Vous êtes sur la page 1sur 23

COVID-19

Sommaire
introduction
I. LA description du covid-19..................................................
A. Definition.............................................................................
B. Historique............................................................................
C. les syntopes du covid..........................................................
II. Les Facteurs de risques du covid.........................................
A. Propagation........................................................................
B. Variante...............................................................................
C. Maladies associees.............................................................
III. LA Diagnostique du covid-19.......................................
A. Les different types de teste.................................................
B. Methodes et le duree de contagion....................................
IV. LA Traitement....................................................................
A.LA Vaccination.................................................................
B. Isolement...........................................................................
C. LES resume du traitement .............................................
V. LES moyens de protection
 Sous forme de pharase et photo

Conclusion
COVID-19

INTRODUCTION
La COVID-19 (COronaVIrus Disease 2019) est une infection respiratoire virale
apparue en 2019 en Chine. Le virus qui en est responsable est le SARS-CoV-2,
qui appartient à la famille des Coronavirus.

La pandémie de COVID-19 a débuté fin 2019. C’est une infection respiratoire


due à un coronavirus appelé SARS-CoV-2, probablement apparu en Chine à
partir de chauve-souris infectée. Cette maladie, dont les symptômes évoquent
ceux de la grippe saisonnière, est plus sévère chez les personnes âgées et les
personnes rendues vulnérables par certaines maladies chroniques ou des
traitements. En moyenne, elle est sans symptôme chez environ 40 % des adultes
infectés. Ce pourcentage est une moyenne, il est plus élevé chez les enfants et
moindre chez les personnes âgées.

Les Coronavirus constituent une vaste famille de virus qui peuvent infecter
l’homme ou l’animal. Chez l’homme, quatre coronavirus sont responsables de
15 à 20 % des rhumes et rhinopharyngites. De plus, ils sont à l’origine
du SRAS (qui a sévit en 2012-2013 et disparu depuis) et du MERS, une
infection rare qui existe de manière sporadique au Moyen-Orient depuis 2014.

enfin on peut se poser,comment peut-on décrire cette maladie et par quoi on


peut le caractérise ?
COVID-19
I. La description du covid -19

A. Définition.
Covid-19 est le nom donné par l'OMS le 11 février 2020 à une nouvelle maladie infectieuse respiratoire
apparue en décembre 2019, en Chine, et causée par le coronavirus SARS-CoV-2.
"Co" pour "corona",
"vi" pour "virus"
"D" pour " disease" ("maladie" en anglais).
19 pour l'année de son apparition : 2019.

Les coronavirus sont des virus à ARN fréquents, de la famille des Coronaviridae, qui sont responsables
d'infections digestives et respiratoires chez l'Homme et l'animal. Le virus doit son nom à l'apparence de ses
particules virales, portant des excroissances qui évoquent une couronne. Les virions, qui sont constitués
d'une capside recouverte d'une enveloppe, mesurent 80 à 150 nm de diamètre.
Les petites sphères contiennent un acide ribonucléique (ARN) monocaténaire (avec une seule chaîne),
linéaire (non-segmenté) et positif, comptabilisant 27 à 32 kilobases. Cet ARN se réplique dans
le cytoplasme de la cellule infectée.

Les coronavirus forment une vaste famille de virus présents chez l’homme et chez l’animal. Ils possèdent
un génome à ARN extrêmement long (plusieurs milliers de nucléotides*), et sont entourés d’une capsule de
protéines en forme de couronne qui leur valent leur nom.

Il existe de nombreux sous-types de coronavirus infectant différentes espèces animales. L’Homme peut en
héberger au moins sept.

Sur le plan médical, on distingue deux groupes de coronavirus qui touchent l’être humain : les coronavirus
peu pathogènes (on en dénombre quatre actuellement), et les coronavirus hautement pathogènes, dont

on ne connaît que deux représentants pour l’instant, le syndrome respiratoire aigu sévère
(SRAS) et le Coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV)

B. HISTORIQUE
COVID-19
La pandémie de Covid-19 est une pandémie d'une maladie infectieuse émergente, appelée la maladie à
coronavirus 2019 ou Covid-19, provoquée par le coronavirus SARS-CoV-2. Elle apparaît
le 16 novembre 2019 à Wuhan dans la province du Hubei (en Chine centrale), avant de se propager dans le
monde.

Depuis que la maladie a déferlé sur le monde, des dates différentes ont été avancées pour tenter
d'identifier les premiers cas de coronavirus en Chine et ailleurs.

La première fois que des journalistes français ont pu se douter qu’il se passait quelque chose d’inédit sur le
plan sanitaire en Chine, ils l’ont vu sous la forme d’une dépêche de l’agence France-Presse (APF) le 5
janvier 2020. C'était un dimanche après-midi, dernier jour des vacances de Noël, au moment où des
millions de Français rentraient chez eux après les fêtes de fin d’année, bien loin de s’imaginer ce que 2020
leur réservait. La dépêche évoque une "mystérieuse pneumonie" en Chine, mais Pékin exclut d’emblée le
risque d’une maladie type SRAS.

Trois jours plus tard pourtant, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) évoque la possibilité d’un
nouveau coronavirus. Au fur et à mesure que le temps passe, on en apprend un peu plus sur
l’origine possible de l’épidémie. On apprend ainsi que la Chine a prévenu l’OMS le 31 décembre 2019 de
l'émergence de cette pneumonie à Wuhan. Le 11 janvier, Pékin annonce un premier mort.

Ensuite, Pékin affirme dans un premier temps que la maladie est apparue entre le 12 et le 29
décembre 2019, avec un total de 59 cas. Puis, la Chine avance la date du premier cas au 1er décembre. Plus
tard, on apprend qu’un patient zéro a été repéré dès le 17 novembre à Wuhan, selon le quotidien
hongkongais South China Morning Post, citant des données gouvernementales.
Et puis, le 1er décembre 2020, la chaîne américaine CNN rend public un rapport officiel chinois qui révèle
qu’en décembre 2019, les cas de grippe ont été 20 fois plus nombreux que l’année précédente dans la
province du Hubei, dont Wuhan est la capitale. Et que de nombreux cas de
coronavirus se trouvaient probablement parmi les malades.

En remontant encore dans le temps, des informations suggèrent que le virus était
présent dans d’autres pays que la Chine en 2019. C'est d’ailleurs une éventualité défendue
par Pékin qui affirme régulièrement que la maladie a probablement été importée sur son
territoire. Quoi qu’il en soit, le Wall Street Journal révélait début décembre 2020
que des échantillons de sang prélevés dans plusieurs Etats américains par la croix rouge étaient infectés par
le coronavirus un an plus tôt, en décembre 2019.
COVID-19
Dans le même ordre d’idée, en Italie, une étude de l’Institut national du cancer de Milan a
trouvé des anticorps liés au Covid-19 dès septembre 2019 chez des patients dépistés pour des cancers du
poumon. Et cela, bien avant le premier cas officiel signalé en février 2020 près de Milan. Des chercheurs
italiens ont aussi révélé un nombre exceptionnellement élevé de cas de pneumonies sévères et de
grippe en Lombardie au quatrième trimestre 2019.
Pour tenter de connaître enfin, les origines du virus en Chine, ou ailleurs, l’OMS a constitué une mission
internationale. Après des mois d'attente, elle va normalement pouvoir enquêter sur le sol chinois en janvier
2021, un an après la première dépêche de l'AFP.

C. Les symptômes du covid.

Les symptômes surviennent habituellement 4 ou 5 jours après qu’une personne a contracté le virus. Chez
certaines personnes, les symptômes peuvent cependant ne pas apparaître avant 2 semaines. Certaines
personnes ne présentent jamais de symptôme.

 LES PRINCIPAUX SYMPTÔMES IDENTIQUES À CEUX DE LA GRIPPE


COVID-19
De nombreuses personnes ont seulement de légers symptômes de rhume. Certaines personnes ont des
problèmes digestifs, tels que des nausées ou une diarrhée. Des éruptions sur la peau et d’autres symptômes
cutanés ont également été rapportés.

Chez la plupart des personnes, les symptômes s’estompent en quelques jours ou semaines. Cependant,
certaines personnes développent une forme très grave de la maladie et ne peuvent plus respirer par elles-
mêmes. Dans les cas les plus graves, leurs organes cessent de fonctionner, ce qui peut entraîner la mort.

Les symptômes généraux de la COVID-19 sont assez similaires à ceux d’autres infections respiratoires
aiguës telles que la grippe saisonnière. Les quatre principaux symptômes sont la fatigue, la fièvre,
la toux et les difficultés à respirer.

D’autres symptômes sont parfois décrits :

 Courbatures ou mal de dos ;


 Mal de gorge, écoulement nasal ;
 Éventuellement nausées, vomissements ou diarrhée.

Certains symptômes sont plus caractéristiques de la COVID-19, en particulier la perte soudaine et


temporaire de l’odorat (anosmie) et du goût (agueusie). Les lésions du poumon (observés par scanner)
sont particulières et légèrement différentes de celles de la grippe saisonnière.

Lors de formes particulièrement sévères, les patients souffrent de difficultés à oxygéner leur sang et
doivent être hospitalisés et placés sous oxygène. Dans les cas les plus graves, ils sont mis en état
de coma artificiel et intubés pour amener l’oxygène au plus près du sang.

 DES SIGNES CARDIOVASCULAIRES LORS DE COVID-19

Des inflammations du muscle cardiaque (myocarde) et des insuffisances cardiaques ont été rapportées chez
les malades pris en charge en soins intensifs pour des formes graves de COVID-19.
Des symptômes cardiovasculaires, tels que des palpitations ou des douleurs thoraciques, peuvent donc
aussi constituer des signes d'alerte de l'infection.

Les vaisseaux sanguins peuvent également souffrir lors de COVID-19.

 DES FORMES PARTICULIÈRES CHEZ LA PERSONNE ÂGÉE


COVID-19
Les personnes âgées semblent présenter des formes particulières de COVID-19 : indépendamment des
signes respiratoires classiques, on peut observer des signes digestifs, notamment une diarrhée, un état
confusionnel ou des chutes et des variations de pression artérielle.

 DES FORMES GRAVES MOINS FRÉQUENTES CHEZ LES ENFANTS

Il semble que les enfants ont un risque de COVID-19 similaire à celui de la population générale, mais peu
ou pas de symptômes et beaucoup moins de formes graves. Certains enfants (rares) présentent des formes
particulières avec une inflammation des vaisseaux sanguins (de type maladie de Kawasaki).

Aujourd’hui, après beaucoup d’hésitations sur le sujet et à la suite de plusieurs études américaines,
allemandes ou coréennes, il est établi que les enfants peuvent transmettre le coronavirus au même titre que
les adultes.

 PLUS DE RISQUE DE COMPLICATIONS POUR CERTAINES


CATÉGORIES DE PERSONNES

En ce qui concerne le coronavirus SARS-CoV-2, les données actuelles montrent que les personnes âgées de
plus de 75 ans et celles qui ont d’autres problèmes de santé (insuffisance rénale, obésité, problèmes
respiratoires, cardiaques ou diabète, par exemple) sont exposés à un risque de forme sévère supérieur au
reste de la population. Sont également concernées les personnes immunodéprimées (par exemple du fait
d’un traitement contre un cancer ou une maladie inflammatoire chronique).
COVID-19

II. Les Facteurs de Risque du covid


A. Propagation.

Le virus qui provoque le COVID-19 se transmet principalement d’un individu à l’autre, en général
lorsqu’une personne infectée tousse, éternue ou parle à proximité d’autres personnes. Le virus est
présent dans de minuscules particules provenant des poumons et des voies respiratoires de la personne
infectée.

Ces particules peuvent se déplacer facilement dans l’air jusqu’aux autres individus qui se trouvent à
proximité. Dans certains cas, comme dans les espaces clos où l’air est recirculé, le virus présent dans ces
particules peut se propager à d’autres personnes situées plus loin.

Le virus peut se transmettre aisément entre les personnes d’un même foyer. Cependant, il peut également se
propager lors de rencontres entre des personnes qui se parlent à proximité les unes des autres, se serrent la
main, se donnent l’accolade, partagent des aliments ou même chantent ensemble. Les repas au restaurant
augmentent le risque d’infection, car les convives sont généralement proches les uns des autres et ne
portent pas de masque.

Une personne peut être infectée et transmettre le virus à d’autres même si elle ne présente pas de
symptôme.
COVID-19

B. Variante.

Depuis les débuts de la pandémie de COVID-19 (fin 2019, début 2020), le coronavirus SRAS-CoV-2 a
subi plusieurs mutations, dont certaines ont mené à des variants du virus.

Les virus changent ou « mutent » constamment. Lorsque cela se produit, une nouvelle souche ou
« variant » peut se former. La plupart du temps, les nouveaux variants ne modifient pas le mode d’action
d’un virus. Cependant, lorsqu’un variant comporte des modifications importantes du virus, il peut agir
différemment.

Les experts ont découvert plusieurs nouveaux variants du virus à l’origine du COVID-19. Certains variants
semblent se propager plus facilement que le virus initial. Certains variants peuvent également rendre
certaines personnes plus gravement malades que d’autres.

Les experts étudient les différents variants afin de mieux comprendre où ils se sont propagés, s’ils affectent
les individus différemment et quelle est l’efficacité des vaccins contre ces variants.
COVID-19

C. Maladies Associées.

Les sociétés savantes et associations de patients qui s’occupent de personnes atteintes de maladies
chroniques publient des recommandations concernant la vaccination contre la COVID-19 dans leur
pathologie. Par exemple :

 maladies chroniques de l’intestin : Recommandations de la SNFGE, du GETAID, de la FFCD et


de l'AFEF pour la vaccination contre le SARS-CoV-2 des patients atteints de maladies chroniques
de l’appareil digestif ;
 rhumatismes inflammatoires chroniques : Vaccination contre la Covid-19 des patients atteints de
maladies inflammatoires à médiation immune, Note concernant la vaccination contre la COVID à
l'intention des patients ;
 insuffisance rénale chronique : La vaccination anti-COVID19 pour les patients insuffisants
rénaux, dialysés, transplantés : informations et conseils ;
 diabète : Covid-19 et vaccination : ce que nous savons … ;
 hypertension pulmonaire : Vaccination contre la Covid-19 des patients avec hypertension
pulmonaire ;
 maladies respiratoires chroniques : Coronavirus: information aux patients atteints d’une maladie
respiratoire chronique ;
 psoriasis : Conseils aux patients atteints de psoriasis concernant la vaccination contre la COVID-19
(SARS-Cov-2) ;
 Sclérose en plaques : Recommandations SEP/NMOSD et vaccins anti-COVID19 ;
 Sida :Les vaccins contre la COVID-19 sont sans danger pour les personnes vivant avec le VIH ;
 Cancers : Vaccin Covid-19 : recommandations aux patients.
COVID-19

III. DIAGNOSTIQUE DU COVID-19

A. Les diffèrent type de teste

Il existe 3 types de tests de prélèvements pour détecter la présence de virus Covid-19 : le nasopharyngé,
l'oropharyngé et le salivaire.

 Le test PCR

Le test nasopharyngé PCR permet de déterminer au moment du prélèvement si vous êtes porteur du
virus de la Covid-19 et constitue le test de référence le plus sensible pour le diagnostic de l’infection.
COVID-19

 Le test antigénique
Le test rapide antigénique (TRA) nécessite le même prélèvement nasopharyngé que la PCR mais une
technique d'analyse simplifiée.

Il est moins sensible et pertinent uniquement si le patient présente des symptômes en rapport avec la
COVID-19.

 Le test sérologique
Ce test consiste en une prise de sang et a un tout autre rôle.
Il recherche la présence d'anticorps et permet de savoir si vous avez été en contact avec le virus de la
Covid-19 dans le passé et témoigne d’une réaction immunitaire vis-à-vis du virus.
COVID-19

 L'autotest Covid-19
L'autotest de dépistage de la Covid-19 est un test que l’on réalise soi-même pour rechercher la présence
du virus SARS-CoV-2 (Covid-19) dans un prélèvement nasal.
COVID-19
B. METHODES ET LE DUREE DE CONTATAGION.
 . Le Méthode de contagion.

Le virus qui cause la COVID-19 se transmet principalement lors de contacts rapprochés entre les
personnes, à moins de deux mètres de distance, et prolongés durant plus de 15 minutes :

 Par un contact direct avec les sécrétions du nez ou de la bouche d’une personne infectée, en
l’embrassant, par exemple :
 Par les aérosols dans l’air. Ce sont de fines gouttelettes qui restent dans l’air, en particulier dans les
espaces intérieurs. Ces aérosols sont émis en quantité variable quand la personne infectée respire,
parle, chante, tousse, éternue, etc.;
 Par un contact avec une surface contaminée par des sécrétions d’une personne infectée. Ce mode de
transmission n’est toutefois pas le principal.
 Le virus peut également se transmettre par des contacts directs (poignées de main, bises…) ou
indirects (via des objets ou surfaces contaminées), ou encore par l’air dans des espaces confinés.

Des personnes peuvent transmettre le virus sans le savoir, même si elles ont été vaccinées, car elles ne
présentent aucun symptôme ou ne les ont pas encore développés.

 le durée de contagion.

Il est toutefois considéré que la personne atteinte de la COVID-19 peut être contagieuse 48 heures avant
l’apparition de ses symptômes, et peut le demeurer jusqu’à 10 jours. Des recherches sont encore en cours.

Si le délai d’incubation (période entre la contamination et l’apparition des premiers symptômes) est en
général de 3 à 5 jours et peut aller jusqu’à 14 jours, la personne porteuse du virus peut quand même être
contagieuse avant l’apparition des symptômes.

La présence de symptômes peut indiquer qu’une personne est contagieuse au-delà de ce seuil, bien que ce
ne soit pas toujours le cas. « Parfois, les symptômes peuvent être les conséquences de la réponse

immunitaire au virus. Donc, ça peut être les conséquences de l’inflammation, alors qu’il ne
reste presque pas de virus ».
COVID-19
IV. LES TRAITEMENT

A . LA VACCINATION

En général, de nombreux vaccins candidats feront l'objet d'une évaluation avant d'être considérés comme
sûrs et efficaces. Par exemple, sur l'ensemble des vaccins qui sont étudiés chez les animaux de laboratoire
et en laboratoire, environ sept sur 100 seront considérés comme suffisamment efficaces pour passer au
stade des essais cliniques chez l’homme. Sur les vaccins qui parviennent à l'étape des essais cliniques, seul
un sur cinq aboutit à un succès. Le fait d'avoir plusieurs vaccins différents en cours de développement
augmente les chances de trouver un ou plusieurs vaccins efficaces et sûrs pour les populations prioritaires
visées.

 Les différents types de vaccins

Il existe trois méthodes principales de fabrication d’un vaccin. Leurs différences résident dans la question
de savoir s’ils utilisent un virus ou une bactérie en entier ; uniquement les parties du germe qui déclenche
le système immunitaire ; ou uniquement le matériel génétique qui fournit les instructions pour la
fabrication de protéines spécifiques et non pas le virus en entier

.
COVID-19
 Vaccin inactivé

La première façon de fabriquer un vaccin est de prendre le virus ou la bactérie porteur de la maladie, ou un
très semblable à celui-ci, et de l’inactiver ou de le tuer à l’aide de produits chimiques, de chaleur ou de
rayonnements. Cette méthode utilise une technologie qui a fait ses preuves chez l’homme – en effet,

c’est ainsi que sont fabriqués les vaccins contre la grippe et la poliomyélite – et les vaccins
peuvent être fabriqués à une échelle raisonnable.

Toutefois, cette méthode nécessite des installations de laboratoire spéciales pour cultiver le
virus ou la bactérie en toute sécurité, elle peut aussi avoir un temps de production
relativement long, et le vaccin qui en sera issu sera probablement administré en deux ou trois doses.

 Vaccin vivant atténué

Un vaccin vivant atténué utilise une version vivante mais affaiblie du virus ou une version très similaire. Le
vaccin antirougeoleux-anti-ourlien-antirubéoleux (ROR) et le vaccin contre la varicelle et le zona sont des
exemples de ce type de vaccin. Cette méthode utilise une technologie similaire au vaccin inactivé et peut
être fabriquée à grande échelle. Cependant, ce type de vaccins ne convient pas aux personnes dont le
système immunitaire est affaibli.

 Vaccin à vecteur viral

Ce type de vaccin utilise un virus sûr pour fournir des sous-parties spécifiques – appelées protéines – du
germe voulu afin qu’il puisse déclencher une réponse immunitaire sans provoquer de maladie. Pour ce
faire, les instructions pour la fabrication de ces fragments particuliers de l’agent pathogène voulu sont
injectées dans un virus sûr. Le virus sûr sert alors de plateforme ou de vecteur pour relâcher la protéine
dans l'organisme. La protéine déclenche la réponse immunitaire. Le vaccin contre Ebola est un vaccin à
vecteur viral et ce type de vaccin peut être développé rapidement.
COVID-19
B. ISOLEMENT

Les personnes ayant une infection COVID-19 confirmée doivent être isolées. Cela s'applique à la fois aux
personnes présentant des symptômes et aux personnes qui ont été identifiées comme infectées uniquement
sur la base d'un test PCR ou d'un test antigénique positif ou d'un autotest positif.

La durée d'isolement est de 7 jours minimum (voir tableau). Par la suite, des mesures de précaution (port
systématique du masque buccal à l'intérieur et limite stricte des contacts sociaux) doivent être prises
pendant 3 jours supplémentaires. Des études ont montré que les infections par Omicron peuvent parfois
encore être contagieuses jusqu'à 10 jours après le diagnostic. Cela signifie que les activités pour lesquelles
le port d'un masque n'est pas possible (par exemple, manger ensemble) ne sont pas permises. Pour les
enfants de moins de 6 ans, l'obligation de porter un masque de manière continue pendant 3 jours
supplémentaires n'est pas maintenue, mais la vigilance reste indispensable.

En général, il n'est pas recommandé d'effectuer un nouveau test avant la fin de la période d'isolement. On
sait que les tests PCR peuvent rester positifs pendant longtemps après la période infectieuse. Toutefois, un
autotest peut être effectué après le 7e jour. S'il est positif, c'est un signe que vous êtes plus que
probablement encore contagieux.
COVID-19
COVID-19
C. Résume du traitement

À ce jour, plusieurs médicaments ont été reconnus comme apportant un certain bénéfice contre la COVID-
19. Ces médicaments font partie de deux familles : les antiviraux et les anticorps monoclonaux.

 LES MÉDICAMENTS ANTIVIRAUX CONTRE LA COVID-19

Ces médicaments visent à bloquer la multiplication de SARS-CoV-2 après contamination. Ils doivent donc
être rapidement administrés, dès les premiers symptômes.

 LES ANTICORPS MONOCLONAUX CONTRE LA COVID-19

Ces anticorps, produits par biotechnologie, visent à bloquer l’action de SARS-CoV-2 sur les cellules cibles.
Ils sont très sensibles aux mutations du virus et l’apparition d’Omicron les a quasiment tous rendus
inefficaces.

Au 1er janvier 2023, 2 anticorps monoclonaux sont disponibles, mais ne sont plus recommandés en
traitement de l'infection par les variants récents de SARS-CoV-2.

 LES MÉDICAMENTS QUI N’ONT PAS MONTRÉ D’EFFICACITÉ

Parmi les substances dont les essais cliniques ont montré qu’elles n’avaient PAS d’efficacité en cas de
COVID-19 symptomatique, on peut citer :

 Divers antibiotiques, dont l’azithromycine ;


 La vitamine D ;
 L’hydroxychloroquine ;
 L’ivermectine ;
 Le nitazoxanide ;
 La chlorpromazine ;
COVID-19

V. LES MOYENS DE PROTECTION.

Protégez-vous et protégez ceux qui vous entourent :

 Faites-vous vacciner dès que vient votre tour et suivez les recommandations locales sur la
vaccination.
 Maintenez une distance physique d'au moins un mètre avec les autres, même s’ils ne semblent pas
malades. Évitez les foules et les contacts étroits.
 Portez un masque correctement ajusté quand vous ne pouvez pas respecter la distanciation physique
et dans les locaux mal aérés.
 L’avez-vous fréquemment les mains avec un produit hydroalcoolique ou à l'eau et au savon.
 En cas de toux ou d’éternuement, couvrez-vous la bouche et le nez avec le pli du coude ou avec un
mouchoir. Jetez immédiatement les mouchoirs usagés et l’avez-vous les mains régulièrement.
 Si vous présentez des symptômes ou que votre résultat au test de la COVID-19 est positif, isolez-
vous jusqu’à ce que vous soyez rétabli.

Ensuite, L'OMS recommande 7 conseils pour se protéger contre le risque d'infection au coronavirus.

1. L’avez-vous régulièrement les mains à l'eau et au savon, ou avec un gel hydroalcoolique.


2. Vous ressentez l’envie de tousser ou d'éternuer ? Faites-le dans un mouchoir ou dans le creux de
votre coude, puis l’avez-vous les mains.
3. Restez à au moins un mètre de distance des autres personnes, surtout si elles toussent,
éternuent ou ont de la fièvre.
4. Évitez de vous toucher les yeux, le nez et la bouche.
COVID-19
5. Évitez tout contact direct avec des animaux vivants. Si cela est impossible, veillez à vous laver les
mains après le contact.
6. Ne mangez pas de produits animaux crus ou mal cuits et l’avez-vous les mains, nettoyez les
surfaces et les ustensiles après usage.
7. Si vous avez de la fièvre, de la toux ou des difficultés à respirer, consultez un médecin.
COVID-19
 CONCLUSION

Le COVID-19 est une maladie infectieuse causée par le virus SARS-CoV-2 qui s'est propagé à travers le
monde depuis son apparition en décembre 2019. Le virus a eu un impact sans précédent sur la santé
publique, l'économie, l'éducation et la vie quotidienne des personnes dans le monde entier.

La pandémie a été caractérisée par des taux élevés de transmission et de mortalité, en particulier chez les
personnes âgées et celles atteintes de maladies sous-jacentes.

Les gouvernements et les organisations de santé publique ont travaillé ensemble pour mettre en place des
mesures de prévention et de contrôle de l'infection, telles que le port de masques, la distanciation sociale, la
fermeture d'écoles et d'entreprises, la mise en quarantaine et l'isolement des personnes infectées.

De plus, des vaccins ont été développés et distribués dans le monde entier pour aider à prévenir la maladie
et réduire la transmission.

Bien que la pandémie ne soit pas encore terminée, les efforts de prévention et de traitement ont contribué à
réduire le nombre de cas et de décès dans de nombreux pays. Cependant, il est important de continuer à
suivre les mesures de prévention pour éviter une nouvelle vague de cas et pour protéger la santé publique.

La pandémie a mis en évidence l'importance de la collaboration internationale, de la recherche scientifique


et de la préparation aux futures crises sanitaires.
COVID-19

 REMERCIEMENT
Nous tenons à remercier vivement le bon Dieu le tout puissant de nous avoir
donner la connaissance, la patience et la volonté afin de réaliser ce travail et
tout particulièrement Mr. MOHAMED GUESSALEH RAYALEH professeur de
Sciences de la Vie et de la Terre au lycée de Pk12 et directeur de notre projet
de fin d’étude pour le temps précieux qu’il nous a consacré, pour son
professionnalisme et son soutien.

Nous avons particulièrement apprécié la disponibilité dont il a fait preuve à


toutes les étapes de cette aventure, ainsi que ces conseils objectifs qui ont très
largement participés à la réalisation de ce projet. Merci pour ses sérieux et ces
précieuses informations aussi bien sur le plan technique que méthodologique

Nous adressons nos vifs remerciements aux personnes qui se sont prêtés avec
attention, assiduité et parfois même zèle aux exercices proposés et qui ont
répondue avec sincérité et objectivité à nos différents questionnaires.

Nos sincères remerciements vont également au proviseur de notre


établissement, Mr YACIN, qui nous a permis de suivre nos séquences
respectives se déroulant dans son établissement sans faire partie du personnel.

Merci à vous les examinateurs de nous avoir écouté, merci beaucoup.

Nous tenons enfin à remercier tous ces acteurs de notre projet.

Merci à tous et à toutes !

Vous aimerez peut-être aussi