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Speaker 1

C'est parti alors ? Tu as une question spécifique que tu voulais traiter ?

Speaker 2

Oui, je crois, oui. L'homme AT il un vrai visage.

Speaker 1

A-t-il un vrai visage ? D'emblée, là je vais essayer de te demander le simple fait de se poser cette
question. Qui pose une telle question, ce.

Speaker 2

Qui cherche le visage de l'homme. Le sien en fait celui qui cherche son propre visage.

Speaker 1

C'est lui qui cherche son propre visage, ouais. Si quelqu'un je suis sur quand tu vas faire cette remontée
là analogique, si quelqu'un se cherche en propre visage. Qui est-il ? Qu'est-il ?

Speaker 2

Mais elle ne sait pas qui il est-il est d'accord, il ne sait pas qui il est.

Speaker 1

Est ce que ça a du sens que quelqu'un ne sache pas qui il est ?

Speaker 3

Oui, oui alors ?

Speaker 1

Si on demande à la plupart des gens, vous savez qui vous êtes, qui vont répondre oui alors pourquoi toi
dis Tu que ça a du sens de ne pas savoir ? Ça fait quelques années que tu vis avec toi même hein ? Quel
sens ça de dire ? Je ne sais pas qui je suis.

Speaker 2

Et ils vont répondre. Quelles sont ça ?

Speaker 1

Comment ça peut s'expliquer pour ceux qui ne comprennent pas ? Voit pas.
Speaker 2

Par des par des changements radicaux dans une seule et même.

Speaker 1

Vie des changements. Dans tout seul. Et M Vie. Est ce que quelqu'un. Peut être lui même tout en ayant.
Changements radicaux. Oui oui bah qu'est-ce qu'il sait lui-même ?

Speaker 2

Qu'il changer, voilà.

Speaker 1

Il change donc lui même. Il se définirait comment ? Bah s'ils changent, je définirais comme jambes.

Speaker 2

Les changements, je sais pas les changements.

Speaker 1

L'engin, hein, il est changeant. Voilà quelqu'un hein ? C'est bien une qualification, hein. L'être
changeant, il est changeant bien. Ouais, ouais. Donc tu sais qui tu es, tu es changeant, je suis changeant.

Speaker 2

Je suis changeant, je ne sais pas qui je suis. Pour moi, être changeant n'est pas ce qui est au cœur de ma
problématique de la question. En fait, c'est l'identité.

Speaker 1

Ça pose problème ou non ? D'accord, mais pourquoi être changeant ? Pourquoi qu'elle tient, pourquoi ?

Speaker 2

C'est pas, c'est pas une identité.

Speaker 1

Pourquoi ça, ça ? Moi je veux. Mais pourquoi ? Être changeant ne serait pas une identité.

Speaker 2

Ça serait la qualité de quelque chose et pas la chose.

Speaker 1

Hop bien donc la qualité de la chose et pas la chose, c'est ça ? Est ce. Le fait de donner une qualité peut
déterminer ce qu'est quelque chose.

Speaker 2

Bah j'en sais rien.


Speaker 1

Réessayons, essayons, essayons dans un sens ou dans un autre, soit tu me dis. Tu prends quelques mis,
voilà, tu vois là, ça, ça, ça ne détermine pas. Ou alors tu me dis en quoi ça détermine l'un ou l'autre que
tu veux ? On va prendre une une des 2 options.

Speaker 2

Alors un exemple, je sais pas, la couleur d'une voiture par exemple.

Speaker 1

Donc la couleur. Dans la couleur de la voiture, donc quel est le problème ici ?

Speaker 2

Elle détermine pas.

Speaker 1

Ne termine pas quoi ?

Speaker 2

L'essence de la voiture.

Speaker 1

D'accord, ça termine pas sans mauvais jeu. Mots d'accord. D'accord, la couleur. Ne vermine pas
l'essence de la voiture par. Attends, attends, on l'attend. Alors on a mis examiner ça déjà. Est ce que
quelqu'un pourrait déterminer son choix d'une voiture ? Principalement par la couleur, c'est
envisageable ou non. Je pense que c'est possible. C'est possible. Oui, ça paraît bizarre visiblement si
méchant c'est possible, ça te paraît pas le critère premier ? Ben non, si tu achètes une voiture c'est que
tu as.

Speaker 2

Besoin d'une voiture ?

Speaker 1

D'accord, si tu en as besoin. Et la personne qui choisit par la couleur est ce que c'est un problème de. Ou
un problème d'autre chose, l'agrément.

Speaker 2

C'est plus simple.

Speaker 1

De l'agrément bien donc nous avons déjà 2 concepts ici, le besoin et l'agrément. Eh Ben tu vas me dire.
Comment on définit quelqu'un qui choisit voiture par son besoin, puis comment on définit quelqu'un qui
le choisit par son agrément ? 2 2 qualificatifs alors.
Speaker 2

Par son besoin, c'est un utilitariste, un besoin d'utilité de la chose.

Speaker 1

Utilitariste et l'agrément.

Speaker 2

Comment on pourrait l'appeler ?

Speaker 1

Il choisit, c'est l'agrément qui l'intéresse, choisi par la couleur. S'il est pas utilariste, il est.

Speaker 2

Ça marche, j'arrive pas à trouver s'il est pas utilitariste, il est quoi ?

Speaker 1

Est ce qu'il cherche l'utilité, lui non, il cherche pas.

Speaker 2

Le plaisir alors si j'ai été chercher le plaisir ?

Speaker 1

Les petits. Plus vite tu vas dire qu'il est quoi ?

Speaker 2

Épicurien bromont ? Je sais pas, ouais.

Speaker 1

Et puis Ben ça doit être dire épicurien, ça te va, voilà, c'est à dire ces 2 écoles de pensée hein qui sont
pas du tout les mêmes d'accord. Alors déjà si je te dis Bah tiens ici tu te manifestes comme un utilitaire
avec le canapé curien, ça te choque pas ? Dans cet exemple là et de manière générale ?

Speaker 2

Ouais, plutôt ouais. Je comprends pas.

Speaker 1

Ta question de manière générale, je lui ai dit, tiens Cyril, t'es plutôt utilitariste épicurien. Si on compare
ces 2 concepts, ça va te choquer donc tu dis ouais ouais non, ça a du sang. Je serai plutôt utilitariste
qu'épicurien.

Speaker 2

Ah si, parce que je suis plutôt utilitaire. Bah non, je suis pas.
Speaker 1

Sûr ? Non, je sais pas si t'es sûr.

Speaker

Non, non crois.

Speaker 1

Pas moi, je veux savoir, tu crois ? Non, mais pourtant. Pour le choix de la voiture, Eh Ben.

Speaker 2

Plutôt, effectivement.

Speaker 1

Là, c'est frappant. C'est hein. Frappant. Ouais, ça venait même pas à l'esprit qu'on choisisse une voiture
purement en fonction de sa couleur pour l'agrément dans le côté épicurien, ça surprend ça.

Speaker 2

Non, c'est vrai. Pas tant que ça, pas tant que ça. Pourquoi cette surface ? Parce que.

Speaker 3

J'attrape pas.

Speaker 2

Dans dans ce principe là de possession de quelque chose, je trouve qu'il faut avoir au minimum d'utilité,
sinon on.

Speaker

N'a pas enfin.

Speaker 1

En ce qui a trait à la possession. Il faut avoir de l'utilité plutôt que.

Speaker 2

Bah cette espèce d'épicurisme qui traîne, d'accord.

Speaker 1

Donc, plutôt que l'agrément plutôt que l'agrément, ça va bien parce que tu confirmes pas justement le
côté utilitaire.

Speaker 2

Ouais, Ouais, Ouais, ça ça me parle. Ouais.

Speaker 1
Alors on va essayer de voir déjà. Si l'utilitaire est ce que quelqu'un qui est utilitaire tendrait pour ceux
qui l'observent à être changeant ou à être à rester le même.

Speaker 2

Est ce qu'on échange hein quand on est ? Non, je crois pas qu'on soit terriblement changeant.

Speaker

Alors pourquoi pas ?

Speaker 2

Parce que.

Speaker 1

Pas de souci, parce que là, pour l'instant de comment ça apparaît de l'extérieur, hein ? D'accord, vas y
Ben.

Speaker 2

Y a toujours une seule et même chose qui est à l'œuvre en fait, hein ?

Speaker 1

Une et même chose à l'œuvre, bien une est même. Qui est quoi ?

Speaker 2

À satisf, la satisfaction des parle utile des besoins ça.

Speaker 1

Satisfaction des besoins, d'accord. Regarde bien, écoute bien la la chose, il y a une et même chose à
l'œuvre, la satisfaction des besoins est ce que tu vois là ? Un potentiel contradictoire ?

Speaker 2

Ouais, ouais. De multiplicité des besoins.

Speaker 1

La multiplie les besoins. Est ce qu'en effet là s'il y a une. Même chose qu'il y. Pas de changement, est ce
qu'en effet la multiplicité des besoins peut venir en contradiction avec ça ? Oui, c'est multiplié des
besoins. Est-ce qu'en. Il pourrait y avoir changement.

Speaker 2

Voyez, l'objet est changeant. Oui, oui.

Speaker 1

C'est l'objet qui change bien, donc l'utilitaire l'utilitariste si l'objet change, est ce que lui change ?
Speaker 2

Non, non.

Speaker 1

Alors, mais pour ceux qui regardent, ils vont dire, tiens, il a changé.

Speaker 2

C'est probable.

Speaker

Plus tôt, ouais.

Speaker 2

C'est probable, ne voyons pas ce qui est à l'œuvre et. Voit que l'objet changeant.

Speaker 1

Mais qu'est ce qui est à l'œuvre ?

Speaker 2

Bah c'est cette volonté.

Speaker 1

Volonté de quoi ?

Speaker 2

Satisfaction des besoins, c'est c'est un ça voudrait dire quoi ?

Speaker 1

Bah qu'est ce que c'est quoi est unique dans la volonté de satisfaction des besoins ? Qu'est ce qui est ?

Speaker 2

Multiple, la Skate unique, c'est la volonté justement.

Speaker 1

La volonté de quoi ? Est ce que c'est n'importe quelle volonté ou volonté spécifique ?

Speaker 2

La volonté spécifique de satisfaire les besoins et ça.

Speaker 1

Non, attends les besoins, c'est singulier ou multiple ? Alors qu'est-ce qui est singulier ?

Speaker 2
Là, c'est multime. La volonté pure.

Speaker 1

Et c'est la volonté de n'importe quoi, c'est la volonté de quoi ?

Speaker 2

Non, c'est pas. Qu'est ce qui se cache derrière, ça arrive.

Speaker 1

Non, parce qu'il se cache derrière, ça devait être volée ici. Qu'est ce qui est devant et que tu ne vois
pas ? C'est bien multiplicité, non ? La multiplicité, elle est plurielle, mais qu'est ce qui est unique ?

Speaker 2

La satisfaction.

Speaker 1

Donc la volonté de t'as vu ça a été difficile, ça te surprend ça ?

Speaker 2

Satisfaire ouais, c'est vrai.

Speaker 1

La volonté de satisfaction, Ouais. Ouais, c'est sûr, pourquoi ça te suprend ? Parce que.

Speaker

Ils sont.

Speaker 2

Parce que, parce que je l'ai jamais dit, en fait, je crois que c'est surprenant de le dans le de.

Speaker 1

Le Xiaomi mais est ce qu'en effet. Ça peut avoir du sang dans le fonctionnement. Tu veux être satisfait ?

Speaker 2

Oui, ça me paraît, ça me paraît assez assez vrai et juste.

Speaker 1

Oui, et d'ailleurs qui veut être satisfait en général ? Utilitariste, oui, oublié ce qu'on a déjà vu, passe moi
quelqu'un qui veut être satisfait, qu'est ce que tu penses de lui ? Qu'est ce qu'on sait de lui ? Celui qui
veut être satisfait. D'accord, celui qui veut boire est ce qu'on peut savoir de l'un choix et celui qui veut
être satisfait, il est insatisfait.

Speaker 2
Qu'il est insatisfait.

Speaker 1

Difficile, oui.

Speaker 2

Enfin non, mais non.

Speaker 1

Facile ou difficile, est ce que.

Speaker 2

Ça accroche un peu quand même.

Speaker 1

Attends, pourquoi ça accroche ?

Speaker 2

Parce que l'insatisfaction est.

Speaker 1

Bien si quelqu'un est en effet dans session inconfortable, est ce qu'il va penser à semer une inspection
plus confortable ?

Speaker 2

Oui, sauf si y a un problème ailleurs, mais.

Speaker 1

Il n'y a pas d'ailleurs, il y a ça, alors celui qui est confortable est ce qu'il va chercher. Est ce ? Souci d'être
confortable s'il est déjà confortable, qui aura plus comme souci d'être confortable celui qui l'est ou celui
qui ne l'est pas, celui qui ne l'est pas. Donc volonté satisfaction renvoie à une insatisfaction. Ouais, ça va
ou mais initialement ça te ça tendrait être un peu, mais.

Speaker 2

Qui n'est pas.

Speaker

Ouais, ouais, Ouais, Ouais.

Speaker 2

Ouais, ouais, ça. Un peu, puis même le. C'est l'insatisfaction entre.

Speaker 1
Qu'est-ce ça veut dire, ça accroche un peu.

Speaker 2

Ce qui faut me l'arracher un peu, c'est là, c'est visible, mais j'ai pas tellement d'inconvénients.

Speaker 1

Bah laissez-moi poser une question, est-ce que globalement du direct ? Voilà, ouais non, moi je suis
plutôt satisfait ou non. Plutôt je suis pas satisfait comme ça si t'avais une grande déclaration à faire et on
te demande si Ritz assistait ou pas, tu dirais plutôt quoi oui ou non ? Non, non. D'ailleurs, quelqu'un qui
demande si l'homme a un vrai visage parce qu'il cherche un propre visage, est ce que c'est un signe de
satisfaction intense ? Non, hein. Bon, la satisfaction ici. Le temps, NN. Elle, elle, elle, elle accroche
comme tu dis hier de là quoi t'allais démarrer un mot, tu l'as interrompu 2 lave lave la de la voir difficile
de la voir et d'ailleurs sûrement avec un insatisfait.

Speaker 2

Ah, c'est difficile de la, de la.

Speaker 1

Est ce que ça satisfait est ce qu'il aura envie de dire ? Ouais chouette, je suis insatisfait ou plutôt. Va
essayer de le gommer.

Speaker 2

Plutôt essayer de le cacher. Ouais, essayer de le cacher.

Speaker 1

Plus caché, hein ? Mais est ce qu'il va le cacher ? Que c'est difficile. La voir la satisfaction pour une autre
raison.

Speaker 2

C'est difficile de l'avouer aussi.

Speaker 1

De l'avouer et quelle est la différence entre l'avouer et l'avoir ?

Speaker 2

La conscience, c'est à dire j'ai beau, c'est, j'ai beau le voir, c'est pas, c'est pas parce. Je le vois que je
l'avoue. Il faut que j'aille.

Speaker 1

Donc la conscience, elle est où ?

Speaker

Elle est dans.


Speaker 1

La veuve, là, il y a la conscience et quand on voit, on n'est pas conscient. Qu'est ce qui se passe quand tu
appellerais ? Ça c'est pas la conscience ou votre conscience, c'est quoi ?

Speaker 2

Pas toujours, non.

Speaker 1

Voire sans conscience, appellerait ça comment ? Non, est ce que là t'es en train de de qualifier ou
d'interprétant ?

Speaker 2

Nous n'avons ça, ouais.

Speaker 1

Là tu me dis dénégation, est ce que voir sans être conscient implique nécessairement une dénégation ?

Speaker 2

Non ignorance. L'ignorance, ouais.

Speaker 1

Mais si tu vois quelque chose, mais tu ignorant cette chose, comment vas tu appeler cet ? Acte, ça
s'appellera comment ? C'est un nom.

Speaker 2

Voir quelque chose, je vois quelque.

Speaker 1

Chose, mais je suis ignorant de cette chose, mais je la vois.

Speaker 3

Qu'est ce que ?

Speaker 1

Qu'est ce que c'est que je suis en train de faire ? Soit avec un verbe ou. Un type si c'est pas de la
conscience ou si je suis pas conscient, comment ça s'appelle ça ?

Speaker 2

Je sais pas.

Speaker 1

Tu sais pas.
Speaker 2

C'est curieux ça ?

Speaker 1

Est ce que parfois tu as vu quelque chose et c'est après tu en es conscient par exemple ?

Speaker 2

Oui, régulièrement hein.

Speaker 1

Un, donc cette distinction opère bien ton esprit régulièrement cette distinction que nous venons de de
mettre au jour qui est.

Speaker 3

Okay ?

Speaker 1

Distinction que tu connais en plus.

Speaker 2

Oui, c'est la conscience a posteriori.

Speaker 1

Ouais mais à ce moment-là quand tu vois ça s'appelle s'appelle pas la conscience comment ? Tu vois,
sans être conscient, s'il y a une ignorance, certes elle s'appelle comment l'acte lui même ? Parce que
l'ignorance est ce que tu ne sais pas. Mais qu'est ce qui sait que tu tu as à ce moment là ?

Speaker 2

****** je, je sais pas.

Speaker 1

Alors je vais te donner un mot, tu me diras hein. Est ce que l'idée de de la perception de percevoir te
parle ? Tu connais déjà ce mot est. Ce qu'en effet la perception implique nécessairement en fait de
percevoir la conscience. Non, non, donc je peux percevoir sans être conscient ou je peux percevoir et.
Conscient, ouais. Ouais, c'est vrai. Ouais, c'est vrai. Ça va hein ? D'ailleurs l'ennemi, c'est faire cette
distinction va appeler même ça la à perception hein. Voilà donc il y a apercevoir et percevoir bien je
m'aperçois que j'ai bien conscient, ça va, mais ça ça surprend que tu tu ne saches pas que tu ne
connaisses.

Speaker 2

Ouais, Ouais, ouais, je sers. Ouais, d'accord. Ouais, ouais. Ouais ouais, c'est très fan. Ouais, Ouais, Ouais.
Pardon ? Oui, tout à fait.
Speaker 1

Cet acte. De voir sans conscience que tu dis. J'ai pas de mot pour ça.

Speaker 2

Oui, c'est c'est un ****, là, c'est curieux.

Speaker 1

Et comment tu ? Ça parce qu'en plus tu connais.

Speaker 2

Vos perceptions, bien sûr. J'ai lu d'ailleurs la mix pour ça, donc c'est c'est. Je ne me l'applique pas, c'est à
dire que je ne me regarde pas sous cet angle là. Je ne me, je. Me sais pas, percevant en fait.

Speaker 1

D'accord, tu sais pas percerant. Et pourtant la perception elle est là et est ce qu'elle est importante, la
perception.

Speaker 2

Elle est là. L'essentiel, elle est première, elle est première.

Speaker 1

D'ailleurs, l'homme a. Il un vrai visage de quoi s'agit il ici s'agit du visage. De quel type de vocabulaire
avons nous ici le visage ? C'est quoi ? C'est une forme.

Speaker 2

Formel signifie.

Speaker 1

C'est une forme, donc s'agit ici de perception. De conscience.

Speaker 2

C'est à bord de la perception.

Speaker 1

D'abord la perception, hein, donc. On confirme bien que cette antinomie. Hein ? Entre perception et
conscience, ici, hein, puisque tu veux que tu questionnes, hein ? Sur la perception. Bon. Voilà si il l'a
travaillé un petit peu. Quel est. Principal entre la perception et la confiance. Comment tu le défilles ?

Speaker 2

Ce qui peut être dans l'un et pas dans l'autre, c'est la pensée par exemple.

Speaker 1
À penser donc dans la conscience.

Speaker 2

Il y a pensé dans la perception, il. En a pas d'accord.

Speaker 1

D'accord, mais là où il y a absence ici, c'est dans la perception. Peut être par exemple qu'il y a absence
dans la perception.

Speaker 2

Oui, une espèce de passivité à la perception.

Speaker 1

Est ce que la perception ne doit nécessairement etre passive ? Où ce qu'elle peut être active.

Speaker 2

Elle peut être active.

Speaker 1

Comment ça serait une perception active ?

Speaker 2

Être à l'affût, quelque chose aux aguets, quelque. Chose là. Est qui est dans un principe de perception
très.

Speaker 1

Actif aux aguets de quelque chose, par exemple quoi ?

Speaker 2

Un chasseur de sa proie, par exemple.

Speaker 1

Chasseur, d'accord, un chasseur, donc est-ce qu'un chasseur va être dans le problème de la conscience
ou est-ce qu'un problème de la perception et pourquoi ?

Speaker 2

Uniquement de la perception.

Speaker 1

Et pourquoi la conscience n'est pas son problème ? Uniquement la de. Ça lui sert pas à grand.

Speaker 2
Chose, tu sais. Quoi la conscience dans ce cas là ? Bah pour la chasse c'est vraiment retrouver une
espèce d'Animalité donc.

Speaker 1

Retrouver une animalité, la conscience est plus lointaine. Donc les chasseurs, lui, c'est ça, est ce qu'il y a
d'autres personnes pour qui justement ? Donc lui la perception est présente et pas la conscience. Est ce
qu'il y en a. Qui peuvent avoir le problème inverse.

Speaker 2

La conscience.

Speaker 1

La conscience, on a conscience et la perception n'est pas là. C'est un problème vers du. Lui et de la
perception, pas de conscience. Problème inverse.

Speaker 2

Et je vois pas comment ça peut être. J'ai pas d'exemple, j'ai pas d'exemple où il n'y aurait que de la
conscience et pas.

Speaker 1

Je vois comment ça peut être.

Speaker 2

Perception, oui. J'arrive pas à monter de l'esprit que la la. J'ai un présupposé qu'il serait que la
perception est toujours première.

Speaker 1

La perception est toujours première, d'accord.

Speaker 2

Donc conscience en perception, c'est c'est ça marche pas.

Speaker 1

D'accord, d'accord, la perception est toujours première. Est ce que ça appartient à une école de pensée
de pensée ? Classe perception est toujours première. Comme quoi.

Speaker 2

Alors j'imagine, oui.

Speaker 1

Quoi par exemple, une idée ou non ?

Speaker 2
Les existentialistes, peut être.

Speaker 1

L'existentiel, qu'est ce qui vient d'abord pour l'existentiel ? Il s'est le fait de percevoir. Regarde dans le
terme. Non, c'est s'il existe exister. Ouais alors je vais te proposer quelque chose, mais là si tu connais
les empiristes.

Speaker 3

Ouais, d'accord. Bon, ouais.

Speaker 1

Ça a. Parce qu'en effet, pour eux, la perception est première. Tu connais les empires ?

Speaker 2

Oui, forcément. L'idée ? Oui, je connais pas d'auteur qui dit.

Speaker 1

L'un des docteurs, les dampiristes, c'est que c'est la perception qui sont premières connaissaient, mais à
nouveau tu trouves pas de mots qui renvoient la perception, là tu retrouves pas les mots, Alors tu les
connais qui rendent compte d'une pensée.

Speaker 3

Ouais, je connais l'idée. Ouais, ça.

Speaker 2

Passe par l'essence. Encore une. Ouais, ouais.

Speaker 1

Ou la. Est première, c'est 2 fois qu'il y a absence de mots. Pourtant tu c'est curieux, hein ? Ouais, c'est
furieux hein, mais tu sais que quand tu connais la pratique, tu sais que c'est ses absences sont
importantes. C'est là que ça travaille. En fait, ça travaille bien et Ben voilà. Donc on aurait un empiriste,
est ce qu'il y a des penseurs qui ne sont pas empiristes ? Ce sera l'opposé. Forcément. Bah comme quoi,
un auteur ou le genre d'auteur qui serait pas empiriste, il serait à l'opposé.

Speaker 2

D'un empire, purement, il est rationaliste, peut être.

Speaker 1

Il faut outils, par exemple JD.

Speaker 2

Des cartes quand ?

Speaker 1
Des cartes, des cartes, cartes par exemple.

Speaker 2

Je prendrai des cartes.

Speaker 1

Écarte bien rationaliste, hein alors ? Qu'est ce qui serait primordial pour lui d'après ? Que tu sais la
raison.

Speaker 2

La raison ?

Speaker 1

Est ce que cette raison qui serait première ? Pourrait ne pas savoir voir. Non, c'est pas possible. La
raison, c'est toujours voir.

Speaker 2

Se se voi se voir voir.

Speaker 1

Ce que la raison, c'est toujours voir.

Speaker 2

La raison, c'est toujours voir.

Speaker 1

On est un chasseur qui voit mais n'a pas de conscience. La raison de conscience avant on. Le mettre
ensemble ou non d'accord, est ce. La raison, la conscience peuvent ne. Pas savoir voir.

Speaker 2

Oui, on manquant de bon sens commun. Exemple, un bon sens.

Speaker 1

Quand commun ?

Speaker 2

Oui, oui, oui.

Speaker 1

Est ce que ton chasseur a du bon sens commun ? Oui bien et ce qui manque de pensance commun,
comment il va fonctionner ? C'est quoi ce genre de personne ?

Speaker 2
Espèce de RAS de laboratoire, je veux dire, c'est.

Speaker 1

Alors je sais pas, c'est un scientifique, c'est plus qu'un scientifique. Que c'est ce adresse, je comprends,
je.

Speaker 2

Alors si c'est quelqu'un qui ne vit que dans la pure abstraction, quoi, d'accord qui ?

Speaker 1

Est quelqu'un qui vit dans l'abstraction. Dis moi si tu vas voir les gens dans la rue, tu leur dis dites-moi il
y a quelqu'un que je connais qui se demande si l'homme a un vrai visage et qui cherche un propre visage
et je vais leur demander, dites-moi ce personnage, il a le bon sens. Où il vit dans l'abstraction, il va dire
quoi ?

Speaker 2

Qui vit dans une abstraction.

Speaker 1

Est ce que c'est possible de poser une telle question pour poser une telle question ? Faut vivre dans
l'abstraction. Poser la question là va-t-il un vrai visage ? Forcément d'accord. Et en effet, une persilière
d'abstraction peut-elle en effet avoir une perception hein, donc moins développée que celle du chasseur
? Oui. Donc, sinon est-ce qu'en effet, si t'étais dans le sens commun, tu voulais savoir ton. Chercher ton
visage, qu'est-ce ? Tu irais faire généralement regarder dans l'eau basse. Te regarde dans les places,
d'accord ? Et là, ça serait la perception, d'accord ? Est ce qu'en effet dans en en étant dans l'abstraction,
est ce qu'on fait on on ? Ne plus voir.

Speaker 2

Faut moins voir. Ouais, c'est.

Speaker 1

Possible, c'est possible. Ouais, et tout à l'heure ça tu voyais pas.

Speaker 2

Où c'est ça ? Il a fallu. C'est tout l'enjeu. D'ailleurs, je ne le voyais.

Speaker 1

Et pourtant, est ce que ça paraît pas tomber sous le sens si les histoires de personnes terrain de
laboratoire qui ne voit pas et qu'est ce que c'est quoi ne voit pas ? L'évidence, il ne voit pas l'évidence et
l'évidence, elle est de quel type ? Toutes les formes d'évidence ou certaines formes d'évidence.

Speaker 2

Bah j'ai du mal à à problématiser les évidences entre elles mais.


Speaker 1

Alors qu'est ce que est ? Ce que déjà est ce qu'il y a, les évidences ont tous dans la même catégorie.
Catégories, d'évidence. Ou non, pour toi, les évidences sont toutes du. Type, non tu.

Speaker 2

Peux elles, elles s'appliquent dans les champs différents.

Speaker 1

D'accord, mais est-ce que est-ce que justement alors déjà les divisions par champ, est-ce que ce qu'il ne
voit pas c'est les mêmes ? C'est tous les champs d'évidence ou certains champs d'évidence.

Speaker 2

Concernant ce questionnement, c'est des évidences qui qui s'appliquent à lui même. C'est à. Ouais, les.

Speaker 1

À lui même. D'accord, mais ce qui s'applique aux autres, il les voit.

Speaker 2

Évidences des. Plus hein, plus facilement, plus facilement.

Speaker 1

Est ce qu'à part lui ? Et les autres, parce qu'il y a un autre une. Division de champ pour l'évidence.

Speaker 2

Scientifique, peut être en opposition à quoi ?

Speaker 1

Matérialiste ou un matérialiste, prenons d'accord.

Speaker 3

Oui, hein ?

Speaker 1

Est-ce qu'en effet ici, l'évidence de ton, celui-là d'abstraction, laquelle ? Les 2 évidences est une
évidence et que l'autre n'est pas ?

Speaker 2

Le, la scientifique est une évidence et materniste ne l'est pas bien.

Speaker 1

Bien parce que tu vois encore une autre forme de distinction dans ces champs.

Speaker 2
Celle qu'il peut questionner et celle qu'il ne peut pas questionner.

Speaker 1

C'est un champ ça ?

Speaker 2

Assez de qualité.

Speaker 1

Alors restons sur les champs. Eh bien, où est ce qu'il vit ? T'auras. Laboratoire, tu as dit, Tu te rappelles ?

Speaker 2

Dans un laboratoire.

Speaker 1

Oui non, mais tu as dit, il vit dans. Ça rappelle. Non, non, tu as dit, il vit dans l'abstraction.

Speaker 2

D'accord, oui, pardon, ouais.

Speaker 1

Est-ce qu'en effet pour lui, si il vit, est-ce que là c'est une évidence, l'abstraction ? Oui bien donc qu'est
ce que c'est qu'il n'est pas évident ou est ce que qui ne vit pas ?

Speaker 2

Normal, réel réalité quand même.

Speaker 1

Donc l'abstraction en opposition au réel.

Speaker 2

Ouais, elle s'oppose au réel.

Speaker 1

Alors lui même, autre scientifique matérielis abstraction réelle, qu'est ce qui te semble le plus
distingué ? L'évidence qu'il ne voit pas par rapport à celle qu'il voit lui même est autre scientifique
matérialiste, abstraction réelle.

Speaker 2

Le mois est le réel, je pense que c'est. Là-dessus, ça c'est.

Speaker 1

Il y a une des 3, moi j'ai. Des 3.


Speaker 2

Une seule des 3, oui.

Speaker 1

Lui-même et les autres, c'est à dire qui l'évidence serait lui-même, c'est. Ou dans les autres ?

Speaker 2

Ce serait plutôt les autres.

Speaker 1

L'évidence serait les autres et ce qui n'est pas évident. Lui même.

Speaker 3

Ok.

Speaker 1

Le scientifique serait évident et pas le matérialiste ou l'abstraction du serait évident et pas le réel qui
semble mieux capturer l'opposition ici.

Speaker 2

Abstraction réelle, abstraction réelle.

Speaker 1

Peut être bien. Pourtant c'est cette tu as eu plus de mal à fournir qu'à nouveau ce qui paraît le plus
fondamental. Tu ne le voyais pas bien, alors maintenant.

Speaker 2

Ouais, ouais.

Speaker 1

Le conteneur de l'abstraction en général, c'est quoi ? Comme ça, concret. Et toi, tu as dit quoi ?

Speaker 2

J'ai dit réel, réel.

Speaker 1

Quel est le contraire du réel ?

Speaker 2

L'imaginaire imaginaire.

Speaker 1
Est ce que le réel. Peut être qu'on est ce que le. Peut être abstrait.

Speaker 2

C'est possible.

Speaker 1

Donne un exemple.

Speaker 2

L'organisation ou société est a priori abstraite, mais elle a une emprise sur le réel.

Speaker 1

Est ce que le concret peut imaginer ? Plus difficilement, est ce que c'est possible que le concret peut être
imaginaire ?

Speaker 2

Oui, on peut sculpter une chimère. Oui, c'est possible.

Speaker

D'accord, Ouais, c'est.

Speaker 1

Possible ? Ouais donc est ce que qu'est ce qui va mieux comme opposition alors abstraction concret ou
réelle ? Ou pardon, abstraction réelle ou concret imaginaire ? J'espère annuler comme distinction ici.
Parce qu'il va prouver abstraction réelle, mais en fait l'abstraction, c'est concret, réelle, c'est
l'imaginaire. Qu'est ce qui l'opposition qui t'intéresse le plus ici pour l'autre personnage ? L'abstraction,
il convient au réel et l'imaginaire.

Speaker 2

Je reste sur l'attraction et le concret.

Speaker 1

L'abstraction est concret. D'accord bien. Et en effet, ce que le concret peut se voir. Oui, parce que
l'abstrait se voir, donc on l'est bien dans notre personnage ici qui vit hein, dans l'abstraction qui ne se
voit pas, d'accord hein. Et en effet celui-là peut-il éternellement hein, chercher son propre visage ?
Maintenant, quel son problème ?

Speaker 2

Quel est le problème ?

Speaker 1

Oui, c'est quel est.

Speaker 3
Les spécialistes, c'est le.

Speaker 2

Son problème à cet homme là, c'est de savoir. Je dirais presque quand s'arrêter ?

Speaker 1

Quand s'arrêtait de quoi de boire.

Speaker 2

De chercher.

Speaker 1

Quand s'arrêtait de chercher bien et.

Speaker

Ben voilà.

Speaker 1

Donc si c'est ça que. Tu à quelqu'un qui te pose la question le matin après visage ? Ce qu'on vient de
voir. Son problème, c'est quoi ? C'est quand s'arrêter de chercher ?

Speaker 2

Ouais, quand, quand, quand on s'est arrêté de chercher son.

Speaker 1

Bien alors qu'est ce que tu lui dis à celui là ? Quel conseil peux tu lui donner ? Il pose la question là va-t-il
un vrai visage ?

Speaker 2

Y a 2 solutions, ça, je lui demande de continuer de chercher. Lui demande de s'arrêter de chercher.

Speaker 1

Alors est-ce que Ben voyons voir si quelqu'un qui nous dit écoutez, cherche pas mon visage la matinée
après visage. Bah c'est lui celui.

Speaker 2

Qui ne cherche pas, je dirais plutôt cherche et celui qui cherche trop, je dirais cesse de chercher.

Speaker

Alors celui-là ?

Speaker 1
Va préciser cette question-là, on pense plutôt qu'il cherche ou qu'il cherche pas, alors est-ce que ça peut
être intéressant ?

Speaker 2

Il cherche.

Speaker 1

Bah écoute, arrête de chercher. Oui, oui, tu l'as prévu celle-là ou non ?

Speaker 2

Je la pressentais un peu quand même, ouais.

Speaker 1

Tu l'as vu ? Après, d'accord. Alors, mais ce qui va être. Pourquoi pas ?

Speaker 2

Parce qu'au fond. C'est une espèce de, de, de, de, de fuite, Refuge Stropium.

Speaker 1

D'accord, c'est une fuite refuge et une fuite de. D'après ce qu'on a vu.

Speaker 2

Bah, du réel.

Speaker 1

Refuge, d'accord, hein ? Et si on a son entourage, moi la personne qui demande si l'homme a avait le
visage, est ce qu'en effet il sert de ça pour se réfugier du réel ? Est ce que son entourage se dire Ouais
Ouais ça ça ils vont être d'accord avec ça avec des chances. Ouais il y a des chances.

Speaker 2

Plus tôt je pense, ouais.

Speaker 1

Des chances, hein ? D'accord bien hein. Et bien alors ?

Speaker

Ben voilà.

Speaker 1

On a la réponse, autant arrêter de chercher ça va. Ouais, ça va ou il y a un problème.

Speaker 2

Oh bah te chercher hein. Y a un. Qui est. Le problème, c'est. C'est le deuil, un peu de cette. Là je crois.
Speaker 1

Le deuil de cette quête, c'est à dire ?

Speaker 2

Que dire à un moment donné ? Cesser de chercher quelque chose qu'on ne trouve pas.

Speaker 1

Arrête là 2 secondes. Quelqu'un qui ne veut pas cesser de de chercher quelque chose qui ne trouve pas
quand il ne trouve pas, il est satisfait ou pas. Non, il est donc insatisfait. D'accord ? Donc de quoi doit-il
faire le deuil s'il arrete de chercher ?

Speaker 2

De son insatisfaction.

Speaker 1

C'est sur la satisfaction. D'accord, il doit faire le deuil de son insatisfaction, alors supposons que ça soit
ton fils. Ça lui arrive, j'imagine à tes enfants pas faire le deuil sur la satisfaction, ça doit arriver, c'est
infantile.

Speaker 2

Palafonte, ils le fait en plus particulièrement en fonte.

Speaker 1

Quel est. Argument fort dans ces cas-là, ton argument ressources.

Speaker 2

Eh Ben c'est difficile à trouver alors parce que je souffre du même problème donc.

Speaker 1

Qu'est ce que tu lui dis ?

Speaker 3

Je vais vous dire que je vais vous laisser.

Speaker 2

Qu'est ce je lui dis non ?

Speaker 1

Mais ça y est, hein, Quel est. Un argument que tu as pu utiliser là dessus ?

Speaker 2

C'est tout ça. Bah c'est la raison commune. Souvent la plupart du temps, c'est.
Speaker 1

À dire on particules, ça tu. Le dis que voilà.

Speaker 2

Souvent, voilà la, la, le classique, c'est la justice et l'injustice.

Speaker 1

Non, non, non, je veux pas. Juste qu'est ce que tu ? Dis, il veut. Faire de réduction de la sépation sur
quelque chose, tu lui dis quoi ? C'est moi, je suis ton fils, voilà je vais pas faire le mon insatisfaction sur
quoi que ce soit. Me dis quoi ? Grandis, grandis. Alors, ça veut dire quoi ? Que justement j'ai.

Speaker 2

De la soupe, ça veut dire que grandir, c'est. Justement, faire ça, c'est accepter de ne pas être satisfait sur
tout accepter.

Speaker 1

Comment t'appelles quelqu'un qui veut satisfaire sur tout ?

Speaker 2

Sa petite enfant.

Speaker 1

Un petit enfant.

Speaker 3

Et alors ?

Speaker 1

Ici la. Clé de cette enfant, c'est de d'accepter. Oui, et accepter, c'est grandir. Oui, ça va, oui, mais si tu lui
dis ça, il. Ça va aller.

Speaker 2

Ou non, ça marche pas parce que. Parce que c'est. Parce que cette insatisfaction, la raison y adhère
assez peu en fait.

Speaker 1

Cette insatisfaction. La raison adhère peu, elle.

Speaker 2

Est un. Ouais, elle est un peu sinon qui est qui est peut-être un peu sourde aussi si tu veux donc.

Speaker 1
Elle est sourde, ouais. Elle relève de quoi ? C'est vrai, j'ai pas. La raison de quoi ? Relève t elle ?

Speaker 2

Ça peut être de la passion au milieu sensible, ça peut être.

Speaker 1

Je sais pas, tu me dis quel est ton ton, ton concept ? Il y a cette année, ça vient de quoi ?

Speaker 2

Plus sensible.

Speaker 1

Du sens, c'est-à-dire.

Speaker 2

De l'émotion, quoi du principe émotionnel.

Speaker 1

De l'émotion, voilà, ça vient de l'émotion et quel genre d'émotion c'est ça ?

Speaker 2

Frustration souvent. Oui, désire un désir frustré.

Speaker 3

C'est son gros service, ouais, ouais.

Speaker 1

Un désir d'accord, donc, c'est le désir. Juste frustré, d'accord.

Speaker 3

Hein ? D'accord, donc.

Speaker 1

Celui pour qui le désire est. À quoi ressemble T il parce qu'on voit là ? Tu as dit que un un petit enfant
donc c'est des frustrés. Il a un petit enfant d'ailleurs c'est pas mal ça. Tu voulais savoir l'homme AT il un
vrai visage ?

Speaker 2

C'est c'est un petit ouais, c'est ça.

Speaker 1

Il cherche son propre visage et Ben il aurait le visage d'un petit enfant, ça va et est ce qu'en effet on peut
avoir un problème, un problème dans le visage d'un enfant ? Pour savoir qui il est.
Speaker 2

Je comprends pas ta question.

Speaker 1

Ben est ce que est ce qu'il y a par rapport à l'adulte, est ce qu'il y a un problème chez un enfant ? Savoir
qui il est. Où est ce que c'est qu'on voit mieux qu'il envisage un adulte ou visage un enfant ?

Speaker 2

Chez qui ? C'est plus facile de le lire, oui.

Speaker 1

Chez l'enfant, chez l'enfant, pourquoi ?

Speaker 2

Y a moins de. Y a moins de choses à défendre, y a moins de statut à défendre.

Speaker 1

Moins de choses à défendre.

Speaker 2

Moins de, donc.

Speaker 1

Moi, le choses à défendre. Et donc on.

Speaker 2

Voit mieux la plus de transparence, oui, transparence.

Speaker 1

Alors chez l'adulte.

Speaker 2

C'est plus opaque parce que y a un statut social, y a un statut familial.

Speaker 1

Bien statut bien donc il y a des. À défendre, ouais. Bien alors donc, c'est plutôt chez la Tulle qu'on va se
demander à voir le visage chez l'enfant, on le voit plus. Alors là. A un problème puisque à priori,
quelqu'un qui veut. Se satisfaire, qui peut pas ? Frustré, c'est plutôt un enfant, mais un enfant, on verrait
qu'il est. Alors comment ça se passe ? La contradiction, c'est à la fois un enfant, un adulte, alors
comment ça s'articule ?

Speaker 2
C'est à dire que à la fois c'est l'adulte qui perd son propre visage.

Speaker 1

Disons, il perd son propre visage. Il oublie son visage, ouais. Et comment ça se fait ça ?

Speaker 2

Comment on oublie son visage, comment on oublie. Comment on oublie son visage ? ****** terme.

Speaker 1

Comment peut-on oublier son visage ?

Speaker 2

Elle est énorme cette question, hein ?

Speaker 1

Si on l'oublie, c'est qu'on l'a connu. Forcément, qui l'a connu, l'enfant, l'enfant donc l'enfant connaît son
visage. Et qu'est-ce qui se passe ? Donc il oublie son visage quoi en en grandissant.

Speaker 2

C'est pas simple, simple, fin.

Speaker 1

Alors comment ? Oublie son visage, cet enfant.

Speaker 2

C'est pas le simple fait de grandir.

Speaker 1

Qu'est ce qui va se passer ? Non mais c'est pas c'est pas comment c'est quand hein ?

Speaker 2

Ouais, c'est quand même.

Speaker 1

Alors là c'était bon ? Alors comment il va oublier son visage chez enfant ? Il est toujours enfant quand il
oublie son visage. Non, non, donc c'est redevenant, c'est.

Speaker 2

Le passage, ouais.

Speaker 1

Ça, c'est le passage, le.


Speaker 2

Passage à la à l'état d'adulte peut être qui fait qu'on oublie son visage.

Speaker 1

Alors comment ça, ça marche là ?

Speaker 2

Bah ça ça renvoie peut être au statut à la position, à ce qu'on veut absolument montrer aux autres.

Speaker 1

On veut montrer d'accord.

Speaker 3

Donc, quand ?

Speaker 1

On veut montrer qu'est ce qu'on fait ? On triche donc qu'est-ce qui se passe avec le visage ?

Speaker 2

Ben il est à la dans dans cette tricherie, il est grimé et on.

Speaker 1

Finit par oublier. Et on finit par oublier, d'accord, hein ? Mais on peut se poser la question alors hein, est
ce que s'il est grimé YAT il un visage sous le grimmage ?

Speaker 2

Je ne sais pas.

Speaker 1

Je sais pas si oui non, c'est une hypothèse.

Speaker 2

Je dirais oui, ça serait le visage, le, un visage un peu.

Speaker 1

Un visage, un peu quoi.

Speaker 2

C'est un visage, comment on peut appeler ça un un visage à la. Infantile et vieilli. Le visage d'un enfant,
mais.

Speaker 1
Le visage d'un enfant, mais.

Speaker 2

Au milieu malgré tout vieux, donc ça c'est un enfant vieux. Ouais, c'est ça qui est compliqué, c'est.

Speaker 1

Ça veut dire ménager un.

Speaker 2

La fois. Le visage de l'enfant, mais qui ne passe pas par l'État d'adulte et qui vieillit malgré.

Speaker 1

Tout et qu'est ce qui se passe quand il vieillit ? Qu'est ce qui se passe quand ce visage vieillit ? Qu'est ce
qui fait qu'il vieillit ?

Speaker 2

Smarc, il se marque. Ouais, se marque des rides.

Speaker 1

Monsieur Marc, par exemple de riz, d'accord, bien que n'a pas.

Speaker 2

Hein, le visage d'un enfant.

Speaker 1

D'accord, et à ce moment-là, lequel, s'il est marqué, quel visage est plus identifié, celui de l'enfant, celui
de l'adulte ? Entre un visage marque et visage pas marqué, lequel est plus visible, est ce que l'on
reconnait plus qu'elle a. D'identité, celui qui est marqué. Qui est marqué donc théoriquement sans ce
grimage, l'adulte a un visage plus marqué, donc plus visible oui, mais pas visible parce qu'il est grimé. Ça
va ? Ouais, Ouais, ça va. Or, à quoi sert principalement le grimage en général ? Cacher, cacher quoi ?

Speaker 2

La réalité des choses.

Speaker 1

Et à l'occasion, ce serait quoi ?

Speaker 2

Visage d'un enfant.

Speaker 1

Il veut cacher le visage de l'enfant. Ouais, parce que les rides cachent le visage de l'enfant. Pas besoin de
se grimer si c'est le cas, ouais.
Speaker 2

C'est c'est là où c'est pervers, ouais.

Speaker 1

Attends, oui, rassurez-moi juste la logique de l'agriation en quoi que veut on cacher si de toute façon
alors les rides vont cacher le. De l'enfant, parce que.

Speaker 2

Il y a l'ignorance de ça, on n'imagine pas que. On n'imagine pas que les rides vont effectivement cacher.
Village de l'enfant.

Speaker 1

Pas que les rides vont.

Speaker 2

On ne peut pas le savoir, ça.

Speaker 3

Le sait.

Speaker 1

En tout cas. Alors dans ce cas-là, qu'est ce qui soucie la personne qui dans ce cas là ? Ce que s'étendait,
c'est à. Souci là.

Speaker 2

Elle veut se cacher, manifestement.

Speaker 1

Elle veut se cacher.

Speaker 2

Ou elle va se cacher, elle fait.

Speaker 1

Alors regarde quelqu'un qui.

Speaker 2

Elle veut montrer quelque.

Speaker 1

Non, on va déjà, on va déjà se cacher, montrer, on va voir quelqu'un qui veut se cacher. Qu'est ce que je
sais de quelqu'un qui veut se cacher ?
Speaker

Chose d'autre, ouais.

Speaker 1

Est ce que je peux savoir t'as ? Je veux me cacher bien, qu'est ce que je sais ?

Speaker 2

La peur.

Speaker 1

Et la peur, personne qui a. Personne qui a peur, d'accord, voilà. Est-ce qu'il est possible que le visage de
l'homme soit la peur ? Oui, c'est possible cette part. Explique en en quoi ça a du sens.

Speaker 2

En quoi sert du sens que les livrets, le vrai visage d'homme, ça soit la peur que c'est.

Speaker 1

Peur de quoi déjà ? D'absence de sens, d'absence de sens. Comment s'appelle l'absence de sens ? En
général ? C'est tu vois un l'absurde ? Mais qui a peur de l'absurde, l'homme de l'abstraction, celui. Ou le
chasseur.

Speaker 2

J'irai les 2 et plus, lequel ? Plus celui qui dans l'abstraction.

Speaker 1

Je suis un abstraction, hein.

Speaker 2

C'est une réponse d'ailleurs.

Speaker 1

Alors celui justement, qui serait le chasseur, lui, qu'est ce que c'est si on allait opposer quelque chose à
l'absurde qui soit plutôt dans son domaine ? De quoi aurait-il peur principalement ? Être concret.
Matériel chasseur.

Speaker 2

La mort peut être à ce point.

Speaker 1

De la mort bien. Alors est ce que l'absurde pourrait être ? Forme de mort. Oui, mort de quoi ? Si quand
tu dis la mort, c'est la mort de quoi pour notre homme de bon sens ?

Speaker 2
La sienne.

Speaker 1

Oui c'est c'est c'est quoi ce qui me ?

Speaker 2

Sa conscience, quoi.

Speaker 1

C'est sa, c'est sa conscience, son souci ? Non, non, le chasseur, il a peur de la mort. De quoi ? Sa
conscience.

Speaker 2

Car d'une, d'une néance et la peur. Noir, je sais bien.

Speaker 1

Non mais la, la mort de quoi ? Qu'est ce qui va ? Sa conscience ? Non, c'est ton corps, ton corps. Est ce
qu'en effet. Il aura plus peur que quelque chose menace son esprit ou menace. Corps, son corps, son
corps, c'est difficile, ça ? Oui, manifestement.

Speaker

Ouais, Ouais, Ouais.

Speaker 1

La peur de son corps, Or. Qui craint l'absurde, il a. De quoi lui ? De.

Speaker 2

Lui, c'est plus de son.

Speaker 1

La mort de quoi ?

Speaker 2

Sais pas comment on dit en. Je sais pas si elle se dit la sanité.

Speaker 1

La santé.

Speaker 2

Ouais, la santé de son esprit, quoi.

Speaker 1

Santé mentale alors hein, il a peur donc cet équiper la santé mentale on.
Speaker 2

Ouais, ouais, c'est ça.

Speaker 1

Qu'il est. Quelqu'un n'a plus de santé ? À l'info et c'est INFO, est ce qu'en effet il peut avoir peur de
devenir fou ?

Speaker 2

Ah oui, clairement.

Speaker 1

Oui hein, ça te parle ?

Speaker 3

Ah oui.

Speaker 1

Donc, l'homme se demande, la personne se demande le MAT, il a un vrai. Est ce que. Peut être la crainte
de la folie à travers cette question. Oui, et d'ailleurs pour ceux qui le chasseur qui entend ça, ce qui dit
pas. Est déjà fou.

Speaker 2

C'est possible.

Speaker 1

Hein, tu parles.

Speaker 2

Ouais, ouais, c'est possible, c'est possible.

Speaker 1

Alors, t'as quelqu'un en situation là ? D'ailleurs, on lui a déjà dit, il faudrait mieux arrêter. Entre
parenthèses, ne se pose cette question là, mais on pense que, en effet, il y a une. Folie en général qu'il y
a une crainte de la folie qui est le genre d'être à une crainte de la folie.

Speaker 2

Est ce que ce sont ceux qui sont en ? De fous ou pas ? Non, ça.

Speaker 1

Quel genre d'aide aurait une crainte de la folie ? Est ce qu'il a besoin des autres ? Parce que la folie ou.
L'a déjà, même sans les autres, il l'a déjà à ton avis ?

Speaker 2
Je crois que descends les autres déjà.

Speaker 3

D'accord, alors si à la.

Speaker 2

Je mets en présence de ça.

Speaker 1

Comment on peut qualifier éric ? Il y a la crainte de la folie.

Speaker 2

Encore un vide incroyable.

Speaker 1

Ça n'a pas s'obligeait pas.

Speaker 2

Je sais pas, c'est un angoissé, un anxieux angoisse.

Speaker 1

Alors voici un un angoissé, ça va ?

Speaker 2

Ouais, plutôt angoissée, ouais.

Speaker 1

L'angoissé est un cran de la folie, mais est ce qu'on peut être angoissé et et craindre plutôt la la mort de
son corps ?

Speaker 2

Bien sûr. Bien sûr, donc l'angoisse, c'est.

Speaker 1

Alors celui qui a la crainte de la folie.

Speaker 2

Fibre, ça suffit pas. C'est incroyable ça. Pourquoi ? Je ne sais pas.

Speaker 1

Qui craint d'avoir un rhume.

Speaker
Ah bah ouais.

Speaker 1

Oui, qu'est ce qu'on sait de quelqu'un qui craint ?

Speaker 2

D'avoir un rhume qu'il est, qu'il est, qu'il est, qu'il est hypocondriaque.

Speaker 1

Philippe, hypocondriaque, c'est à dire Hypocondriaque, ça veut dire que.

Speaker 2

Il craint d'attraper toutes les maladies du monde.

Speaker 1

Écrire d'après est ce que quelqu'un peut craindre d'avoir un rhume sans à travers des maladies jusqu'à
avoir une autre raison ?

Speaker 2

Peut-être fragile, fragile, mais PEV. Ouais, une fragilité. Ouais, ouais.

Speaker 1

Il a une fragilité, donc qu'est-ce qui se passe lui par rapport au rhume ? En général, c'est les fragilités.
Quelqu'un qui est fragile, OK. Qu'est ce qui va se passer bien souvent ? Est ce quelqu'un a une fragilité
sur une quelconque partie de son corps ? Alors je vais te proposer s'il est fragile au rhume, c'est que
périodiquement il va avoir 2 rhumes. Si oui, d'accord, c'est énorme ça, hein ?

Speaker 2

Oui, oui, bien sûr, bien sûr.

Speaker 1

Donc, est-ce qu'en effet, celui qui. Un droit à un brume. Il est enrhumé, c'est quelqu'un qui est enrhumé,
qui a qui a périodiquement, j'arrive bien.

Speaker 2

Forcément ça si t'as jamais été enrhumé, tu peux pas. Un effort en ligne.

Speaker 1

Mais toi, celui que tu as choisi, qui craindrait d'avoir le rhume ? Tu as dit L'hypocondriaque. C'est la. Que
c'est hypocondriaque, c'est que ça, c'est quoi ça ? Comment ça s'appelle ça ? Savoir sous quelle
catégorie de choses.

Speaker 2
Le mental.

Speaker 1

Oui, mais quoi ? Mental, performance mentale. Passer mes soins, un dysfonctionnement mental.

Speaker 2

Spécialement dysfonctionnement.

Speaker 1

Donc tu as choisi d'abord avant un problème corporel, un problème mental quand je te demande avant
de trouver que quelqu'un craindre un problème physique, c'est pour des raisons mentales. Et pas des
raisons physiques, ouais. Or, quelqu'un dont il craindrait la folie, qu'est ce qui possiblement, quel serait
son problème d'être fou ? Et d'ailleurs toi c'est pas un fou. Tu as choisi d'abord avant d'etre enrhumé,
c'est d'un hypocondriaque, c'est vrai d'accord hein. Donc est ce qu'en effet se poser une telle question
peut etre une forme de folie ?

Speaker 2

Vous êtes trop chaud en fait.

Speaker 1

L'homme A-t-il un vrai visage ?

Speaker 2

Oui, parce que c'est sans fin.

Speaker 3

C'est ça ?

Speaker 1

Sans fin, donc quand on lui a dit d'arrêter, c'était un bon conseil, c'était plus sage. En tout cas, c'était le.
Sage, hein ? D'accord ? Alors quel peut être le rapport entre justement ? On a vu que c'était la il. Avait
de. Peur, l'absurde qu'elle peut être le. Rapport ici entre la peur et la folie, il y a un rapport, ça a du sens,
mais transcendant, peur et folie.

Speaker 2

Oui, je trouve.

Speaker

Ah pardon. Alors avance.

Speaker 2

C'est peut être un rapport déjà dans le préalable, c'est à dire que tu peux être la peur de.

Speaker 1
L'être peur d'être quoi ? Fou.

Speaker 2

D'être fou et après c'est la peur laitante, c'est à dire une fois dans la folie être. Que la peur soit l'unique
et le dernier moteur en.

Speaker 1

Fait d'accord, alors qu'est ce qu'on peut dire ? Sur quelqu'un. Tu connais un ami et ta famille, qu'est ce
que tu peux lui dire ?

Speaker

Qu'est ce que je dois faire ?

Speaker 1

Quelqu'un a peur d'être fou, peur de l'absurde justement, s'il en a un vrai visage. Bon, on a déjà eu une
première recommandation du bandit d'arrêter, mais sinon qu'est ce qu'on pourrait lui dire ?

Speaker 2

Lui dire qu'au fond, le le vrai visage de l'homme n'apparaît que quand on. De chercher.

Speaker 1

Et pourquoi ce visage, ce vrai visage apparaîtrait quand on sait ? Chercher pourquoi ?

Speaker 2

Parce qu'on n'y finit plus.

Speaker 1

On ne fuit plus, c'est à dire ? Attendez, pourquoi chercher serait une fuite ?

Speaker 2

Ça serait une ouais, ça serait une fuite du réel encore et encore et toujours. Et là tout d'un coup, c'est
dans le réel qu'on va trouver ce. Visage, ouais.

Speaker 1

C'est dans le réel, c'est à dire en faisant quoi ?

Speaker 2

Peut être tout simplement en se regardant dans une.

Speaker 1

Glace regardant dans cette glace. Mélo si on lui dit quelqu'un vient, voilà du coup moi je pense la
matinée, un paysage regarde une glace, comment elle va réagir et dire Ouais ouais, chouette. Ai
beaucoup.
Speaker 2

C'était un sal cynique, je pense, ouais.

Speaker 1

Bien cynique, d'accord. Et cette personne là aime les cyniques. Si éditer un sale cynique facile elle avait
cynique, non, non. Hein ? Alors si elle aime palestinienne qu'elle est quoi elle ? Pourquoi va-t-on
opposer le signique ici on va faire le tour des écoles philosophies aujourd'hui, à quoi va-t-on opposer le
scénic ? À quoi oppose T on l'humaniste à l'humaniste ? Et en effet, cet humaniste demande de se pose
des questions sur l'homme. Oui, ça va.

Speaker 2

Oui, jusque là ça va.

Speaker 1

Bien jusque là, quelqu'un qui dit jusque là ça va il ? Rayonne de bonne heure ou.

Speaker 2

Non, parce que non.

Speaker 1

Que attends, écoute bien, non ? Non. Alors qu'est ce qui te gêne dans l'idée ? Humanise jusque là ça va.

Speaker 2

Parce que se poser la question de l'homme AT il un vrai visage ? Je suis pas sûr que ce soit une.
Humaniste et pourquoi pas ? Parce que les humanistes veulent le bien de l'espèce par. Par l'individu ou
par le gros.

Speaker 1

Alors on on va rester là, ils veulent le bien, ils veulent le bien. Quelqu'un qui se demande en va-t-il un
vrai visage ? C'est le bien qu'il veut. Ben non, il veut quoi la vérité ? Il veut la vérité. Et ça va ensemble
bien et la vérité, rarement. Qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce qui les distingue ?

Speaker 2

Ah. Rarement. Bah le. Vérité, ça on comprend pas de la morale.

Speaker 1

Dans la vérité, y a pas de morale. Et dans le bien oui bah oui. Donc, si la dérive sans pas de morale. Quoi
s'encombre t elle.

Speaker 2

De logique.

Speaker 1
Ceci dit, est ce que le cynique se moque tout autant du bien que pareil ? D'accord, mais en fait c'était
pas l'humanité de l'opposé. C'était alors à comment on va l'appeler notre homième qui aime cherche la
vérité, qui s'encombre de logique.

Speaker 2

Bref, oui, pareil également. Philosophe, tout bêtement.

Speaker 1

Ce n'est que t'es pas un philosophe. Enfin tiens, c'est intéressant. Donc le cinéma serait pas un
philosophe, ni celui qui cherche le bien.

Speaker 2

Non, je crois pas.

Speaker 1

Hein ? Comment t'appelles quelqu'un qui dit écoutez, les seuls qui sont des philosophes, on s'occupent
de la vérité, ceux qui c'est des cyniques et ceux qui se soucient de la morale ne sont pas des
philosophes. Comment tu vas qualifier une telle vision de la. Réductrice peut être par exemple.

Speaker 2

Ou radical, pourquoi ?

Speaker 1

Mais celui qui, mais celui qui le dit, il se trouve réducteur.

Speaker 2

Plutôt radical.

Speaker 1

Celui qui le dit se trouve réducteur. Non, il se pense comment il se pense plutôt bien, non ? Plutôt pas
bien.

Speaker 2

Je pense plutôt bien, plutôt bien.

Speaker 1

Hein, mais en même temps, il est. Ouais, c'est. Qu'on va lui dire alors faut le critiquer.

Speaker 2

Flèche qu'on peut lire à celui qui exclut les cyniques et les humanistes en disant que ces gens-là ne sont
pas des philosophes.

Speaker 1
Quelle vision réductrice en plus, qui se trouve plutôt bien dans sa position. Sur ce qu'on lui dit ou
comment on le définirait.

Speaker 2

Orgueilleux, peut être.

Speaker 1

Qualifierait, orgueilleux.

Speaker 3

Est ce qu'il y.

Speaker 1

A un orgueil dans une question comme l'homme AT il un vrai visage, est ce qu'il y a une dimension
d'orgueil là ?

Speaker 2

Je crois. Ouais, ouais, je veux dire.

Speaker 1

Parce que le chasseur va dire ça et.

Speaker 2

C'est un peu oui qu'il quittait pour se poser une question qui pour poser une question comme ça et pour
te la poser ou me la poser ? Ouais, c'est vrai.

Speaker 1

Alors qu'est ce qu'on pourrait dire à ce personnage ? Orgueilleux, qui se pose de telles questions.

Speaker 2

De gagner en simplicité.

Speaker 1

Gagner en simplicité. Et il va dire ouais, d'accord, il va dire non.

Speaker 2

Ni oui, ni non. C'est plutôt comment ? Pourquoi sa limite ? Pourquoi pas ? C'est à dire que c'est plus du
doute si tu veux, c'est.

Speaker 1

Donc l'orgueilleux va dire pourquoi pas ? C'est ce genre de chose, j'allais dire pourquoi pas ?

Speaker 2
Nous n'avons tant que ça.

Speaker 1

Quelqu'un qui pose des genres de questions et qui qui est orgueilleux, qui pense que il est du bon coté
puisqu'il est scénique, ni le bien alors, mais lui dans la vérité, il gagne en simplicité, qu'est ce qu'il va dire
? Tu vas répondre. Aux braves gens qui disent de gagner en simplicité.

Speaker 2

Sont des incultes ?

Speaker 1

Sont des incultes ? Qu'est ce qu'ils vont lui répondre ?

Speaker 2

C'est un dialogue de sourds, il faut se méfier parce que c'est.

Speaker 1

Qu'est ce qu'ils vont lui ?

Speaker 2

Répondre, c'est bien la preuve qu'il faut qu'ils gagnent en simplicité.

Speaker 1

C'est bien. Preuve, mais c'est un dialogue de sourds. Il y a enfin et est ce qu'en effet quelqu'un est ce
que l'orgueilleux tendra à penser qu'on peut dialoguer ou que les dialogues sont dialogues de sourds ?

Speaker 2

A priori qu'y a pas de dialogue possible.

Speaker 1

Un dialogue possible ? Est ce que quelqu'un qui se pose la question la matinée, un vrai visage, c'est
quelqu'un ? Est plutot. Va dans le dialogue, ou plutôt se se se complet dans. Dans le solipsisme.

Speaker 2

Plutôt le solipsisme.

Speaker

Y a pas.

Speaker 2

Par rapport à. Est un peu curieux là-dedans.

Speaker 1
Alors, puisqu'on a vu ça, qu'est ce qu'on peut le lui conseiller de faire ?

Speaker 3

En fait.

Speaker 2

De lâcher prise peut être tout simplement ouais.

Speaker 1

Le lâcher prise, donc on va trouver un peu quelque. De semblable à arrêter.

Speaker 2

Je crois que ça reste. Ouais, ça reste de cet ordre là. le Conseil serait de cet ordre là.

Speaker 1

Et d'ailleurs, celui qui tient absolument insatisfait, parce que si on peut. Faut lâcher prise. Bah hein. Et
d'accepter on retrouve accepter, arrêter, lâcher. T'as vu ? C'est vers qu'on a, mais c'est vers comme
accepter.

Speaker

J'ai même pas. Envie, ouais.

Speaker 2

L'acceptation, ouais.

Speaker 1

Lâché, 6 objections communs, tous ces ces injonctions que l'on donne.

Speaker 2

La puissance, l'impuissance.

Speaker 1

Or notre homme qui veut trouver le vrai visage de l'homme est ce que ça lui plaît, la puissance ?

Speaker

Bien sûr.

Speaker 2

Que non, non. Il est dans. Contraire du grand ma puissance justement.

Speaker 1

Alors il est dans la puissance, d'ailleurs, il veut être satisfait. Ben. Bah qu'est ce qu'on va ? Pour lui
montrer l'intérêt de l'impuissance, hein ?
Speaker 2

L'intérêt de l'impuissance, c'est quoi ? Déjà peut être que la conscience passe par là.

Speaker 1

Par quoi explique.

Speaker 2

Par l'impuissance, en fait. La conscience ne se fait pas dans l'acte, elle est dans quelque chose en dehors
de l'acte.

Speaker 1

Mais dis moi notre homme va-t-il un vrai visage ? Il est dans l'acte ou autre chose que l'acte disant
quoi ?

Speaker 2

Non, il est dans le chaud.

Speaker 1

On va dire, tiens, c'est un homme d'action.

Speaker 2

Au sens ordinaire, non ?

Speaker 1

Et un homme de quoi ? Question, un homme de questions. Et celui qui se pose des questions, il est plus
dans la puissance ou dans l'impuissance.

Speaker 2

Avec des questions comme ça, plutôt dans l'impuissance.

Speaker 1

En général, la question par rapport à la séance,

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