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Quelques orientations données à titre indicatif…

Organisation générale :
Le mémoire comporte (dans l’ordre) : une page de titre, une page de garde, d’éventuels
remerciements, un sommaire, une introduction, un développement en plusieurs parties, une
conclusion, une bibliographie, un index des notions et des noms propres (séparés ou
ensemble), éventuellement des annexes, une table des matières.
Mise en page générale :
Les marges sont celles de la page Word par défaut : 2,5 cm partout (bas, haut, gauche, droite).
Si on prévoit de relier avec une spirale, rajouter 0,5 cm de reliure.
Le texte doit être justifié (aligné à droite et à gauche), police Times, corps 13, interligne 1,5.
Des (petits) espacements avant et/ou après peuvent être introduits pour marquer les différents
paragraphes (menu Format > Paragraphe). Il peut y avoir des tabulations en début de
paragraphe. Attention : si l’on souhaite aligner des retraits ou laisser des espaces blancs, on
n’utilise jamais la barre d’espaces (en accumulant des espaces) mais la touche tabulation. De
même, on ne multiplie pas les « retour chariot » (touche Entrée) mais on utilise les sauts de
page ou de section (Menu Insertion > Saut).
On numérote les pages (plutôt en bas), sauf les pages blanches et la première page d’une
section, ou chapitre. On commence chaque section, ou chapitre, sur une page impaire ; les
pages impaires sont toujours recto.
On « évite les veuves et orphelines » (menu Format > Paragraphe > Enchaînements) et on
rend « solidaires » (idem) les titres et les paragraphes si c’est nécessaire.
On utilise une structuration décimale pour les titres et sous-titres :
1. titre de niveau 1
1.1. titre de niveau 2
1.2. titre de niveau 2
1.3. titre de niveau 2
2. titre de niveau 1
2.1. titre de niveau 2
2.1.1. titre de niveau 3
2.1.1.1. titre de niveau 4
2.1.1.2. titre de niveau 4
2.1.2. titre de niveau 3
2.2. titre de niveau 2

1
2.3. titre de niveau 2
2.3.1. titre de niveau 3
2.3.2. titre de niveau 3
3. titre de niveau 1
Etc.
On utilise des styles précis pour les différents niveaux de titre (ceux proposés par Word, par
exemple), de manière à pouvoir insérer une table des matières automatiquement.
Typographie : toutes les ponctuations doubles (:;?!) sont précédées d’une espace insécable, de
même que les guillemets. Les guillemets et les apostrophes sont français (« » et ’, voire “ ”
en cas de citation dans une citation). On utilise les majuscules accentuées lorsque c’est
nécessaire (à aller chercher dans le menu Insertion > Caractères spéciaux, ou utiliser Format >
Modifier la casse).
Les notes sont des notes de bas de page (et non de fin de document), elles sont numérotées
automatiquement, et on repart à zéro à chaque grand chapitre. Pour insérer une note : Insertion
> Référence > Note de bas de page. Ne pas oublier de justifier aussi le texte des notes.
Bibliographie et citation des sources :
Dans la bibliographie finale (qui peut être intitulée « bibliographie » ou « références
bibliographiques »), les références sont classées alphabétiquement, d’après le nom de famille
du premier auteur, qui vient en premier, suivi du prénom et ensuite de la date de publication.
On ne classe pas les références par type de publication (ouvrage, article, etc.). Une biblio
thématique peut être envisagée si le sujet s’y prête particulièrement, mais pour un mémoire de
M2, ça ne semble pas opportun.
Quelles que soient les conventions de présentation choisies (elles peuvent différer
légèrement), un certain nombre d’éléments doivent nécessairement figurer dans une
référence : nom de l’auteur, titre, date, etc. Chaque référence biblio comporte un certain
nombre d’informations nécessaires, variables selon le type de document concerné ; d’autres
informations sont facultatives (ex : la collection pour un ouvrage), il faut choisir, pour
l’ensemble de la biblio, de les indiquer ou non, et s’y tenir. Le principe de base est qu’il faut
être cohérent et conséquent, et appliquer son modèle de façon systématique.
Toute référence se termine par un point. Si dans un titre d’article il y a des italiques vous les
gardez dans votre référence. Si tout le titre est en italiques, en gras ou en majuscules, pour des
raisons de typographie globale, vous éliminez cette mise en forme au profit de celle exigée
par les conventions de référence. Si dans le titre de la revue ou du livre il y a une ponctuation

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finale forte (? ou ! ou …) il faut la garder dans la référence. Il n’y a pas de point final dans le
titre de la revue ou du livre.
Toutes les références bibliographiques étant indiquées dans la biblio finale, il n’y a pas lieu de
les redonner au fil du texte. Il ne faut, en particulier, pas utiliser les notes de bas de page dans
ce but. Cet espace (le bas de page) est celui de remarques particulières, faites en passant et
non centrales (sinon elles sont dans le texte), mais en aucun cas celui des références
bibliographiques. Dans le texte, on utilise un abrégé « nom de l’auteur date » pour renvoyer à
la référence biblio. Par exemple, on dira « Kleiber 1984 » pour parler de « Kleiber G., 1984,
« Dénomination et relations dénominatives », Langages 76, pp. 77-94 ». Lorsqu’on cite un
fragment de texte, on indique obligatoirement la page où il figure. On distingue donc quatre
cas, selon que le nom de l’auteur cité est intégré syntaxiquement à la phrase ou non, et selon
qu’il y a citation explicite ou non :
Les exemples apportés par Kleiber (1984) sont éloquents.
On sait qu’il y a de nombreux contre-exemples (Kleiber 1984).
Comme le rappelle Kleiber (1984 : 65), « le type d’énoncé est déterminant ».
Il faudra cependant prendre garde aux exemples utilisés, car « le type d’énoncé est
déterminant » (Kleiber 1984 : 65).
Exemples et données :
Les exemples et les données sont marqués par un style particulier (souvent corps et interligne
inférieurs au reste du texte, retrait à gauche). Les exemples sont numérotés, les données
organisées de façon à ce qu’on puisse les retrouver facilement en annexe. L’ensemble du
matériau est utilisé dans le texte, le discours du mémoire y renvoie, l’utilise.

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