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EXPOSÉ D’ENTREPRENEURIAT
Etudiants :
Enseignant :
KOUAMÉ YAO KAN FRANCIS
M.SIGNO
BERTHÉ SALOMOND
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Sommaire…………………………………………………………………………………..1
Introduction………………………………………………………………………………..2
Partie I : définition des termes…………...……………………………………….3
I.1 L’entrepreneuriat……………………………………………………………………3
I.2 La recherche scientifique………………………………………………………..3
I.3 La technologie………………………………………………………………..……….4
Partie II: Les enjeux de la recherche scientifique…………………………..4
II.1 Les enjeux économique…………………………………………………………..4
II.2 Les enjeux sociaux…………………………………………………………………..5
II.3 Les enjeux liés à l’innovation…………………………………………………..6
Partie III : L’apport de la recherche scientifique face aux enjeux de
l’entrepreneuriat……………………………………………………………………………7
III.1 Dans le domaine des TIC………………………………………………………….9
III.2 Dans le domaine du commerce : le e-commerce…………………….10
IV Conclusion…………………………………………………………………………………11
Reference bibliographique……………………………………………………..……..12
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INTRODUCTION
Depuis plus d’une décennie, plusieurs pays souffrent de la crise économique.
Un taux de chômage élevé, une hausse des prix des produits alimentaires,
une chute du secteur du tourisme, des entrées de capitaux limitées, etc.
Dans ce contexte, le développement de l’esprit entrepreneurial, de la
créativité et l’innovation peut être la clé pour stimuler la relance de l’activité
économique dans la région.
La création et le développement des entreprises sont deux réponses essentielles
aux problèmes économiques auxquels sont confrontés les pays : la croissance
de l’emploi, l’innovation, la réduction des déficits et de la dette, la sauvegarde
des régimes sociaux.
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Partie I : DEFINITION DES TERMES
I-1 L’entrepreneuriat
L’entrepreneuriat peut être définit comme l’ensemble des actions visant à
créer la richesse et l'emploi par la création d'une entreprise.
Schumpeter définit l’entrepreneur comme une personne qui veut et qui est
capable de transformer une idée ou une invention en une innovation
réussie, dynamisme industriel et de la croissance à long terme.
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I-3 La technologie
La technologie est l'étude des outils et des techniques. C’est à dire les
observations sur l'état de l'art aux diverses périodes historiques, en matière
d'outils et de savoir-faire…
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Néanmoins, les données empiriques montrant que l’entrepreneuriat mène à la
croissance et au développement économiques sont contrastées. Ce n’est pas un
constat étonnant, étant donné la diversité des définitions de l’entrepreneuriat et
des contextes dans lequel celui-ci s’inscrit. On a pu constater que les différences
dans le taux d’entrepreneuriat observées entre les pays représentent entre un
tiers et la moitié du taux de croissance économique dans certains pays. Si ces
études concluent que l’entrepreneuriat conduit à une croissance économique
vigoureuse dans les pays en transition et dans les pays à revenu élevé, d’autres
avancent que l’entrepreneuriat n’a aucune incidence dans les pays à faible
revenu, tels que ceux d’Afrique, et que le rôle des entrepreneurs dans les pays
en développement diffère de celui qu’ils jouent dans le monde développé. Alors
que, dans les pays développés, les entrepreneurs se concentrent sur l’innovation
et sur les activités de recherche et développement (R-D), dans les pays en
développement, ils s’attachent avant tout à fabriquer pour le marché local, à un
coût inférieur, des produits disponibles sur le marché mondial. On peut
considérer que l’entrepreneuriat n’a pas joué jusqu’à présent un rôle
fondamental dans la croissance en Afrique. Comme l’a montré le chapitre 1, les
taux de croissance élevés que l’Afrique affiche depuis peu résultent en grande
partie des réformes structurelles mises en œuvre au niveau macro, et non pas
des gains de productivité au niveau micro. De plus, comme le souligne l’édition
2011 du Rapport sur la compétitivité en Afrique, seuls quatre pays africains
(l’Afrique du Sud, le Kenya, le Sénégal et la Tunisie), qui obtiennent un bon
score dans l’indice de l’innovation, peuvent soutenir la comparaison avec
l’Italie et l’Inde dans ce domaine. Dans l’ensemble, en effet, les économies
africaines restent peu diversifiées, leur part dans le commerce mondial est
encore modeste et elles pâtissent d’un manque de qualifications et d’une faible
capacité d’absorption des nouvelles technologies
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motivé par des opportunités. À mesure que le niveau de développement
économique s’accroît, la prévalence de l’entrepreneuriat motivé par
l’opportunité ou par l’innovation augmente et le taux d’entrepreneuriat motivé
par la nécessité diminue. C’est ce qui explique la relation en forme de U entre
les taux d’entrepreneuriat et le niveau de donné.
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les acteurs et actrices dans l’environnement d’affaires ont du porteur de projet
quant à sa légitimité ou quant à la pertinence de lui accorder les ressources qu’il
souhaite obtenir.
Rares sont les travaux qui traitent des entrepreneurs dans les industries de haute
technologie et encore moins dans les TIC. Parmi ces quelques travaux,
Marvel et al. (2007) ont étudié l’expérience, l’éducation et les connaissances
originales en matière de technologie des entrepreneurs high-tech. Ces auteurs
considèrent que le capital humain et le capital spécifique, notamment
l’éducation et la connaissance de la technologie, sont deux atouts cruciaux
concernant l’innovation. Marvel et al. (2007) concluent que le capital humain
des « entrepreneurs technologiques » leur confère des avantages uniques. De la
même façon, Wright et al. (2007) montrent l’influence positive des
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caractéristiques du capital humain sur la réussite de l’entrepreneuriat
technologique.
Plusieurs facteurs expliquent le fait qu’il y ait si peu de recherches sur
l’entrepreneuriat TIC. D’abord, définir le secteur et identifier les entreprises et,
donc, les entrepreneurs, qui le composent constitue déjà un grand défi. En effet,
dans les classifications officielles, les activités dans les TIC sont largement
dispersées en sous-sections d’autres secteurs. Ensuite, les firmes adaptent sans
cesse leurs produits pour les faire évoluer avec le marché. Cela réduit, de fait,
les possibilités de regrouper dans la durée les activités des entreprises au sein de
classifications spécifiques.
Dans la classification de l’industrie à partir de l’ISIC (International Standard
Industrial Classification), le niveau d’analyse constitué de quatre chiffres (pour
l’Union européenne : Statistical Classification of Economic Activities, NACE,
Rev. 1) est marqué par une grande hétérogénéité. En prenant l’exemple de la
France, la comparaison des données publiées par les différentes institutions qui
produisent des statistiques publiques montre de grandes différences quant au
nombre de firmes et d’emplois dans les TIC : de 56 000 à 99 800 entreprises
pour 705 000 à presque un million d’employés (Cases, Favre et François, 1999 ;
Heitzmann et Rouquette, 1999 ; INSEE, 2000/2001 ; Lombard et Roussel,
2001).
Un deuxième facteur explicatif du faible nombre de recherches sur
l’entrepreneuriat TIC réside dans le fait que les entreprises high-tech sont
rarement similaires et que de grosses différences existent entre les subdivisions
de la classification standard. Par exemple, ce sont les services qui sont le
principal moteur de cette croissance et, particulièrement, les services liés à
l’informatique, tandis que d’autres subdivisions, comme l’industrie TIC, y
contribuent plus modestement. Cette hétérogénéité est également marquée par
des différences très fortes en matière de taille moyenne des firmes.
Dans une troisième explication, dans de nombreux pays, la disponibilité de
données s’avère limitée et constitue un obstacle majeur (Chandler et Lyon,
2001). Cette difficulté peut alors expliquer l’hétérogénéité des recherches et des
résultats constatés dans la littérature.
Enfin, il est primordial de préciser que les résultats issus de la recherche et un
corpus littéraire significatif apparaissent généralement avec un certain temps de
retard par rapport à l’apparition de l’objet de recherche. Cela est
particulièrement vérifié à propos des secteurs émergents. De manière générale,
le défi posé par la définition d’un secteur émergent et structurellement
hétérogène, comme peut l’être celui du secteur des TIC, s’inscrit dans la durée,
surtout si l’on considère le temps de mesure et de collecte des données, ainsi
que le laps de temps qui existe entre la conduite des recherches et leur
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publication. Cet état de fait aboutit alors à une connaissance insuffisante des
spécificités des entrepreneurs dans le secteur des TIC.
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IV-Conclusion
L'entrepreneuriat n'est pas qu'une thématique de créateur d'entreprise.
L'entrepreneuriat est aussi une thématique qui touche les grandes entreprises,
comme tous les managers à tous les niveaux d'une entreprise. Entreprendre et
réussir un nouveau projet ne consiste pas à trouver l'idée géniale, rédiger le
meilleur business plan ou rédiger une excellente note de service. La réussite
entrepreneuriale est avant tout une démarche qui s'ancre dans le réel et le
concret. Elle nécessite une grande rigueur méthodologique afin de ne pas
déraper techniquement vers une logique causale qui mènera le projet à sa perte
si le projet est encore incertain. Effectivement, la logique procédurale semble
une constante dans la réussite des projets innovants quel que soit la taille de
l'entreprise.
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Reference bibliographique
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