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Master 2 EEAI Année Universitaire 2021-2022

EXPOSÉ D’ENTREPRENEURIAT

THÈME : LA RECHERCHE SCIENTIQUE FACE AUX


ENJEUX DE L’ENTREPRENEURIAT :
QUEL CONTRIBUTION DANS LE DOMAINE
DE LA TECHNOLOGIE

Etudiants :
Enseignant :
KOUAMÉ YAO KAN FRANCIS
M.SIGNO
BERTHÉ SALOMOND

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Sommaire…………………………………………………………………………………..1
Introduction………………………………………………………………………………..2
Partie I : définition des termes…………...……………………………………….3
I.1 L’entrepreneuriat……………………………………………………………………3
I.2 La recherche scientifique………………………………………………………..3
I.3 La technologie………………………………………………………………..……….4
Partie II: Les enjeux de la recherche scientifique…………………………..4
II.1 Les enjeux économique…………………………………………………………..4
II.2 Les enjeux sociaux…………………………………………………………………..5
II.3 Les enjeux liés à l’innovation…………………………………………………..6
Partie III : L’apport de la recherche scientifique face aux enjeux de
l’entrepreneuriat……………………………………………………………………………7
III.1 Dans le domaine des TIC………………………………………………………….9
III.2 Dans le domaine du commerce : le e-commerce…………………….10
IV Conclusion…………………………………………………………………………………11
Reference bibliographique……………………………………………………..……..12

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INTRODUCTION
Depuis plus d’une décennie, plusieurs pays souffrent de la crise économique.
Un taux de chômage élevé, une hausse des prix des produits alimentaires,
une chute du secteur du tourisme, des entrées de capitaux limitées, etc.
Dans ce contexte, le développement de l’esprit entrepreneurial, de la
créativité et l’innovation peut être la clé pour stimuler la relance de l’activité
économique dans la région.
La création et le développement des entreprises sont deux réponses essentielles
aux problèmes économiques auxquels sont confrontés les pays : la croissance
de l’emploi, l’innovation, la réduction des déficits et de la dette, la sauvegarde
des régimes sociaux.

Notre travail est subdivisé en trois parties :


Dans la première partie, nous définissons quelques notions, ensuite dans la
seconde partie nous parlons des enjeux auxquels sont confronté
l’entrepreneuriat, enfin dans la troisième partie nous parlons de l’apport de la
recherche scientifique face à ces enjeux.

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Partie I : DEFINITION DES TERMES

I-1 L’entrepreneuriat
L’entrepreneuriat peut être définit comme l’ensemble des actions visant à
créer la richesse et l'emploi par la création d'une entreprise.

Schumpeter définit l’entrepreneur comme une personne qui veut et qui est
capable de transformer une idée ou une invention en une innovation
réussie, dynamisme industriel et de la croissance à long terme.

I-2- La recherche scientifique


La recherche scientifique consiste en une démarche rationnelle, organisée et
rigoureuse, pour étudier et comprendre. Elle élève le niveau de la pensée,
approfondit par la réflexion et la critique des chantiers déjà ouverts, exploré
par le raisonnement, l’intuition et l'expérience des domaines encore inconnus
de notre univers. Une telle démarche comporte, par ailleurs, des moments de
création d’où surgit la formulation d’hypothèses et d’approches inédites, qui
vont permettre de renouveler les perspectives et les méthodologies, et de
procéder à des innovations. La recherche scientifique a pour fonction première
la formulation de questions nouvelles et la production de nouveaux savoirs; elle
contribue à créer ou à baliser le futur par le progrès de tous les domaines de la
connaissance, de même que par la diffusion et le partage de ces avancées avec
la société. Elle constitue à la fois un moyen de former les individus à la
découverte du monde et à sa compréhension, et une source d’innovations
technologiques et sociales. La recherche scientifique nécessite donc la
communication et la diffusion de ses résultats.

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I-3 La technologie
La technologie est l'étude des outils et des techniques. C’est à dire les
observations sur l'état de l'art aux diverses périodes historiques, en matière
d'outils et de savoir-faire…

Partie II : LES ENJEUX DE L’ENTREPRENEURIAT


L’entrepreneuriat est un moteur économique majeur qui permet de lutter contre
la pauvreté et de mieux répartir la richesse tant dans les pays développés que
dans ceux en développement. Cependant, Beaucoup de créations d’entreprises «
à haut potentiel » font appel au capital risque ou à des Business angels pour
développer leur activité. De nombreuses structures existent aujourd’hui pour
aider les entrepreneurs potentiels tels que des agences gouvernementales des
incubateurs, des pépinières d’entreprises et certaines organisations non
gouvernementales. Or, devant le manque de modèles contextualisés, la stratégie
est souvent d’adopter des approches standardisées ou encore des modèles
développés pour des contextes bien différents à plusieurs égards. Ce faisant,
l’un des enjeux importants est lié aux limites relatives à la transférabilité des
modèles développés et les stratégies d’adaptation déployées par les
organisations d’un contexte spécifique à un autre. Bien que plusieurs études
mentionnent l’importance de pratiques endogènes dans le développement des
entreprises locales, la production scientifique qui traite spécifiquement des
éléments à considérer dans la transférabilité des pratiques entrepreneuriales et
des adaptations nécessaires, tant au niveau des approches que des services
offerts, demeure à enrichir. Des travaux permettant le développement de
pratiques propres et adaptées à chaque contexte sont également souhaitables.

II-1 Les enjeux économiques


En plus d’introduire sur le marché des innovations, les entrepreneurs créent
aussi des opportunités qui permettront à d’autres de tirer parti de leurs
découvertes et de leurs innovations. Ce processus d’innovation permanent
engendre un changement technologique propice à la croissance économique. Le
nombre d’entrepreneurs varie d’un pays à l’autre, et cette différence explique en
partie les écarts de taux de croissance économique.

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Néanmoins, les données empiriques montrant que l’entrepreneuriat mène à la
croissance et au développement économiques sont contrastées. Ce n’est pas un
constat étonnant, étant donné la diversité des définitions de l’entrepreneuriat et
des contextes dans lequel celui-ci s’inscrit. On a pu constater que les différences
dans le taux d’entrepreneuriat observées entre les pays représentent entre un
tiers et la moitié du taux de croissance économique dans certains pays. Si ces
études concluent que l’entrepreneuriat conduit à une croissance économique
vigoureuse dans les pays en transition et dans les pays à revenu élevé, d’autres
avancent que l’entrepreneuriat n’a aucune incidence dans les pays à faible
revenu, tels que ceux d’Afrique, et que le rôle des entrepreneurs dans les pays
en développement diffère de celui qu’ils jouent dans le monde développé. Alors
que, dans les pays développés, les entrepreneurs se concentrent sur l’innovation
et sur les activités de recherche et développement (R-D), dans les pays en
développement, ils s’attachent avant tout à fabriquer pour le marché local, à un
coût inférieur, des produits disponibles sur le marché mondial. On peut
considérer que l’entrepreneuriat n’a pas joué jusqu’à présent un rôle
fondamental dans la croissance en Afrique. Comme l’a montré le chapitre 1, les
taux de croissance élevés que l’Afrique affiche depuis peu résultent en grande
partie des réformes structurelles mises en œuvre au niveau macro, et non pas
des gains de productivité au niveau micro. De plus, comme le souligne l’édition
2011 du Rapport sur la compétitivité en Afrique, seuls quatre pays africains
(l’Afrique du Sud, le Kenya, le Sénégal et la Tunisie), qui obtiennent un bon
score dans l’indice de l’innovation, peuvent soutenir la comparaison avec
l’Italie et l’Inde dans ce domaine. Dans l’ensemble, en effet, les économies
africaines restent peu diversifiées, leur part dans le commerce mondial est
encore modeste et elles pâtissent d’un manque de qualifications et d’une faible
capacité d’absorption des nouvelles technologies

II-2 Les enjeux sociaux


L’entrepreneuriat influe sur la croissance et le développement économiques,
mais les taux d’entrepreneuriat diffèrent d’un pays à l’autre selon le niveau de
développement économique. Les études font apparaître une relation en forme de
U entre ces deux variables. Le taux d’activité entrepreneuriale à un stade
précoce (TEA) est substantiel dans les pays présentant un niveau de
développement économique faible ou élevé (mesuré par le PIB par habitant). Il
est en revanche inférieur dans les pays qui en sont à un stade de développement
économique intermédiaire. Il importe néanmoins de noter que le taux de TEA
inclut à la fois l’entrepreneuriat motivé par la nécessité et l’entrepreneuriat

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motivé par des opportunités. À mesure que le niveau de développement
économique s’accroît, la prévalence de l’entrepreneuriat motivé par
l’opportunité ou par l’innovation augmente et le taux d’entrepreneuriat motivé
par la nécessité diminue. C’est ce qui explique la relation en forme de U entre
les taux d’entrepreneuriat et le niveau de donné.

II-3 Les enjeux liés à l’innovation


Les enjeux liés à l’innovation sont cruciaux car elle permet aux entreprises de
créer ou renforcer leurs avantages compétitifs en se différenciant de leurs
concurrents et gagnant ainsi des parts de marché. En effet, elle peut se définir
comme « tout processus permettant de tirer des avantages économiques et
sociaux des connaissances constituées grâce à l’élaboration et à la
matérialisation d’idées débouchant sur la mise au point ou l’amélioration de
produits, de services ou de procédés » (Source: Fonds pour l’innovation Section
Projets et Innovation Canadien).
L’innovation est donc la source de la pérennité de la plupart des firmes
centenaires (Sahut et al., 2009) et un facteur essentiel de la croissance
économique des nations. Cela explique pourquoi les politiques publiques y
prêtent autant d’attention et contribuent à son financement. On peut notamment
citer en France le dispositif du crédit impôt recherche qui en 2009 a coûté à
l’Etat plus de 2 milliards d’euros. On observe également, dans la plupart des
pays, que les firmes les plus intensives en TIC sont aussi celles qui innovent
plus fréquemment et combinent plusieurs types d’innovation. Pour les
entreprises, le choix des TIC est lié à leurs caractéristiques organisationnelles et
en fonction des objectifs qu’elles veulent atteindre. Le succès de l’adoption
d’une TIC par les entreprises repose sur leurs capacités dynamiques et sur le
type d’innovation technologique. En matière d’innovation, on dénote
principalement deux sortes de catégories selon leur degré de transformation : les
innovations majeures et les innovations d’adaptation. Les premières se
traduisent par l’apparition d’un produit ou d’un procédé entièrement novateur
qui n’existe pas sur le marché. Les secondes caractérisent des améliorations de
produits déjà existants ou encore l’introduction de produits sur un nouveau
marché, dont l’existence est déjà connue sur un autre marché plus ancien.
Mais, toutes les combinaisons d’innovation n’assurent pas forcément la création
d’un avantage comparatif durable. On remarque que les impacts de chaque type
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d’innovation sont maximums lorsque la combinaison mise en œuvre
regroupe au moins un changement organisationnel et une innovation produit. De
plus, le développement d’innovation et leur exploitation commerciale
nécessitent des qualités personnelles et managériales spécifiques ainsi qu’une
forte motivation que la littérature en entrepreneuriat s’efforce de mettre en
lumière.
Les enjeux de la recherche sur l’innovation, compte tenu de ses impacts sur les
entreprises et la croissance économique, sont donc nombreux mais un long
chemin reste à parcourir afin de mieux comprendre comment les innovations
émergent, permettent de créer des avantages comparatifs, influencent la
structuration des marchés, et doivent-elles mise en œuvre ?

Partie III : L’apport de la recherche scientifique face aux


enjeux de l’entrepreneuriat
Les secteurs de haute technologie, telle la biotechnologie, l’intelligence
artificielle ou la robotique, se développent sur la base de forts investissements
en recherche et développement (RD), dont une grande proportion des avancées
est issue des laboratoires universitaires. La recherche scientifique, au cœur du
développement technologique, est propice à l’éclosion d'innovations
commercialisables par des organisations, en grande majorité privée et dirigée
par des entrepreneurs. L’enjeu est donc de réussir à connecter ensemble deux
univers aux logiques bien différentes, voire souvent opposées : le milieu
académique et le milieu des affaires.

Comme le rappellent le chercheur italien Riccardo Fini et ses collègues, les


universitaires produisent un savoir reconnu par la communauté scientifique à
travers la publication de leurs découvertes. À l’inverse, les succès commerciaux
sont basés sur des applications spécifiques des connaissances, où la protection
de la propriété intellectuelle, la vitesse de développement et l’appropriation de
la valeur sont plus importantes que le caractère nouveau des savoirs. Ces
spécificités amènent pour le chercheur des tensions au niveau organisationnel,
mais surtout au niveau individuel. Lorsqu’on enfile le chapeau de chercheur, la
finalité est la découverte et tout ce qui compte, ou presque, c’est de faire
avancer les connaissances. Avec le chapeau d’entrepreneur, les besoins des
clients et les possibilités de production rentable deviennent cruciales. Comme
chercheur, le temps dépend de l’objectif à atteindre. Comme entrepreneur, le
temps dépend de la rentabilité : comme on dit, le temps, c’est de l’argent! Si le
chercheur veut diffuser ses résultats au plus grand nombre, l’entrepreneur
conserve jalousement ses découvertes. Ces tensions influencent les
comportements de collaboration des scientifiques, les décisions stratégiques de
la commercialisation des avancées scientifiques, et même les perceptions que

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les acteurs et actrices dans l’environnement d’affaires ont du porteur de projet
quant à sa légitimité ou quant à la pertinence de lui accorder les ressources qu’il
souhaite obtenir.

Le ou la scientifique qui « traverse la ligne » pour s’engager dans des activités


de commercialisation, notamment en s’aventurant dans l’entrepreneuriat
académique qui combine les deux rôles, rencontre des enjeux de « gestion » de
son identité professionnelle. La personne se demande si, à ses yeux et aux yeux
des autres (ses pairs, ses ami-e-s, ses collaborateur-trice-s, etc.), est un-e
scientifique ou un(e) entrepreneur(e)? Ou peut-être les deux? Et comment doit-
elle concilier ces positions aux objectifs parfois antagonistes? Ses motivations et
les spécificités de son environnement aideront à clarifier : l’intérêt de
développer et de diffuser la technologie, de toucher un gain financier, le service
aux collectivités et l’encouragement des pairs, tout comme les préférences
individuelles et les buts, les normes départementales et de la discipline ainsi que
les pressions sociales.

Au-delà des motivations, la personne doit aussi s’estimer compétente pour


devenir entrepreneur. En effet, sans ce sentiment de compétence personnelle
(auto-efficacité entrepreneuriale), il est peu probable qu’elle développe
l’intention de devenir entrepreneur et qu’elle s’engage dans un tel projet. Dans
cette perspective, le fait d’avoir des modèles dans son entourage favorise
grandement la démystification de l’entrepreneuriat, en particulier des modèles
d’entrepreneuriat académique.

III-1 Dans le domaine des TIC

Rares sont les travaux qui traitent des entrepreneurs dans les industries de haute
technologie et encore moins dans les TIC. Parmi ces quelques travaux,
Marvel et al. (2007) ont étudié l’expérience, l’éducation et les connaissances
originales en matière de technologie des entrepreneurs high-tech. Ces auteurs
considèrent que le capital humain et le capital spécifique, notamment
l’éducation et la connaissance de la technologie, sont deux atouts cruciaux
concernant l’innovation. Marvel et al. (2007) concluent que le capital humain
des « entrepreneurs technologiques » leur confère des avantages uniques. De la
même façon, Wright et al. (2007) montrent l’influence positive des

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caractéristiques du capital humain sur la réussite de l’entrepreneuriat
technologique.
Plusieurs facteurs expliquent le fait qu’il y ait si peu de recherches sur
l’entrepreneuriat TIC. D’abord, définir le secteur et identifier les entreprises et,
donc, les entrepreneurs, qui le composent constitue déjà un grand défi. En effet,
dans les classifications officielles, les activités dans les TIC sont largement
dispersées en sous-sections d’autres secteurs. Ensuite, les firmes adaptent sans
cesse leurs produits pour les faire évoluer avec le marché. Cela réduit, de fait,
les possibilités de regrouper dans la durée les activités des entreprises au sein de
classifications spécifiques.
Dans la classification de l’industrie à partir de l’ISIC (International Standard
Industrial Classification), le niveau d’analyse constitué de quatre chiffres (pour
l’Union européenne : Statistical Classification of Economic Activities, NACE,
Rev. 1) est marqué par une grande hétérogénéité. En prenant l’exemple de la
France, la comparaison des données publiées par les différentes institutions qui
produisent des statistiques publiques montre de grandes différences quant au
nombre de firmes et d’emplois dans les TIC : de 56 000 à 99 800 entreprises
pour 705 000 à presque un million d’employés (Cases, Favre et François, 1999 ;
Heitzmann et Rouquette, 1999 ; INSEE, 2000/2001 ; Lombard et Roussel,
2001).
Un deuxième facteur explicatif du faible nombre de recherches sur
l’entrepreneuriat TIC réside dans le fait que les entreprises high-tech sont
rarement similaires et que de grosses différences existent entre les subdivisions
de la classification standard. Par exemple, ce sont les services qui sont le
principal moteur de cette croissance et, particulièrement, les services liés à
l’informatique, tandis que d’autres subdivisions, comme l’industrie TIC, y
contribuent plus modestement. Cette hétérogénéité est également marquée par
des différences très fortes en matière de taille moyenne des firmes.
Dans une troisième explication, dans de nombreux pays, la disponibilité de
données s’avère limitée et constitue un obstacle majeur (Chandler et Lyon,
2001). Cette difficulté peut alors expliquer l’hétérogénéité des recherches et des
résultats constatés dans la littérature.
Enfin, il est primordial de préciser que les résultats issus de la recherche et un
corpus littéraire significatif apparaissent généralement avec un certain temps de
retard par rapport à l’apparition de l’objet de recherche. Cela est
particulièrement vérifié à propos des secteurs émergents. De manière générale,
le défi posé par la définition d’un secteur émergent et structurellement
hétérogène, comme peut l’être celui du secteur des TIC, s’inscrit dans la durée,
surtout si l’on considère le temps de mesure et de collecte des données, ainsi
que le laps de temps qui existe entre la conduite des recherches et leur

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publication. Cet état de fait aboutit alors à une connaissance insuffisante des
spécificités des entrepreneurs dans le secteur des TIC.

III-2 Dans le domaine du commerce : Le e-commerce


Le terme «e-commerce» (ou «commerce électronique») désigne toutes les
transactions conclues de manière numérique. Qu'il s'agisse d'acheter des
produits, d'effectuer des paiements en ligne… L'e-commerce n'est pas nouveau.
Depuis les années 70, les banques pratiquent l'e-commerce pour les échanges
numériques de fonds. Le terme a toutefois gagné en notoriété ces dernières
années grâce à l'émergence des achats en ligne dans des boutiques virtuelles,
partout dans le monde. Le e-Commerce, une solution idéale pour
entrepreneuriat. Une étude de 2016 a montré que 25% des e-commerçants
TPE/PME ont choisi l’e-Commerce pour créer leur entreprise. C’est un secteur
qui facilite aujoud40% des e-Commerçants sont des pure players et concentrent
leur activité sur la vente en ligne uniquement, 75% des sites marchands ont
généré des ventes hors ligne, 63% des commerçants qui pratiquent le commerce
en ligne bénéficient d’un impact positif de leur site marchand vers leur boutique
physique.

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IV-Conclusion
L'entrepreneuriat n'est pas qu'une thématique de créateur d'entreprise.
L'entrepreneuriat est aussi une thématique qui touche les grandes entreprises,
comme tous les managers à tous les niveaux d'une entreprise. Entreprendre et
réussir un nouveau projet ne consiste pas à trouver l'idée géniale, rédiger le
meilleur business plan ou rédiger une excellente note de service. La réussite
entrepreneuriale est avant tout une démarche qui s'ancre dans le réel et le
concret. Elle nécessite une grande rigueur méthodologique afin de ne pas
déraper techniquement vers une logique causale qui mènera le projet à sa perte
si le projet est encore incertain. Effectivement, la logique procédurale semble
une constante dans la réussite des projets innovants quel que soit la taille de
l'entreprise.

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Reference bibliographique

[1] M. R. D. à. HEC, enjeux et importance de l'entrepreneuriat, 2020.

[2] A. e. Nassa, technique entrepreneurial, 2014.

[3] Schadrac, entrepreneuriat et management de projet, 2018.

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