont cela pourrait être réalisé. Tavistock a demandé à Stanford
Research d'entreprendre les travaux sous la direction du professeur Willis Harmon.
Ce travail est devenu plus tard connu sous le nom de "The Aquarian Conspiracy".
(11)Pour empêcher les gens partout de décider de leur propre destin au moyen d'une crise créée après
l'autre, puis de "gérer" ces crises. Cela confondra et démoralisera la population dans la mesure où face à
trop de choix, à l'apathie d'un
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échelle massive en résultera. Dans le cas des ÉtatsUnis, une agence de gestion de crise
est déjà en place. Il s'appelle l'Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA), dont j'ai révélé
l'existence pour la première fois en 1980. Il y aura plus d'informations sur la FEMA au fur et à mesure
que nous avançons.
(12)Introduire de nouveaux cultes et continuer à renforcer ceux qui fonctionnent déjà, notamment
les gangsters de la "musique" rock tels que les "Rolling Stones" de Mick Jagger, un groupe de
gangsters très apprécié de la noblesse noire européenne, et tous les Tavistock créé des groupes
"rock" qui ont commencé par "The Beatles". Continuer à développer le culte de l'intégrisme chrétien
commencé par le serviteur de la Compagnie britannique des Indes orientales, Darby, qui sera
utilisé à mauvais escient pour renforcer l'État sioniste d'Israël en s'identifiant aux Juifs à travers le
mythe du "peuple élu de Dieu" et en faisant des dons très d'importantes sommes d'argent à ce qu'ils
croient à tort être une cause religieuse dans l'avancement du christianisme.
(14) Faire pression pour la propagation de cultes religieux tels que les Frères musulmans, le
fondamentalisme musulman, les Sikhs, et mener des expériences de meurtres de type Jim Jones et
"Fils de Sam". Il convient de noter que feu l'ayatollah Khomeiny était une création de la division 6 du
renseignement militaire britannique, communément appelée M16, comme je l'ai rapporté dans mon
travail de 1985, "What Really Happened In Iran".
(15) Exporter les idées de "libération religieuse" à travers le monde afin de saper toutes les
religions existantes mais plus particulièrement la religion chrétienne. Cela a commencé avec la
« théologie jésuite de la libération » qui a entraîné la chute du règne de la famille Somoza au
Nicaragua et qui détruit aujourd'hui EI Salvador, après 25 ans de « guerre civile ».
Costa Rica et Honduras. Une entité très active engagée dans la soidisant théologie de la libération est la
mission Mary Knoll, à orientation communiste. Cela explique l'importante attention médiatique accordée
au meurtre de quatre des soidisant nonnes de Mary Knoll à EI Salvador il y a quelques années. Les
quatre religieuses étaient des agents subversifs communistes et leurs activités ont été largement
documentées par le gouvernement d'EI Salvador. La presse et les médias américains ont refusé
d'accorder une place ou une couverture à la masse de documents en possession du gouvernement
salvadorien, documents qui prouvent ce que les religieuses de la mission Mary Knoll faisaient dans
le pays. Mary Knoll est en service dans de nombreux pays et a joué un rôle de premier plan dans
l'introduction du communisme en Rhodésie, au Mozambique, en Angola et en Afrique du Sud.
(16) Provoquer un effondrement total des économies mondiales et engendrer un chaos politique total.
(17) Prendre le contrôle de toutes les politiques étrangères et intérieures des ÉtatsUnis.
(18)Apporter le plus grand soutien aux institutions supranationales telles que les Nations unies (ONU),
le Fonds monétaire international (FMI), la Banque des règlements internationaux (BRI), la Cour
mondiale et, dans la mesure du possible, rendre les institutions locales de moindre effet en les
supprimant progressivement ou en les plaçant sous le manteau des Nations Unies.
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(19) Pénétrer et renverser tous les gouvernements, et travailler de l'intérieur pour détruire
l'intégrité souveraine des nations qu'ils représentent.
(20) Organiser un appareil terroriste mondial et négocier avec les terroristes chaque fois que des
activités terroristes ont lieu. On se rappellera que c'est Bettino Craxi qui a persuadé les
gouvernements italien et américain de négocier avec les ravisseurs des Brigades rouges du Premier
ministre Moro et du général Dozier. En aparté, le général Dozier a pour ordre de ne pas parler de
ce qui lui est arrivé. S'il rompait ce silence, il deviendrait sans aucun doute "un horrible exemple" de
la manière dont Kissinger traitait Aldo Moro, Ali Bhutto et le général Zia ul Haq.
(21) Prenez le contrôle de l'éducation en Amérique avec l'intention et le but de la détruire
complètement et complètement.
La plupart de ces objectifs, que j'ai énumérés pour la première fois en 1969, ont depuis été atteints
ou sont en passe de l'être. Le programme du Comité des 300 présente un intérêt particulier pour le
cœur de leur politique économique, qui repose en grande partie sur les enseignements de Malthus,
le fils d'un pasteur de campagne anglais qui a été mis en évidence par la British East India Company
sur laquelle le Comité des 300 est modélisé.
Malthus soutenait que le progrès de l'homme est lié à la capacité naturelle de la terre à subvenir
aux besoins d'un nombre donné d'habitants, audelà duquel les ressources limitées de la terre
s'épuiseraient rapidement. Une fois ces ressources naturelles consommées, il sera impossible
de les remplacer. Ainsi, observe Malthus, il est nécessaire de limiter les populations dans les
limites de ressources naturelles décroissantes. Il va sans dire que l'élite ne se laissera pas menacer
par une population bourgeonnante de "mangeurs inutiles", d'où la nécessité de pratiquer l'abattage.
Comme je l'ai déjà dit, "l'abattage" se poursuit aujourd'hui, en utilisant les méthodes prescrites dans
le "Rapport Global 2000".
Tous les plans économiques du Comité se rencontrent à la croisée de Malthus et Frederick Von
Hayek, un autre économiste catastrophique qui est parrainé par le Club de Rome.
Von Hayek, né en Autriche, a longtemps été sous le contrôle de David Rockefeller, et les théories de
Von Hayek sont assez largement acceptées aux ÉtatsUnis. Selon Von Hayek, la plateforme
économique des ÉtatsUnis doit être basée sur (a) les marchés noirs urbains (b) les petites industries
de type Hong Kong utilisant la maind'œuvre clandestine (c) le commerce touristique, (d) les zones
de libre entreprise où les spéculateurs peuvent fonctionner sans entrave et où le commerce de la
drogue peut prospérer (e) Arrêt de toute activité industrielle et (f) Fermeture de toutes les centrales
nucléaires.
Les idées de Von Hayek cadrent parfaitement avec celles du Club de Rome, ce qui explique peut
être pourquoi il est si bien promu dans les cercles de droite de ce pays. Le manteau de Von
Hayek est passé à un nouvel économiste plus jeune, Jeoffrey Sachs, qui a été envoyé en
Pologne pour reprendre là où Von Hayek s'était arrêté. On rappellera que le Club de Rome a
organisé la crise économique polonaise qui a conduit à la déstabilisation politique du pays.
La même planification économique, si l'on ose l'appeler ainsi, sera imposée à la Russie,
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mais en cas d'opposition généralisée, l'ancien système de soutien des prix sera rapidement rétabli.
Le Comité des 300 a ordonné au Club de Rome d'utiliser le nationalisme polonais comme un outil pour
détruire l'Église catholique et ouvrir la voie aux troupes russes pour réoccuper le pays. Le
mouvement "Solidarité" est une création du Comité des 300 de Zbigniew Brzezinski, qui choisit le nom
du "syndicat" et sélectionne ses dirigeants et organisateurs. La solidarité n'est pas un mouvement
"ouvrier", bien que les ouvriers du chantier naval de Gdansk aient été utilisés pour le lancer, mais plutôt
une organisation POLITIQUE de haut niveau, créée pour apporter des changements forcés en vue
de l'avènement du gouvernement mondial unique.
La plupart des dirigeants de Solidarité étaient des descendants de Juifs bolcheviks d'Odessa et n'étaient
pas réputés pour leur haine du communisme. Cela aide à comprendre la couverture de saturation
fournie par les médias d'information américains. Le professeur Sachs a poussé le processus un peu
plus loin, assurant l'esclavage économique d'une Pologne récemment libérée de la domination de l'URSS.
La Pologne va maintenant devenir l'esclave économique des ÉtatsUnis. Tout ce qui s'est passé, c'est
que le maître a changé. Brzezinski est l'auteur d'un livre qui aurait dû être lu par tout Américain intéressé
par l'avenir de ce pays. Intitulée "The Technotronic Era", elle a été commandée par le Club de Rome.
Le livre est une annonce ouverte de la manière et des méthodes à utiliser pour contrôler les États
Unis à l'avenir. Il a également signalé le clonage et les "robotoïdes", c'estàdire des personnes qui
agissaient comme des personnes et qui semblaient être des personnes, mais qui n'en étaient pas.
Brzezinski, s'exprimant au nom du Comité des 300, a déclaré que les ÉtatsUnis entraient "dans une
ère qui ne ressemble à aucun de leurs prédécesseurs ; nous nous dirigeons vers une ère
technotronique qui pourrait facilement devenir une dictature". J'ai fait un rapport complet sur "l'ère
Technotronic" en 1981 et l'ai mentionné dans mes newsletters à plusieurs reprises.
Brzezinski a poursuivi en disant que notre société "est maintenant dans une révolution de l'information
basée sur l'amusement, les spectacles de spectateurs (couverture à saturation par la télévision
d'événements sportifs) qui fournissent un opiacé à une masse de plus en plus sans but". Brzezinski
étaitil un autre voyant et un prophète ? Pouvaitil voir dans le futur ? La réponse est non; ce qu'il a
écrit dans son livre a été simplement copié du plan du Comité des 300 donné au Club de Rome pour
exécution. N'estil pas vrai qu'en 1991 nous avons déjà une masse de citoyens sans but ? Nous pourrions
dire que 30 millions de chômeurs et 4 millions de sansabri forment une « masse sans but », ou du moins
le noyau d'une seule.
En plus de la religion, "l'opiacé des masses" dont Lénine et Marx reconnaissaient qu'il était nécessaire,
nous avons maintenant les opiacés du sportspectacle de masse, les désirs sexuels débridés, la musique
rock et toute une nouvelle génération de toxicomanes. Le sexe insensé et une épidémie de consommation
de drogue ont été créés pour distraire les gens de ce qui se passe autour d'eux. Dans "The
Technotronic Era", Brzezinski parle des "masses" comme si les gens étaient un objet inanimé ce qui
est peutêtre la façon dont nous sommes perçus par le Comité des 300. Il se réfère continuellement à
la nécessité de nous contrôler "les masses".
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À un moment donné, il laisse le chat sortir du sac :
"Dans le même temps, la capacité d'exercer un contrôle social et politique sur l'individu augmentera
considérablement. Il sera bientôt possible d'exercer un contrôle quasi continu sur chaque citoyen et
de tenir à jour des fichiers contenant même les détails les plus personnels sur la santé et le comportement
personnel de chaque citoyen en plus des données plus habituelles.
"Ces fichiers feront l'objet d'une récupération instantanée par les autorités. Le pouvoir gravitera
entre les mains de ceux qui contrôlent l'information. Nos institutions existantes seront supplantées par des
institutions de gestion d'avantcrise, dont la tâche sera d'identifier à l'avance les risques sociaux
probables". crises et de développer des programmes pour y faire face (ceci décrit la structure de la
FEMA qui est venue beaucoup plus tard).
« Cela encouragera les tendances au cours des prochaines décennies vers une ÈRE
TECHNOTRONIQUE, UNE DICTATURE, laissant encore moins de place aux procédures politiques
telles que nous les connaissons. AVEC L'HOMME, Y COMPRIS DES ÊTRES QUI
FONCTIONNERONT COMME DES HOMMES ET RAISONNERONT COMME EUX AUSSI, POURRAIENT
POSER DES QUESTIONS DIFFICILES."
Brzezinski n'écrivait pas en tant que citoyen privé mais en tant que conseiller à la sécurité nationale de
Carter et membre dirigeant du Club de Rome et membre du Comité des 300, membre du CFR et
membre de l'ancienne noblesse noire polonaise. Son livre explique comment l'Amérique doit abandonner
sa base industrielle et entrer dans ce qu'il appelle « une nouvelle ère historique distincte ».
"Ce qui rend l'Amérique unique, c'est sa volonté d'expérimenter l'avenir, que ce soit le popart ou le LSD.
Aujourd'hui, l'Amérique est la société créative, les autres, consciemment ou inconsciemment, sont des
émules. Ce qu'il aurait dû dire, c'est que l'Amérique est la preuve terrain pour les politiques du
Comité des 300 qui conduisent directement à la dissolution de l'ordre ancien et à l'entrée dans le
gouvernement mondial unique nouvel ordre mondial.
L'un des chapitres de "The Technotronic Era" explique comment la nouvelle technologie apportera dans
son sillage une confrontation intense qui mettra à rude épreuve la paix sociale et internationale.
Curieusement, nous sommes déjà soumis à d'intenses tensions à cause de la surveillance. Lourdes à
Cuba est un endroit où cela se produit. L'autre est le siège de l'OTAN à Bruxelles, en Belgique, où un
ordinateur géant appelé "666" peut stocker des données de tous les types mentionnés par
Brzezinski, en plus de posséder une capacité étendue pour prendre en charge les données de plusieurs
milliards de personnes de plus qu'il n'en existe actuellement, si jamais cela vient. à cela, mais qui, à la
lumière du rapport génocidaire de Global 2000, n'aura probablement jamais besoin d'être utilisé.
La récupération des données sera simple aux ÉtatsUnis où Brzezinski et son comité de 300 collègues
pourraient simplement ajouter les numéros de sécurité sociale et/ou de permis de conduire à 666 pour
fournir l'enregistrement de surveillance annoncé. Le Comité déjà en 1981 a mis en garde
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gouvernements, y compris le gouvernement de l'URSS, qu'il « y aura le chaos à moins que le
Comité des 300 ne prenne le contrôle total des préparatifs du Nouvel Ordre Mondial.
LE CONTRÔLE SERA EXERCÉ PAR L'INTERMÉDIAIRE DE NOTRE COMITÉ ET PAR LA
PLANIFICATION GLOBALE ET LA GESTION DE CRISE. UN GOUVERNEMENT
MONDIAL.
Quand j'ai écrit ces choses en 1981, les plans globaux des conspirateurs étaient déjà dans un état
avancé de préparation. Si l'on regarde les 10 dernières années, on peut constater à quel point les
plans du Comité ont avancé rapidement. Si les informations fournies en 1981 étaient alarmantes, elles
devraient l'être encore plus aujourd'hui alors que nous approchons des dernières étapes de la disparition
des ÉtatsUnis tels que nous les connaissons. Avec un financement illimité, avec plusieurs
centaines de groupes de réflexion et 5000 ingénieurs sociaux, la banque des médias et le contrôle de
la plupart des gouvernements une réalité, nous pouvons voir que nous traçons un problème aux
proportions immenses, auquel aucune nation ne peut s'opposer en ce moment.
Comme je l'ai si souvent dit, nous avons été induits en erreur en pensant que le problème dont je
parle a son origine à Moscou. Nous avons subi un lavage de cerveau en nous faisant croire que le
communisme est le plus grand danger auquel nous, Américains, sommes confrontés. Ce n'est tout
simplement pas le cas. Le plus grand danger provient de la masse de traîtres parmi nous. Notre Constitution
nous avertit de faire attention à l'ennemi à l'intérieur de nos portes. Ces ennemis sont les
serviteurs du Comité des 300 qui occupent des postes élevés au sein de notre structure
gouvernementale. Les ÉTATSUNIS sont l'endroit où nous DEVONS commencer notre combat pour
renverser la marée menaçant de nous engloutir, et où nous devons nous rencontrer et vaincre ces conspirateurs internes.
Le Club de Rome a également joué un rôle direct dans la création de la guerre de 25 ans à EI
Salvador, en tant que partie intégrante du plan plus large élaboré par Elliot Abrams du
Département d'État américain. C'est Willy Brandt, membre du Comité des 300, dirigeant de
l'Internationale socialiste et ancien chancelier de l'Allemagne de l'Ouest, qui a payé
"l'offensive finale" de la guérilla salvadorienne qui, heureusement, n'a pas réussi. EI
Salvador a été choisi par le comité pour faire de l'Amérique centrale une zone pour une nouvelle
guerre de trente ans, tâche qui a été confiée à Kissinger sous le titre anodin de "Plan des Andes".
Juste pour démontrer comment les conspirateurs opèrent à travers toutes les frontières nationales,
l'action "offensive finale" planifiée par Willy Brandt est survenue à la suite d'une visite à Felipe
Gonzalez, qui à l'époque se préparait pour son rôle ordonné par le Club de Rome en tant que futur
Premier ministre espagnol. À part moimême et un ou deux de mes collègues et anciens
collègues du renseignement, personne ne semblait avoir entendu parler de Gonzalez avant qu'il
ne fasse surface à Cuba. Gonzalez était le responsable du dossier du Club de Rome pour EI
Salvador et le premier socialiste à être élevé au pouvoir politique en Espagne depuis la mort du général Franco.
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Gonzalez était en route pour Washington pour assister à la réunion socialiste "get Reagan" du
Club de Rome qui a eu lieu en décembre 1980. Le guérillero de gauche Guillermo Ungo, dirigé par
l'Institute for Policy Studies, était présent à la réunion GonzalezCastro. (IPS), le groupe de
réflexion de gauche le plus notoire du Comité des 300 basé à Washington. Ungo était dirigé par un
membre de l'IPS décédé dans un mystérieux accident d'avion alors qu'il se rendait de Washington à La
Havane pour visiter Castro.
Comme la plupart d'entre nous le savent, la gauche et la droite du spectre politique sont contrôlées par
les mêmes personnes, ce qui aidera à expliquer le fait qu'Ungo était un ami de longue date de feu
Napoléon Duarte, chef de la droite à l'EI. Salvador. C'est après la rencontre cubaine que fut menée
"l'offensive finale" de la guérilla salvadorienne.
La polarisation de l'Amérique du Sud et des ÉtatsUnis était une mission spéciale confiée à
Kissinger par le Comité des 300. La guerre des Malouines (également connue sous le nom de
guerre des Malouines) et le renversement ultérieur du gouvernement argentin, suivis d'un chaos
économique et de bouleversements politiques, ont été planifié par Kissinger Associates agissant de
concert avec Lord Carrington, un membre de premier plan du Comité des 300.
L'un des principaux comités de 300 actifs aux ÉtatsUnis, l'Aspen Institute du Colorado, a
également aidé à planifier des événements en Argentine, comme il l'a fait dans le cas de la chute du
Shah d'Iran. L'Amérique latine est importante pour les ÉtatsUnis, non seulement parce que nous avons
tant de traités de défense mutuelle avec ces pays, mais aussi parce qu'elle a le potentiel de fournir un
énorme marché aux exportations américaines de technologie, d'équipements industriels lourds
qui, dans le monde, ont galvanisé de nombreux nos entreprises défaillantes et créé des milliers de
nouveaux emplois. Cela devait être évité à tout prix, même si cela signifiait 30 ans de
guerre.
Au lieu de voir cet énorme potentiel sous un jour positif, le Comité des 300 l'a vu comme une menace
dangereuse pour ses plans américains postindustriels de croissance zéro et a immédiatement agi
pour faire de l'Argentine un exemple comme un avertissement aux autres nations d'Amérique latine
d'oublier toutes les idées qu'ils ont pu avoir pour promouvoir le nationalisme, l'indépendance et
l'intégrité souveraine. C'est la raison pour laquelle tant de pays d'Amérique latine se sont tournés
vers la drogue comme seul moyen de subsistance, ce qui pourrait très bien avoir été l'intention
des conspirateurs en premier lieu.
Les Américains en général méprisent le Mexique, et c'est précisément l'attitude avec laquelle le Comité
veut que le peuple des ÉtatsUnis considère le Mexique. Ce que nous devons faire, c'est changer notre
façon de penser sur le Mexique et l'Amérique du Sud en général. Le Mexique représente un marché
potentiellement énorme pour tous les types de produits américains, ce qui pourrait signifier des milliers
d'emplois pour les Américains et les Mexicains. Transférer nos industries "au sud de la frontière" et
payer les salaires des esclaves des maquiladores n'est dans l'intérêt d'aucun des deux pays. Cela ne
profite à personne d'autre qu'aux "olympiens".
Le Mexique a reçu la majeure partie de sa technologie nucléaire de l'Argentine, mais la guerre des
Malouines y a mis fin. Le Club de Rome a décrété en 1986 qu'il arrêterait les exportations de
technologie nucléaire vers les pays en développement. Avec les centrales nucléaires
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générant une électricité abondante et bon marché, le Mexique serait devenu « l'Allemagne de
l'Amérique latine ». Un tel état de choses aurait été un désastre pour les conspirateurs qui ont, en 1991,
stoppé toutes les exportations de technologie nucléaire sauf celle destinée à Israël.
Ce que le Comité des 300 a en tête pour le Mexique, c'est une paysannerie féodale, une condition qui permet
une gestion et un pillage faciles du pétrole mexicain. Un Mexique stable et prospère ne peut être qu'un plus
pour les ÉtatsUnis. C'est ce que les conspirateurs souhaitent empêcher, ils se sont donc engagés dans des
décennies d'insinuations, de calomnies et de guerre économique directe contre le Mexique.
Avant que l'ancien président Lopes Portillo n'entre en fonction et ne nationalise les banques, le Mexique
perdait 200 millions de dollars par jour à cause de la fuite des capitaux, organisée et orchestrée
par le Comité des représentants des 300 dans les banques et les maisons de courtage de Wall Street.
Si seulement nous, aux ÉtatsUnis, avions des hommes d'État et non des politiciens à la tête du pays, nous
pourrions agir ensemble et faire reculer les plans du gouvernement mondial unique et du nouvel ordre
mondial pour ramener le Mexique dans un état d'impuissance. Si nous pouvions faire échouer les plans
du Club de Rome pour le Mexique, ce serait un choc pour le Comité des 300, un choc dont ils mettraient
longtemps à se remettre. Les héritiers des Illuminati représentent une menace aussi grande pour les
ÉtatsUnis que pour le Mexique. En recherchant un terrain d'entente avec les mouvements
patriotiques mexicains, nous, aux ÉtatsUnis, pourrions forger une force formidable avec laquelle il faudrait
compter. Mais une telle action exige du leadership, et nous manquons de leadership plus que dans
tout autre domaine d'activité.
Le Comité des 300, à travers ses nombreuses organisations affiliées, a pu annuler la présidence Reagan.
Voici ce que Stuart Butler de la Heritage Foundation avait à dire sur le sujet "La droite pensait avoir gagné
en 1980 mais en fait elle a perdu." Ce à quoi Butler faisait référence était la situation dans laquelle la
droite s'est retrouvée lorsqu'elle s'est rendu compte que chaque poste important dans l'administration
Reagan était occupé par des nominations fabianistes recommandées par la Heritage Foundation. Butler a
poursuivi en disant qu'Heritage utiliserait des idées de droite pour imposer des principes radicaux de gauche
aux ÉtatsUnis, les mêmes idées radicales dont Sir Peter Vickers Hall, le plus grand fabianiste aux États
Unis et l'homme numéro un d'Heritage, avait ouvertement discuté pendant le année électorale.
Sir Peter Vickers Hall est resté un fabianiste actif même s'il dirigeait un «groupe de réflexion»
conservateur. En tant que membre de la famille oligarchique britannique de fabrication d'armement
Vickers, il avait position et pouvoir. La famille Vickers a fourni les deux camps pendant la Première Guerre
mondiale et à nouveau pendant la montée au pouvoir d'Hitler. La couverture officielle de Vickers était l'Institut
de développement urbain et régional de l'Université de Californie. Il était un confident de longue date
du dirigeant travailliste britannique et membre du Comité des 300 Anthony Wedgewood Benn.
Vickers et Benn sont tous deux intégrés au Tavistock Institute for Human Relations, la première institution
de lavage de cerveau au monde. Vickers utilise sa formation Tavistock à très bon escient lors de la prise de
parole. Considérez l'exemple suivant :
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"Il y a deux Amériques. L'une est la société basée sur l'industrie lourde du XIXe siècle.
L'autre est la société postindustrielle en pleine croissance, construite dans certains cas sur les fragments
de la vieille Amérique. C'est la crise entre ces deux mondes qui produira la catastrophe économique et
sociale de la prochaine décennie. Les deux mondes sont en opposition fondamentale, ils ne peuvent pas
coexister. À la fin, le monde postindustriel doit écraser et anéantir l'autre. » Souvenezvous, ce discours
a été prononcé en 1981 et nous pouvons voir, d'après l'état de notre économie et de nos industries, à
quel point la prédiction de Sir Peter était exacte. combien de temps durera la récession de 1991, je
les renvoie aux déclarations de Sir Peter et j'ajoute ma propre opinion qu'elle ne prendra fin qu'en
1995/1996, et même alors, ce qui émergera ne sera pas l'Amérique que nous connaissions dans les
années 1960 et 1970. Cette Amérique a déjà été détruit.
J'ai rapporté le discours de Sir Peter dans mon bulletin peu après qu'il ait été prononcé. Comme c'était
prophétique, mais il était facile de prédire un avenir déjà écrit pour l'Amérique par le Comité des
300 et son exécutif Club de Rome. Que disait sir Peter de manière euphémique ? Traduit en
anglais de tous les jours, il disait que l'ancien mode de vie américain, notre forme républicaine
authentique et fiable de gouvernement basée sur notre Constitution, allait être écrasé par le Nouvel Ordre
Mondial. L'Amérique telle que nous la connaissions allait devoir disparaître ou être réduite en pièces.
Comme je l'ai dit, un comité de 300 membres se fait souvent une place très visible. Sir Peter ne faisait
pas exception. Pour bien faire comprendre d'où il venait, Sir Peter termina son discours en déclarant :
"Je suis parfaitement heureux de travailler avec la Heritage Foundation et des groupes comme ça. Les
vrais Fabiens se tournent vers la Nouvelle Droite pour faire passer certaines de leurs idées les plus
radicales. Pendant plus d'une décennie, la population britannique a été soumise à un barrage de
propagande constant sur la façon dont c'était sur les patins industriels. Tout cela est vrai, mais l'effet net
de la propagande a été de démoraliser la population. (Exactement comme prévu par le scientifique des
nouvelles sciences à Tavistock).
"Cela se produira aux ÉtatsUnis à mesure que l'économie se détériorera. Ce (processus
démoralisant) est nécessaire pour que les gens acceptent des choix difficiles. S'il n'y a pas de planification
pour l'avenir ou si les électeurs bloquent le progrès, il y aura un chaos social à une échelle qui est
actuellement difficile à imaginer. Les perspectives pour l'Amérique urbaine sont sombres. Il y a une
possibilité de faire quelque chose avec les centresvilles, mais fondamentalement, les villes se
rétréciront et la base manufacturière déclinera. Cela produira des convulsions sociales.
Sir Peter étaitil un médium, un magicien de grande réputation ou simplement un charlatan diseur de
bonne aventure avec beaucoup de chance ? La réponse est "aucune de cellesci". Tout ce que Sir
Peter faisait était de lire le plan du Comité du 300Club de Rome pour la mort lente des ÉtatsUnis en
tant qu'ancien géant industriel. En repensant aux dix années de prédictions de Sir Peter, peuton douter
que les plans du Comité des 300 pour la disparition des ÉtatsUnis industrialisés soient devenus un fait
accompli ?
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Les prédictions de Sir Peter ne se sontelles pas avérées remarquablement exactes ? En effet, ils
l'ont fait, presque jusqu'au dernier mot. Il convient de noter que Sir Peter Vickers (le beaupère de Sir
Peter Vickers Hall) a travaillé sur l'article de Stanford Research, "Changing Images of Man", à
partir duquel une grande partie des 3000 pages de conseils matériels envoyées à l'administration
Reagan a été pris. De plus, en tant qu'officier supérieur du renseignement britannique du MJ6, Sir
Peter Vickers était en mesure de donner à Heritage un grand nombre d'informations préalables.
En tant que membre du Comité des 300 et de l'OTAN, Sir Peter Vickers était là lorsque l'OTAN a
ordonné au Club de Rome de développer un programme social qui changerait complètement la
direction dans laquelle l'Amérique voulait aller. Le Club de Rome, sous la direction de Tavistock, a ordonné
au Stanford Research Institute (SRI) de développer un tel programme, non seulement pour l'Amérique,
mais pour chaque nation de l'Alliance atlantique et des pays de l'OCDE.
C'est le protégé de Sir Peter, Stuart Butler, qui a donné au président Reagan 3000 pages de
"recommandations", qui contenaient sans aucun doute des opinions exprimées par Anthony
Wedgewood Benn, un membre du parlement et un membre éminent du Comité des 300. Benn a dit aux
membres de l'Internationale socialiste qui s'est réunie à Washington le 8 décembre 1980 :
"Vous pouvez prospérer sous l'effondrement du crédit de Volcker si vous profilez Reagan pour intensifier
l'effondrement du crédit."
Le fait que les conseils de Butler aient été suivis et appliqués à l'administration Reagan peut être vu
dans l'effondrement des secteurs de l'épargne et du prêt et de la banque qui s'est accéléré sous les
politiques économiques de Reagan. Alors que Benn l'appelait "profilage", il voulait vraiment dire que
Reagan devait subir un lavage de cerveau. Il convient de noter que Von Hayek qui est un membre
fondateur de Heritage a utilisé son élève, Milton Friedman, pour présider les plans du Club de Rome
visant à désindustrialiser l'Amérique en utilisant la présidence Reagan pour accélérer l'effondrement
d'abord de l'industrie sidérurgique, puis les secteurs de l'automobile et de l'habitation, par exemple.
À cet égard, un membre de la noblesse noire française, Etienne D'Avignon, en tant que membre du
Comité des 300, s'est vu confier la tâche de faire s'effondrer l'industrie sidérurgique dans ce pays.
Il est douteux que l'un des centaines de milliers de travailleurs de l'acier et des chantiers navals qui ont
été sans emploi au cours de la dernière décennie ait jamais entendu parler de D'Avignon. J'ai rendu
compte en détail du plan d'Avignon dans la Revue économique d'avril 1981. Participant à cette
réunion fatidique du 10 décembre du Club de Rome à Washington DC se trouvait un homme mystérieux
d'Iran qui s'est avéré être Bani Sadr, l'envoyé spécial de l'ayatollah Khomeiny.
Un discours en particulier lors du conclave du 10 décembre 1980 a attiré mon attention,
principalement parce qu'il venait de François Mitterrand, un homme que l'establishment français avait
rejeté et qu'il pensait être lavé. Mais ma source de renseignement m'avait précédemment dit que
Mitterrand était en train d'être ramassé, dépoussiéré et ramené au pouvoir, donc ce qu'il a dit avait
beaucoup de poids pour moi :
"Le développement capitaliste industriel est le contraire de la liberté. Nous devons y mettre un terme.
Les systèmes économiques du 20ème et 21ème siècle utiliseront les machines pour écraser l'homme,
d'abord dans le domaine de l'énergie nucléaire qui produit déjà des résultats formidables.
Le retour de Mitterrand à l'Elysée fut un grand triomphe pour le socialisme. Il a prouvé que
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le Comité des 300 était assez puissant pour prédire les événements et ensuite les faire arriver, par la
force, ou par tous les moyens qu'il prenait pour faire valoir qu'il pouvait écraser toute opposition même
si, comme dans le cas de Mitterrand, il avait été totalement rejetée quelques jours auparavant par un
groupe de pouvoir politique avisé à Paris.
Un autre représentant du groupe aux réunions de décembre 1980 à Washington avec "statut d'observateur"
était John Graham, également connu sous le nom de "Irwin Suall", chef du comité d'enquête
de l'AntiDefamation League (ADL). L'ADL est une véritable opération de renseignement
britannique dirigée par les trois branches du renseignement britannique, c'estàdire le M16 et le JIO.
Le vaste sac de trucs sales de Suall a été recueilli dans les égouts de l'East End de Londres. Suall
est toujours membre du SIS supersecret, une opération d'élite de type James Bond. Que personne ne
sousestime la puissance de l'ADL, ni sa longue portée.
Suall travaille en étroite collaboration avec Hall et d'autres fabianistes. Il a été désigné comme
utile au renseignement britannique alors qu'il était au Ruskir Labor College de l'Université d'Oxford en
Angleterre, le même centre d'éducation communiste qui nous a donné Milner, Rhodes, Burgess,
McLean et Kim Philby. Les universités d'Oxford et de Cambridge ont longtemps été le domaine des fils et
filles de l'élite, ceux dont les parents appartiennent à la « croûte supérieure » de la haute société
britannique. Pendant son séjour à Oxford, Suall a rejoint la Young People's Socialist League et a
été recruté par les services de renseignement britanniques peu de temps après.
Suall a été affecté aux ÉtatsUnis où il est tombé sous la protection et le parrainage de l'un
des gauchistes les plus insidieux du pays, Walter Lippmann.
Lippmann a fondé et dirigé la Ligue pour la démocratie industrielle et les étudiants pour la société
démocratique, deux opérations de sabotage de gauche pour mettre les travailleurs industriels en
désaccord avec ce qu'elle appelait «la classe capitaliste» et la direction. Les deux projets de Lippmann
faisaient partie intégrante du Comité des 300 appareils qui s'étendait à travers l'Amérique, dont
Lippmann était un membre le plus important.
Suall a des liens étroits avec le ministère de la Justice et peut sécuriser les profils du FBI de toute
personne qu'il cible. Le ministère de la Justice a pour ordre de donner à Suall tout ce qu'il veut
quand il le veut. La plupart des activités de Suall consistent à "garder un œil sur les groupes et les
individus de droite". L'ADL a une porte ouverte sur le Département d'État et fait bon usage de
l'impressionnante agence de renseignement de l'État.
Le département d'État a une couche d'agents dans l'aile droite, se faisant passer pour des
"combattants antisémites intrépides". Il y a quatre leaders dans ce groupe d'informateurs, dont trois
sont des homosexuels juifs discrets. Ce groupe d'espionnage est actif depuis deux décennies. Ils
publient des "journaux" violemment antisémites et vendent une grande variété de livres antisémites.
L'un des principaux opérateurs travaille à partir de la Louisiane. Un membre de ce groupe est un écrivain
très aimé dans les cercles chrétiens de droite. Le groupe et les individus qui vont le constituer sont sous
la protection de l'ADL. Suall a été profondément impliqué dans l'ABSCAM et est souvent sollicité
par les forces de l'ordre pour les aider dans les enquêtes et les opérations d'infiltration.
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Suall a été affecté au "chien Reagan", en termes de parcours tracé pour le président nouvellement élu par la
Heritage Foundation, et pour tirer au sens figuré quelques coups de semonce si Reagan avait l'air de
dévier ou d'enlever ses oeillères à tout moment. Suall a aidé à se débarrasser de tout conseiller de droite
gênant qui n'était pas redevable à Heritage pour son travail au sein de l'administration Reagan. Une telle
personne était Ray Donovan, le secrétaire au travail de Reagan, qui a finalement été démis de ses fonctions
grâce au département Dirty Tricks de l'ADL. James Baker III, l'un de ceux figurant sur la liste des 3000
recommandations faites par la Heritage Foundation, était l'intermédiaire qui a transmis les messages de
haine de Suall à propos de Donovan au président.
Un autre conspirateur important était Philip Agee, le soidisant « transfuge » de la CIA. Bien qu'il ne soit pas
membre du Comité, il en était néanmoins le chargé de dossier pour le Mexique, et dirigé par l'Institut royal des
affaires internationales (RIIA) et le Council on Foreign Relations. Pour mémoire, rien de ce qui se
passe aux ÉtatsUnis ne se passe sans l'approbation de la RIIA. Il s'agit d'un accord continu et continu conclu
pour la première fois OUVERTEMENT (il y avait de nombreux accords secrets de ce type auparavant) par
Churchill et Roosevelt en 1938, aux termes duquel les services de renseignement américains sont
obligés de partager des secrets de renseignement avec les services de renseignement britanniques.
C'est la base de la soidisant "relation spéciale" entre les deux pays dont se vantaient Churchill et Lord
Halifax et dont la "relation spéciale" était responsable du fait que les ÉtatsUnis ont mené la guerre
du Golfe contre l'Irak pour et au nom des intérêts britanniques, plus en particulier British Petroleum, l'une
des sociétés les plus importantes du Comité des 300 dans laquelle la famille immédiate de la reine Elizabeth
a une grande participation.
Aucune activité de renseignement n'a eu lieu depuis 1938, sauf par le biais de cette structure spéciale
de commandement interarmées. Philip Agee a rejoint la CIA après avoir obtenu son diplôme de NotreDame
où il a été intronisé dans son anneau jésuite francmaçon. Agee a attiré mon attention pour la première fois en
1968 en tant qu'officier du renseignement derrière les émeutes à l'Université du Mexique. L'une des
choses les plus importantes à propos des émeutes étudiantes mexicaines était qu'elles se sont produites en
même temps que des émeutes étudiantes à New York, Bonn, Prague et BerlinOuest.
Grâce à l'expertise de coordination et à son réseau spécial de renseignement dont INTERPOL fait partie
intégrante, il n'est pas aussi difficile qu'il y paraît à première vue pour le Comité de déclencher des actions
mondiales soigneusement programmées, qu'il s'agisse d'émeutes d'étudiants ou de la destitution de
dirigeants de nations soidisant souveraines. Tout cela fait partie du travail quotidien des "olympiens".
Du Mexique, Agee est parti pour s'aligner sur les groupes terroristes portoricains.
Pendant ce temps, il est devenu un confident de confiance du dictateur cubain Fidel Castro.
Il ne faut pas imaginer que pendant qu'Agee effectuait ces opérations, il le faisait en tant qu'agent
"voyou". Au contraire, il travaillait pour la CIA tout au long de ces missions. Les ennuis sont survenus lorsque
la DGI (service de renseignement cubain) de Castro a réussi à le "transformer". Agee a continué à travailler
en sa qualité de membre de la CIA jusqu'à ce que son double rôle soit découvert. Il s'agissait du plus
grand poste d'écoute soviétique en Occident situé à Lourdes, à Cuba. Composé de 3000 spécialistes
soviétiques de la surveillance et du déchiffrement des signaux, Lourdes a la capacité de surveiller des
milliers de signaux électroniques
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simultanément. De nombreuses conversations téléphoniques privées entre un membre du Congrès et
sa maîtresse ont été captées à Lourdes et utilisées avec un effet révélateur.
Bien qu'on nous dise aujourd'hui en 1991 que « le communisme est mort », les ÉtatsUnis n'ont rien
fait pour mettre fin à la vaste opération d'espionnage qui se tient à nos portes.
Incidemment, Lourdes a la capacité de capter même le signal de "tempête" le plus faible, qui est le type
émis par un télécopieur ou une machine à écrire électrique qui, une fois déchiffré, donnera le
contenu de tout ce qui est tapé ou faxé. Lourdes reste un poignard au cœur des ÉtatsUnis. Il n'y a
absolument aucune raison pour son existence continue. Si les ÉtatsUnis et l'URSS sont vraiment en
paix l'un avec l'autre, pourquoi le besoin continu d'une opération d'espionnage aussi massive ? La
simple vérité est que, plutôt que de réduire le personnel comme nous sommes amenés à le croire,
le KGB a engagé des recrues supplémentaires en 1990 et 1991.
Bernard Levin n'est probablement pas un nom très connu aux ÉtatsUnis. Contrairement aux "pop
stars" décadentes ou à la dernière "découverte misérable" d'Hollywood, les universitaires se présentent
rarement, voire jamais, aux yeux du public. Parmi les centaines d'universitaires aux ÉtatsUnis
travaillant sous le contrôle du Club de Rome, Levin mérite une mention spéciale, ne seraitce que pour
son rôle dans la sape de l'Iran, des Philippines, de l'Afrique du Sud, du Nicaragua et de la Corée
du Sud. La disparition du Shah d'Iran a été menée selon un plan conçu par Bernard Levin et Richard
Falk, et supervisé par l'Institut Aspen de Robert Anderson.
Levin était l'auteur d'un ouvrage intitulé "Time Perspective and Morale" qui est une publication du Club
de Rome sur la façon de briser le moral des nations et des dirigeants individuels. Voici un extrait du
document :
"L'une des principales techniques pour briser le moral par une stratégie de terreur consiste précisément
en cette tactique : garder la personne dans le flou quant à sa position et à ce à quoi elle peut
s'attendre. De plus, si des hésitations fréquentes entre des mesures disciplinaires sévères et la
promesse d'une bonne le traitement et la diffusion de nouvelles contradictoires rendent la structure
de la situation peu claire, alors l'individu peut cesser de savoir si un plan particulier conduirait
vers son but ou s'en éloignerait. Dans ces conditions, même les individus qui ont des buts et sont
prêts à prendre des risques sont paralysés par le grave conflit intérieur concernant ce qu'il faut faire."
Ce projet du Club de Rome s'applique aux PAYS ainsi qu'aux individus, en particulier les
chefs de gouvernement de ces pays. Nous, aux ÉtatsUnis, n'avons pas besoin de penser que "Eh bien,
c'est l'Amérique, et ce genre de choses n'arrive tout simplement pas ici." Permettezmoi de vous
assurer qu'ils se produisent aux ÉtatsUnis, et peutêtre plus que dans tout autre pays.
Le plan LevinClub de Rome est conçu pour nous démoraliser tous afin qu'à la fin nous sentions que
nous devrions suivre tout ce qui est prévu pour nous. Nous suivrons les ordres du Club de Rome
comme des moutons. Tout leader apparemment fort qui APPARAÎT SOUDAINEMENT pour "sauver" la
nation doit être considéré avec la plus grande méfiance. Rappelezvous que Khomeiny était
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soigné pendant des années par les renseignements britanniques, en particulier pendant son séjour à Paris,
avant d'apparaître soudainement comme le sauveur de l'Iran. Boris Eltsine est de la même écurie M16SIS.
Le Club de Rome est persuadé d'avoir rempli son mandat du Comité des 300 pour « adoucir » les États
Unis. Après 45 ans de guerre contre le peuple de cette nation, qui doutera qu'elle ait effectivement accompli
sa tâche ? Regardez autour de vous et voyez à quel point nous avons été démoralisés. La drogue, la
pornographie, la "musique rock and roll", le sexe gratuit, l'unité familiale presque totalement minée, le
lesbianisme, l'homosexualité et enfin l'horrible meurtre de millions de bébés innocents par leurs propres
mères. Y atil déjà eu un crime aussi ignoble que l'avortement de masse ?
Avec les ÉtatsUnis spirituellement et moralement en faillite, avec notre base industrielle détruite,
jetant 30 millions de personnes au chômage avec nos grandes villes horribles puisards de tous les crimes
imaginables avec un taux de meurtres presque trois fois plus élevé que tout autre pays, avec 4 millions
de sansabri, avec la corruption dans un gouvernement atteignant des proportions endémiques, qui nierait
que les ÉtatsUnis sont prêts à s'effondrer de l'intérieur, dans les bras en attente du gouvernement mondial
du New Dark Age One ?
Le Club de Rome a réussi à diviser les églises chrétiennes ; il a réussi à constituer une armée d'intégristes
charismatiques et d'évangéliques qui se battront pour l'État sioniste d'Israël. Pendant la guerre du Golfe du
génocide, j'ai reçu des dizaines de lettres me demandant comment je pouvais m'opposer à "une guerre
chrétienne juste contre l'Irak". Comment pourraisje douter que le soutien des fondamentalistes chrétiens à la
guerre (du Comité des 300) contre l'Irak n'était pas biblique après tout, Billy Graham n'atil pas prié avec
le président Bush juste avant le début des tirs ? La Bible ne parletelle pas de « guerres et bruits de guerres
» ?
Ces lettres donnent un aperçu de la qualité du travail de l'Institut Tavistock.
Les fondamentalistes chrétiens seront une force formidable derrière l'État d'Israël, exactement comme
prévu. Comme il est triste que ces braves gens ne se rendent pas compte qu'ils ont été GRAVEMENT
UTILISÉS par le Club de Rome et que leurs opinions et croyances ne sont PAS LES LEURS, mais celles
créées pour eux par les centaines de "groupes de réflexion" du Comité des 300 qui parsèment le paysage
américain. En d'autres termes, comme tout autre segment de la population des ÉtatsUnis, les
fondamentalistes chrétiens et les évangéliques ont subi un lavage de cerveau complet.
En tant que nation, nous sommes prêts à accepter la disparition des ÉtatsUnis d'Amérique et du mode
de vie américain, autrefois l'envie du monde entier. Ne pensez pas que cela s'est produit tout seul le vieux
syndrome "les temps changent". Le temps ne change rien, les GENS oui. C'est une erreur de considérer
le Comité des 300 et le Club de Rome comme des institutions européennes. Le Club de Rome exerce une
grande influence et un grand pouvoir aux ÉtatsUnis et possède son propre chapitre basé à Washington
DC
Le sénateur Claiborne Pell en est le chef et l'un de ses membres est Frank M. Potter, ancien directeur du
personnel du souscomité de l'énergie de la Chambre. Il n'est pas difficile de voir comment le Club de
Rome a maintenu son emprise sur les politiques énergétiques américaines et d'où vient
l'opposition « écologiste » à l'énergie nucléaire. Peutêtre que le club
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La plus grande réussite est son emprise sur le Congrès en ce qui concerne l'énergie nucléaire, qui a eu pour
effet d'empêcher les ÉtatsUnis d'entrer dans le XXIe siècle en tant que nation industrielle forte. L'effet de la
politique antinucléaire du Club de Rome se mesure en termes de hauts fourneaux silencieux. des chantiers
de chemin de fer abandonnés, des aciéries rouillées, des chantiers navals fermés depuis longtemps et une
précieuse maind'œuvre qualifiée dispersée à travers les ÉtatsUnis, qui ne sera peutêtre plus jamais réunie.
Les autres membres du Club de Rome aux ÉtatsUnis sont Walter A. Hahn du Service de recherche du
Congrès, Ann Cheatham et Douglas Ross, tous deux économistes principaux. La tâche de Ross, selon ses
propres mots, était de "traduire les perspectives du Club de Rome en législation pour aider le pays à sortir de
l'illusion de l'abondance". Ann Cheatham était la directrice d'une organisation appelée "Congressional
Clearing House For The Future".
Sa tâche était de dresser le profil des membres du Congrès qui seraient sensibles à l'astrologie et au charabia
New Age. À un moment donné, elle avait plus de 100 membres du Congrès dans ses classes. Des sessions
quotidiennes ont eu lieu au cours desquelles une variété de "prévisions" astrologiques ont été faites sur la base
de ses "perceptions occultes". Outre les membres du Congrès, d'autres personnalités qui ont assisté à ses
sessions étaient Michael Walsh, Thornton Bradshaw UN MEMBRE PRINCIPAL DU COMITÉ DES
300 et David Sternlight, viceprésident senior d'Allstate Insurance Company.
Certains des membres les plus importants du Comité des 300 sont également membres de l'OTAN, un fait
dont nous devons nous souvenir. Ces Comités de 300 membres occupent souvent plusieurs mandats.
Parmi les membres de l'OTANClub de Rome se trouvent Harland Cleveland, un ancien ambassadeur des
ÉtatsUnis à l'OTAN, Joseph Slater, un directeur de l'Institut Aspen, Donald Lesh, un ancien membre du
personnel de l'Agence de sécurité nationale des ÉtatsUnis, George McGhee et Claiborne Pell, pour citer
quelques exemples.
Il est important que nous nous souvenions de ces noms, que nous en fassions une liste si vous le souhaitez,
afin de vous rappeler qui ils sont et ce qu'ils représentent lorsque leur nom apparaît dans les programmes
télévisés et les services d'information. Suivant le modus vivendi du renseignement, les dirigeants du
Comité apparaissent souvent à la télévision, généralement sous les apparences les plus innocentes. Nous
devons être conscients que rien de ce qu'ils font n'est innocent.
Le Comité des 300 a planté ses agents dans le muscle et le nerf des ÉtatsUnis, dans son gouvernement,
au Congrès, dans des postes consultatifs autour du président, en tant qu'ambassadeurs et en tant
que secrétaires d'État. De temps en temps, le Club de Rome organise des rassemblements et des
conférences qui, bien qu'ils apparaissent sous des titres anodins, se divisent en comités d'action, chacun d'eux
se voyant attribuer une tâche spécifique et une date cible précise à laquelle leurs missions doivent être terminées.
S'il ne fait rien d'autre, le Comité des 300 travaille selon un calendrier très précis.
La première conférence du Club de Rome aux ÉtatsUnis a été convoquée par le Comité des 300 en 1969
sous le titre : "L'Association du Club de Rome. " La réunion suivante
eut lieu en 1970 sous le titre "Riverdale Center of Religious Research" et fut dirigée par Thomas Burney.
Puis suivit la Woodlands Conference tenue à Houston,
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Texas, à partir de 1971 Par la suite, des conférences régulières ont eu lieu à Woodlands chaque
année. Toujours en 1971, à une date ultérieure, la Mitchell Energy and Development
Corporation tint sa réunion de stratégie énergétique pour le Club de Rome : Le thème récurrent :
LIMITER LA CROISSANCE DES USA Puis pour couronner le tout, la Première
Conférence Mondiale sur l'Avenir fut tenue en juillet 1980, en présence de 4000 ingénieurs sociaux et
membres de groupes de réflexion, qui étaient tous membres ou affiliés à diverses institutions
opérant sous les organisations faîtières du Club de Rome.
La première conférence mondiale sur l'avenir a eu la bénédiction de la Maison Blanche qui a tenu
sa propre conférence basée sur les transcriptions du forum de la première conférence mondiale. Elle
s'appelait la "Commission de la Maison Blanche sur les années 1980" et recommandait
OFFICIELLEMENT les politiques du Club de Rome "comme guide des futures politiques
américaines" et allait même jusqu'à dire que l'économie des ÉtatsUnis sortait de l'industrie. Cette
phase faisait écho au thème de Sir Peter Vickers Hall et de Zbibniew Brzezinsky et fournit une
preuve supplémentaire du contrôle exercé par le Comité des 300 sur les affaires américaines, tant
intérieures qu'étrangères.
Comme je le disais en 1981, nous sommes organisés politiquement, socialement et économiquement
pour rester enfermés dans les projets du Club de Rome. Tout est truqué contre nous. Si nous
voulons survivre, nous devons briser l'étau que le Comité des 300 exerce sur notre
gouvernement. À chaque élection depuis que Calvin Coolidge s'est présenté à la Maison
Blanche, le Comité des 300 a pu implanter ses agents à des postes clés au sein du gouvernement,
de sorte que peu importe qui obtient le poste à la Maison Blanche. Par exemple, chacun des
candidats qui se sont présentés à la présidence, depuis l'époque de Franklin D. Roosevelt, ont été
sélectionnés, certains aiment à l'appeler « triés sur le volet », par le Council on Foreign
Relations agissant sur les instructions du RIIA.
Surtout lors des élections de 1980, chaque candidat à la plus haute fonction aux ÉtatsUnis était dirigé
par le CFR. Par conséquent, cela n'a eu aucune conséquence pour les conspirateurs qui ont remporté
la course présidentielle. Grâce à des chevaux de Troie tels que la Heritage Foundation et le CFR,
TOUS les postes clés de prise de décision dans les nouvelles administrations ont été pourvus par
des candidats du Council on Foreign Relations, et avant cela, depuis les années 1960, par des
yesmen du NATOClub de Rome, ainsi veiller à ce que les décisions politiques clés portent le sceau
indélébile du Club de Rome et du CFR, agissant en tant que bras exécutifs du Comité des 300.
Les élections de 1984 et de 1988 ont suivi ce schéma établi de longue date. Le secrétaire d'État
George Schultz était le choix parfait du Comité des 300 pour le poste de secrétaire d'État. Schultz
a toujours été une créature d'Henry Kissinger, le donneur d'ordre au pouvoir pour le CFR. De
plus, sa position chez Bechtel, un comité clé de 300 entreprises de dimension mondiale, lui
a donné accès à des pays qui auraient autrement pu se méfier de sa connexion Kissinger.
L'administration Carter a accéléré le processus d'affectation de personnel clé proconspiration à
des postes clés. Avant l'élection de Carter, son principal stratège de campagne, Hamilton Jordan, a
déclaré que si Cyrus Vance ou Brzezinski recevaient des nominations dans le cabinet
Carter, lui, Jordan, démissionnerait. Ils l'ont fait. Jordan n'a pas démissionné.
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Le choix de Paul Volcker par Carter (en fait, David Rockefeller lui avait dit de nommer Volcker) a
déclenché l'effondrement de l'économie américaine selon le plan établi par le Club de Rome. Nous sommes
confrontés à des forces puissantes qui se consacrent à l'objectif d'un gouvernement mondial unique. Nous avons
été engagés dans une guerre dévastatrice paralysante au cours des 45 dernières années, seulement elle n'est
pas perçue comme telle. On nous lave le cerveau, méthodiquement et systématiquement, sans jamais en
avoir conscience. L'Institut Tavistock a fourni le système pour que cela se produise, puis a mis ses
opérations en marche.
La seule façon de riposter est de dénoncer les conspirateurs et leur multiplicité d'organisations de façade. Nous
avons besoin d'hommes d'expérience capables de formuler une stratégie pour défendre notre patrimoine
inestimable qui, une fois perdu, ne reparaîtra plus jamais. Nous devons apprendre les méthodes utilisées par
les conspirateurs ; les apprendre et adopter des contremesures. Seul un programme d'urgence arrêtera la
pourriture qui dévore notre nation.
Certains peuvent avoir du mal à accepter l'idée d'un complot mondial car tant d'écrivains en ont tiré un profit
financier. D'autres doutent que l'activité à l'échelle mondiale puisse progresser avec succès. Ils voient l'énorme
bureaucratie de notre gouvernement et disent ensuite : "Eh bien, comment sommesnous censés croire que
des particuliers peuvent faire plus que le gouvernement ? Cela néglige le fait que le gouvernement fait partie
de la conspiration. Ce qu'ils veulent, c'est des preuves tangibles. et les preuves tangibles sont difficiles à trouver.
D'autres disent: "Et alors. Qu'estce que je me soucie d'un complot, je ne prends même pas la peine de voter."
C'est exactement la façon dont la population générale de l'Amérique a été profilée pour réagir. Notre peuple
est devenu découragé et confus, résultat de 45 ans de guerre menée contre nous. Comment cela est fait
est expliqué dans le livre de Bernard Lewin, mais combien de personnes prendraient la peine de lire le livre de
nonfiction d'un universitaire ? Nous réagissons exactement comme nous avons été profilés pour agir. Les
personnes démoralisées et confuses seront beaucoup plus disposées à accueillir l'apparition soudaine d'un
grand homme qui promet de résoudre tous les problèmes et de garantir une société bien ordonnée dans
laquelle les gens sont pleinement employés et les conflits domestiques sont minimes. Leur dictateur, car c'est
ce qu'il sera, sera accueilli à bras ouverts.
Savoir QUI est l'ennemi est une nécessité vitale. Nul ne peut se battre et contre un ennemi non
identifié. Ce livre pourrait être utilisé comme un manuel de terrain militaire. Étudiez son contenu et mémorisez tous
les noms. J'ai mentionné assez fréquemment les techniques de profilage dans ce chapitre. Une explication
complète du "profilage" est contenue dans le chapitre suivant. L'une des informations les plus profondes
issues de la science du profilage est la facilité relative avec laquelle cela peut être accompli chez les individus, les
groupes de partis, les entités politiques, etc. Une fois que nous nous rendrons compte à quel point c'est facile à
faire, la conspiration ne sera plus que ce que nous pouvons comprendre. L'assassinat du président
Kennedy et l'attentat contre le président Reagan deviennent faciles à comprendre.
INSTITUTIONS PAR L'INTERMÉDIAIRE DE LAQUELLE LE CONTRÔLE EST EXERCÉ
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Le profilage est une technique mise au point en 1922 sur commande de l'Institut royal des
affaires internationales (RIIA). Le major John Rawlings Reese, un technicien de l'armée britannique, a
été chargé de mettre en place la plus grande installation de lavage de cerveau au monde à l'Institut
Tavistock pour les relations humaines dans le cadre de l'Université de Sussex. Cela est devenu le
noyau du Bureau de la guerre psychologique britannique. Lorsque j'ai introduit pour la
première fois les noms de Reese et Tavistock aux ÉtatsUnis en 1970, très peu d'intérêt s'est
manifesté. Mais au fil des ans, alors que je révélais de plus en plus sur Tavistock et son rôle vital dans
le complot, il est devenu populaire d'imiter mes recherches antérieures.
Le Bureau britannique de la guerre psychologique a largement utilisé le travail effectué par Reese sur
ses 80 000 cobayes de l'armée britannique, des soldats captifs qui ont subi de nombreuses formes de
tests. Ce sont les méthodes conçues par Tavistock qui ont entraîné les ÉtatsUnis dans la Seconde
Guerre mondiale et qui, sous la direction du Dr Kurt Lewin, ont créé l'OSS, le précurseur de la CIA.
Lewin est devenu le directeur de l'enquête sur les bombardements stratégiques, qui était un plan
pour la Royal Air Force de se concentrer sur le bombardement des logements des travailleurs
allemands tout en laissant les cibles militaires, telles que les usines de munitions, seules. Les
usines de munitions des deux côtés appartenaient aux banquiers internationaux qui ne souhaitaient
pas voir leurs actifs détruits. Plus tard, après la fin de la guerre, l'OTAN a ordonné à l'Université
de Sussex d'établir un centre de lavage de cerveau très spécial qui est devenu une partie du Bureau de
guerre psychologique britannique, mais maintenant, ses recherches étaient orientées vers des
applications civiles plutôt que militaires. Nous reviendrons sur cette unité super secrète qui s'appelait
Science Policy Research Institute (SPRI) dans nos chapitres sur les drogues. L'idée derrière
les bombardements à saturation des logements des travailleurs civils était de briser le moral des
travailleurs allemands. Il n'a pas été conçu pour affecter l'effort de guerre contre la machine militaire
allemande. Lewin et son équipe d'actuaires ont atteint un chiffre cible, à savoir que si 65% des
logements des travailleurs allemands étaient détruits par les bombardements nocturnes de la RAF, le moral de la population civ
Le document réel a été préparé par la Prudential Assurance Company. La RAF, sous le
commandement du "Bomber" Harris, a exécuté les plans de Lewin, aboutissant à l'attentat terroriste
à la bombe contre Dresde, au cours duquel plus de 125 000 personnes, principalement des vieillards,
des femmes et des enfants, ont été tuées. La vérité sur les raids d'horreur de "Bomber" Harris
sur des civils allemands était un secret bien gardé jusqu'à longtemps après la fin de la Seconde
Guerre mondiale. Tavistock a fourni la plupart des programmes détaillés qui ont conduit à la
création de l'Office of Naval Intelligence, (ONI), le service de renseignement numéro un aux États
Unis, qui éclipse la CIA en taille et en portée. Des contrats d'une valeur de milliards de dollars
ont été accordés à Tavistock par le gouvernement des ÉtatsUnis et les planificateurs stratégiques
de Tavistock fournissent la majeure partie de ce que le Pentagone utilise pour notre établissement de
défense, même aujourd'hui. Là encore s'illustre l'emprise du Comité des 300 sur les ÉtatsUnis et la
majorité de nos institutions. Tavistock gère plus de 30 instituts de recherche aux ÉtatsUnis, que nous
nommerons tous dans nos tableaux à la fin du livre. Ces institutions Tavistockaméricaines sont
devenues dans de nombreux cas des monstres gargantuesques, pénétrant tous les aspects de
nos agences gouvernementales et prenant le contrôle de toutes les décisions politiques. L'un des
principaux saboteurs de notre mode de vie par Tavistock était le Dr Alexander King, membre fondateur
de l'OTAN et favori du Comité des 300, ainsi qu'un membre éminent du Club de Rome. Le Dr King
a été chargé par le Club de Rome de détruire l'éducation américaine en prenant le contrôle de la
National Teachers Association et en travaillant en étroite collaboration avec certains législateurs et
juges. S'il n'était pas généralement connu à quel point
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l'influence du Comité des 300, ce livre devrait dissiper tout vestige de ce doute. L'essai de
l'Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA), une création du Club de Rome, a eu lieu lors
d'un essai contre la centrale nucléaire de Three Mile Island, à Harrisburg, en Pennsylvanie.
Appelé "un accident" par les médias hystériques, ce n'était pas un accident mais un test de crise
délibérément conçu pour la FEMA. Un avantage supplémentaire était la peur et l'hystérie créées
par les médias qui faisaient fuir les gens de la région alors qu'en fait ils n'étaient jamais en
danger. Il a été considéré comme un succès par la FEMA et a marqué beaucoup de points pour
les forces antinucléaires. TMI est devenu le point de ralliement des soidisant «écologistes», un
groupe hautement financé et contrôlé dirigé par l'Institut Aspen au nom du Club de Rome. La
couverture a été assurée gratuitement par William Paley de la télévision CBS, un ancien agent
du renseignement britannique. La FEMA est le successeur naturel du Strategic Bombing Survey
of WW II. Le Dr Kurt Lewin, théoricien de ce que les conspirateurs de Tavistock appelaient la
gestion de crise, a été profondément impliqué dans l'étude. Il existe une chaîne ininterrompue
entre Lewin et Tavistock qui remonte à trentesept ans.
Lewin a intégré l'enquête sur les bombardements stratégiques dans la FEMA, avec seulement
quelques petits ajustements s'avérant nécessaires, l'un des changements étant la cible, QUI
N'ÉTAIT PLUS L'ALLEMAGNE MAIS LES ÉTATSUNIS D'AMÉRIQUE. Quarantecinq ans après
la fin de la Seconde Guerre mondiale, c'est toujours Tavistock qui a la main sur la gâchette,
et l'arme est pointée sur les ÉtatsUnis. La regrettée Margaret Mead a mené une étude
approfondie de la population allemande et japonaise, sous l'égide de Tavistock, sur la façon dont
elles réagissaient au stress causé par les bombardements aériens. Irving Janus était professeur
agrégé sur le projet qui était supervisé par le Dr John Rawlings Reese, promu général de brigade
dans l'armée britannique. Les résultats des tests ont été remis à la FEMA. Le rapport Irving
Janus a été d'une grande valeur dans la formulation des politiques de la FEMA. Janus l'a utilisé
dans un livre qu'il a écrit plus tard intitulé GUERRE AÉRIENNE ET STRESS. Les idées de son
livre ont été suivies À LA LETTRE PAR LA FEMA PENDANT LA « CRISE » DE L'ÎLE DE THREE
MILE. Janus a eu une idée très simple : simulez une succession de crises et manipulez la
population en suivant les tactiques terroristes de Lewin et ils feront exactement ce qu'il faut. En
réalisant cet exercice, Lewin a découvert quelque chose de nouveau, que le contrôle social à
grande échelle peut être réalisé en utilisant les médias d'information pour ramener à la maison
les horreurs d'une guerre nucléaire via les médias télévisés. On a découvert que les
magazines féminins étaient très efficaces pour dramatiser les terreurs d'une guerre
nucléaire. Lors d'un essai mené par Janus, Betty Bumpers, épouse du sénateur Dale Bumpers
de l'Arkansas, "écrivait" pour le magazine McCalls sur ce sujet. L'article est paru dans le numéro de janvier 1983 de McCa
Bumpers n'a pas écrit l'article, il a été créé pour elle par un groupe d'écrivains de Tavistock dont la
spécialité est ce sujet. C'était une collection de contrevérités, de nonfaits, d'insinuations et
de conjectures entièrement basées sur de fausses prémisses. L'article de Bumpers était typique
du genre de manipulation psychologique dans laquelle Tavistock est si doué. Aucune des dames
qui ont lu McCalls n'aurait pu ne pas être impressionnée par l'histoire d'horreur et de terreur de ce
à quoi ressemble une guerre nucléaire. Le Comité des 300 dispose d'une importante bureaucratie
composée de centaines de groupes de réflexion et d'organisations de façade qui gèrent toute
la gamme des entreprises privées et des dirigeants gouvernementaux. J'en citerai autant que
possible, à commencer par le German Marshall Fund. Ses membres, et rappelons qu'ils sont
également membres de l'OTAN et du Club de Rome, sont David Rockefeller de la Chase
Manhattan Bank, Gabriel Hague de la prestigieuse Manufactures Hanover Trust and Finance
Corporation, Milton Katz de la Fondation Ford, Willy Brandt, dirigeant de
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Socialist International, agent du KGB et membre du Comité des 300, Irving Bluestone, président
du United Auto Workers Executive Board, Russell Train, président américain du Club de Rome et du
Prince Philip's World Wildlife Fund, Elizabeth Midgely, productrice des programmes CBS, BR Gifford,
directeur de la Russell Sage Foundation, Guido Goldman de l'Aspen Institute, feu Averill
Harriman, membre extraordinaire du Comité de 300, Thomas L. Hughes du Carnegie Endowment Fund,
Dennis Meadows et Jay Forrestor du MIT "world dynamics". Le Comité des 300, bien qu'existant depuis
plus de 150 ans, n'a pris sa forme actuelle que vers 1897. Il a toujours été donné pour émettre des ordres
par d'autres fronts, comme l'Institut royal des affaires internationales. Lorsqu'il a été décidé qu'un super
organisme contrôlerait les affaires européennes, le RIIA a fondé l'Institut Tavistock, qui à son tour a
créé l'OTAN.
Pendant cinq ans, l'OTAN a été financée par le German Marshall Fund. Le membre le plus important
des Bilderbergers, un organe de politique étrangère du Comité, était peutêtre Joseph Rettinger, qui
aurait été son fondateur et organisateur, dont les réunions annuelles ravissent les traqueurs de complot
depuis plusieurs décennies. Rettinger était un prêtre jésuite bien formé et un francmaçon du 33e degré. Mme
Katherine Meyer Graham, soupçonnée d'avoir assassiné son mari afin de prendre le contrôle du Washington
Post, était un autre membre de premier plan du Club de Rome, tout comme Paul G. Hoffman de la New York
Life Insurance Company, l'un des les plus grandes compagnies d'assurance des ÉtatsUnis et une
société leader de Rank, directement liée à la famille immédiate de la reine Elizabeth d'Angleterre. John J.
McCloy, l'homme qui a tenté de rayer de la carte l'Allemagne de l'aprèsSeconde Guerre mondiale et,
enfin et surtout, James A. Perkins de la Carnegie Corporation, étaient également membres fondateurs des
Bilderbergers et du Club de Rome. Quel casting étoilé !
Pourtant, assez étrangement, peu ou pas en dehors des véritables agences de renseignement n'avaient
jamais entendu parler de cette organisation jusqu'à ces derniers temps. Le pouvoir exercé par
ces personnalités importantes et les entreprises, les chaînes de télévision, les journaux, les compagnies
d'assurance et les banques qu'ils représentent correspond au pouvoir et au prestige d'au moins
deux pays européens, et ce n'est encore que la pointe de l'énorme réseau croisé du Comité des 300 et intérêts
interfacés. Non mentionné dans la liste précédente, Richard Gardner qui, bien qu'un des premiers membres
du Comité des 300, a été envoyé à Rome pour une mission spéciale. Gardner s'est marié avec l'une
des plus anciennes familles de la noblesse noire de Venise, offrant ainsi à l'aristocratie vénitienne une
ligne directe vers la Maison Blanche. Le regretté Averill Harriman était un autre des liens directs du comité
avec le Kremlin et la Maison Blanche, un poste dont Kissinger a hérité après la mort de Harriman. Le
Club de Rome est en effet une formidable agence du Comité des 300. Bien que travaillant ostensiblement
sur les affaires américaines, le groupe chevauche d'autres agences du Comité des 300 et ses
membres américains se retrouvent souvent à travailler avec des "problèmes" au Japon et en Allemagne.
Certaines des organisations de façade gérées par le comité cidessus comprennent les suivantes, mais
sans s'y limiter :
LIGUE DE LA DÉMOCRATIE INDUSTRIELLE Responsables : Michael Novak, Jeane Kirkpatrick,
Eugene Rostow, IRWIN SUALL, Lane Kirkland, Albert Schenker. Objectif : perturber et perturber les relations
de travail normales entre les travailleurs et les employés en faisant subir un lavage de cerveau aux
syndicats pour formuler des revendications impossibles, en accordant une attention particulière aux
industries de l'acier, de l'automobile et du logement.
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Fonctionnaires de FREEDOM HOUSE : Leo Churn et Carl Gershman. Objectif : répandre la désinformation
socialiste parmi les cols bleus américains, propager la dissension et le mécontentement. Maintenant que
ces objectifs ont été largement atteints, Gershman a été rédigé par Lawrence Eagleburger au CEDC, un
organisme nouvellement créé pour empêcher une Allemagne unie d'étendre son commerce dans le
bassin du Danube.
COMITÉ POUR UNE MAJORITÉ DÉMOCRATIQUE Représentants : Ben Wattenburg, Jean Kirkpatrick, Elmo
Zumwa et Midge Dector. Objectif : fournir un lien entre la classe socialiste éduquée et les groupes
minoritaires dans le but de constituer un bloc solide d'électeurs sur lesquels on peut compter pour voter pour
les candidats de gauche au moment des élections. C'était vraiment une opération fabianiste du début à la
fin.
INSTITUT DE RECHERCHE SUR LA POLITIQUE ÉTRANGÈRE Fonctionnaires : Robert Strausz Hupe.
Objectif : saper et éventuellement mettre fin au programme spatial de la NASA.
SOCIAUXDÉMOCRATES ÉtatsUnis Responsables : Bayard Rustin, Lane Kirkland, Jay Lovestone,
Carl Gershman, Howard Samuel, Sidney Hook. Objectif : répandre le socialisme radical, en particulier parmi
les groupes minoritaires, et forger des liens entre des organisations similaires dans les pays
socialistes. Lovestone a été pendant des décennies le principal conseiller des présidents américains sur
les affaires soviétiques et un lien direct étroit avec Moscou.
INSTITUT POUR LES RELATIONS SOCIALES Fonctionnaires : Harland Cleveland, Willis Harmon.
Objectif : Changer la façon dont l'Amérique pense.
LA LIGUE DES CITOYENS Officiels : Barry Commoner. Objectif : Intenter des poursuites judiciaires « de
cause commune » contre divers organismes gouvernementaux, en particulier dans les industries de
la défense.
Officiels de la LIGUE DES RÉSISTANTS À LA GUERRE : Noam Chomsky et David McReynolds.
Objectif : Organiser la résistance à la guerre du Vietnam parmi les groupes de gauche, les étudiants et Hollywood
"en foule".
LE COMITÉ D'ORGANISATION SOCIALISTE DÉMOCRATIQUE DE L'INSTITUT POUR LE
SOCIALISME DÉMOCRATIQUE Officiels : Frank Zeider, Arthur Redier et David McReynolds. But : Un
centre d'échange d'idées et d'activités socialistes de gauche aux ÉtatsUnis et en Europe.
ANTIDEFAMATION LEAGUE DIVISION D'ÉTUDE DES FAITS Officiels : IRWIN SUALL, également
connu sous le nom de John Graham. Objectif : une opération de renseignement conjointe du FBI et de la Grande
Bretagne conçue pour identifier les groupes de droite et leurs dirigeants et les mettre en faillite avant qu'ils
ne deviennent trop importants et trop influents.
ASSOCIATION INTERNATIONALE DES MACHINISTES Objectif : Un front orienté vers les travailleurs pour
l'Internationale socialiste et un foyer d'agitation ouvrière organisée qui polarise les travailleurs et la direction.
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TRAVAILLEURS DU VÊTEMENT FUSIONNÉS Officiels : Murray Findley, IRWIN SUALL et
Jacob Scheinkman. But : À peu près comme le Syndicat des machinistes, socialiser et polariser les
travailleurs de l'industrie du vêtement.
A. INSTITUT PHILIP RANDOLPH Responsables : Bayard Rustin. Objectif : Fournir un moyen de
coordonner des organisations ayant un objectif commun, dont un exemple serait la diffusion des
idées socialistes parmi les étudiants et les travailleurs.
INSTITUT D'ÉTUDES DES POLITIQUES DE CAMBRIDGE Fonctionnaires : Gar Apelrovitz. Objet :
Développer le travail effectué à l'Institute for Policy Studies. Fondée en février 1969 par le
socialiste international Gar Apelrovitz, ancien assistant du sénateur Gaylord Nelson. Apelrovitz a
écrit le livre controversé ATOMIC DIPLOMACY pour le Club de Rome dont les travaux ont été
financés par le German Marshall Fund. Il se concentre sur des projets de recherche et
d'action, avec un objectif déclaré de changer fondamentalement la société américaine, i. .e.,
pour créer des ÉtatsUnis fabianistes en préparation du prochain gouvernement mondial.
COMITÉ ÉCONOMIQUE DE L'INSTITUT DE L'ATLANTIQUE NORD Fonctionnaires : Dr. Aurellio
Peccei. Objet : Groupe de réflexion de l'OTAN sur les questions économiques mondiales.
CENTRE POUR L'ÉTUDE DES INSTITUTIONS DÉMOCRATIQUES Officiels : le fondateur
Robert Hutchins du Comité des 300, Harry Ashmore, Frank Kelly et un grand groupe de "Fellows".
But : Diffuser des idées qui apporteront des réformes sociales de type libéral avec la démocratie
comme idéologie. L'une de ses activités consiste à rédiger une nouvelle constitution pour les
ÉtatsUnis qui sera fortement monarchique et socialiste comme on en trouve au Danemark. Le
Centre est une place forte "olympienne". Situé à Santa Barbara, il est installé dans ce qu'on
appelle affectueusement « le Parthénon ». L'ancien représentant John Rarick l'a qualifié de
"groupe chargé de communistes". En 1973, le travail sur une nouvelle Constitution des ÉtatsUnis
en était à sa trentecinquième ébauche qui propose un amendement garantissant le
"droit environnemental", dont l'idée maîtresse est de réduire la base industrielle des ÉtatsUnis à un
simple murmure de ce qu'elle était en 1969. En d'autres termes, cette institution met en œuvre
les politiques postindustrielles de croissance zéro du Club de Rome définies par le Comité
des 300. Certains de ses autres objectifs sont le contrôle des cycles économiques, le bienêtre,
la réglementation des entreprises et des travaux publics nationaux, la contrôle de la pollution.
S'exprimant au nom du Comité des 300, Ashmore affirme que la fonction du CSDI est de trouver des
voies et moyens de rendre notre système politique plus efficace. "Nous devons changer
l'éducation et nous devons envisager une nouvelle Constitution américaine et une Constitution
pour le monde", a déclaré Ashmore.
Les autres objectifs énoncés par Ashmore sont les suivants :
(1) L'adhésion à l'ONU doit être rendue universelle. (2) L'ONU doit être renforcée.
(3) L'Asie du SudEst doit être neutralisée. (Pour neutralisé, lire "communisé".) (4) La guerre froide doit
être terminée. (5) La discrimination raciale doit être abolie. (6) Les pays en développement doivent
être aidés. (Signification assistée pour détruire.) (7) Pas de solutions militaires aux problèmes.
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(Dommage qu'ils n'aient pas dit cela à George Bush avant la guerre du Golfe.) (8) Les solutions nationales ne
sont pas adéquates. (9) La coexistence est nécessaire.
CLINIQUE PSYCHOLOGIQUE DE HARVARD Officiels : Dr Kurt Lewin et une équipe de 15 scientifiques
spécialisés dans les nouvelles sciences. Objectif : Créer un climat où le Comité des 300 peut prendre un pouvoir
illimité sur les ÉtatsUnis
INSTITUT POUR LA RECHERCHE SOCIALE Fonctionnaires : Dr. Kurt Lewin et personnel de 20 nouveaux
scientifiques. Objectif : Concevoir un tout nouvel ensemble de programmes sociaux pour éloigner l'Amérique
de l'industrie.
UNITÉ DE RECHERCHE SUR LES POLITIQUES SCIENTIFIQUES Fonctionnaires : Leland Bradford, Kenneth
Dam, Ronald Lippert. Objet : Une institution de recherche « Future Shocks » à l'Université de Sussex en
Angleterre et faisant partie du réseau Tavistock.
SYSTEMS DEVELOPMENT CORPORATION Fonctionnaires : Sheldon Arenberg et des centaines d'employés,
trop nombreux pour être mentionnés ici. Objectif : Coordonner tous les éléments des communautés du
renseignement des ÉtatsUnis et de la GrandeBretagne. Il analyse quels « acteurs » doivent se voir confier le
rôle d'entité nationale ; par exemple, l'Espagne relèverait d'une Église catholique édulcorée, l'ONU du Secrétaire
général, etc. Il a développé le système de "X RAY 2" où le personnel des groupes de réflexion, les installations
militaires et les centres d'application de la loi sont tous reliés au Pentagone via un réseau national de télétypes
et d'ordinateurs : pour appliquer des techniques de surveillance à l'échelle nationale. Arenberg dit que
ses idées ne sont pas militaires, mais ses techniques sont principalement celles qu'il a apprises de l'armée. Il
était responsable du système d'identification et de renseignement de l'État de New York, un projet typique de
George Orwell "1984", qui est complètement illégal en vertu de notre Constitution. Le système NYSIIS est en
train d'être adopté à l'échelle nationale. C'est ce que Brzezinsk a appelé la capacité de récupérer presque
instantanément des données sur n'importe quelle personne. NYSIIS partage des données avec
toutes les forces de l'ordre et les agences gouvernementales de l'État. Il assure le stockage et la
récupération rapide des dossiers individuels, criminels et sociaux. C'est un comité TYPIQUE de 300 projets. Il y
a un besoin criant de mener une enquête complète sur ce que fait exactement Systems Development
Corporation, mais cela dépasse le cadre de ce livre. Une chose est sûre, la SDC n'est pas là pour préserver la
liberté et la liberté garanties par la Constitution américaine. Comme il est pratique qu'il soit situé à Santa
Barbara, à proximité du "Parthénon" de Robert Hutchins. Certaines publications publiées par ces institutions du
Club de Rome sont les suivantes :
"Center Magazine" "Counterspy" "Coventry" "Covert Action Information Bulletin"
"Dissidence" "Relations humaines" "Recherche industrielle" "Enquête" "Mother Jones" "One"
"Progressive" "Raconteur" "La Nouvelle République" "Documents de travail pour une nouvelle société"
Ce ne sont en aucun cas toutes les publications publiées sous les auspices du Club de Rome. Il en existe
plusieurs centaines d'autres, en fait chacune des fondations publie sa propre publication. Étant donné le
nombre de fondations gérées par l'Institut Tavistock et le Club de Rome, une liste partielle est tout ce que nous
pouvons inclure ici. Certains des plus importants
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les fondations et les groupes de réflexion figurent dans la liste suivante, qui comprend les groupes de réflexion de l'armée.
Le public américain serait stupéfait s'il savait à quel point l'armée est impliquée dans la recherche sur les "nouvelles
tactiques de guerre" avec le Comité des 300 "groupes de réflexion". Les Américains ne savent pas qu'en 1946, le Club de
Rome a reçu l'ordre du Comité des 300 de faire avancer les progrès des groupes de réflexion qui, selon lui, offraient un
nouveau moyen de diffuser la philosophie du Comité. L'impact de ces groupes de réflexion sur nos militaires, juste
depuis 1959, lorsqu'ils ont soudainement proliféré, est vraiment stupéfiant. Il ne fait aucun doute qu'ils joueront un rôle
encore plus important dans les affaires quotidiennes de cette nation à la fin du XXe siècle.
LA SOCIÉTÉ DU MONT PELERIN Le Mont Pèlerin est une fondation économique vouée à émettre des théories économiques
trompeuses et à influencer les économistes du monde occidental pour qu'ils suivent les modèles qu'elle propose de temps à
autre. Ses principaux praticiens sont Von Hayek et Milton Friedman.
L'INSTITUTION HOOVER Fondée à l'origine pour lutter contre le communisme, l'institution s'est lentement mais
sûrement tournée vers le socialisme. Il dispose d'un budget annuel de 2 millions de dollars, financé par des entreprises
sous l'égide du Comité des 300. Il se concentre désormais sur les "changements pacifiques" en mettant l'accent sur
le contrôle des armements et les problèmes intérieurs américains. Il est fréquemment utilisé par les médias d'information
comme une organisation «conservatrice» dont ils recherchent les opinions lorsqu'un point de vue conservateur est
nécessaire. L'Institution Hoover est loin de cela, et suite à la prise de contrôle de l'Institution en 1953 par un groupe allié au
Club de Rome, elle est devenue un débouché pour les politiques "souhaitables".
HERITAGE FOUNDATION Fondée par le magnat de la brasserie Joseph Coors pour agir comme un groupe de réflexion
conservateur, Heritage a rapidement été reprise par les fabianistes Sir Peter Vickers Hall, Stuart Butler, Steven Ayzlei,
Robert Moss et Frederich Von Hayek sous la direction du Club de Rome. Cet institut a joué un rôle majeur dans
l'exécution de l'ordre du leader travailliste britannique Anthony Wedgewood Benn de « Thatcherize Reagan ». Le patrimoine
n'est certainement pas une opération conservatrice, bien qu'il puisse parfois en avoir l'air et y ressembler.
BUREAU DE RECHERCHE EN RESSOURCES HUMAINES. Il s'agit d'un établissement de recherche de
l'armée traitant de "psychotechnologie". La plupart de son personnel est formé par Tavistock. La "psychotechnologie"
couvre la motivation GI, le moral et la musique utilisée par l'ennemi.
En fait, une grande partie de ce que George Orwell a écrit dans son livre "1984" semble être remarquablement
similaire à ce qui est enseigné à HUMRRO. En 1969, le Comité des 300 a repris cette importante institution et l'a
transformée en une organisation privée à but non lucratif gérée sous les auspices du Club de Rome. C'est le plus grand
groupe de recherche comportementale aux ÉtatsUnis
L'une de ses spécialités est l'étude de petits groupes sous tension et HUMRRO enseigne à l'armée qu'un soldat n'est qu'un
prolongement de son équipement et a exercé une grande influence sur le système "homme/arme" et son "contrôle
de la qualité humaine". si largement accepté par l'armée américaine. HUMRRO a eu un effet très prononcé sur la façon dont
l'armée se conduit. Ses techniques hallucinantes sont tout droit sorties de Tavistock.
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Les cours de psychologie appliquée de HUMRRO sont censés enseigner aux chefs de l'armée comment
faire fonctionner l'arme humaine. Un bon exemple de cela est la manière dont les soldats de la guerre
contre l'Irak étaient prêts à désobéir à leurs ordres permanents manuels de terrain et à enterrer
vivants 12 000 soldats irakiens.
Ce type de lavage de cerveau est terriblement dangereux parce qu'aujourd'hui, il est appliqué à l'armée,
l'armée l'applique pour détruire brutalement des milliers de soldats "ennemis", et demain on pourrait dire
à l'armée que les populations civiles opposées aux politiques gouvernementales sont "l'ennemi ." Nous
sommes déjà un troupeau de moutons sans esprit soumis à un lavage de cerveau, mais il semble
que HUMRRO puisse pousser l'esprit et le contrôle de l'esprit un peu plus loin. HUMRRO est un
complément précieux à Tavistock et bon nombre des leçons enseignées à HUMRRO ont été appliquées
pendant la guerre du Golfe, ce qui permet de comprendre un peu plus facilement comment il est
arrivé que les soldats américains se soient comportés comme des tueurs impitoyables et sans cœur, bien
loin de la concept du combattant américain traditionnel.
CORPORATION D'ANALYSE DE RECHERCHE. Il s'agit de l'organisation sœur "1984" de
HUMRRO située à McLean, en Virginie. Créé en 1948, il a été repris par le Comité des 300 en 1961
lorsqu'il est devenu une partie du bloc Johns Hopkins. Il a travaillé sur plus de 600 projets, y compris
l'intégration des nègres dans l'armée, l'utilisation tactique des armes nucléaires, les programmes de
guerre psychologique et le contrôle massif de la population.
De toute évidence, il existe de nombreux autres groupes de réflexion majeurs, et nous en reviendrons sur
la plupart dans ce livre. L'un des domaines de coopération les plus importants entre ce que les think tanks
sortent et ce qui devient le gouvernement et la politique publique sont les « sondeurs ». C'est le travail
des sociétés de sondage de modeler et de façonner l'opinion publique de la manière qui convient
aux conspirateurs. Des sondages sont constamment effectués par CBSNBCABC, le New York Times,
le Washington Post. La plupart de ces efforts sont coordonnés au National Opinion Research
Center où, autant que cela étonnera la plupart d'entre nous, un profil psychologique a été développé pour
l'ensemble de la nation.
Les résultats sont introduits dans les ordinateurs de Gallup Poll et Yankelovich, Skelley et White pour
une évaluation comparative. Une grande partie de ce que nous lisons dans nos journaux ou voyons à la
télévision a d'abord été vérifiée par les sociétés de sondage. CE QUE NOUS VOYONS EST CE
QUE LES SONDEURS PENSENT QUE NOUS DEVONS VOIR. C'est ce qu'on appelle « faire l'opinion
publique ». Toute l'idée derrière ce peu de conditionnement social est de savoir à quel point le public est
sensible aux DIRECTIVES POLITIQUES émises par le Comité des 300. Nous sommes appelés
"groupes de population ciblés" et ce qui est mesuré par les sondeurs, c'est la résistance
générée. à ce qui apparaît dans les "Nightly News". Plus tard, nous apprendrons exactement
comment cette pratique trompeuse a commencé et qui en est responsable.
Tout cela fait partie du processus élaboré de création d'opinion créé à Tavistock. Aujourd'hui, nos
gens croient qu'ils sont bien informés, mais ce qu'ils ne réalisent pas, c'est que les opinions qu'ils
croient être les leurs ont en fait été créées dans les instituts de recherche et les groupes de réflexion
américains et qu'aucun d'entre nous n'est libre de se faire sa propre opinion parce que des
informations que nous fournissent les médias et les sondeurs.
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Le sondage est devenu un art juste avant que les ÉtatsUnis n'entrent dans la Seconde Guerre mondiale. Les
Américains, à leur insu, étaient conditionnés à considérer l'Allemagne et le Japon comme des ennemis dangereux
qu'il fallait arrêter. Dans un sens, c'était vrai, et cela rend la pensée conditionnée d'autant plus dangereuse,
car d'après les INFORMATIONS qui leur ont été fournies, l'ennemi semblait bien être
l'Allemagne et le Japon.
Tout récemment, nous avons vu à quel point le processus de conditionnement de Tavistock fonctionnait lorsque
les Américains étaient conditionnés à percevoir l'Irak comme une menace et Saddam Hussein comme un ennemi
personnel des ÉtatsUnis.
Un tel processus de conditionnement est techniquement décrit comme "le message atteignant les organes
sensoriels des personnes à influencer". L'un des sondeurs les plus respectés est le membre du comité
de 300 Daniel Yankelovich, de la société Yankelovich, Skelley and White. Yankelovich est fier de dire à ses
étudiants que les sondages sont un outil pour changer l'opinion publique, même si ce n'est pas original, Yankelovich
s'étant inspiré du livre "TREND REPORT" de David Naisbett qui lui a été commandé par le Club de Rome.
Dans son livre, Naisbett décrit toutes les techniques utilisées par les faiseurs d'opinion publique pour susciter
l'opinion publique souhaitée par le Comité des 300. La formation d'opinion publique est le joyau de la couronne
des OLYMPIENS, car avec leurs milliers de spécialistes des sciences sociales. à leur entière disposition, et
avec les médias d'information fermement entre leurs mains, de NOUVELLES opinions publiques sur presque
tous les sujets peuvent être créées et diffusées dans le monde entier en l'espace de deux semaines.
C'est précisément ce qui s'est passé lorsque leur serviteur George Bush a reçu l'ordre de faire la guerre à l'Irak.
En l'espace de deux semaines, non seulement les ÉtatsUnis mais la quasitotalité de l'opinion publique
mondiale se sont retournées contre l'Irak et son président Saddam Hussein. Ces artistes du changement
médiatique et ces manipulateurs de l'information rendent compte directement au Club de Rome qui, à son tour, rend
compte au Comité des 300 à la tête duquel siège la reine d'Angleterre qui règne sur un vaste réseau de sociétés
étroitement liées qui ne paient jamais d'impôts et ne répondent d'aucune un, qui financent leurs institutions de
recherche par le biais de fondations dont les activités communes contrôlent presque totalement notre vie
quotidienne.
Avec leurs sociétés imbriquées, les assurances, les banques, les sociétés financières, les compagnies
pétrolières, les journaux, les magazines, la radio et la télévision, ce vaste appareil chevauche les États
Unis et le monde. Il n'y a pas un politicien à Washington DC qui ne lui soit, d'une manière ou d'une
autre, redevable. La gauche s'insurge contre cela, l'appelant "impérialisme" ce qu'il est en effet, mais la gauche est
dirigée par les mêmes personnes, celleslà mêmes qui contrôlent la droite, de sorte que la gauche n'est pas
plus libre que nous !
Les scientifiques engagés dans le processus de conditionnement sont appelés « ingénieurs sociaux » ou
« spécialistes des nouvelles sciences sociales » et ils jouent un rôle essentiel dans ce que nous voyons, entendons
et lisons. Les ingénieurs sociaux de la «vieille école» étaient Kurt K. Lewin, le professeur Hadley Cantril,
Margaret Meade, le professeur Derwin Cartwright et le professeur Lipssitt qui, avec John Rawlings Reese,
constituaient l'épine dorsale des scientifiques des nouvelles sciences au Tavistock Institute.
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Pendant la Seconde Guerre mondiale, plus de 100 chercheurs travaillaient sous la direction
de Kurt Lewin, copiant servilement les méthodes adoptées par Reinhard Heydrich des SS. L'OSS était
basé sur la méthodologie de Heydrich et, comme on le sait, l'OSS était le précurseur de l'Agence
centrale de renseignement. Le but de tout cela est que les gouvernements de la Grande
Bretagne et des ÉtatsUnis ont déjà mis en place le mécanisme pour nous aligner sur un Nouvel
Ordre Mondial avec seulement un léger minimum de résistance, et ce mécanisme est en
place depuis 1946. Chaque année qui passe a ajouté de nouveaux raffinements.
C'est ce Comité des 300 qui a mis en place des réseaux et des mécanismes de contrôle bien plus
contraignants que jamais vus dans ce monde. Les chaînes et les cordes ne sont pas nécessaires
pour nous retenir. Notre peur de ce qui va arriver fait ce travail bien plus efficacement que
n'importe quel moyen physique de contrainte. Nous avons subi un lavage de cerveau pour
renoncer à notre droit constitutionnel de porter les armes ; renoncer à notre Constitution elle
même; permettre aux Nations Unies d'exercer un contrôle sur nos politiques étrangères et au FMI
de prendre le contrôle de nos politiques fiscales et monétaires ; permettre au président d'enfreindre
la loi des ÉtatsUnis en toute impunité et d'envahir un pays étranger et d'enlever son chef
d'État. En bref, nous avons subi un lavage de cerveau au point où nous, en tant que nation,
accepterons presque sans aucun doute chaque acte illégal commis par notre gouvernement.
Pour ma part, je sais que nous devrons bientôt nous battre pour reprendre notre pays au
Comité, ou le perdre à jamais. MAIS en fin de compte, combien prendront les armes ? En 1776,
seulement 3 % de la population prit les armes contre le roi George III. Cette foisci, 3 % seront
terriblement insuffisants. Nous ne devrions pas nous laisser entraîner sur des routes sans issue,
car c'est ce que nos contrôleurs mentaux ont prévu pour nous en nous confrontant à une telle
complexité de problèmes que nous succombons simplement à la pénétration à longue
distance et ne prenons aucune décision du tout sur de nombreux enjeux vitaux.
Nous examinerons les noms de ceux qui composent le Comité des 300 mais, avant cela, nous devrions
examiner l'interfaçage massif de toutes les institutions, entreprises et banques importantes sous
le contrôle du Comité. Il faut bien les marquer car ce sont eux qui décident qui vivra et qui sera
éliminé comme « mangeurs inutiles » ; où nous adorerons Dieu, ce que nous devons porter et
même ce que nous mangerons. Selon Brzezinski, nous serons sous surveillance sans fin 24 heures
sur 24 pendant 365 jours par an à l'infini.
Que nous ayons été trahis de l'intérieur est accepté par de plus en plus de personnes chaque année,
et c'est bien, car c'est par la connaissance, un mot traduit du mot CROYANCE, que nous pourrons
vaincre les ennemis de toute l'humanité. Alors que nous étions distraits par les croquemitaines du
Kremlin, le cheval de Troie a été mis en place à Washington DC. Le plus grand danger auquel les
personnes sans danger sont confrontées aujourd'hui ne vient pas de Moscou mais de Washington
DC. Nous devons d'abord vaincre l'ENNEMI DOMESTIQUE, et après cela, nous sera assez fort pour
monter une offensive pour éliminer le communisme de la terre avec tous les "ismes" qui
l'accompagnent.
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L'administration Carter a accéléré l'effondrement de notre économie et de notre force militaire, cette
dernière amorcée par Robert Strange McNamara, membre du Club de Rome et du Lucis Trust.
Malgré ses promesses, Reagan a continué à saper notre base industrielle, en commençant là où Carter
s'était arrêté. Alors que nous devons garder nos défenses solides, nous ne pouvons pas le faire à partir
d'une base industrielle faible car, sans un complexe militaroindustriel bien géré, nous ne pouvons pas
avoir un système de défense viable. Le Comité des 300 le reconnaît et planifie dès 1953 ses politiques
postindustrielles de croissance zéro désormais en plein essor. Grâce au Club de Rome, notre potentiel
technologique est tombé en dessous de celui du Japon et de l'Allemagne, des nations que nous sommes
censés avoir vaincues pendant la Seconde Guerre mondiale. Comment estce arrivé?
À cause d'hommes comme le Dr Alexander King et de notre état d'esprit les yeux bandés, nous
n'avons pas reconnu la destruction de nos établissements d'enseignement et de nos systèmes d'enseignement.
En raison de notre aveuglement, nous ne formons plus d'ingénieurs et de scientifiques en nombre suffisant
pour nous maintenir parmi les nations industrialisées du monde.
Grâce au Dr King, un homme que très peu de gens connaissent en Amérique, l'éducation aux ÉtatsUnis
est à son plus bas niveau depuis 1786. Les statistiques produites par l'Institute for Higher Learning
montrent que les capacités de lecture et d'écriture des élèves du secondaire aux ÉtatsUnis sont PLUS
BAS qu'ils ne l'étaient chez les lycéens en 1786.
Ce à quoi nous sommes confrontés aujourd'hui n'est pas seulement la perte de notre liberté et du tissu
même de notre nation, mais bien pire, la possibilité de la perte de nos âmes. L'effritement régulier des
fondations sur lesquelles repose cette république a laissé un vide vide, que les satanistes et les
cultistes se précipitent pour combler avec leur âme synthétique. Cette vérité est difficile à accepter
et à apprécier car ces événements n'ont rien de SOUDAINS. Si un choc soudain devait nous
frapper, un choc culturel et religieux, nous serions secoués de notre apathie.
Mais le gradualisme qui est ce qu'est le fabianisme ne fait rien pour donner l'alarme. Parce que la
grande majorité des Américains ne voient aucune MOTIVATION pour les choses que j'ai décrites, ils
ne peuvent pas l'accepter, et donc la conspiration est méprisée et souvent moquée. En créant le
chaos en présentant des centaines de choix quotidiens que nos employés doivent faire, nous en
sommes arrivés à une position où, à moins que la motivation ne puisse être clairement démontrée, toute
information est rejetée.
C'est à la fois le maillon faible et le maillon fort de la chaîne complotiste. La plupart rejettent tout ce qui
n'a aucun motif, de sorte que les conspirateurs se sentent en sécurité derrière le ridicule versé à ceux qui
pointent du doigt la crise à venir dans notre nation et nos vies individuelles. Cependant, si nous pouvons
faire en sorte que suffisamment de gens voient la vérité, le blocage de la motivation s'affaiblit jusqu'à ce
qu'il soit finalement écarté à mesure que de plus en plus de gens deviennent éclairés et que la notion
que "cela ne peut pas arriver en Amérique" est supprimée.
Le Comité des 300 compte sur nos réponses inadaptées pour gouverner notre réaction aux événements
créés, et il ne sera pas déçu tant que nous, en tant que nation, continuerons de la manière actuelle
dont nous réagissons. Nous devons transformer les réponses aux crises créées en réponses
ADAPTATIVES en identifiant les conspirateurs et en exposant leurs plans pour nous, afin que ces
choses deviennent de notoriété publique. Le Club de Rome a déjà fait LE
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TRANSITION VERS LA BARBARIE. Au lieu d'attendre d'être « enlevés », nous devons arrêter le
Comité des 300 avant qu'il ne puisse atteindre son objectif de faire de nous des prisonniers du « nouvel
âge des ténèbres » prévu pour nous. Ce n'est pas à Dieu, C'EST À NOUS. Nous devons prendre
les mesures nécessaires.
Toutes les informations que je fournis dans ce livre proviennent d'années de recherche soutenues
par des sources de renseignement impeccables. Rien n'est exagéré. Il est factuel et précis afin de ne
pas tomber dans le piège tendu par l'ennemi selon lequel ce matériel est de la "désinformation". Au
cours des deux dernières décennies, j'ai fourni des informations qui se sont avérées très précises
et qui ont expliqué de nombreux événements déroutants. Mon espoir est qu'à travers ce livre, une
compréhension meilleure, plus claire et plus large des forces conspiratrices dressées contre cette
nation verra le jour. Cet espoir se concrétise alors que de plus en plus de jeunes commencent
à poser des questions et à chercher des informations sur ce qui se passe VRAIMENT.
Il est difficile pour les gens de comprendre que ces conspirateurs sont réels et qu'ils ont le pouvoir que
moi et beaucoup d'autres leur avons attribué. Beaucoup ont écrit pour demander comment se faitil que
notre gouvernement ne fasse rien face à la terrible menace qui pèse sur la civilisation ? Le problème est
que notre gouvernement fait partie du problème, fait partie de la conspiration, et nulle part et à aucun
moment cela n'est devenu plus clairement évident que pendant la présidence Bush. Bien sûr, le président
Bush sait précisément ce que le Comité des 300 nous fait. IL TRAVAILLE POUR EUX. D'autres ont
écrit pour dire : « Nous pensions combattre le gouvernement.
Bien sûr que nous le sommes, mais derrière le gouvernement se tient une force si
puissante et englobante que les agences de renseignement ont même peur de mentionner
le nom "Olympiens".
La preuve du Comité des 300 se trouve dans le grand nombre d'institutions puissantes détenues
et contrôlées par lui. Voici quelquesuns des plus importants, qui relèvent tous de la MÈRE DE TOUS
LES GROUPES DE RÉFLEXION ET INSTITUTIONS DE RECHERCHE, L'INSTITUT
TAVISTOCK DES RELATIONS HUMAINES avec son vaste réseau de centaines de "branches".
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CENTRE DE RECHERCHE DE STANFORD
Le Stanford Research Center (SRC) a été fondé en 1946 par le Tavistock Institute for Human Relations.
Stanford a été créé pour aider Robert 0. Anderson et sa compagnie pétrolière ARCO, qui avaient obtenu
pour le Comité des 300 les droits pétroliers sur le versant nord de l'Alaska. Fondamentalement, le travail
était trop important pour l'Institut Aspen d'Anderson, il a donc fallu créer et financer un nouveau centre.
Ce nouveau centre était le centre de recherche de Stanford. L'Alaska a vendu ses droits moyennant
un acompte de 900 millions de dollars, un montant relativement faible pour le Comité des 300. Le
gouverneur de l'Alaska a été dirigé vers le SRI pour obtenir de l'aide et des conseils. Ce n'était pas un
hasard mais le résultat d'une planification judicieuse et d'un processus de conditionnement à long terme.
Suite à l'appel à l'aide du gouverneur, trois scientifiques du SRI se sont installés en Alaska où ils ont
rencontré le secrétaire d'État de l'Alaska et le bureau de planification de l'État. Francis Greehan, qui
dirigeait l'équipe du SRI, a assuré au gouverneur que son problème de savoir comment gérer la riche
découverte de pétrole serait en sécurité entre les mains du SRI. Naturellement, Greehan n'a pas
mentionné le Comité des 300 ou le Club de Rome. En moins d'un mois, Greehan a réuni une équipe
d'économistes, de scientifiques du pétrole et de scientifiques des nouvelles sciences qui se
comptent par centaines. Le rapport que SRI a remis au Gouverneur comptait quatrevingthuit pages.
La proposition a été adoptée pratiquement sans changement par la législature de l'Alaska en 1970.
Greehan avait en effet fait un travail remarquable pour le Comité des 300. Depuis ce début, le
SRI est devenu une institution employant 4000 personnes avec un budget annuel de plus de 160
millions de dollars. Son président, Charles A. Anderson, a été témoin d'une grande partie de cette
croissance au cours de son mandat, tout comme le professeur Willis Harmon, directeur du SRI Center for
the Study of Social Policies, qui emploie des centaines de scientifiques des nouvelles sciences, dont bon
nombre des meilleurs employés ont été transféré de la base londonienne de Tavistock. L'un d'eux était
le président du conseil d'administration de RCA et ancien agent du renseignement britannique, David
Sarnoff, qui a été étroitement impliqué avec Harmon et son équipe pendant vingtcinq ans. Sarnoff était en
quelque sorte un "chien de garde" pour l'institut mère du Sussex.
Stanford prétend ne porter aucun jugement moral sur les projets qu'il accepte, travaillant pour Israël et
les Arabes, l'Afrique du Sud et la Libye, mais, comme on pourrait l'imaginer, en adoptant cette
attitude, il assure un "bord intérieur" avec les gouvernements étrangers que la CIA a trouvé le plus utile. Dans
le livre de Jim Ridgeway, "THE CLOSED CORPORATION", le porteparole du SRI, Gibson, se vante
de la position non discriminatoire du SRI. Bien qu'il ne figure pas sur les listes du Federal Contract
Research Center, le SRI est aujourd'hui le plus grand groupe de réflexion militaire, éclipsant Hudson
et Rand. Parmi les départements spécialisés de SRl figurent des centres expérimentaux de guerre
chimique et biologique.
L'une des activités les plus dangereuses de Stanford est les opérations de contreinsurrection visant les
populations civiles exactement le genre de choses de "1984" que le gouvernement utilise déjà contre son
propre peuple. Le gouvernement américain verse chaque année des millions de dollars au SRI pour ce type de
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"recherche" très controversée. Suite aux manifestations étudiantes contre les expériences de guerre
chimique menées à Stanford, le SRI s'est "vendu" à un groupe privé pour seulement 25 millions
de dollars. Bien sûr, rien n'a vraiment changé, le SRI était toujours un projet Tavistock et le Comité
des 300 en était toujours propriétaire, mais les crédules semblaient satisfaits de ce changement
cosmétique sans signification.
En 1958, un nouveau développement surprenant a surgi. Advanced Research Products Agency
(ARPA), une agence contractante pour le ministère de la Défense, a approché SRI avec une
proposition top secrète. John Foster du Pentagone a déclaré au SRI qu'il fallait un programme
pour assurer les ÉtatsUnis contre les "surprises technologiques". Foster voulait perfectionner une
condition où l'environnement devenait une arme ; des bombes spéciales pour déclencher des volcans
et/ou des tremblements de terre, des recherches comportementales sur des ennemis potentiels et des
minéraux et métaux avec un potentiel pour de nouvelles armes. Le projet a été accepté par le SRI et porte
le nom de code "SHAKY".
Le cerveau électronique massif de SHAKY était capable d'exécuter de nombreuses commandes, ses
ordinateurs ayant été construits par IBM pour SRI. Vingthuit scientifiques ont travaillé sur ce qu'on
appelle "l'augmentation humaine". L'ordinateur IBM a même la capacité de résoudre des problèmes par
analogie et reconnaît et identifie les scientifiques qui travaillent avec lui. Les "applications spéciales" de
cet outil peuvent être mieux imaginées que décrites. Brzezinski savait de quoi il parlait lorsqu'il a écrit «
L'ÈRE TECHNOTRONIC ».
L'Institut de recherche de Stanford travaille en étroite collaboration avec des dizaines de sociétés de
conseil civiles, essayant d'appliquer la technologie militaire à des situations nationales. Cela n'a pas
toujours été un succès, mais à mesure que les techniques s'améliorent, les perspectives d'une
surveillance massive et omniprésente, telle que décrite par Brzezinski, deviennent chaque jour plus
réelles. IL EXISTE DÉJÀ ET EST UTILISÉ, MÊME SI DE LÉGERS DYSFONCTIONNEMENTS
DOIVENT ÊTRE CORRIGÉS DE TEMPS À AUTRE. L'une de ces sociétés de conseil civiles
était Schriever McKee Associates de McLean, en Virginie, dirigée par le général à la retraite Bernard
A. Schriever, ancien chef de l'Air Force Systems Command, qui a développé les fusées Titan, Thor,
Atlas et Minuteman.
Schriever a réuni un consortium de Lockheed, Emmerson Electric, Northrop, Control Data, Raytheon et
TRW sous le nom d'URBAN SYSTEMS ASSOCIATES, INC.
Le but du consortium ? Résoudre les "problèmes urbains" sociaux et psychologiques au moyen de
techniques militaires utilisant des systèmes électroniques avancés. Il est intéressant de noter que TRW
est devenue la plus grande société de collecte d'informations sur le crédit dans le secteur de
l'évaluation du crédit grâce à son travail avec Urban Systems Associates, Inc.
Cela devrait nous en dire long sur la mesure dans laquelle cette nation est déjà sous SURVEILLANCE
TOTALE, qui est la première exigence du Comité des 300. Aucune dictature, surtout pas à
l'échelle mondiale, ne peut fonctionner sans un contrôle total sur chacun. et chaque individu. Le SRI était
en passe de devenir un comité clé de 300 organismes de recherche.
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Dans les années 1980, 60% des contrats de la SRl étaient consacrés au "futurisme" avec des
applications tant militaires que civiles. Ses principaux clients étaient le Department of Defense
Directorate of Defence Research and Engineering, Office of Aerospace Research qui s'occupait
des "Applications of the Behavioral Sciences to Research Management," Executive Office of the
President, Office of Science and Technology, US Département de santé. Au nom du ministère de la
Santé, le SRI a dirigé un programme appelé "'Patterns in ESDEA Title I Reading Achievement
Tests". Les autres clients étaient le département américain de l'énergie, les ÉtatsUnis
Department of Labor, US Department of Transportation et National Science Foundation (NSF).
L'article rédigé pour la NSF, intitulé « Évaluation des problèmes futurs et internationaux ».
Stanford Research, sous la tutelle du Tavistock Institute de Londres, a mis en place un système de
grande envergure et effrayant qu'il a appelé "Business Intelligence Program". Plus de 600 entreprises
aux ÉtatsUnis et à l'étranger se sont abonnées. Le programme couvrait des recherches sur les
relations commerciales étrangères japonaises, le marketing des consommateurs en période de
changement, le défi croissant du terrorisme international, l'évaluation sensorielle des produits
de consommation, le système de transfert de fonds électronique, la détection optoélectrique,
les méthodes de planification exploratoire, l'US Defense In l'industrie et la disponibilité des capitaux.
Parmi le comité TOP de 300 entreprises qui sont devenues clientes de ce programme
figuraient Bechtel Corporation (George Schultz siégeait à son conseil d'administration),
Hewlett Packard, TRW, Bank of America, Shell Company, RCA, Blyth, Eastman Dillon, Saga
Foods Corporation, McDonnell Douglas , Crown Zellerbach, Wells Fargo Bank et Kaiser Industries.
Mais l'un des plus sinistres de tous les programmes SRI avec les possibilités de faire
d'énormes dégâts en modifiant la direction dans laquelle les ÉtatsUnis iront, socialement, moralement
et religieusement, était "CHANGING IMAGES OF MAN" de la Fondation Charles F. Kettering de
Stanford sous Stanford. référence officielle "Numéro de contrat URH (489) 2150 Rapport de
recherche sur les politiques numéro 4/4/74, préparé par le Centre SRI pour l'étude de la politique
sociale, directeur Willis Harmon." Il s'agit probablement de l'une des enquêtes les plus approfondies
sur la façon dont l'homme pourrait être changé qui ait jamais été menée.
Le rapport, couvrant 319 pages, a été rédigé par 14 nouveaux scientifiques sous la supervision
de Tavistock et 23 contrôleurs de haut niveau, dont BF Skinner, Margaret Meade, Ervin Lazlo et Sir
Geoffrey Vickers, un officier britannique de haut niveau du M16. On se souviendra que son gendre,
Sir Peter Vickers Hall, était un membre fondateur de la soidisant conservatrice "Heritage Foundation".
Une grande partie des 3000 pages de "recommandations" données à l'administration
Reagan en janvier 1981 étaient basées sur des éléments tirés de "CHANGEMENT D'IMAGES
DE L'HOMME" de Willis Harmon.
J'ai eu le privilège de recevoir une copie de "LES IMAGES CHANGEANTES DE L'HOMME" de mes
collègues du renseignement cinq jours après son acceptation par le gouvernement des ÉtatsUnis.
Ce que j'ai lu m'a choqué, car j'ai réalisé que je regardais un plan pour une future Amérique,
contrairement à tout ce que j'avais jamais vu auparavant. La nation devait être programmée pour
changer et s'habituer à de tels changements planifiés qu'il serait à peine perceptible lorsque des
changements profonds se produisaient. Nous sommes descendus si vite depuis que "LA
CONSPIRATION DU VEAU" (le titre du livre de l'article technique de Willis Harmon) a été écrit, que
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aujourd'hui, le divorce n'est pas stigmatisé, le suicide n'a jamais été aussi élevé et soulève peu de sourcils, les
déviations sociales par rapport à la norme et les aberrations sexuelles, autrefois inavouables dans les milieux
décents, sont désormais monnaie courante et ne suscitent aucune protestation particulière.
En tant que nation, nous n'avons pas remarqué à quel point « CHANGER LES IMAGES DE L'HUMANITÉ » a
radicalement modifié notre mode de vie américain pour toujours. D'une manière ou d'une autre, nous avons été
submergés par le "syndrome du Watergate". Pendant un moment, nous avons été choqués et consternés d'apprendre
que Nixon n'était rien d'autre qu'un escroc bon marché qui fréquentait les amis mafieux d'Earl Warren dans la belle
maison qu'ils lui avaient construite à côté du domaine Nixon. Lorsque trop de "chocs futurs" et de gros titres de
l'actualité ont requis notre attention, nous nous sommes égarés, ou plutôt, la multitude de choix auxquels nous étions
et sommes toujours confrontés quotidiennement, nous a tellement troublés que nous n'étions plus en mesure de faire
les choix nécessaires.
Pire encore, après avoir subi un déluge de crimes en haut lieu, plus le traumatisme de la guerre du Vietnam, notre nation
semblait ne plus vouloir de vérités. Une telle réaction est soigneusement expliquée dans le document technique de
Willis Harmon, en bref, la nation américaine réagissait exactement comme décrit. Pire encore, en ne souhaitant pas
accepter la vérité, nous avons poussé les choses un peu plus loin : nous nous sommes tournés vers le
gouvernement pour nous protéger de la vérité.
La puanteur corrompue des administrations ReaganBush que nous voulions recouvrir de six pieds de terre. Les crimes
commis au titre de l'affaire Iran/Contra (ou des scandales), nous ne voulions pas qu'ils soient dévoilés. Nous
avons laissé notre président nous mentir sur ses allées et venues dans la période du 20 au 23 octobre 1980.
Pourtant, ces crimes dépassent de loin en quantité et en portée tout ce que Nixon a fait pendant qu'il était
en fonction. En tant que nation, reconnaissonsnous qu'il s'agit d'une descente sans freins ?
Non, nous ne le faisons pas. Lorsque ceux dont le travail consiste à apporter la vérité au peuple américain qu'un petit
gouvernement privé et bien organisé à l'intérieur de la Maison Blanche était occupé à commettre un crime
après l'autre, des crimes qui ont attaqué l'âme même de cette nation et les institutions républicaines sur lesquelles
ça reposait, on nous disait de ne pas embêter le public avec de telles choses. "Nous ne voulons vraiment pas connaître
toutes ces spéculations", est devenu une réponse standard.
Lorsque le plus haut responsable élu du pays a placé de manière flagrante la loi de l'ONU audessus de
la Constitution des ÉtatsUnis une infraction impénétrable, la majorité l'a acceptée comme "normale". Lorsque le
plus haut responsable élu du pays est entré en guerre sans déclaration de guerre du Congrès, le fait a
été censuré par les médias et, encore une fois, nous l'avons accepté plutôt que d'affronter la vérité.
Lorsque la guerre du Golfe, que notre président a planifiée et planifiée, a commencé, non seulement nous étions
satisfaits de la censure la plus flagrante, nous l'avons même prise à cœur, estimant qu'elle était "bonne pour l'effort
de guerre". Notre président a menti, April Glaspie a menti, le département d'État a menti. Ils ont dit que la guerre
était justifiée parce que le président Hussein avait été averti de laisser le Koweït tranquille. Lorsque les câbles de
Glaspie au Département d'État ont finalement été rendus publics, un sénateur américain après l'autre est allé
charger pour défendre
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Glaspie, la prostituée. Peu importait qu'ils soient issus à la fois des démocrates et des républicains. Nous,
le peuple, les laissons s'en tirer avec leurs ignobles mensonges.
Dans cette attitude publique du peuple américain, les rêves les plus fous de Willis Harmon et de ses équipes de
scientifiques sont devenus réalité. L'Institut Tavistock était ravi d'avoir réussi à détruire le respect et l'estime de
soi de cette nation autrefois grande. On nous dit que nous avons gagné la guerre du Golfe. Ce qui n'est pas
encore perçu par la grande majorité des Américains, c'est qu'en gagnant la guerre, cela a coûté le respect
de soi et l'honneur de notre nation. Cela pourrit dans les sables du désert du Koweït et de l'Irak, aux côtés des
cadavres des soldats irakiens que nous avons massacrés lors de la retraite convenue du Koweït et de
Bassorah nous ne pouvions pas tenir notre promesse de respecter les Conventions de Genève et de ne pas les
attaquer. « Que voulezvous, nous demandaient nos contrôleurs, la victoire ou le respect de soi ? Vous ne
pouvez pas avoir les deux.
Il y a cent ans, cela n'aurait pas pu arriver, mais maintenant c'est arrivé et n'appelle aucun commentaire.
Nous avons succombé à la guerre de pénétration à longue portée menée contre cette nation par Tavistock.
Comme la nation allemande, vaincue par le Prudential Bombing Survey, nous sommes assez nombreux à
avoir succombé pour faire de cette nation le type que les régimes totalitaires du passé n'auraient
envisagé que dans leurs rêves. "Ici", disaientils, "il y a une nation, l'une des plus grandes au monde, qui ne
veut pas la vérité. Toutes nos agences de propagande peuvent être supprimées. Nous n'avons pas à lutter pour
garder la vérité de cette nation, ils l'ont volontairement rejetée de leur propre gré. Cette nation est un jeu
d'enfant.
Notre République autrefois fière des ÉtatsUnis d'Amérique n'est plus qu'une série d'organisations criminelles
de façade, dont l'histoire montre qu'elles sont toujours le début du totalitarisme.
C'est l'étape de l'altération permanente à laquelle nous sommes en Amérique alors que 1991 touchait à sa fin.
Nous vivons dans une société du jetable, programmée pour ne pas durer. Nous ne reculons même pas devant
les 4 millions de sansabri, ni les 30 millions de chômeurs, ni les 15 millions de bébés assassinés jusqu'à présent.
Ce sont des « jetables » de l'ère du Verseau, une conspiration si condamnable que, lorsqu'elle y sera
confrontée pour la première fois, la majorité désavouera son existence, rationalisant ces événements comme
« les temps ont changé ».
C'est ainsi que le Tavistock Institute et Willis Harmon nous ont programmés pour réagir.
Le démantèlement de nos idéaux se poursuit sans protestation. L'élan spirituel et intellectuel de notre peuple a
été détruit ! Le 27 mai 1991, le président Bush a fait une déclaration très profonde, dont la portée
semble avoir été totalement détournée par la plupart des commentateurs politiques :
"La dimension morale de la politique américaine nous oblige à tracer une voie morale à travers un monde de
moindres maux. C'est le monde réel, pas en noir et blanc. Très peu d'absolus moraux."
Que pourrionsnous attendre d'autre d'un président qui est très probablement l'homme le plus méchant à avoir
jamais occupé la Maison Blanche ?
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Considérez cela à la lumière de son ordre à l'armée d'enterrer vivants 12 000 soldats irakiens.
Considérez cela à la lumière de sa guerre de génocide en cours contre le peuple irakien.
Le président Bush était ravi de qualifier le président Saddam Hussein de « Hitler de notre temps ». Il n'a
jamais pris la peine d'offrir la moindre preuve. Ce n'était pas nécessaire. Parce que le président Bush a fait
cette déclaration, nous l'avons acceptée sans poser de questions. Considérez cela à la lumière éclatante
de la vérité, qu'il a fait toutes ces choses au nom du peuple américain tout en prenant secrètement ses
ordres du Comité des 300.
Mais, plus que toute autre chose, considérez ceci : le président Bush et ses contrôleurs se sentent
tellement en sécurité qu'ils ne jugent plus nécessaire de cacher leur contrôle diabolique sur le peuple
américain, ou de mentir à ce sujet. Cela va de soi dans la déclaration selon laquelle lui, en tant que notre
chef, fera toutes sortes de compromis avec la vérité, l'honnêteté et la décence si ses contrôleurs (et les
nôtres) le jugent nécessaire. Le 27 mai 1991, le président des ÉtatsUnis a abandonné chacun
des principes inscrits dans notre Constitution et a hardiment proclamé qu'il n'était plus lié par celleci. C'est
une grande victoire pour le Tavistock Institute et le Prudential Bombing Survey, dont la cible est passée
du logement des travailleurs allemands en 1945 à l'âme du peuple américain dans une guerre qui a
commencé en 1946 et se poursuit jusqu'en 1992.
Une pression accrue sur cette nation pour le changement a été appliquée par l'Institut de recherche de
Stanford au début des années 1960. L'offensive de SRl a pris de la puissance et de l'élan. Allumez
votre téléviseur et vous verrez la victoire de Stanford sous vos yeux : talkshows aux détails sexuels
lourds, chaînes vidéo spéciales où la perversion, le rock and roll et la drogue règnent en maîtres. Là où
autrefois John Wayne régnait, nous avons maintenant des excuses refaites pour un homme (ou estil ?)
appelé Michael Jackson, une parodie d'un être humain qui est considéré comme un héros, alors qu'il
tourne, mélange, marmonne et crie. son chemin à travers les écrans de télévision dans des millions de
foyers américains.
Une femme qui a vécu une série de mariages bénéficie d'une couverture nationale. Un groupe de rock
décalé sale, à moitié lavé et drogué après l'autre a des heures de temps d'antenne consacrées à ses
sons insensés et ses girations folles, ses modes vestimentaires et ses aberrations linguistiques. Les
feuilletons télévisés montrant aussi près que "merde" est de porter des scènes pornographiques
ne suscitent aucun commentaire. Alors qu'au début des années 1960 cela n'aurait jamais été
toléré, aujourd'hui c'est accepté comme normal. Nous avons été soumis et nous avons succombé à ce
que l'Institut Tavistock appelle des "chocs futurs" dont l'avenir est MAINTENANT et nous sommes
tellement engourdis par un choc culturel après l'autre que protester semble être un geste futile et,
donc, logiquement, nous pensons que c'est le cas pas bon de protester.
En 1986, le Comité des 300 ordonna d'augmenter la pression. Les ÉtatsUnis ne descendaient pas
assez vite. Les ÉtatsUnis ont entamé le processus de "reconnaissance" des bouchers du Cambodge, le
régime criminel de Pol Pot, autoconfesseurs du meurtre de 2 millions de citoyens cambodgiens.
En 1991, la roue a fait un tour complet. Les ÉtatsUnis sont entrés en guerre contre une nation amie qui
avait été programmée pour faire confiance aux traîtres de Washington.
Nous avons accusé le président Hussein de la petite nation irakienne de toutes sortes de maux, dont
aucun n'était vrai à distance. Nous avons tué et mutilé ses enfants, nous les avons laissé mourir de faim
et de toutes sortes de maladies.
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Dans le même souffle, nous avons envoyé les émissaires de Bush du Comité des 300 au Cambodge
pour RECONNAÎTRE LES MÉCHANTS MEURTRIERS DE MASSE DE 2 MILLIONS DE Cambodgiens,
qui ont été sacrifiés par l'expérience de dépeuplement des villes du Comité des 300, que les
grandes villes des ÉtatsUnis connaîtront. dans un avenir pas trop lointain. Maintenant, le président
Bush et son comité de 300 membres de l'administration disent, en fait : " Écoutez les gens, que
voulezvous de moi ? Je vous ai dit que je ferais des compromis là où je l'entendrai, même si cela
signifie coucher avec les meurtriers de Pol Pot. . ET ALORS BAISER MES HANCHES."
Le niveau de pression pour le changement atteindra son apogée en 1993 et nous assisterons à des
scènes que nous n'aurions jamais cru possibles. L'Amérique ivre de punch réagira, mais très
légèrement. Pas même la dernière menace à notre liberté, la carte de l'ordinateur personnel nous
dérange. "CHANGEMENT D'IMAGES DE L'HOMME" de Willis Harman aurait été trop technique
pour la plupart, alors le service de Marilyn Ferguson a été obtenu pour le rendre plus
facilement compréhensible. "THE AGE OF AQUARIUS" a annoncé des spectacles de nu et une
chanson qui a atteint le sommet des charts : "The Dawning of the Age of the Aquarius" a balayé le globe.
La carte d'ordinateur personnel qui, une fois entièrement distribuée, nous privera de notre
environnement familier et, comme nous le verrons, l'environnement signifie beaucoup plus
que le sens généralement accepté du mot. Les ÉtatsUnis ont traversé une période de traumatisme
intense comme il n'y en a jamais eu dans aucune autre nation dans l'histoire du monde, et le pire est
encore à venir.
Tout se passe selon ce que Tavistock a ordonné et ce que les spécialistes des sciences sociales de
Stanford ont tracé. Les temps ne changent pas ; ils sont faits pour changer. Tous les changements
sont planifiés à l'avance et résultent d'une action prudente. Nous avons été changés progressivement
au début, mais maintenant le rythme du changement s'accélère. Les ÉtatsUnis sont en train de se
transformer d'une nation sous Dieu en un polyglotte de nations sous plusieurs dieux. Les ÉtatsUnis
ne sont plus une nation sous Dieu. Les rédacteurs de la Constitution ont perdu la bataille.
Nos ancêtres parlaient une langue commune et croyaient en une religion commune, le christianisme,
et avaient des idéaux communs. Il n'y avait pas d'étrangers parmi nous; cela est venu plus
tard dans une tentative délibérément planifiée de diviser les ÉtatsUnis en une série de
nationalités, de cultures et de croyances fragmentées. Si vous en doutez, descendez dans l'East
Side de New York ou dans le West Side de Los Angeles un samedi et regardez autour de vous. Les
ÉtatsUnis sont devenus plusieurs nations luttant pour coexister sous un système de gouvernement
commun. Lorsque les vannes de l'immigration ont été ouvertes en grand par Franklin D.
Roosevelt, un cousin du chef du Comité des 300, le choc culturel a provoqué une grande confusion
et une dislocation et a fait de "One Nation" un concept irréalisable. Le Club de Rome et l'OTAN ont
exacerbé la situation. « Aimez votre prochain » est un idéal qui ne fonctionnera que si votre voisin
« est comme vousmême ».
Pour les rédacteurs de notre Constitution, les vérités qu'ils ont exposées pour les générations
futures étaient « d'ellesmêmes » pour euxmêmes, n'étant pas sûrs que les générations futures
trouveraient également les vérités auxquelles ils liaient cette nation d'ellesmêmes, ILS ONT
COMMENCÉ À LES EXPLIQUER. IL SEMBLE QU'ILS ONT EU PEUR D'UN MOMENT QUI
POURRAIT VENIR OÙ LES VÉRITÉS QU'ILS ÉPOUSES NE SERONT PLUS AUTONOMES.
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ÉVIDENT. L'Institut Tavistock pour les relations humaines s'est assuré que ce que les rédacteurs
craignaient de se produire s'est effectivement produit. Ce temps est arrivé avec Bush et son « non
absolu » et son nouvel ordre mondial sous le Comité des 300.
Cela fait partie du concept de changements sociaux imposés aux Américains qui, selon Harmon et le
Club de Rome, entraîneraient de graves traumatismes et une forte accumulation de pression.
Les bouleversements sociaux qui ont eu lieu depuis l'avènement de Tavistock, du Club de Rome et
de l'OTAN se poursuivront aux ÉtatsUnis tant que la limite d'absorption sera ignorée. Les nations
sont composées d'individus et, comme les individus, il y a une limite à leur capacité à absorber les
changements, aussi robustes soientelles.
Cette vérité psychologique a été bien prouvée par l'enquête sur les bombardements stratégiques qui
appelait à un bombardement par saturation des logements des travailleurs allemands. Comme mentionné
précédemment, le projet était l'œuvre de la Prudential Insurance Company et personne ne doute
aujourd'hui que l'Allemagne ait subi sa défaite à cause de cette opération. De nombreux scientifiques
qui ont travaillé sur ce projet travaillent sur le bombardement à saturation de l'Amérique, ou bien ils
sont décédés, laissant leurs techniques habiles entre les mains d'autres qui les ont suivis.
L'héritage qu'ils ont laissé derrière eux réside dans le fait que nous ne nous sommes pas tellement
égarés en tant que nation, mais que nous avons été orientés dans une direction opposée à celle que
les rédacteurs de la Déclaration nous ont guidés pendant plus de 200 ans. En bref, nous avons
perdu le contact avec nos gènes historiques, notre foi, qui a inspiré d'innombrables générations
d'Américains à aller de l'avant en tant que nation, en bénéficiant du patrimoine que nous ont laissé les
rédacteurs de la Déclaration d'indépendance et de la Constitution des ÉtatsUnis. Que nous soyons
perdus est clair pour tous ceux qui cherchent la vérité, aussi désagréable que cela puisse être.
Avec le président Bush et son "pas de morale absolue" qui nous guide, nous allons de l'avant comme
les nations et les individus perdus ont tendance à le faire. Nous collaborons avec le Comité des 300
pour notre propre chute et notre propre asservissement. Certains le sentent et ressentent un fort
sentiment de malaise. Les diverses théories du complot qui leur sont familières ne semblent pas tout couvrir.
C'est parce qu'ils ne savent rien de la Hiérarchie des Conspirateurs, le Comité des 300.
Ces âmes qui ressentent un profond sentiment de malaise et que quelque chose ne va pas radicalement,
mais qui ne peuvent pas mettre le doigt sur le problème, marchent dans les ténèbres. Ils regardent vers
un avenir qu'ils voient leur échapper. Le rêve américain est devenu un mirage. Ils placent leur foi
dans la religion mais ne prennent aucune mesure pour aider cette foi par l'ACTION.
Les Américains ne connaîtront jamais un retour en arrière tel que les Européens en ont fait l'expérience
au plus fort de l'âge des ténèbres. Par une ACTION déterminée, ils éveillèrent en eux un esprit de
renouveau qui aboutit à la glorieuse Renaissance.
L'ennemi qui les a dirigés vers ce point a décidé de faire un mouvement fort contre les ÉtatsUnis en 1980,
de sorte que la Renaissance de l'Amérique serait impossible. Qui est l'ennemi ? L'ennemi n'est pas « ils
» sans visage. L'ennemi est clairement identifiable comme étant le Comité des 300, le Club de
Rome, l'OTAN et toutes ses organisations affiliées, les groupes de réflexion et les instituts de recherche
contrôlés par Tavistock. Il n'est pas nécessaire d'utiliser "ils" ou "l'ennemi" sauf en raccourci. NOUS
SAVONS QUI "ILS", L'ENNEMI,
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EST. Le Comité des 300 avec son "aristocratie" de l'Establishment libéral de l'Est, ses banques, ses compagnies d'assurances,
ses sociétés géantes, ses fondations, ses réseaux de communication, présidé par une HIÉRARCHIE DE
CONSPIRATEURS C'EST L'ENNEMI.
C'est le pouvoir qui a donné vie au règne de la terreur en Russie, la révolution bolchevique, les guerres mondiales
I et II, la Corée, le Vietnam, la chute de la Rhodésie, l'Afrique du Sud, le Nicaragua et les Philippines. C'est le
gouvernement secret de haut niveau qui a provoqué la désintégration contrôlée de l'économie américaine et désindustrialisé
ce qui était autrefois la plus grande puissance industrielle, pour de bon, que le monde ait jamais connue.
L'Amérique d'aujourd'hui peut être comparée à un soldat qui s'endort au cœur d'une bataille. Nous, Américains, nous sommes
endormis, laissés à l'apathie causée par la confrontation à une multiplicité de choix qui nous a dérouté. Ce sont les
changements qui modifient notre environnement, brisent notre résistance au changement de sorte que nous
devenons hébétés, apathiques et finissons par nous endormir au cœur de la bataille.
Il existe un terme technique pour cette condition. C'est ce qu'on appelle "la contrainte de pénétration à longue distance".
L'art de soumettre un très grand groupe de personnes à une contrainte de pénétration continue à longue distance a été
développé par des scientifiques travaillant au Tavistock Institute of Human Relations et leurs filiales américaines,
Stanford Research et Rand Corporation, et au moins 150 autres institutions de recherche ici. aux EtatsUnis
Le Dr Kurt Lewin, le scientifique qui a développé cette guerre diabolique, a amené le patriote américain moyen à s'inquiéter de
diverses théories du complot, le laissant avec un sentiment d'incertitude et d'insécurité, isolé et peutêtre même
effrayé, alors qu'il cherche, mais échoue. comprendre la décadence et la pourriture causées par "LES IMAGES CHANGEANTES
DE L'HUMANITÉ", incapable d'identifier ou de combattre les changements sociaux, moraux, économiques et
politiques qu'il juge indésirables et qu'il ne souhaite pas, mais qui s'intensifient de toutes parts.
Le nom du Dr Lewin ne figurera dans aucun de nos livres d'histoire de l'establishment qui, de toute façon, sont un compte
rendu d'événements principalement du côté de la classe dirigeante ou des vainqueurs de guerres. C'est donc avec fierté que
je vous présente son nom. Comme mentionné précédemment, le Dr Lewin a organisé la clinique psychologique de Harvard
et l'Institut de recherche sociale sous les auspices de l'Institut Tavistock. Les noms ne donnent pas beaucoup
d'indications sur le but des deux organisations.
Cela me rappelle le tristement célèbre projet de loi visant à réformer les lois sur la monnaie et la monnaie adopté en 1827.
Le titre du projet de loi était suffisamment inoffensif ou semblait inoffensif, ce qui était l'intention de ses partisans. Par cette loi,
le sénateur John Sherman a livré la nation aux mains des banquiers internationaux. Sherman aurait parrainé le projet de loi
"sans le lire". Comme nous le savons, le véritable objectif du projet de loi était de démonétiser l'argent et de donner aux
banquiers voleurs un pouvoir illimité sur le crédit de notre nation ; des pouvoirs auxquels les banquiers n'avaient
manifestement pas droit en vertu des termes clairs et sans équivoque de la Constitution américaine.
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Kurt Lewin a donné à l'Institut Tavistock, au Club de Rome et à l'OTAN un pouvoir illimité sur l'Amérique,
auquel aucune organisation, entité ou société n'a droit. Ces institutions ont utilisé les pouvoirs usurpés
pour détruire la volonté de la nation de résister aux plans et aux intentions des conspirateurs pour nous
voler les fruits de la Révolution américaine et nous orienter sur une voie menant directement à un nouvel
âge sombre sous un seul monde. Gouvernement.
Les collègues de Lewin dans cet objectif de pénétration à long terme étaient Richard Crossman, Eric Trist,
HV Dicks, Willis Harmon, Charles Anderson, Garner Lindsay, Richard Price et WR Bion. Encore une fois,
ces noms n'apparaissent jamais dans les nouvelles du soir; en fait, ils n'apparaissent que dans des
revues scientifiques donc très peu d'Américains en sont conscients et pas du tout conscients de ce
que les hommes derrière les noms ont fait et font aux ÉtatsUnis.
Le président Jefferson a dit un jour qu'il avait pitié de ceux qui pensaient savoir ce qui se passait en
lisant le journal. Disraeli, le Premier ministre britannique, a dit à peu près la même chose. En effet, à travers
les âges, les dirigeants se sont amusés à diriger les choses dans les coulisses. L'homme a toujours ressenti
le besoin de dominer et nulle part et à aucun moment le désir n'est plus présent qu'en cette ère moderne.
S'il n'en était pas ainsi, pourquoi tout ce besoin de sociétés secrètes ? Si nous sommes gouvernés par un
système ouvert dirigé par des élus démocratiques, pourquoi le besoin d'un ordre maçonnique secret dans
chaque village, ville et ville à travers les ÉtatsUnis ? Comment se faitil que la francmaçonnerie puisse
fonctionner si ouvertement et pourtant garder ses secrets si bien cachés ? Nous ne pouvons pas poser
cette question aux Neuf Inconnus de la Loge des Neuf Sœurs à Paris, ni à leurs neuf compagnons de la
Loge Quatuar Coronati à Londres. Pourtant, ces dixhuit hommes font partie d'un gouvernement encore
plus secret, le RIIA, et audelà, le Comité des 300.
Comment se faitil que le rite écossais de la francmaçonnerie ait pu laver le cerveau de John Hinckley pour
tirer sur le président Reagan ? Pourquoi avonsnous des ordres secrets tels que les Chevaliers de
SaintJean de Jérusalem, la Table Ronde, le Groupe Milner et ainsi de suite ligne après ligne de sociétés
secrètes ? Ils font partie d'une chaîne mondiale de commandement et de contrôle passant par le
Club de Rome, l'OTAN, le RIIA et enfin jusqu'aux conspirateurs.
Hiérarchie, Le Comité des 300. Les hommes ont besoin de ces sociétés secrètes car leurs actes sont
mauvais et doivent être cachés. Le mal ne peut pas se tenir à la lumière de la vérité.
Dans ce livre, nous trouverons une liste presque complète des conspirateurs, de leurs institutions, fronts
et publications. En 1980, la Conspiration du Verseau battait son plein et son succès peut être vu
dans toutes les facettes de notre vie privée et nationale. L'augmentation écrasante de la violence aveugle,
des tueurs en série, des suicides d'adolescents, des signes indubitables de léthargie la « pétition à longue
distance » fait partie de notre nouvel environnement, aussi dangereux, sinon plus, que l'air pollué que
nous respirons.
L'avènement de l'ère du Verseau a pris l'Amérique totalement au dépourvu. En tant que nation, nous
n'étions pas préparés aux changements sur le point de nous être imposés. Qui a déjà entendu parler de
Tavistock, Kurt Lewin, Willis Harmon et John Rawlings Reese ? Ils n'étaient même pas sur la scène politique
américaine. Ce que nous aurions remarqué, si nous avions pris la peine de tout regarder, était une
diminution de notre capacité à résister aux chocs futuristes à mesure que nous devenions plus fatigués,
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en détresse et est finalement entré dans une période de choc psychologique suivie d'une apathie
généralisée en tant que manifestation extérieure d'une guerre de pénétration à longue portée.
L'ère du Verseau a été décrite au mieux par l'Institut Tavistock comme le véhicule de la turbulence : "Il y
a trois phases distinctes dans la réponse et la réaction au stress affichées par de grands groupes sociaux.
Premièrement, il y a la superficialité ; la population attaquée se défendra avec slogans ; cela n'identifie pas la source
de la crise et ne fait donc rien pour y remédier, donc la crise persistera. La seconde est la fragmentation. Elle se
produit alors que la crise continue et que l'ordre social s'effondre. Ensuite, il y a la troisième phase où
le groupe de population entre dans la «réalisation de soi» et se détourne de la crise induite et il s'ensuit une
réponse inadaptée, accompagnée d'un idéalisme synoptique actif et d'une dissociation.
Qui peut nier qu'avec l'énorme augmentation de la consommation de drogues le "crack" faisant des milliers de
nouveaux toxicomanes instantanés chaque jour l'augmentation choquante du meurtre de nourrissons
chaque jour (avortement), qui dépasse désormais de loin le nombre de victimes subies par nos forces armées.
forces armées dans les deux guerres mondiales, en Corée et au Vietnam, l'acceptation ouverte de l'homosexualité
et du lesbianisme dont les "droits" sont protégés par de plus en plus de lois chaque année, le terrible fléau que nous
appelons "SIDA" qui déferle sur nos villes et villages, l'échec total de notre système éducatif, l'augmentation
fulgurante du taux de divorce, un taux de meurtres qui choque le reste du monde dans l'incrédulité, les meurtres
en série sataniques, la disparition de milliers de jeunes enfants, arrachés de nos rues par des pervers, un
raz de marée virtuel de pornographie accompagné par la "permissivité" sur nos écrans de télévision qui peut nier
que cette nation est en crise, à laquelle nous ne nous adressons pas et dont nous nous détournons.
Les personnes bien intentionnées qui se spécialisent dans ces domaines attribuent une grande partie du
problème à l'éducation, ou à ce qui passe pour cela aux ÉtatsUnis. Les criminels abondent désormais dans les
tranches d'âge de 9 à 15 ans. Les violeurs n'ont généralement que 10 ans. Nos spécialistes sociaux, nos
syndicats d'enseignants, nos églises disent que tout cela est dû à un système éducatif défaillant. Voyez comment
les résultats des tests ne cessent de baisser. Les spécialistes déplorent le fait que les ÉtatsUnis se classent
désormais aux alentours de la 39e place pour le niveau d'éducation dans le monde.
Pourquoi déploronsnous ce qui est si évident ? NOTRE SYSTÈME D'ÉDUCATION A ÉTÉ
PROGRAMMÉ POUR S'AUTODESTRUCTION. C'ÉTAIT CE QUE DR. ALEXANDER KING A ÉTÉ ENVOYÉ
ICI PAR L'OTAN POUR S'ARRANGER. C'EST CE QUE LE JUGE HUGO BLACK A ÉTÉ ORDONNÉ
D'ARRANGER. LE FAIT EST QUE LE COMITÉ DES 300, AVEC L'APPROBATION DE NOTRE GOUVERNEMENT,
NE VEUT PAS QUE NOS JEUNES SONT CORRECTEMENT ÉDUQUÉS. L'éducation que le juge franc
maçon Hugo Black, Alexander King, Gunnar Myrdal et sa femme sont venus donner aux enfants des ÉtatsUnis est
que LE CRIME PAYE, L'OPPORTUNITÉ EST CE QUI COMPTE.
Ils ont appris à nos enfants que la loi américaine est appliquée de manière inégale, et c'est parfaitement normal. Nos
enfants ont été correctement éduqués par une décennie d'exemples corrompus ; Ronald Reagan et George Bush
étaient gouvernés par la cupidité et en sont devenus totalement corrompus. Notre système d'éducation n'a pas
échoué. Sous la direction de King, Black and the Myrdals, c'est en fait un grand succès, mais tout dépend de quel
point de vue on le regarde. Le
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Le comité des 300 est ravi de notre système d'éducation et ne permettra pas qu'une virgule soit changée.
Selon Stanford et Willis Harmon, le traumatisme induit de la pénétration à longue distance dont notre éducation
fait partie, dure depuis 45 ans, mais combien sont conscients des pressions insidieuses appliquées à notre
société et de l'exposition constante au lavage de cerveau ça se passe tous les jours ? Les mystérieuses
guerres de gangs qui ont éclaté à New York dans les années 1950 sont un exemple de la façon dont les
conspirateurs peuvent créer et mettre en scène tout type d'éléments perturbateurs qu'ils aiment. D'où venaient
ces guerres de gangs, personne ne le savait jusqu'aux années 1980, lorsque des chercheurs ont découvert
les contrôleurs cachés qui dirigeaient les soidisant "phénomènes sociaux".
Les guerres de gangs ont été soigneusement planifiées à Stanford, délibérément conçues pour choquer la société
et provoquer des vagues de troubles. En 1958, il y avait plus de 200 de ces gangs. Ils ont été rendus populaires
par une comédie musicale et un film hollywoodien, "West Side Story". Après avoir fait la une des journaux
pendant une décennie, soudainement, en 1966, ils ont disparu des rues de New York, Los Angeles New York,
New Jersey, Philadelphie et Chicago.
Tout au long de la décennie de violence des gangs, le public a réagi en fonction de la réponse profilée attendue
par Stanford ; la société dans son ensemble ne pouvait pas comprendre la guerre des gangs et le public a réagi
de manière inadaptée. S'il y avait eu ceux qui étaient assez sages pour reconnaître dans les guerres de
gangs une expérience de Stanford dans l'ingénierie sociale et le lavage de cerveau, le complot du conspirateur
aurait été exposé. Soit nous n'avions pas de spécialistes formés qui pouvaient voir ce qui se passait, ce qui est
très peu probable, soit ils ont été menacés et sont restés silencieux. La coopération avec Stanford par les médias
d'information a mis en lumière une attaque "nouvelle ère" sur notre environnement, tout comme prédit par les
ingénieurs sociaux et les nouveaux scientifiques scientifiques de Tavistock.
En 1989, la guerre des gangs, en tant que conditionnement social au changement, a été réintroduite dans les
rues de Los Angeles. Quelques mois après les premiers incidents, les gangs ont commencé à
proliférer d'abord par dizaines, puis par centaines dans les rues de l'East Side de Los Angeles. Les maisons de
crack et la prostitution rampante ont proliféré; les trafiquants de drogue dominaient les rues. Quiconque se mettait
en travers de leur chemin était abattu. Le tollé dans la presse fut fort et long. Le grand groupe de population
ciblé par Stanford a commencé à se défendre avec des slogans. C'est ce que Tavistock a appelé la première
phase, le groupe ciblé ne parvenant pas à identifier la source de la crise.
La deuxième phase de la crise de la guerre des gangs a été la « fragmentation ». Les gens qui ne vivent pas
dans les zones fréquentées par les gangs ont dit : « Dieu merci, ils ne sont pas dans notre quartier ». Cela
ignorait le fait que la crise se poursuivait avec ou sans reconnaissance et que l'ordre social à Los Angeles avait
commencé à s'effondrer. Comme l'a décrit Tavistock, les groupes non touchés par la guerre des gangs "se
sont séparés pour se défendre" parce que la source de la crise n'a pas été identifiée, le processus dit de
"maladaptation" de la période de dissociation.
Audelà de la prolifération des ventes de drogue, à quoi servent les guerres de gangs ? Premièrement, il s'agit de
montrer au groupe ciblé qu'il n'est pas en sécurité, c'estàdire que l'insécurité est générée. Deuxièmement, c'est
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pour montrer que la société organisée est impuissante face à une telle violence et troisièmement pour
faire reconnaître que notre ordre social s'effondre. La vague actuelle de violence des gangs disparaîtra
aussi rapidement qu'elle a commencé, une fois les trois phases du programme de Stanford
terminées.
Un exemple remarquable de conditionnement social pour accepter le changement, même
lorsqu'il est reconnu comme un changement indésirable par le grand groupe de population dans le viseur
de l'Institut de recherche de Stanford, a été «l'avènement» des BEATLES. Les Beatles ont été amenés
aux ÉtatsUnis dans le cadre d'une expérience sociale qui soumettrait de larges groupes de population à
un lavage de cerveau dont ils n'étaient même pas conscients.
Lorsque Tavistock a amené les Beatles aux ÉtatsUnis, personne n'aurait pu imaginer le désastre
culturel qui allait suivre leur sillage. Les Beatles faisaient partie intégrante de "THE AQUARIAN
CONSPIRACY", un organisme vivant issu de "THE CHANGEMENT IMAGES OF MAN", URH
(489)2150Policy Research Report No. 4/4/74.
Rapport sur les politiques préparé par le Centre SRI pour l'étude de la politique sociale, directeur,
professeur Willis Harmon.
Le phénomène des Beatles n'était pas une rébellion spontanée de la jeunesse contre l'ancien système
social. Au lieu de cela, il s'agissait d'un complot soigneusement conçu pour introduire par un corps
conspirateur qui ne pouvait pas être identifié, un élément hautement destructeur et diviseur dans
un grand groupe de population ciblé pour le changement contre sa volonté. De nouveaux mots et
de nouvelles phrases préparés par Tavistock ont été introduits en Amérique avec les Beatles. Des
mots tels que "rock" en relation avec les sons de la musique, "adolescent", "cool", "découvert" et
"musique pop" étaient un lexique de mots codés déguisés signifiant l'acceptation de la drogue et
arrivaient avec les Beatles et les accompagnaient partout où ils allaient. , à "découvrir" par
les "adolescents". Incidemment, le mot "adolescents" n'a été utilisé que juste avant l'arrivée des
Beatles sur la scène, avec l'aimable autorisation du Tavistock Institute for Human Relations.
Comme dans le cas des guerres de gangs, rien n'aurait pu ou n'aurait été accompli sans la coopération
des médias, en particulier des médias électroniques et, en particulier, du calomnieux Ed Sullivan qui avait
été coaché par les conspirateurs quant au rôle qu'il devait jouer. .
Personne n'aurait accordé beaucoup d'attention à l'équipe hétéroclite de Liverpool et au système 12
atonal de "musique" qui devait suivre s'il n'y avait pas eu une surabondance d'expositions dans la presse.
Le système à 12 atonaux consistait en des sons lourds et répétitifs, tirés de la musique du culte de
Dionysos et du sacerdoce de Baal par Adorno et auxquels avait été donnée une saveur "moderne" par
cet ami spécial de la reine d'Angleterre et donc du Comité des 300.
Tavistock et son centre de recherche de Stanford ont créé des mots déclencheurs qui sont ensuite
devenus d'usage général autour de la "musique rock" et de ses fans. Les mots déclencheurs ont
créé un nouveau groupe de population distinct, majoritairement jeune, qui a été persuadé par l'ingénierie
sociale et le conditionnement de croire que les Beatles étaient vraiment leur groupe préféré. Tous les
mots déclencheurs conçus dans le contexte de la "musique rock" ont été conçus pour le contrôle de
masse du nouveau groupe cible, la jeunesse américaine.
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Les Beatles ont fait un travail parfait, ou peutêtre seraitil plus correct de dire que Tavistock et Stanford
ont fait un travail parfait, les Beatles réagissant simplement comme des robots entraînés "avec un
peu d'aide de leurs amis" des mots codés pour utiliser des drogues et fabriquer c'est cool." Les
Beatles sont devenus un "nouveau type" très visible plus de jargon Tavistock et en tant que tel, le
groupe n'a pas tardé à créer de nouveaux styles (modes vestimentaires, coiffures et utilisation de la
langue) qui ont bouleversé l'ancienne génération, comme prévu. Cela faisait partie du
processus de "fragmentationmaladaptation" élaboré par Willis Harmon et son équipe de scientifiques
sociaux et de bricoleurs en génie génétique et mis en action.
Le rôle des médias imprimés et électroniques dans notre société est crucial pour le succès du
lavage de cerveau de grands groupes de population. Les guerres de gangs ont pris fin à Los Angeles
en 1966 lorsque les médias ont retiré leur couverture. La même chose se produira avec la vague actuelle
de guerres de gangs à Los Angeles. Les gangs de rue dépériront sur la vigne une fois que la couverture
de la saturation médiatique sera atténuée puis complètement retirée. Comme en 1966, la question
deviendrait "brûlée". Les gangs de rue auront atteint leur but en créant de la turbulence et de
l'insécurité. Exactement le même modèle sera suivi dans le cas de la musique "rock".
Privé de l'attention médiatique, il finira par prendre sa place dans l'histoire.
Après les Beatles, qui ont d'ailleurs été constitués par le Tavistock Institute, sont venus d'autres
groupes de rock "Made in England", qui, comme les Beatles, ont demandé à Theo Adorno d'écrire
leurs paroles cultes et de composer toute la "musique". Je déteste utiliser ces beaux mots dans le
contexte de "Beatlemania" ; cela me rappelle à quel point le mot "amant" est utilisé à tort pour désigner
l'interaction immonde entre deux homosexuels se tordant dans la graisse de porc. Appeler de la musique
"rock" est une insulte, de même que le langage utilisé dans les "lyriques rock".
Tavistock et Stanford Research se sont alors lancés dans la deuxième phase du travail commandé
par le Comité des 300. Cette nouvelle phase a fait monter la pression pour le changement social en
Amérique. Aussi vite que les Beatles sont apparus sur la scène américaine, la « beat generation » a
fait son apparition, déclenchant des mots destinés à séparer et fragmenter la société.
Les médias concentrent désormais leur attention sur la « beat generation ». D'autres mots inventés par
Tavistock sont apparemment sortis de nulle part : "beatniks", "hippies", "enfants fleurs" sont devenus une
partie du vocabulaire américain. Il est devenu populaire de "décrocher" et de porter des jeans sales, de
se promener avec de longs cheveux non lavés. La "beat generation" s'est coupée de l'Amérique
traditionnelle. Ils sont devenus tout aussi tristement célèbres que les Beatles plus propres avant eux.
Le groupe nouvellement créé et son "style de vie" ont entraîné des millions de jeunes Américains dans
la secte. La jeunesse américaine a subi une révolution radicale sans jamais s'en rendre compte, tandis que
l'ancienne génération est restée impuissante, incapable d'identifier la source de la crise, et réagissant
ainsi de manière inadaptée contre sa manifestation, qui étaient des drogues de tous types, la marijuana,
et plus tard l'acide lysergique, "LSD", si commodément fourni par la société pharmaceutique suisse
SANDOZ, suite à la découverte par l'un de ses chimistes, Albert Hoffman, de la fabrication de
l'ergotamine synthétique, un puissant médicament psychotrope. Le Comité des 300 a financé le projet
par l'intermédiaire d'une de leurs banques, SC
Warburg, et la drogue a été transportée en Amérique par le philosophe Aldous Huxley.
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Le nouveau «médicament miracle» a été rapidement distribué dans des emballages de taille «échantillon»,
distribués gratuitement sur les campus universitaires à travers les ÉtatsUnis et lors de concerts «rock», qui
sont devenus le principal vecteur de prolifération de la consommation de drogues. La question qui appelle
une réponse est : que faisait la Drug Enforcement Agency (DEA) à l'époque ?
Il existe des preuves circonstancielles convaincantes qui semblent indiquer que la DEA savait ce qui se
passait mais qu'elle avait reçu l'ordre de ne rien faire.
Avec un nombre très important de nouveaux groupes de "rock" britanniques arrivant aux ÉtatsUnis,
les concerts de rock ont commencé à devenir un incontournable du calendrier social de la jeunesse
américaine. Parallèlement à ces « concerts », la consommation de drogues chez les jeunes a augmenté
en proportion. Le chahut diabolique des sons lourds et discordants a engourdi l'esprit des auditeurs de
sorte qu'ils ont été facilement persuadés d'essayer la nouvelle drogue sur la base que "tout le
monde le fait". La pression des pairs est une arme très puissante. La « nouvelle culture » a reçu une
couverture maximale de la part des médias chacals, ce qui n'a pas coûté un seul centime aux conspirateurs.
Une grande colère a été ressentie par un certain nombre de dirigeants civiques et d'hommes d'église à
propos du nouveau culte, mais leurs énergies ont été mal dirigées contre le RÉSULTAT de ce qui
se passait et non contre la CAUSE. Les critiques du culte du rock ont commis les mêmes erreurs que
celles commises à l'époque de la prohibition, ils ont critiqué les forces de l'ordre, les enseignants,
les parents, tout sauf les conspirateurs.
En raison de la colère et du ressentiment que je ressens envers le grand fléau de la drogue, je ne
m'excuse pas d'utiliser un langage qui n'est pas habituel pour moi. Alan Ginsberg était l'un des pires
trafiquants de drogue qui ait jamais marché dans les rues d'Amérique. Ce Ginsberg a poussé l'utilisation
du LSD à travers la publicité qui ne lui a rien coûté, bien que dans des circonstances normales,
cela aurait coûté des millions de dollars en revenus publicitaires télévisés. Cette publicité gratuite pour les
drogues, et le LSD en particulier, a atteint un nouveau sommet à la fin des années 1960, grâce à la
coopération toujours volontaire des médias. L'effet de la campagne publicitaire de masse de Ginsberg a
été dévastateur; le public américain a été soumis à un choc culturel futur après l'autre en succession
rapide.
Nous sommes devenus surexposés et surstimulés et, encore une fois, puisje vous rappeler que c'est le
jargon Tavistock, tiré du manuel de formation Tavistock, submergé par son nouveau développement
et, lorsque nous avons atteint ce point, nos esprits ont commencé à sombrer dans l'apathie ; c'était tout
simplement trop difficile à gérer, c'estàdire que "la pénétration à longue distance s'était emparée de
nous". Ginsberg a prétendu être un poète, mais aucun plus grand déchet n'a jamais été écrit par
quiconque aspirait à devenir poète. La tâche désignée de Ginsberg avait peu à voir avec la poésie; sa
fonction principale était de pousser la nouvelle sousculture et de la forcer à être acceptée par le grand
groupe de population ciblé.
Pour l'aider dans sa tâche, Ginsberg a coopté les services de Norman Mailer, une sorte d'écrivain qui
avait passé quelque temps dans un établissement psychiatrique. Mailer était l'un des favoris de la
foule hollywoodienne de gauche et n'avait donc aucun problème à obtenir un temps de télévision maximal
pour Ginsberg. Naturellement, Mailer devait avoir un prétexte – même lui ne pouvait pas révéler de
manière flagrante la véritable nature des apparitions télévisées de Ginsberg. Une mascarade a donc été
adoptée : Mailer parlait "sérieusement" devant la caméra avec Ginsberg de poésie et de littérature.
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Cette méthode d'obtenir une large couverture télévisée sans frais pour euxmêmes a été suivie par tous les
groupes de rock et organisateurs de concerts qui ont suivi l'exemple de Ginsberg. Les magnats des
médias électroniques avaient grand cœur lorsqu'il s'agissait de donner du temps libre à ces sales
créatures vermineuses et à leurs produits encore plus sales et à leurs idées sales. Leur promotion
d'horribles ordures en disait long et, sans l'aide abondante de la presse écrite et des médias électroniques,
le commerce de la drogue n'aurait pas pu se propager aussi rapidement qu'il l'a fait à la fin des années
1960 et au début des années 1970, et aurait probablement été confiné à quelques petites domaines.
Ginsberg a pu donner plusieurs représentations télévisées à l'échelle nationale vantant les vertus du LSD
et de la marijuana, sous couvert de "nouvelles idées" et de "nouvelles cultures" se développant dans le
monde de l'art et de la musique. Pour ne pas être surpassés par les médias électroniques, les admirateurs
de Ginsberg ont écrit des articles élogieux sur "cet homme coloré" dans les colonnes artistiques et
sociales de tous les plus grands journaux et magazines américains. Il n'y avait jamais eu une telle
campagne de publicité gratuite dans tous les médias dans l'histoire des journaux, de la radio et de la
télévision et cela n'a pas coûté un centime aux promoteurs de la conspiration du Verseau, à l'OTAN et
au Club de Rome. C'était de la publicité totalement gratuite pour le LSD, à peine déguisée en « art » et «
culture ».
L'un des amis les plus proches de Ginsberg, Kenny Love, a publié un rapport de cinq pages dans le New
York Times. Ceci est conforme à la méthodologie utilisée par Tavistock et Stanford Research : si quelque
chose doit être promu que le public n'a pas encore subi un lavage de cerveau complet pour
l'accepter, alors demandez à quelqu'un d'écrire un article, couvrant tous les aspects du sujet.
L'autre méthode consiste à organiser des talkshows télévisés en direct dans lesquels un panel d'experts
fait la promotion du produit et/ou de l'idée sous prétexte de "discuter". Il y a point et contrepoint, les
participants pour et contre exprimant leur soutien ou leur opposition.
Quand tout est fini, le sujet à promouvoir a été infusé dans l'esprit du public.
Alors que c'était nouveau au début des années 1970, c'est aujourd'hui une pratique courante sur laquelle les talkshows
prospèrent.
L'article de cinq pages pro LSD pro Ginsberg de Love a été dûment imprimé par le New York Times.
Si Ginsberg avait essayé d'acheter la même quantité d'espace dans une publicité, cela lui aurait coûté
au moins 50 000 $. Mais Ginsberg n'avait pas à s'inquiéter ; grâce à son ami Kenny Love, Ginsberg a
obtenu gratuitement la publicité massive. Avec des journaux comme le New York Times et le
Washington Post sous le contrôle du Comité des 300, ce genre de publicité gratuite est accordée à
n'importe quel sujet, et plus particulièrement à ceux qui promeuvent des modes de vie décadents
drogue, hédonisme tout ce qui confondra le peuple américain. Après l'essai avec Ginsberg et
LSD, c'est devenu une pratique courante du Club de Rome de faire appel aux principaux journaux
américains pour offrir de la publicité gratuite à la demande aux personnes et aux idées dont ils
faisaient la promotion.
Pire encore ou mieux encore, selon le point de vue United Press (UP) a récupéré la publicité gratuite
de Kenny Love pour le Ginsberg et le LSD et l'a envoyée par télex à des CENTAINES de journaux et
de magazines à travers le pays sous le couvert d'un " histoire. Même des magazines d'établissement
hautement respectables comme "Harpers Bazaar" et "TIME" ont rendu M. Ginsberg respectable. Si une
campagne nationale de cette ampleur était présentée à Ginsberg et aux promoteurs du LSD par une
agence de publicité, le prix aurait
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atteindre au moins 1 million de dollars en termes de dollars de 1970. Aujourd'hui, le prix ne serait rien de
moins que 15 à 16 millions de dollars. Il n'est pas étonnant que je qualifie les médias d'information
de "chacals".
Je suggère que nous essayions de trouver n'importe quel média pour faire un exposé sur le Federal
Reserve Board, ce que j'ai fait. J'ai apporté mon article, qui était un bon exposé de la plus grande
escroquerie sur terre, à tous les grands journaux, stations de radio et de télévision, maisons de magazines
et plusieurs animateurs de talkshow. Quelquesuns ont fait des promesses qui sonnaient bien ils
diffuseraient certainement l'article et m'en feraient discuter leur donner environ une semaine et ils me
répondraient. Aucun d'entre eux ne l'a jamais fait, et mon article n'a jamais paru dans les pages de leurs
journaux et revues. C'était comme si une couverture de silence avait été jetée sur moi et sur le sujet que je
m'efforçais de promouvoir, et en effet c'était précisément ce qui s'était passé.
Sans un battage médiatique massif et sans une couverture presque 24 heures sur 24, le rock hippy
beatnik, le culte de la drogue n'aurait jamais vu le jour ; elle serait restée une bizarrerie localisée. Les Beatles,
avec leurs guitares claquantes, leurs expressions idiotes, leur langage de la drogue et leurs
vêtements bizarres, n'auraient pas représenté une montagne de haricots. Au lieu de cela, parce que les
Beatles ont bénéficié d'une couverture médiatique saturée, les ÉtatsUnis ont subi un choc culturel après
l'autre.
Les hommes enterrés dans les think tanks et les instituts de recherche, dont les noms et les visages ne
sont encore connus que de quelques personnes, ont fait en sorte que la presse joue son rôle. À l'inverse,
le rôle important des médias dans la nonexposition du pouvoir derrière les futurs chocs culturels a fait
en sorte que la source de la crise n'a jamais été identifiée. C'est ainsi que notre société a été rendue
folle par les chocs psychologiques et le stress. "Driven mad" est tiré du manuel de formation de
Tavistock. Depuis ses modestes débuts en 1921, Tavistock était prêt en 1966 à lancer une grande révolution
culturelle irréversible en Amérique, qui n'est pas encore terminée. La Conspiration du Verseau en fait
partie.
Ainsi adoucie, notre nation était désormais considérée comme mûre pour l'introduction de drogues qui
devait rivaliser avec l'ère de la prohibition en termes d'ampleur et d'énormes sommes d'argent à gagner. Cela
aussi faisait partie intégrante de la Conspiration du Verseau. La prolifération de la consommation de drogues
était l'un des sujets à l'étude à l'Unité de recherche sur les politiques scientifiques (SPRU) de
l'installation de l'Université Sussex de Tavistock. Il était connu sous le nom de centre des "chocs futurs", un
titre donné à la soidisant psychologie orientée vers l'avenir conçue pour manipuler des groupes entiers
de population afin d'induire des "chocs futurs". C'était la première de plusieurs institutions de ce type
créées par Tavistock.
Les « chocs futurs » sont décrits comme une série d'événements qui surviennent si rapidement que le
cerveau humain ne peut pas absorber l'information. Comme je l'ai dit plus tôt, la science a montré qu'il
existe des limites clairement définies à la quantité de changements et à leur nature que l'esprit peut gérer.
Après des chocs continus, le grand groupe de population ciblé découvre qu'il ne veut plus faire de choix.
L'apathie prend le dessus, souvent précédée d'une violence aveugle telle qu'elle est caractéristique des
gangs de rue de Los Angeles, des tueurs en série, des violeurs et des kidnappeurs d'enfants.
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Un tel groupe devient facile à contrôler et suivra docilement les ordres sans se rebeller, ce qui est l'objet
de l'exercice. "Les chocs futurs", dit le SPRU, "sont définis comme une détresse physique et psychologique
résultant d'une charge excessive sur le mécanisme de prise de décision de l'esprit humain".
C'est du jargon Tavistock tiré directement des manuels Tavistock qu'ils ne savent pas que j'ai.
Tout comme un circuit électrique surchargé active un interrupteur de déclenchement, les humains
"déclenchent", ce qui est un syndrome que la science médicale commence seulement à comprendre, bien
que John Rawlings Reese ait mené des expériences dans ce domaine dès les années 1920. Comme on
peut s'en rendre compte, un tel groupe ciblé est prêt à « trébucher » et à se droguer pour échapper
aux pressions de tant de choix à faire. C'est ainsi que la consommation de drogue s'est propagée si
rapidement à travers la « beat generation » américaine. Ce qui a commencé avec les Beatles et des paquets
d'échantillons de LSD s'est transformé en une vague de consommation de drogue qui submerge l'Amérique.
Le commerce de la drogue est contrôlé par le Comité des 300 du haut vers le bas. Le commerce de la
drogue a commencé avec la Compagnie britannique des Indes orientales et a été suivi de près par la
Compagnie néerlandaise des Indes orientales. Tous deux étaient contrôlés par un "Conseil des
300". La liste des noms des membres et des actionnaires du BEIC ressemble à quelque chose de Debretts Peerage.
La BEIC créa la « China Inland Mission », dont le travail consistait à rendre les paysans chinois, ou
coolies, comme on les appelait, accros à l'opium. Cela a créé le marché de l'opium que la BEIC a ensuite
rempli.
De la même manière que le Comité des 300 a utilisé « les « Beatles » pour populariser les « drogues
sociales » auprès de la jeunesse américaine et la « foule » d'Hollywood. Ed Sullivan a été envoyé en
Angleterre pour se familiariser avec le premier institut Tavistock " groupe de rock" pour frapper les côtes
des ÉtatsUnis. Sullivan est ensuite retourné aux ÉtatsUnis pour rédiger la stratégie des médias
électroniques sur la façon d'emballer et de vendre le groupe. Sans la pleine coopération des médias
électroniques et d'Ed Sullivan, en particulier , "The Beatles" et leur "musique" seraient morts sur la vigne. Au
lieu de cela, notre vie nationale et le caractère des ÉtatsUnis ont été changés à jamais.
Maintenant que nous le savons, le succès de la campagne des "Beatles" visant à faire proliférer l'usage de
drogues n'est que trop clair. Le fait que "The Beatles" avait leur musique et leurs paroles écrites pour eux
par Theo Adorno a été caché à la vue du public. La fonction principale de "The Beatles" était d'être
découverte par les adolescents, qui étaient ensuite soumis à un barrage incessant de "Beatle music",
jusqu'à ce qu'ils soient convaincus qu'ils aimaient le son et l'adoptaient, ainsi que tout ce qui
l'accompagnait. . Le groupe de Liverpool a répondu aux attentes et avec "un peu d'aide de leurs
amis", c'estàdire que les substances illégales que nous appelons drogues ont créé une toute nouvelle
classe pour les jeunes Américains dans le moule précis ordonné par l'Institut Tavistock.
Tavistock avait créé un "nouveau type" très visible pour agir comme leurs trafiquants de drogue. Les «
missionnaires chrétiens » de la China Inland Mission ne se seraient pas adaptés aux années 1960.
« Nouveau type » est le jargon des scientifiques en sciences sociales ; cela signifiait que les Beatles
créaient de nouveaux schémas sociaux, en premier lieu pour normaliser et populariser l'usage de la drogue,
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de nouveaux goûts dans les vêtements et les coiffures qui les distinguaient vraiment de l'ancienne
génération, comme l'avait voulu Tavistock.
Il est important de noter le langage délibérément inducteur de fragmentation utilisé par Tavistock.
Les "adolescents" n'ont jamais rêvé que toutes les choses "différentes" auxquelles ils aspiraient étaient le
produit de scientifiques plus âgés travaillant dans des groupes de réflexion en Angleterre et à Stanford Research.
Comme ils auraient été mortifiés s'ils avaient découvert que la plupart de leurs habitudes et expressions
"cool" ont été délibérément créées pour leur usage par un groupe de scientifiques plus âgés en sciences
sociales !
Le rôle des médias a été et demeure très important dans la promotion de l'usage de drogues à l'échelle
nationale. Lorsque la couverture des gangs de guerre de rue a été brusquement interrompue par les médias,
ils sont devenus «épuisés» en tant que phénomène social; le "nouvel âge" de la drogue a suivi. Les médias
ont toujours servi de catalyseur et ont toujours mis en avant de « nouvelles causes » et maintenant l'attention
des médias s'est concentrée sur l'usage de drogues et ses partisans, la « beat generation », encore
une autre expression façonnée à Tavistock, dans ses efforts déterminés pour provoquer des changements
sociaux. changements aux ÉtatsUnis.
La consommation de drogue est maintenant devenue une partie acceptée de la vie quotidienne en
Amérique. Ce programme conçu par Tavistock a attiré des millions de jeunes américains, et la génération plus
âgée a commencé à croire que l'Amérique subissait une révolution sociale naturelle, échouant tout le temps
à se rendre compte que ce qui arrivait à leurs enfants n'était pas un mouvement spontané, mais un mouvement
hautement artificiel. création conçue pour imposer des changements dans la vie sociale et politique de l'Amérique.
Les descendants de la British East India Company étaient ravis du succès de leur programme de trafic de
drogue. Leurs disciples sont devenus experts dans l'utilisation de l'acide lysergique (LSD) si commodément
mis à disposition par les mécènes du commerce de la drogue comme Aldous Huxley, gracieuseté de la très
respectée société suisse Sandoz et financée par la grande dynastie bancaire Warburg. Le nouveau
"médicament miracle" a été rapidement distribué à tous les concerts de rock et sur les campus universitaires
dans des emballages d'échantillons gratuits. La question qui mérite d'être posée est : « Que faisait le FBI pendant
que tout cela se passait ?
Le but des Beatles était devenu très clair. Les descendants de la British East India Company dans
la société bourgeoise de Londres ont dû être très satisfaits des milliards de dollars qui ont commencé à
arriver. Avec l'arrivée du "rock" qui sera désormais utilisé comme raccourci pour décrire la musique satanique
diabolique d'Adorno, une énorme augmentation de la consommation de drogues sociales, en
particulier de marijuana, a été observée. L'ensemble de l'activité dope a été élargi sous le contrôle et la
direction de l'Unité de recherche sur les politiques scientifiques (SPRU).
Le SPRU était dirigé par Leland Bradford, Kenneth Damm et Ronald Lippert, sous la direction experte
desquels un grand nombre de scientifiques des nouvelles sciences ont été formés pour promouvoir les "futurs
chocs", l'un des principaux étant l'augmentation spectaculaire de la consommation de drogues par les
adolescents américains. . Les documents politiques du SPRU, déposés dans diverses agences
gouvernementales, dont la Drug Enforcement Agency (DEA), ont dicté le cours de la désastreuse «
guerre contre la drogue » prétendument menée par les administrations Reagan et Bush. Ce fut le précurseur de
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comment les ÉtatsUnis sont dirigés aujourd'hui, par un comité et / ou un conseil après l'autre, par un
gouvernement interne nourri de papiers Tavistock qu'ils croient fermement être leurs propres opinions.
Ces inconnus virtuels prennent des décisions qui changeront à jamais notre forme de gouvernement et la qualité
de vie ici aux ÉtatsUnis. Grâce à "l'adaptation à la crise", nous avons déjà été tellement changés que
nous sommes à peine comparables à ce que nous étions dans les années 1950. De plus, notre environnement
a été modifié.
On parle beaucoup d'environnement ces joursci et, bien qu'il se réfère principalement à un environnement
verdoyant, à des rivières pures et à de l'air frais, il existe un autre environnement tout aussi important, à savoir
l'environnement de la drogue. L'environnement de notre style de vie est devenu pollué ; notre pensée est
devenue polluée. Notre capacité à contrôler notre destin est devenue polluée.
Nous sommes confrontés à des changements qui polluent notre pensée à tel point que nous ne savons plus quoi
en penser. "L'environnement du changement" paralyse la nation ; nous semblons avoir si peu de contrôle que cela
a produit de l'anxiété et de la confusion.
Nous cherchons maintenant des solutions de groupe plutôt que des solutions individuelles à nos problèmes.
Nous n'utilisons pas nos propres ressources pour résoudre les problèmes. Dans ce contexte, l'augmentation
prolifique de la consommation de drogues joue un rôle de premier plan. La stratégie est délibérée, conçue
par les nouveaux scientifiques scientifiques, les ingénieurs sociaux et les bricoleurs, visant les plus vulnérables
de tous les domaines, notre image de soi ou la façon dont nous nous percevons, ce qui nous amène finalement à
devenir comme des moutons qu'on mène à l'abattage. Nous sommes devenus confus par les nombreux choix
que nous devons faire, et nous sommes devenus apathiques.
Nous sommes manipulés par des hommes sans scrupules sans jamais en avoir conscience. Cela est
particulièrement vrai pour le trafic de drogue et nous sommes maintenant dans la phase de transition où nous
pouvons être mis en place pour un changement par rapport à la forme constitutionnelle actuelle de gouvernement,
qui a fait un pas de géant sous l'administration Bush. Bien qu'il y ait ceux qui persistent encore, face à toutes les
preuves du contraire en disant : "Cela ne peut pas arriver en Amérique", le fait est : C'EST DÉJÀ ARRIVÉ.
Notre volonté de résister à des événements qui ne nous plaisent pas a été régulièrement érodée et sapée.
Nous résisterons, disent certains d'entre nous, mais nous ne serons pas si nombreux à le faire et nous serons
minoritaires.
Le trafic de drogue a insidieusement modifié notre environnement. La prétendue « guerre contre la drogue » est
une farce ; il n'existe pas en mesure qualitative pour faire la moindre différence pour les descendants de
la Compagnie britannique des Indes orientales. Combiné à l'informatisation, nous sommes presque entièrement
soumis à un lavage de cerveau, dépouillé de notre capacité à résister aux changements forcés. Ce qui nous
amène à un autre environnement, PEOPLE CONTROL, également connu sous le nom de contrôle des
informations personnelles, sans lequel les gouvernements ne peuvent pas jouer leur jeu de chiffres.
Dans l'état actuel des choses, nous, le peuple, n'avons absolument aucun moyen de savoir
exactement ce que le gouvernement sait ou ne sait pas de nous. Les fichiers informatiques du gouvernement ne
sont pas soumis à l'examen du grand public. Croyonsnous bêtement que les informations personnelles
sont sacrosaintes ? N'oubliez pas que dans chaque société, il y a des familles riches et puissantes qui
contrôlent les forces de l'ordre. J'ai prouvé l'existence de telles familles. Ne pensez pas que si ces familles
voulaient nous connaître, elles ne pourraient pas le faire. Ce sont ces familles qui ont souvent un membre au
sein du Comité des 300.
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Prenez Kissinger, par exemple, qui a ses propres dossiers privés sur des centaines de milliers de personnes,
non seulement aux ÉtatsUnis mais partout dans le monde. Sommesnous sur la liste des ennemis de Kissinger ?
Estce tiré par les cheveux ? Pas du tout. Prenez P2 Masonic et Committee Monte Carlo qui ont de telles listes
qui comptent des dizaines de milliers de noms. Incidemment, Kissinger est l'un d'entre eux. Il existe d'autres
agences de renseignement "privées", comme INTEL, que nous rencontrerons plus tard.
L'héroïne est acheminée vers l'Europe via la Principauté de Monaco. L'héroïne vient de Corse transportée dans
des ferries qui assurent un trafic intense entre la Corse et Monte Carlo pendant l'été. Il n'y a aucune vérification
de ce qui se passe ou sort de ces ferries. Comme il n'y a pas de frontière entre la France et Monaco, la
drogue, et plus particulièrement l'héroïne (opium partiellement transformé), transite par la frontière ouverte
de Monaco vers des laboratoires en France, ou bien si elle a déjà été transformée en héroïne, elle
va directement vers le distributeurs.
La famille Grimaldi est dans le trafic de drogue depuis des siècles. Parce que le prince Ranier est devenu
gourmand et a commencé à écrémer fortement et ne s'est pas désisté après trois avertissements, sa femme,
la princesse Grace, a été assassinée dans un "accident" de voiture. Ranier a sousestimé le
pouvoir du Comité dont il est membre. La voiture Rover dans laquelle elle voyageait avait les chambres de
liquide de frein altérées de telle sorte que chaque fois que les freins étaient enfoncés, le liquide était libéré en
quantité mesurée, jusqu'au moment où la voiture atteignit le plus dangereux de plusieurs virages en épingle à
cheveux, là n'avait aucune puissance d'arrêt, et il a navigué sur un mur de pierre, frappant le sol à cinquante
pieds plus bas dans un fracas écœurant.
Tout ce qui était en son pouvoir a été fait par le Comité des 300 agents pour dissimuler la vérité sur le meurtre
de la princesse Grace. À ce jour, la voiture Rover reste sous la garde de la police française, enveloppée sous
une couverture sur une remorque que personne n'est autorisé à approcher, et encore moins à examiner. Le
signal de l'exécution de la princesse Grace a été capté par le poste d'écoute de l'armée britannique à Chypre
et une source bien placée pense que le comité Monte Carlo et P2 ont donné l'ordre.
Le commerce de la drogue, contrôlé par le Comité des 300, est un crime contre l'humanité, mais ayant été
conditionné et adouci par des années de bombardements incessants par l'Institut Tavistock, nous
avons plus ou moins accepté notre nouvel environnement, considérant le commerce de la drogue comme un
problème c'est "trop gros" pour être manipulé. Ce n'est pas le cas. Si nous pouvions rassembler une nation
entière, équiper et envoyer des millions de soldats américains pour combattre dans une guerre en Europe dans
laquelle il n'avait pas à intervenir, si nous pouvions vaincre une puissance majeure, alors nous pourrions
écraser le trafic de drogue, en utilisant le même WW tactique II. Les problèmes logistiques qui ont dû être
résolus lorsque nous sommes entrés dans la Seconde Guerre mondiale sont encore aujourd'hui
ahurissants.
Pourtant, nous avons réussi à surmonter tous les problèmes. Pourquoi alors estil impossible de vaincre un
ennemi bien défini, beaucoup plus petit et plus faible que l'Allemagne, étant donné l'immense amélioration
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armes et équipements de surveillance dont nous disposons aujourd'hui ? La vraie raison pour laquelle le
problème de la drogue n'est pas éradiqué est qu'il est géré par les plus hautes familles du monde entier dans le
cadre d'une gigantesque machine à gagner de l'argent.
En 1930, les capitaux britanniques investis en Amérique du Sud dépassaient largement les investissements en
capital dans les « dominions » britanniques. Graham, une autorité sur les investissements britanniques à
l'étranger, a déclaré que les investissements britanniques en Amérique du Sud « dépassaient mille milliards de livres
». Rappelezvous, c'était en 1930, et mille milliards de livres constituaient une somme d'argent stupéfiante à
l'époque. Quelle était la raison d'investissements aussi importants en Amérique du Sud ? En un mot, c'était de la drogue.
La ploutocratie contrôlant les banques britanniques tenait les cordons de la bourse et, comme aujourd'hui, a dressé
une façade des plus respectables pour couvrir ses véritables affaires. Personne ne les a jamais attrapés
avec les mains sales. Ils ont toujours eu des hommes de paille, comme ils le font aujourd'hui, prêts à prendre
le blâme si les choses tournent mal. Alors comme aujourd'hui, les liens avec le trafic de drogue étaient au mieux
ténus. Personne n'a jamais pu mettre le doigt sur les familles de banquiers respectables et "nobles" de
GrandeBretagne, dont les membres font partie du Comité des 300.
Il y a une grande importance dans le fait que seuls 15 membres du Parlement étaient les contrôleurs de ce vaste
empire, dont les plus importants étaient Sir Charles Barry et la famille Chamberlain. Ces seigneurs de
la finance étaient occupés dans des endroits comme l'Argentine, la Jamaïque et Trinidad, qui sont devenus
de gros pourvoyeurs d'argent grâce au trafic de drogue. Dans ces pays, les ploutocrates britanniques
maintenaient "les locaux" comme on les appelait avec mépris, à des niveaux de subsistance nus, à peine audessus
de l'esclavage. Les fortunes tirées du trafic de drogue dans les Caraïbes étaient immenses.
Les ploutocrates se cachaient derrière des visages comme Trinidad Leaseholds Limited, mais la VRAIE VIANDE,
alors comme aujourd'hui, était la drogue. C'est vrai aujourd'hui où nous constatons que le produit national brut (PNB)
de la Jamaïque est composé presque entièrement de ventes de ganja, une forme très puissante de
marijuana. Le mécanisme de gestion du commerce de la ganja a été mis en place par David Rockefeller et Henry
Kissinger sous le titre « Caribbean Basin Initiative ».
Jusqu'à il y a relativement peu de temps, la véritable histoire du commerce de l'opium en Chine était assez
inconnue, ayant été aussi bien dissimulée que possible. Beaucoup de mes anciens étudiants, à l'époque où je
donnais des cours, venaient me demander pourquoi les Chinois aimaient tant fumer l'opium ? Ils étaient perplexes,
comme beaucoup encore aujourd'hui, face aux récits contradictoires de ce qui s'était réellement passé en Chine. La
plupart pensaient qu'il s'agissait simplement de travailleurs chinois achetant de l'opium sur un marché libre et le
fumant, ou se rendant dans quelquesunes des milliers de fumeries d'opium et oubliant leur terrible existence
pendant un moment.
La vérité est que la fourniture d'opium à la Chine était un monopole britannique, un monopole OFFICIEL du
gouvernement britannique et de la politique britannique officielle. Le commerce de l'opium indobritannique en
Chine était l'un des secrets les mieux gardés, autour duquel se sont développées de nombreuses légendes
trompeuses, telles que " Clive of India" et les récits de bravoure de l'armée britannique en Inde pour la gloire de "la
Empire", si bien écrit par Rudyard Kipling, et les histoires de "Tea Clippers" traversant les océans avec leurs
cargaisons de thé de Chine pour la haute société
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salons de l'Angleterre victorienne. En réalité, l'histoire de l'occupation britannique de l'Inde et des guerres de l'opium
britanniques sont parmi les taches les plus ignobles de la civilisation occidentale.
Près de 13% des revenus de l'Inde sous la domination britannique provenaient de la vente d'opium du Bengale de
bonne qualité aux distributeurs d'opium britanniques en Chine. "Les Beatles" de l'époque, la China Inland Mission,
avaient fait un excellent travail en faisant proliférer l'usage de l'opium parmi les pauvres ouvriers chinois
(coolies, comme on les appelait). Ces toxicomanes ne se sont pas soudainement matérialisés de nulle part, pas
plus que les adolescents toxicomanes aux ÉtatsUnis. LE POINT À RETENIR EST QUE LES DEUX ONT ÉTÉ
CRÉÉS. En Chine, un marché de l'opium a d'abord été créé puis rempli par l'opium pour le Bengale. De la même
manière, un marché de la marijuana et du LSD a d'abord été créé aux ÉtatsUnis par des méthodes déjà décrites,
puis rempli par des ploutocrates britanniques et leurs cousins américains avec l'aide des suzerains de
l'establishment bancaire britannique.
Le commerce lucratif de la drogue est l'un des pires exemples de faire de l'argent de la misère humaine ; l'autre
étant le commerce légal de la drogue géré par les sociétés pharmaceutiques appartenant à Rockefeller, aux États
Unis pour la plupart, mais avec des sociétés importantes opérant en Suisse, en France et en GrandeBretagne
et entièrement soutenues par l'American Medical Association (AMA). Les sales transactions de drogue et l'argent
qu'elles génèrent transitent par la City de Londres, ainsi que par Hong Kong, Dubaï et, plus récemment, le
Liban, grâce à l'invasion de ce pays par Israël.
Il y aura ceux qui douteront de cette affirmation. "Regardez ces colonnes commerciales du Financial Times",
nous dirontils. "Ne me dites pas que tout cela est lié à l'argent de la drogue" ?
BIEN SÛR QUE ÇA L'EST, mais n'imaginez pas une seule minute que les nobles seigneurs et dames d'Angleterre
vont en faire la publicité. Vous souvenezvous de la Compagnie britannique des Indes orientales ?
Officiellement, son activité était le commerce du thé !
Le "Times" de Londres n'a jamais osé dire au public britannique qu'il était impossible de tirer de VASTES
PROFITS du thé, et l'illustre journal n'a même pas fait allusion à un commerce de l'opium pratiqué par ceux
qui passaient leur temps dans les clubs à la mode de Londres ou à jouer un chukka de polo au Royal Windsor
Club, ou que les gentlemen officiers partis en Inde au service de l'Empire étaient UNIQUEMENT financés par les
énormes revenus tirés de la misère des millions de coolies chinois accros à l'opium.
Le commerce était mené par l'illustre Compagnie britannique des Indes orientales, dont l'ingérence dans les affaires
politiques, religieuses et économiques des ÉtatsUnis nous a coûté très cher pendant plus de 200 ans. Les 300
membres du conseil d'administration de la Compagnie britannique des Indes orientales étaient un cran audessus
du troupeau commun. Ils étaient si puissants, comme Lord Bertrand Russell l'a observé un jour, "Ils pouvaient
même donner des conseils à Dieu quand il avait des problèmes au Ciel." Nous ne devons pas non plus
imaginer que quelque chose a changé dans les années qui ont suivi. EXACTEMENT la même attitude prévaut
aujourd'hui parmi les membres du Comité des 300, c'est pourquoi ils se désignent souvent comme les « Olympiens ».
Plus tard, la Couronne britannique, c'estàdire la famille royale, a rejoint le commerce de la Compagnie britannique
des Indes orientales et l'a utilisée comme véhicule pour produire de l'opium au Bengale et ailleurs en Inde,
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contrôlant les exportations par ce qu'on appelait des «droits de transit», c'estàdire que la Couronne
prélevait une taxe sur tous les producteurs d'opium dûment enregistrés auprès de l'autorité de l'État, qui
envoyaient leur opium en Chine.
Avant 1896, alors que le commerce était encore "illégal"un mot utilisé pour extraire un plus grand tribut
des producteurs d'opiumil n'y avait jamais eu la moindre tentative pour arrêter le commerce, des
quantités colossales d'opium étaient expédiées hors de l'Inde sur à bord des "China Tea Clippers",
ces voiliers autour desquels se sont construites légendes et traditions, qui transportaient soidisant des
caisses de thé d'Inde et de Chine vers les bourses de Londres.
Les seigneurs et les dames de la Compagnie britannique des Indes orientales sont devenus si audacieux
qu'ils ont essayé de vendre cette substance mortelle à l'Union et aux armées confédérées sous forme
de pilules comme analgésique. Estil difficile d'imaginer ce qui se serait passé si leur plan avait réussi ?
Toutes ces centaines de milliers de soldats auraient quitté les champs de bataille totalement accros à l'opium.
"Les Beatles" ont bien plus réussi à transformer des millions d'adolescents toxicomanes au cours des
années suivantes.
Les marchands du Bengale et leurs contrôleurs et banquiers britanniques devinrent gros et intolérants face
aux énormes sommes d'argent qui affluaient dans les coffres de la Compagnie britannique des Indes
orientales grâce au misérable commerce de l'opium des coolies chinois. Les bénéfices de BEIC, même
au cours de ces années, dépassaient de loin les bénéfices combinés réalisés en une seule année par
General Motors, Ford et Chrysler à leur apogée. La tendance à faire d'énormes profits avec la drogue a
été poursuivie dans les années 1960 par des marchands de drogues "légaux" tels que Sandoz, les
fabricants de LSD et Hoffman la Roche, fabricants de Valium. Le coût de la matière première et de
la fabrication du Valium pour Hoffman la Roche est de 3 $ le kilo (2,2 livres). Il est vendu à leurs
distributeurs pour 20 000 $ le kilo. Au moment où il atteint le consommateur, le prix du Valium est passé
à 50 000 $ le kilo. Le valium est utilisé en grande quantité en Europe et aux ÉtatsUnis. C'est peutêtre la
drogue de ce type la plus consommée au monde.
Hoffman la Roche fait la même chose avec la vitamine C, qui leur coûte moins de 1 centime le kilo à produire.
Il est vendu avec un bénéfice de 10 000 %. Lorsqu'un de mes amis a dénoncé cette société criminelle, qui
avait conclu un accord de monopole avec d'autres producteurs, en violation des lois de la Communauté
économique européenne, il a été arrêté à la frontière italosuisse et jeté en prison ; sa femme a été
menacée par la police suisse jusqu'à ce qu'elle se suicide. En tant que ressortissant britannique, il a été
secouru par le consul britannique à Berne dès qu'il a été informé de son sort, il a été retiré de prison et
expulsé du pays par avion. Il a perdu sa femme, son travail et sa pension parce qu'il a osé révéler les
secrets d'Hoffman La Roche. Les Suisses prennent très au sérieux leur loi sur l'espionnage industriel.
Rappelezvous cela la prochaine fois que vous verrez ces belles publicités de pistes de ski suisses, de
belles montres, de montagnes immaculées et de coucous. Ce n'est pas ça la Suisse. Il s'agit d'un
blanchiment d'argent sale de plusieurs milliards de dollars qui est effectué par de grandes banques
suisses. Il s'agit du Comité des 300 fabricants de médicaments "légaux" . La Suisse est le
"refuge" ultime du Comité pour l'argent et la protection de leurs corps en temps de calamité mondiale.
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Maintenant, attention, on pourrait avoir de sérieux ennuis avec les autorités suisses pour avoir donné des informations
sur ces activités néfastes. Les Suisses y voient de l' "espionnage industriel" passible généralement de 5 ans de
prison. Il est plus sûr de prétendre que la Suisse est un beau pays propre plutôt que de regarder sous les
couvertures ou à l'intérieur de ses poubelles.
En 1931, les directeurs généraux des soidisant «cinq grandes» sociétés britanniques ont été récompensés en
étant nommés pairs du royaume pour leurs activités de blanchiment d'argent de la drogue.
Qui a décidé de telles questions et accorde de tels honneurs ? C'est la reine d'Angleterre qui décerne les honneurs
aux hommes occupant les postes les plus élevés dans le trafic de drogue. Les banques britanniques engagées dans ce
terrible commerce sont trop nombreuses pour être mentionnées, mais quelquesunes des principales sont :
La Banque britannique du MoyenOrient.
Banque Midland.
Banque Nationale et Westminster.
Banque Barclays.
Banque Royale du Canada.
Banque de Hong Kong et de Shanghai.
Banque Baring Brothers.
De nombreuses banques d'affaires sont à la hauteur des profits du commerce de la drogue, des banques comme
Hambros par exemple, dirigées par Sir Jocelyn Hambro. Pour une étude majeure vraiment intéressante sur le
commerce de l'opium chinois, il faudrait avoir accès au bureau de l'Inde à Londres. J'ai pu y entrer grâce à mon
service de renseignement et j'ai reçu une grande aide de l'administrateur des papiers de feu le professeur Frederick
Wells Williamson, qui a fourni de nombreuses informations sur le commerce de l'opium effectué par la British East
India Company en Inde et en Chine. aux 18e et 19e siècles. Si seulement ces papiers pouvaient être rendus
publics, quel orage éclaterait sur la tête des vipères couronnées de l'Europe !
Aujourd'hui, le commerce a quelque peu changé dans la mesure où la cocaïne moins chère s'est emparée d'une
bonne partie du marché nordaméricain. Dans les années 1960, le flot d'héroïne en provenance de Hong Kong, du
Liban et de Dubaï menaçait d'engloutir les ÉtatsUnis et l'Europe occidentale. Lorsque la demande a dépassé
l'offre, il y a eu un passage à la cocaïne. Mais maintenant, à la fin de 1991, cette tendance s'est inversée ;
aujourd'hui, c'est l'héroïne qui revient en grâce, même s'il est vrai que la cocaïne jouit toujours d'une grande faveur parmi
les classes les plus pauvres.
L'héroïne, nous diton, est plus satisfaisante pour les toxicomanes ; les effets sont beaucoup plus intenses et durent
plus longtemps que les effets de la cocaïne et l'attention internationale porte moins sur les producteurs d'héroïne
que sur les expéditeurs colombiens de cocaïne. De plus, il est peu probable que les ÉtatsUnis fassent de réels efforts
pour arrêter la production d'opium dans le Triangle d'Or qui est sous le contrôle de l'armée chinoise, une guerre
grave éclaterait si un pays tentait d'interdire le commerce. Une attaque sérieuse contre le commerce de l'opium
entraînerait une intervention militaire chinoise.
Les Britanniques le savent; ils n'ont aucune querelle avec la Chine, à l'exception d'une querelle occasionnelle
pour savoir qui obtient la plus grande part du gâteau. La GrandeBretagne a été impliquée dans la Chine
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commerce de l'opium pendant plus de deux siècles. Personne ne sera assez fou pour secouer le bateau
lorsque des millions et des millions de dollars afflueront sur les comptes bancaires des oligarchistes
britanniques et que plus d'or sera échangé sur le marché de l'or de Hong Kong que le total combiné échangé
à Londres et à New York.
Ces individus qui s'imaginent avec tendresse qu'ils peuvent conclure une sorte d'accord avec un petit
suzerain chinois ou birman dans les collines du Triangle d'Or n'ont apparemment aucune idée de ce qui est
impliqué. S'ils avaient su, ils n'auraient jamais parlé d'arrêter le commerce de l'opium. De tels propos révèlent
peu de connaissances sur l'immensité et la complexité du commerce de l'opium en Chine, les
ploutocrates britanniques, le KGB russe, la CIA et les banquiers américains sont tous de mèche avec la Chine.
Un homme pourraitil arrêter ou même faire une petite brèche dans le commerce ? Il serait absurde de
l'imaginer. Qu'estce que l'héroïne et pourquoi estelle préférée à la cocaïne de nos jours ? D'après le
professeur Galen, expert reconnu en la matière, l'héroïne est un dérivé de l'opium, une drogue qui
stupéfie les sens et induit de longues périodes de sommeil.
C'est ce que la plupart des toxicomanes aiment, cela s'appelle "être dans les bras de Morphée". L'opium est la
drogue la plus accoutumante connue de l'homme. De nombreux médicaments pharmaceutiques contiennent
de l'opium à des degrés divers, et on pense que le papier utilisé dans la fabrication des cigarettes est d'abord
imprégné d'opium, c'est pourquoi les fumeurs deviennent si dépendants de leur habitude.
La graine de pavot dont elle est issue était connue depuis longtemps des Moghols de l'Inde, qui utilisaient
les graines mélangées dans du thé offert à un adversaire difficile. Il est également utilisé comme analgésique
qui a largement remplacé le chloroforme et d'autres anesthésiques plus anciens d'une époque révolue.
L'opium était populaire dans tous les clubs à la mode du Londres victorien et ce n'était un secret pour
personne que des hommes comme les frères Huxley l'utilisaient abondamment. Les membres des cultes
orphiques de Dionysos de la Grèce hellénique et des cultes OsirisHorus de l'Égypte ptolémaïque que la
société victorienne a embrassés, tous fumaient de l'opium; c'était la chose "in" à faire.
Il en a été de même pour certains de ceux qui se sont réunis à l'hôtel St. Ermins en 1903 pour décider de la
sorte de monde que nous aurions. Les descendants de la foule de St. Ermins se retrouvent
aujourd'hui dans le Comité des 300. Ce sont ces soidisant leaders mondiaux qui ont provoqué un tel
changement dans notre environnement qui a permis à l'usage de drogue de proliférer au point qu'il ne peut plus
être arrêté. par des tactiques et des politiques régulières d'application de la loi. Cela est particulièrement vrai
dans les grandes villes où les grandes populations peuvent dissimuler une grande partie de ce qui se passe.
Beaucoup dans les cercles de la royauté étaient des consommateurs réguliers d'opium. L'un de leurs
favoris était l'écrivain CoudenhoveKalergi qui écrivit un livre en 1932 intitulé « LA RÉVOLUTION
PAR LA TECHNOLOGIE » qui était un projet pour le retour du monde à une société médiévale. Le livre,
en fait, est devenu un document de travail pour le plan du Comité des 300 visant à désindustrialiser le monde,
en commençant par les ÉtatsUnis. Prétendant que les pressions de la surpopulation sont un problème sérieux,
Kalergi a conseillé un retour à ce qu'il a appelé des "espaces ouverts".
"
Cela ressembletil aux Khmers rouges et à Pol Pot ? Voici quelques extraits du
livre :
"Dans ses installations, la ville du futur ressemblera à la ville du Moyen Age... et celui qui n'est pas
condamné à vivre en ville à cause de son métier, ira à la campagne. Notre civilisation est une
culture du grandes villes; c'est donc une plante de marais,
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nés de personnes dégénérées, maladives et décadentes, qui se sont retrouvées volontairement, ou
involontairement, dans cette impasse de la vie." N'estce pas très proche de ce que "AnkarWat" a donné comme
"ses" raisons de dépeupler Phnom Penh ?
Les premières cargaisons d'opium arrivèrent en Angleterre depuis le Bengale en 1683, transportées dans les
"Tea Clippers" de la Compagnie britannique des Indes orientales. L'opium a été apporté en Angleterre comme
un test, une expérience, pour voir si les gens ordinaires d'Angleterre, les yeomen et les classes inférieures,
pouvaient être incités à prendre la drogue. C'était ce qu'on pourrait appeler aujourd'hui le "test marketing" d'un
nouveau produit. Mais les yeomen robustes et les "classes inférieures" dont on se moquait beaucoup étaient faits
de choses sévères, et l'expérience de test de marketing a été un flop total. Les «classes inférieures» de la
société britannique ont fermement rejeté la consommation d'opium.
Les ploutocrates et les oligarques de la haute société londonienne ont commencé à chercher un marché
qui ne serait pas si résistant, si inflexible. Ils ont trouvé un tel marché en Chine.
Dans les articles que j'ai étudiés à l'India Office sous le titre "Divers Old Records", j'ai trouvé toutes les
confirmations que j'aurais pu souhaiter en prouvant que le commerce de l'opium en Chine a vraiment décollé
après la fondation de la Compagnie britannique des Indes orientales financée " China Inland Mission",
apparemment une société missionnaire chrétienne, mais en réalité les hommes et les femmes de "promotion"
du nouveau produit introduit sur le marché, ce nouveau produit étant l'OPIUM.
Cela a été confirmé plus tard lorsque j'ai eu accès aux papiers de Sir George Birdwood dans les archives du
bureau de l'Inde. Peu de temps après que les missionnaires de la China Inland Mission aient commencé à
donner leurs échantillons de paquets et à montrer aux coolies comment fumer de l'opium, de grandes quantités
d'opium ont commencé à arriver en Chine. "The Beatles" n'aurait pas pu faire mieux. (Dans les deux cas, le
commerce a été sanctionné par la famille royale britannique, qui a ouvertement soutenu les Beatles.) Là où
la Compagnie britannique des Indes orientales avait échoué en Angleterre, elle a maintenant réussi audelà de
ses attentes les plus folles en Chine, dont les millions de pauvres grouillaient de fumer. l'opium pour échapper
à leur vie de misère.
Les fumeries d'opium ont commencé à proliférer dans toute la Chine, et dans les grandes villes comme Shanghai
et Canton, des centaines de milliers de Chinois misérables ont découvert qu'une pipe d'opium rendait
apparemment la vie supportable. La Compagnie britannique des Indes orientales a connu une course claire
pendant plus de 100 ans avant que le gouvernement chinois ne prenne conscience de ce qui se passait. Ce n'est
qu'en 1729 que les premières lois contre la consommation d'opium sont votées. Les 300 membres du conseil
d'administration de BEIC n'ont pas du tout apprécié et, jamais du genre à reculer, l'entreprise s'est rapidement
engagée dans une bataille acharnée avec le gouvernement chinois.
Le BEIC avait développé des graines de pavot qui apportaient l'opium de la meilleure qualité des champs
de pavot de Bénarès et du Bihar dans le bassin du Gange en Inde, un pays qu'ils contrôlaient entièrement
ce prix le plus élevé, tandis que les qualités inférieures d'opium d'autres régions de l'Inde étaient vendues.
pour moins. Pas sur le point de perdre son marché lucratif, la Couronne britannique s'est engagée dans
des batailles avec les forces chinoises et les a vaincues. De la même manière, le gouvernement américain est
censé mener une bataille en cours contre les barons de la drogue d'aujourd'hui et, comme les Chinois, il perd
lourdement. Il y a cependant une grande différence : le gouvernement chinois s'est battu pour gagner
alors que le gouvernement des ÉtatsUnis n'est sous aucun contrôle
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componction pour gagner la bataille, ce qui explique pourquoi le roulement du personnel de la Drug Enforcement
Agency (DEA) est si élevé.
Dernièrement, l'opium de haute qualité est sorti du Pakistan via Makra sur la côte désolée du pays d'où les
navires transportent la cargaison à Dubaï où elle est échangée contre de l'or. On dit que cela explique en partie
pourquoi l'héroïne est préférée à la cocaïne aujourd'hui. Le trafic d'héroïne est plus discret, il n'y a pas
d'assassinats de hauts fonctionnaires comme cela est devenu un phénomène quasi quotidien en Colombie.
L'opium pakistanais ne se vend pas autant que l'opium du Triangle d'or ou du Croissant d'or (iranien).
Cela a considérablement stimulé la production et les ventes d'héroïne qui menacent de dépasser la cocaïne
en tant que vendeur numéro un.
Pendant de nombreuses années, le vil commerce de l'opium a été évoqué dans les cercles supérieurs de la
société anglaise comme "le butin de l'Empire". Les grandes histoires de bravoure dans le col de Khyber
couvraient un vaste commerce d'opium. L'armée britannique était stationnée dans le col de Khyber pour
protéger les caravanes transportant de l'opium brut contre le pillage par les membres des tribus
montagnardes. La famille royale britannique le savaitelle ? Ils devaient avoir, qu'estce qui inciterait la
Couronne à garder une armée dans cette région où il n'y avait rien d'autre de valeur que le lucratif
commerce de l'opium ? Il était très coûteux de garder des hommes sous les armes dans un pays lointain.
Sa Majesté a dû demander pourquoi ces unités militaires étaient là ? Certainement pas pour jouer au polo ou
au billard au mess des officiers.
La BEIC était jalouse de son monopole sur l'opium. Les concurrents potentiels ont reçu peu d'attention. Lors
d'un procès réputé en 1791, un certain Warren Hastings fut accusé d'avoir aidé un ami à se lancer dans
le commerce de l'opium aux dépens de la BEIC. Le libellé réel que j'ai trouvé dans les dossiers de
l'affaire conservés au bureau de l'Inde donne un aperçu du vaste commerce de l'opium : "L'accusation
est que Hastings a accordé un contrat pour la fourniture d'opium pendant quatre ans à Stephen Sullivan, sans
publicité pour la même chose, à des conditions d'une évidence flagrante et d'une profusion gratuite, dans le
but de créer une FORTUNE INSTANTANÉE pour ledit William Sullivan Esq." (Soulignement ajouté.)
Comme le gouvernement BEICbritannique détenait le monopole du commerce de l'opium, les seules
personnes autorisées à faire fortune instantanément étaient la "noblesse", l' "aristocratie", les ploutocrates et les
familles oligarchiques d'Angleterre, dont beaucoup de descendants siègent au Comité des 300 tout comme leurs
ancêtres siégeaient au Conseil des 300 qui dirigeait le BEIC. Des étrangers comme M.
Sullivan s'est rapidement retrouvé en difficulté avec la Couronne s'ils étaient assez audacieux pour essayer
de s'aider euxmêmes à entrer dans le commerce de l'opium de plusieurs milliards de livres sterling.
Les hommes honorables du BEIC avec sa liste de 300 conseillers étaient membres de tous les clubs célèbres
de gentlemen à Londres et ils étaient pour la plupart des membres du parlement, tandis que d'autres,
en Inde et à la maison, étaient des magistrats. Les passeports d'entreprise étaient nécessaires pour
atterrir en Chine. Lorsque quelques intrus sont arrivés en Chine pour enquêter sur l'implication de la
Couronne britannique dans ce commerce lucratif, les magistrats de la BEIC ont rapidement révoqué leurs
passeports, leur refusant ainsi l'entrée en Chine.
Les frictions avec le gouvernement chinois étaient courantes. Les Chinois avaient adopté une loi, l'édit Yung
Cheny de 1729, interdisant l'importation d'opium, mais la BEIC réussit
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de conserver l'opium comme entrée dans les registres du tarif douanier chinois jusqu'en 1753, le droit étant de
trois taëls par caisse d'opium. Même lorsque les services secrets britanniques (le 007 de l'époque) ont veillé
à ce que des fonctionnaires chinois gênants soient achetés, et dans les cas où cela n'était pas possible, ils
étaient tout simplement assassinés.
Chaque monarque britannique depuis 1729 a énormément bénéficié du commerce de la drogue et cela vaut
pour l'actuel occupant du trône. Leurs ministres veillaient à ce que la richesse afflue dans leurs coffres
familiaux. L'un de ces ministres de Victoria était Lord Palmerston. Il s'accrochait obstinément à la conviction que
rien ne devrait être autorisé à arrêter le commerce de l'opium de la GrandeBretagne avec la Chine. Le
plan de Palmerston était de fournir au gouvernement chinois suffisamment d'opium pour rendre les membres
individuels gourmands. Ensuite, les Britanniques retiendraient les approvisionnements et lorsque le
gouvernement chinois serait à genoux, les approvisionnements reprendraient mais à un prix beaucoup plus
élevé, conservant ainsi un monopole par l'intermédiaire du gouvernement chinois luimême, mais le plan a
échoué.
Le gouvernement chinois a répondu en détruisant d'importantes cargaisons d'opium stockées dans des
entrepôts, et les marchands britanniques ont été tenus de signer des accords INDIVIDUELS pour ne plus
importer d'opium à Canton. La BEIC a répondu en envoyant des dizaines de navires chargés d'opium à
pleine charge sur les routes de Macao. Des entreprises redevables à BEIC, plutôt que des particuliers, ont
ensuite vendu ces cargaisons. Le commissaire chinois Lin a déclaré : « Il y a tellement d'opium à bord des
navires anglais gisant actuellement sur les routes de cet endroit (Macao) qui ne sera jamais renvoyé dans le
pays d'où il vient, et je ne serai pas surpris d'apprendre qu'il a été passé en contrebande sous les
couleurs américaines." La prophétie de Lin s'est avérée remarquablement exacte.
Les guerres de l'opium contre la Chine ont été conçues pour "remettre les Chinois à leur place" comme l'a dit un
jour Lord Palmerston, et l'armée britannique l'a fait. Il n'y avait tout simplement pas moyen d'arrêter le
commerce vaste et lucratif qui fournissait aux seigneurs féodaux oligarchiques britanniques des milliards
incalculables, tout en laissant la Chine avec des millions de toxicomanes à l'opium. Plus tard, les Chinois ont
demandé de l'aide à la GrandeBretagne pour résoudre leur immense problème et l'ont reçue. Par la
suite, les gouvernements chinois respectifs ont réalisé l'intérêt de coopérer au lieu de se battre avec la Grande
Bretagne et cela s'est avéré valable pendant le règne sanglant de Mao Tse Tung de sorte qu'aujourd'hui,
comme je l'ai déjà mentionné, toutes les querelles qui surviennent ne concernent que la part du commerce
de l'opium auquel chacun a droit.
Pour passer à une histoire plus moderne, le partenariat sinobritannique a été solidifié par l'accord de Hong Kong
qui a établi un partenariat égal dans le commerce de l'opium. Cela s'est déroulé sans heurts, avec quelques
ondulations occasionnelles ici et là, mais si la violence et la mort, le vol et le meurtre ont marqué la progression
du commerce colombien de la cocaïne, aucune bassesse de ce genre n'a été autorisée à perturber le
commerce de l'héroïne qui, comme je l'ai dit plus tôt, est une fois de plus prendre de l'ascendant alors que
nous approchons de la fin de 1991.
Le problème majeur qui a surgi dans les relations sinobritanniques au cours des 60 dernières années concernait
la demande de la Chine pour une plus grande part du gâteau opiumhéroïne. Cela a été réglé lorsque la
GrandeBretagne a accepté de remettre Hong Kong au contrôle total du gouvernement chinois, qui entrera en vigueur
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effet en 1997. En dehors de cela, les partenaires conservent leurs anciennes parts égales du
commerce lucratif de l'opium basé à Hong Kong.
Les familles oligarchiques britanniques du Comité des 300 qui se sont retranchées à Canton au
plus fort du commerce de l'opium ont laissé leurs descendants en place. Regardez une liste d'éminents
résidents britanniques en Chine et vous verrez les noms des membres du Comité des 300 parmi
eux. Il en va de même pour Hong Kong. Ces ploutocrates d'une époque féodale, qu'ils cherchent à
remettre au monde, contrôlent le commerce de l'or et de l'opium dont Hong Kong est LE centre. Les
cultivateurs de pavot à opium birmans et chinois sont payés en or ; ils ne font pas confiance au billet
américain de 100 dollars. Cela explique le volume très important des échanges d'or à la bourse de
Hong Kong.
Le Triangle d'Or n'est plus le plus grand producteur d'opium. Ce titre douteux est partagé depuis 1987
par le Croissant d'Or (Iran), le Pakistan et le Liban. Ce sont les principaux producteurs d'opium, bien que
de plus petites quantités sortent à nouveau d'Afghanistan et de Turquie. Le commerce de la drogue, et
plus encore : en particulier le commerce de l'opium, ne pourrait pas fonctionner sans l'aide des banques,
comme nous le démontrerons au fur et à mesure.
Comment les banques avec leur grand air de respectabilité s'intègrentelles dans le commerce de la
drogue avec toute la saleté qui l'accompagne ? C'est une histoire très longue et compliquée, qui pourrait
faire l'objet d'un livre à elle seule. Les banques participent notamment en finançant des sociétés
écrans qui importent les produits chimiques nécessaires à la transformation de l'opium brut en héroïne.
La Banque de Hong Kong et de Shanghai, avec une succursale à Londres, est au cœur de ce
commerce par le biais d'une société appelée TEJAPAIBUL, qui fait affaire avec la Banque de Hong
Kong et de Shanghai. Que fait cette entreprise ? Elle importe à Hong Kong la plupart des produits
chimiques nécessaires au processus de raffinage de l'héroïne.
C'est aussi un important fournisseur d'anhydride acétique pour le Croissant d'Or et le Triangle d'Or, le
Pakistan, la Turquie et le Liban. Le financement réel de ces échanges est confié à la Bangkok Metropolitan
Bank. Ainsi, les activités secondaires liées à la transformation de l'opium, sans être assimilées au
commerce de l'opium, génèrent néanmoins des revenus substantiels pour les banques. Mais les
revenus réels de la Banque de Hong Kong et de Shanghai et, en fait, de toutes les banques de la
région financent le commerce de l'opium luimême.
Il m'a fallu beaucoup de recherches pour lier le prix de l'or au prix de l'opium. J'avais l'habitude de dire à
qui voulait l'entendre : « Si vous voulez connaître le prix de l'or, renseignezvous sur le prix d'une livre ou
d'un kilo d'opium à Hong Kong. A mes détracteurs, j'ai répondu : "Regardez ce qui s'est passé en 1977,
une année critique pour l'or". La Banque de Chine a choqué les experts de l'or et ces prévisionnistes
intelligents que l'on trouve en grand nombre en Amérique, en jetant soudainement et sans
avertissement 80 tonnes d'or sur le marché.
Cela a fait chuter le prix de l'or à la hâte. Tout ce que les experts ont pu dire, c'est : « Nous ne savions
pas que la Chine avait autant d'or, d'où pouvaitil provenir ? Il provenait de l'or qui est payé à la Chine sur
le marché de l'or de Hong Kong pour de gros achats d'opium. La politique actuelle du gouvernement
chinois envers l'Angleterre est la même qu'aux XVIIIe et XIXe siècles. L'économie chinoise, liée à
l'économie de Hong Konget je
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cela ne veut pas dire que les téléviseurs, les textiles, les radios, les montres, les cassettes piratées et
les cassettes vidéo je veux dire l'opium/l'héroïne subiraient une terrible raclée s'il n'y avait pas le
commerce de l'opium qu'il partage avec la GrandeBretagne. Le BEIC est parti mais les descendants du
Conseil des 300 restent parmi les membres du Comité des 300.
Les plus anciennes des familles oligarchiques britanniques qui ont dirigé le commerce de l'opium au cours
des 200 dernières années y sont encore aujourd'hui. Prenez les Matheson, par exemple. Cette famille
"noble" est l'un des piliers du commerce de l'opium. Alors que les choses semblaient un peu fragiles il y a
quelques années, les Matheson sont intervenus et ont accordé à la Chine un prêt de 300
millions de dollars pour un investissement immobilier. En fait, il a été présenté comme une "coentreprise
entre la République populaire de Chine et la Matheson Bank". En faisant des recherches sur les papiers
de l'India Office des années 1700, je suis tombé sur le nom de Matheson, et il a continué à apparaître
partout Londres, Pékin, Dubaï, Hong Kong, partout où l'héroïne et l'opium sont mentionnés. Le
problème avec le commerce de la drogue, c'est qu'il est devenu une menace pour la souveraineté nationale.
Voici ce que l'ambassadeur vénézuélien aux Nations Unies a dit à propos de cette menace mondiale :
"Le problème de la drogue a déjà cessé d'être traité simplement comme un problème de santé publique ou
un problème social. Il s'est transformé en quelque chose de bien plus grave et de plus vaste qui
touche à notre souveraineté nationale ; un problème de sécurité nationale, parce qu'il frappe à l'indépendance
d'une nation. La drogue dans toutes ses manifestations de production, de commercialisation et
de consommation, nous dénaturalise en portant atteinte à notre vie éthique, religieuse et politique, à nos
valeurs historiques, économiques et républicaines.
C'est précisément ainsi que fonctionnent la Banque des règlements internationaux et le FMI.
Permettezmoi de dire sans hésitation que ces deux banques ne sont rien de plus que des chambres
de compensation intimidantes pour le trafic de drogue. La BRI sape tout pays que le FMI veut couler en
mettant en place des voies et moyens pour une sortie facile des capitaux en fuite.
La BRI ne reconnaît ni ne fait aucune distinction entre ce qui est du capital de fuite et ce qui est de l'argent
de la drogue blanchi.
La BRI opère sur des lignes de gangsters. Si un pays ne se soumet pas au démembrement de ses actifs
par le FMI, alors il dit en fait : "D'accord, alors nous vous briserons au moyen de l'énorme cache de narco
dollars que nous détenons." Il est facile de comprendre pourquoi l'or a été démonétisé et remplacé par le
"dollar" papier comme monnaie de réserve mondiale. Il n'est pas aussi facile de faire chanter un pays
qui détient des réserves d'or que celui qui a ses réserves en dollars papier.
Le FMI a tenu une réunion à Hong Kong il y a quelques années à laquelle assistait un de mes
collègues et il m'a dit que le séminaire traitait précisément de cette question. Il m'a informé que les agents
du FMI avaient déclaré à la réunion qu'ils pouvaient littéralement provoquer une ruée sur la monnaie
de n'importe quel pays, en utilisant des narcodollars, ce qui précipiterait une fuite de capitaux.
RainerGut, délégué du Credit Suisse et membre du Comité des 300, a déclaré qu'il prévoyait une
situation où le crédit national et le financement national seraient regroupés sous une même
organisation au tournant du siècle. Bien que RainerGut ne l'ait pas précisé, tout le monde au séminaire
savait exactement de quoi il parlait.
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De la Colombie à Miami, du Triangle d'Or au Golden Gate, de Hong Kong à New York, de Bogota à
Francfort, le commerce de la drogue, et plus particulièrement celui de l'héroïne, est un BIG BUSINESS
et il est dirigé de haut en bas par certains des familles les plus "intouchables" au monde, et chacune
de ces familles compte au moins un membre qui siège au Comité des 300. Ce n'est pas une entreprise
au coin de la rue, et il faut beaucoup d'argent et d'expertise pour la maintenir coule en douceur. La
machinerie sous le contrôle du Comité des 300 s'en charge.
De tels talents ne se trouvent pas aux coins des rues et dans les métros de New York. Certes, les
pousseurs et les colporteurs font partie intégrante du commerce, mais seulement en tant que très
petits vendeurs à temps partiel. Je dis à temps partiel parce qu'ils se font prendre et que la rivalité fait
fusiller certains d'entre eux. Mais qu'importe ? Il y a beaucoup de remplacements disponibles.
Non, ce n'est pas quelque chose qui intéresserait la Small Business Administration. C'EST LA
GRANDE ENTREPRISE, un vaste empire, cette sale affaire de drogue. Par nécessité, il est géré du haut
vers le bas dans chaque pays du monde. C'est, en fait, la plus grande entreprise unique au
monde aujourd'hui, transcendant toutes les autres. Qu'il soit protégé du haut vers le bas est confirmé
par le fait que, comme le terrorisme international, il ne peut pas être éradiqué, ce qui devrait indiquer à
une personne raisonnable que certains de ces plus grands noms des cercles royaux, l'oligarchie, la
ploutocratie le dirigent , même si cela se fait par des intermédiaires.
Les principaux pays concernés par la culture du pavot et du cacaoyer sont la Birmanie, le Nord de la
Chine, l'Afghanistan, l'Iran, le PaKistan, la Thaïlande, le Liban, la Turquie, le Pérou, l'Equateur, la Bolivie.
La Colombie ne cultive pas le cacaoyer mais, à côté de la Bolivie, est le principal raffineur de
cocaïne et le principal centre financier du commerce de la cocaïne qui, depuis l'enlèvement et
l'emprisonnement du général Noriega par le président Bush, est défié par le Panama pour la première
fois. place dans le blanchiment d'argent et le financement en capital du trafic de cocaïne.
Le commerce de l'héroïne est financé par les banques de Hong Kong, les banques de Londres et
certaines banques du MoyenOrient comme la British Bank of the Middle East. Le Liban est en
passe de devenir la "Suisse du MoyenOrient". Les pays impliqués dans la distribution et l'acheminement
de l'héroïne sont Hong Kong, la Turquie, la Bulgarie, l'Italie, Monaco, la France (Corse et Marseille)
Liban et Pakistan. Les ÉtatsUnis sont le plus grand consommateur de stupéfiants, la première place
revenant à la cocaïne, qui est concurrencée par l'héroïne. Les pays d'Europe occidentale et d'Asie du
SudOuest sont les plus gros consommateurs d'héroïne. L'Iran a une énorme population d'héroïnomanes
plus de 2 millions en 1991.
Il n'y a pas un seul gouvernement qui ne sache exactement ce qui se passe en ce qui concerne le
trafic de drogue, mais des membres individuels détenant des positions puissantes sont pris, mais par
le Comité des 300 à travers son réseau mondial de filiales. Si un membre du gouvernement est
"difficile", il est démis de ses fonctions, comme dans le cas du Pakistanais Ali Bhutto et de l'Italien Aldo
Moro. Personne n'est à l'abri de ce Comité toutpuissant, même si la Malaisie a réussi à
tenir jusqu'à présent.
La Malaisie a les lois antidrogue les plus strictes au monde. La possession même de petites quantités
est passible de la peine de mort.
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Comme la société Kintex de Bulgarie, la plupart des petits pays sont directement impliqués dans ces entreprises
criminelles. Les camions Kintex transportaient régulièrement de l'héroïne à travers l'Europe occidentale dans
sa propre flotte de camions portant la marque CEE Triangle Internationale Routier (TIR). Les camions portant
cette marque et le numéro de reconnaissance CEE ne sont pas censés être arrêtés aux postes frontaliers
des douanes. Les camions TlR ne sont autorisés à transporter que des denrées périssables. Ils sont censés
être inspectés dans le pays d'où ils proviennent et la documentation à cet effet est censée être portée par
chaque camionneur.
En vertu des obligations des traités internationaux, c'est ce qui se passe, ainsi les camions Kintex ont pu
charger leurs cargaisons d'héroïne et les certifier comme "fruits et légumes frais" ; puis se frayent un chemin
à travers l'Europe occidentale, pénétrant même dans des bases de haute sécurité de l'OTAN dans le nord de
l'Italie. De cette manière, la Bulgarie est devenue l'un des principaux pays d'acheminement de l'héroïne.
La seule façon d'empêcher les énormes quantités d'héroïne et de cocaïne de se diriger actuellement vers les
marchés européens est de mettre fin au système TIR. Cela n'arrivera jamais. Les obligations conventionnelles
internationales que je viens de mentionner ont été mises en place par le Comité des 300, utilisant ses
incroyables réseaux et mécanismes de contrôle, pour faciliter le passage de toutes sortes de drogues vers
l'Europe occidentale. Oubliez les denrées périssables ! Un ancien agent de la DEA en poste en Italie m'a
dit "TIR=DOPE".
Souvenezvous de cela la prochaine fois que vous lirez dans les journaux qu'une grosse cargaison
d'héroïne a été trouvée dans une valise à double fond à l'aéroport Kennedy, et qu'une "mule " malchanceuse
paie le prix de son activité criminelle. Ce genre d'action n'est qu'une "petite pomme de terre", du sable aux
yeux du public, pour nous faire penser que notre gouvernement fait vraiment quelque chose contre la menace
de la drogue. Prenons par exemple "The French Connection", un programme Nixon lancé à l'insu et sans le
consentement du comité des 300.
La quantité totale d'opium/d'héroïne saisie dans le cadre de cet effort massif représente un peu moins d'un
quart de ce qu'un seul camion TIR transporte. Le Comité des 300 a veillé à ce que Nixon paie un lourd tribut
pour une saisie relativement faible d'héroïne. Ce n'était pas la quantité d'héroïne impliquée, mais le fait que
quelqu'un qu'ils avaient aidé à gravir les échelons jusqu'à la Maison Blanche croyait qu'il pouvait désormais
se passer de leur aide et de leur soutien, et même aller à l'encontre des ordres directs d'en haut.
La mécanique du commerce de l'héroïne est la suivante : les tribus sauvages thaïlandaises et birmanes
cultivent le pavot à opium. Au moment de la récolte, la gousse portant la graine est coupée avec un rasoir ou
un couteau bien aiguisé. Une substance résineuse fuit à travers la coupure et commence à se figer.
C'est de l'opium brut. La récolte d'opium brut est façonnée en boules arrondies collantes. Les membres de la
tribu sont payés en lingots d'or de 1 kilo connus sous le nom de 4/10e qui sont frappés par le Credit
Suisse. Ces petits lingots sont utilisés UNIQUEMENT pour payer l'homme de la tribu les lingots d'or de poids
normal sont échangés sur le marché de Hong Kong par les gros acheteurs d'opium brut ou d'héroïne
partiellement transformée. Les mêmes méthodes sont utilisées pour payer les membres des tribus
montagnardes en Inde les Baloutches qui sont dans ce métier depuis l'époque des Moghols. La "saison
de la dope", comme on l'appelle, voit un flot d'or échangé sur le marché de Hong Kong.
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Le Mexique a commencé à produire des quantités relativement faibles d'héroïne appelée "Mexican Brown"
qui est très demandée par la foule hollywoodienne. Là encore, le commerce de l'héroïne est géré par de
hauts responsables gouvernementaux qui ont l'armée à leurs côtés. Certains producteurs de
"Mexican Brown" gagnent un million de dollars par mois en approvisionnant leurs clients américains.
À certaines occasions, lorsque quelques policiers fédéraux mexicains sont poussés à prendre des mesures
contre les producteurs d'héroïne, ils sont "éliminés" par des unités militaires qui semblent surgir de nulle part.
Un tel incident s'est produit en novembre 1991 sur une piste d'atterrissage isolée dans la région
productrice d'opium du Mexique. Des agents fédéraux des stupéfiants ont encerclé la bande et étaient sur
le point d'arrêter des personnes qui étaient en train de charger de l'héroïne lorsqu'une escouade de
soldats est arrivée. Les soldats ont rassemblé les agents de la police fédérale des stupéfiants et les ont
tous systématiquement tués. Cette action a constitué une menace sérieuse pour le président mexicain
Goltarin, qui est confronté à de fortes demandes d'enquête à grande échelle sur les meurtres. Goltarin est
audessus d'un baril; il ne peut pas renoncer à demander une enquête, et il ne peut pas non plus se permettre d'offenser l'armée.
C'est la première fissure de ce type dans la chaîne de commandement étroite au Mexique qui remonte
jusqu'au Comité des 300.
L'opium brut du Triangle d'Or est acheminé vers la mafia sicilienne et l'extrémité française de l'entreprise
pour être raffiné dans les laboratoires qui infestent le littoral français de Marseille à MonteCarlo.
Aujourd'hui, le Liban et la Turquie produisent de plus en plus d'héroïne raffinée et un grand nombre de
laboratoires ont vu le jour dans ces deux pays au cours des quatre dernières années. Le Pakistan possède
également un certain nombre de laboratoires, mais il n'est pas dans la même ligue que la France, par
exemple.
La route empruntée par les transporteurs d'opium brut du Croissant d'Or passe par l'Iran, la Turquie et
le Liban. Lorsque le Shah d'Iran contrôlait le pays, il a refusé d'autoriser la poursuite du commerce de
l'héroïne et il a été interrompu de force jusqu'au moment où il a été " traité" par le Comité des 300. Opium
brut de Turquie et du Liban trouve le chemin de la Corse, d'où il est expédié à MonteCarlo avec la
connivence de la famille Grimaldi. Les laboratoires pakistanais, sous couvert de "laboratoires militaires de
défense", effectuent une plus grande part de raffinage qu'il y a deux ans, mais le meilleur raffinage
se fait toujours le long du littoral méditerranéen français et en Turquie. Là encore, les banques jouent un
rôle essentiel dans le financement de ces opérations.
Arrêtonsnous ici un instant. Devonsnous croire qu'avec toutes les techniques de surveillance modernes
et considérablement améliorées, y compris la reconnaissance par satellite, dont disposent les forces de
l'ordre dans ces pays, ce commerce ignoble ne peut pas être identifié et arrêté ? Comment se faitil que
les forces de l'ordre ne puissent pas entrer et détruire ces laboratoires une fois qu'ils sont
découverts ? Si tel est le cas, et que nous ne pouvons toujours pas interdire le commerce de l'héroïne, alors
nos services antinarcotiques devraient être connus sous le nom de "The Geriatrics" et non d'agences de
lutte contre la drogue.
Même un enfant pourrait dire quoi faire à nos prétendus "observateurs de drogue" . Il suffit de surveiller
toutes les usines fabriquant de l'anhydride acétique, LE composant chimique le plus essentiel dont les
laboratoires ont besoin pour raffiner l'héroïne à partir d'opium brut. ALORS SUIVEZ LA PISTE ! C'est comme
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aussi simple que cela! Je me souviens de Peter Sellers dans la série "Pink Panther" quand je pense aux efforts
des forces de l'ordre pour localiser les laboratoires de raffinage de l'héroïne. Même quelqu'un d'aussi
maladroit que l'inspecteur imaginaire n'aurait eu aucun mal à suivre l'itinéraire emprunté par les cargaisons
d'anhydride acétique jusqu'à leur destination finale.
Les gouvernements pourraient faire des lois qui obligeraient les fabricants d'anhydride acétique à tenir des
registres scrupuleux indiquant qui achète le produit chimique et à quelles fins il doit être utilisé. Mais ne retenez
pas votre souffle sur celuici, rappelezvous Dope = Big Business et Big Business est fait par les familles
oligarchiques d'Europe et de l'Establishment libéral de l'Est des ÉtatsUnis.
Le commerce de la drogue n'est pas une opération mafieuse, ni dirigée par les cartels colombiens de la
cocaïne. Les familles nobles de GrandeBretagne et les personnalités les plus importantes d'Amérique ne vont
pas annoncer leur rôle dans les vitrines des magasins ; ils ont toujours une couche de meneurs pour faire le
sale boulot.
Rappelezvous que la "noblesse" britannique et américaine ne s'est jamais sali les mains dans le commerce
de l'opium en Chine. Les seigneurs et dames étaient beaucoup trop intelligents pour cela, tout comme l'élite
américaine : les Delanos, Forbes, Appletons, Bacons, Boylestons, Perkins, Russells, Cunninghams,
Shaws, Coolidges, Parkmans, Runnewells, Cabots et Codmans, en aucun cas un liste complète des familles
américaines qui se sont immensément enrichies grâce au commerce de l'opium en Chine.
Comme il ne s'agit pas d'un livre sur le trafic de drogue, je ne peux pas nécessairement couvrir le sujet de manière
approfondie. Mais son importance pour le Comité des 300 doit être soulignée.
L'Amérique n'est pas dirigée par 60 familles mais par 300 familles et l'Angleterre est dirigée par 100 familles et,
comme nous le verrons, ces familles sont entrelacées par le mariage, les entreprises, les banques, sans parler
des liens avec la noblesse noire, la francmaçonnerie, l'ordre de Saint Jean de Jérusalem et ainsi de
suite. Ce sont ces personnes qui, par l'intermédiaire de leurs substituts, trouvent des moyens de protéger
d'énormes cargaisons d'héroïne en provenance de Hong Kong, de Turquie, d'Iran et du Pakistan et s'assurent
qu'elles atteignent les marchés aux ÉtatsUnis et en Europe occidentale avec le coût minimum de faire des
affaires.
Des cargaisons de cocaïne sont parfois interdites et saisies. Ce n'est que de la poudre aux yeux.
Souvent, les envois saisis appartiennent à une nouvelle organisation qui tente de s'introduire dans le commerce.
Une telle concurrence est mise hors service en informant les autorités exactement où elle va entrer aux
ÉtatsUnis et qui sont les propriétaires. Les gros trucs ne sont jamais touchés; l'héroïne est trop chère. Il convient
de noter que les agents de la US Drug Enforcement Agency ne sont pas autorisés à entrer à Hong Kong. Ils ne
peuvent pas examiner le manifeste d'un navire avant qu'il ne quitte le port. On se demande pourquoi, s'il y a
tant de "coopération internationale" en cours ce que les médias aiment qualifier de "détruire le
commerce de la drogue". Il est clair que les routes commerciales de l'héroïne sont protégées par "une
autorité supérieure".
En Amérique du Sud, à part le Mexique, la cocaïne est reine. La production de cocaïne est très simple,
contrairement à l'héroïne, et de grandes fortunes doivent être faites par ceux qui sont prêts à prendre des risques
pour et au nom des «hauts». Comme dans le commerce de l'héroïne, les intrus ne sont pas les bienvenus et
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finissent souvent comme des victimes ou des victimes de querelles familiales. En Colombie, la mafia de la
drogue est une famille très unie. Mais telle a été la mauvaise publicité générée par l'attaque de la guérilla
du M19 contre le Palais de justice de Bogota (le M19 est l'armée privée des barons de la cocaïne) et
l'assassinat de Rodrigo Lara Bonilla, procureur et juge de premier plan, que "l'autorité supérieure " a dû
réorganiser les choses en Colombie.
En conséquence, les Ochoas du cartel de Medellin se sont rendus après avoir été assurés qu'ils ne subiraient
aucune perte de fortune, aucun préjudice de quelque nature que ce soit, ni qu'ils ne seraient extradés
vers les ÉtatsUnis. Un accord a été conclu selon lequel, à condition qu'ils rapatrient l'essentiel de leurs
énormes fortunes en narcodollars vers les banques colombiennes, aucune mesure punitive ne serait
prise à leur encontre. Les Ochoas Jorge, Fabio et leur meilleur homme, Pablo Escobar, seraient détenus
dans des prisons privées qui ressemblent à une chambre de motel de luxe, puis seraient condamnés à une
peine maximale de deux ans à purger dans le même prison du motel. Cet accord est en cours.
Les Ochoas se sont également vu garantir le droit de continuer à gérer leur "business" depuis leur motel
prison.
Mais cela ne signifie pas que le commerce de la cocaïne s'est arrêté brutalement. Au contraire, il a
simplement été transféré au cartel de la deuxième chaîne de Cali, et c'est comme si de rien n'était. Pour une
raison étrange, le cartel de Cali, qui est de la même taille que le cartel de Medellin, a été du moins jusqu'à
présent largement ignoré par la DEA. Cali diffère du cartel de Medellin en ce qu'il est dirigé par des
HOMMES D'AFFAIRES, qui évitent toute forme de violence et ne rompent jamais les accords.
Ce qui est encore plus significatif, c'est que Cali ne fait pratiquement pas d'affaires en Floride. Ma source
m'a dit que le cartel de Cali est dirigé par des hommes d'affaires astucieux, contrairement à ce que
l'on voit dans le commerce de la cocaïne. Il pense qu'ils ont été "spécialement nommés", mais ne sait pas par qui.
"Ils n'attirent jamais l'attention sur euxmêmes", atil déclaré. "Ils n'importent pas de Ferrari rouges comme l'a
fait Jorge Ochoa, attirant immédiatement l'attention, car il est interdit d'importer de telles voitures en Colombie."
Les marchés du cartel de Cali se trouvent à Los Angeles, New York et Houston, qui sont étroitement
parallèles aux marchés de l'héroïne. Cali n'a montré aucun signe de déménagement en Floride. Un ancien
agent de la DEA qui est un de mes collègues a récemment déclaré : "Ces gens de Cali sont vraiment intelligents.
Ils sont une race différente des frères Ochoa. Ils agissent comme des hommes d'affaires professionnels.
Ils sont maintenant plus importants que le cartel de Medellin et je pense que nous allons voir beaucoup plus
de cocaïne entrer aux ÉtatsUnis que jamais auparavant. L'enlèvement de Manuel Noriega facilitera un
flux plus facile à travers le Panama de cocaïne et d'argent, avec tant de banques làbas. Voilà pour l'opération
Just Cause du président George Bush. Cela n'a fait que faciliter grandement la vie de Nicolas Ardito
Barletta, qui était autrefois dirigé par les frères Ochoa et qui se prépare à faire front pour le cartel de Cali."
Sur la base de mon expérience avec le commerce de l'héroïne, je pense que le Comité des 300 est
intervenu et a pris le contrôle total du commerce de la cocaïne en Amérique du Sud. Il n'y a pas d'autre
explication à la montée du cartel de Cali qui s'accompagne de l'enlèvement de Noriega. Bush atil reçu
ses ordres de Londres concernant Noriega ? Tout indique qu'il a été littéralement POUSSÉ pour
envahir le Panama et kidnapper Noriega,
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qui était devenu un sérieux obstacle au "commerce" au Panama, en particulier dans le secteur bancaire.
Plusieurs anciens agents de renseignements m'ont donné leurs opinions qui coïncident avec les miennes.
Comme la guerre du Golfe qui a suivi dans le sillage de Panama, ce n'est qu'après plusieurs appels
de l'ambassadeur britannique à Washington que Bush a finalement trouvé assez de courage pour faire
son geste totalement illégal contre le général Noriega. Qu'il ait été soutenu par la presse britannique et
le New York Times, un journal britannique dirigé par le renseignement, en dit long.
Noriega était autrefois la coqueluche de l'establishment de Washington. Il a fréquemment côtoyé
William Casey et Oliver North et a même rencontré le président George Bush à au moins deux reprises.
Noriega était souvent vu au Pentagone où il était traité comme l'un de ces potentats arabes, et le tapis
rouge lui était toujours déroulé au siège de la CIA à Langley en Virginie. Le renseignement de l'armée
américaine et la CIA lui ont versé 320 000 dollars.
Puis des nuages d'orage ont commencé à apparaître à l'horizon à peu près au même moment où le
cartel de Cali reprenait le commerce de la cocaïne des frères Ochoa et de Pablo Escobar. Dirigé par
le sénateur Jesse Helms, qui s'est vendu à Ariel Sharon et au parti israélien Histradut en 1985, une
agitation a soudainement commencé pour le retrait de Noriega. Jesse Helms et ceux qui partageaient
les mêmes idées étaient soutenus par Simon Hersh, un agent du renseignement britannique
travaillant pour le New York Times, qui est un porteparole du renseignement britannique aux États
Unis depuis l'époque où le patron du M16, Sir William Stephenson, occupait le RCA. bâtiment à
New York.
Il est très significatif que Helms ait choisi de mener la charge contre Noriega.
Helms est le chouchou de la faction Sharon à Washington et Sharon était le principal trafiquant d'armes
en Amérique centrale et en Colombie. De plus, Helms a le respect des fondamentalistes chrétiens qui
croient en la maxime : "Israël, mon pays, bon ou mauvais." Ainsi, un puissant élan a été créé pour
"obtenir Noriega". Il est évident que Noriega pourrait bien s'avérer un obstacle sérieux pour les
marchands de drogue internationaux et leur comité de 300 banquiers, il a donc dû être renvoyé avant
qu'il ne puisse causer des dommages importants.
Bush a subi des pressions de la part de ses maîtres britanniques pour mener une opération
illégale de perquisition et de saisie au Panama qui a entraîné la mort de pas moins de 7 000
Panaméens et la destruction gratuite de biens. Rien n'impliquant Noriega en tant que "trafiquant de drogue"
n'a jamais été trouvé, il a donc été kidnappé et emmené aux ÉtatsUnis dans l'un des exemples les plus
flagrants de brigandage international de l'histoire. Cette action illégale correspond probablement le
mieux à la philosophie de Bush : "Les dimensions morales de la politique étrangère américaine (lire la
famille royale britannique Comité des 300) nous obligent à tracer une voie morale à travers un monde de moindres maux.
C'est le monde réel, pas noir et blanc. Très peu d'absolus."
C'était un « moindre mal » de kidnapper Noriega, plutôt que de le faire monter les banques au Panama
travaillant pour le Comité des 300. L'affaire Noriega est un prototype du monstrueux One
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Les actions du gouvernement mondial attendent dans les coulisses. Un Bush enhardi est sorti au grand
jour, sans peur, parce que nous, le peuple, avons revêtu un manteau spirituel qui s'adapte
au MENSONGE et ne veut pas faire partie de la VÉRITÉ. C'est le monde que nous avons décidé
d'accepter. S'il n'en était pas ainsi, une tempête de colère aurait balayé le pays suite à l'invasion
du Panama, qui n'aurait pas cessé tant que Bush n'aurait pas été chassé de ses fonctions.
Les transgressions du Watergate de Nixon pâlissent dans l'insignifiance à côté des nombreuses
infractions impénétrables commises par le président Bush lorsqu'il a ordonné l'invasion du Panama pour
kidnapper le général Noriega.
L'affaire du gouvernement contre Noriega est basée sur le témoignage parjure d'un groupe de grands
hommes, pour la plupart, déjà condamnés et mentant entre leurs dents individuelles et
collectives pour alléger leurs propres peines. Leur performance aurait énormément plu à Gilbert et
Sullivan, s'ils étaient vivants aujourd'hui. "Ils en ont fait les dirigeants de la DEA", pourrait être à
propos au lieu de "Ils en ont fait les dirigeants de la marine de la reine", de "HMS Pinafore". C'est
une scène tout à fait grotesque de voir comment ces escrocs se comportent comme des phoques pas
si bien entraînés pour le ministère américain de la Justice ; c'estàdire si l'on se soucie d'insulter un si
bel animal propre par une comparaison si indigne.
Les dates clés sont en conflit sauvage, les détails clés brillent par leur absence, les trous de mémoire
sur des points cruciaux s'ajoutent au fait évident que le gouvernement n'a aucun dossier contre
Noriega, mais cela n'a pas d'importance ; l'Institut royal des affaires internationales (RIIA) dit "condamnez
le quand même" et c'est ce à quoi le pauvre Noriega peut s'attendre. L'un des témoins vedettes du
ministère de la Justice est un certain Floyd Carlton Caceres, un ancien pilote des frères Ochoa. Après
son arrestation en 1986, Carlton a tenté d'assouplir sa position aux dépens de Noriega.
Il a dit à ses interrogateurs DEA que les frères Ochoa avaient payé 600 000 $ à Noriega pour
permettre à trois avions chargés de cocaïne d'atterrir et de faire le plein au Panama. Mais une fois au
tribunal de Miami, il est vite devenu évident que ce qui était présenté comme le "témoin vedette"
de l'accusation n'était au mieux qu'un pétard mouillé. En contreinterrogatoire, la véritable histoire a
émergé : loin d'être payé pour autoriser les vols, Noriega n'a même pas été approché par les Ochoas.
Pire encore, en décembre 1983, Noriega avait ordonné que tous les vols vers le Panama au départ
de Medellin se voient refuser l'autorisation d'atterrir au Panama. Carlton n'est pas le seul témoin
discrédité.
Un menteur encore plus désolé que Carlton est Carlos Lehder, qui était une cheville ouvrière du cartel
de Medellin jusqu'à ce qu'il soit arrêté en Espagne et envoyé aux ÉtatsUnis. Qui a donné à la DEA
l'information la plus vitale que Lehder était à Madrid ? La DEA admet à contrecœur qu'elle doit cette
prise importante à Noriega. Maintenant, cependant, le ministère de la Justice utilise Lehder comme
témoin contre Noriega. Si rien d'autre, ce témoin unique démontre la misère du dossier du
gouvernement des ÉtatsUnis contre Manuel Noriega.
En échange des services rendus, Lehder a obtenu un allégement de sa peine et des quartiers bien plus
agréables une chambre avec vue et télévision et sa famille a obtenu la résidence permanente aux
ÉtatsUnis Robert Merkel, un ancien avocat américain qui a poursuivi Lehder dans
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1988 a déclaré au Washington Pose "Je ne pense pas que le gouvernement devrait s'occuper de Carlos
Lehder, point final. Ce type est un menteur du début à la fin.
Le ministère de la Justice, purement un nom qui ne ressemble en rien à ce qu'il est censé
représenter, a sorti tous ses sales tours contre Noriega : écoute illégale de ses conversations avec
son avocat ; nommer un avocat du gouvernement pour prétendre qu'il servait Noriega mais qui a
démissionné au milieu de tout; gelant ses comptes bancaires afin que Noriega ne soit pas en mesure de
mener une défense appropriée ; enlèvement, perquisition et saisie illégales. Vous l'appelez, le
gouvernement a enfreint plus de lois que Noriega n'en a jamais fait si tant est qu'il ait enfreint la moindre
loi.
C'est le ministère américain de la Justice qui est jugé dix fois plus que le général Noriega. L'affaire
Noriega montre le système manifestement diabolique qui passe pour la "justice" dans ce pays. La «
guerre contre la drogue » des ÉtatsUnis est en procès, tout comme la soidisant politique antidrogue de
l'administration Bush. Le procès Noriega, s'il se terminera par un viol violent et flagrant de
la justice, offrira néanmoins quelques dédommagements à ceux qui ne sont pas aveugles, sourds
et muets. Cela prouvera une fois pour toutes que la GrandeBretagne est en charge de notre
gouvernement et cela révélera l'idéologie complètement en faillite de l'administration Bush qui
devrait avoir pour devise : « Quoi qu'il en soit, la fin justifie toujours les moyens . Peu d'absolus
moraux." Comme la majorité des politiciens, pour Bush, avoir une norme de MORALITÉ
ABSOLUE SERAIT SUICIDAIRE. Ce n'est que dans ce climat que nous aurions pu permettre au
président Bush de violer au moins six lois des ÉtatsUnis et des DIZAINES D'ACCORDS
INTERNATIONAUX en entrant en guerre contre l'Irak.
Ce à quoi nous assistons en Colombie et à Washington, c'est une révision complète de la façon dont
le commerce de la cocaïne doit être géré ; plus de trucs sauvages, plus d'armes à feu flamboyantes. Que
les messieurs du cartel de Cali en costard à rayures mènent les affaires en gentleman. Bref, le Comité
des 300 a pris directement la main dans le commerce de la cocaïne qui se passera désormais aussi
bien que celui de l'héroïne. Le nouveau gouvernement colombien est orienté vers le changement
de tactique et de direction. Il est sur préavis d'exécution selon le plan de match du Comité.
Il est nécessaire de mentionner la participation des ÉtatsUnis au commerce de l'opium en Chine qui a
commencé dans le sud des ÉtatsUnis avant la guerre entre les États. Comment relier le commerce
de l'opium aux grandes plantations de coton du Sud ? Pour ce faire, nous devons commencer au
Bengale, en Inde, producteurs de l'opium le plus fin (si l'on peut appeler une substance aussi
répugnante fine) qui était très demandé. Le coton était LE commerce le plus important en Angleterre,
après les ventes d'opium via la BEIC.
La majeure partie du coton des plantations du sud était travaillée dans les usines d'esclaves du nord
de l'Angleterre, où les femmes et les enfants gagnaient une misère pour une journée de travail de
16 heures. Les filatures appartenaient aux riches mondains de Londres, les Barings, Palmerstons,
Keswicks et surtout les Jardine Mathesons qui possédaient la Blue Star Shipping Line, sur laquelle les
produits finis en tissu de coton étaient expédiés en Inde. Ils se moquaient bien des conditions
malheureuses endurées par le sujet de Sa Majesté. Après tout, c'est à cela qu'ils servaient, et leurs maris
et leurs fils ont été utiles pour mener des guerres pour la préserver.
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L'empire lointain de Majesty comme ils l'avaient fait pendant des siècles, et dernièrement, dans la sanglante guerre
des Boers. C'était la tradition britannique, n'estce pas ?
Les produits finis en tissu de coton exportés vers l'Inde ont sapé et détruit les producteurs indiens de longue date
de produits finis en coton. De terribles privations ont été endurées par des milliers d'Indiens licenciés du fait
que des produits britanniques moins chers ont pris le contrôle de leurs marchés. L'Inde est alors devenue totalement
dépendante de la GrandeBretagne pour gagner suffisamment de devises pour payer ses chemins de fer et ses
importations de produits finis en coton. Il n'y avait qu'une seule solution aux difficultés économiques de l'Inde.
Produire plus d'opium et le vendre moins cher à la British East India Company. C'était le roc sur lequel le commerce
britannique s'est développé et s'est épanoui. Sans son commerce d'opium, la GrandeBretagne aurait été aussi
en faillite.
Les propriétaires de plantations du Sud connaissaientils le vilain secret de l'échange d'opium contre du
coton ? Il est peu probable que certains d'entre eux ne sachent pas ce qui se passait. Prenez, par
exemple, la famille Sutherland, l'un des plus grands propriétaires de plantations de coton du Sud.
Les Sutherlands étaient étroitement liés à la famille Matheson Jardine Matheson qui avait à son tour comme
partenaires commerciaux les Baring Brothers, fondateurs de la célèbre Peninsular and Orient Navigation Line (P&O),
la plus grande des nombreuses compagnies maritimes marchandes de GrandeBretagne.
Les Baring étaient de gros investisseurs dans les plantations du Sud comme ils l'étaient dans les navires américains
Clipper qui sillonnaient les mers entre les ports chinois et tous les ports importants le long de la côte est des États
Unis. Aujourd'hui, les Baring mènent un certain nombre d'opérations financières très importantes aux ÉtatsUnis.
Tous ces noms mentionnés étaient, et leurs descendants sont toujours, membres du Comité des 300.
La majorité des familles qui composent l'établissement libéral de l'Est, parmi lesquelles se trouvent les plus riches
de ce pays, ont tiré leur fortune soit du commerce du coton, soit du commerce de l'opium et, dans certains cas, des
deux. Parmi ceuxci, les Lehmans sont un exemple remarquable. Quand il s'agit de fortunes faites uniquement du
commerce de l'opium en Chine, les premiers noms qui viennent à l'esprit sont les Astors et les Delanos.
L'épouse du président Franklin D. Roosevelt était une Delano.
John Jacob Astor a fait une énorme fortune grâce au commerce de l'opium en Chine, puis il est devenu
respectable en achetant de vastes étendues de biens immobiliers à Manhattan avec son argent sale.
Au cours de sa vie, Astor a joué un rôle important dans les délibérations du Comité des 300. En fait, c'est le
Comité des 300 qui a choisi qui serait autorisé à participer au commerce fabuleusement lucratif de l'opium en
Chine, par l'intermédiaire de son monopole BEIC, et les bénéficiaires de leurs largesses sont restés à
jamais mariés au Comité des 300.
C'est pourquoi, comme nous le découvrirons, la plupart des biens immobiliers à Manhattan appartiennent à
divers membres du Comité, même depuis l'époque où Astor a commencé à les racheter. Avec l'avantage d'avoir
accès à des dossiers qui seraient fermés à d'autres en dehors du renseignement britannique, j'ai
découvert qu'Astor était depuis longtemps un atout du renseignement britannique aux ÉtatsUnis. Le financement
par Astor d'Aaron Burr, le meurtrier d'Alexander Hamilton, prouve le point audelà de tout doute raisonnable.
Le fils de John Jacob Astor, Waldorf Astor, s'est vu décerner l'honneur supplémentaire d'être nommé à l'Institut
royal de
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International Affairs (RIIA), par l'intermédiaire de laquelle le Comité des 300 contrôle toutes les facettes de
notre vie aux ÉtatsUnis. On pense que la famille Astor a choisi Owen Lattimore pour poursuivre son association
avec le commerce de l'opium, ce qu'il a fait par l'intermédiaire de l'Institute for Pacific Relations (IPR) financé
par Laura Spelman. C'est l'EPI qui a supervisé l'entrée de la Chine dans le commerce de l'opium en
tant que partenaire égal et non simplement en tant que fournisseur. C'est l'IPR qui a ouvert la voie à
l'attaque japonaise sur Pearl Harbor. Les tentatives de transformer les Japonais en opiomanes se sont soldées
par un échec lamentable.
Au tournant du siècle, les ploutocrates oligarchiques de GrandeBretagne étaient comme des vautours
surgorgés dans la plaine du Serengeti au moment de la marche annuelle des gnous. Leurs revenus du
commerce de l'opium en Chine dépassaient les revenus de David Rockefeller de PLUSIEURS
MILLIARDS DE DOLLARS PAR AN. Les documents historiques mis à ma disposition au British
Museum de Londres et du Bureau de l'Inde et d'autres sources d'anciens collègues occupant des postes bien
placés, le prouvent complètement.
En 1905, le gouvernement chinois, profondément préoccupé par l'augmentation du nombre de
toxicomanes de l'opium en Chine, a tenté d'obtenir l'aide de la communauté internationale. La Grande
Bretagne a fait semblant de coopérer, mais n'a fait aucun geste pour respecter les protocoles de 1905 qu'elle
avait signés. Plus tard, le gouvernement de Sa Majesté a fait volteface après avoir montré à la Chine qu'il valait
mieux se joindre à eux dans le commerce de l'opium plutôt que d'essayer d'y mettre fin.
Même la Convention de La Haye a été bafouée par les Britanniques. Les délégués à la convention avaient
convenu que la GrandeBretagne devait respecter les protocoles qu'elle avait signés, qui devaient réduire
considérablement la quantité d'opium vendue en Chine et ailleurs. Les Britanniques, tout en faisant preuve
de pure forme, n'avaient pas l'intention d'abandonner leur commerce de la misère humaine, qui comprenait le
soidisant « commerce du porc ».
Leur serviteur, le président George Bush, dans la poursuite de la cruelle guerre de génocide menée contre la
nation irakienne UNIQUEMENT pour et au nom des intérêts britanniques, a également montré son mépris en
bafouant l'accord de La Haye sur le bombardement aérien et toute une série de conventions internationales
pour dont les ÉtatsUnis sont signataires, y compris TOUTES les Conventions de Genève.
Lorsque des preuves ont été produites deux ans plus tard, notamment par les Japonais, de plus en
plus préoccupés par la contrebande britannique d'opium dans leur pays, que les ventes d'opium avaient
augmenté au lieu de diminuer, le délégué de Sa Majesté à la Cinquième Convention de La Haye a produit un
ensemble de statistiques qui différaient de celles fournies par le Japon. Le délégué britannique a renversé
la vapeur en disant qu'il s'agissait d'un argument très solide en faveur de la légalisation de la vente d'opium, ce
qui aurait pour effet de supprimer ce qu'il appelait « le marché noir ».
Il a suggéré au nom du gouvernement de Sa Majesté que le gouvernement japonais aurait alors le
monopole et le contrôle total du commerce. C'EST PRÉCISÉMENT LE MÊME ARGUMENT AVANCÉ PAR
LES FRONT MEN POUR LES BRONFMANS ET D'AUTRES GRANDS REVENDEURS DE
DOPAGE LEGALISER LA COCAÏNE, LA MARIJUANA ET L'HÉROÏNE, LAISSER LE GOUVERNEMENT
AMÉRICAIN
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MONOPOLE ET ARRÊTEZ AINSI DE GASPILLER DES MILLIARDS DANS LA GUERRE PHONIE CONTRE
LA DROGUE ET SAUVER LES CONTRIBUABLES DES MILLIARDS DE DOLLARS.
Au cours de la période 17911894, le nombre de fumeries d'opium autorisées dans la colonie
internationale de Shanghai est passé de 87 à 663. L'opium entrant aux ÉtatsUnis a également augmenté.
Sentant qu'ils pourraient avoir des problèmes en Chine avec les projecteurs de l'inquiétude mondiale braqués
sur eux, les ploutocrates des Chevaliers de SaintJean et de l'Ordre de la Jarretière ont transféré une partie
de leur attention sur la Perse (Iran).
Lord Inchcape, qui a fondé la plus grande compagnie de bateaux à vapeur au monde au tournant du XIXe
siècle, la légendaire Peninsula and Orient Steam Navigation Company, a été le principal moteur de la création
de la Hong Kong and Shanghai Bank, qui reste la plus grande et la moins banque de compensation contrôlée
pour le commerce de l'opium, qui finançait également le "commerce du porc" avec les ÉtatsUnis.
Les Britanniques avaient mis en place une arnaque par laquelle des «coolies» chinois étaient envoyés aux
ÉtatsUnis en tant que soidisant travailleurs sous contrat. Le chemin de fer de la famille rapace Harriman avait
besoin de "coolies" pour pousser la connexion ferroviaire vers l'ouest jusqu'à la côte californienne, ou du
moins c'est ce qu'ils ont dit. Curieusement, très peu de nègres ont reçu les travaux manuels auxquels ils
étaient habitués à cette époque et auraient pu faire un meilleur travail que les opiomanes émaciés qui sont arrivés
de Chine.
Le problème était qu'il n'y avait pas de marché pour l'opium parmi les nègres et, de plus, Lord Inchcape, fils du
fondateur de P and O avait besoin des " coolies" pour faire passer en contrebande des milliers de
livres d'opium brut en Amérique du Nord, ce que les nègres pouvaient pas faire. C'est le même Lord Inchcape
qui, en 1923, a averti qu'il ne devait pas y avoir de diminution de la culture du pavot à opium au Bengale. "Cette
source de revenus la plus importante doit être préservée", a til déclaré à la commission qui aurait enquêté
sur la production de gomme d'opium en Inde.
En 1846, quelque 120 000 «coolies» étaient déjà arrivés aux ÉtatsUnis pour travailler sur le chemin de fer de
Harriman poussant vers l'ouest. Le "commerce du porc" battait son plein car, sur ce nombre, le gouvernement
américain estimait que 115 000 étaient accros à l'opium. Une fois le chemin de fer terminé, les Chinois ne sont
pas retournés d'où ils venaient, mais se sont installés à San Francisco, Los Angeles, Vancouver et Portland. Ils
ont créé un énorme problème culturel qui n'a jamais cessé d'exister.
Il est intéressant de noter que Cecil John Rhodes, un comité de 300 membres qui défendait les Rothschild en
Afrique du Sud, a suivi le modèle Inchcape, amenant des centaines de milliers de "coolies" indiens à travailler
dans les plantations de canne à sucre de la province du Natal .
Parmi eux se trouvait Mahatma Ghandi, un agitateur communiste et fauteur de troubles. Comme les coolies
chinois, ils n'étaient pas renvoyés dans leur pays d'origine une fois leurs contrats expirés. Eux aussi ont
continué à créer un programme social massif, et leurs descendants sont devenus des avocats qui ont dirigé
la campagne d'infiltration du gouvernement au nom de l'Africa National Congress.
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En 1875, les «coolies» chinois opérant à partir de San Francisco avaient mis en place un réseau
d'approvisionnement en opium qui avait abouti à 129 000 opiomanes américains. Avec les 115 000
toxicomanes chinois connus, Lord Inchcape et sa famille récoltaient des centaines de milliers de
dollars par an à partir de cette seule source qui, en termes de dollars d'aujourd'hui, représenterait au moins
100 millions de dollars de revenus chaque année.
Les mêmes familles britanniques et américaines qui s'étaient combinées pour détruire l'industrie textile
indienne dans la promotion du commerce de l'opium, et qui ont amené des esclaves africains aux États
Unis se sont combinées pour faire du "commerce du porc" une source précieuse de revenus. Plus tard, ils
devaient s'unir pour provoquer et promouvoir la terrible guerre entre les États, également connue sous le
nom de guerre civile américaine.
Les familles américaines décadentes du partenariat impie, complètement corrompues et se vautrant
dans des profits crasseux, sont devenues ce que nous connaissons aujourd'hui sous le nom d'establishment
libéral de l'Est dont les membres, sous la direction et la direction prudentes de la Couronne et par la suite
de son bras exécutif en matière de politique étrangère, l'Institut Royal des Affaires Internationales (RIIA),
a dirigé ce pays et le fait toujours de haut en bas par le biais de son gouvernement secret de niveau
supérieur, qui est étroitement lié au Comité des 300, la société secrète ULTIME.
En 1923, des voix s'élevaient contre cette menace qui avait été autorisée à être importée aux États
Unis. Croire que les ÉtatsUnis sont une nation libre et souveraine, le membre du Congrès Stephen Porter,
président de la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants, a présenté un projet
de loi demandant aux Britanniques de rendre compte de leurs activités d'exportation et d'importation
d'opium dans un pays. base pays. La résolution établit des quotas pour chaque pays qui, s'ils étaient
observés, auraient réduit l'opium fabriqué de 10 %. La résolution a été promulguée et le projet de loi
accepté par le Congrès des ÉtatsUnis.
Mais l'Institut royal des affaires internationales avait d'autres idées. Fondé en 1919 à la suite de la
Conférence de paix de Paris tenue à Versailles, ce fut l'un des premiers exécuteurs de "politique
étrangère" du Comité des 300. Les recherches que j'ai effectuées sur les archives du Congrès,
House, montrent que Porter ignorait totalement les forces puissantes auxquelles il était confronté.
Porter n'était même pas au courant de l'existence du RIIA, encore moins que son objectif spécifique était
de contrôler toutes les facettes des ÉtatsUnis.
Apparemment, le membre du Congrès Porter a reçu une sorte d'intimation de la Morgan Bank à Wall
Street qu'il devrait abandonner toute l'affaire. Au lieu de cela, un Porter enragé a porté son cas devant le
Comité de l'opium de la Société des Nations. L'ignorance totale de Porter de qui il affrontait est démontrée
dans une partie de sa correspondance avec ses collègues de la commission des affaires étrangères de
la Chambre en réponse à l'opposition ouverte des Britanniques à ses propositions.
Le représentant de Sa Majesté a réprimandé Porter puis, agissant comme un père envers un fils errant, le
délégué britannique sur les instructions du RIIA a présenté les propositions de Sa Majesté
d'AUGMENTER les quotas d'opium pour tenir compte d'une augmentation de la consommation d'opium à
des fins médicinales. . D'après des documents que j'ai pu trouver à La Haye, Porter a d'abord été
confus, puis stupéfait, puis furieux. Rejoint par les Chinois
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délégué, Porter a fait irruption de la session plénipotentiaire de la session du Comité, laissant le champ
aux Britanniques.
En son absence, le délégué britannique obtint de la Ligue qu'elle approuve les propositions du
gouvernement de Sa Majesté pour la création d'un Central Narcotics Board, dont la fonction principale était la
collecte d'informations, dont les termes étaient volontairement vagues. Ce qu'il fallait faire des "informations"
n'a jamais été précisé. Porter est retourné aux ÉtatsUnis un homme secoué et beaucoup plus sage.
Un autre atout du renseignement britannique était le fabuleusement riche William Bingham, dans la famille de
laquelle l'un des Barings s'est marié. Il a été déclaré dans des papiers et des documents que j'ai vu que les
Baring Brothers dirigeaient les Quakers de Philadelphie et possédaient la moitié des biens immobiliers de cette
ville, tous rendus possibles grâce à la fortune que les Baring Brothers avaient amassée grâce au commerce
de l'opium en Chine. Un autre bénéficiaire des largesses du Comité des 300 était Stephen Girard, dont les
descendants ont hérité de la Girard Bank and Trust.
Les noms des familles, dont l'histoire est étroitement liée à celle de Boston et qui ne nous donneraient
jamais l'heure de la journée aux gens ordinaires, étaient enveloppés dans les bras du Comité des 300
et de son commerce d'opium BEIC China extrêmement lucratif. De nombreuses familles célèbres se sont
associées à la tristement célèbre Banque de Hong Kong et de Shanghai, qui est toujours la chambre de
compensation pour des milliards de dollars provenant du commerce de l'opium en Chine.
Des noms aussi célèbres que Forbes, Perkins et Hathaway figurent dans les registres de la Compagnie
britannique des Indes orientales. Ces véritables "sang bleus" américains ont créé Russell and
Company, dont le commerce principal était l'opium, mais dirigeaient également d'autres entreprises de
transport de la Chine vers l'Amérique du Sud et tous les points intermédiaires. En récompense de leurs
services rendus à la Couronne britannique et au BEIC, le Comité des 300 leur accorda le monopole de la traite
des esclaves en 1833.
Boston doit son passé célèbre au commerce du coton, de l'opium et des esclaves qui lui a été accordé
par le Comité des 300 et il est indiqué dans les archives que j'ai eu le privilège de voir à Londres que les
familles de marchands de Boston étaient les principaux partisans de la Couronne britannique aux ÉtatsUnis.
États. John Murray Forbes est mentionné comme le majordome des "Boston Blue Bloods" dans les registres de
l'India House et dans les registres bancaires de Hong Kong.
Le fils de Forbe a été le premier Américain autorisé par le Comité des 300 à siéger au conseil d'administration
de la banque de médicaments la plus prestigieuse au monde encore aujourd'hui la Hong Kong
and Shanghai Bank. Quand j'étais à Hong Kong au début des années 1960 en tant qu '« historien intéressé par
la Compagnie britannique des Indes orientales », on m'a montré de vieux dossiers, y compris d'anciens
membres du conseil d'administration de cette banque de drogue notoire, et bien sûr, le nom de Forbes était parmi eux.
La famille Perkins, si illustre que son nom est encore mentionné dans des murmures émerveillés, était
profondément impliquée dans le sale commerce de l'opium en Chine. En fait, Perkins l'aîné fut l'un des premiers
Américains à être élu au Comité des 300. Son fils, Thomas Nelson, était l'homme de Morgan à Boston et, à ce
titre, également un agent des services de renseignement britanniques.
Son passé peu recommandable je dirais dégoûtant n'était pas en cause lorsqu'il a richement doté
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Université de Harvard. Après tout, Canton et Tientsin sont loin de Boston, et qui s'en serait soucié de
toute façon ?
Ce qui a beaucoup aidé les Perkins, c'est que Morgan était un membre puissant du Comité
des 300, ce qui a permis à Thomas N. Perkins de poursuivre rapidement sa carrière dans le
commerce de l'opium en Chine. Tous les Morgan et Perkins étaient des francsmaçons, ce qui était
un autre lien qui les unissait, car seuls les francsmaçons du plus haut rang ont l'espoir d'être
sélectionnés par le Comité des 300. Sir Robert Hart, qui pendant près de trois décennies a été chef
du Imperial Chinese Customs Service (lire l'agent numéro un de la Couronne britannique dans le
commerce de l'opium en Chine a ensuite été nommé au conseil d'administration de la Morgan
Guarantee Bank's Far Eastern Division.
Grâce à l'accès aux archives historiques de Londres et de Hong Kong, j'ai pu établir que Sir
Robert avait développé une relation intime avec les opérations de Morgan aux ÉtatsUnis. Il convient
de noter que les intérêts de Morgan dans le commerce de l'opium et de l'héroïne se sont poursuivis
sans interruption ; en témoigne le fait que David Newbigging siège au conseil consultatif de
l'opération de Morgan à Hong Kong, dirigée en collaboration avec Jardine Matheson.
Pour ceux qui connaissent Hong Kong, le nom de Newbigging sera familier comme le nom le plus
puissant de Hong Kong. En plus de son appartenance à la banque d'élite de Morgan, Newbigging
se double d'un conseiller du gouvernement chinois. De l'opium pour la technologie des
missiles, de l'opium pour l'or, de l'opium pour les ordinateurs de haute technologie c'est la
même chose pour Newbigging. La façon dont ces banques, sociétés financières, sociétés de négoce
et les familles qui les dirigent sont entrelacées rendrait Sherlock Holmes perplexe, mais d'une
manière ou d'une autre, elles doivent être démêlées et suivies si nous voulons comprendre leurs
liens avec le trafic de drogue et leur appartenance au Comité des 300.
L'entrée à deux voies aux ÉtatsUnis de l'alcool et de la drogue étaient des produits de la même
écurie occupée par les mêmes pursang. Premièrement, la prohibition devait être introduite aux États
Unis. Cela a été fait par les héritiers de la British East India Company qui, agissant sur
l'expérience acquise grâce aux archives bien documentées de la China Inland Mission trouvées
à India House, ont créé la Women's Christian Temperance Union, censée s'opposer à la
consommation d'alcool en Amérique.
Nous disons que l'histoire se répète, et dans un sens, c'est vrai. sauf qu'il se répète dans une spirale
toujours ascendante. Aujourd'hui, nous constatons que certaines des plus grandes entreprises,
prétendument "polluantes" de la terre, sont les plus gros contributeurs de fonds au mouvement
écologiste. Les "grands noms" envoient leur message. Le prince Philip est l'un de leurs héros,
mais son fils, le prince Charles, possède un million d'acres de terres boisées au Pays de Galles sur
lesquelles du bois est régulièrement récolté et, en outre, le prince Charles est l'un des plus grands
propriétaires de taudis à Londres, où la pollution prospère. .
Dans le cas de ceux qui se sont insurgés contre les « maux de la boisson », nous constatons qu'ils
étaient financés par les Astor, les Rockefeller, les Spelman, les Vanderbilt et les Warburg qui avaient
un intérêt direct dans le commerce de l'alcool. Sur les instructions de la Couronne, Lord Beaverbrook
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est venu d'Angleterre pour dire à ces riches familles américaines qu'elles devaient investir dans la
WCTU. (C'est le même Lord Beaverbrook qui est venu à Washington en 1940 et a ORDONNÉ à
Roosevelt de s'impliquer dans la guerre de GrandeBretagne.)
Roosevelt s'est conformé en stationnant une flottille de la marine américaine au Groenland qui
a passé les 9 mois précédant Pearl Harbor à chasser et à attaquer les sousmarins allemands. Comme
son successeur, George Bush, Roosevelt considérait le Congrès comme une nuisance
déconcertante, agissant comme un roi sentiment qu'il ressentait fortement puisqu'il est lié à la
famille royale britannique FDR n'a jamais demandé la permission du Congrès pour son action illégale.
C'est ce que les Britanniques appellent le plus leur "relation spéciale avec l'Amérique".
Le commerce de la drogue a un lien avec le meurtre du président John F. Kennedy, dont l'acte
répréhensible entache le caractère national et continuera de le faire jusqu'à ce que les auteurs soient
retrouvés et traduits en justice. Il existe des preuves que la mafia était impliquée dans cela par le
biais de la CIA, ce qui rappelle que tout a commencé avec l'ancien réseau Meyer Lansky qui a
évolué pour devenir l'organisation terroriste Irgun, et Lansky s'est avéré être l'un des meilleurs
véhicules pour colporter la guerre culturelle. contre l'Occident.
Lansky était, à travers des fronts plus respectables, associé aux supérieurs britanniques pour
amener le jeu et la distribution de drogue à Paradise Island aux Bahamas sous le couvert de The
Mary Carter Paint Company une coentreprise LanskyBritannique M16. Lord Sassoon a ensuite
été assassiné parce qu'il écrémait de l'argent et menaçait de dénoncer s'il était puni. Ray Wolfe
était plus présentable, représentant les Bronfmans du Canada. Alors que les Bronfman n'étaient pas
au courant de l'énorme projet néoécossais de Churchill, ils étaient et sont toujours un atout important
de la famille royale britannique dans le commerce de la drogue.
Sam Rothberg, proche collaborateur de Meyer Lansky, a également travaillé avec Tibor Rosenbaum et
Pinchas Sapir, tous les pivots du réseau de drogue Lansky. Rosenbaum a dirigé une opération
de blanchiment d'argent de la drogue hors de Suisse par l'intermédiaire d'une banque qu'il a créée à
cet effet; Banque du Crédit International. La banque a rapidement étendu ses activités et est devenue
la principale banque utilisée par Lansky et ses associés gangsters pour blanchir l'argent provenant de
la prostitution, de la drogue et d'autres rackets de la mafia.
Il convient de noter que la banque de Tibor Rosenbaum a été utilisée par le chef ténébreux du
renseignement britannique, Sir William Stephenson, dont le bras droit, le major John Mortimer
Bloomfield, un citoyen canadien, a dirigé la division cinq du FBI tout au long de la Seconde Guerre
mondiale. Stephenson a été l'un des premiers membres du Comité des 300 du XXe siècle, bien que
Bloomfield ne soit jamais allé aussi loin. Comme je l'ai révélé dans ma série de
monographies sur l'assassinat de Kennedy, c'est Stephenson qui a dirigé l'opération qui a été
menée comme un projet pratique par Bloomfield. La façade de l'assassinat de Kennedy a été réalisée
par le biais d'un autre front lié à la drogue, Permanent Industrial Expositions (PERMINDEX),
créé en 1957 et centré dans le bâtiment World Trade Mart au centreville de la NouvelleOrléans.
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Bloomfield était justement l'avocat de la famille Bronfman. Le World Trade Mart a été créé par le colonel
Clay Shaw et le chef de la division cinq du FBI à la NouvelleOrléans, Guy Bannister. Shaw et Bannister
étaient de proches associés de Lee Harvey Oswald, accusé d'avoir tiré sur Kennedy, qui a été
assassiné par l'agent contractuel de la CIA Jack Ruby avant qu'il ne puisse prouver qu'il n'était pas
l'assassin qui a tiré sur le président Kennedy. Malgré la Commission Warren et de nombreux rapports
officiels, il n'a JAMAIS été établi qu'Oswald possédait le fusil Mannlicher censé être l'arme du crime
(ce n'était pas le cas) ni qu'il l'ait jamais utilisé. Le lien entre le trafic de drogue, Shaw, Bannister et Bloomfield
a été établi à plusieurs reprises et n'a pas à nous concerner ici.
Dans la période qui a immédiatement suivi la Seconde Guerre mondiale, l'une des méthodes les plus
couramment utilisées par Resorts International et d'autres sociétés liées à la drogue pour nettoyer l'argent
était le service de messagerie vers une banque de blanchiment d'argent. Maintenant tout ça a changé.
Seul le menu fretin utilise encore une méthode aussi risquée. Les «gros poissons» acheminent leur argent
via le système CHIPS, acronyme de Clearing House International Payments System, géré par un
système informatique Burroughs centré à la New York Clearing House. Douze des plus grandes banques utilisent ce système.
L'une d'elles est la Hong Kong and Shanghai Bank. Un autre est Credite Suisse, ce parangon de vertu si
respectable dans le secteur bancaire jusqu'à ce que le couvercle soit levé. Combiné au système
SWIFT basé en Virginie, l'argent sale de la drogue devient invisible. Seule une insouciance gratuite
donne au FBI de la chance de temps en temps, si et quand on lui dit de ne pas détourner le regard.
Seuls les trafiquants de drogue de bas niveau se font prendre avec l'argent de la drogue entre leurs
mains. L'élite, Drexel Burnham, Credite Suisse, Hong Kong et Shanghai Bank, échappe à la détection. Mais
cela aussi est en train de changer avec l'effondrement de la Bank of Credit and Commerce International
(BCCI) qui est susceptible d'exposer beaucoup de choses sur le trafic de drogue si jamais une
enquête appropriée est menée.
L'un des actifs les plus importants du portefeuille du Comité des 300 entreprises est American Express
(AMEX). Ses présidents occupent régulièrement des postes au sein du Comité des 300. Je me suis
intéressé pour la première fois à Amex lors d'une enquête sur place qui m'a conduit à la Trade Development
Bank à Genève. Plus tard, cela m'a causé beaucoup d'ennuis. J'ai découvert que la Trade Development
Bank, alors dirigée par Edmund Safra, homme clé dans le commerce de l'or pour l'opium, fournissait des
tonnes d'or au marché de Hong Kong via la Trade Development Bank.
Avant d'aller en Suisse, je suis allé à Pretoria, en Afrique du Sud, où j'ai parlé avec le Dr.
Chris Stals, à l'époque vicegouverneur de la Banque de réserve sudafricaine, qui contrôle toutes les
transactions en gros sur l'or produit en Afrique du Sud. Après plusieurs discussions sur une période d'une
semaine, on m'a dit que la banque ne pouvait pas me fournir les dix tonnes d'or que j'étais autorisé à acheter
pour le compte de clients que j'étais censé représenter. Mes amis aux bons endroits ont su produire la
documentation qui passait sans question.
La Banque de réserve m'a référé à une société suisse que je ne peux pas nommer, car elle ferait
sauter la couverture. On m'a également donné l'adresse de la Trade Development Bank à Genève.
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Le but de mon exercice était de découvrir les mécanismes de déplacement et d'échange de l'or, et
deuxièmement de tester de faux documents qui m'avaient été préparés par d'anciens amis du
renseignement spécialisés dans ce genre de choses. Vous vous souvenez de "M" dans la série "James
Bond" ? Laissezmoi vous assurer que "M" existe, seule son initiale correcte est "C". Les documents que
j'avais consistaient en des "commandes d'achat" de sociétés liechtensteinoises avec les pièces
justificatives correspondantes.
En approchant de la Trade Development Bank, j'ai d'abord été accueilli cordialement mais, au fur
et à mesure que les discussions progressaient avec de plus en plus de méfiance jusqu'à ce que, lorsque j'ai
senti qu'il n'était plus sûr pour moi de visiter la banque, sans en parler à personne à la banque, j'ai quitté
Genève. Plus tard, la banque a été vendue à American Express. American Express a fait l'objet d'une
brève enquête de l'ancien procureur général Edwin Meese, après quoi il a été rapidement démis de ses
fonctions et qualifié de "corrompu". Ce que j'ai découvert, c'est qu'American Express était et est toujours un
moyen de blanchir l'argent de la drogue et, jusqu'à présent, personne n'a été en mesure de m'expliquer
pourquoi une entreprise privée a le droit d'imprimer des dollars les chèques de voyage American Express
ne sontils pas dollars? J'ai par la suite dénoncé les liens médicamenteux SafraAmex qui ont bouleversé
beaucoup de gens, comme on peut l'imaginer.
Le comité de 300 membres Japhet contrôle Charterhouse Japhet, qui à son tour contrôle Jardine Matheson
en tant que lien direct avec le commerce de l'opium à Hong Kong. Les Japhet seraient des Quakers
anglais. La famille Matheson, également membre du Comité des 300, était la cheville ouvrière du
commerce de l'opium en Chine, du moins jusqu'en 1943. Les Matheson figurent sur la liste des distinctions
honorifiques de la reine d'Angleterre depuis le début du XIXe siècle.
Les principaux contrôleurs du trafic de drogue du Comité des 300 n'ont aucune conscience des millions de
vies qu'ils ruinent chaque année. Ce sont des Gnostiques, des Cathares, des membres du culte de Dionysos,
d'Osiris, ou pire. Pour eux, les gens "ordinaires" sont là pour être utilisés à leurs fins. Leurs grandsprêtres,
BulwerLytton et Aldous Huxley, ont prêché l'évangile de la drogue en tant que substance bénéfique. Pour
citer Huxley :
"Et pour l'usage quotidien privé, il y a toujours eu des intoxicants chimiques. Tous les sédatifs et
narcotiques végétaux, tous les euphorisants qui poussent sur les arbres, les hal lucinogènes qui
mûrissent dans les baies, ont été utilisés par l'homme depuis des temps immémoriaux. Et à ces modificateurs
de conscience, la science moderne a ajouté son quota de produits synthétiques. Pour une utilisation sans
restriction, l'Occident n'a autorisé que l'alcool et le tabac. Tous les autres produits chimiques Doors in the
Wall sont étiquetés DOPE.
Pour les oligarques et les ploutocrates du Comité des 300, la drogue a un double objectif, premièrement de
rapporter des sommes d'argent colossales et deuxièmement, de transformer à terme une grande partie de la
population en zombies de la drogue stupides qui seront plus faciles à contrôler que les personnes qui n'ont
pas besoin de drogues, car la punition pour la rébellion signifiera la suspension de l'approvisionnement
en héroïne, cocaïne, marijuana, etc. , dont la dépression de 1991 est le précurseur, font proliférer
l'usage de drogues alors que des centaines de milliers de chômeurs permanents se tournent vers la drogue
pour se consoler.
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Dans l'un des documents top secret du Royal Institute of International Affairs, le scénario est présenté comme
suit (en partie):
"... ayant été abandonnés par le christianisme, et avec le chômage partout, ceux qui ont été sans emploi
pendant cinq ans ou plus se détourneront de l'église et chercheront du réconfort dans la drogue. C'est alors
que le contrôle total de le commerce de la drogue doit être achevé pour que les gouvernements de tous les
pays qui sont sous notre juridiction aient un MONOPOLE que nous contrôlerons par
l'approvisionnement. seront transformés en toxicomanes inoffensifs sans volonté propre..."
Il existe de nombreuses preuves que la CIA et les services de renseignement britanniques, en
particulier le M16, ont déjà passé au moins une décennie à travailler dans ce but. L'Institut royal
des affaires internationales a utilisé le travail de toute une vie d'Aldous Huxley et de BulwerLytton comme
plan directeur pour créer un état où l'humanité n'aura plus de volonté propre dans le gouvernement mondial
unique Nouvel ordre mondial du jeûne à l'approche du New Dark Age.
Encore une fois, voyons ce que le grand prêtre Aldous Huxley avait à dire à ce sujet :
"Dans de nombreuses sociétés à de nombreux niveaux de civilisation, des tentatives ont été faites pour
fusionner l'intoxication médicamenteuse avec l'intoxication divine. Dans la Grèce antique, par exemple,
l'alcool éthylique avait sa place dans les religions établies. Dionysos, Bacchus, comme on l'appelait souvent,
était une véritable divinité. L'interdiction complète des changements chimiques peut être décrétée
mais ne peut pas être appliquée. (LE LANGAGE DU LOBBY PRODROGUE SUR LA COLLINE DU CAPITOLE.)
"Maintenant, considérons un autre type de drogue encore inconnue, mais probablement juste au coin de
la rue une drogue qui rend les gens heureux dans des situations où ils se sentiraient normalement
misérables. (Y atil quelqu'un de plus misérable qu'une personne qui a recherché et été trouver du
travail ?) Une telle drogue serait une bénédiction, mais une bénédiction lourde de graves dangers sociaux et
politiques. En mettant à disposition une euphorie chimique inoffensive, un dictateur (lire Comité des 300)
pourrait réconcilier toute une population avec un État d'affaires avec lesquelles des êtres humains qui se
respectent ne doivent pas se réconcilier. »
Tout un chefd'œuvre dialectique. Ce que préconisait Huxley et qui est la politique officielle du Comité des 300
et de son substitut, RIIA, peut être tout simplement défini comme un contrôle mental de masse. Comme je l'ai
souvent dit, toutes les guerres sont des guerres pour les âmes de l'humanité. Jusqu'à présent, nous ne
nous sommes pas rendus compte que le commerce de la drogue est une guerre irrégulière de faible intensité
contre toute la race humaine des hommes libres. La guerre irrégulière est la forme de guerre la plus
terrible qui, bien qu'elle ait un début, n'a pas de fin.
Certains remettront en question l'implication des familles royales britanniques, passées et présentes, dans le
trafic de drogue. Le voir imprimé semble en surface être absurde, et on le voit plus souvent imprimé ces
joursci pour le faire apparaître exactement cela, absurde. La plus ancienne maxime dans le domaine
du renseignement est : « Si vous voulez cacher quelque chose, mettezle là où tout le monde peut le voir.
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Le livre de FS Turner, "BRITISH OPIUM POLICY", publié en 1876, montre comment la
monarchie britannique et ses proches parents étaient profondément impliqués dans le commerce
de l'opium. Turner était le secrétaire de l'Anglo Oriental Society of the Suppression of the Opium
Trade. Il a refusé d'être réduit au silence par le porteparole de la Couronne, Sir R. Temple. Turner
a déclaré que le gouvernement, et donc la Couronne, devait se retirer du monopole de l'opium,
"et s'il prélève des revenus, ne prenez que ce qui provient de la fiscalité honnêtement censée avoir
une force restrictive".
Turner a été répondu par un porteparole de la monarchie, Lord Lawrence, qui s'est battu contre
la perte du monopole de la BEIC. "Il serait souhaitable de se débarrasser du monopole, mais je
suis moimême peu enclin à être l'agent du changement. S'il s'agit d'une perte modérée que nous
pourrions nous permettre, je n'hésiterais pas à l'entreprendre." (Tiré des papiers de Calcutta
1870.)
En 1874, la guerre contre la monarchie britannique et l'aristocratie à cause de sa
profonde implication dans le commerce de l'opium en Chine commençait à s'échauffer.
La Société pour la suppression du commerce de l'opium a violemment attaqué l'aristocratie de
l'époque et a poussé ses attaques d'une manière intrépide que nous ferions bien d'imiter. La société
a déclaré que le traité de Tientsin, qui obligeait la Chine à accepter l'importation d'énormes
quantités d'opium, était un crime ignoble contre le peuple chinois.
Il y eut un puissant guerrier, Joseph Grundy Alexander, avocat de profession qui, en 1866, mena
une attaque virulente contre la politique de la Couronne britannique en matière d'opium en Chine,
dans laquelle il mentionna ouvertement l'implication de la famille royale et de l'aristocratie. Pour
la première fois, Alexandre a mis l'Inde, "le joyau de la couronne", dans le tableau. Il rejeta
carrément le blâme là où il appartenait, sur la monarchie, la soidisant aristocratie et ses serviteurs
au sein du gouvernement britannique.
Sous la direction d'Alexandre, la société s'est engagée à la destruction totale de la culture du pavot
à opium au Bengale, en Inde. Alexander s'est avéré être un adversaire vaillant. Grâce à son
leadership, l'aristocratie de la drogue a commencé à faiblir et, face à ses dénonciations ouvertes de
la famille royale et de ses parasites, plusieurs députés ont commencé à se ranger du côté de
lui, conservateurs, unionistes, travaillistes. Alexander a clairement indiqué que le trafic de drogue
n'était pas une question politique de parti; il appartient à toutes les parties de s'unir pour
aider à éradiquer la menace.
Lord Kimberly, porteparole de la famille royale et des oligarchistes enracinés, a menacé
que toute tentative d'interférer avec ce qu'il appelait "le commerce de la nation se heurterait à une
sérieuse opposition de la part du cabinet". Alexander et sa société ont continué face à d'innombrables
menaces et finalement le parlement a accepté de nommer une commission royale pour
enquêter sur le commerce de l'opium, avec Lord Kimberly, qui était secrétaire de l'Inde, comme
président. Une personne plus inappropriée pour diriger la commission n'aurait pas pu être
trouvée. Cela ressemblait à la nomination de Dulles à la Commission Warren.
Dans sa première déclaration, Lord Kimberly a clairement indiqué qu'il préférerait démissionner
de son auguste poste que de consentir à une résolution qui rendrait l'opium indien
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Revenus. Il convient de noter que les "revenus indiens de l'opium" impliquaient de l'argent partagé
par la nation. Tout comme l'idée que le peuple sudafricain partage les énormes profits de la
vente d'or et de diamants, ce n'était tout simplement pas le cas. Les revenus de l'opium indien
sont allés directement dans les coffres royaux et les poches de la noblesse, des oligarchistes
et des ploutocrates, et en ont fait des milliardaires.
Le livre de Rowntree, "THE IMPERIAL DRUG TRADE" donne un récit fascinant de la façon dont
le Premier ministre Gladstone et ses collègues ploutocrates ont menti, triché, tordu et détourné
pour empêcher la révélation de l'étonnante vérité de l'implication de la monarchie britannique dans
le commerce de l'opium. Le livre de Rowntree est un trésor d'informations sur la profonde
implication de la famille royale britannique et des seigneurs et dames d'Angleterre et sur les
énormes fortunes qu'ils ont accumulées grâce à la misère des opiomanes chinois.
Lord Kimberly, secrétaire de la commission d'enquête, était luimême profondément impliqué
dans le commerce de l'opium, il a donc fait tout ce qui était en son pouvoir pour fermer les
débats à tous ceux qui cherchaient la vérité. Finalement, sous une forte pression du public,
la Commission royale a été forcée d'ouvrir la porte à cette enquête juste une fente, de sorte qu'il
est devenu évident que les plus hauts du pays dirigeaient le commerce de l'opium et en tiraient
d'énormes bénéfices. . Mais la porte a été rapidement refermée et la Commission
royale n'a appelé aucun témoin expert, siégeant par la suite pendant une période de temps
absurdement courte. La commission n'était rien d'autre qu'une farce et une dissimulation, comme
nous nous y sommes habitués dans l'Amérique du XXe siècle.
Les familles de l'Establishment libéral de l'Est des ÉtatsUnis étaient tout aussi profondément
impliquées dans le commerce de l'opium en Chine que l'étaient les Britanniques, et elles le
sont toujours. Soyez témoin de l'histoire récente lorsque James Earl Carter a renversé le
Shah d'Iran. Pourquoi le Shah atil été déposé puis assassiné par le gouvernement des États
Unis ? en un mot, à cause des DROGUES. Le Shah avait réprimé et pratiquement mis fin
au commerce immensément lucratif de l'opium mené hors d'Iran par les Britanniques. Au
moment où le Shah a pris le pouvoir en Iran, il y avait déjà un million d'opium/héroïnomanes.
Cela, les Britanniques ne le toléreraient pas, alors ils ont envoyé les ÉtatsUnis faire le sale boulot
à leur place en termes de "relation spéciale" entre les deux pays. Lorsque Khomeiny a
repris l'ambassade des ÉtatsUnis à Téhéran, les ventes d'armes par les ÉtatsUnis, qui avaient
commencé avec le Shah, n'ont pas cessé. Pourquoi pas? Si les ÉtatsUnis l'avaient fait, Khomeiny
aurait annulé le monopole britannique du commerce de l'opium dans son pays. Pour prouver
ce point, après 1984, l'attitude libérale de Khomeiny envers l'opium avait augmenté le nombre
de toxicomanes à 2 millions, selon les statistiques des Nations Unies et de l'Organisation
mondiale de la santé.
Le président Carter et son successeur, Ronald Reagan, de leur plein gré et en toute
connaissance de cause, ont continué à fournir des armes à l'Iran alors même que les otages
américains languissaient en captivité. En 1980, j'ai écrit une monographie sous le titre « Ce
qui s'est vraiment passé en Iran », qui exposait les faits. Le commerce des armes avec l'Iran a été
scellé lors d'une réunion entre Cyrus Vance, un serviteur du Comité des 300, et le Dr Hashemi,
qui a conduit l'US Air Force à commencer un pont aérien immédiat d'armes vers l'Iran,
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même au plus fort de la crise des otages, les armes provenaient des stocks de l'armée américaine
en Allemagne et certaines étaient même transportées directement des ÉtatsUnis avec des escales de
ravitaillement aux Açores.
Avec l'avènement de Khomeiny, qui a été mis au pouvoir en Iran par le Comité des 300, la production
d'opium a explosé. En 1984, la production d'opium iranien dépassait 650 tonnes métriques d'opium par
an. Ce que Carter et Reagan ont fait, c'est s'assurer qu'il n'y aurait plus d'ingérence dans le commerce
de l'opium et ils ont exécuté le mandat qui leur avait été confié par les familles oligarchiques de Grande
Bretagne à cet égard. L'Iran rivalise actuellement avec le Triangle d'or en termes de volume d'opium
produit.
Le Shah n'a pas été la seule victime du Comité des 300 William Buckley, chef de la station de la CIA à
Beyrouth, dans tout son manque d'expérience sur qui est derrière le commerce de l'opium, a commencé
à mener des enquêtes en Iran, au Liban et a même passé du temps au Pakistan. Depuis Islamabad,
Buckley a commencé à envoyer des rapports accablants à la CIA à Langley sur le commerce florissant de
l'opium dans le Croissant d'Or et au Pakistan. L'ambassade des ÉtatsUnis à Islamabad a été
incendiée, mais Buckley a échappé à l'attaque de la foule et est retourné à Washington parce que
sa couverture a été détruite par des forces inconnues.
Puis une chose très étrange s'est produite. Contrairement à toutes les procédures établies par la CIA
lorsque la couverture d'un agent a été découverte, Buckley a été renvoyé à Beyrouth. Buckley a en effet été
condamné à mort par la CIA afin de le faire taire, et cette fois la peine a été exécutée. William Buckley a
été kidnappé par des agents du Comité des 300.
Lors d'un interrogatoire brutal par le général Mohammed el Khouili du renseignement syrien pour le forcer
à divulguer les noms de tous les officiers de terrain de la DEA dans ces pays, il a été brutalement assassiné.
Ses efforts pour exposer l'énorme commerce de l'opium qui se développe à partir du Pakistan, du Liban et de
l'Iran ont coûté la vie à Buckley.
Si les hommes libres restants dans ce monde croient qu'à eux seuls ou en petits groupes, ils peuvent
écraser le commerce de la drogue, ils se trompent lourdement. Ils pouvaient couper les tentacules du
commerce de l'opium et de la cocaïne ici et là, mais jamais la tête. Les cobras couronnés d'Europe et leur
famille de l'establishment libéral de l'Est ne le toléreront pas. La guerre contre la drogue que
l'administration Bush prétend mener, mais qu'elle n'est pas, est pour la légalisation TOTALE de TOUS
les types et classes de drogues. De telles drogues ne sont pas seulement une aberration sociale, mais une
tentative à grande échelle de prendre le contrôle de l'esprit des habitants de cette planète, ou, comme
le disent les auteurs de " Aquarian Conspiracy" , "de provoquer des changements radicaux aux ÉtatsUnis. "
C'EST LA TÂCHE PRINCIPALE DU COMITÉ DES 300, LA SOCIÉTÉ SECRÈTE ULTIME.
Rien n'a changé dans le commerce de l'opiumhéroïnecocaïne. Il est toujours dirigé par les mêmes familles
de «classe supérieure» en GrandeBretagne et aux ÉtatsUnis. C'est toujours un commerce
fabuleusement rentable où ce qui semble être de grosses pertes suite à des saisies par les autorités est
amorti dans des salles de réunion lambrissées à New York, Hong Kong et Londres sur le port et les
cigares comme "simplement le coût de faire des affaires, mon vieux" .
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Le capitalisme colonial britannique a toujours été le pilier du système féodal oligarchique de privilège en Angleterre
et le reste jusqu'à nos jours. Lorsque les pasteurs pauvres et sans instruction d'Afrique du Sud, connus sous
le nom de Boers, sont tombés entre les mains ensanglantées de l'aristocratie britannique en 1899,
ils n'avaient aucune idée que la guerre révoltante et cruelle poursuivie sans relâche par la reine Victoria
était financée par les sommes incroyables d'argent provenant des "fortunes instantanées" du commerce de
l'opium BEIC en Chine dans les poches des ploutocrates.
Un comité de 300 membres Cecil John Rhodes, Barney Barnato et Alfred Beit ont incité et organisé la
guerre. Rhodes était le principal agent des Rothschild, dont les banques étaient inondées de liquidités provenant
du commerce de l'opium. Ces voleurs, voleurs et menteurs Rhodes, Barnato, Oppenheimer, Joel et Beit ont
dépossédé les Boers sudafricains de leur droit d'aînesse, l'or et les diamants qui se trouvaient sous leur sol. Les
Boers sudafricains n'ont rien reçu des MILLIARDS ET DES MILLIARDS de dollars provenant de la vente de
LEUR or et de leurs diamants.
Le Comité des 300 a rapidement pris le contrôle total de ces immenses trésors, contrôle qu'il maintient encore
aujourd'hui grâce à l'un de ses membres, Sir Harry Oppenheimer. Le SudAfricain moyen reçoit 100 dollars par
an et par habitant de l'industrie de l'or et du diamant.
Les MILLIARDS qui coulent chaque année vont aux banquiers du Comité des 300. C'est l'une des histoires les plus
ignobles et les plus ignobles d'avidité, de vol et de meurtre d'une nation jamais enregistrées dans les annales
de l'histoire.
Comment la Couronne britannique atelle pu réussir à réaliser cette stupéfiante fraude aux proportions
gigantesques ? Pour accomplir une tâche aussi herculéenne, il faut une organisation habile avec des agents
dévoués en place pour exécuter les instructions quotidiennes transmises par la hiérarchie des conspirateurs.
La première étape a été une campagne de propagande dans la presse décrivant les Boers comme des barbares
non civilisés, à peine humains, qui refusaient aux citoyens britanniques le droit de voter dans la République boer.
Ensuite, des demandes ont été faites à Paul Kruger, chef de la République du Transvaal, qui bien sûr n'ont pas pu
être satisfaites. Après cela, une série d'incidents ont été organisés pour provoquer des représailles des
Boers, mais cela n'a pas fonctionné non plus.
Puis vint le tristement célèbre Jameson Raid où un certain Jameson mena un groupe de plusieurs centaines
d'hommes armés dans une attaque sur le transvaal. La guerre a suivi immédiatement après.
La reine Victoria a monté l'armée la plus grande et la mieux équipée que le monde ait jamais vue à cette époque
(1898). Victoria pensait que la guerre serait terminée dans deux semaines, car les Boers n'avaient ni armée
permanente ni milice entraînée et ne seraient pas à la hauteur de ses 400 000 soldats issus des rangs des
sousclasses britanniques. Les Boers n'ont jamais compté plus de 80 000 agriculteurs et leurs fils certains n'avaient
que quatorze ans Rudyard Kipling pensait également que la guerre serait terminée en moins d'une semaine.
Au lieu de cela, le fusil dans une main et la Bible dans l'autre, les Boers ont résisté pendant trois ans. "Nous
sommes allés en Afrique du Sud en pensant que la guerre serait finie dans une semaine", a déclaré Kipling.
"Au lieu de cela, les Boers nous ont enseigné une leçon sans fin." Cette même "leçon" pourrait être enseignée au
Comité des 300 aujourd'hui si nous pouvions seulement rassembler 10 000 dirigeants, des hommes bons et fidèles à
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menez cette nation dans la bataille contre le monstre gargantuesque qui menace de dévorer tout ce que
représente notre Constitution.
Après la fin de la guerre en 1902, la Couronne britannique a dû consolider son emprise sur la
fortune inimaginable de l'or et des diamants qui se trouvaient sous le veld aride des républiques boers
du Transvaal et de l'État libre d'Orange. Cela a été fait à travers la Table Ronde de la légende du Roi
Arthur et de ses Chevaliers.
La Table ronde est strictement une opération de renseignement britannique M16 établie par le
Comité des 300 qui, avec le programme de bourses Rhodes, est un poignard au cœur de l'Amérique.
La Table Ronde a été créée en Afrique du Sud par Cecil Rhodes et financée par la famille anglaise
Rothschild. Son but était de former des chefs d'entreprise fidèles à la Couronne britannique qui
sécuriseraient les vastes trésors d'or et de diamants pour la Couronne britannique. Les SudAfricains se
sont fait voler leur droit d'aînesse lors d'un coup d'État si massif et omniprésent qu'il était évident que
seul un commandement central unifié aurait pu y parvenir. Ce commandement unifié était le Comité
des 300.
Que cela ait été accompli n'est pas contesté. Au début des années 1930, la Couronne britannique avait
la mainmise sur les plus grandes réserves d'or et de diamants jamais trouvées dans le monde.
MAINTENANT, LE COMITÉ DES 300 AVAIT À SA DISPOSITION À LA FOIS LA VASTE FORTUNE
PROVENANT DU TRAFIC DE LA DROGUE ET LA TOUTE AUSSI VASTE FORTUNE DE LA
RICHESSE EN MINÉRAUX ET EN MÉTAL DE L'AFRIQUE DU SUD. Le contrôle financier du monde
était complet.
La Table ronde a joué un rôle central dans le coup d'État. Le but exprès de la Table ronde, après
avoir englouti l'Afrique du Sud, était d'émousser les avantages pour les ÉtatsUnis de la guerre
d'indépendance américaine et de ramener une fois de plus les ÉtatsUnis sous contrôle britannique. La
capacité d'organisation était essentielle pour une telle entreprise et elle a été fournie par Lord Alfred
Milner, protégé de la famille Rothschild de Londres. Utilisant les principes du rite francmaçon
écossais dans la sélection des membres de la table ronde, les personnes choisies ont suivi une
période de formation intense aux universités de Cambridge et d'Oxford sous les yeux attentifs de John
Ruskin, un "communiste de la vieille école" autoproclamé, et de TH Green, un agent de M16.
C'était Green, le fils d'un ecclésiastique chrétien évangélique, qui a engendré Rhodes, Milner, John
Wheeler Bennet, AD Lindsay, George Bernard Shaw et Hjalmar Schacht, le ministre des
Finances d'Hitler. Je m'arrête ici pour rappeler aux lecteurs que la Table Ronde n'est qu'UN
SECTEUR de ce vaste Comité de 300 personnes. Pourtant, la Table Ronde ellemême consiste
en un dédale d'entreprises, d'institutions, de banques et d'établissements d'enseignement,
qui en soi prendraient des actuaires d'assurance un an pour régler.
Les tables rondes se sont déployées dans le monde entier pour prendre le contrôle des politiques
fiscales et monétaires et du leadership politique dans tous les pays où elles opéraient. En Afrique
du Sud, le général Smuts, qui avait combattu les Britanniques pendant la guerre des Boers, a été
"transformé" et est devenu l'un des principaux agents britanniques du renseignement, de l'armée et de la
politique qui a épousé la cause de la Couronne britannique. Aux ÉtatsUnis, plus tard, la tâche d'ennuyer le
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Les ÉtatsUnis de l'intérieur sont tombés aux mains de William Yandell Elliot, l'homme qui a engendré Henry
Kissinger et qui était responsable de son ascension fulgurante au pouvoir en tant que conseiller en chef des États
Unis auprès du Comité des 300.
William Yandell Elliot était "un Américain d'Oxford", qui avait déjà bien servi le Comité des 300, ce qui
est une condition préalable à une fonction plus élevée au service du comité.
Après avoir obtenu son diplôme de l'Université Vanderbilt en 1917, Elliot a été recruté par le réseau
bancaire RothschildWarburg. Il a travaillé à la Federal Reserve Bank de San Francisco et est devenu
administrateur. De là, il a agi en tant qu'officier du renseignement WarburgRothschild, rendant compte
des domaines importants des ÉtatsUnis qu'il supervisait. Les dénicheurs de talents "francsmaçons"
d'Elliot le recommandèrent pour une bourse Rhodes et, en 1923, il se rendit au Balliol College de
l'Université d'Oxford dont les "spires rêveuses" cachaient un réseau d'intrigues et de futurs traîtres à
l'Occident.
Balliol College était, et est toujours, le centre de recrutement de la Table ronde. Après un lavage de cerveau
approfondi mené par le représentant de l'Institut Tavistock des relations humaines, AD Lindsay, qui
avait succédé au maître de Balliol TH Green, Elliot a été reçu dans la table ronde et envoyé à l'Institut royal
des affaires internationales pour se voir confier sa mission, qui était qu'il retourne aux ÉtatsUnis pour devenir un
leader dans la communauté universitaire.
La philosophie motrice de la Table ronde était d'avoir des tables rondes en position de formuler et de
mettre en œuvre des politiques sociales par le biais d'institutions sociales grâce auxquelles ce que Ruskin
appelait «les masses» pouvait être manipulé. Les membres ont infiltré les plus hauts niveaux de la banque
après avoir suivi un cours à l'Institut Tavistock. Le cours a été élaboré par Lord Leconsfield, un intime de la
famille royale britannique, puis dirigé par Robert Brand qui a ensuite dirigé Lazard Freres. L'Institut royal
des affaires internationales était et reste totalement interfacé avec la monarchie britannique.
Certaines des retombées de la Table ronde sont les Bilderbergers, créés et dirigés par Duncan Sandys, un
politicien éminent et gendre de feu Winston Churchill, la Fondation Ditchley, un club secret de banquiers que j'ai
dénoncé dans mon 1983, "International Banker's Conspiracy: The Ditchley Foundation", la Commission
trilatérale, le Conseil atlantique des ÉtatsUnis et l'Aspen Institute for Humanistic Studies, dont le fondateur bien
caché dans les coulisses était Lord Bullock du RIIA pour qui Robert Anderson devant.
La manière dont Henry Kissinger, principal atout du RllA aux ÉtatsUnis, est arrivé au pouvoir est l'histoire du
triomphe de l'institution de la monarchie britannique sur la République des ÉtatsUnis d'Amérique.
C'est un conte d'horreur, trop long pour être inclus ici. Néanmoins, ce serait négligent de ma part si je ne
mentionnais pas quelquesuns des faits saillants de l'ascension de Kissinger vers la gloire, la fortune
et le pouvoir.
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Après un passage dans l'armée américaine, en commençant par conduire le général Fritz Kraemer
dans une Allemagne déchirée par la guerre, grâce à la famille Oppenheimer, Kissinger a été choisi
pour se rendre à Wilton Park pour une formation complémentaire. À l'époque, il avait le grade de soldat
de première classe. En 1952, Kissinger a été envoyé à l'Institut Tavistock où RV Dicks l'a pris en main
et l'a retourné. Par la suite, rien ne retenait Kissinger.
Il a ensuite été enrôlé pour servir sous George Franklin et Hamilton Fish du bureau de New York du
Council on Foreign Relations.
On pense que la politique nucléaire officielle adoptée par les ÉtatsUnis a été présentée à Kissinger
lors de son séjour à Tavistock et façonnée par sa participation à "Armes nucléaires et politique
étrangère", un séminaire de table ronde qui a présenté la doctrine connue sous le nom de "flexible".
réponse », une irrationalité totale, connue sous l'acronyme MAD.
Grâce à William Yandell Elliot et sous la tutelle de John Wheeler Bennett, directeur principal du
renseignement de la Table ronde et chef des opérations de terrain du MI6 aux ÉtatsUnis, Kissinger est
devenu le "fils préféré" d'Elliot, comme il l'explique dans son livre "The Pragmatic Revolt". en
politique." Kissinger a été coopté dans la table ronde pour promouvoir les politiques monétaristes
qu'il a étudiées aux séminaires internationaux de Harvard.
Kissinger a avidement absorbé les enseignements d'Elliot et n'était plus reconnaissable comme
l'homme que le général Kraemer a décrit un jour comme "mon petit chauffeur juif". Kissinger a été
inculqué à l'esprit du Maître de Balliol, devenant un ardent disciple de l'aristocratie britannique
décadente. Adoptant les philosophies de Toynbee, directeur en chef du renseignement du MI6 à l'Institut
royal des affaires internationales, Kissinger a utilisé ses papiers pour rédiger sa « dissertation
» de premier cycle.
Au milieu des années 1960, Kissinger avait fait ses preuves auprès de la Table ronde et de la RIIA, et
donc de la monarchie britannique. En guise de récompense et de test de ce qu'il avait appris, Kissinger
a été chargé d'un petit groupe composé de James Schlessinger, Alexander Haig et Daniel Ellsberg. La
Table ronde servait à mener une série d'expériences.
Le théoricien en chef de l'Institute of Policy Studies, Noam Chomsky, a coopéré avec ce groupe.
Haig, comme Kissinger, a travaillé pour le général Kraemer, mais pas en tant que chauffeur, et le général
a trouvé un certain nombre d'ouvertures variées au ministère de la Défense pour son protégé. Une fois
que Kissinger a été installé en tant que conseiller à la sécurité nationale, Kraemer a obtenu le poste
d'adjoint à Haig. Ellsberg, Haig et Kissinger ont alors mis en branle le plan Watergate du RIIA pour
évincer le président Nixon pour avoir désobéi aux instructions directes. Haig a joué le rôle principal
dans le lavage de cerveau et la confusion du président Nixon, et en fait c'est Kissinger qui a dirigé la
Maison Blanche pendant cet adoucissement du président. Comme je l'ai mentionné en 1984, Haig était
l'intermédiaire de la Maison Blanche connu sous le nom de "Deep Throat", transmettant des
informations à l'équipe du Washington Post de Woodward et Bernstein.
Le Watergating de Nixon a été le plus gros coup jamais réalisé par la Table ronde en tant qu'agence et
branche de la RIIA. Tous les fils emmêlés ramenaient à la Table Ronde ; depuis
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là à la RIIA, et de retour à la reine d'Angleterre. L'humiliation de Nixon était une leçon de choses et un
avertissement aux futurs présidents des ÉtatsUnis de ne pas imaginer qu'ils pourraient aller contre
le Comité des 300 et gagner. Kennedy a été brutalement assassiné à la vue du peuple américain pour
la même raison ; Nixon n'était pas considéré comme suffisamment digne pour subir le même sort que
John F. Kennedy.
Mais quelle que soit la méthode utilisée, le Comité des 300 s'est assuré que tous les aspirants
à la Maison Blanche comprenaient le message : "Personne n'est hors de notre portée". Que ce
message reste tout aussi puissant qu'il l'était lorsque Kennedy a été assassiné et que Nixon a été
chassé de ses fonctions, est attesté par le caractère du président George Bush, dont l'empressement
à plaire à ses maîtres devrait susciter de vives inquiétudes parmi ceux qui s'inquiètent pour
l'avenir. des ÉtatsUnis.
Le but de l'exercice a été clairement indiqué dans l'épisode des Pentagon Papers et la rédaction
de Schlessinger dans l'administration Nixon pour agir comme un saboteur dans l'establishment de la
défense et un contrepoids au développement de l'énergie atomique, rôle que Schlessinger a
joué à l'abri de sa position au sein de la Commission de l'énergie atomique, l'un des
facteurs clés de la désindustrialisation des ÉtatsUnis dans les stratégies prévues de croissance post
industrielle du Club de Rome. Depuis ce début, nous pouvons retracer les racines de la récession/
dépression de 1991 qui a jusqu'à présent coûté l'emploi de 30 millions d'Américains.
Il est quasiment impossible de pénétrer le Comité des 300 et les familles oligarchiques qui le composent.
Le camouflage qu'ils se recouvrent comme couverture de protection est très difficile à arracher. Ce fait
devrait être noté par tout Américain épris de liberté : le Comité des 300 dicte ce qui passe pour la
politique étrangère et intérieure des ÉtatsUnis et ce depuis plus de 200 ans. Nulle part cela n'a été
décrit de manière plus frappante que lorsqu'un président arrogant Truman s'est fait couper le souffle
par Churchill enfonçant la soidisant «doctrine Truman» dans la gorge du petit homme
d'Independence, Missouri.
Certains de leurs anciens membres, dont les descendants ont rempli des postes vacants causés par la
mort, et les membres actuels comprennent Sir Mark Turner, Gerald Villiers, Samuel Montague,
les Inchcapes, Keswicks, Peases, Schroeders, Airlies, Churchills, Frasers, Lazars et Jardine Mathesons.
La liste complète des membres est présentée ailleurs dans ce livre; ces personnes du Comité ONT
ORDONNÉ au président Wilson d'entrer en guerre contre l'Allemagne pendant la Première Guerre
mondiale ; ce comité ordonna à Roosevelt d'organiser l'attaque japonaise sur Pearl Harbor dans le but
de faire entrer les ÉtatsUnis dans la Seconde Guerre mondiale.
Ces gens, ce comité, ont ordonné à cette nation de faire la guerre en Corée, au Vietnam et dans
le golfe Persique. La pure vérité est que les ÉtatsUnis ont combattu dans 5 guerres au cours de ce siècle
pour et au nom du tristement célèbre Comité des 300. Il semble que, à part quelquesuns, personne ne
s'est arrêté pour demander : "POURQUOI COMBATTONSNOUS CES GUERRES ? ?" Le grand
tambour du « patriotisme », la musique martiale et l'agitation des drapeaux et des rubans jaunes, semble
til, ont rendu une grande nation privée de sens.
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À l'occasion du 50e anniversaire de Pearl Harbor, une nouvelle campagne de « haine du Japon » est
menée, non par l'Institute of Pacific Relations (IPR), mais de la manière la plus directe et la plus
effrontée par l'administration Bush et le Congrès. L'objectif est le même que lorsque Roosevelt
inspira l'attaque de Pearl Harbor, dépeignit les Japonais comme des agresseurs et mena une guerre
économique, puis prépara nos forces pour la phase suivante l'agression armée contre le Japon.
C'est déjà en cours; ce n'est qu'une question de temps avant que davantage de nos fils et filles
ne soient envoyés pour être abattus au service des seigneurs féodaux du Comité des 300.
Nous devrions crier sur les toits : "Ce n'est pas pour la liberté ni pour l'amour du pays que nous allons
mourir, mais pour un système de tyrannie qui va bientôt envelopper le monde entier."
L'emprise de cette organisation sur la GrandeBretagne est si forte que 95% des citoyens britanniques
ont, depuis les années 1700, été contraints d'accepter comme leur part, moins de 20% de la richesse
nationale du pays. C'est ce que les seigneurs féodaux oligarchiques d'Angleterre aiment
appeler la « démocratie ». Ces gentils et gentils messieurs anglais sont, en réalité, totalement
impitoyables ce qu'ils ont fait en Inde, au Soudan, en Égypte, en Irak, en Iran et en Turquie se
répétera dans tous les pays sous le Nouvel Ordre MondialUn Gouvernement Mondial. Ils utiliseront
chaque nation et ses richesses pour protéger leur mode de vie privilégié. C'est cette classe de
l'aristocratie britannique dont les fortunes sont inextricablement tissées et entremêlées avec le trafic
de drogue, le commerce de l'or, du diamant et des armes, la banque, le commerce et l'industrie, le
pétrole, les médias et l'industrie du divertissement.
En dehors de la base du parti travailliste (mais pas de ses dirigeants), la majorité des dirigeants
politiques britanniques sont des descendants de familles titrées, les titres étant héréditaires et transmis
de père en fils aîné. Ce système garantit qu'aucun "étranger" n'aspire au pouvoir politique en Angleterre.
Néanmoins, certains extraterrestres ont réussi à se faufiler.
Prenons le cas de Lord Halifax, ancien ambassadeur britannique à Washington et l'homme qui a remis
les ordres du Comité des 300 à notre gouvernement pendant la Seconde Guerre mondiale. Le fils
de Halifax, Charles Wood, a épousé une Miss Primrose, une parente de sang de Lord Rothschild.
Derrière des noms tels que Lord Swaythling se cache le nom de Montague, directeur de la Banque
d'Angleterre et conseiller et confident de l'actionnaire majoritaire de la Shell Oil Company, la reine
Elizabeth II. Tous sont membres du Comité des 300.
Certaines des anciennes barrières ont été abattues. Le titre n'est aujourd'hui pas le seul critère
d'admission au Club de Rome.
Il convient de donner un aperçu de ce que le Comité des 300 espère réaliser, quels sont ses buts et ses
objectifs avant de passer à son vaste et vaste interfaçage entre banques, compagnies d'assurance,
sociétés, etc. Les informations suivantes ont pris des années de recherche d'investigation pour
rassembler des centaines de documents et de sources miennes qui m'ont donné accès à certains des
documents dans lesquels les détails sont cachés.
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Le Comité des 300 est composé de certains individus spécialistes dans leurs propres domaines,
y compris le cultus diabolicus, les drogues psychotropes et les spécialistes du meurtre par poison,
du renseignement ; bancaire et toutes les facettes de l'activité commerciale. Il faudra mentionner
les anciens membres depuis décédés, en raison de leurs anciens rôles et parce que leurs places ont
été données aux membres de la famille des nouveaux membres jugés dignes de l'honneur.
Parmi les membres figurent les anciennes familles de la noblesse noire européenne, l'establishment
libéral de l'Est américain (dans la hiérarchie francmaçonne et l'ordre du crâne et des os), les Illuminati,
ou comme il est connu par le comité "MORIAH CONQUERING WIND", le Mumma
Group, The National and World Council of Churches, the Circle of Initiates, the Nine Unknown
Men, Lucis Trust, Jesuit Liberation Theologists, The Order of the Elders of Zion, the Nasi Princes,
International Monetary Fund (IMF), the Bank of International Settlements (BIS), l'Organisation des
Nations Unies (ONU), le Central, British Quator Coronati, Italian P2 Masonry en particulier ceux de la
hiérarchie du Vatican l'Agence centrale de renseignement, l'Institut Tavistock a sélectionné du
personnel, divers membres de fondations de premier plan et les compagnies d'assurance citées
dans les listes qui suivent, la Hong Kong and Shanghai Bank, la Milner GroupRound Table, la Fondation
Cini, le German Marshall Fund, la Ditchley Foundation, l'OTAN, le Club de Rome, les
écologistes, l'Ordre de SaintJean de Jérusalem , One World Government Church, Socialist
International, Black Order, Thule Society, AnenherbeRosicrucianists, The Great Superior Ones et
littéralement des CENTAINES d'autres organisations.
Que regardonsnous alors ? Un rassemblement lâche de personnes avec des idées bizarres ?
Certainement pas. Dans le Comité des 300, qui a une histoire de 150 ans, nous avons quelquesuns
des esprits les plus brillants réunis pour former une « nouvelle » société complètement totalitaire,
absolument contrôlée, mais elle n'est pas nouvelle, ayant puisé la plupart de ses idées dans le Clubs
de Cultus Diabolicus. Il s'efforce vers un gouvernement mondial unique plutôt bien décrit par l'un de ses
derniers membres, HG Wells, dans son travail commandé par le Comité que Wells a hardiment appelé :
"LA CONSPIRATION OUVERTE PLANS POUR UNE RÉVOLUTION MONDIALE."
C'était une déclaration d'intention audacieuse, mais pas vraiment si audacieuse puisque personne
ne croyait Wells sauf les Grands Supérieurs, les Anenherbe et ceux qui étaient ce que nous appellerions
aujourd'hui des "initiés". Voici un extrait de ce que Wells a proposé :
"L'Open Conspiracy apparaîtra d'abord, je crois, comme une organisation consciente d'hommes
intelligents et, dans certains cas, riches, comme un mouvement ayant des objectifs sociaux et
politiques distincts, ignorant avoué la plupart de l'appareil de contrôle politique existant, ou ne l'utilisant
que comme un outil accessoire dans les scènes, un simple mouvement d'un certain nombre de
personnes dans une certaine direction, qui vont bientôt découvrir, avec une sorte de surprise, l'objet
commun vers lequel elles se dirigent toutes. influencer et contrôler le soidisant gouvernement."
Comme George Orwell en 1984, le récit de Wells est un appel de masse pour un
gouvernement mondial unique. En résumé, l'intention et le but du Comité des 300 est de réaliser les
conditions suivantes :
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Un gouvernement mondial unique et un système monétaire unitaire sous la direction d'oligarchistes
héréditaires permanents non élus qui s'autosélectionnent parmi eux sous la forme d'un système féodal
comme c'était le cas au Moyen Âge. Dans cette entité du Monde Unique, la population sera limitée par
des restrictions sur le nombre d'enfants par famille, les maladies, les guerres, les famines, jusqu'à
ce qu'un milliard de personnes utiles à la classe dirigeante, dans des zones qui seront strictement
et clairement définies, restent aussi la population mondiale totale.
Il n'y aura pas de classe moyenne, seulement des dirigeants et des serviteurs. Toutes les lois seront
uniformes dans le cadre d'un système juridique de tribunaux mondiaux pratiquant le même code de
lois unifié, soutenu par une force de police du gouvernement mondial unique et une armée unifiée
mondiale pour appliquer les lois dans tous les anciens pays où aucune frontière nationale n'existera. . Le
système sera basé sur un Étatprovidence ; ceux qui obéissent et se soumettent au gouvernement
mondial unique seront récompensés par les moyens de vivre ; ceux qui sont rebelles mourront simplement
de faim ou seront déclarés horslaloi, devenant ainsi une cible pour quiconque souhaite les tuer. Les
armes à feu privées ou les armes de toute nature seront interdites.
Une seule religion sera autorisée et ce sera sous la forme d'une Église du gouvernement
mondial unique, qui existe depuis 1920, comme nous le verrons. Le satanisme, le luciférisme et la
sorcellerie doivent être reconnus comme des programmes légitimes du gouvernement mondial unique
sans écoles privées ou religieuses. Toutes les églises chrétiennes ont déjà été renversées et la
chrétienté appartiendra au passé dans le gouvernement mondial unique.
Pour induire un État où il n'y a pas de liberté individuelle ou de tout concept de liberté survivant,
il n'y aura pas de républicanisme, de souveraineté ou de droits résidant avec le peuple. La fierté
nationale et l'identité raciale seront éradiquées et, dans la phase de transition, il sera passible des
peines les plus sévères de mentionner même son origine raciale.
Chaque personne doit être pleinement endoctrinée qu'elle est une créature du gouvernement mondial
unique avec un numéro d'identification clairement marqué sur sa personne afin d'être facilement
accessible, lequel numéro d'identification doit être dans le fichier principal de l'ordinateur de l'OTAN
à Bruxelles, Belgique, sous réserve de récupération instantanée par toute agence du gouvernement
mondial unique à tout moment. Les fichiers maîtres de la CIA, du FBI, des agences de police nationales
et locales, de l'IRS, de la FEMA, de la sécurité sociale seront considérablement étendus et formeront
la base des dossiers personnels de tous les individus aux ÉtatsUnis.
Le mariage sera interdit et il n'y aura pas de vie de famille telle que nous la connaissons. Les enfants
seront retirés à leurs parents à un âge précoce et élevés par des pupilles en tant que propriété
de l'État. Une telle expérience a été menée en Allemagne de l'Est sous Erich Honnecker lorsque des
enfants ont été enlevés à des parents considérés par l'État comme des citoyens déloyaux. Les
femmes seront dégradées par le processus continu des mouvements de "libération des femmes". Le sexe
libre sera obligatoire.
Le nonrespect au moins une fois à l'âge de 20 ans est passible de sévères représailles contre sa
personne. L'autoavortement doit être enseigné et pratiqué après la naissance de deux enfants d'une
femme ; ces dossiers doivent être consignés dans le dossier personnel de chaque femme
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ordinateurs régionaux du gouvernement mondial unique. Si une femme tombe enceinte après avoir donné
naissance à deux enfants, elle sera emmenée de force dans une clinique d'avortement pour y être pratiquée.
La pornographie doit être promue et être diffusée obligatoirement dans toutes les salles de cinéma, y compris
la pornographie homosexuelle et lesbienne. L'utilisation de drogues "récréatives" sera obligatoire, chaque
personne se voyant attribuer des quotas de drogue pouvant être achetés dans les magasins One World
Government à travers le monde. Les drogues de contrôle de l'esprit seront étendues et l'utilisation deviendra
obligatoire. Ces médicaments de contrôle de l'esprit doivent être administrés dans des réserves de
nourriture et/ou d'eau à l'insu et/ou sans le consentement des personnes. Des bars à drogue seront mis en
place, gérés par des employés du gouvernement mondial unique, où la classe des esclaves pourra passer
son temps libre. De cette manière, les masses non élitistes seront réduites au niveau et au
comportement d'animaux contrôlés sans volonté propre et facilement enrégimentés et contrôlés.
Le système économique doit être basé sur la classe oligaréthique au pouvoir, permettant la production de
juste assez de nourriture et de services pour faire fonctionner les camps de travail d'esclaves de masse.
Toutes les richesses seront agrégées entre les mains des membres d'élite du Comité des 300.
Chaque individu doit être endoctriné pour comprendre qu'il ou elle dépend totalement de l'État pour sa survie.
Le monde sera gouverné par un comité de 300 décrets exécutifs qui deviendront instantanément des
lois. Boris Eltsine utilise les décrets du Comité des 300 pour imposer la volonté du Comité à la Russie
comme un essai. Il existera des tribunaux de punition et non des tribunaux de justice.
L'industrie doit être totalement détruite avec les systèmes d'énergie nucléaire. Seul le Comité de 300
membres et leurs élitistes auront droit à toutes les ressources de la terre. L'agriculture sera uniquement
entre les mains du Comité des 300 avec une production alimentaire strictement contrôlée. Lorsque ces
mesures commenceront à prendre effet, de grandes populations dans les villes seront expulsées de force
vers des zones reculées et ceux qui refusent d'y aller seront exterminés à la manière de l'expérience du
gouvernement mondial unique menée par Pol Pot au Cambodge.
L'euthanasie des malades en phase terminale et des personnes âgées est obligatoire. Aucune ville ne
doit être plus grande qu'un nombre prédéterminé tel que décrit dans l'ouvrage de Kalgeri. Les
travailleurs essentiels seront déplacés vers d'autres villes si celle dans laquelle ils se trouvent devient
surpeuplée. D'autres travailleurs non essentiels seront choisis au hasard et envoyés dans des villes sous
peuplées pour remplir des "quotas".
Au moins 4 milliards de "mangeurs inutiles" seront éliminés d'ici 2050 au moyen de guerres limitées,
d'épidémies organisées de maladies mortelles à action rapide et de famine. L'énergie, la nourriture et l'eau
doivent être maintenues à des niveaux de subsistance pour les nonélites, en commençant par les
populations blanches d'Europe occidentale et d'Amérique du Nord, puis en s'étendant aux autres races.
La population du Canada, de l'Europe de l'Ouest et des ÉtatsUnis sera décimée plus rapidement
que sur les autres continents, jusqu'à ce que la population mondiale atteigne un niveau gérable de 1 milliard,
dont 500 millions seront composés de Chinois et de Japonais.
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races, sélectionnées parce que ce sont des gens enrégimentés depuis des siècles et habitués à obéir sans
poser de questions à l'autorité.
De temps en temps, il y aura des pénuries artificielles de nourriture et d'eau et des soins médicaux pour
rappeler aux masses que leur existence même dépend de la bonne volonté du Comité des 300.
Après la destruction des industries du logement, de l'automobile, de l'acier et des biens lourds, il y aura un
nombre limité de logements, et les industries de toute sorte autorisées à rester seront sous la direction du Club
de Rome de l'OTAN, de même que tout développement scientifique et d'exploration spatiale, limité au
élite sous le contrôle du Comité des 300. Les armes spatiales de toutes les anciennes nations doivent
être détruites avec les armes nucléaires.
Tous les produits pharmaceutiques essentiels et non essentiels, les médecins, les dentistes et les
travailleurs de la santé seront enregistrés dans la banque de données informatique centrale et aucun
médicament ou soin médical ne sera prescrit sans l'autorisation expresse des contrôleurs régionaux
responsables de chaque ville, ville et village.
Les ÉtatsUnis seront inondés de peuples de cultures étrangères qui finiront par submerger
l'Amérique blanche, des gens qui n'ont aucune idée de ce que représente la Constitution des ÉtatsUnis et qui,
par conséquent, ne feront rien pour la défendre, et dans l'esprit desquels le concept de la liberté et la justice
sont si faibles qu'elles importent peu. La NOURRITURE et le logement doivent être la principale préoccupation.
Aucune banque centrale, à l'exception de la Banque des règlements internationaux et de la Banque
mondiale, n'est autorisée à fonctionner. Les banques privées seront interdites. La rémunération pour le
travail effectué sera soumise à une échelle prédéterminée uniforme dans tout le gouvernement mondial unique.
Il n'y aura pas de conflits salariaux autorisés, ni aucun détournement des échelles de rémunération
uniformes standard établies par le gouvernement mondial unique. Ceux qui enfreignent la loi seront
immédiatement exécutés.
Il n'y aura pas d'argent ou de monnaie entre les mains des nonélites. Toutes les transactions seront
effectuées au moyen d'une carte de débit qui portera le numéro d'identification du titulaire. Toute personne
qui enfreint de quelque manière que ce soit les règles et règlements du Comité des 300 verra l'utilisation de
sa carte suspendue pour des durées variables selon la nature et la gravité de l'infraction.
Ces personnes constateront, lorsqu'elles iront faire des achats, que leur carte est sur liste noire et qu'elles ne
pourront obtenir aucun service de quelque nature que ce soit. Les tentatives d'échange de "vieilles" pièces
de monnaie, c'estàdire de pièces d'argent de nations anciennes et aujourd'hui disparues, seront
traitées comme un crime capital passible de la peine de mort. Toutes ces pièces de monnaie doivent être
remises dans un délai donné, ainsi que les armes à feu, les fusils, les explosifs et les automobiles. Seuls l'élite
et les hauts fonctionnaires du gouvernement mondial seront autorisés à transporter des véhicules privés,
des armes, des pièces de monnaie et des automobiles.
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Si l'infraction est grave, la carte sera saisie au point de contrôle où elle sera présentée. Par la suite,
cette personne ne pourra pas obtenir de nourriture, d'eau, d'abri et de services médicaux d'emploi, et
sera officiellement inscrite sur la liste des horslaloi. De larges bandes de horslaloi seront ainsi créées
et ils vivront dans les régions les plus propices à la subsistance, sous peine d'être traqués et fusillés
à vue. Les personnes qui assistent les horslaloi de quelque manière que ce soit seront également
fusillées. Les horslaloi qui ne se rendent pas à la police ou à l'armée après une période de temps déclarée
auront un ancien membre de la famille choisi au hasard pour purger des peines de prison à leur place.
Les factions et groupes rivaux tels que les Arabes, les Juifs et les tribus africaines verront leurs
différences amplifiées et autoriseront les guerres d'extermination les unes contre les autres sous les
yeux des observateurs de l'OTAN et de l'ONU. La même tactique sera utilisée en Amérique centrale et en
Amérique du Sud. Ces guerres d'usure auront lieu AVANT la prise de contrôle du gouvernement mondial
unique et seront conçues sur tous les continents où vivent de grands groupes de personnes ayant des
différences ethniques et religieuses, comme les sikhs, les pakistanais musulmans et les indiens hindous.
Les différences ethniques et religieuses doivent être amplifiées et exacerbées et les conflits
violents comme moyen de "régler" leurs différences doivent être encouragés et favorisés.
Tous les services d'information et les médias imprimés seront sous le contrôle du Gouvernement
Mondial Unique. Les mesures régulières de contrôle du lavage de cerveau doivent être
présentées comme un "divertissement" de la manière dont elles ont été pratiquées et sont devenues
un art aux ÉtatsUnis. Les jeunes retirés de "parents déloyaux" recevront une éducation spéciale
destinée à les brutaliser. Les jeunes des deux sexes recevront une formation pour se qualifier comme
gardiens de prison pour le système de camp de travail One World.
Il est évident d'après ce qui précède qu'il reste beaucoup de travail à faire avant que l'aube du Nouvel
Ordre Mondial puisse se produire. Le Comité des 300 a depuis longtemps mis au point des plans pour
déstabiliser la civilisation telle que nous la connaissons, dont certains plans ont été rendus publics
par Zbignew Brzezinski dans son ouvrage classique "L'ÈRE TECHNOTRONIC" et les travaux
d'Aurellio Peccei qui a fondé le Club de Rome, en particulier dans son livre, « LE GOÛT À VENIR ».
Dans « LE GOÛT DEVANT », Peccei a énoncé les plans du Comité des 300 pour apprivoiser l'homme,
qu'il a appelé « L'ENNEMI ». Peccei a cité ce que Felix Dzerzinski a dit un jour à Sydney Reilly au
plus fort de la Terreur rouge lorsque des millions de Russes ont été assassinés : " Pourquoi devrais
je me soucier du nombre de morts ? Même la Bible chrétienne dit qu'estce que l'homme dont Dieu
devrait se souvenir lui ? Pour moi, les hommes ne sont qu'un cerveau d'un côté et une usine à merde de
l'autre.
C'est à partir de cette vision brutale de l'homme qu'Emmanuel Le Christ est venu sauver le monde.
Sydney Reilly était l'agent du MI6 envoyé pour surveiller les activités de Dzerzinski. Reilly aurait été
abattu par son ami Félix alors qu'il tentait de fuir la Russie. Le complot élaboré a été conçu lorsque
certains membres du Parlement britannique ont poussé des cris et ont commencé à exiger bruyamment
un compte rendu des activités de Reilly en Russie, ce qui menaçait d'exposer le rôle du Comité des 300
dans la prise de contrôle des champs pétrolifères de Bakou et de ses
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rôle majeur dans l'assistance à Lénine et Trotsky pendant la révolution bolchevique. Plutôt que de faire
extirper la vérité de Reilly, le MI6 a jugé opportun de mettre en scène sa mort. Reilly vécut ses jours
dans le luxe absolu dans une villa russe habituellement réservée à l'élite bolchevique.
Arguant que le chaos s'ensuivrait à moins que l' « Alliance atlantique », un euphémisme pour le
Comité des 300 gouvernait l'Amérique postindustrielle, Peccei a proposé un triage malthusien à l'échelle
mondiale. Il envisageait une collision entre l'appareil scientifique, technologique et militaire de l'Union
soviétique et le monde occidental. Ainsi, les pays du Pacte de Varsovie devaient se voir offrir une
convergence avec l'Occident dans un gouvernement mondial unique pour gérer les affaires
mondiales sur les bases de la gestion des crises et de la planification mondiale.
Les événements qui se déroulent dans ce qui était autrefois l'URSS et l'émergence de
plusieurs États indépendants dans une fédération lâche en Russie, sont exactement ce qui était
envisagé par Peccei et le Club de Rome et cela est clairement énoncé dans les deux livres que j'ai
mentionnés. Une URSS ainsi divisée sera plus facile à gérer qu'une nation soviétique forte et unie. Les
plans établis par le Comité des 300 pour un gouvernement mondial unique, qui incluaient la perspective
d'une Russie divisée, approchent maintenant d'un point d'escalade rapide. Les événements en Russie
à la fin de 1991 sont d'autant plus dramatiques lorsqu'ils sont comparés à la planification à long terme
de 1960 par le Comité des 300.
En Europe occidentale, les gens travaillent à une fédération d'États dans un cadre de gouvernement
unique avec une monnaie unique. De là, le système CEE sera progressivement transféré aux
ÉtatsUnis et au Canada. Les Nations Unies se transforment lentement mais sûrement en un
tampon en caoutchouc d'un gouvernement mondial, avec des politiques qui lui sont dictées par les
ÉtatsUnis, comme nous l'avons vu dans le cas de la guerre du Golfe.
C'est exactement la même chose qui se passe avec le Parlement britannique. La discussion sur la
participation de la GrandeBretagne à la guerre du Golfe a été maintenue à un niveau ridiculement
minimal et n'a eu lieu tardivement que lors d'une motion d'ajournement de la Chambre. Cela ne s'est
jamais produit auparavant dans l'histoire ancienne du Parlement, où une décision aussi importante devait
être prise et si peu de temps était accordé à la discussion. L'un des événements les plus marquants
de l'histoire parlementaire est passé pratiquement inaperçu.
Nous sommes proches du point où les ÉtatsUnis enverront leurs forces militaires pour régler tous les
différends portés devant les Nations Unies. Le secrétaire général sortant, Perez de Cuellar,
lourdement chargé de potsdevin, a été le dirigeant de l'ONU le plus docile de l'histoire en accordant sans
discussion les demandes des ÉtatsUnis. Son successeur sera encore plus enclin à accepter tout ce
que le gouvernement américain lui proposera.
Il s'agit d'une étape importante sur la voie d'un gouvernement mondial unique.
La Cour internationale de justice de La Haye sera de plus en plus sollicitée au cours des deux prochaines
années pour trancher des litiges de toute nature. C'est bien sûr le prototype d'un système juridique
de gouvernement mondial unique qui supplantera tous les autres. Quant aux banques centrales,
essentielles dans la planification du Nouvel Ordre Mondial, c'est déjà un fait accompli avec la
Banque des Règlements Internationaux qui domine la scène à la fin de
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1991. Les banques privées disparaissent rapidement en préparation des banques Big Ten qui
contrôleront les banques du monde entier sous la direction de la BRI et du FMI.
Les Étatsprovidence abondent en Europe et les ÉtatsUnis deviennent rapidement le plus grand
Étatprovidence du monde. Une fois que les gens dépendront du gouvernement pour leur
subsistance, il sera très difficile de les en détourner, comme nous l'avons vu dans les résultats des
dernières élections de mimandat tenues aux ÉtatsUnis, où 98 % des titulaires ont été renvoyés à
Washington pour profiter de la belle vie en dépit de leurs antécédents tout à fait déplorables.
L'abolition des armes à feu privées est déjà en vigueur dans les trois quarts du monde. Ce n'est
qu'aux ÉtatsUnis que la population peut encore posséder des armes de tous types, mais ce droit
légal est rogné à un rythme alarmant par des lois locales et étatiques qui violent le droit constitutionnel de
tous les citoyens à porter des armes. La possession privée d'armes à feu appartiendra au passé
aux ÉtatsUnis d'ici 2010.
DE MÊME, L'ÉDUCATION S'ÉRODE À UN RYTHME ALARMANT.
LES ÉCOLES PRIVÉES SONT OBLIGÉES DE FERMER PAR UNE VARIÉTÉ DE
STRATAGÈMES JURIDIQUES ET LE MANQUE DE FINANCEMENT. Le niveau d'éducation aux États
Unis est déjà tombé à un niveau si déplorable qu'aujourd'hui, il peut à peine être qualifié d'éducation.
C'est selon le plan; comme je l'ai décrit plus tôt, le gouvernement mondial unique ne veut pas que
nos jeunes soient correctement éduqués.
La destruction de l'identité nationale progresse rapidement. Ce n'est plus une bonne chose d'être patriote
à moins que ce ne soit dans la cause d'un projet de gouvernement mondial unique tel que la guerre de
génocide menée contre la nation irakienne ou la destruction imminente de la Libye. La fierté raciale est
désormais mal vue et considérée comme un acte illégal dans de nombreuses régions du monde, Y
COMPRIS LES ÉTATSUNIS, LA GRANDEBRETAGNE, L'EUROPE DE L'OUEST ET LE
CANADA, TOUS LES PAYS AYANT LES PLUS GRANDES CONCENTRATIONS DE LA RACE
BLANCHE.
Dirigée par les sociétés secrètes en Amérique, la destruction des formes républicaines de gouvernement
s'est poursuivie rapidement depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. La liste de ces gouvernements
détruits par les ÉtatsUnis est longue, et il est difficile pour les noninformés d'accepter que le
gouvernement d'un pays prétendument attaché au républicanisme en vertu d'une constitution unique se
livrerait à une telle conduite, mais les faits parlent d'euxmêmes.
C'est un objectif qui a été fixé il y a plus d'un siècle par le Comité des 300. Les ÉtatsUnis ont mené
les attaques contre ces gouvernements et continuent de le faire alors même que la base républicaine des
ÉtatsUnis est constamment sapée. En commençant par le conseiller juridique de James Earl Carter,
Lloyd Cutler, un comité d'avocats constitutionnels s'est efforcé de transformer le Congrès américain en
un système parlementaire non représentatif. Des travaux sont en cours depuis 1979 sur le projet d'un tel
changement, et en raison de son dévouement à la cause, Cutler a été nommé membre du Comité des
300. Le projet final d'un gouvernement de type parlementaire doit être présenté au Comité des 300
fin 1993.
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Dans le nouveau système parlementaire, les députés ne seront pas responsables devant leurs électeurs, mais devant
les whips parlementaires et voteront comme on leur dit de voter. Ainsi, par la subversion judiciaire et bureaucratique,
la Constitution s'évanouira ainsi que la liberté individuelle.
L'avilissement préplanifié de l'homme par des pratiques sexuelles licencieuses sera intensifié.
De nouveaux cultes sexuellement dégénérés sont même en train d'être mis en place par la Couronne britannique
travaillant par l'intermédiaire des services SIS et MI6. Comme nous le savons déjà, tous les cultes opérant dans le
monde aujourd'hui sont le produit des services secrets britanniques agissant pour les dirigeants oligarchiques.
On peut penser que cette phase de création d'un tout nouveau culte spécialisé dans les comportements
sexuels dégénérés est encore loin, mais mes informations sont qu'elle devrait s'intensifier en 1992. En 1994, il sera
assez courant d'avoir des "spectacles en direct". dans les clubs et lieux de divertissement les plus prestigieux. Ce type
de "divertissement" est déjà en train de voir son image nettoyée et éclaircie.
Bientôt, les grands noms d'Hollywood et du monde du divertissement recommanderont tel ou tel club comme un
"must" pour les spectacles sexuels en direct. Le lesbianisme et l'homosexualité ne seront pas présentés. Ce nouveau
"divertissement" socialement acceptable consistera en des spectacles hétérosexuels et sera consigné dans des
critiques comme on en trouve dans les journaux d'aujourd'hui sur les spectacles de Broadway ou le dernier film à succès.
Un assaut sans précédent contre les valeurs morales passera à la vitesse supérieure en 1992. La pornographie ne
sera plus appelée "pornographie", mais divertissement sexuel pour adultes. Le slogan prendra la forme de "pourquoi
le cacher quand tout le monde le fait. Enlevons l'image que les étalages publics de sexe sont laids et sales." Ceux
qui se soucient de ce type de désir sexuel débridé n'auront plus à se rendre dans des salons porno miteux. Au lieu
de cela, les clubs de souper de la classe supérieure et les lieux privilégiés par les riches et les célébrités feront des
spectacles sexuels publics une forme de divertissement hautement «artistique». Pire encore, certains "dirigeants"
d'église le recommanderont même.
Le volumineux et énorme appareil de psychiatrie sociale omniprésent mis en place par l'Institut Tavistock et son
immense réseau de capacités connexes a été sous le contrôle d'une seule entité, et cette entité est toujours sous
contrôle alors que nous entrons en 1992. Cette entité unique, la hiérarchie des conspirateurs, s'appelle LE COMITÉ
DES 300. C'est une structure de pouvoir et un centre de pouvoir qui opère bien audelà de la portée de tout dirigeant
mondial ou de tout gouvernement, y compris le gouvernement des ÉtatsUnis et ses présidents comme le feu John
F. Kennedy l'a découvert. Le meurtre de Kennedy était une opération du Comité des 300 et nous y reviendrons.
Le Comité des 300 est la société secrète ultime composée d'une classe dirigeante intouchable, qui comprend la
reine d'Angleterre, la reine des PaysBas, la reine du Danemark et les familles royales d'Europe. Ces aristocrates ont
décidé à la mort de la reine Victoria, la matriarche des Guelfes noirs vénitiens, que, pour prendre le contrôle
mondial, il serait nécessaire que ses membres aristocratiques "entrent en affaires" avec les dirigeants non aristocratiques
mais extrêmement puissants. des entreprises à l'échelle mondiale, et ainsi les portes du pouvoir ultime ont été ouvertes
à ce que la reine d'Angleterre aime appeler «les roturiers».
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De mes jours dans le secteur du renseignement, je sais que les chefs de gouvernements étrangers se
réfèrent à ce corps toutpuissant comme "Les Magiciens". Staline a inventé sa propre expression pour
les décrire : « Les forces obscures », et le président Eisenhower, qui n'a jamais été en mesure d'aller
audelà du grade de « hofjuden » (juif de cour), l'a appelé dans un euphémisme colossal comme
« le complexe militaroindustriel ." Staline a gardé l'URSS lourdement armée de forces conventionnelles
et nucléaires parce qu'il ne faisait pas confiance à ce qu'il appelait « la famille ». Sa méfiance et sa peur
enracinées à l'égard du Comité des 300 se sont avérées fondées.
Les divertissements populaires, en particulier la réalisation de films, ont été utilisés pour jeter le
discrédit sur ceux qui ont tenté de mettre en garde contre cette menace la plus dangereuse pour la
liberté individuelle et la liberté de l'humanité. La liberté est une loi donnée par Dieu que l'homme a
constamment cherché à renverser et à saper ; pourtant l'aspiration à la liberté de chacun est si grande
que jusqu'à présent, aucun système n'a pu arracher ce sentiment au cœur des fous. Les
expériences qui se sont déroulées en URSS, en GrandeBretagne et aux ÉtatsUnis, pour émousser et
émousser les aspirations des hommes à la liberté, se sont jusqu'à présent avérées infructueuses.
Mais avec l'avènement du Nouvel Ordre MondialGouvernement Mondial Unique, des expériences
de grande envergure seront intensifiées pour chasser l'aspiration divine à la liberté de l'homme hors de
son esprit, de son corps et de son âme. Ce que nous vivons déjà n'est rien, une simple bagatelle, par
rapport à ce qui est à venir. Attaquer l'âme est l'objectif d'une foule d'expériences en préparation,
et je regrette de dire que les institutions aux ÉtatsUnis joueront un rôle de premier plan dans les
terribles expériences qui ont déjà été menées à des niveaux locaux à petite échelle dans des
endroits tels que Hôpital naval de Bethesda et prison de Vacaville en Californie.
Les films que nous avons vus jusqu'à présent incluent la série James Bond, le "Assassination
Bureau", le "Matarese Circle", etc. C'étaient des films imaginaires, conçus pour cacher la vérité que de
telles organisations existent et à une échelle bien plus grande que ce que même les hommes
d'idées fertiles d'Hollywood pourraient imaginer.
Pourtant, le Bureau des assassinats est absolument réel. Il existe en Europe et aux ÉtatsUnis
uniquement pour répondre à la demande du Comité des 300 de perpétrer des assassinats de haut
niveau là où tous les autres remèdes ont échoué. C'est PERMINDEX qui a dirigé l'assassinat de
Kennedy sous la direction de Sir William Stephenson, pendant des années le numéro un de la
lutte antiparasitaire de la reine d'Angleterre.
Clay Shaw, un agent contractuel de la CIA, dirigeait PERMINDEX depuis le Trade Mart Center de la
NouvelleOrléans. L'ancien procureur du district de la NouvelleOrléans, Jim Garrison, a failli briser le
complot d'assassinat de Kennedy jusqu'au niveau de Clay Shaw jusqu'à ce que Garrison soit "traité" et
que Shaw ne soit pas impliqué dans le complot d'assassinat de Kennedy. Le fait que Shaw ait été éliminé
à la manière de Jack Ruby, un autre agent contractuel de la CIA tous deux décédés d'un
cancer induit à action rapide en dit long sur le fait que Garrison était sur la bonne voie.
Un deuxième bureau d'assassinat est situé en Suisse et était jusqu'à récemment dirigé par une figure
de l'ombre dont aucune photographie n'existait après 1941. Les opérations étaient et
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sont probablement encore financés par la famille Oltramaire Noblesse noire suisse, propriétaires de
la Banque Lombard Odier de Genève, un comité de 300 opérations. L'homme de contact principal
était Jacques Soustelle ceci selon les dossiers de renseignement de l'US ArmyG2.
Ce groupe était également étroitement lié à Allen Dulles et Jean de Menil, un membre important
du Comité des 300 et un nom très important dans l'industrie pétrolière au Texas.
Les archives de l'ArméeG2 montrent que le groupe était fortement impliqué dans le commerce
des armes au MoyenOrient, mais plus que cela, le bureau de la nation assassine a fait pas moins de
30 tentatives d'assassinat du général de Gaulle, dans lesquelles Jacques Soustelle était directement
impliqué. Le même Soustelle était l'homme de contact du groupe de guérilla Sendero Luminosa
Shining Pathway protégeant les producteurs de cocaïne péruviens du Comité.
Lorsque tout ce que le bureau des assassinats pouvait faire de mieux avait échoué, grâce à
l'excellent travail effectué par la DGSE (renseignement français anciennement SDECE), le
travail a été confié au MI6 Département de renseignement militaire six, également connu
sous le nom de Service de renseignement secret ( SIS), sous le nom de code "Chacal". Le SDECE
employait de jeunes diplômés intelligents et n'était pas infiltré par le MI6 ou le KGB dans une mesure
mesurable. Son bilan dans la traque des agents étrangers en a fait l'envie des services secrets de
toutes les nations, et c'est ce groupe qui a suivi "Chacal" jusqu'à sa destination finale, puis l'a tué
avant qu'il ne puisse tirer sur le cortège du général de Gaulle.
C'est le SDECE qui a découvert une taupe soviétique dans le cabinet de De Gaulle, qui se trouvait
également être un homme de liaison avec la CIA à Langley. Afin de discréditer le SDECE, Allen
Dulles, qui détestait De Gaulle, (le sentiment était réciproque) fit prendre un de ses agents, Roger De
Louette, avec 12 millions de dollars d'héroïne en sa possession. Après de nombreux « interrogatoires
» d'experts, De Louette « a avoué » mais n'a pas été en mesure de dire pourquoi il faisait passer
de la drogue aux ÉtatsUnis. Le tout puait au ciel d'un setup.
Sur la base d'un examen des méthodes du SDECE pour protéger De Gaulle, en particulier dans
les cortèges automobiles, le FBI, les services secrets et la CIA savaient exactement comment
dépouiller le président Kennedy de sa sécurité et permettre aux trois tireurs de PERMINDEX de
l'assassiner facilement à Dealey Plaza en novembre 1963.
Un autre exemple de FACT déguisé en fiction est le roman de Leon Uris, "TOPAZ". Dans
"TOPAZ", on trouve un récit factuel des activités de Thyraud de Vosjoli, l'agent même du KGB
démasqué par le SDECE et dénoncé comme l'homme de liaison du KGB avec la CIA.
Il existe de nombreux récits fictifs des activités du MOSSAD, dont presque tous sont basés sur des
faits.
Le MOSSAD est également connu sous le nom de "L'Institut". Beaucoup d'écrivains
potentiels font des déclarations absurdes à ce sujet, en particulier un écrivain qui est très en
faveur de la droite chrétienne, ce qui est accepté comme la vérité. On peut pardonner au délinquant
car il n'a aucune formation en renseignement, mais cela ne l'empêche pas de lâcher des "noms du
Mossad" partout.
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De tels exercices de désinformation sont régulièrement menés contre des groupes patriotiques de droite
américains. À l'origine, le MOSSAD se composait de 3 groupes, le Bureau du renseignement militaire,
le Département politique du ministère des Affaires étrangères et le Département de la sécurité (Sherut
Habitachon). David Ben Gourion, membre du Comité des 300, a reçu une aide considérable du MI6 pour le
mettre sur pied.
Mais ce ne fut pas un succès et, en 1951, Sir William Stephenson du MI6 le restructura en une seule unité en tant que
branche du département politique du ministère israélien des Affaires étrangères, avec un groupe d'opérations
spéciales pour les opérations d'espionnage et de "travail au noir". Les services de renseignement britanniques
ont fourni une assistance supplémentaire dans la formation et l'équipement pour l'entretien du Sarayet Maktal,
également connu sous le nom d'unité de reconnaissance de l'étatmajor général, sous la forme du Special Air
Service (SAS) britannique. Cette unité de service du MOSSAD n'est jamais mentionnée par son nom et est
simplement connue sous le nom de "The Guys".
"The Guys" n'est qu'une extension de l'unité SAS du renseignement britannique qui les forme et les met à jour en
permanence dans de nouvelles méthodes. Ce sont "The Guys" qui ont tué les dirigeants du PL0. et kidnappé
Adolph Eichmann. "The Guys" et en fait TOUS les agents du MOSSAD, opèrent sur un pied de guerre. Le MOSSAD
a un énorme avantage sur les autres services de renseignement dans la mesure où chaque pays du monde
compte une importante communauté juive.
En étudiant les casiers judiciaires et sociaux, le MOSSAD est capable de sélectionner des agents parmi les juifs
locaux sur lesquels il peut avoir de l'emprise ET DE LES FAIRE TRAVAILLER SANS SALAIRE. Le MOSSAD a
également l'avantage d'avoir accès aux dossiers de toutes les agences américaines d'application de la
loi et des services de renseignement américains. L'Office of Naval Intelligence (OM) ELINT dessert le Mossad
sans frais pour Israël. Les citoyens des ÉtatsUnis seraient choqués, en colère et consternés si jamais on découvrait
à quel point le MOSSAD connaît la vie de millions d'Américains de tous les horizons, même ceux qui ne sont en
aucune façon politiques.
Le premier chef du MOSSAD, Reuben Shiloach, a été nommé membre du Comité des 300, mais on ne sait pas si
son successeur a bénéficié du même privilège. Il y a des chances qu'il le fasse. Le MOSSAD dispose d'un habile
service de désinformation. La quantité de désinformation qu'il alimente sur le "marché" américain est
embarrassante, mais encore plus embarrassante est la façon dont il est avalé crochet, ligne et plomb et
tout.
Ce à quoi nous assistons en réalité dans le microcosme du MOSSAD, c'est l'étendue du contrôle exercé par
les "olympiens" sur les services de renseignement, de divertissement, d'édition, d'opinion (sondages) et les
médias télévisés "d'information" à l'échelle mondiale. .
Ted Turner a récemment obtenu un siège au Comité des 300 en reconnaissance de ses "nouvelles" (réalisation)
d'émissions sur CNN. Le Comité a le pouvoir et les moyens de dire N'IMPORTE QUOI aux gens de ce monde, et
cela sera cru par la grande majorité.
Chaque fois qu'un chercheur tombe sur cet étonnant groupe de contrôle central, soit il est acheté avec succès, soit il
suit une «formation spécialisée» à l'Institut Tavistock, après quoi il devient un contributeur à plus de fiction, du James
Bond. type, c'estàdire qu'il est déraillé et bien récompensé. Si une personne telle que John F. Kennedy
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devrait tomber sur la vérité sur qui dirige les événements mondiaux, et ne peut être acheté, il est
assassiné.
Dans le cas de John F. Kennedy, l'assassinat a été perpétré avec une grande publicité et avec la
plus grande brutalité pour servir d'avertissement aux dirigeants mondiaux de ne pas sortir de la ligne.
Le pape JeanPaul Ier a été tranquillement assassiné parce qu'il se rapprochait du Comité des 300
par l'intermédiaire des francsmaçons dans la hiérarchie du Vatican. Son successeur, le pape Jean
Paul 11, a été publiquement humilié comme un avertissement de cesser et de s'abstenir ce qu'il
a fait. Comme nous le verrons, certains dirigeants du Vatican siègent aujourd'hui au Comité des 300.
Il est facile de dérouter un chercheur sérieux du Comité des 300 parce que le MI6 britannique
(SAS) promeut une grande variété de kookery tels que le New Age, le yogaisme, le bouddhisme
zen, la sorcellerie, la prêtrise delphique d'Apollon (Aristote en était membre) et des centaines de
petits « cultes » de toutes sortes. Un groupe d'agents de renseignement britanniques "à la retraite"
qui sont restés sur la piste ont qualifié la hiérarchie des conspirateurs de "Force X" et ont déclaré qu'elle
possédait un super service de renseignement qui a corrompu le KGB, le Vatican
Intelligence, la CIA, l'ONI, La DGSE, le renseignement militaire américain, le service de renseignement
du département d'État et même la plus secrète de toutes les agences de renseignement américaines,
l'Office of National Reconnaissance.
L'existence du National Reconnaissance Office (NRO) n'était connue que d'une poignée de
personnes en dehors du Comité des 300, jusqu'à ce que Truman tombe dessus par hasard. Churchill
a participé à la création du NRO et il aurait été livide lorsque Truman a découvert son existence.
Churchill plus que tout autre serviteur du Comité des 300, considérait Truman comme son petit
homme depuis l'indépendance « sans indépendance du tout ». Cela faisait référence à chaque
mouvement de Truman contrôlé par la francmaçonnerie. Même aujourd'hui, le budget
annuel de la NRO n'est pas connu du Congrès des ÉtatsUnis, et il n'est responsable que devant
quelques élus du Congrès. Mais c'est une créature du Comité des 300 à qui ses rapports sont
régulièrement envoyés toutes les quelques heures.
Ainsi, les parodies fictives que l'on voit sur les diverses branches et armes de contrôle du Comité ont
été conçues pour éloigner les soupçons de la vraie chose, mais nous ne devrions jamais douter que
la vraie chose existe bel et bien. Prenons un autre exemple de ce que je veux dire, le livre "LE JOUR
DU CHACAL", à partir duquel un film très réussi a été créé.
Les événements relatés dans le livre sont factuels. Bien que pour des raisons évidentes, les noms
de certains des joueurs et des lieux aient été modifiés, mais l'idée maîtresse de l'histoire, à savoir qu'un
seul agent du MI6 a été chargé de se débarrasser du général Charles De Gaulle, est tout à fait correcte.
Le général De Gaulle, devenu incontrôlable, refusant de coopérer avec le Comité dont il
connaissait très bien l'existence puisqu'il y avait été invité à le rejoindre a atteint son paroxysme
lorsque De Gaulle a retiré la France de l'OTAN et a immédiatement commencé à construire sa propre
force nucléaire. la soidisant "force de frappe".
Cela a tellement irrité le Comité que l'assassinat de De Gaulle a été ordonné. Mais les services
secrets français ont pu intercepter les plans de "Chacal" et garder De
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Coffrefort de Gaulle. A la lumière du bilan du MI6, qui est, j'ajoute, la principale ressource du Comité des
300 en matière de renseignement, le travail du renseignement français frôle le miraculeux.
Military Intelligence Department Six remonte à Sir Francis Walsingham, payeur de la reine Elizabeth I pour les
opérations de coups bas. Pendant des centaines d'années, le MI6 a établi un record qu'aucune
autre agence de renseignement ne peut se rapprocher de reproduire.
Les agents du MI6 ont recueilli des informations aux quatre coins du monde et ont mené des opérations secrètes
qui étonneraient même les plus avertis si jamais elles devaient être rendues publiques, c'est pourquoi il est
considéré comme le service maître du Comité des 300.
Officiellement, le MI6 n'existe pas, son budget provient de la bourse de la Reine et de "fonds privés", et
serait compris entre 350 et 500 millions de dollars par an, mais personne ne sait avec certitude quel est
le montant exact. Dans sa forme actuelle, le MI6 remonte à 1911, lorsqu'il était sous la direction de Sir
Mansfield Cumming, un capitaine de la Royal Navy, qui était toujours identifié par la lettre « C », d'où est
tiré le « M » de la renommée de James Bond. .
Il n'existe aucune trace officielle des échecs et des succès du MI6 c'est ce secret, bien que les
catastrophes de BurgessMacleanBlakeBlunt aient gravement endommagé le moral des officiers du MI6.
Contrairement à d'autres services, les futurs membres sont recrutés dans les universités et d'autres domaines
d'apprentissage par des "détecteurs de talents" hautement qualifiés, comme nous l'avons vu dans le
cas des boursiers Rhodes intronisés à la Table ronde. L'une des exigences est la capacité de parler des
langues étrangères. Les candidats subissent une « saignée » rigoureuse.
Avec le soutien d'une force aussi formidable, le Comité des 300 n'avait guère peur d'être jamais exposé, et
cela continuera pendant des décennies. Ce qui rend le Comité incroyable, c'est l'incroyable secret
qui y règne. Aucun des médias d'information n'a jamais fait mention de cette hiérarchie conspiratrice ; donc,
comme on pouvait s'y attendre, les gens doutent de son existence. Le Comité des 300 est en grande partie
sous le contrôle du monarque britannique, en l'occurrence Elizabeth II. On pense que la reine Victoria a
été assez paranoïaque à l'idée de garder le secret et s'est donné beaucoup de mal pour dissimuler
les écrits maçonniques laissés sur les lieux des meurtres de "Jack l'éventreur" qui faisaient allusion aux
liens du Comité des 300 avec des "expériences" menées par un membre de la famille qui était également un
membre haut placé du rite écossais de la francmaçonnerie.
Le Comité des 300 est rempli de membres de l'aristocratie britannique qui a des intérêts corporatifs et des
associés dans tous les pays du monde, y compris l'URSS.
La structure du Comité est la suivante :
Le Tavistock Institute sur les sites de l'Université de Sussex et de Londres appartient et est contrôlé par le
Royal Institute for International Affairs dont le "hofjuden" en Amérique est Henry Kissinger. Le GROUPE
EAGLE STAR, qui a changé son nom en GROUPE STAR après la fin de la Seconde Guerre mondiale, est
composé d'un groupe de grandes entreprises internationales impliquées dans des domaines qui se
chevauchent et sont interfacés (1) Assurance , (2) Banque, (3)
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Immobilier, (4) Divertissement, (5) Haute technologie, y compris la cybernétique, les communications
électroniques, etc.
Le secteur bancaire, même s'il n'est pas le pilier, est d'une importance vitale, en particulier dans les domaines
où les banques agissent comme chambres de compensation et blanchissent l'argent de la drogue. Les
principales "grandes banques" sont la Banque d'Angleterre, les banques de la Réserve fédérale, la Banque
des règlements internationaux, la Banque mondiale et la Banque de Hong Kong et de Shanghai. American
Express Bank est un moyen de recycler les dollars de la drogue. Chacune de ces banques est affiliée à
et/ou contrôle des centaines de milliers de grandes et petites banques à travers le monde.
Des milliers de banques, grandes et petites, font partie du réseau du Comité des 300, notamment Banca
Commerciale d'Italia, Banca Privata, Banco Ambrosiano, the Netherlands Bank, Barclays Bank, Banco del
Colombia, Banco de IberoAmerica. La Banca del la Svizzeria Italiana (BSI) présente un intérêt
particulier, puisqu'elle gère les investissements en capitaux de fuite à destination et en provenance des
ÉtatsUnis, principalement en dollars et en obligations américaines, située et isolée à Lugano "neutre",
le centre des capitaux de fuite pour la noblesse noire vénitienne. Lugano n'est pas en Italie ou en Suisse, et
est une sorte de zone crépusculaire pour les opérations de capitaux de fuite louches. George Ball,
qui possède un gros bloc d'actions dans BSI, est un "initié" de premier plan et le représentant américain de
l'écheveau.
BCCI, BNL, Banco Mercantil de Mexico, Banco Nacional de Panama, Bangkok Metropolitan Bank,
Bank Leumi, Bank Hapoalim, Standard Bank, Bank of Geneva, Bank of Ireland, Bank of Scotland, Bank of
Montreal, Bank of Nova Scotia, Banque Paris et Pays Bas, la British Bank of the Middle East et la Banque
Royale du Canada pour n'en nommer qu'un très petit nombre dans une longue liste de banques «
spécialisées ».
Les Oppenheimers d'Afrique du Sud sont des "poids lourds" beaucoup plus gros que les
Rockefeller. Par exemple, en 1981, Harry Oppenheimer, président du géant Anglo American Corpora
tion qui contrôle l'extraction, la vente et la distribution d'or et de diamants dans le monde, a déclaré qu'il était
sur le point de se lancer sur le marché bancaire nordaméricain.
Oppenheimer a rapidement investi 10 milliards de dollars dans un véhicule spécialement créé dans le but
d'acheter de grandes banques aux ÉtatsUnis, parmi lesquelles Citicorp. Le véhicule
d'investissement d'Oppenheimer s'appelait Minorco, qui s'est installé aux Bermudes, une réserve de la
famille royale britannique. Au conseil d'administration de Minorco se trouvaient Walter Wriston de Citicorp
et Robert Clare, son avocat en chef.
La seule autre société à rivaliser avec Oppenheimer dans le domaine des métaux précieux et des
minéraux était Consolidated Gold Fields d'Afrique du Sud, mais Oppenheimer en a pris le contrôle avec une
participation de 28%, le plus grand actionnaire unique. Ainsi, l'or, les diamants, le platine, le titane, la
tantalite, le cuivre, le minerai de fer, l'uranium et 52 autres métaux et minéraux, dont beaucoup ont une
valeur stratégique absolument vitale pour les ÉtatsUnis, sont passés entre les mains du Comité des
300.
Telle était la vision de l'un des premiers membres sudafricains du Comité de
300, Cecil John Rhodes, pleinement réalisé, une vision qui a commencé avec le déversement du sang
de milliers et de milliers de fermiers blancs et de leurs familles en Afrique du Sud,
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que l'histoire enregistre comme les "Boers". Alors que les ÉtatsUnis se tenaient les mains jointes comme le reste du
monde, cette petite nation a été soumise à la guerre de génocide la plus vicieuse de l'histoire. Les ÉtatsUnis
subiront le même traitement par le Comité des 300 quand viendra notre tour et il ne tardera pas à venir.
Les compagnies d'assurance jouent un rôle clé dans les affaires du Comité des 300. Parmi cellesci se trouvent
des compagnies d'assurance de premier plan comme Assicurazioni Generali de Venise et Riunione Adriatica di
Sicurta, les plus grandes et les deuxièmes plus grandes compagnies d'assurance au monde, qui tiennent leurs
comptes bancaires à la Banque des Règlements Internationaux en francs suissesor. Tous deux contrôlent une
multiplicité de banques d'investissement dont le chiffre d'affaires en actions à Wall Street double celui des
investisseurs américains.
Au conseil d'administration de ces deux géants de l'assurance figurent un comité de 300 membres : la famille
Giustiniani, la noblesse noire de Rome et de Venise, dont la lignée remonte à l'empereur Justianien ; Sir Jocelyn
Hambro de Hambros (Merchant) Bank ; Pierpaolo Luzzatti Fequiz, dont la lignée remonte à six siècles avec
les plus anciens Luzzatos, la noblesse noire de Venise, et Umberto Ortolani de l'ancienne famille de la noblesse noire
du même nom.
Les autres anciens comités de la noblesse noire vénitienne de 300 membres et membres du conseil d'administration
d'ASG et de RAS sont la famille Doria, les financiers des Habsbourg espagnols, Elie de Rothschild de la famille
française Rothschild, le baron August von Finck (Finck, le deuxième homme le plus riche d'Allemagne est maintenant
décédé), Franco Orsini Bonacassi de l'ancienne Noblesse Noire Orsini qui fait remonter sa lignée à un ancien
sénateur romain du même nom, la famille Alba dont la lignée remonte au grand duc d'Alba, et le baron Pierre
Lambert, cousin de la famille belge Rothschild.
Les compagnies anglaises contrôlées par la famille royale britannique sont Eagle Star, Prudential Assurance
Company, la Prudential Insurance Company, qui possèdent et contrôlent la plupart des assureurs américains,
dont Allstate Insurance. En tête de liste se trouve Eagle Star, probablement le "front" le plus puissant du Military
Intelligence Department Six (MI6).
Eagle Star, bien que loin d'être aussi grand que Assicurazioni Generale, est peutêtre tout aussi important simplement
parce qu'il appartient à des membres de la famille de la reine d'Angleterre et, en tant que chef titulaire du Comité des
300, Eagle Star a un impact énorme. Eagle Star est plus qu'un "front" majeur pour le MI6, c'est aussi un front pour
les grandes banques britanniques, y compris HillSamuels, NM Rothschild and Sons (l'un des "fixateurs" du
prix de l'or qui se réunit quotidiennement à Londres), et Barclays Bank (l'un des bailleurs de fonds de l'African
National CongressANC). On peut dire avec une grande précision que les familles oligarchiques britanniques les
plus puissantes ont créé Eagle Star comme véhicule pour les « opérations noires » contre ceux qui s'opposent à
la politique du Comité des 300.
Contrairement à la CIA, la loi britannique considère comme un crime grave le fait de nommer des
responsables du MI6, ce qui suit n'est donc qu'une liste partielle des "hauts gradés" du MI6, qui sont (ou étaient)
également membres du Comité des 300 :
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Seigneur Hartley Shawcross.
Sir Brian Edward Mountain.
Monsieur Kenneth Keith.
Monsieur Kenneth Strong.
Monsieur William Stephenson.
Monsieur Guillaume Wiseman.
Tous les précédents sont (ou étaient) fortement impliqués dans un comité clé de 300 entreprises qui interagissent avec
littéralement des milliers d'entreprises engagées dans toutes les branches d'activité commerciale, comme nous
le verrons.
Certaines de ces sociétés incluent Rank Organization, Xerox Corporation, ITT, IBM, RCA, CBS, NBC, BBC et CBC
dans les communications, Raytheon, Textron, Bendix, Atlantic Richfield, British Petroleum, Royal Dutch Shell,
Marine Midland Bank, Lehman Brothers, Kuhn Loeb, General Electric, Westinghouse Corporation, United Fruit Company
et bien d'autres.
Le MI6 dirigeait un grand nombre de ces sociétés par le biais des services de renseignement britanniques stationnés
dans le bâtiment RCA à New York, qui était le siège de son officier en chef, Sir William Stephenson. Radio Corporation
of America (RCA) a été créée par GE, Westinghouse, Morgan Guarantee and Trust (agissant pour la couronne
britannique) et United Fruit, en 1919 en tant que centre de renseignement britannique. Le premier président de RCA
était Owen Young de JP Morgan, d'après qui le plan Young a été nommé. En 1929, David Sarnoff a été nommé
pour diriger RCA. Sarnoff avait agi comme assistant de Young lors de la conférence de paix de Paris de 1919 où une
Allemagne déchue avait été poignardée dans le dos par les « alliés » victorieux.
Un réseau de banques et de maisons de courtage de Wall Street s'occupe du marché boursier pour le Comité, et parmi
ceuxci figurent Blyth, Eastman Dillon, les groupes Morgan, Lazard Frères et Kuhn Loeb Rhodes. Rien ne se
passe à Wall Street qui ne soit contrôlé par la Banque d'Angleterre, dont les instructions sont relayées par les groupes
Morgan, puis mises en œuvre par l'intermédiaire de maisons de courtage clés dont les dirigeants sont en dernier
ressort responsables de l'exécution des directives du Comité.
Avant de dépasser les limites fixées par Morgan Guarantee, Drexel Burnham Lambert était l'un des favoris du
Comité des 300. En 1981, presque toutes les grandes maisons de courtage de Wall Street s'étaient vendues au Comité,
Phibro fusionnant avec Salomon Brothers. Phibro est la branche commerciale des Oppenheimer d'Anglo American
Corporation. Par ce mécanisme de contrôle, le Comité des 300 s'assure que ses membres et leurs sociétés
commerciales éloignées ont retourné leurs investissements à Wall Street à un taux double de celui des investisseurs
étrangers " non initiés ".
N'oubliez pas que certaines des familles les plus riches du monde vivent en Europe, il est donc naturel qu'elles aient
une prépondérance de membres au sein du Comité. La famille Von Thurn und Taxis, autrefois propriétaire de la
franchise postale allemande, fait passer David Rockefeller pour un parent très pauvre. La dynastie Von Thurn und Taxis
remonte à 300 ans et génération après génération de membres de la famille ont eu des sièges au Comité qui
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ils occupent à ce jour. Nous avons déjà mentionné nommément bon nombre des membres les plus riches
de la noblesse noire vénitienne du Comité des 300 et d'autres noms seront ajoutés au fur et à mesure
que nous les rencontrerons dans leurs divers domaines d'activité. Nous allons maintenant inclure certains
membres américains du Comité des 300 et essayer de retracer leurs affiliations et leurs liens avec la
Couronne britannique.
Comment ces faits peuventils être vérifiés ? En fait, certains d'entre eux ne peuvent pas être vérifiés car
les informations proviennent directement des fichiers de renseignement, mais avec beaucoup de
démarches, il existe de nombreuses sources qui peuvent vérifier au moins une partie des faits. Le
travail impliquerait une recherche diligente de Dun and Bradstreet Reference Book of Corporations,
Standard and Poors, "Who's Who" britannique et américain avec de longues heures de travail
acharné pour croiser les noms avec leurs affiliations corporatives.
Un comité de 300 sociétés, banques et compagnies d'assurance opère sous le commandement
unifié couvrant toutes les questions imaginables de stratégie et d'action cohérente.
Le Comité est la SEULE hiérarchie de pouvoir organisée au monde qui transcende tous les
gouvernements et individus, aussi puissants et sûrs qu'ils puissent se sentir. Cela couvre les finances, les
questions de défense et les partis politiques de toutes couleurs et de tous types.
Il n'y a aucune entité que le Comité ne puisse atteindre et contrôler, et cela inclut les religions organisées
du monde. C'est donc le tout puissant GROUPE OLYMPIEN dont la base du pouvoir est à Londres et dans
les centres financiers de la City de Londres avec son emprise sur les minéraux, les métaux et les pierres
précieuses, la cocaïne, l'opium et les médicaments pharmaceutiques, les banquiers rentiersfinanciers,
les promoteurs de sectes et les fondateurs de musique rock. La couronne britannique est le point de
contrôle à partir duquel toutes choses rayonnent. Comme le dit le proverbe, "Ils ont un doigt dans chaque tarte".
Il est évident que le domaine des communications est étroitement contrôlé. Pour en revenir à RCA, nous
constatons que sa direction est composée de personnalités de l'establishment angloaméricain qui
figurent en bonne place dans d'autres organisations telles que le CFR, l'OTAN, le Club de Rome, la
Commission trilatérale, la francmaçonnerie, les Skull and Bones, les Bilderbergers, la Table ronde ,
Société Milner et Société JésuitesAristote. Parmi eux se trouvait David Sarnoff qui a déménagé à
Londres en même temps que Sir William Stephenson a emménagé dans le bâtiment RCA à New York.
Les trois principaux réseaux de télévision sont issus de RCA, en particulier la National Broadcasting
Company (NBC) qui a été la première, suivie de près par l'American Broadcasting Company (ABC)
en 1951. Le troisième grand réseau de télévision était Columbia Broadcasting System (CBS) qui, comme
ses sociétés sœurs était, et est toujours, dominée par le renseignement britannique. William Paley a été
formé aux techniques de lavage de cerveau de masse à l'Institut Tavistock avant d'être qualifié pour diriger
le CBS.
Ainsi, si nous, le peuple des ÉtatsUnis, le savions, tous nos principaux réseaux de télévision sont soumis à
la surveillance britannique, et les informations qu'ils fournissent vont d'abord à Londres pour autorisation.
Il est intéressant de noter que le document de renseignement Tavistock rédigé par l'Institut de
recherche de Stanford, communément appelé "The Aquarian Conspiracy", a été financé par des dons
des trois principaux réseaux de télévision.
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Les trois grands réseaux sont représentés au Comité des 300 et sont affiliés au géant de la communication de
masse, la Xerox Corporation de Rochester, New York, dont Robert M. Beck siège au Comité. Beck est également
administrateur de la Prudential Life Insurance Company, qui est une filiale de la London Prudential Assurance
Company Limited.
Les autres membres du conseil d'administration de Xerox sont Howard Clark de l'American Express Company,
l'un des principaux canaux de transfert de l'argent de la drogue par le biais de « chèques de voyage »,
l'ancien secrétaire au Trésor, William Simon, et Sol Linowitz, qui a négocié les traités du canal de Panama pour le
Comité. Linowitz est important pour le Comité en raison de son expertise de longue date dans le blanchiment de
l'argent de la drogue par l'intermédiaire de Marine Midland et de la Hong Kong and Shanghai Bank.
Un autre membre du conseil d'administration de Xerox est Robert Sproull, qui présente un réel intérêt car,
en tant que président de l'Université de Rochester, il a autorisé l'Institut Tavistock, travaillant par l'intermédiaire
de la CIA, à utiliser les installations de l'université pour les expériences de 20 ans sur le MKUltra LSD.
Quelque 85 autres universités aux ÉtatsUnis ont également permis que leurs installations soient utilisées à
mauvais escient de cette manière. Aussi géant que soit Xerox, il est éclipsé par la Rank
Organization, un conglomérat basé à Londres entièrement contrôlé par des membres de la famille
immédiate de la reine Elizabeth.
Des membres notables du conseil d'administration de Rank Organization qui sont également membres du
Comité de 300 sont les suivants :
Lord Helsby, président de la chambre de compensation de l'argent de la drogue, Midland Bank. Les autres postes
de Helsby incluent un poste d'administrateur au sein du géant Imperial Group et de l'Industrial and
Commercial Finance Corporation.
Sir Arnold France, directeur de Tube Investments qui gère le service de métro de Londres. La France est
également administrateur de la BANQUE D'ANGLETERRE qui contrôle tant les banques fédérales de réserve.
Sir Dennis Mountain, président du puissant groupe Eagle Star et administrateur d'English Property Corp, l'une
des sociétés rentièresfinancières de la famille royale britannique. L'un de ces membres est l'Honorable Angus
Ogilvie, "Prince of Companies", qui est marié à Son Altesse Royale la Princesse Alexandria, sœur du Duc de
Kent, chef du Rite Écossais de la FrancMaçonnerie et qui prend la place de la Reine lorsqu'elle est en
dehors de la Bretagne. Ogilvie est administrateur de la Banque d'Angleterre et président du conglomérat géant
LONRHO. C'est LONRHO qui a mis fin au règne de Ian Smith en Rhodésie afin qu'il puisse être
remplacé par Robert Mugabe. L'enjeu était les mines de chrome de Rhodésie qui produisent le meilleur minerai
de chrome de haute qualité au monde.
Cyril Hamilton, président de la Standard and Chartered Bank (l'ancienne banque Lord MilnerCecil Rhodes) et
membre du conseil d'administration de la Banque d'Angleterre. Hamilton siège également au conseil d'administration
de la Xerox Corporation, de la Malta International Banking Corporation (A Knights of
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Banque de Malte), administrateur de la Standard Bank d'Afrique du Sud, la plus grande banque de ce
pays, et administrateur de la Banque Belge d'Afrique.
Lord O'Brien de Lotherby, ancien président de la British Bankers Association, directeur de Morgan
Grenfell une banque puissante, directeur de Prudential Assurance, directeur de J.
P.Morgan, directeur de la Banque d'Angleterre, membre du conseil d'administration de la Banque des
règlements internationaux, administrateur du conglomérat géant Unilever.
Sir Reay Geddes, président des sociétés géantes de pneus Dunlop et Pirelli, directeur des Midland and
International Banks, directeur de la Banque d'Angleterre. Notez combien de ces hommes puissants
sont administrateurs de la Banque d'Angleterre, ce qui simplifie le contrôle des politiques fiscales
américaines.
Bon nombre de ces organisations et institutions, entreprises et banques sont tellement interfacées et
imbriquées qu'il est presque impossible de les trier. Au conseil d'administration de RCA siège Thornton
Bradshaw, président d'Atlantic Richfield et membre de l'OTAN, du World Wildlife Fund, du Club de
Rome, de l'Aspen Institute for Humanistic Studies, du Council on Foreign Relations. Bradshaw est
également président de NBC. La fonction la plus importante de RCA reste son service au renseignement
britannique.
On ne sait généralement pas quelle a été la puissance du rôle joué par le Comité des 300 dans l'arrêt
de l'enquête sur la CIA que le sénateur McCarthy a presque réussi à faire aboutir. Si McCarthy avait
réussi, il est très probable que le président John F.
Kennedy serait vivant aujourd'hui.
Lorsque McCarthy a annoncé qu'il allait convoquer William Bundy devant sa commission d'enquête,
la panique a balayé Washington et Londres. Bundy, s'il avait été appelé à témoigner, aurait très
probablement craqué et ouvert la porte aux "relations particulières" qui existaient entre les
cercles oligarchiques britanniques et leurs cousins du gouvernement américain.
Une telle éventualité ne pouvait être envisagée. L'Institut royal des affaires internationales a été appelé
pour en finir avec McCarthy. La RIIA a choisi Allen Dulles, un homme totalement épris de la société
britannique décadente, pour attaquer McCarthy de front. Dulles a chargé Patrick Lyman et Richard
Helms de l'affaire McCarthy. Helms a ensuite été récompensé pour son service contre McCarthy en
étant nommé chef de la CIA.
Le général Mark Clark, membre du CFR et militaire très apprécié dans les cercles londoniens, a été
nommé par le général Eisenhower pour repousser l'attaque à part entière de McCarthy contre la
CIA. McCarthy a été devancé lorsque Clark a annoncé qu'un comité spécial devait être nommé
pour examiner l'agence. Clark, sur les instructions de la RIIA, a recommandé à un comité de
surveillance du Congrès « d'examiner périodiquement le travail des agences de renseignement
gouvernementales ». Tout cela a été une super tragédie pour l'Amérique et une victoire pour les
Britanniques, qui craignaient que McCarthy ne tombe accidentellement sur le Comité des 300 et son
contrôle sur tous les aspects des affaires américaines.
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L'ancien président de Lehman BrothersKuhn Loeb, Peter G. Peterson, a servi sous l'ancien chef du MI6, Sir William
Wiseman, et n'était donc pas étranger à la royauté britannique. Peterson est lié à l'Aspen Institute, une autre branche
du renseignement britannique.
John R. Petty est président et président de la Marine Midland Bankune banque dont les liens avec le commerce de
la drogue ont été bien établis bien avant qu'il ne soit repris par la Hong Kong and Shanghai Bank, probablement la
banque numéro un dans le commerce de l'opium, un poste qu'il occupe depuis 1814.
Mais la meilleure preuve que je puisse offrir de l'existence du Comité des 300 est la Rank Organization qui,
en collaboration avec Eagle Star, EST LA COURONNE BRITANNIQUE. C'est aussi le centre des opérations
noires du MI6 (SIS). Entre elles, ces deux compagnies du Comité de 300 contrôlent le Dominion de Sa Majesté
du Canada, en utilisant le "hofjuden"
famille Bronfman pour exécuter leurs commandes.
Trizec Holdings, ostensiblement propriété de la famille Bronfman, est en réalité le principal actif de la reine d'Angleterre
au Canada. L'ensemble du commerce de l'opium en Asie du SudEst s'interface avec l'empire Bronfman et est
l'un des moyens par lesquels l'héroïne est acheminée vers l'Amérique.
Dans un sens, le Canada ressemble à la Suisse : des paysages enneigés immaculés, de grandes villes, un
endroit d'une grande beauté, mais en dessous se trouve une épaisse couche de crasse et de saleté résultant de
son commerce massif d'héroïne.
La famille Bronfman est constituée de "coupés" ce que l'on appelle au MI6 des "hommes de tête" contrôlés
depuis Londres par des "deskmen" du MI6, jargon du renseignement désignant les contrôleurs au siège.
Edgar Bronfman, le chef de famille, a été envoyé au "Centre de Moscou" nom de couverture du siège du KGB
au 2 place Dzerzhinsky, Moscou, à un grand nombre de reprises.
À un niveau inférieur, Bronfman était probablement très utile en tant qu'homme de contact avec Moscou.
Bronfman n'a jamais été à aucun moment un agent contractuel pour le MI6 et n'a donc jamais porté le titre
"Paroles", un mot clé du renseignement pour l'identification mutuelle entre agents, ce qui a grandement déçu le chef
de famille passionné Bronfman. À un moment où l'on pensait que certains membres de la famille agissaient de
manière suspecte, des « observateurs » jargon du renseignement désignant les agents du renseignement
surveillant des personnes, ont été mis sur la famille Bronfman, mais ont découvert que l'un des Bronfman
s'était vanté de un "cousin" américain (le mot utilisé par le MI6 pour la CIA) qui ignorait le rôle d'Edgar Bronfman.
Cela a été rapidement corrigé.
Deux directeurs d'Eagle Star, qui étaient également les deux principaux agents du MI6, ont pris le contrôle de la
famille Bronfman environ six mois après la fin de la guerre. Sir Kenneth Keith et Sir Kenneth Strong, que
nous avons déjà rencontrés, ont légitimé la famille Bronfman en créant Trizec Holdings. Il n'y a personne au monde
qui puisse faire un meilleur travail de « façade », à travers les entreprises, que le MI6.
Pourtant, comme en Suisse, il y a un côté sale au Canada qui a été bien caché à la vue par le Comité des 300 sous
le couvert de la Loi sur les secrets officiels, une copie conforme de la
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La loi britannique a été votée en 1913. La drogue, le blanchiment d'argent sale, le crime et le racket sont tous
couverts par leur tristement célèbre loi.
Peu de gens savent que, s'ils sont accusés en vertu de la Loi sur les secrets officiels, qui peut être
interprétée comme bon leur semble par les agents de la Couronne, des personnes pourraient encourir la peine
de mort. Comme je l'ai dit tant de fois depuis 1980, le Canada n'est pas une nation comme l'Afrique du Sud, la
Hollande ou la Belgique; il a toujours été et reste lié aux cordons du tablier de la reine d'Angleterre.
Le Canada, nous le constatons, est toujours le premier à réaliser les souhaits de la reine Elizabeth. Les
troupes canadiennes ont combattu dans chacune des guerres de Sa Majesté, y compris la guerre des Boers
(18991903).
Comme son homologue américain, l'Institut canadien des affaires internationales est un enfant de l'Institut royal
des affaires internationales (RIIA) et dirige la politique canadienne. Ses membres occupent le poste de
secrétaire d'État depuis sa création en 1925.
L'Institute for Pacific Relations, l'organisme qui a favorisé l'attaque de Pearl Harbor, a été accueilli au Canada
après qu'Owen Lattimore et ses collègues eurent découvert leurs activités de trahison en 1947 et quitté les États
Unis avant de pouvoir être inculpés.
L'Institut canadien des affaires internationales est lié à la Rank Organization par l'intermédiaire de Sir Kenneth
Strong, qui était le deuxième responsable du MI6 à la fin de la Seconde Guerre mondiale. En tant que membre
de l'Ordre de SaintJean de Jérusalem, Strong est le deuxième homme au Canada pour Rank et les intérêts
commerciaux de la Couronne britannique. Il est membre du conseil d'administration de l'une des banques de
drogue les plus prolifiques au monde après la Banque de Hong Kong et de Shanghai, la Banque de Nouvelle
Écosse, par l'intermédiaire de laquelle transite le produit du commerce canadien de l'héroïne.
Le premier en ligne est Sir Brian Edward Mountain, membre éminent des Chevaliers de l'Ordre de SaintJean
de Jérusalem. Il est bon de rappeler que, lorsque la Couronne britannique a voulu que les ÉtatsUnis
entrent dans la Seconde Guerre mondiale, elle a envoyé Lord Beaverbrook et Sir Brian Mountain rencontrer le
président Roosevelt pour lui remettre les ordres de la Couronne à cet égard. Roosevelt s'est conformé en
ordonnant à la marine américaine d'opérer à partir d'une base au Groenland, d'où des attaques contre des sous
marins allemands ont été menées neuf mois avant Pearl Harbor. Cela a été fait à l'insu et sans le
consentement du Congrès.
Un autre grand nom de l'interface RankCanadian était Sir Kenneth Keith, un directeur de l'équivalent canadien de
la Banque de Hong Kong et de Shanghai, la Banque de NouvelleÉcosse, dégoulinant de blanchiment
d'argent de la drogue. Il a également siégé au conseil d'administration de la plus ancienne et la plus vénérable
institution de presse de GrandeBretagne, le London Times et le Sunday Times. Depuis plus de 100 ans, le
"Times" est la voix de la Couronne sur les affaires étrangères, les questions financières et la vie politique en
Angleterre.
Comme tant de membres du comité de 300, Sir Kenneth a circulé entre le MI6 et la chaîne de commandement
de l'approvisionnement en opium à Hong Kong et en Chine, apparemment pour affaires pour l'Institut canadien
des affaires internationales, dont il était membre. De plus, en tant que directeur du Hill Samuel Bank House, sa
présence en Chine et à Hong Kong s'expliquait sans problème. L'un de ses plus proches associés en dehors
des cercles du MI6 était Sir Philip de Zuleta, le contrôleur direct du Comité des 300 de tous les premiers
britanniques.
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ministres, tant conservateurs que travaillistes. Sir Kenneth Strong a lié tous les rayons de la roue de la
drogue, y compris le terrorisme, la production d'opium, les marchés de l'or, le blanchiment d'argent sale
et la banque à son noyau central, la Couronne britannique.
Au sommet du contrôle de la Couronne britannique sur le Canada se trouvait Walter Gordon. Ancien membre
du comité de surveillance pratique de la Reine, également connu sous le nom de Conseil privé, Gordon
a parrainé l'Institute for Pacific Relations via l'Institut canadien des affaires internationales. En tant
qu'ancien ministre des Finances, Gordon a pu placer un comité de 300 comptables et avocats
sélectionnés au sein des trois principales banques à charte : la Banque de NouvelleÉcosse, la Banque
Canadienne Impériale et la Banque Toronto Dominion.
Par l'intermédiaire de ces trois "banques de la Couronne", un réseau de 300 agents sous la responsabilité
de Gordon a supervisé la deuxième plus grande opération de blanchiment d'argent sale de la drogue au
monde, avec une porte ouverte directe sur la Chine. Avant sa mort, Gordon contrôlait James Endicott,
Chester Ronning et Paul Linn, identifiés par le MI6 comme les meilleurs « spécialistes chinois » du Canada.
Les trois hommes ont travaillé en étroite collaboration avec ChouEnlai, qui a dit un jour à Gamal Abdul
Nasser qu'il ferait à la GrandeBretagne et aux ÉtatsUnis ce qu'ils avaient fait à la Chine, c'estàdire
les transformer en nations d'héroïnomanes. ChouEnlai a tenu sa promesse, en commençant par les GI's
américains au Vietnam. D'autres proches collaborateurs du réseau canadien de l'héroïne étaient John D.
Gilmer et John Robert Nicholson, tous deux membres de l'Ordre des Chevaliers de SaintJean de Jérusalem.
Lord Hartley Shawcross, qui relèverait directement de la reine Elizabeth II, était membre du conseil
d'administration de l'Institut royal des affaires internationales et chancelier de l'Université de
Sussex, où se trouve le célèbre Institut Tavistock pour les relations humaines, avec de nombreuses
relations au Canada.
Dans le cadre des activités de Rank aux ÉtatsUnis, aucune autre société n'a connu plus de succès
pour Rank que le Corning Group, propriétaire de la Metropolitan Life Insurance Company et de la New
York Life Insurance Company. Le comité de 300 membres, Amory Houghton et son frère James
Houghton, ont longtemps servi la Couronne britannique par le biais des compagnies d'assurance
susmentionnées, ainsi que Corning Glass, Dow Corning et Corning International. Tous deux siègent au
conseil d'administration d'IBM et de Citicorp. James Houghton est directeur du Princeton Institute for
Advanced Studies, directeur de la bibliothèque J. Pierpont Morgan, fief du RIIA et du CFR, et il est
également directeur du CBS.
C'est le frère Houghton qui a fait don de centaines d'acres connus sous le nom de Wye Plantation dans le
Maryland à l'Institut Aspen de la Couronne britannique. L'évêque de l'archidiocèse de l'Église anglicane
(épiscopalienne) de Boston siège également au conseil d'administration de Corning Glass. Tout cela
donne au groupe son air de respectabilité tant vanté, que les dirigeants des compagnies
d'assurance doivent porter, et comme nous le verrons, en plus de James Houghton, Keith Funston
et John Harper, tous deux membres du conseil d'administration de Corning, dirigent la Metropolitan Life
Insurance Company. .
Le maillage et l'interfaçage MASSIFS de cette seule unité du Comité des 300 nous donneront une bonne
indication de l'immense pouvoir à la disposition des conspirateurs.
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hiérarchie, devant laquelle tous les genoux sont fléchis, y compris le genou du président des ÉtatsUnis, quel
qu'il soit.
Ce qu'il est important de noter, c'est comment cette société américaine, l'une des CENTAINES, est en
interface avec les services de renseignement britanniques, avec le Canada, l'ExtrêmeOrient et l'Afrique du
Sud, sans parler de son réseau de responsables et de directeurs d'entreprise qui s'intéressent à tous les
aspects des affaires et de la politique en les États Unis.
Alors que Metropolitan Life Insurance Company ne commence pas à se comparer au géant
Assicurazioni Generale du Comité des 300, c'est néanmoins un bon indicateur de la façon dont le pouvoir
des Houghtons s'étend à travers le spectre commercial des ÉtatsUnis et du Canada. À commencer par
RH Macy (dont les marcheurs ne portent plus d'œillets rouges pour honorer l'affiliation de l'entreprise au
communisme), la Banque Royale du Canada, la National and Westminster Bank, Intertel (une agence de
renseignement privée virulente et vile), Canadian Pacific, The Reader's Digest, RCA, AT&T, la Harvard Business
School, WR Grace Shipping Company, Ralston Purina Company, US Steel, Irving Trust, Consolidated Edison
of New York et ABC, le réseau électrique des Houghtons s'étend jusqu'à Hong Kong et Shanghai Bank.
Une autre société Rank prospère aux ÉtatsUnis est le Reliance Insurance Group.
En tant que partie intégrante de l'enquête sur les bombardements stratégiques, Reliance a établi la base
structurelle initiale pour le lavage de cerveau, la formation d'opinion, les sondages, les enquêtes et
l'analyse des systèmes utilisés par l'Institut Tavistock aux ÉtatsUnis. La Reliance Insurance Company,
basée à Philadelphie, a mis en place la structure d'entreprise qui a permis de retourner l'enquête sur
les bombardements stratégiques contre le peuple des ÉtatsUnis qui, bien qu'ignorant, a été soumis à
une guerre psychologique sauvage au cours des 45 dernières années.
L'un des principaux agents de cet assaut contre les ÉtatsUnis était David Bialkin du cabinet d'avocats du
Comité des 300, Wilkie, Farr et Gallagher. Bialkin a dirigé la Ligue antidiffamation (ADL) pendant de
nombreuses années. L'ADL est une opération de renseignement britannique fondée aux ÉtatsUnis par le
MI6 et dirigée par Saul Steinberg et Eric Trist de Tavistock. Saul Steinberg est le représentant américain et
partenaire commercial de la famille Jacob de Rothschild de Londres.
Reliance Corporation abrite Carl Lindner qui a succédé à Eli Black lorsqu'il est "tombé" d'une fenêtre du 44e
étage d'un gratteciel de New York.
Reliance Company s'interface avec la puissante United Fruit Company de Boston et de la NouvelleOrléans
dirigée par Max Fisber qui, avant d'être berné, était une figure bien connue de la pègre de Detroit. United
Fruit Company est depuis longtemps un transporteur d'héroïne et de cocaïne aux ÉtatsUnis sous l'expertise de
Misbulam Riklis de Rapid American Corporation qui organise les expéditions du Canada vers les
ÉtatsUnis. une myriade de petites entreprises et d'opérations pour donner au Comité des 300 le contrôle total
d'une multiplicité d'opérations, chacune soigneusement imbriquée dans le réseau.
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Reliance Group est une spinoff de la maison mère dont la fonction est de laver le cerveau du peuple américain à
travers un réseau de sondeurs et de faiseurs d'opinion et s'appuie sur Operations Research pour des liens directs
avec le Tavistock Institute. Une autre société associée est Leasco, qui est étroitement liée à AT&T, Disclosure
Incorporated, Western Union International, Imbucon Ltd et Yankelovich, Skelly and White.
Daniel Yankelovich est l'empereur de la structure d'entreprise des sondages d'opinion aux ÉtatsUnis, un vaste
appareil qui fournit « des opinions publiques sur des questions sociales, économiques et politiques de fond », pour
citer Edward Bernays. C'est ce vaste appareil qui a transformé la majorité des Américains, qui n'avaient même
jamais entendu parler de Saddam Hussein et savaient vaguement que l'Irak était un pays quelque part au Moyen
Orient, en un peuple hurlant pour son sang et l'extermination de l'Irak en tant que nation.
Yankelovich a utilisé au maximum toutes les connaissances acquises pendant la Seconde Guerre mondiale. En tant
que guerrier de deuxième génération, Yankelovich n'a pas d'égal, c'est pourquoi les sondages ABC
menés par son entreprise sont toujours à la pointe de "l'opinion publique". La population des ÉtatsUnis
a été ciblée de la même manière que le logement ouvrier allemand en attaquant le sens des réalités. Cette
technique est, bien sûr, une formation standard pour certains groupes de renseignement, dont la CIA.
La tâche de Yankelovich était de détruire les valeurs américaines traditionnelles et de les remplacer par les
valeurs New AgeAge of Aquarius. En tant que principal faiseur d'opinion du Comité des 300, personne ne peut
douter que Yankelovich a fait un travail superbe.
Probablement la meilleure façon d'expliquer quelles méthodes sont utilisées et quels résultats sont attendus est de
citer le travail de John Naisbitt tel qu'il est expliqué dans son " Trend Report".
Naisbitt a agi en tant que conseiller auprès de Lyndon Johnson, Eastman Kodak, IBM, America Express,
le Center for Policy Study, Chase Manhattan, General Motors, Louis Harris Polls, la Maison Blanche, l'Institute
of Life Insurance, la CroixRouge américaine, Mobil Oil, BP et un hôte du Comité de 300 entreprises et institutions.
Sa méthodologie, dérivée des procédures du MI6 Tavistock, n'est bien sûr pas unique :
"Je vais brièvement décrire notre méthodologie. Lors du développement de Trend Report pour nos clients, nous
nous appuyons principalement sur un système de surveillance des événements et des comportements
locaux. Nous sommes extrêmement impressionnés par la mesure dans laquelle il s'agit d'une société ascendante,
nous surveillons donc ce que se passe localement, plutôt que ce qui se passe à Washington ou à New York.
Les choses commencent à Los Angeles, à Tampa, à Hartford, à Wichita, Portland, San Diego et Denver. C'est une
société très 'du bas vers le haut'.
"Le concept de suivi utilisé pour déterminer ces tendances a ses racines dans la Seconde Guerre mondiale.
Pendant la guerre, les experts du renseignement ont cherché à trouver une méthode pour obtenir des informations
sur les nations ennemies que les sondages d'opinion auraient normalement fournies. Sous la direction de
Paul Lazarsfeld et Harold Laswell, une méthode a été développée pour surveiller ce qui se passait dans
ces sociétés, impliquant une analyse du contenu de la presse quotidienne.
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"Bien que cette méthode de surveillance de la pensée publique continue d'être le choix de la communauté du
renseignement, la nation dépense chaque année des millions de dollars pour effectuer des analyses de contenu de
journaux dans toutes les régions du monde... La raison pour laquelle ce système de surveillance des changements
dans la société fonctionne si bien eh bien, les "trous d'informations" dans les journaux sont un système
fermé. Pour des raisons économiques, la quantité d'espace consacrée aux informations dans un journal ne change pas
au fil du temps.
"Ainsi, quand quelque chose de nouveau est introduit dans ce trou d'information, quelque chose ou une
combinaison de choses doit sortir ou être omise. Le principe impliqué ici est classé comme un choix forcé dans un
système fermé. Dans cette situation forcée, les sociétés ajoutent de nouvelles préoccupations et oubliez les
anciens, nous gardons une trace de ceux qui sont ajoutés et de ceux qui sont abandonnés.
"De toute évidence, les sociétés sont comme les êtres humains. Je ne sais pas quel est leur nombre, mais
une personne ne peut garder qu'un nombre limité de problèmes et de préoccupations à la fois. Si de nouveaux
problèmes ou préoccupations s'ajoutent, certains problèmes existants doivent être Nous gardons une trace de ce
que les Américains ont abandonné et repris.
"Les ÉtatsUnis passent rapidement d'une société industrielle de masse à une société de l'information et l'impact
final sera plus profond que le passage du XIXe siècle d'une société agricole à une société industrielle. À partir
de 1979, la première occupation aux ÉtatsUnis est devenu commis, remplaçant ouvrier et fermier. Dans cette
dernière déclaration se trouve une brève histoire des ÉtatsUnis.
Ce n'est pas un hasard si Naisbitt est membre du Club de Rome et, à ce titre, un "senior staffer" du Comité des
300. Il est également l'un des viceprésidents seniors de Yankelovich, Skelly and White. Ce que fait
Naisbitt n'est pas de prévoir les tendances mais de les FAIRE. Nous avons vu comment la base industrielle
des ÉtatsUnis a été détruite, à commencer par la sidérurgie. En 1982, j'ai écrit un ouvrage que j'ai intitulé "La
mort de l'industrie sidérurgique", dans lequel j'ai déclaré qu'au milieu des années 1990, la production d'acier aux
ÉtatsUnis aura décliné jusqu'à un point de nonretour, et que les industries de l'automobile et du logement allez
dans le même sens.
Tout cela s'est produit, et ce à quoi nous assistons aujourd'hui n'est pas une récession économique due non
seulement à des politiques économiques malsaines, mais à la destruction délibérément planifiée de notre base
industrielle et avec elle la destruction de la classe moyenne unique de l'Amérique. l'épine dorsale du pays qui
dépend d'une expansion industrielle progressive pour la croissance et la stabilité de l'emploi.
C'est l'une des raisons pour lesquelles la récession, qui a commencé sérieusement en janvier 1991, s'est
transformée en une dépression dont les ÉtatsUnis tels que nous les connaissions dans les années 1960 et
1970 ne réapparaîtront probablement jamais. L'économie ne sortira pas de la dépression de 1991 avant
au moins 19951996, date à laquelle les ÉtatsUnis seront devenus une société entièrement différente de celle
qu'ils avaient au début de la récession.
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Les faiseurs d'opinion ont joué un rôle non négligeable dans cette guerre contre les ÉtatsUnis ; nous
devons examiner le rôle du Comité des 300 dans la réalisation de ces changements de grande
envergure et la manière dont les ingénieurs sociaux ont utilisé les analyses des systèmes centraux
pour empêcher l'opinion publique d'exprimer autre chose que les politiques du gouvernement invisible.
Comment et où tout a commencé ?
D'après des documents couvrant la Première Guerre mondiale que j'ai pu rassembler et examiner au
War Office de Whitehall, à Londres, il semble que le Royal Institute for International Affairs ait été chargé
par le Comité des 300 de faire une étude sur la manipulation des informations de guerre. Cette tâche
a été confiée à Lord Northcliffe et Lord Rothmere et Arnold Toynbee, qui était l'agent du MI6 au
RIIA. La famille de Lord Rothmere possédait un journal qui était utilisé pour soutenir diverses positions
gouvernementales, on pensait donc que le journal pouvait changer les perceptions du public, en particulier
parmi les rangs de l'opposition croissante au
guerre.
Le projet était hébergé dans la Wellington House, du nom du duc de Wellesly.
Les spécialistes américains recrutés pour aider Lords Rothmere et Northcliffe comprenaient Edward
Bernays et Walter Lippman. Le groupe a organisé des séances de "brain storming" pour élaborer
des techniques de mobilisation du soutien de masse à la guerre, en particulier parmi les gens de la
classe ouvrière dont les fils devaient se rendre dans les champs de massacre de Flandre en
nombre record.
En utilisant le journal de Lord Rothmere, de nouvelles techniques de manipulation ont été essayées et,
après une période d'environ 6 mois, il était évident qu'elles étaient un succès. Ce que les
chercheurs ont découvert, c'est que seul un très petit groupe de personnes comprenait le processus de
raisonnement et la capacité d'observer le problème plutôt que d'émettre une opinion à son sujet. C'est,
a déclaré Lord Rothmere, la manière dont 87% du public britannique abordaient la guerre, et que le
même principe s'appliquait non seulement à la guerre, mais à tous les problèmes imaginables de la
société en général.
De cette manière, l'irrationalité a été élevée à un haut niveau de conscience publique. Les
manipulateurs ont alors joué làdessus pour saper et distraire la compréhension de la réalité
régissant une situation donnée et, plus les problèmes d'une société industrielle moderne devenaient
complexes, plus il devenait facile d'apporter des distractions de plus en plus grandes pour que ce que
nous finissions avec était que les opinions absolument sans conséquence des masses de gens, créées
par des manipulateurs habiles, assumaient la position de fait scientifique.
Après avoir littéralement trébuché sur une conclusion aussi profonde, les manipulateurs l'ont mise à
l'épreuve l'une après l'autre pendant la guerre, de sorte qu'en dépit des centaines de milliers de jeunes
britanniques massacrés sur les champs de bataille de France, il n'y avait pratiquement aucune
opposition à la guerre sanglante. Les archives de l'époque montrent qu'en 1917, juste avant l'entrée
en guerre des ÉtatsUnis, 94% de la classe ouvrière britannique qui supportait le poids de la guerre
n'avait pas la moindre idée de ce pour quoi elle se battait, autre que l'image créée par le
manipulateurs des médias que les Allemands étaient une race horrible, déterminés à détruire leur
monarque et leur pays, et qui devaient être rayés de la surface de la terre.
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Certes, rien n'a changé parce qu'en 1991, nous avons eu exactement la même situation créée par les médias
d'information qui ont permis au président Bush de violer de manière flagrante la Constitution en menant une
guerre de génocide contre la nation irakienne avec le plein consentement de 87 % de la population
américaine. personnes. Woodrow Wilson peut être crédité si c'est l'expression appropriée à utiliser d'avoir
sauté sur le train en marche des manipulateurs d'opinion publique et de l'avoir utilisé pour faire avancer les
causes chuchotées à son oreille par son contrôleur, le colonel House.
Sur les instructions du président Wilson, ou plutôt du colonel House, la Commission Creel a été créée et,
autant que l'on puisse en juger, la Commission Creel a été la première organisation aux ÉtatsUnis à
utiliser les techniques et la méthodologie RIIA pour les sondages et la propagande de masse. Les expériences
de guerre psychologique perfectionnées à Wellington House ont été utilisées pendant la Seconde Guerre
mondiale avec un succès égal, et ont été utilisées de manière continue dans la guerre psychologique
massive contre les ÉtatsUnis qui a commencé en 1946. Les méthodes n'ont pas changé, seule la cible. Ce
n'était plus le logement des ouvriers allemands mais la classe moyenne des ÉtatsUnis qui était au centre
de l'attaque.
Comme cela arrive si souvent, les conspirateurs ne purent contenir leur joie. Après la Seconde Guerre
mondiale, en 1922 pour être précis, Lippmann a détaillé le travail effectué par le RIIA dans un livre
qu'il a intitulé "PUBLIC OPINION":
"L'opinion publique traite de faits indirects, invisibles et déroutants, et il n'y a rien d'évident à leur sujet.
Les situations auxquelles l'opinion publique se réfère ne sont connues que comme des opinions, des
images dans la tête des êtres humains, des images d'euxmêmes, des autres, de leurs besoins. , buts et
relations, sont leurs opinions publiques. Ces images sur lesquelles agissent des groupes de personnes, ou
par des individus agissant au nom de groupes sont OPINION PUBLIQUE avec des majuscules. L'image à
l'intérieur de la tête induit souvent les hommes en erreur dans leurs relations avec le monde en dehors de leur
tête."
Pas étonnant que Lippmann ait été choisi pour rendre le peuple des ÉtatsUnis "comme" les Beatles
lorsqu'ils sont arrivés sur nos côtes et ont été projetés dans un pays sans méfiance.
Combiné avec la propagande diffusée nuit et jour par la radio et la télévision, il ne fallut que relativement peu
de temps avant que les Beatles ne deviennent «populaires». La technique des stations de radio qui auraient
reçu des centaines de demandes d'auditeurs d'imagerie pour Beatlemusic, a conduit à des classements
et des classements pour le premier, le "top dix" et a progressivement augmenté jusqu'à ce qu'en 1992, elle
se soit étendue au "top 40 des charts".
En 1928, le compatriote de Lippmann, Edward Bernays, écrivit un livre intitulé
"CRISTALLISER L'OPINION PUBLIQUE" et en 1928, un deuxième livre de lui fut publié, intitulé
simplement "PROPAGANDE". Bernays y décrit ses expériences à Wellington House. Bernays était un ami
proche du maître manipulateur HG Wells, dont les nombreux quasiromans ont été utilisés par Bernays pour
aider à formuler des techniques de contrôle mental de masse.
Wells n'hésitait pas à jouer son rôle de leader dans l'évolution de la société des classes inférieures,
principalement parce qu'il était un ami proche des membres de la famille royale britannique et qu'il passait
beaucoup de temps avec certains des politiciens les plus haut placés de l'époque. des hommes comme monsieur
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Edward Grey, Lord Haldane, Robert Cecil de la famille juive Cecil qui contrôlait la monarchie britannique depuis
qu'un Cecil est devenu le secrétaire privé et l'amant de la reine Elizabeth I, Leo Amery, Halford Mackinder
du MI6 et plus tard directeur de la London School of Economics, dont l'élève Bruce Lockhart deviendra le
contrôleur du MI6 de Lénine et de Trotsky pendant la révolution bolchevique, et même le grand homme lui
même, Lord Alfred Milner.
L'un des points d'eau préférés de Well était le prestigieux hôtel St. Ermins, lieu de rencontre du Coefficient Club,
un club auquel seuls les gentlemen certifiés étaient admis et où ils se réunissaient une fois par mois. Tous
les hommes mentionnés cidessus étaient membres et également membres du Souls Club. Wells a affirmé que
n'importe quelle nation pouvait être vaincue, non par une confrontation directe, mais par la compréhension
de l'esprit humain ce qu'il appelait "l'arrièrepays mental caché derrière la personnalité".
Avec un soutien aussi puissant, Bernays se sentait suffisamment en confiance pour lancer son
"LA PROPAGANDE":
"Alors que la civilisation devient plus complexe, ET QUE LA NÉCESSITÉ D'UN GOUVERNEMENT
INVISIBLE A ÉTÉ DE PLUS EN PLUS DÉMONTRÉE (soulignement ajoutéJC), les moyens techniques ont été
inventés et développés PAR LESQUELS L'OPINION PUBLIQUE PEUT ÊTRE RÉGIMENTÉE (soulignement
ajoutéJC). Avec la presse à imprimer et les journaux, le téléphone, le télégraphe, la radio et les avions, les idées
peuvent se répandre rapidement, et même instantanément, dans toute l'Amérique." Bernays n'avait pas
encore vu à quel point la meilleure télévision, qui devait suivre, ferait le travail.
"La manipulation consciente et intelligente des habitudes et des opinions organisées des masses est un
élément important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la
société constituent un GOUVERNEMENT INVISIBLE QUI EST LE VÉRITABLE POUVOIR GÉRANT DANS
NOTRE PAYS." Pour étayer sa position, Bernays a cité l'article de HG Wells publié dans le New York Times dans
lequel Wells soutenait avec enthousiasme l'idée de moyens de communication modernes "ouvrant un nouveau
monde de processus politiques qui permettront à la conception commune d'être documentée et soutenue". contre
la perversion et la trahison" (du gouvernement invisible).
Pour continuer avec les révélations contenues dans "PROPAGANDA":
« Nous sommes gouvernés, nos esprits sont façonnés, nos goûts formés, nos idées suggérées, en grande
partie par des hommes dont nous n'avons jamais entendu parler. vies, que ce soit dans la sphère de la politique
ou des affaires, de notre conduite sociale ou de notre pensée éthique, nous sommes dominés par un nombre
relativement restreint de personnes, une infime fraction de nos cent vingt millions, qui comprennent les
processus mentaux et les schémas sociaux du Ce sont eux qui tirent les fils qui contrôlent l'esprit public et qui
exploitent les vieilles
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forces et trouver de nouvelles façons DE LIER ET DE GUIDER LE MONDE" (soulignement ajouté
JC).
Bernays n'a pas été assez audacieux pour dire au monde qui sont les "ILS" qui "tirent les fils qui
contrôlent l'esprit public...", mais dans ce livre, nous compenserons son oubli intentionnel en révélant
l'existence de ce "relativement petit nombre de personnes », le Comité des 300. Bernays a été
chaleureusement applaudi pour son travail par le CFR dont les membres ont voté pour le placer
à la tête de CBS. William Paley est devenu son "premier cycle" et a finalement remplacé
Bernays, ayant acquis une connaissance approfondie de la nouvelle science scientifique de la
formation de l'opinion publique, ce qui a fait de CBS le leader du domaine, un rôle que la télévision et
la radio de CBS n'ont jamais abandonné. Le contrôle politique et financier par le "nombre
relativement petit", comme les appelait Bernays, est exercé par un certain nombre de sociétés
secrètes, notamment le Rite Écossais de la FrancMaçonnerie, et peutêtre encore plus important,
par le Vénérable Ordre des Chevaliers de SaintJean de Jérusalem, un ancien ordre composé
de cadres triés sur le volet par le monarque britannique, choisis pour leur expertise dans des
domaines vitaux pour le contrôle continu du Comité. Dans mon ouvrage "L'Ordre de SaintJean de
Jérusalem" publié en 1986, j'ai décrit l'Ordre de la manière suivante :
"... Ce n'est donc pas une société secrète, sauf là où ses buts ont été pervertis dans les conseils
internes comme l'Ordre de la Jarretière, qui est une création oligarchique prostituée de la
famille royale britannique, qui se moque de ce que représente l'Ordre Souverain de SaintJean de
Jérusalem.
"A titre d'exemple, on trouve l'athée Lord Peter Carrington, qui prétend être un chrétien
anglican mais qui est membre de l'Ordre d'Osiris et d'autres sectes démoniaques, dont la franc
maçonnerie, installé comme chevalier de la Jarretière à la chapelle SaintGeorges , le château
de Windsor, par Sa Majesté, la reine Elizabeth II d'Angleterre, de la noblesse noire Guelfes,
également chef de l'Église anglicane, qu'elle méprise profondément."
Carrington a été choisi par le Comité des 300 pour renverser le gouvernement de la Rhodésie,
céder les richesses minérales de l'Angola et de l'Afrique du SudOuest au contrôle de la ville de
Londres, détruire l'Argentine et transformer l'OTAN en une organisation politique de
gauche redevable au Comité des 300. .
Un autre visage étrange que nous voyons s'attacher au Saint Ordre chrétien de SaintJean de
Jérusalem, et j'utilise le mot étranger tel qu'il est utilisé dans l'original hébreu de l'Ancien
Testament pour désigner la lignée d'un individu, est celui de Le major Louis Mortimer Bloomfield,
l'homme qui a aidé à planifier le meurtre de John F. Kennedy. On voit des photos de cet homme
"étrange" portant avec fierté la Croix de Malte, la même croix portée sur la manche des Chevaliers
de l'Ordre de la Jarretière.
Nous avons subi un tel lavage de cerveau que nous croyons que la famille royale britannique
n'est qu'une belle institution inoffensive et colorée, et nous ne réalisons pas à quel point cette institution
appelée la monarchie britannique est corrompue et donc très dangereuse. Les Chevaliers de l'Ordre du
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Garter est le cercle le PLUS INTERNE des fonctionnaires les plus corrompus qui ont complètement trahi la
confiance placée en eux par leur nation, leur peuple.
Les Chevaliers de l'Ordre de la Jarretière sont les dirigeants du Comité des 300, le « conseil privé » le plus
fiable de la reine Elizabeth II. Quand j'ai fait mes recherches sur l'Ordre de St.
Jean de Jérusalem, il y a quelques années, je suis allé à Oxford pour parler avec l'un des maîtres qui est un
spécialiste des traditions britanniques anciennes et modernes. Il m'a dit que les Chevaliers de la Jarretière
sont le sanctuaire intérieur, l'élite de l'élite de l'Ordre très vénérable de Sa Majesté de SaintJean de
Jérusalem. Permettezmoi de dire que ce n'est pas l'ordre original fondé par le vrai guerrier chrétien,
Pierre Gérard, mais qu'il est typique de nombreuses belles institutions qui sont reprises et détruites de
l'intérieur, tout en apparaissant aux noninitiés comme étant l'original.
D'Oxford, je suis allé au Victoria and Albert Museum et j'ai eu accès aux papiers de Lord Palmerston, l'un
des fondateurs de la dynastie de l'opium en Chine. Palmerston, comme tant d'autres de son espèce, n'était
pas seulement un francmaçon, mais un serviteur dévoué du gnosticisme...
Comme la « famille royale » actuelle, Palmerston faisait semblant d'être chrétien, mais était en fait un
serviteur de Satan. De nombreux satanistes sont devenus des dirigeants de l'aristocratie britannique et ont
fait d'immenses fortunes grâce au commerce de l'opium en Chine.
J'ai appris des papiers du musée nommé d'après Victoria qu'elle a changé le nom de l'Ordre de SaintJean
de Jérusalem en 1885 afin de rompre avec la connexion catholique du fondateur de l'Ordre, Peter Gerard,
et l'a rebaptisé "Protestant". Très Vénérable Ordre de Jérusalem." L'adhésion était ouverte à chaque
famille oligarchique qui avait fait fortune dans le commerce de l'opium en Chine et chaque famille totalement
décadente recevait sa place dans le « nouvel ordre ».
Beaucoup de ces vénérables messieurs étaient chargés de superviser l'ère de la prohibition aux ÉtatsUnis
depuis le Canada, où plusieurs de ses membres fournissaient le whisky transporté aux ÉtatsUnis. Notable
parmi ce groupe était Earl Haig, membre du Comité de 300, qui a donné sa franchise de whisky au vieux Joe
Kennedy. La prohibition et les distilleries qui répondaient à la demande d'alcool étaient des créations de la
Couronne britannique agissant par l'intermédiaire des Comités de 300. C'était une expérience qui est
devenue le précurseur du trafic de drogue d'aujourd'hui, et les leçons tirées de l'ère de la prohibition
sont appliquées à la sera bientôt légalisé le commerce de la drogue.
Le Canada est la route la plus empruntée par les fournisseurs d'héroïne d'ExtrêmeOrient. La monarchie
britannique veille à ce que ces informations ne deviennent jamais publiques. Utilisant ses pouvoirs, la reine
Elizabeth règne sur le Canada par l'intermédiaire du gouverneur général (on se demande comment les
Canadiens modernes peuvent accepter un arrangement aussi archaïque ?), qui est le représentant
PERSONNEL de la reine, et jusqu'au Conseil privé (encore un autre blocage archaïque). de l'époque
coloniale) et les Chevaliers de SaintJean de Jérusalem, qui contrôlent le commerce canadien sous toutes ses
facettes.
L'opposition à la domination britannique est réprimée. Le Canada a certaines des lois les plus restrictives au
monde, y compris les soidisant lois sur les «crimes haineux» imposées au pays par les membres juifs
de la Chambre des lords en Angleterre. À l'heure actuelle, il y a quatre procès majeurs en
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diverses étapes au Canada impliquant des personnes accusées de « crimes haineux ». Il s'agit
des affaires Finta, Keegstra, Zundel et Ross. Quiconque ose essayer de montrer la preuve du
contrôle juif du Canada (que les Bronfman exercent), est immédiatement arrêté et accusé de soi
disant « crimes haineux ». Cela nous donnera une idée de l'immensité de la portée du Comité des
300 qui siège littéralement audessus de tout dans ce monde.
Le fait que le Comité des 300 ait créé l'Institut international d'études stratégiques (IISS) sous les
auspices de la Table ronde témoigne de la véracité de cette affirmation.
Cet institut est le véhicule de la propagande noire M16Tavistock et des emplois humides (un
nom de couverture du renseignement désignant une opération où un bain de sang est nécessaire),
nucléaire et terroriste, qui va à la presse mondiale pour diffusion, ainsi qu'aux établissements
gouvernementaux et militaires.
Les membres de l'IISS comprennent des représentants de 87 agences de presse et
associations de presse majeures ainsi que 138 rédacteurs en chef et chroniqueurs issus de
journaux et magazines internationaux. Vous savez maintenant d'où votre chroniqueur préféré tire
toutes ses informations et opinions. Vous souvenezvous de Jack Anderson, Tom Wicker,
Sam Donaldson, John Chancellor, Mary McGrory, Seymour Hersh, Flora Lewis et Anthony Lewis, et
al ? Les informations fournies par l'IISS, en particulier les scénarios comme ceux préparés pour noircir
le président Hussein, justifier l'attaque à venir contre la Libye et condamner l'OLP, sont tous
spécialement conçus pour l'occasion. L'histoire du massacre de Mai Lai publiée par Seymour Hersh
est sortie tout droit de l'IISS, juste au cas où nous supposons à tort que des hommes comme Hersh
font leur propre travail de recherche.
L'Institut international d'études stratégiques n'est rien de plus qu'un faiseur d'opinion de haut niveau
tel que défini par Lippmann et Bernays. Au lieu d'écrire des livres, les journaux rapportent
des opinions présentées par des chroniqueurs choisis, et l'IISS a été formé pour être un centre de
coordination non seulement pour créer des opinions, mais pour diffuser ces opinions et scénarios
beaucoup plus rapidement et à un public plus large que celui qui pourrait être atteint par un livre. , Par exemple.
L'IISS est un bon exemple de maillage et d'interfaçage du Comité des 300 institutions.
L'idée de créer l'IISS est née lors de la réunion Bilderberger de 1957. On rappellera que la
Conférence Bilderberger est une création du M16 sous la direction de l'Institut Royal des Affaires
Internationales. L'idée est venue d'Alastair Buchan, fils de Lord Tweedsmuir. Buchan était président à
l'époque, membre du conseil d'administration de la RIIA et membre de la table ronde qui serait très
proche de la famille royale britannique. C'est la même conférence qui a accueilli le chef du parti
travailliste Dennis Healey dans ses rangs. Étaient également présents François Duchene, dont le
mentor, Jean Monet Duchenes, dirigeait la Commission trilatérale sous la tutelle de HV Dicks
du Columbus Center de Tavistock.
Parmi le conseil d'administration de ce gigantesque appareil de propagande et d'opinion figurent
les suivants :
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Frank Kitson, ancien contrôleur des IRA PROVISIONALS, l'homme qui a lancé l'insurrection MauMau
au Kenya.
Lazard Frères, représenté par Robert Ellsworth.
NM Rothschild, représenté par John Loudon.
Paul Nitze, représentant de Schroeder Bank. Nitze a joué un rôle très important et substantiel dans
les questions d'accords de contrôle des armements, qui ont TOUJOURS été sous la direction du
RIIA.
CL Sulzberger du New York Times.
Stansfield Turner, ancien directeur de la CIA.
Peter Calvocoressi, représentant Penguin Books.
Institut royal des affaires internationales, représenté par Andrew Schoenberg.
Chroniqueurs et Reporters, représentés par Flora Lewis, Drew Middleton, Anthony Lewis, Max
Frankel. Daniel Elsberg.
Henri Kissinger.
Robert Bowie, ancien directeur des estimations nationales du renseignement de la ClA.
Suite à la réunion Bilderberger de 1957, Kissinger a été chargé d'ouvrir un bureau de table ronde à
Manhattan, dont le noyau était composé de Haig, Ellsberg, Halperin, Schlessinger, McNamara et les
frères McBundy. Kissinger a été chargé de pourvoir tous les postes de direction de l'administration
Nixon avec des tables rondes, fidèles à la RIIA et donc à la reine d'Angleterre. Ce n'est pas par hasard
que Kissinger a choisi l'ancien repaire du président Nixon, l'hôtel Pierre, comme centre d'opérations.
L'importance de l'opération Table rondeKissinger était donc la suivante : sur ordre du président de la RIIA
Andrew Schoeberg, un blocage a été placé sur toutes les agences impliquées dans le renseignement, les
empêchant de donner des informations au président Nixon. Cela signifiait que Kissinger et son équipe
recevaient TOUTES LES INFORMATIONS DE RENSEIGNEMENT, ÉTRANGÈRES ET
NATIONALES, RELATIVES À L'APPLICATION DE LA LOI, Y COMPRIS LA DIVISION 5 DU FBI, avant
qu'elles ne soient communiquées au président. Cela garantissait que toutes les opérations
terroristes contrôlées par le M16 aux ÉtatsUnis n'auraient aucune chance d'être divulguées.
C'était le bailliage de Halperin.
En travaillant cette méthodologie, Kissinger a immédiatement établi l'hégémonie sur la présidence
Nixon, et après que Nixon ait été déshonoré par le groupe Kissinger et chassé de ses fonctions,
Kissinger a émergé avec des pouvoirs sans précédent tels qu'ils n'ont pas été égalés.
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avant ou depuis le Watergate. Certains de ces pouvoirs rarement énumérés comprenaient les
suivants :
Kissinger a ordonné que le mémorandum de décision de sécurité nationale n ° I soit rédigé par
Halperin, qui a obtenu le libellé réel directement de la RIIA par le biais des cercles de la table ronde.
Le mémorandum a nommé Kissinger comme autorité suprême des ÉtatsUnis, président du comité de
vérification. Toutes les négociations SALT ont été dirigées à partir d'ici, en utilisant Paul Nitze, Paul
Warnke et un nid de traîtres à l'intérieur de la mission de contrôle des armements à Genève.
En outre, Kissinger a été nommé au Groupe d'études spéciales sur le Vietnam, qui a supervisé et
évalué tous les rapports, civils et militaires, y compris les rapports de renseignement provenant du Vietnam.
Kissinger a également exigé et obtenu la surveillance du "Comité 40", une agence super secrète qui a
pour tâche de décider quand et où lancer des activités secrètes, puis de surveiller l'avancement des
opérations qu'elle met en branle.
Pendant ce temps, Kissinger a ordonné une tempête d'écoutes téléphoniques par le FBI, même sur
ses assistants les plus proches, afin de donner l'impression qu'il était audessus de tout. La plupart
de son entourage a été informé que des écoutes téléphoniques étaient en vigueur. Cela a failli se
retourner contre lui, un agent du M16 du nom de Henry Brandon a été mis sur écoute, mais n'a pas été
informé par Kissinger. Brandon faisait également office de journaliste pour le London Times et Kissinger
a failli se faire virer parce que personne ne fait ça au London Times.
L'histoire complète de l'effraction d'Ellsberg et du Watergating de Nixon qui a suivi est trop longue pour
être incluse ici. Qu'il suffise de dire que Kissinger avait le contrôle d'Ellsberg depuis le jour où Ellsberg a
été recruté à Cambridge. Ellsberg avait toujours été un partisan de la ligne dure en faveur de la guerre du
Vietnam, mais s'était progressivement « converti » en un militant radical de gauche. Sa "conversion"
n'était qu'une nuance moins miraculeuse que l'expérience de St. Paul's Damascus Road.
L'ensemble du spectre de la nouvelle gauche aux ÉtatsUnis était l'œuvre du renseignement
britannique M16 agissant par l'intermédiaire des actifs de la table ronde et de l'Institute for Policy Studies
(IPS). Comme il l'a fait avec tous les pays à base républicaine, dont les politiques ont dû être modifiées,
le LPS a joué un rôle de premier plan, comme c'est le cas aujourd'hui en Afrique du Sud et en Corée
du Sud. Une grande partie des activités d'IPS sont expliquées dans mon ouvrage "IPS Revisited" publié
en 1990.
L'IPS avait une fonction principale, celle de semer la discorde et de répandre la désinformation entraînant
le chaos. L'un de ces programmes, destiné à la jeunesse américaine, était centré sur la drogue. A
travers une série de fronts IPS, des actes comme la lapidation du cortège de voitures de Nixon et un
grand nombre d'attentats à la bombe, un climat de tromperie a effectivement été créé qui a conduit
une majorité d'Américains à croire que les ÉtatsUnis étaient menacés par le KGB, le GRU et DGI cubain.
Le mot s'est répandu que beaucoup de ces agents imaginaires avaient des liens étroits avec les
démocrates par l'intermédiaire de George McGovern. Il s'agissait en fait d'une campagne de désinformation
modèle pour laquelle M16 est justement célèbre.
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Haldeman, Ehrlichman et les plus proches collaborateurs de Nixon n'avaient aucune idée de ce
qui se passait, d'où une vague de déclarations émanant de la Maison Blanche selon lesquelles
l'Allemagne de l'Est, l'Union soviétique, la Corée du Nord et Cuba entraînaient des terroristes et
finançaient leurs opérations aux ÉtatsUnis. Je doute que Nixon en sache beaucoup sur
IPS, et encore moins qu'il soupçonne ce qu'il faisait à sa présidence. Nous avons subi
le même genre de désinformation pendant la guerre du Golfe lorsque la rumeur a couru que des
terroristes de tous bords étaient sur le point d'envahir les ÉtatsUnis et de tout faire sauter.
Le président Nixon a été littéralement laissé dans le noir. Il ne savait même pas que David Young,
un élève de Kissinger, travaillait dans le soussol de la Maison Blanche, supervisant les "fuites".
Young était diplômé d'Oxford et associé de longue date de Kissinger grâce à des actifs de la
table ronde tels que le cabinet d'avocats Milbank Tweed. Le président Nixon n'était pas à la
hauteur des forces déployées contre lui sous la direction du M16 au nom de l'Institut royal des
affaires internationales et donc de la famille royale britannique.
La seule chose dont Nixon était coupable, en ce qui concerne le Watergate, était son ignorance
de ce qui se passait autour de lui. Lorsque James McCord a « avoué » au juge John Sirica, Nixon
aurait dû comprendre comme un éclair que McCord jouait un double jeu. Il aurait dû défier Kissinger
sur sa relation avec McCord surlechamp. Cela aurait mis un frein aux travaux et fait
dérailler toute l'opération M16Watergate.
Nixon n'a pas abusé de ses pouvoirs présidentiels. Son crime n'était pas de défendre
la Constitution des ÉtatsUnis d'Amérique et de ne pas accuser Mme Katherine Meyer Graham
et Ben Bradley de complot en vue de commettre une insurrection. Le pedigree de Mme Katherine
Meyer Graham est des plus douteux, comme l'aurait bientôt découvert "Jessica Fletcher" de
"Murder She Wrote". Mais même en sachant cela, les contrôleurs de Mme Graham à la Table
ronde se seraient battus pour garder le contrôle sur les choses. Le rôle du Washington Post
était de faire bouillir la marmite d'une "révélation" après l'autre, engendrant ainsi un climat de
méfiance du public à l'égard du président Nixon, même lorsqu'il n'y avait pas la moindre preuve à
l'appui de ses actes répréhensibles.
Pourtant, cela montre l'immense pouvoir de la presse, comme Lippman et Bernays l'avaient très
justement prévu, en ce que Mme Graham, longtemps soupçonnée du meurtre de son mari, Philip L.
Graham officiellement classé comme "suicide" aurait dû conserver la moindre crédibilité. Les
autres traîtres qui auraient dû être inculpés pour insurrection et trahison étaient Kissinger, Haig,
Halperin, Ellsberg, Young, McCord, Joseph Califano et Chomsky de l'IPS et les agents de la CIA qui
se sont rendus chez McCord et ont brûlé tous ses papiers. Encore une fois, il convient de répéter
que le Watergate, comme de nombreuses autres opérations que nous n'avons pas la place d'inclure
ici, a démontré le CONTRÔLE COMPLET exercé sur les ÉtatsUnis par le Comité des 300.
Bien que Nixon ait tenu compagnie à des gens comme Earl Warren et à certains mafieux qui
avaient construit la maison de Warren, cela ne signifie pas qu'il aurait dû être déshonoré à
cause de l'affaire du Watergate. Mon aversion pour Nixon découle de sa volonté de signer le
tristement célèbre traité ABM en 1972 et de sa relation trop confortable avec Leonid Brejnev. L'un des
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Les erreurs les plus regrettables du Conseil de la minorité ont été son échec lamentable à exposer le sale rôle
joué par INTERTEL, l'affreuse agence de renseignement privée du groupe Corning que nous avons déjà
rencontrée, qui a "divulgué" beaucoup de matériel du Watergate à Edward Kennedy. Les agences de
renseignement privées comme INTERTEL n'ont pas le droit d'exister aux ÉtatsUnis. Ils sont une MENACE à
notre droit à la vie privée et une insulte à tous les hommes libres partout.
Le blâme doit également tomber sur ceux qui étaient censés protéger le président Nixon du genre de filet d'acier
qui a été jeté autour de lui pour l'isoler. Le personnel du renseignement autour de Nixon était un groupe
pauvre qui n'avait aucune connaissance de la minutie des opérations de renseignement britanniques ; en effet,
ils n'avaient aucune idée que le Watergate était une opération de renseignement britannique dans son
intégralité. Le complot du Watergate était un coup d'État contre les ÉtatsUnis d'Amérique, tout comme le meurtre
de John F. Kennedy. Bien que ce fait ne soit pas reconnu comme tel aujourd'hui, je suis convaincu que lorsque
tous les papiers secrets seront finalement ouverts, l'histoire retiendra que deux coups d'État, l'un contre
Kennedy et l'autre contre Nixon, ont effectivement eu lieu, et qui, dans leur sillage, ont entraîné les viols et les
agressions les plus violents contre les institutions sur lesquelles repose la République des ÉtatsUnis.
L'individu qui mérite le plus le titre de traître et qui est le plus coupable de sédition est le général Alexander Haig.
Ce colonel de bureau, homme de bureau, dont la carrière de brassage de papiers n'incluait pas le commandement
de troupes au combat, a été soudainement propulsé sur la scène par le gouvernement parallèle de niveau
supérieur invisible que le président Nixon a décrit un jour comme un homme qui devait demander à Kissinger la
permission de Aller à la salle de bain.
Haig était un produit de la Table Ronde. Il a été remarqué par Round Tabler Joseph Califano, l'un des
Round Tablers les plus fiables de Sa Majesté aux ÉtatsUnis. Joseph Califano, conseiller juridique de la
Convention nationale démocrate, avait effectivement interviewé Alfred Baldwin, l'un des plombiers UN MOIS
AVANT LE CAMBRIOLAGE. Califano a été assez stupide pour écrire un mémorandum sur son entretien avec
Baldwin, dans lequel il a donné des détails sur les antécédents de McCord et pourquoi McCord avait choisi
Baldwin pour faire partie de «l'équipe».
Encore plus dommageable, le mémorandum de Califano contenait tous les détails des transcriptions des
écoutes téléphoniques des conversations entre Nixon et le comité de réélection, tout cela AVANT que l'effraction ne
se produise. Califano aurait dû être inculpé d'une vingtaine d'infractions fédérales ; au lieu de cela, il s'en est tiré
proprement avec son activité criminelle. Le moralisateur Sam Ervin a refusé de permettre à Fred Thompson, du
Conseil de la minorité, de présenter cette preuve très préjudiciable aux audiences du Watergate au motif
fallacieux qu'elle était "trop spéculative".
Sur ordre de la Table ronde, Kissinger fit passer Haig de colonel à général quatre étoiles dans l'ascension la plus
fulgurante jamais enregistrée dans les annales de l'histoire militaire des ÉtatsUnis, au cours de laquelle Haig fut
devancé par 280 généraux supérieurs de l'armée américaine et hauts officiers supérieurs.
Pendant la "promotion" de Haig et à la suite de celleci, 25 généraux supérieurs ont été contraints de démissionner.
En récompense de sa trahison envers le président Nixon ET LES ÉTATSUNIS, Haig s'est ensuite vu confier
le poste de commandant général de l'Atlantique Nord.
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des forces de l'Organisation du Traité (OTAN), bien qu'il ait été LE COMMANDANT LE
MOINS QUALIFIÉ À JAMAIS OCCUPER CE POSTE. Là encore, il a été devancé par 400
généraux supérieurs des pays de l'OTAN et des ÉtatsUnis.
Lorsque la nouvelle de sa nomination est parvenue au haut commandement des forces armées
soviétiques, le maréchal Orgakov a rappelé ses trois principaux généraux du Pacte de Varsovie
de Pologne et d'Allemagne de l'Est, et il y a eu beaucoup de réjouissances, de tintements
de verres et de champagne jusque tard dans la nuit. Tout au long du mandat de Haig en tant que
commandant des forces de l'OTAN, les cadres d'élite professionnels des forces armées soviétiques,
des hommes qui n'ont jamais été que des soldats professionnels, ont tenu Haig dans le plus
grand mépris et l'ont ouvertement qualifié de "directeur du bureau de l'OTAN". Ils savaient
que Haig devait sa nomination au RIIA et non à l'armée américaine.
Mais avant que sa promotion militaire ne le fasse sortir de Washington, sachez qu'Alexander
Haig, en collaboration avec Kissinger, a pratiquement détruit le bureau du président des
ÉtatsUnis et son gouvernement. Le chaos laissé par Kissinger et Haig à la suite du Watergate n'a
jamais été relaté à ma connaissance. Sur l'insistance du RIIA, Haig a pratiquement repris la
direction du gouvernement des ÉtatsUnis après le coup d'État d'avril 1973. Amenant 100 agents
de la table ronde choisis parmi la Brookings Institution, l'Institute Policy Studies et le Council
on Foreign Relations, Haig a occupé les cent postes les plus importants à Washington avec
des hommes qui, comme lui, étaient redevables à une puissance étrangère. Dans la débâcle qui
a suivi, l'administration Nixon a été déchirée et les ÉtatsUnis avec elle.
Écartant les pieuses platitudes et les postures de défense de la Constitution, le sénateur Sam Ervin
a fait plus pour changer les ÉtatsUnis que tout ce que le président Nixon aurait fait, et les
ÉtatsUnis ne se sont pas encore remis de la blessure quasi mortelle du Watergate, un Comité
de 300 opérations parrainées par le Royal Institute for International Affairs, la Table ronde et des
officiers "pratiques" du M16 basés aux ÉtatsUnis.
La façon dont le président Nixon a d'abord été isolé, entouré de traîtres puis confus, a suivi à la
lettre la méthode Tavistock pour obtenir le contrôle total d'une personne selon la méthodologie
établie par le théoricien en chef de Tavistock, le Dr Kurt Lewin. J'ai déjà donné des détails sur la
méthodologie de Lewin ailleurs dans ce livre, mais compte tenu du cas classique du président
Richard M. Nixon, je pense qu'il vaut la peine de le répéter :
"L'une des principales techniques pour briser le moral par une stratégie de terreur consiste
précisément en cette tactique ne pas faire comprendre à la personne où elle se situe et ce à
quoi elle peut s'attendre. De plus, si des hésitations fréquentes entre des mesures disciplinaires
sévères et des promesses de un bon traitement ainsi que la propagation de nouvelles
contradictoires, rendent la structure cognitive de cette situation complètement confuse, alors
l'individu peut même cesser de savoir qu'un plan particulier le mènerait vers ou loin de son but. Dans
ces conditions, même les individus qui ont des buts précis et sont prêts à prendre des risques sont
paralysés par un grave conflit intérieur quant à ce qu'il faut faire."
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Kissinger et Haig ont suivi à la lettre les manuels de formation de Tavistock. Le résultat a été un président
Nixon désemparé, confus, effrayé et démoralisé, dont la seule ligne de conduite Haig lui a dit était de
démissionner. En 1983, j'ai écrit deux ouvrages, "The Tavistock Institute: Sinister and Deadly" et "The
Tavistock Institute: Britain's Control of US
Politique », basée sur les manuels secrets de Tavistock qui étaient tombés entre mes mains. Les méthodes
et les actions de l'Institut Tavistock sont décrites dans ces deux ouvrages.
Les méthodes de Tavistock ont été appliquées avec tant de succès pour renverser le président
Nixon que le peuple de cette nation croyait pleinement que la calomnie des mensonges, des
distorsions et des situations truquées montées par le conspirateur était la vérité, alors qu'en fait le
Watergate était un mensonge diabolique de bout en bout. Il est important de le souligner car nous n'avons
certainement pas vu la dernière des opérations de type Watergate.
Quelles étaient les prétendues infractions impénétrables commises par le président Nixon, et les soi
disant preuves « irréfutables » qui étaient censées étayer les accusations ? Tout d'abord, le "pistolet
fumant". Ce morceau de FICTION a été créé par Kissinger et Haig autour de la bande du 23 juin, que
Haig a contraint Nixon à se rendre à Leon Jaworski.
Haig a passé des heures à convaincre le président Nixon que cette bande le coulerait, car cela prouvait
"sans aucun doute" que Nixon était coupable d'actes répréhensibles graves et complice du
cambriolage du Watergate. La première réponse du président Nixon a été de dire à Haig : "C'est un non
sens total d'en faire tout un plat", mais Haig a glissé jusqu'à ce que Nixon soit convaincu qu'il ne pouvait
pas réussir sa défense devant le Sénat, en se basant uniquement sur ce 23 juin particulier. enregistrer!
Comment Haig avaitil accompli sa mission ? Jouant un scénario préparé pour lui par ses contrôleurs de
la Table Ronde, Haig avait une transcription non éditée de la bande "fumante" dactylographiée par son
personnel. En réalité, il n'y avait rien dans la bande que le président Nixon n'aurait pas pu expliquer.
Sentant cela, Haig a ensuite fait circuler sa transcription non éditée non autorisée de la bande parmi les
plus fervents partisans de Nixon à la Chambre et au Sénat et au haut commandement du Parti républicain.
Parsemée de "pistolets fumants" et "dévastatrices", et venant de l'assistant de confiance de Nixon, la
transcription avait l'effet d'un faucon frappant un troupeau de pigeons ; Les partisans de Nixon ont
paniqué et se sont mis à l'abri.
À la suite de sa sédition et de son insurrection, Haig a convoqué à son bureau le membre du Congrès
Charles Wiggins, un fervent partisan de Nixon qui avait accepté de mener le combat à la Chambre
pour empêcher la procédure de destitution. Dans un mensonge flagrant et éhonté, Wiggins a été
informé par Haig, "Le combat est perdu." Après cela, Wiggins a perdu tout intérêt à défendre Nixon,
estimant que Nixon luimême avait accepté d'abandonner. Haig a ensuite traité de la même manière avec
le sénateur Griffin, un des principaux partisans du président au Sénat. À LA SUITE DES
ACTIVITÉS SÉDITIVES ET TRAIDONNEUSES DE HAIG, LE SÉNATEUR GRIFFIN ÉCRIT
IMMÉDIATEMENT UNE LETTRE AU PRÉSIDENT NIXON L'INVITANT À Démissionner.
TROIS MOIS PLUS TÔT, l'Institut d'études politiques contrôlé par la table ronde, enfant de James Warburg,
fondateur et boursier, Marcus Raskin, a livré EXACTEMENT la même chose
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ultimatum que le président Nixon démissionne, en utilisant le journal de propagande du renseignement
britannique, le New York Times du 25 mai, pour délivrer l'ultimatum. La tragédie du Watergate a été une
étape dans la transition irréversible vers la barbarie qui est en train d'envelopper les ÉtatsUnis et qui nous
conduit vers le gouvernement mondial unique et le nouvel ordre mondial. Les ÉtatsUnis sont
maintenant au même endroit que l'Italie lorsqu'Aldo Moro a tenté de la sauver de l'instabilité créée.
De quel acte répréhensible Nixon atil été accusé ? John Doar, dont le caractère brutal était bien
adapté à sa tâche consistant à apporter de soidisant articles d'impeachment contre le président, a été l'auteur
et le finisseur de l'une des opérations de contreespionnage de surveillance intérieure ILLÉGALES
les plus étendues jamais menées aux ÉtatsUnis.
À la tête de l'Unité interministérielle de renseignement (IDIU), Doar a recueilli des informations auprès de
toutes les agences imaginables du gouvernement fédéral, y compris l'Internal Revenue Service. Le
programme était lié à l'Institute for Policy Studies. L'un des moments forts de la carrière de John Doar a été
de fournir à la CIA qui est interdite par la loi de s'engager dans la surveillance intérieure, 10 000 à 12
000 noms de citoyens qu'il soupçonnait d'être des dissidents politiques, pour une enquête plus
approfondie.
Le 18 juillet 1974, ce grand défenseur de la loi, avec une emphase mesurée, prononça les "accusations"
contre le président Nixon, dont l'épisode fut télévisé à l'échelle nationale. IL N'Y AVAIT PAS UN SEUL
ÉLÉMENT DE PREUVE QUE NIXON AVAIT FAIT QUELQUE CHOSE D'ATTAQUABLE ; en
effet, la litanie pathétique de Doar sur les "crimes" présumés de Nixon était si insignifiante qu'il est
étonnant que la procédure soit allée audelà de ce point.
La manipulation de l'impôt sur le revenu, le bombardement non autorisé du Cambodge et une vague
accusation "d'abus de pouvoir" qui n'aurait jamais été retenue par un tribunal étaient le mieux que Doar
pouvait faire. Les ÉtatsUnis étaient aussi instables que jamais lorsque le président Nixon a démissionné
le 8 août 1974.
Nulle part plus que dans nos politiques économiques et fiscales. En 1983, les banquiers internationaux
se sont réunis à Williamsburg, en Virginie, pour élaborer une stratégie visant à préparer les ÉtatsUnis à une
désintégration totale de leur système bancaire. Cet événement planifié devait forcer le Sénat américain à
accepter le contrôle de nos politiques monétaires et fiscales par le Fonds monétaire international (FMI).
Dennis Weatherstone de Morgan Guarantee à Wall Street a déclaré qu'il était convaincu que c'était le seul
moyen pour les ÉtatsUnis de se sauver.
La proposition a été approuvée par le groupe Ditchley qui a débuté en mai 1982 à Ditchley Park à
Londres. Du 10 au 11 janvier 1983, ce groupe extraterrestre s'est réuni à Washington DC, en violation
du Sherman AntiTrust Act et du Clayton Act, et a conspiré pour renverser la souveraineté des ÉtatsUnis
d'Amérique dans sa liberté monétaire et financière. Le procureur général des ÉtatsUnis était au courant
de la réunion et de son objectif. Au lieu d'accuser les membres du groupe de complot en vue de commettre
un crime fédéral, il a simplement détourné le regard.
En vertu des actes susmentionnés, la preuve d'un complot est tout ce qui est nécessaire pour une
condamnation pour crime, et il y avait de nombreuses preuves qu'un complot a effectivement eu lieu. Mais comme
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la Fondation Ditchley s'était réunie à la demande de l'Institut royal des affaires internationales et était
accueillie par la Table ronde, personne au ministère de la Justice n'a eu le courage d'agir comme
l'exigeaient ceux qui avaient juré de respecter les lois des ÉtatsUnis. États.
Le plan Ditchley visant à usurper le contrôle des politiques budgétaire et monétaire des ÉtatsUnis a
été conçu par Sir Harold Lever, un fervent partisan du sionisme et un proche confident des membres
de la famille royale britannique et membre du Comité des 300.
Sir Harold Lever était administrateur du conglomérat géant UMILEVER, un important comité de 300
sociétés. Le plan de Lever prévoyait d'élargir l'influence du FMI afin qu'il puisse influencer les banques
centrales de tous les pays, y compris les ÉtatsUnis, et les guider entre les mains d'une banque du
gouvernement mondial.
Cela a été considéré comme une étape vitale pour créer une situation où le FMI deviendrait l'arbitre
suprême du système bancaire mondial. La réunion ultrasecrète de janvier a été précédée d'une
réunion antérieure en octobre 1982 et a réuni des représentants de 36 des plus grandes banques du
monde qui se sont réunis à l'hôtel New York Vista. La sécurité du séminaire du 26 au 27 octobre
était aussi stricte que jamais dans la Big Apple. Cette réunion antérieure du groupe Ditchley a
également violé la loi des ÉtatsUnis.
S'adressant à la réunion, Sir Harold Lever a déclaré qu'il était essentiel que la souveraineté nationale, en
tant que vestige archaïque, prenne fin avant l'an 2000. "Les ÉtatsUnis devront bientôt réaliser qu'ils ne
seront pas meilleurs que n'importe quel pays du tiers monde lorsque le Le FMI prend le contrôle", a déclaré
Sir Harold. Il a ensuite été signalé aux délégués que des projets de nomination du FMI comme contrôleur
des politiques budgétaires des ÉtatsUnis étaient sur le point d'être présentés au Sénat américain d'ici l'an
2000.
Rimmer de Vries, s'exprimant au nom de Morgan Guarantee, a déclaré qu'il était grand temps que les
ÉtatsUnis deviennent membre de la Banque des règlements internationaux. « Il faut reconsidérer
l'hésitation des ÉtatsUnis au cours des 50 dernières années », a déclaré De Vries. Certains
banquiers britanniques et allemands, craignant d'éventuelles violations de la loi américaine, ont
déclaré que le groupe Ditchley n'était rien d'autre qu'un comité chargé de résoudre les problèmes de
taux de change. Felix Rohatyn a également parlé du grand besoin de changer les lois bancaires américaines
afin que le FMI puisse jouer un plus grand rôle dans ce pays. Rohatyn dirigeait Lazard Frères, une banque
du Club de Rome et une partie du groupe Eagle Star que nous avons déjà rencontré.
Les tables rondes William Ogden et Werner Stang se sont exprimés avec enthousiasme en faveur de
l'abandon de la souveraineté fiscale des ÉtatsUnis au Fonds monétaire international et à la Banque des
règlements internationaux. Les délégués représentant le groupe de classement Alpha, une
banque de la francmaçonnerie P2, ont déclaré que les ÉtatsUnis devaient être contraints de se
rendre à "l'autorité supérieure d'une banque mondiale", avant que tout progrès vers le nouvel ordre
mondial puisse être réalisé.
Le 8 janvier 1983, avant leur grand rendezvous du 10 au 11 janvier, Hans Vogel, membre éminent
du Club de Rome, est reçu à la Maison Blanche. Le président Ronald Reagan avait invité George
Schultz, Caspar Weinberger, George Kennan et Lane
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Kirkland d'être présent à sa rencontre avec Vogel, qui a expliqué au président Reagan quels
étaient les buts et les objectifs du groupe Ditchley. À partir de ce jour, le président Reagan a
fait volteface et a travaillé avec les diverses agences du Comité des 300 pour faire du Fonds
monétaire international et de la Banque des règlements internationaux l'autorité en matière de politique
monétaire intérieure et étrangère des ÉtatsUnis.
Le gouvernement invisible du Comité des 300 a exercé une énorme pression sur l'Amérique
pour qu'elle change ses habitudes pour le pire. L'Amérique est le dernier bastion de la liberté et à
moins que nos libertés ne nous soient retirées, les progrès vers un gouvernement mondial unique
seront considérablement ralentis. Une telle entreprise en tant que gouvernement mondial unique
est une entreprise massive, nécessitant beaucoup de compétences, de capacités d'organisation, de
contrôle des gouvernements et de leurs politiques. La seule organisation qui aurait pu
entreprendre cette tâche colossale avec un quelconque espoir de succès est le Comité des 300, et
nous avons vu à quel point il a progressé vers un succès total.
Avant tout, le combat est spirituel. Malheureusement, les églises chrétiennes sont devenues un peu
plus que des clubs sociaux dirigés par l'infiniment mauvais Conseil œcuménique des Églises (COE),
dont les débuts ne se situent pas à Moscou mais dans la ville de Londres, comme le montre le tableau
à la fin du livre. qui donne la structure de la One World Government Church.
Cet organe a été créé dans les années 1920 pour servir de véhicule aux politiques du
gouvernement mondial unique et constitue un monument aux capacités de planification à
long terme du Comité des 300.
Un autre organisme corrompu similaire dans sa structure et sa conception au COE est l'Union
of Concerned Scientists, créée par la Commission trilatérale et financée par le Carnegie Endowment
Fund, la Fondation Ford et l'Institut Aspen. C'est le groupe qui a mené la lutte pour empêcher les États
Unis de monter un moyen de dissuasion efficace contre les cosmosphères soviétiques, des armes à
faisceau laser basées dans l'espace qui peuvent détruire des cibles sélectionnées aux ÉtatsUnis ou
ailleurs depuis l'espace.
Le programme SDI des ÉtatsUnis a été conçu pour contrer la menace posée par les
cosmosphères soviétiques, une menace qui existe toujours malgré les assurances que « le
communisme est mort ». Le porteparole soviétique Georgi Arbatov a déclaré lors d'une réunion
de l'Union of Concerned Scientists qu'il était important pour eux de s'opposer au programme SDI,
car si le programme SDI devenait opérationnel, " ce serait une catastrophe militaire". Année
après année, l'Union of Concerned Scientists s'est opposée à tous les budgets qui incluaient le
financement du programme vital SDI, jusqu'à ce qu'à la fin de 1991, il n'y ait même pas assez
d'argent pour financer d'autres recherches encore nécessaires, sans parler de placer le système en
orbite. L'Union of Concerned Scientists est dirigée par le Royal Institute for International Affairs et est
fortement infiltrée par des agents de renseignement britanniques du M16.
Il n'y a pas un seul aspect de la vie en Amérique qui ne soit surveillé, dirigé dans la "bonne" direction,
manipulé et contrôlé par le gouvernement invisible du Comité des 300. Il n'y a pas un élu ou
un dirigeant politique qui ne soit pas soumis à sa règle. Personne jusqu'à présent n'a réussi à défier
nos dirigeants secrets, qui ne
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hésiter à faire « un horrible exemple » de qui que ce soit, y compris du président des ÉtatsUnis d'Amérique.
De 1776, lorsque Jeremy Bentham et William Petty, le comte de Shelburne, fraîchement sortis du triomphe de
la Révolution française qu'ils ont planifiée et dirigée, ont été recrutés par la Couronne britannique pour
mettre leur expérience combinée à profit contre les colons, jusqu'en 1812 lorsque les Britanniques saccagé
et incendié Washington, détruisant des documents secrets qui auraient révélé la trahison en cours contre les
jeunes ÉtatsUnis d'Amérique jusqu'au Watergating du président Nixon et à l'assassinat du président Kennedy,
la main du Comité des 300 est clairement visible. Ce livre est une tentative d'ouvrir les yeux du peuple
américain sur cette terrible vérité : nous ne sommes pas une nation indépendante, et nous ne pourrons
jamais l'être, tant que nous serons gouvernés par un gouvernement invisible, le Comité des 300.
INSTITUTIONS/ORGANISATIONS PASSÉES ET PRÉSENTES ET CELLES
DIRECTEMENT SOUS L'INFLUENCE DU COMITÉ DES 300
Académie des problèmes contemporains.
Fonds Afrique.
Agence de développement international.
Fondation Albert Prévin.
Alliance israélite universelle Union
américaine des libertés civiles Conseil
américain des relations raciales.
Société américaine de défense.
Institut américain de la presse.
Ligue de protection américaine.
Ligue antidiffamation.
Bureau arabe.
Comité supérieur arabe.
Fondation ARAC.
Fondation de recherche d'armure.
Caucus sur le contrôle des armements et la politique étrangère.
Arthur D. Little, Inc.
Institut de recherche asiatiqueAspen Institute.
Association de psychologie humaniste.
Centre de recherche sur l'augmentation.
Fonds Baron De Hirsh.
Institut Battelle Memorial.
Fondation nationale Berger.
Centre berlinois pour la recherche future.
Bilderberg.
Ordre noir.
Boycottez la conférence sur les produits japonais.
Société britannique de TerreNeuve.
Société royale britannique.
Fraternité du Commonwealth coopératif.
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Bureau de la propagande révolutionnaire internationale.
Congrès juif canadien.
Cathédrale SaintJean le Divin, New York.
Centre d'études avancées en sciences du comportement.
Centre pour les droits constitutionnels.
Centre d'études cubaines.
Centre des institutions démocratiques.
Centre de politique internationale.
Centre d'étude de la loi responsive Christian
Socialist League.
Fondation Cini.
Club de Rome.
Informezvous.
Comité pour les trente prochaines années.
Comité des Quatorze.
Commission du moral national.
Comité pour encadrer
une constitution mondiale.
Ligue communiste.
Congrès des organisations industrielles.
Conseil des relations étrangères.
Compagnie David Sassoon.
De Beers Consolidated Mines.
Ligue Démocratique de Bruxelles.
Comité de l'Inde orientale des 300.
Contrôle Economique et Social (ECOSOC).
Fonds environnemental. Environmetrics inc.
Institut Esalen.
Société Fabienne.
Fédération des sionistes américains.
Communauté pour un ordre social chrétien.
Communauté de réconciliation. Fondation Ford.
Recherche en éducation de l'établissement universitaire Fordham.
Fondation pour le progrès national.
Fonds Guirlande.
Fonds Marshall allemand.
Conseil d'administration de la communauté religieuse israélite.
Institut de recherche du sud du golfe.
Hagana.
Université de Harvard.
Hell's Fire Club.
Ligue Horace Mann.
Guilde d'Hudson.
Institut Hudson.
Compagnie de la Baie d'Hudson.
Imperial College Université de Londres.
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Communauté chrétienne industrielle.
Institut de recherche sur le cerveau.
Institut des relations du Pacifique.
Institut d'études politiques.
Institut de recherche sociale.
Institut pour l'Avenir.
Institut pour l'ordre mondial.
Institut sur les drogues, le crime et la justice.
InterAlpha.
Institut interaméricain de développement social.
Institut international d'études stratégiques.
Colloque interreligieux sur la paix.
Irgoun. Chevaliers de Malte.
Ligue des Nations.
Institut de gestion logistique.
London Board of Deputies of British Jews.
École d'économie de Londres.
Compagnie de peinture Mary Carter.
Massachusetts Institute of Technology.
Institut Mellon.
Société métaphysique.
Groupe Milner.
Métaux Mocatto.
Société du Mont Pèlerin.
NAACP.
Rechercheaction nationale sur le complexe militaroindustriel.
Centre national de l'Institut de la productivité.
Conseil national des églises.
Centre national de recherche sur l'opinion.
Laboratoires nationaux de formation.
Nouvelle coalition démocratique.
Fondation du Nouveau Monde.
Institut Rand de New York.
NORML.
Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
Odd Fellows.
Ordre de SaintJean de Jérusalem.
Ordre de l'Aube Dorée.
OXFAM.
Oxford Univac.
Centre d'études du Pacifique.
Fondation Palissades.
Compagnie de Navigation de la Péninsule et de l'Orient.
PERMINDEX.
Université de Princeton.
Société Rand.
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Rand École des sciences sociales.
Institut Triangle de Recherche.
Comité des bourses Rhodes.
Compagnie de zinc Rio Tinto.
Programme de désarmement de l'église Riverside.
Table ronde.
Institut Royal des Affaires Internationales.
Fondation Russel Sage.
Fondation San Fransisco.
Quartier Sharps Pixley.
Conseil de recherche en sciences sociales. Internationale Socialiste.
Parti socialiste des ÉtatsUnis.
Société pour la promotion de l'étude des religions.
Société du Ciel (TRIADS).
Comité d'État soviétique pour la science et la technologie.
Institut de recherche de Stanford.
Institut international de recherche sur la paix de Stockholm.
Société Sun Yat Sen.
Société de développement de systèmes.
Institut Tavistock des relations humaines.
Société Tempo.
Le High Twelve International.
La Fondation de l'agenda public.
L'Institut de la Qualité de Vie.
Société Théosophe.
Société de Thulé.
Conseil transatlantique.
Commission trilatérale.
Association américaine du Club de Rome.
Institut américain pour la paix.
Union des scientifiques concernés.
UNITAR.
École Wharton de l'Université de Pennsylvanie.
Warburg, James P. et famille.
Laboratoires de formation occidentaux.
Parc Wilton.
Union chrétienne des femmes pour la tempérance.
Compagnie Wong Hong Hon.
Travailler à l'Institut américain.
Conseil œcuménique des Églises.
FONDATIONS SPÉCIALES ET GROUPES D'INTÉRÊT
Bureau arabe.
Société aristotélicienne.
Institut de recherche asiatique.
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Fondation Bertrand Russell pour la paix.
British American Canadian Corporation.
Fraternité de l'amour éternel.
Apôtres de Cambridge.
Campagne canadienne de l'Histadrout.
Canadien Pacifique Ltée.
Groupe d'action CaraïbesAmérique centrale.
Chine Everbright Holdings Ltd.
Institut populaire chinois des affaires étrangères.
Conseil d'Amérique du Sud.
Société des peuples en voie de disparition.
English Property Corporation Ltd.
Hospice inc.
Fraternité internationale des Teamsters.
Croix Rouge Internationale.
Fondation de Jérusalem, Canada.
Associés Kissinger.
Chambre de commerce de Kowloon.
Organisation des États américains.
Comité des affaires chinoises d'outremer.
Radio Corporation of America (RCA).
Police royale de Hong Kong.
YMCA.
BANQUES
American Express.
Banque de la Suisse d'Italie.
Banca Andioino.
Banca d'Amérique d'Italie.
Banca Nazionale del Lavoro.
Banca Privata.
Banque Ambrosiano.
Banco Caraïbes.
Banco Commercial Mexicana.
Banque consolidée.
Banque d'Espagne.
Banque de Colombie.
Banque de Commerce.
Banco de IberioAmerica.
Banque de la Nation.
Banque del Estada.
Banco Internacional.
Banque Latino.
Banco Mercantile de Mexico.
Banque nationale de Cuba.
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Banco Nacional de Panama et 54 petites banques panaméennes.
Bangkok Commercial d'italien.
Banque métropolitaine de Bangkok.
Banque al Meshreq.
Banque Amérique. Banque des règlements internationaux.
Banque Hapoalim.
Banque Leu.
Banque Leumi.
Banque de Bangkok.
Banque de Boston.
Banque du Canada.
Banque de crédit et de commerce international.
Banque d'Asie de l'Est.
Banque d'Angleterre.
Banque d'Escambie.
Banque de Genève.
Banque d'Irlande.
Banque de Londres et du Mexique.
Banque de Montréal.
Banque de Norfolk.
Banque de NouvelleÉcosse.
Banque Ohio.
Banque Bruxelles Lambert.
Banque Commerciale Arabes.
Banque du Crédit International.
Banque et Paris et PaysBas.
Banque Française et Italienne pour l'Amérique du Sud.
Banque Louis Dreyfus et Paris.
Banque Privée.
Banques Sud Améris.
Banque Barclays.
Banque Baring Brothers.
Barnett Banks.
Baseler Handeslbank.
Comité de Bâle sur le contrôle
bancaire. BCCI.* Banque
Canadienne Impériale de Commerce.
Banque Centtrust.
Banque à charte.
Chartreuse Japhet Bank.
Chassez Manhattan Bank.
Banque chimique.
Citibank.
Citoyens et banque sud d'Atlanta.
Banque nationale de la ville de Miami.
Banque Claridon.
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Banque nationale de Cleveland.
Banque d'entreprise et société de fiducie.
Crédit et Commerce American Holdings.
Crédit et Commerce Holdings, Antilles néerlandaises.
Crédit Suisse.
Crocker Banque Nationale.
de'Neuflize, Schlumberger, Mallet Bank.
Banque de Dresde.
Banque mondiale de Düsseldorf.
Première banque américaine de Géorgie.
Première banque américaine de New York.
Première banque américaine de Pensacola.
Première banque américaine de Virginie.
First American Banking Corp.
Banque du Premier Empire.
Première Banque Fidélité.
Première Banque nationale de Boston.
Première banque nationale de la ville.
Banque nationale de Floride.
Banque du commerce extérieur.
Banque nationale Franklin.
Banque Hambros.
Hong Kong et Shanghai Banking Corporation.
Banque de l'Indépendance d'Encino.
Banque d'escompte israélienne.
Banque Litex.
Banque Ljubljanska.
Lloyd's Bank.
Banque Marine Midland.
Banque Midland.
Morgan Bank.
Morgan et Cie.
Banque Morgan Grenfell.
Banque Narodny.
Banque nationale de Cleveland.
Banque nationale de Floride.
Banque nationale de Westminster.
Banque d'Orion.
Paravicini Bank Ltd.
Banque nationale de la République.
Banque Royale du Canada.
Banque Schröder.
Banque Seligman.
Banque commerciale de Shanghai.
Banque Soong.
Banque standard et à charte.
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Banque Standard.
Société de banque suisse.
Banque commerciale suisse d'Israël.
Banque de développement du commerce.
Unibank.
Banque de l'Union d'Israël.
Union Banque de Suisse.
Banque évanescente.
Banque de soudure blanche.
Banque mondiale.
Banque mondiale du commerce de Nassau.
Banque mondiale du commerce.
Wozchod Handelsbank.
Remarque : À l'exception du Comité de Bâle sur les banques, chacune des banques susmentionnées
a été, et peut encore être, impliquée dans le commerce de la drogue, des diamants, de l'or et des armes.
* BCCI. Cette banque a été inculpée de plusieurs accusations d'être fortement impliquée dans le blanchiment
d'argent de la drogue à travers le monde. Sa structure entoure toutes les opérations du Comité des 300. Sa
structure corporative est intéressante.
BCCI Middle East Interests, 35 % des actions détenues par :
Familles dirigeantes de :
Bahreïn.
Charjah.
Dhubaï.
Arabie Saoudite.
et un groupe d'hommes d'affaires du MoyenOrient.
BCCI Îles Caïmans 41 %.
Banque d'Amérique 24 %.
BCCI Îles Caïmans et BCCI Luxembourg ont établi des bureaux d'agence à Miami, Boca Raton, Tampa,
New York, San Francisco et Los Angeles.
ASSOCIATIONS JURIDIQUES ET AVOCATS
Association du barreau américain.
Clifford et Warnke.
Frères Coudert.
Cravash,
Swain et Moore.
Wilkie, Farr et Gallagher.
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COMPTABLES/VÉRIFICATEURS
Prix, Waterhouse.
INSTITUTIONS TAVISTOCK AUX ÉTATSUNIS
FLOW LABORATORIES Obtient
des contrats du National Institute of Health.
MERLE THOMAS CORPORATION Obtient
des contrats de l'US Navy, analyse les données des satellites.
WALDEN RESEARCH
Travaille dans le domaine du contrôle de la pollution.
PLANNING RESEARCH CORPORATION, ARTHUR D. LITTLE, GE "TEMPO,"
RECHERCHE OPÉRATIONNELLE INC.
Fait partie d'environ 350 entreprises qui effectuent des recherches et des sondages et formulent des
recommandations au gouvernement. Ils font partie de ce que le président Eisenhower a appelé "un danger
possible pour la politique publique qui pourrait ellemême devenir captive d'une élite technologique
scientifique".
L'INSTITUTION BROOKINGS
consacre son travail à ce qu'elle appelle un « programme national ». A écrit le programme du
président Hoover, le "New Deal" du président Roosevelt, le programme "New Frontiers" de
l'administration Kennedy (dont l'écart a coûté la vie à John F. Kennedy) et la "Great Society" du
président Johnson. Brookings a dit au gouvernement des ÉtatsUnis comment mener ses affaires au cours des
70 dernières années et continue de le faire au nom du Comité des 300.
INSTITUT D'HUDSON Sous
la direction d'Herman Khan, cette institution a fait plus pour façonner la façon dont les Américains
réagissent aux événements politiques et sociaux, pensent, votent et se conduisent généralement
que peutêtre tout autre sauf les BIG FIVE. Hudson est spécialisé dans la recherche sur la politique de
défense et les relations avec l'URSS. La plupart de son travail militaire est classé SECRET.
(Une idée pendant la guerre du Vietnam était de construire un fossé autour de Saigon.) Certains de
ses premiers articles étaient intitulés "Stabilité et tranquillité parmi les nations plus anciennes" et
"Résumé analytique des questions de politique de sécurité nationale des ÉtatsUnis".
Hudson est fier de sa diversité; il a aidé la NASA avec ses programmes spatiaux et a aidé à promouvoir de
nouvelles modes et idées pour les jeunes, la rébellion et l'aliénation des jeunes pour le Comité
des 300, apparemment financé par Coca Cola. Hudson peut être tout à fait correctement classé
comme l'un des établissements de LAVAGE DE CERVEAU du Comité des 300. Certains de ses scénarios de
guerre nucléaire sont très intéressants à lire et, s'ils peuvent être obtenus, je recommanderais "Les 6 menaces
thermonucléaires fondamentales" et "Les résultats possibles de
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Guerre thermonucléaire » et l'un de ses articles les plus effrayants intitulé « Guerre nucléaire
israéloarabe ».
Hudson fait également du conseil aux entreprises pour le Comité des 300 entreprises, Rank,
Xerox, General Electric, IBM et General Motors, pour n'en citer que quelquesunes, mais son très gros
client reste le Département américain de la Défense, qui comprend les questions de défense civile,
nationale la sécurité, la politique militaire et le contrôle des armements. A ce jour, il n'est pas
entré dans la "Nasa humide", c'estàdire l'Agence océanographique nationale.
LABORATOIRES NATIONAUX DE FORMATION Le NTL
est également connu sous le nom d'Institut international des sciences comportementales appliquées.
Cet institut est définitivement un centre de lavage de cerveau basé sur les principes de Kurt Lewin
qui incluent les soidisant TGroups (groupes de formation), une formation artificielle au stress dans
laquelle les participants se retrouvent soudainement immergés dans la défense contre des
accusations vicieuses. NTL accueille la National Education Association, le plus grand groupe
d'enseignants aux ÉtatsUnis. Tout en décriant officiellement le « racisme », il est intéressant de noter
que NTL, en collaboration avec la NEA, a produit un document proposant des bons d'éducation qui
sépareraient les enfants difficiles à enseigner des plus brillants, et le financement serait alloué en
fonction du nombre d'enfants difficiles. enfants qui seraient séparés de ceux qui progressaient à
un rythme normal. La proposition n'a pas été retenue.
UNIVERSITY OF PENNSYLVANIA, WHARTON SCHOOL OF FINANCE & COMMERCE
Fondée par Eric
Trist, l'un des "brain trusts" de Tavistock, Wharton est devenue l'une des institutions Tavistock les plus
importantes aux ÉtatsUnis en ce qui concerne la "recherche comportementale". Wharton attire des
clients tels que le département américain du Travail, qui enseigne comment produire des
statistiques "préparées" au Wharton Econometric Forecasting Associates Incorporated. Cette
méthode est très demandée alors que nous arrivons à la fin de 1991 avec des millions de chômeurs de
plus que ne le reflètent les statistiques de l'USDL. La MODÉLISATION ÉCONOMÉTRIQUE de
Wharton est utilisée par toutes les grandes entreprises du Comité des 300 aux ÉtatsUnis, en
Europe occidentale et par le Fonds monétaire international, les Nations Unies et la Banque mondiale.
Wharton a produit des personnalités aussi remarquables que George Schultz et Alan Greenspan.
INSTITUT POUR LA RECHERCHE SOCIALE Il
s'agit de l'institut créé par les "brain trusters" de Tavistock Rensis Likert, Dorwin Cartwright et
Ronald Lippert. Parmi ses études figurent "La signification humaine du changement social", "Les
jeunes en transition" et "Comment les Américains perçoivent leur santé mentale".
Parmi les clients de l'institut figurent The Ford Foundation, US Department of Defense, US
Service postal et le ministère américain de la Justice.
INSTITUT POUR L'AVENIR Ce n'est
pas une institution typique de Tavistock dans la mesure où elle est financée par la Fondation Ford,
mais elle tire sa méthodologie de prévision à long terme de la mère de tous les groupes de réflexion.
Institute for the Future projette ce qu'il croit être les changements qui auront lieu dans
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délais de cinquante ans. L'institut est censé être en mesure de prévoir les tendances socioéconomiques et
de dénoncer tout écart par rapport à ce qu'il a établi comme normal.
Institute for the Future estime qu'il est possible et normal d'intervenir maintenant et de prendre des
décisions pour l'avenir. Les soidisant "groupes Delphi" décident de ce qui est normal et de ce qui ne l'est pas,
et préparent des documents de position pour "orienter" le gouvernement dans la bonne direction afin
d'écarter des groupes tels que "les personnes créant des troubles civils". (Il pourrait s'agir de groupes
patriotiques exigeant l'abolition des impôts progressifs ou exigeant que leur droit de porter des armes ne soit pas enfreint.)
L'institut recommande des actions telles que la libéralisation des lois sur l'avortement, la consommation de
drogue et que les voitures entrant dans une zone urbaine paient des péages, l'enseignement du contrôle
des naissances dans les écoles publiques, l'exigence d'enregistrement des armes à feu, la légalisation
de l'homosexualité, le paiement des étudiants pour les réalisations scolaires, faire des contrôles de zonage
une chasse gardée de l'État, offrir des primes pour la planification familiale et enfin, mais non des moindres,
une proposition à la Pol Pot Cambodge d'établir de nouvelles communautés dans les zones rurales.
Comme on le verra, bon nombre des objectifs de l'Institut pour l'avenir ont déjà été plus qu'entièrement
réalisés.
INSTITUT D'ÉTUDES POLITIQUES (IPS)
L'un des "Big Three", IPS a façonné et refaçonné la politique des ÉtatsUnis, étrangère et intérieure, depuis
sa fondation par James P. Warburg et les entités Rothschild aux ÉtatsUnis, soutenue par Bertrand Russell
et les socialistes britanniques à travers ses réseaux. en Amérique, qui incluent la Ligue pour la
démocratie industrielle dans laquelle Leonard Woodcock a joué un rôle de premier plan, quoique
dans les coulisses. Les principaux acteurs locaux de la Ligue pour la démocratie industrielle comprenaient la
"conservatrice" Jeane Kirkpatrick, Irwin Suall (de l'ADL), Eugene Rostow (négociateur pour le contrôle des
armements), Lane Kirkland (chef travailliste) et Albert Shanker.
À des fins d'enregistrement uniquement, IPS a été constituée en 1963 par Marcus Raskin et Richard Barnett,
tous deux diplômés hautement qualifiés de l'Institut Tavistock. La plupart des financements provenaient
d'associés de Rothschild en Amérique comme la famille James Warburg, la Stern Family Foundation
et la Samuel Rubin Foundation. Samuel Rubin était un membre enregistré du Parti communiste qui a volé le
nom de Fabergé (Fabergé était "le bijoutier de la cour impériale de Russie") et a fait fortune avec le nom de
Fabergé.
Les objectifs de l'IPS provenaient d'un programme établi pour lui par la Table ronde britannique, lequel
programme venait à son tour de l'Institut Travistock, l'un des plus notables étant de créer la "Nouvelle
Gauche" en tant que mouvement de base aux ÉtatsUnis. pour engendrer des conflits et des troubles et
répandre le chaos comme un feu de forêt incontrôlable, proliférer les « idéaux » du socialisme nihiliste de
gauche, soutenir l'usage illimité de drogues de tous types et être le « gros bâton » avec lequel battre la
politique américaine. établissement.
Barnett et Raskin contrôlaient des éléments aussi divers que les Black Panthers, Daniel Ellsberg,
Halperin, membre du personnel du Conseil de sécurité nationale, The Weathermen Underground,
les Venceramos et le personnel de campagne du candidat George McGovern.
Aucun projet n'était trop gros pour être pris en charge et géré par IPS et ses contrôleurs.
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Prenons le complot pour « kidnapper » Kissinger, qui était entre les mains d'Eqbal Ahmed, un agent de
renseignement britannique du M16 d'origine pakistanaise, blanchi par l'intermédiaire des « TROTS
» (terroristes trotskistes basés à Londres). Le "complot" a été "découvert" par le FBI afin qu'il ne puisse pas aller
trop loin. Ahmed est ensuite devenu le directeur de l'une des agences les plus influentes de l'IPS, The
Transnational Institute qui, comme un caméléon, a changé de son ancien nom, Institute of Race Relations,
lorsque des agents de renseignement du BOSS (Bureau of State Security) en Afrique du Sud ont démasqué le
fait qu'il était directement lié à la bourse RhodesHarry Oppenheimer et aux intérêts miniers anglo
américainsbritanniques en Afrique du Sud. BOSS a également discrédité la South Africa Foundation au même
moment. Grâce à ses nombreux groupes de pression puissants sur Capitol Hill, IPS a utilisé sans relâche son "gros
bâton" pour battre le Congrès. IPS dispose d'un réseau de lobbyistes, tous censés fonctionner de manière
indépendante mais en fait agissant de manière cohérente, de sorte que les membres du Congrès sont matraqués
de toutes parts par des lobbyistes apparemment différents et variés. De cette manière, IPS était, et est toujours,
capable d'influencer avec succès les représentants et les sénateurs individuels à voter pour "la tendance,
la façon dont les choses vont". En utilisant des hommes clés sur Capitol Hill, IPS a pu pénétrer dans l'infrastructure
même de notre système législatif et dans son fonctionnement.
Pour ne donner qu'un seul exemple concret de ce dont je parle : en 1975, un point man IPS a persuadé le
représentant John Conyers (DMichigan) et quarantesept membres de la Chambre de demander à IPS de
préparer une étude budgétaire qui s'opposerait à la budget préparé par le président Gerald Ford. Bien que non
adoptée, la demande a été rétablie en 1976, 1977 et 1978, rassemblant des sponsors au fur et à mesure.
Puis, en 1978, cinquantesix membres du Congrès ont signé leur nom pour parrainer une étude budgétaire de l'IPS.
Cela a été préparé par Marcus Raskin. Le budget de Raskin prévoyait une réduction de cinquante pour cent du
budget de la défense, un programme de logement socialiste "qui concurrencerait et remplacerait régulièrement
les marchés privés du logement et des prêts hypothécaires", un service national de santé, "des
changements radicaux dans le système éducatif qui perturberaient le contrôle capitaliste sur la
distribution du savoir », et plusieurs autres idées socialistes très radicales.
L'influence de l'IPS sur les négociations sur le contrôle des armements a été un facteur majeur pour amener Nixon à
signer le traité ABM traître en 1972, qui a laissé les ÉtatsUnis pratiquement sans défense contre les
attaques ICBM pendant près de 10 ans. L'IPS est devenu, et reste à ce jour, l'un des "groupes de réflexion" les
plus prestigieux contrôlant les décisions de politique étrangère, que nous, le peuple, croyons bêtement être celles
de nos législateurs.
En parrainant l'activisme militant dans le pays et en ayant des liens avec des révolutionnaires à l'étranger, en
organisant des victoires telles que "The Pentagon Papers", en assiégeant la structure de l'entreprise, en comblant
le fossé de crédibilité entre les mouvements clandestins et l'activisme politique acceptable, en pénétrant dans
les organisations religieuses et en les utilisant pour semer la discorde en Amérique, comme la politique
raciale radicale sous le couvert de la religion, l'utilisation des médias de l'establishment pour diffuser
les idées de l'IPS, puis leur soutien, l'IPS a été à la hauteur du rôle pour lequel il a été fondé.
INSTITUT DE RECHERCHE DE STANFORD
Jesse Hobson, le premier président du Stanford Research Institute, dans un discours de 1952, a déclaré
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clairement quelles lignes l'institut devait suivre. Stanford peut être décrit comme l'un des "joyaux" de la
couronne de Tavistock dans sa domination sur les ÉtatsUnis. Fondée en 1946 immédiatement après la
fin de la Seconde Guerre mondiale, elle était présidée par Charles A. Anderson, en mettant l'accent sur la recherche
sur le contrôle de l'esprit et les "sciences futures". Sous l'égide de Stanford se trouvait la Fondation Charles F.
Kettering qui a développé les "Images changeantes de l'homme" sur lesquelles repose la conspiration du Verseau.
Certains des principaux clients et contrats de Stanford étaient d'abord centrés sur l'establishment de la défense
mais, à mesure que Stanford grandissait, la diversité de ses services augmentait également :
Applications des sciences du comportement à la gestion de la recherche.
Bureau de la science et de la technologie.
Programme d'intelligence d'affaires ISR.
Direction de la recherche et de l'ingénierie de la défense du département américain de la Défense.
Bureau de recherche aérospatiale du département américain de la Défense.
Parmi les sociétés recherchant les services de Stanford figuraient:
Wells Fargo Bank ,
Bechtel Corporation ,
Hewlett Packard ,
Bank of America ,
McDonnellDouglas Corporation , Blyth ,
Eastman Dillon et TRW Company .
L'un des projets les plus secrets de Stanford était un travail approfondi sur les armes de guerre
chimique et bactériologique (CAB). Stanford Research est connecté à au moins 200 "groupes de réflexion" plus
petits qui effectuent des recherches sur toutes les facettes de la vie en Amérique. Ceci est connu sous le nom de
mise en réseau ARPA et représente l'émergence de l'effort probablement le plus ambitieux pour contrôler
l'environnement de chaque individu dans le pays. À l'heure actuelle, les ordinateurs de Stanford sont reliés
à 2500 consoles de recherche "sœurs" qui incluent la Central Intelligence Agency (CIA), Bell Telephone
Laboratories, US Army Intelligence, l'Office of Naval Intelligence (ONI), RANI), MIT, Harvard et UCLA. Stanford
joue un rôle clé en ce sens qu'il s'agit de la «bibliothèque», cataloguant toute la documentation ARPA.
Les "autres agences" et on peut utiliser son imagination ici, sont autorisées à rechercher dans la "bibliothèque"
du SRI des mots clés, des phrases, à parcourir les sources et à mettre à jour leurs propres fichiers maîtres avec
ceux du Stanford Research Center. Le Pentagone, par exemple, utilise largement les "fichiers maîtres" du
SRI, et il ne fait aucun doute que d'autres agences gouvernementales américaines font de même. Les problèmes
de "commande et contrôle" du Pentagone sont résolus par Stanford.
Bien qu'apparemment ceuxci ne s'appliquent qu'aux armes et aux soldats, il n'y a absolument aucune
garantie que la même recherche ne puisse pas, et ne sera pas, tournée vers des applications
civiles. Stanford est connu pour être prêt à tout pour n'importe qui, et je suis convaincu que si jamais le SRI
devait être pleinement exposé, l'hostilité qui découlerait des révélations sur ce qu'il fait réellement forcerait
très probablement le SRI à fermer.
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MASSACHUSETTS INSTITUTE OF TECHNOLOGY, ALFRED P. SLOAN SCHOOL OF MANAGEMENT Cet institut
majeur n'est généralement
pas reconnu comme faisant partie de Tavistock USA La plupart des gens le considèrent comme une institution purement
américaine, mais c'est loin d'être le cas.
MITAlfred Sloan peut être grossièrement divisé en les groupes suivants :
Technologie contemporaine.
Relations industrielles.
Psychologie du groupe Lewin.
Laboratoires de recherche informatique NASAERC.
Bureau du groupe de recherche navale, psychologie.
Dynamique des systèmes.
Forrestor et Meadows ont rédigé l'étude sur la croissance zéro "Limits of Growth" du Club de Rome.
Certains des clients du MIT incluent les suivants :
Association américaine de gestion.
CroixRouge américaine.
Comité pour le développement économique.
GTE.
Institut d'analyse de la défense (IDA).
NASA.
Académie nationale des sciences.
Conseil national des églises.
Sylvanie.
TRW.
L'armée américaine.
Département d'État américain.
Marine américaine.
Trésor américain.
Société Volkswagen.
La portée de l'IDA est si vaste qu'il faudrait des centaines de pages pour décrire les activités dans lesquelles elle est
engagée, et l'IDA est entièrement décrite dans mon livre sur le rôle joué par les institutions et les fondations dans
la trahison contre les ÉtatsUnis d'Amérique, qui sera publié au début de 1992.
RAND RESEARCH AND DEVELOPMENT CORPORATION Sans aucun doute, RAND
est LE groupe de réflexion le plus redevable au Tavistock Institute et certainement le véhicule le plus prestigieux
de la RIIA pour le contrôle des politiques américaines à tous les niveaux. Les politiques RAND spécifiques qui sont
devenues opérationnelles incluent notre programme ICBM, les principales analyses pour l'élaboration de la politique
étrangère américaine, l'instigateur des programmes spatiaux, les politiques nucléaires américaines, les analyses
d'entreprise, des centaines de projets pour l'armée, la Central Intelligence Agency (CIA) en relation avec l'utilisation de
drogues altérant l'esprit comme le peyotl, le LSD (l'opération secrète MKUltra qui a duré 20 ans).
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Certains des clients de RAND incluent les suivants :
Compagnie américaine de téléphone et de télégraphe (AT&T).
Chassez Manhattan Bank.
Machines commerciales internationales (IBM).
Fondation nationale de la science.
Parti républicain.
TRW.
Armée de l'air américaine.
Département américain de l'énergie.
Département américain de la santé.
Il existe littéralement des MILLIERS d'entreprises, d'institutions gouvernementales et d'organisations très importantes
qui utilisent les services de RAND, et les énumérer toutes serait une tâche impossible. Parmi les "spécialités"
de RAND se trouve un groupe d'étude qui prédit le moment et la direction d'une guerre thermonucléaire, ainsi
que l'élaboration de nombreux scénarios basés sur ses découvertes. RAND a été une fois accusé d'avoir été
chargé par l'URSS d'élaborer les conditions de reddition du gouvernement des ÉtatsUnis, une accusation qui est
allée jusqu'au Sénat des ÉtatsUnis, où elle a été reprise par le sénateur Symington et a ensuite été victime
d'articles de loi. mépris déversé par la presse de l'establishment.
LE LAVAGE DE CERVEAU reste la fonction première de RAND.
Pour résumer, les principales institutions Tavistock aux ÉtatsUnis engagées dans le lavage de cerveau
à tous les niveaux, y compris le gouvernement, l'armée, les entreprises, les organisations religieuses et
l'éducation sont les suivantes :
Établissement Brookings.
Institut Hudson.
Institut d'études politiques.
Massachusetts Institute of Technology.
Laboratoires nationaux de formation.
Rand Research and Development Corporation.
Institut de recherche de Stanford.
Wharton School à l'Université de Pennsylvanie.
Selon mes sources, le nombre total de personnes employées par ces institutions est d'environ 50 000, avec
un financement de près de 10 milliards de dollars.
Certains grands comités mondiaux de 300 institutions et organisations sont les suivants:
Américains pour un Israël sûr.
Revue d'archéologie biblique.
Bilderberg.
British Petroleum.
Institut canadien des relations étrangères.
Fondamentalisme chrétien.
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Conseil des relations étrangères, New York.
Société égyptienne d'exploration.
Industries chimiques impériales.
Institut international d'études stratégiques.
Ordre des crânes et des os.
Fonds d'exploration de la Palestine.
Pauvres Chevaliers des Templiers
Royal Dutch Shell Company.
Internationale Socialiste.
Fondation d'Afrique du Sud.
Institut Tavistock des relations humaines.
Fondation du Mont du Temple.
Le club athée.
Le club du quatrième état de conscience.
L'Ordre Hermétique de l'Aube Dorée.
Le groupe Milner.
Les Princes Nasi.
L'Ordre de la Magna Mater.
L'Ordre du Désordre Divin.
Le RIIA.
La Table Ronde.
Commission trilatérale.
Francmaçonnerie universelle.
Sionisme universel.
Compagnie d'armement Vickers.
Commission Warren.
Comité du Watergate.
Parc Wilton.
Conseil œcuménique des Églises.
MEMBRES PASSÉS ET ACTUELS DU COMITÉ DES 300
Abergavemy, marquis de. Acheson, doyen. Adeane, Seigneur Michael. Agnelli, Giovanni.
Alba, duc d'. Aldington, Seigneur. Aleman, Miguel. Allihone, Professeur TE Alsop Family Designate. Amory,
Houghton. Anderson, Charles A. Anderson, Robert 0. Andreas, Dwayne. Asquith, Seigneur. Astor,
John Jacob et successeur, Waldorf. Aurangzeb, descendants de. Austin, Paul. Baco, Sir
Ranulph BalFour, Arthur. Balogh, Seigneur.
Bancroft, baron Stormont. Baring. Barnato, B. Barran, Sir John. Baxendell, Sir Peter.
Béatrice de Savoie, princesse. Beaverbrook, Seigneur. Beck, Robert. Beeley, Sir Harold. Beit, Alfred.
Benn, Anthony Wedgewood. Bennet, John W. Benneton, Gilberto ou Carlo suppléant. Bertie, Andrew.
Besant, Sir Walter. Bethal, Seigneur Nicolas. Bialkin, David. Biao, Keng. Bingham, Guillaume. Binny, JF
Blunt, Wilfred. Bonacassi, Franco Orsini.
Bottcher, Fritz. Bradshaw, Thorton. Brandt, Willy. Brewster, Kingman. Buchan, Alastair. Buffet,
Warren. Bullitt, William C. BulwerLytton, Edward. Bundy, McGeorge.
Bundy, Guillaume. Bush, Georges. Cabot, Jean. Désignation familiale. Caccia, baron Harold Anthony.
Cadman, Sir John. Califano, Joseph. Carrington, Seigneur. Carter, Edouard. Catlin,
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Donat. Catto, Seigneur. Cavendish, Victor CW Duc de Devonshire. Chamberlain, Houston Stewart.
Chang, VF Chechirin, Georgi ou Family Designate. Churchill, Winston.
Cicireni, V. ou famille désignée. Cini, comte Vittorio. Clark, Howard. Cleveland, Amory.
Cleveland, Harland. Clifford, Clark. Cobold, Seigneur. Cercueil, le révérend William Sloane.
Constanti, Maison d'Orange. Cooper, John. Désignation familiale. Coudenhove Kalergi,
comte. Cowdray, Seigneur. Cox, monsieur Percy. Cromer, Lord Evelyn Baring. Crowther, monsieur
Eric. Cumming, monsieur Mansfield. Curtis, Lionel. d'Arcy, William K. D'Avignon, comte Etienne.
Danner, Jean Duroc. Davis, John W. de Benneditti, Carlo. De Bruyne, Dirk. De Gunzberg, Baron
Alain. De Lamater, général de division Walter. De Ménil, Jean. De Vries, Rimmer. de Zulueta,
sir Philippe. d'Aremberg, marquis Charles Louis. Delano. Désignation familiale. Dent, R.
Deterding, Sir Henri. di Spadaforas, comte Guitierez, (Maison DouglasHome, Sir Alec.
Drake, Sir Eric. Duchene, François. DuPont. Edward, duc de Kent. Eisenberg, Shaul. Elliott,
Nicholas. Elliott, William Yandel. Elsworthy, Lord.
Fermier, Victor. Forbes, John M. Foscaro, Pierre. France, monsieur Arnold. Fraser, Sir Hugh.
Frederik IX, roi du Danemark famille désignée. Frères, Lazard. Frescobaldi, Lamberto.
Fribourg, Michel. Gabor, Denis. Gallatin, Albert. Désignation familiale. Garner, Richard.
Geddes, monsieur Auckland. Geddes, Sir Reay. Georges, Lloyd. Giffen, James. Gilmer, John D.
Giustiniani, Justin. Gladstone, Seigneur. Gloucestor, duc de. Gordon, Walter Lockhart.
Grâce, Peter J. Greenhill, Lord Dennis Arthur. Greenhill, Sir Dennis. Grey, monsieur Edouard.
Gyllenhammar, Pierres. Haakon, roi de Norvège. Haig, Sir Douglas. Hailsham, Seigneur.
Haldane, Richard Burdone. Halifax, Seigneur. Hall, sir Peter Vickers. Hambro, Sir Jocelyne.
Hamilton, Cyrille. Harriman, Averil. Hart, monsieur Robert. Hartman, Arthur H. Healey, Dennis.
Helsby, Seigneur. Sa Majesté la Reine Elizabeth II. Sa Majesté la Reine Juliana. Son Altesse
Royale la Princesse Beatrix. Son Altesse Royale la Reine Margreta. Heseltine, Sir William.
Hesse, descendants du grandduc, famille désignée. Hoffman, Paul G. Holland, William.
Maison de Bragance. Maison des Hohenzollern. Chambre, colonel Mandel. Howe,
monsieur Geoffrey. Hughes, Thomas H. Hugo, Thieman. Hutchins, Robert M. Huxley, Aldous.
Inchcape, Seigneur. Jamieson, Ken. Japhet, Ernst Israël. Jay, Jean. Désignation familiale.
Keynes, John Maynard. Jodry, JJ Joseph, Sir Keith. Katz, Milton. Kaufman, Asher.
Keith, Sir Kenneth. Keswick, Sir William Johnston, ou Keswick, HNL Keswick, William
Johnston. Kimberley, Seigneur. King, Dr Alexander. Kirk, Grayson L. Kissinger, Henry.
Kitchener, Lord Horatio. Kohnstamm, Max. Korsch, Karl. Lambert, baron Pierre.
Laurent, G. Lazar. Lehrman, Lewis. Lever, Sir Harold. Lewin, Dr Kurt. Lipmann, Walter.
Livingstone, Robert R. Famille désignée. Lockhart, Bruce. Lockhart, Gordon.
Linowitz, S. Loudon, Sir John. Luzzatto, Pieipaolo. Mackay, seigneur de Clasfern. Mackay
Tallack, Sir Hugh. Mackinder, Halford. MacMillan, Harold. Matheson, Jardine. Mazzini, Gueseppi.
McClaughlin, WE McCloy, John J. McFadyen, Sir Andrew. McGhee, George. McMillan,
Harold. Melon, Andrew. Mellon, William Larimer ou famille désignée. Meyer, Franck.
Michner, Roland. Mikovan, Anastas. Milner, Lord Alfred.
Mitterrand, François. Monet, Jean. Montague, Samuel. Montefiore, Lord Sebag ou Bishop Hugh.
Morgan, John P. Mott, Stewart. Montagne, Sir Brian Edward. Montagne, Sir Dennis.
Mountbatten, Lord Louis. Munthe, A., ou personne désignée par la famille. Naisbitt, John.
Neeman, Yuval. Newbigging, David. Nicols, seigneur Nicolas de Bethal. Normand,
Montague. O'Brien de Lotherby, Seigneur. Ogilvie, Angus. Okita, Saburo. Oldfield, Sir
Morris. Oppenheimer, Sir Earnest, et son successeur, Harry. Ormsby Gore, David (Lord
Harlech). Orsini, Franco Bonacassi. Ortolani. Umberto. Ostiguy, JPW Paley, William
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S. Pallavacini. Palme, Olaf. Palmerston. Palmstierna, Jacob. Pao, YK Pease, Richard T.
Peccei, Aurellio. Coucou, Sir Edmund. Pellegreno, Michel, Cardinal. Perkins, Nelson.
Pestel, Édouard. Peterson, Rodolphe. Petterson, Peter G. Petty, John R. Philip, prince, duc d'Édimbourg.
Piercy, George. Pinchott, Gifford. Pratt, Charles. Price Waterhouse, désigné. Radziwall. Ranier,
prince. Raskob, John Jacob. Récanati. Rees, John Rawlings. Rees, John. Rennie, Sir John.
Rettinger, Joseph. Rhodes, Cecil Jean.
Rockefeller, David. Rôle, Lord Eric d'Ipsden. Rosenthal, Morton. Rostow, Eugène.
Rothmere, Seigneur. Rothschild Elie de ou Edmon de et/ou Baron RothschiLd Runcie, Dr.Robert.
Russel, Lord John. Russel, Sir Bertrand. Saint Gouers, Jean. Salisbury, marquisse de Robert
Gascogne Cecil. Shelburne, Le Salisbury, Seigneur. Samuel, monsieur Marcus. Sandberg, MG
Sarnoff, Robert. Schmidheiny, Stephan ou les frères suppléants Thomas, Alexander. Schoenberg,
Andrew. Schröder. Schultz, George. Schwartzenburg, E. Shawcross, Sir Hartley. Sheridan, Walter.
Shiloach, Rubin. Silitoe, Sir Percy. Simon, Guillaume. Sloan, Alfred P. Smuts, janvier Spelman. Sproul,
Robert. Stals, Dr C. Stamp, désigné par la famille Lord. Acier, David. Stigre, George. Strathmore,
Seigneur. Fort, monsieur Kenneth. Fort, Maurice. Sutherland. Swathling, Seigneur. Swire, JK Tasse,
G. Ou Family Designate. Temple, Sir R. Thompson, William Boyce. Thompson, Seigneur. Thyssen
Bornamisza, baron Hans Henrich. Trevelyn, Lord Humphrey. Turner, monsieur Marc. Turner, Ted.
Tyron, Seigneur. Urquidi, Victor. Van Den Broek, H. Vanderbilt. Vance, Cyrus. Vérité, William C. Vesty,
Lord Amuel. Vickers, Sir Geoffrey. Villiers, suppléant de la famille Gerald Hyde. Volpi, comte. von Finck,
baron August. von Habsbourg, Archiduc Otto, Maison de HabsbourgLorraine. Von Thurn et Taxis,
Max. Wallenberg, Peter ou la famille désignée. Wang, Kwan Cheng, Dr Warburg, SC Ward Jackson, Lady
Barbara.
Warner, Rawleigh. Warke, Paul. Warren, comte. Watson, Thomas.
252
Webb, Sydney. Bien, David. Bien, Dr Andrew. Weinberger, Sir Caspar. Weizman, Chaïm. Wells, HG
Wheetman, Pearson (Lord Cowdray). Blanc, Sir Dick Goldsmith.
Whitney, Hétéro. Wiseman, Sir William. Wittelsbach. Wolfson, Sir Isaac. Bois, Charles. Jeune,
Owen.
BIBLIOGRAPHIE, RESUMES ET NOTES
PROJET DES ANNÉES 1980, Vance, Cyrus et Yankelovich, Daniel.
1984, Orwell, George.
APRÈS VINGT ANS : LE DÉCLIN DE L'OTAN ET LA RECHERCHE D'UNE NOUVELLE POLITIQUE EN
EUROPE, Raskin, Marcus et Barnett, Richard.
GUERRE AÉRIENNE ET STRESS, Janus, Irving.
UNE ENTREPRISE AMÉRICAINE ; LA TRAGÉDIE DE UNITED FRUIT, Scammel, Henry et McCann,
Thomas.
Machine Translated by Google
UNE INTRODUCTION AUX PRINCIPES ET À LA MORALE DE LA LÉGISLATION, Bentham, Jeremy. Dans
cet ouvrage de 1780, Bentham affirmait que "la nature a placé l'humanité sous la gouvernance de deux maîtres
souverains, la douleur et le plaisir... Ils nous gouvernent dans tout ce que nous faisons". Bentham a ensuite justifié
les horreurs des terroristes jacobins de la Révolution française.
RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE LEUMI, 1977.
À CE POINT DANS LE TEMPS : L'HISTOIRE À L'INTÉRIEUR DU COMITÉ DU WATERGATE DU SÉNAT,
Thompson, Fred.
Bernard Barker, l'un des cambrioleurs du Watergate, m'a dit où trouver Thompson, qui était l'avocat de la minorité
au sein du comité Ervin. Ma rencontre avec Barker a eu lieu à l'extérieur d'un supermarché A&P tout près du
Coral Gables Country Club à Coral Gables, en Floride. Barker a déclaré que Thompson était avec son
partenaire juridique qui rendait une courte visite à sa mère à Coral Gables, qui n'était qu'à environ cinq minutes
du supermarché A&P. J'y suis allé et j'ai rencontré Thompson qui a exprimé sa déception face à la façon
dont Ervin avait imposé des restrictions aussi sévères sur les preuves que lui, Thompson, pouvait
admettre.
BAKOU UNE HISTOIRE ÉVÉNEMENTIELLE, Henry, JD
BÊTES DE L'APOCALYPSE, O'Grady, Olivia
Maria. Ce livre remarquable donne des détails sur un grand nombre de personnages historiques, dont
William C. Bullitt, qui a conspiré avec Lloyd George pour couper l'herbe sous le pied des généraux russes blancs
Denekin et Rangle à une époque où ils avaient l'Armée rouge bolchevique sur le tout. au bord de la défaite. Il
donne également beaucoup d'informations sur l'industrie pétrolière totalement corrompue. Les informations
qu'il fournit sur Sir Moses Montefiore, de l'ancienne noblesse noire vénitienne Montefiores, sont
particulièrement intéressantes.
BRAVE NEW WORLD, Aldous Huxley.
POLITIQUE BRITANNIQUE DE L'OPIUM EN CHINE, Owen, David Edward.
POLITIQUE BRITANNIQUE DE L'OPIUM, FS Turner.
CECIL RHODES, Flint, John.
CECIL RHODES, L'ANATOMIE D'UN EMPIRE, Marlow, John.
CONFÉRENCE SUR LE DÉSÉQUILIBRE TRANSATLANTIQUE UNE COLLABORATION, Rappaport, Dr.
Anatol.
CONVERSATIONS AVEC DZERJINSKY, Reilly, Sydney. Dans les documents du renseignement britannique
non publiés.
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CRÉER UNE STRUCTURE COMPORTEMENTALE PARTICULIÈRE, Cartwright, Dorwin.
CRISTALISER L'OPINION PUBLIQUE, Bernays, Edward.
IDÉAUX DÉMOCRATIQUES ET RÉALITÉ, Mackinder, Halford.
ERVIN, SÉNATEUR SAM.
En plus d'entraver l'introduction de preuves vitales dans les audiences du Watergate, Ervin, à mon avis,
tout en se présentant comme une autorité constitutionnelle, a constamment trahi cette nation en s'opposant à
l'aide aux écoles religieuses, citant les opinions judiciaires dans l'affaire Everson. Ervin, un francmaçon de rite
écossais ce qui, à mon avis, est la raison pour laquelle il a été nommé président du comité du Watergate,
a finalement été honoré de recevoir le prestigieux prix "Soutien aux droits individuels" de rite écossais. En
1973, Ervin a organisé un déjeuner dans la salle à manger du Sénat en l'honneur du Souverain Grand
Commandeur Clausen.
EVERSON CONTRE. CONSEIL D'ÉDUCATION, 33O US I, 1947.
PAPIERS DE FRANCFORT, Boîte 99 et Boîte 125, " HUGO BLACK
CORRESPONDANCE ".
GNOSTICISME, MAMCHEANISME, CATHARISME, The New Columbia Encyclopedia.
OBJECTIFS DE MANLL, Lazlo, Ernin.
BANQUIER DE DIEU, Cornwell, Rupert.
Ce livre a donné un aperçu de P2 et du meurtre de Roberto Calvi P2 Masonry.
QUALITÉ HUMAINE, Peccei, A.
JOURNAL INTERNATIONAL D'ÉLECTRONIQUE.
INTRODUCTION À LA SOCIOLOGIE DE LA MUSIQUE, Adorno, Theo.
Adorno a été expulsé d'Allemagne par Hitler à cause de ses expériences musicales sur le culte de
Dionysos. Il a été transféré en Angleterre par les Oppenheimer où la famille royale britannique lui a donné
des installations à l'école Gordonstoun et leur soutien. C'est ici qu'Adorno a perfectionné le "Beatlemusic
Rock", le "Punk Rock", le "Heavy Metal Rock" et toute la clameur décadente qui passe pour la musique
d'aujourd'hui. Il convient de noter que le nom "The Beatles" a été choisi pour montrer un lien entre le rock
moderne, le culte d'Isis et le Scarab Beatle, un symbole religieux de l'Égypte ancienne.
INVASION DE MARS, Cantril.
Dans cet ouvrage, Cantril analyse les schémas de comportement des personnes qui ont fui dans la panique à
la suite de l'expérience d'Orson Wells sur l'hystérie de masse, en utilisant "WAR OF THE WORLDS"
de HG Wells.
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ENQUÊTE SUR L'ASSASSINAT DE KENNEDY, LE RAPPORT SANS
COMMISSION SUR LES CONCLUSIONS DE JIM GARRISON. Paris, Flamonde.
IPS REVISITÉ, Coleman, Dr John.
ISIS DÉVOILÉ, UN PASSEPARTOUT POUR LA SCIENCE ET LA THÉOLOGIE ANCIENNES ET
MODERNES, Blavatsky, Madame Helena.
JOHN JACOB ASTOR, HOMME D'AFFAIRES, porteur, Kenneth Wiggins.
PAPIERS DU JUGE BLACK, Boîte 25, Correspondance générale, Davies.
KING MAKERS, KING BREAKERS, L'HISTOIRE DE LA FAMILLE CECIL, Coleman, Dr. John.
THÉOLOGIE DE LA LIBÉRATION.
Les informations ont été tirées du travail de Juan Luis Segundo, qui à son tour s'est largement inspiré des
écrits de Karl Marx. Segundo a sauvagement attaqué l'instruction de l'Église catholique contre la théologie
de la libération telle qu'elle se trouve dans "Instruction sur certains aspects de la 'théologie de la libération'"
publiée le 6 août 1984.
DES MENSONGES PLUS CLAIR QUE LA VÉRITÉ, Barnett, Richard (membre fondateur d'IPS).
McCalls Magazine, janvier 1983.
GROUPE McGRAW HILL, PRESSE ASSOCIÉE.
Des extraits de reportages de 28 magazines appartenant à McGraw Hill et des articles d'AP.
MÉMOIRES D'UN AGENT BRITANNIQUE, Lockhart, Bruce.
Dans ce livre, on nous raconte comment la révolution bolchevique a été contrôlée depuis Londres.
Lockhart était le représentant de Lord Milner qui s'est rendu en Russie pour surveiller l'investissement de
Milner dans Lénine et Trotsky. Lockhart avait accès à Lénine et Trotsky à court terme, même si Lénine
avait fréquemment une salle d'attente remplie de hauts fonctionnaires et de délégués étrangers, certains
attendant de le voir depuis cinq jours. Pourtant, Lockhart n'a jamais eu à attendre plus de quelques
heures pour voir l'un ou l'autre des hommes. Lockhart portait une lettre signée par Trotsky informant tous
les responsables bolcheviques que Lockhart avait un statut spécial et devrait bénéficier de la plus grande
coopération à tout moment.
JEUX D'ESPRIT, Murphy, Michael.
DISQUES ANCIENS DIVERS, India House Documents, Londres.
EXPÉRIENCE MK ULTRA LSD, dossiers CIA 19531957.
M. WILLIAM CECIL ET LA REINE ELIZABETH, Lire, Conyers.
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MEURTRE, Anslinger, Henry.
Anslinger était à un moment donné l'agent numéro 1 de la Drug Enforcement Agency et son livre est très
critique de la soidisant guerre contre la drogue prétendument menée par les ÉtatsUnis.
Gouvernement.
MON PERE, UN SOUVENIR, Black, Hugo L., Jr.
CONSEIL NATIONAL DES ÉGLISES, Josephson, Emmanuel dans son livre « ROCKEFELLER,
INTERNATIONALISTE ».
L'IMPÉRIALISME PÉTROLIER, LA LUTTE INTERNATIONALE POUR LE PÉTROLE, Fischer, Louis.
PAPIERS DE SIR GEORGE BIRDWOOD, India House Documents, Londres.
MODÈLES DANS EASDEA TITLE I READING ACHIEVEMENT TESTS, Stanford Research Institute.
BOMBE POPULAIRE, Erlich, Paul.
PROFESSEUR FREDERICK WELLS WILLIAMSON, India House Documents, Londres.
FONDATION DE L'AGENDA PUBLIC. Fondée en 1975 par Cyrus Vance et Daniel Yankelovich.
OPINION PUBLIQUE, Lippmann, Walter.
LA RÉVOLUTION PAR LA TECHNOLOGIE, Coudenhove Kalergi, comte.
ROCKEFELLER, INTERNATIONALISTE.
Josephson détaille comment les Rockefeller ont utilisé leur richesse pour pénétrer l'Église chrétienne
en Amérique et comment ils ont ensuite utilisé leur agent numéro 1, John Foster Dulles qui leur était lié
pour maintenir leur emprise sur tous les aspects de la vie de l'église dans ce pays. .
CHAMBRE 3603, Hyde, Montgomery.
Le livre donne quelques détails sur les opérations de renseignement britanniques M16 dirigées par Sir William
Stephenson depuis le RCA Building à New York; mais, comme d'habitude avec les "histoires de couverture",
les événements RÉELS ont été omis.
RELATIONS SPÉCIALES : L'AMÉRIQUE EN PAIX ET EN GUERRE, WheelerBennet, Sir John.
ÉTAPES VERS L'ÉCOLOGIE DE L'ESPRIT, Bateson, Gregory.
Bateson était l'un des scientifiques des nouvelles sciences de Tavistock parmi les cinq premiers à Tavistock et
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plus tard a fait beaucoup pour formuler et gérer la guerre de 46 ans contre l'Amérique menée par
Tavistock.
MÉDICAMENT STERLING. William C. Bullitt a déjà fait partie de son conseil d'administration et a également siégé au
conseil d'IG Farben.
L'ÈRE TECHNOTRONIC, Brzezinski, Z.
LE TERRORISME AUX ÉTATSUNIS, Y COMPRIS LES ATTAQUES CONTRE NOUS
AGENCES DE RENSEIGNEMENT : Fichiers FBI n° 100447935, n° 100447735 et n° 100446784.
LES DOCUMENTS DU CAIRE, Haikal, Mohammed.
Haïkal était le grand vieil homme du journalisme égyptien, et il était présent à l'interview donnée à Chou Enlai
par Nasser dans laquelle le dirigeant chinois a juré de « se venger » de la GrandeBretagne et des États
Unis sur leur commerce d'opium en Chine.
LE GOÛT DEVANT, Peccei, A.
LES DlAIRES DE SIR BRUCE LOCKHART, Lockhart, Bruce.
L'INGÉNIERIE DU CONSENTEMENT, Bernays.
Dans ce livre de 1955, Bernays expose le modus operandi de la façon de persuader des groupes ciblés
de changer d'avis sur des questions importantes qui peuvent modifier et modifient effectivement
l'orientation nationale d'un pays. Le livre traite également du déchaînement de troupes de choc
psychiatriques comme nous le voyons dans les organisations lesbiennes et homosexuelles, les groupes
environnementaux, les groupes de défense des droits à l'avortement, etc. Les «troupes de choc psychiatrique»
étaient un concept développé par John Rawlings Reese, le fondateur du Tavistock Institute of Human Relations.
LE BUDGET FÉDÉRAL ET LA RECONSTRUCTION SOCIALE, boursiers IPS Raskin et Barnett. Une liste de
membres du Congrès qui ont demandé à IPS de produire l'étude budgétaire alternative et/ou l'ont soutenue
est trop longue pour être incluse ici mais contenait des noms aussi importants que Tom Harkness, Henry Ruess,
Patricia Schroeder, Les Aspin, Ted Weiss, Don Edwards, Barbara Mikulski, Mary Rose Oakar, Ronald Dellums
et Peter Rodino.
LES HUXLEYS, Clark.
LE COMMERCE IMPÉRIAL DE LA DROGUE, Rowntree.
LES JÉSUITES, Martin, Malachie.
LE PLUS TARD CECILS, Rose, Kenneth.
L'HÉRITAGE DE MALTHUS, Chase, Allan.
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LA GESTION DE LA CROISSANCE DURABLE, Cleveland, Harlan.
Cleveland a été mandaté par l'OTAN pour faire un rapport sur l'étendue de la politique postindustrielle
du Club de Rome
Le projet de sociétécroissance zéro visant à détruire la base industrielle des ÉtatsUnis avait réussi.
Ce document choquant devrait être lu par tout patriote américain qui ressent le besoin urgent d'une
explication sur la raison pour laquelle les ÉtatsUnis sont dans une profonde dépression
économique à la fin de 1991.
LES HOMMES QUI DIRIGENT L'INDE, Woodruff, Philip.
LA CONSPIRATION OUVERTE, Wells, HG
Dans cet ouvrage, Wells décrit comment, dans le Nouvel Ordre Mondial (qu'il appelle la Nouvelle
République), les « mangeurs inutiles », la population excédentaire, seront éliminés : « Les hommes de la
Nouvelle République ne seront pas dégoûtés ni d'affronter ni d'infliger la mort... Ils auront un idéal qui
rendra le meurtre valable ; comme Abraham, ils auront la foi pour tuer, et ils n'auront aucune superstition au
sujet de la mort... Ils soutiendront, je prévois, qu'une certaine partie de la population n'existe que sur la
souffrance par pitié et patience, et, étant entendu qu'ils ne se propagent pas, et je ne vois aucune raison
de s'y opposer, qu'ils n'hésiteront pas à tuer quand cette souffrance est abusée... Tous de tels meurtres
seront commis avec un opiacé... Si des punitions dissuasives sont utilisées dans le code du futur, la
dissuasion ne sera ni la mort, ni la mutilation du corps... mais une bonne douleur causée scientifiquement."
Les ÉtatsUnis ont un très grand contingent de convertis de Wells qui n'hésiteraient pas à suivre les
diktats de Wells, une fois que le Nouvel Ordre Mondial deviendrait une réalité.
Walter Lippmann était l'un des disciples les plus ardents de Wells.
LA POLITIQUE DE L'EXPÉRIENCE, Laing, RD
Laing était psychologue du personnel à Tavistock et, sous Andrew Schofield, membre du conseil
d'administration.
LA POLITIQUE DE L'HÉROÏNE EN ASIE DU SUDEST, McCoy, Alfred W., Read, CB et Adams, Leonard
P.
LE PROBLÈME DE LA CHINE, Russell, Bertrand.
LES CONFEREES PUGWASH, Bertrand Russell.
Au début des années 1950, Russell a dirigé un mouvement appelant à une attaque nucléaire contre la
Russie. Lorsqu'il a été découvert, Staline a prévenu qu'il n'hésiterait pas à riposter en nature. Cela a conduit
à une rapide "repensée" de la part de Russell, qui est devenu presque du jour au lendemain un pacifiste,
ainsi est née la campagne "Ban the Bomb" pour le désarmement nucléaire (CND) dont sont issus les
scientifiques antinucléaires de Pugwash. En 1957, le premier groupe se réunit au domicile de Cyrus
Eaton en NouvelleÉcosse, un communiste américain de longue date. Les Pugwash Conferees se
sont consacrés aux questions antinucléaires et environnementales et ont été une épine dans le pied
des efforts américains pour développer des armes nucléaires.
LE MOUVEMENT DE LA TABLE RONDE ET L'UNION IMPERIALE, Kendle, John.
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LA STRUCTURE DE L'INDUSTRIE DE LA MUSIQUE POPULAIRE ; LE PROCESSUS DE
FILTRAGE PAR LEQUEL LES DOSSIERS SONT SÉLECTIONNÉS POUR LA CONSOMMATION
PUBLIQUE, Institute for Social Research. Cet ouvrage explique comment les "Hit Parades", "The Top
Ten" maintenant étendus au "Top Forty" et d'autres charades sont construits pour tromper les auditeurs
et les convaincre que ce qu'ils entendent est ce qu'"ILS" aiment !
LES ŒUVRES DE JEREMY BENTHAM, Bowering, John.
Bentham était le libéral de son époque et l'agent de Lord Shelburne, Premier ministre britannique
à la fin de la guerre d'indépendance américaine. Bentham croyait que l'homme n'était rien de plus
qu'un animal commun, et les théories de Bentham ont ensuite été rédigées par son protégé, David
Hume. Écrivant à propos de l'instinct chez les animaux, Hume a dit, "... que nous sommes si susceptibles
d'admirer comme extraordinaire et inexplicable. Mais notre émerveillement cessera ou diminuera
peutêtre si nous considérons que le raisonnement expérimental luimême que nous possédons en
commun avec les bêtes, et sur dont dépend toute la conduite de la vie, n'est rien d'autre qu'une espèce
d'instinct ou de puissance mécanique qui agit en nous à notre insu... Quoique les instincts soient
différents, c'est pourtant un instinct."
PERSPECTIVE TEMPORELLE ET MORAL, Levin B.
POUR UNE PSYCHOLOGIE HUMANISTIQUE, Cantril.
RAPPORT SUR LES TENDANCES, Naisbitt, John.
CONGRÈS DES ÉTATSUNIS, COMITÉ DE LA MAISON SUR LA SÉCURITÉ INTÉRIEURE, RAPPORT
SUR L'INSTITUT D'ÉTUDES POLITIQUE (IPS) ET LES PENTAGON PAPERS.
Au printemps 1970, l'agent du FBI William McDermott est allé voir Richard Best, qui était à l'époque le
principal agent de sécurité de Rand, pour l'avertir de la possibilité qu'Ellsberg ait retiré les documents
d'étude sur le Vietnam rédigés par Rand et les ait copiés à l'extérieur des locaux de Rand. . Best a
emmené McDermott voir le Dr Harry Rowan qui dirigeait Rand et qui était également l'un des amis les
plus proches d'Ellsberg. Rowan a déclaré au FBI qu'une enquête du ministère de la Défense était
en cours et sur son assurance, le FBI a apparemment abandonné son enquête sur Ellsberg. En fait,
aucune enquête n'était en cours et le DoD n'en a jamais mené.
Ellsberg a conservé son habilitation de sécurité chez Rand et a continué de manière flagrante à
supprimer et à copier des documents sur la guerre du Vietnam jusqu'au moment de son
exposition lors de l'affaire des Pentagon Papers qui a secoué l'administration Nixon dans ses fondements.
COMPRENDRE LE COMPORTEMENT SOCIAL DE L'HOMME, Cantril.
Cantril était principalement responsable de la création de l'Association pour la psychologie
humaniste basée à San Francisco qui enseignait les méthodes Tavistock. C'est dans les institutions de
ce type que l'on constate que les frontières entre la science pure et l'ingénierie sociale s'effacent
totalement. Le terme « ingénierie sociale » couvre tous les aspects des méthodes utilisées par Tavistock
pour provoquer des charges massives dans l'orientation du groupe vers des événements sociaux,
économiques, religieux et politiques et le lavage de cerveau des groupes cibles qui croient alors que
les opinions exprimées et les points de vue adoptés sont les leurs. Des individus sélectionnés ont subi
le même traitement tavistockien, entraînant des changements majeurs dans la personnalité et le comportement.
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L'effet de cela sur la scène nationale a été, et est toujours, dévastateur et est l'un des principaux
facteurs qui ont amené les ÉtatsUnis dans l'état de crépuscule, de déclin et de chute dans lequel le
pays se trouve à la fin de 1991. J'ai fait un rapport sur cette condition nationale sous le titre : « Twilight,
Decline and Fall of the United States of America » qui a été publié en l987. L'Association pour la
psychologie humaine a été fondée par Abraham Maselov en 1957 dans le cadre d'un projet du Club
de Rome. Un autre centre de recherche sur l'opinion publique commandé par le TavistockClub de
Rome a été créé par Risis Likehrt et Ronald Lippert qui l'ont appelé le Centre de recherche sur
l'utilisation des connaissances scientifiques. L'établissement était sous la direction de Donald
Michael du Club de Rome.
Le centre s'appuya largement sur l'Office of Public Opinion Research établi à l'Université de
Princeton en l940. C'est à partir de là que Cantril a enseigné de nombreuses techniques utilisées par les
sondeursfaiseurs d'opinion d'aujourd'hui.
LETTRES INÉDITES, Kipling, Rudyard.
Kipling était un disciple de Wells et, comme Wells, croyait au fascisme, comme moyen de contrôle du
monde. Kipling a adopté la Running Cross comme emblème personnel. La Running Cross a ensuite été
adoptée par Hitler et, avec de légères modifications, est devenue connue sous le nom de croix gammée.
LETTRES NON PUBLIÉES, Wells, HG Donne des détails intéressants sur la façon dont Wells a vendu
les droits de "WAR OF THE WORLDS" à RCA.
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