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Organisation et gestion des Ressources Humaines

Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations


A l'embauche, il est communiqué par écrit aux salariés : les dipositions légales et les mesures concernant
la préservation de la santé et de la sécurité et la prévention des risques liés aux machines; l'organisme
Art 24 CT d'assurance les assurant contre les accidents de travail et les maladies professionnelles ; le réglement
intérieur ; la convention collective si elle existe ; le n° CNSS ; les horaires de travail ; le repos
hebdomadaire ;
Tous les salariés (y compris les interimaires) bénéficient d'une assurance maladie + AT
Art 184 CT La durée normale du travail : 2288h/an, 44h/semaine sans dépasser 10h/jour, est respectée
En cas d'organisation du travail par équipes successives, la durée du travail de chaque équipe ne peut
Art 188 CT excéder 8h/jour

Lorsque des travaux préparatoires ou complémentaires indispensables à l'activité générale de


Art 190 CT l'établissement doivent être effectués, la durée du travail peut aller jusqu'à 12h/jour

TOTAL
REGLEMENTATION SST

Comité Hygiène et Sécurité

Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations


Art 336 CT Un CHS a été mis en place (entreprises de 50 salariés et plus)
Art 337 CT Les membres du CHS ont été désignés
Art 339 CT Le CHS se réunit tous les 3 mois
Art 339 CT Le CHS se réunit après tout accident grave ou qui aurait pu l'être

Art 343 CT Chaque réunion du CHS faisant suite à un accident fait l'objet d'un procès verbal

Art 339 CT Existe t'il d'autres réunions extraordinaires


Art 340 CT Procède t'on à une enquête après tout accident ou maladie professionnelle
Art 340 CT Un rapport d'enquête est il dressé
Ce rapport est il envoyé à l'inspecteur du travail dans les 15 jours qui suivent l'accident ou la constatation
Art 341 CT de maladie
Art 342 CT Un rapport annuel sur l'évolution des risques professionnels est il établi par le CHS
Ce rapport est il envoyé à l'inspecteur du travail dans les 90 jours qui suivent l'année au titre de laquelle il a
Art 342 CT été établi
L'analyse des risques aux postes de travail a été effectuée
Cette analyse a été communiquée au personnel concerné
Art 343 CT Un programme annuel de prévention des risques professionnels est établi
Art 343 CT Existe t'il un registre spécial où sont consignés tous les documents sus cités
L’entreprise dispose d’un plan de masse à jour
Les zones à risques sont localisées sur ce plan

TOTAL
Services Médicaux au Travail
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations
Un service médical du travail a été créé (indépendant si plus de 50 salariés ou si risque de maladies
Art 304 CT professionnelles)

Art 307 CT Un rapport sur l'organisation, le fonctionnement et la gestion financière du service est établi annuellement

Ce rapport est adressé à l'inspecteur du travail, au médecin inspecteur du travail et aux délégués des
Art 307 CT salariés
L'entreprise dispose d'un médecin du travail durant toutes les heures de travail (si plus de 50 salariés ou si
Art 306 CT risque de maladies professionnelles)
Le médecin du travail consacre au moins : 1H/mois pour 25 employés, 15 ouvriers, 10 salariés de moins
de 18 ans. Pour les établissements à risque : 1H/mois pour 10 salariés exposés
Art 310 CT Le médecin du travail est titulaire d'un diplôme de spécialité en médecine du travail
Art 310 CT Le médecin du travail est inscrit à l'ordre des médecins et a l'autorisation d'exercer
Le médecin du travail a un rôle préventif, il donne exceptionnellement ces soins en cas d'urgence ou en
Art 318 et 319 CT cas d'accident n'entraînant pas un arrêt du travail
Art 322 CT Le médecin du travail est consulté sur l'organisation technique du service médical du travail
Art 322 CT Le médecin du travail est consulté sur les nouvelles techniques de production
Art 322 CT 4
Le médecin du travail est mis au courant de la composition des produits employés (fiches de données
Art 323 CT sécurité)
Services Médicaux au Travail
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations
Le médecin du travail tient une fiche d'entreprise comprenant la liste des risques et maladies
Art 325 CT professionnels et le nombre de salariés exposés à ces risques
Art 325 CT Cette fiche est actualisée régulièrement
Le chef d'entreprise collabore avec le médecin du travail et lui facilite l'accès aux informations et aux
Art 326 CT locaux de travail
Art 327 CT La visite d'embauche est effectuée avant l'expiration de la période d'essai
Art 327 CT Les visites annuelles sont effectuées pour tous les salariés
Des visites médicales régulières sont effectuées pour les salariés exposés à un risque, les femmes
Art 327 CT enceintes, les mères d'un enfant de moins de 2 ans et pour les handicapés

Une visite médicale est effectuée pour tout salarié après une absence de plus de 3 semaines pour cause
Art 327 CT d'accident ou de maladie autres que professionnels, après une absence pour accident ou maladie
professionnels et en cas d'absences répétées pour raison de santé

Entreprises et établissements de commerce et entreprises et établissements d’artisanat : 1 infirmier entre


Décret n° 2-05-751
500 et 1000 salariés ; 2 infirmiers entre 1001 et 1500 salariés ; une assistante sociale et un infirmier
du 13/07/05 supplémentaires par fraction de 1500 au dessus de 1500 salariés.
Entreprises et établissements industriels, les exploitations agricoles et forestières et les entreprises ou
Décret n° 2-05-751 établissements exposant les salariés à des risques particuliers : 1 infirmier entre 200 et 800 salariés ; 2
du 13/07/05 infirmiers et 1 assistante sociale entre 801 et 2000 salariés ; au dessus de 2000, une assistante et un
infirmier supplémentaires par tranche de 1500 salariés.
Décret n° 2-05-751 Au dessous de 500 salariés pour les entreprises non industrielles et de 200 pour les entreprises
du 13/07/05 industrielles, un infirmier pourra être adjoint sur proposition du médecin du travail.
Décret n° 2-05-751
Un service de garde est assuré par un infirmier si l'établissement travail de jour et de nuit
du 13/07/05
Services Médicaux au Travail
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations
Dans chaque atelier où sont effectués des travaux dangereux, deux membres du personnel ont reçu une
Art 317 CT formation de secourisme
Le SMT est formé de 2 pièces de 16m² chacune en dessous de 500 salariés ; entre 500 et 1000 salariés 3
pièces de 16m² chacune ; pour 1000 salariés et plus et pour les services interentreprises une salle
d’attente, un cabinet médical, une salle de pansements de 16m² chacune, 3 cabines de déshabillage d’un
total de 4m² et 1 salle de repos de 8m².

Si le service comporte 2 médecins, y a t'il un second cabinet médical

Les locaux du SMTsont chauffés, éclairés, avec eau courante et sans bruits

TOTAL
REGLEMENTATION SST

Maladies Professionnelles / Accidents de travail


Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations
Arrêté n°100-68 L'employeur a-t-il declaré les substances susceptibles de provoquer des maladies professionnelles à
du 20/05/67 l'inspecteur du travail
Arrêté n°100-68 L'employeur a-t-il declaré la cessation d'utilisation de substances susceptibles de provoquer des maladies
du 20/05/67 professionnelles à l'inspecteur du travail
Le médecin du travail a-t-il declaré les maladies professionnelles ou à caractère professionnel dont il a eu
Art 324 CT connaissance
Existe-t-il une procédure de déclaration des accidents de travail (autorités ; assureur)
Dahir n°1-60-223
Cette procédure est elle conforme à la loi
du 06/02/63
Arrêté du
La déclaration et les certificats qui l'accompagnent sont t'ils conformes aux modèles réglementaires
01/02/36
Dahir n°1-60-223
L'employeur est il assuré contre les accidents de travail et maladies professionnelles
du 06/02/63
Existe-t-il un suivi des maladies professionnelles

Existe-t-il un suivi des accidents de travail et des accidents de trajet (taux de fréquence, tx de gravité)

Existe-t-il une analyse des presqu'accidents


Art 281 CT Faites vous la métrologie des ambiances sonores, thermiques et lumineuses

TOTAL
HYGIENE ET SALUBRITE DES LOCAUX
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC PART CF Observations
Les locaux du travail doivent être tenus dans un état constant de propreté.
Le sol des établissements est nettoyé complètement au moins une fois par jour.
Ce nettoyage des sols des établissements ou partie d’établissement où le travail est permanent jour et nuit,
est effectué avant l'ouverture ou après la clôture du travail.
Le nettoyage permanent est fait soit par aspiration ou par tous autres procédés ne soulevant pas de
poussières.
Les murs et les plafonds sont nettoyés régulièrement.
Les murs des locaux du travail sont recouverts d'enduits ou de peinture d'un ton clair ou de chaux. L’enduit
est être refait aussi souvent que nécessaire.
Dans les locaux où le sol est constitué de la terre battue, il sera procédé au nivelage du sol aussi souvent
que nécessaire.
Dans les locaux où l'on utilise des matières organiques périssables ou altérables, où là où l’on manipule des
chiffons ainsi que dans ceux où la nature des travaux qui y sont effectués rend le sol constamment humide,
le sol est imperméabilisé et nivelé et présente une pente régulière d’un millimètre par mètre au minimum
dans la direction de la conduite d'évacuation des eaux de lavage. Les murs sont recouverts d'un enduit
facilitant le lavage.

Les murs et le sol sont lavés et désinfectés aussi souvent que nécessaire. Le nettoyage des locaux où l'on
utilise des matières organiques altérables est effectué à l'aide d'appareils mécaniques d'aspiration.

Les résidus putrescibles ne demeurent pas dans les locaux réservés au travail et sont enlevés, s’ils ne sont
pas déposés dans des récipients métalliques hermétiquement clos, vidés et lavés avec une solution
désinfectante au moins une fois par jour.

Dans les locaux de travail où la nature des travaux effectués rend le sol constamment humide, les
emplacements où les salariés travaillent doivent être équipés d’un plancher suffisamment élevé pour éviter
que les pieds des salariés soient en contact direct avec l'eau ou les liquides répandus sur le sol. Cette
présente disposition ne sera pas applicable si les salariés sont munis de chaussures de sécurité.
L'atmosphère des ateliers et de tous autres locaux réservés au travail sont constamment protégée contre les
émanations provenant d'égouts, fosses, fosses d'aisances ou de toute autre source d'infection.

Les conduites d'évacuation des eaux résiduaires ou de lavage et les conduites de vidange des égouts
traversant les locaux de travail sont étanches et entourées d'une maçonnerie étanche
Dans les établissements qui déversent les eaux résiduaires ou de lavage dans un égout public ou privé, la
communication entre l'égout et l'établissement est munie d'un intercepteur hydraulique qui est fréquemment
nettoyé au moins une fois par jour.
Les éviers sont construits en matériaux imperméables, bien joints, présentent une pente dans la direction du
tuyau d'écoulement et sont aménagés de façon à ne dégager aucune odeur.
Les travaux dans les puits, conduits de gaz, canaux de fumée, fosses d'aisances, cuves ou appareils
quelconques pouvant contenir des gaz nocifs, ne sont entrepris qu'après que l’atmosphère aura été assainie
par une ventilation efficace.
Les lavabos sont installés dans des locaux spéciaux isolés des locaux du travail et placés à leur proximité.
Ces dispositions s’appliquent à l’aménagement des vestiaires dans les établissement occupant au moins 10
salariés

Si les vestiaires et les lavabos sont installés dans des locaux séparés, la communication entre ceux-ci
s'effectue sans traverser les locaux du travail ou de stockage et sans passer par l'extérieur.

Le sol et les parois des locaux des vestiaires et des lavabos sont construits en matériaux faciles à nettoyer
et imperméables.

Les vestiaires et les lavabos sont aérés, éclairés et convenablement chauffés en cas d’abaissement de la
température durant la période hivernale dans les régions froides. Ils sont tenus en état constant de propreté.

Les parois ou parties de parois, qui ne sont pas recouvertes de carreaux de faïences et de granites, sont
recouvertes de peintures d'un ton clair ou de chaux.
Les vestiaires et les lavabos des hommes et des femmes sont séparées dans les établissements occupant
un personnel mixte.

Les vestiaires sont pourvus d'un nombre suffisant de sièges et d'armoires individuelles pouvant être fermées.
Ces armoires sont munies :
– des tringles portant un nombre suffisant de cintres ;
– d’un compartiment réservé aux vêtements de travail souillés de mauvaise odeur ou portant des matières
dangereuses, et muni de deux cintres. Les parois de ces armoires ne comportent aucune aspérité

Ces armoires sont complètement nettoyées au moins une fois par semaine.
Les lavabos doivent être munis en eau potable à raison d'un robinet au moins pour 5 salariés. Du savon et
des serviettes propres seront mis à la disposition des salariés.
Dans les établissements où sont effectués certains travaux insalubres ou salissants, des douches sont
mises à la disposition des salariés.
Le sol et les parois du local affecté aux douches permettent un nettoyage efficace. Le local est tenu en état
constant de propreté.
La température de l'eau des douches est réglable.
Le temps passé à la douche est rémunéré au tarif normal des heures de travail sans être décompté dans la
durée du travail effectif
Les toilettes et les urinoirs ne communiqueent pas directement avec les locaux du travail. Ils sont aménagés
et ventilés de manière à ne dégager aucune odeur.
Les toilettes sont éclairées et couvertes d’une toiture fixe.
La cabine est munie d’une porte pleine ayant au moins 1,50 mètres de hauteur et pourvue de dispositif
permettant de la fermer aussi bien de l’intérieur que de l’extérieur.
Lorsque l'établissement est branché à la distribution publique d'eau, chaque cabine de toilette est munie
d'une chasse d'eau qui sera maintenue en bon état.
Dans les établissements occupant plus de 25 salariés, la dite chasse doit être automatique, d’une capacité
suffisante et réglable.
Le sol et les parois des toilettes sont construits en matériaux imperméables. Les parois ou parties de parois
qui ne sont pas recouvertes de carreaux de faïence ou de granites,sont revêtues de peintures d'un ton clair
ou de chaux.
L’employeur installe au moins une toilette et un urinoir pour 25 salariés hommes et une toilette pour 25
salariées femmes. Dans les établissements occupant plus de 50 salariées des toilettes à siège sont
installées pour être mises à la disposition des femmes enceintes.
Dans les établissements qui emploient un personnel mixte à l'exception des bureaux, les toilettes réservées
au personnel masculin et celles réservées au personnel féminin sont
séparées.
Les toilettes et les urinoirs sont dans un état constant de propreté. Dans les établissements employant plus
de 100 salariés, un salarié ou une salariée pour les nettoyer est désigné(e).
Les effluents sont, sauf dans le cas d'installations temporaires telles que les chantiers, évacués soit dans le
collecteur d'égouts publics ou dans des fosses septiques à deux compartiments.
L'emploi de puits absorbants est interdit.

Les locaux du travail doivent disposer des installations sanitaires appropriées aux salariés handicapés.

L'air est renouvelé dans les locaux fermés où les salariés sont appelés à séjourner, de façon à :
– maintenir un état de pureté de l'atmosphère propre à préserver la santé des salariés ;
– éviter les élévations exagérées de la température, les odeurs désagréables et les condensations.

Les poussières et gaz incommodes, insalubres


ou toxique sont évacués directement des locaux du travail
de façon continue et régulière.
Les installations de captage et de ventilation sont réalisées de telle sorte que la santé et la sécurité des
salariés soient préservées.
Un dispositif d'avertissement automatique est installé dans les locaux du travail pour signaler toute
défaillance des installations de captage.

Dans les cas où il est impossible d’exécuter des mesures de protection contre les poussières ou gaz irritants
ou toxiques, des masques et dispositifs de protection appropriés sont mis à la disposition des salariés.

L'employeur prend toutes les mesures nécessaires pour que ces masques et dispositifs de protection soient
maintenus en bon état de fonctionnement et désinfectés avant d'être attribués à
un nouvel utilisateur.
Les locaux fermés affectés au travail sont chauffés lorsqu’il y a une baisse de la température de façon à
maintenir une température convenable et ne donner lieu à aucune émanation délétère.
Les gardiens de chantier disposent d’un abri qui les
protége contre le froid.
Les locaux du travail disposent d’une lumière naturelle suffisante. A défaut les locaux fermés affectés au
travail, leurs dépendances notamment les passages et escaliers, sont suffisamment éclairés pour assurer la
sécurité du travail, la sécurité de la circulation des salariés et éviter la fatigue visuelle, ainsi que les
affections de la vue.
Dans les locaux fermés et affectés au travail, et pendant l’existence des salariés, les niveaux d'éclairage
mesurés aux niveaux de travail ou au niveau du sol, doivent être au moins égaux à la
valeur minimale d’éclairement indiquée dans les tableaux suivantsLOCAUX AFFECTES AU TRAVAIL ET
LEURS DEPENDANCES /VALEURS MINIMALES D'ECLAIREMENT
– Voies de circulation intérieure …….....…40 lux
– Escaliers et entrepôts …………………....60 lux
– Locaux de travail, services sanitaires .......120 lux
– Locaux aveugles affectés à un travail permanant…….........................................200 lux

ESPACES EXTERIEURS /VALEURS MINIMALES D'ECLAIREMENT – Zones et voies de circulation


extérieures .10 lux– Espaces extérieurs où sont effectués des travaux à caractère permanent..................40
lux

Arrété mai 2008 Dans les zones de travail, le niveau d'éclairement est outre être adapté à la nature de la précision des
travaux à exécuter.

En cas d’éclairage artificiel, le rapport des niveaux d'éclairement, dans un même local, entre celui de la zone
de travail et l'éclairement général est compris entre 1 et 5 ; il en est de même our le rapport des niveaux
d'éclairement entre les locaux contigus en communication.

Les postes de travail situés à l'intérieur des locaux de travail sont protégés du rayonnement solaire gênant
soit par la conception des ouvertures soit par des protections, fixes ou mobiles, appropriées.

Les dispositions appropriées sont prises pour protéger les salariés contre l'éblouissement et la fatigue
visuelle provoqués par des surfaces à forte luminance ou par des rapports de luminance entre les surfaces
voisines.
Les sources d'éclairage ont une qualité de rendu des couleurs en rapport avec l'activité prévue et elles ne
compromettent pas la sécurité des salariés.
Toutes les mesures sont prises afin que les salariés ne puissent se trouver incommodés par les effets
thermiques dûs au royonnement des sources d’éclairage mises en ouvre. Ces
sources d’éclairage sont aménagés ou installées de façon à éviter tout risque de brûlure
Les organes de commande d'éclairage sont d’accès facile. Ils sont munis du voyant lumineux dans les
locaux ne disposant pas du lumière naturelle.
L'employeur fixe les règles d'entretien périodique des matériaux d'éclairages. Ces règles d'entretien sont
consignées dans un document est communiqué aux membres du comité d'hygiène et de sécurité ou, à
défaut, aux représentants syndicaux et aux délégués des salariés.

l'employeur prend les dispositions nécessaires pour réduire le bruit au niveau le plus bas compatible avec
l’état de santé des salariés, notamment en ce qui concerne la protection du sens et de l'ouïe.

L'employeur procède à un mesurage du bruit subi pendant le travail, de façon à identifier les salariés pour
lesquels l'exposition sonore quotidienne atteint ou dépasse le niveau de 85 dB ou pour lesquels la pression
acoustique de crête atteint ou dépasse le niveau de 135 dB.
L'employeur effectue, pour ces salariés, un mesurage du niveau d'exposition sonore quotidienne et, le cas
échéant, du niveau de pression acoustique de crête.

L'employeur procèder à un nouveau mesurage tous les trois ans et lorsqu'une modification des installations
ou des modes de travail est susceptible d'entraîner une élévation des niveaux de bruit.

Le résultat du mesurage est consigné dans un document établi par l'employeur. Ce document est soumis
pour avis au comité d'hygiène et de sécurité ou, à défaut, aux représentants syndicaux, aux délégués des
salariés, ainsi qu'au médecin du travail.
Ce document et les avis prévus ci-dessus sont mis à la disposition de l'agent chargé de l'inspection du
travail.

Les résultats du mesurage sont tenus à la disposition des salariés exposés au bruit , du médecin du travail,
des membres du comité d'hygiène et de sécurité ou, à défaut, aux représentants
syndicaux, aux délégués des salariés , ainsi qu’à l'agent chargé de l'inspection du travail.

Il est fourni aux intéressés les explications nécessaires sur la signification de ces résultats qui sont
conservés dans l'entreprise pendant 10 ans.
Lorsque l'exposition sonore quotidienne subie par un salarié dépasse le niveau de 85 dB ou lorsque la
pression acoustique de crête dépasse 135 dB, l'employeur établit un programme de mesurage du bruit, ou il
procède à l’organisation du travail pour réduire l'exposition au bruit.

Lorsque l'exposition sonore quotidienne subie par un salarié dépasse le niveau de 85 dB ou lorsque la
pression acoustique de crête dépasse le niveau de 135 dB, l’employeur met à la disposition des salariés des
protecteurs individuels, il prend toutes les dispositions pour que ces protecteurs soient utilisés.

Les modèles de ces protecteurs sont choisis par l'employeur après avis du comité d'hygiène et de sécurité
ou, à défaut, des représentants syndicaux, des délégués des salariés et du médecin du travail. Les modèles
non jetables sont attribués personnellement et entretenus à la charge de l'employeur.

Les protecteurs sont adaptés aux salariés et à leurs conditions de travail. Ils garantissent que l'exposition
sonore quotidienne résiduelle soit inférieure au niveau de 85 dB et que la pression acoustique de crête
résiduelle soit inférieure au niveau de 135 dB.

Lorsque le port des protecteurs individuels est susceptible d'entraîner un risque d'accident, toutes mesures
appropriées, notamment l'emploi de signaux d'avertissement adéquats, sont prises.

Un salarié n'est affecté à des travaux comportant une exposition sonore quotidienne supérieure ou égale au
niveau de 85 dB, que s'il a fait l'objet d'un examen préalable par le médecin du travail et si la fiche d'aptitude
établie par ce dernier atteste qu'il ne présente pas de contre indication médicale à ces travaux

Les salariés mentionnés au premier paragraphe ci-dessus font l'objet d’une surveillance médicale ultérieure
pour diagnostiquer tout déficit auditif induit par le bruit en vue d'assurer la onservation de la fonction auditive.

Le salarié ou l'employeur peut contestes les mentions portées sur la fiche d'aptitude, dans les quinze jours
qui suivent sa délivrance, auprès de l'agent chargé de l'inspection du travail.
Ce dernier statue, après avis conforme du médecin chargé de l’inspection du travail qui peut faire pratiquer
au salarié concerné, aux frais de l'employeur, des examens complémentaires par des médecins spécialistes.

Les résultats des examens médicaux susmentionnés sont conservés pendant dix ans après la cessation de
l'exposition du salarié au bruit. Si le salarié change d'établissement, un extrait
de ces résultats est transmis au médecin du travail du nouvel établissement à la demande du salarié.

Si l'établissement cesse son activité, les résultats des examens médicaux susmentionnés sont adressés au
médecin chargé de l’inspection du travail qui le transmet, à la demande du salarié, au médecin du travail du
nouvel établissement où l'intéressé est employé.
Après le départ à la retraite du salarié, les résultats des examens médicaux susmentionnés sont conservés
par le service médical du travail du dernier établissement féquenté.
Lorsque l'exposition sonore quotidienne subie par le salarié dépasse le niveau de 85 dB ou lorsque la
pression acoustique de crête dépasse le niveau de 135 dB, les salariés
concernés sont informés et recevoir une formation adéquate, avec le concours du médecin du travail, sur :
– les risques résultant, de l'exposition au bruit au sens de l’ouie ;
– les moyens mis en oeuvre pour prévenir ces risques ;
– l'obligation de se conformer aux mesures de prévention et de protection prévues par le règlement intérieur
de l’établissement ;
– le port et les modalités d'utilisation des protecteurs individuels ;
– le rôle de la surveillance médicale de la fonction auditive.

Les salariés prennent leurs repas dans les locaux réservés à cet effet durant la période et dans les
conditions prévues dans le règlement intérieur de l’établissement.

Dans les établissements où le nombre de salariés désirant prendre habituellement leur repas sur les lieux de
travail est au moins égal à 25, l'employeur est tenu, après avis du comité d'hygiène et de sécurité ou, à
défaut, des représentants syndicaux et des délégués des salariés, de mettre à leur disposition un local de
restauration. Ce local est pourvu de sièges et de tables en nombre suffisant et comporte un robinet d'eau
potable fraîche et chaude pour chaque 10 salarié. Il est, en outre, doté d'un réfrigérateur pour conserver les
aliments et les boissons et d’une installation pour réchauffer les plats.

Dans les établissements où le nombre des salariés désirant prendre habituellement leurs repas sur les lieux
de travail est inférieur à 25, l'employeur met à leur disposition un emplacement leur permettant de prendre
leurs repas dans de bonnes conditions d'hygiène et de sécurité.

Après chaque repas, l'employeur veille nécessairement au nettoyage du local de restauration ou de


l'emplacement et des équipements qui y sont installés.

L’employeur met à la disposition des salariés de l'eau potable. Lorsque cette eau ne proviendra pas d'une
distribution publique, l'agent chargé de l'inspection du travail mettra en demeure l'employeur de faire
effectuer, à ses frais, l'analyse de cette eau et de lui communiquer les résultats de cette analyse.

Lorsque l’établissement prend en charge l’hébergement les salariés, la surface et le volume des locaux
réservés à l’hébergement, sont supérieurs à 6 mètres carrées et 15 mètres cubes pour chaque salarié. Les
parties des locaux d'une hauteur inférieure à 1,90 mètre ne sont pas considérées comme surfaces
habitables. Il est interdit d'héberger les salariés dans les locaux affectés à un usage industriel ou
commercial.

Ces locaux sont aérés d’une façon permanente et maintenus dans un état constant de propreté et d'hygiène.
Le salarié peut clore son logement et y accéder
librement.
Chaque couple a une chambre.

Les pièces à usage de dortoir ne sont occupées que par des salariés du même sexe. Le nombre de salariés
par dortoir ne dépasse pas six. Les lits sont distants les uns des autres de 80 centimètres au moins.
L’employeur met à la disposition de chaque salarié, pour son usage exclusif, une literie et un mobilier
nécessaires, qui sont maintenus propres et en bon état.
Les équipements et caractéristiques des locaux réservés à l'hébergement des salariés permettent de
maintenir à 18°C au moins la température intérieure et d'éviter les condensations.
Les installations électriques sont conformes aux dispositions réglementaires en vigueur.
L’employeur met à la disposition des salariés hébergés, des serviettes, du savon et des lavabos à eau
potable à raison d’un lavabo par trois salariés.
Des toilettes et des urinoirs sont installés à proximité des locaux réservés à l’hébergement des salariés dans
les conditions fixés par l'article 9 ci-dessus.

Des douches, à température réglable, sont installées à proximité des locaux réservés à l’hébergement des
salariés dans des cabines individuelles, à raison d'une cabine pour six salariés.
Arrêté du
04/11/52 Les toilettes sont nettoyées au moins une fois par jour avec une solution désinfectante

Dans les locaux fermés le cube d'air par personne est ≥ 7m³ ; dans laboratoires, cuisines, chais,
Arrêté du magasins, boutiques, bureaux ouverts au public, locaux en entresol et en sous-sol le cube d’air
04/11/52 par personne est ≥ 10m³
Arrêté du
04/11/52 Un avis affiché dans chaque local indique sa capacité en m³
Arrêté du
04/11/52 Les locaux de travail sont munis de fenêtres donnant dehors
Arrêté du
04/11/52 L'interdiction de prendre les repas sur place est affichée
Arrêté du
04/11/52 L'eau potable est fourni par l'employeur
Arrêté du
04/11/52 Ces armoires sont nettoyées au moins 1 fois par semaine
Arrêté du Pour les travaux insalubres ou salissants : douches avec 1 pomme pour 8 travailleurs, 1 cellule
29/12/52 d'habillage et de déshabillage pour 4 personnes

TOTAL
PREVENTION DES INCENDIES
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC PART CF Observations
Les locaux où sont entreposées où manipulées des produits facilement inflammables sont éclairés que par
des lampes électriques munies d’une double enveloppe ou par des lampes extérieures derrière un verre
dormant.

Ces locaux ne contiennent aucun foyer, aucune flamme, aucun appareil pouvant donner lieu à une
production extérieure d’étincelle ou présentant des parties susceptibles d'être portées à l'incandescence.

Ces locaux sont parfaitement ventilés. Il est interdit de fumer dans ces locaux. Un avis est affiché et rédigé
en français et en arabe avec des caractères apparents rappelant l’interdiction de fumer

Dans les locaux où sont entreposés ou manipulés des produits facilement ou extrêmement inflammables ou
des produits comburants, aucun poste habituel de travail ne se trouve à plus de 10 mètres d'une issue

Si les fenêtres de ces locaux sont munies de grilles ou de grillages, ceux-ci s'ouvrent très facilement de
l’intérieur.
Il est interdit de déposer et de laisser séjourner des produits facilement ou extrêmement inflammables dans
les escaliers, passages et couloirs ou sous les escaliers ainsi qu'à proximité des issues des locaux de travail
et bâtiments.
Les récipients mobiles contenant des produits facilement ou extrêmement inflammables sont étanches. Si
ces récipients mobiles sont en verre, ils sont munis d'une enveloppe métallique
également étanche.
Les chiffons, cotons et papiers imprégnés de liquides inflammables ou de matières grasses sont, après
usage, enfermés dans des récipients métalliques clos et étanches.

Les établissements possédent des issues et dégagements judicieusement répartis afin de permettre en cas
d'incendie une évacuation rapide du personnel et de la clientèle dans des conditions de sécurité maximale.

Arrêté du Ministère
d'Emploi du 12 mai
2008
Les dégagements sont toujours libres. Aucun objet, marchandises ou matériel ne fait obstacle à la circulation
des personnes ou réduire la largeur des dégagements en-dessous des minima fixés ci-dessous.

Les dégagements sont disposés de manière à éviter les culs-de-sac.

Arrêté du Ministère Le nombre des dégagements des locaux ou bâtiments est supérieur à deux lorsqu'ils devront donner
d'Emploi du 12 mai passage à plus de 100 personnes appartenant ou non au personnel de l'établissement. Ce nombre est
2008 augmenté d'une unité par 500 personnes.

La largeur des dégagements est supérieure à 80cm.

La largeur des dégagements, devant donner passage à un nombre de personnes à évacuer compris entre
21 et 100 est supérieure à 1,50 mètre. Pour un nombre de personnes compris entre 101 et 300, cette largeur
est supérieure à 2 mètres. Pour un nombre de personnes compris entre 301 et 500, elle est supérieure à
2,50 mètres. Elle augmentera de 50 centimètres par 100 ersonnes lorsque le nombre de personnes dépasse
500.

Les portes susceptibles d'être utilisées pour l'évacuation de plus de 20 personnes, les portes des locaux où
sont entreposés des produits facilement ou extrêmement inflammables ainsi que les portes des magasins de
vente, s'ouvrent dans le sens de la sortie, si elles ne donnent pas accès sur la voie publique.

L'établissement dispose d'une signalisation permettant d’indiquer le chemin vers la sortie la plus proche.

Les dégagements qui ne sont pas habituellement utilisés pendant les périodes de travail s'ouvrent très
facilement et rapidement de l'intérieur et sont signalées par la mention "sortie de ecours" inscrite en
caractères bien lisibles.

L'établissement dispose d'un éclairage de sécurité permettant l'évacuation des personnes en cas
d'interruption accidentelle de l'éclairage normal.

L’employeur prend les mesures nécessaires pour que tout départ d'incendie puisse être rapidement et
efficacement combattu et ce, dans l'intérêt dusauvetage des salariés.

L'établissement possède un nombre suffisant d'extincteurs, maintenus en bon état de fonctionnement, d'une
puissance suffisante et utilisant un produit approprié au type de feu.

L'employeur consulte un service d'incendie compétent et agréé pour la détermination du type et du nombre
des équipements nécessaires.

Le matériel de lutte contre l'incendie est entretenu et tenu en bon état. Il est aisément accessible,
judicieusement repartit, signalé de manière efficace et facilement utilisable.

Arrêté du 04/11/52 Les issues sont libres non encombrées par des marchandises ou autres

Arrêté du 04/11/52 La largeur totale des escaliers est augmentée de moitié pour les escaliers desservant les sous-sols

Arrêté du 04/11/52 Les escaliers d'une largeur ≥ 1m50 sont munis des 2 côtés de rampes ou de mains courantes

Arrêté du 04/11/52 Tous les escaliers se prolongent jusqu'au rez de chaussée


Les escaliers desservant les sous-sols ne sont pas en prolongement direct des escaliers desservant les
Arrêté du 04/11/52 étages supérieurs
Dans les établissements commerciaux ouverts au public et où plus de 500 personnes sont susceptibles de
Arrêté du 04/11/52 se trouver réunies, chaque escalier est réuni à 2 sorties au moins
Il y a un extincteur tous les 15 mètres
Les extincteurs sont vérifiés et essayés au moins 1 fois/an par une personne qualifiée. Le résultat est inscrit
Arrêté du 04/11/52 sur une fiche suspendue à chaque appareil
Les postes d'incendie, quand ils existent, sont vérifiés 1 fois/an et les résultat sont consignés sur un registre
Arrêté du 04/11/52 spécial
Une affiche contenant les consignes à observer en cas d'incendie, rédigée en arabe et en français, est
placée dans chaque local de travail (entreprise de plus de 50 salariés et celles qui utilisent des matières
Arrêté du 04/11/52 inflammables de groupe 1)

Cette affiche indique : Le matériel d'extinction et de sauvetage se trouvant dans le local, les personnes
chargées de mettre en action ce matériel, les personnes chargées pour chaque local de diriger l'évacuation,
les personnes chargées d'aviser les pompiers et en très gros caractères le numéro de téléphone et l'adresse
Arrêté du 04/11/52 des pompiers

Arrêté du 04/11/52 Les exercices d'essais sont effectués tous les 3 mois et sont consignés sur un registre
Le chef d'établissement a adressé une copie des consignes en cas d'incendie à l'inspecteur du travail, dans
Arrêté du 04/11/52 les 24 heures de son affichage dans l'étalissement
Les services de secours ont visité le site (pompiers)

TOTAL
Installations Electriques
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations
Arrêté du
Les connexions et raccordements sont visités régulièrement et maintenus en parfait état
28/06/38
Dans les salles contenant des installations de 1ère catégorie B2, de 2ème ou de 3ème catégorie et pour
Arrêté du
parer aux accidents électriques, des crochets à manche isolant et deux tabourets vernis avec pieds
28/06/38 isolants sont tenus prêts à servir

Arrêté du Les ouvriers travaillant à la soudure électrique des métaux, au réglage des lampes à arc, ainsi que leurs
28/06/38 aides sont munis d'écrans spéciaux pour la vue à verres teintés pendant l'exécution de ces travaux

Arrêté du Un règlement d'atelier rappelant l'obligation de porter ces écrans est affiché dans un endroit apparent du
28/06/38 local

Arrêté du
La vérification de la résistance des terres est faite tous les ans par une personne qualifiée
28/06/38

Les résultats des vérifications ainsi que la date de chacune, les noms et qualités des personnes les ayant
Arrêté du
effectuées sont consignés sur un registre spécial. En tête de ce registre est indiquée par un croquis, la
28/06/38 façon dont sont constituées les prises de terre et leur résistance initiale

Arrêté du Toutes les installations électriques ont fait l'objet d'une vérification par un organisme agréé avant leur mise
28/06/38 en service ou après avoir subi une modification de structure
Arrêté du Les installations électriques font l'objet d'une vérification périodique qui est fonction de leur classification
31/12/51 (1an, 3 ans ou 10 ans)
Arrêté du
Les vérifications sont effectuées par un organisme agréé
02/01/52
Les rapports des vérifications sont disponibles
Installations Electriques
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations

Arrêté du Les instructions pour les premiers soins à donner aux victimes des accidents électriques sont affichés
28/06/38 dans les locaux contenant des installations électriques de 2ème ou de 3ème catégorie

Un extrait du règlement concernant la protection des travailleurs dans les établissements qui mettent en
Arrêté du
œuvre des courants électriques est affiché dans les locaux contenant des installations électriques de 2ème
28/06/38 ou de 3ème catégorie

Un ordre de service indiquant qu'il est dangereux et formellement interdit de toucher ou de se livrer à des
Arrêté du
travaux sur les pièces métalliques ou conducteurs soumis à une tension de la 2ème ou 3ème catégorie,
28/06/38 est affiché dans les locaux concernés
Tous les affichages réglementaires de sécurité sont apposés

Le shéma des installations électriques de 2ème ou de 3ème catégorie ainsi qu'une note indiquant
Arrêté du
comment sont réalisées les prescriptions réglementaires, et donnant les renseignements techniques
28/06/38 nécessaires, ont été envoyé à l'inspecteur du travail

TOTAL
Sécurité des Machines
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations
Prévention
Toutes les machines, appareils de transmission, de chauffage et d'éclairage, outils et engins sont munis de
Loi 65/99 CT
dispositifs de protection d'une efficacité reconnue et tenus dans les meilleures conditions possibles de
Art 282 sécurité
Loi 65/99 CT Lors de l'achat ou de la location de machines ou de pièces de machines, vous assurez vous de la
Art 283 conformité de celles-ci ?
Possedez vous un inventaire exact et complet de toutes vos machines ?
Arrêté du
La visite générale par un personnel qualifié de toutes les machines est effectuée 1 fois par trimestre
04/11/52
Arrêté du
Les résultats des visites est consigné sur un registre de sécurité
04/11/52
Les anomalies constatées lors des contrôles sont elles corrigées?
Vous assurez vous du maintien en état de conformité de vos machines ?
Existe-t-il un carnet de maintenance ?
Possedez vous les notices d'instruction ou un dossier par machine ?
Loi 65/99 CT L'employeur a informé les salariés sur les dispositions légales concernant la protection des dangers que
Art 289 peuvent constituer les machines
Loi 65/99 CT Un avis sur les dangers résultants de l'utilisation des machines ainsi que les précautions à prendre est
Art 289 affiché
Décret n°2-56- Les salles des machines génératrices et des machines motrices sont accessibles uniquement aux ouvriers
604 du 11/09/56 affectés à leur conduite et leur entretien
Décret n°2-56- une affiche rédigée en arabe et en français rappelant la prescription ci-dessus est apposée à la porte
604 du 11/09/56 d'entrée de ces locaux
Sécurité des Machines
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations
Décret n°2-56-
Les passages entre machines, mécanismes, outils mus mécaniquement ont une largeur d'au moins 80 cm
604 du 11/09/56
Décret n°2-56-
Les sols des salles de machines et des passages sont nivelés et non glissants
604 du 11/09/56
Loi 65/99 CT
Les pièces mobiles, câbles et courroies sont munis de dispositifs protecteurs
Art 286

Les machines à instruments tranchants tournant à grande vitesse et les presses à mouvement alternatif
Arrêté du
sont disposées, protégées ou utilisées de telle façon que les opérateurs ne puissent de leur poste
04/11/52 atteindre, même volontairement, les organes de travail en mouvement

Arrêté du
Les ouvriers travaillant aux meules ont à leur disposition des lunettes de protection adaptées
04/11/52
Arrêté du Une affiche visible, rédigée en arabe et en français, prescrivant le port de lunettes pendant l'exécution des
04/11/52 travaux est apposée à proximité des meules
Arrêté du Une inscription très apparente, placée auprès des volants des meules ou de tout autre engin pesant
04/11/52 tournant à grande vitesse, indique le nombre de tours par minute à ne pas dépasser
Décret n°2-56-
Les machines, meules et autres engins sont installés de manière à éviter les vibrations dangereuses
604 du 11/09/56
Arrêté du La présence près des machines ou des pièces mobiles d'ouvriers ne portant pas de vêtements ajustés et
04/11/52 non flottants est interdite
Arrêté du La mise en train et l'arrêt des machines actionnées par la même commande sont toujours précédés d'un
04/11/52 signal convenu

La réparation, la vérification et la maintenance des machines ne sont faites qu'à l'arrêt des moteurs.S'il est
Arrêté du
techniquement imposible de les effectuer à l'arrêt, ces travaux sont exécutés par un personnel
04/11/52 expérimenté spécialement désigné à cet effet par le chef d'établissement.
Sécurité des Machines
Référentiel Questions - types de contrôles - fréquences NC PART CF Observations

Une consigne affichée dans les locaux de travail précisera la nature des opérations qui peuvent être
Décret n°2-56-
entreprises moteurs en marche, l'ordre chronologique imposé pour les exécutions et les précautions à
604 du 11/09/56 prendre

Arrêté du Lors de l'exécution de travaux à l'arrêt, une pancarte, libellée en français et en arabe, est accrochée aux
04/11/52 appareils de mise en marche interdisant leur accès pendant la durée des travaux

Autres
L'obligation de porter des lunettes ou écrans spéciaux à verres teintés pour les ouvriers travaillant à la
soudure autogène, est affichée dans les locaux où sont effectué ces travaux

Les cuves, bassins et reservoirs sont vérifiés au moins une fois par an par un personnel qualifié

Les dates et les résultats des visites sont consignés sur un registre
Les puits, trappes et ouvertures de descente sont clôturés

TOTAL
Appareils sous pression
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations
Possédez vous un inventaire exact et complet de vos appareils à vapeur à terre ?

Dahir du Les générateurs et les récipients sont déclarés auprès du chef de service des mines avant leur mise en
22/07/53 service

Les chaudières neuves ne sont mises en service qu'après avoir subi une visite et une épreuve destinées à
Dahir du
verifier les conditions de sécurité de son emploi. L'épreuve est effectuée chez le constructeur ou
22/07/53 l'importateur par un organisme agrée qui appose un poinçon et établit un procès verbal

Dahir du Le renouvellement d'épreuve pour les chaudières ayant déjà servi et qui font l'objet d'une nouvelle
22/07/53 installation, a été effectué
Dahir du Le renouvellement d'épreuve pour les chaudières ayant subi un changement ou une réparation, a été
22/07/53 effectué
Dahir du
Le renouvellement d'épreuve pour toutes les chaudières a lieu tous les 10 ans
22/07/53

Le renouvellement d'épreuve pour les réchauffeurs d'eau sous pression, les sécheurs, les surchauffeurs de
Dahir du vapeur, les récipients et les générateurs mobiles a lieu à chaque changement de propriétaire et tous les 5
22/07/53 ans (sauf pour les appareils fonctionnant exclusivement dans les limites d'un même établissement et ceux
régulièrement vérifiés par un organisme agréé)

Dahir du Les chaudières, réchauffeurs, surchauffeurs et récipients sont munis d'appareils de protection et sont en
22/07/53 bon état d'entretien

Dahir du Les appareils à vapeur et leurs accessoires sont soumis à une visite complète au moins 1 fois par an par
22/07/53 un organisme agréé qui en dresse un compte rendu détaillé et signé

TOTAL
Appareils sous pression
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations

L'exploitant tient un registre d'entretien où sont notés pour chaque appareil, les épreuves, les examens
Arrêté du intérieurs et extérieurs, les nettoyages et les réparations. Ce registre et coté et paraphé par un
19/08/53 représentant de l'autorité chargée de la police locale. Un extrait certifié conforme de ce registre est délivré
en cas de vente d'un appareil.

En cas d'accident ayant causé la mort ou des blessures, le chef de l'établissement prévient immédiatement
Dahir du
le service des mines et les autorités locales. En cas d'accident n'ayant causé ni mort ni blessures, le chef
22/07/53 de l'établissement prévient uniquement le service des mines
Arrêté n°555-62 Tous les appareils à vapeur réformés ont été détruit en présence d'un représentant du service des mines
du 10/11/62 ou d'un organisme agréé qui en dresse un procès verbal

Arrêté du Toutes les chaudières sont munies d'au moins 2 soupapes de sécurité, d'un manomètre avec une marque
19/08/53 indiquant la limite que la pression ne doit pas dépasser et de 2 appareils indicateurs du niveau de l'eau

Arrêté du
L'accès des plates formes des massifs est interdite à toute personne étrangère au service des chaudières
19/08/53
Arrêté du Ces plates-formes possédent des moyens d'accès aisément praticables ; elles sont, en cas de besoin,
19/08/53 munies de garde-corps et les passages de service y ont une hauteur libre d'au moins 1 m 80

TOTAL
Appareils de Levage
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations
Arrêté du
Les cabines des appareils de levage sont munies d'extincteurs appropriés
09/09/53
Arrêté du Tous les appareils de levage sont munis des dispositifs de sécurité nécessaires tels que limiteurs de
09/09/53 course, limiteurs de relevage, etc

Arrêté du Chaque appareil dipose d'un avertisseur sonore puissant que le conducteur fait fonctionner à l'approche
09/09/53 des zones dangereuses
Arrêté du
L'interdiction d'utiliser les appareils de levage pour le transport du personnel est respectée
09/09/53
Arrêté du La conduite des appareils de levage n'est confiée qu'à des ouvriers ayant une connaissance parfaite des
09/09/53 consignes et des manœuvres
Possédez vous un inventaire de vos appareils de levage y compris les accessoires ?
Arrêté du
Chaque appareil porte l'indication du poids maximum qu'il peut mouvoir
09/09/53
Arrêté du Les accessoires, chaînes, câbles, élingues, palonniers, et crochets de suspension portent l'indication du
09/09/53 poids maximum qu'ils peuvent soutenir
Arrêté du
Les épreuves sont effectués avant la mise en service des appareils
03/11/53
Arrêté du
Les épreuves sont effectués à la suite d'un démontage suivi d'un remontage de l'appareil
03/11/53
Arrêté du Les épreuves sont effectuées à la suite de tout accident provoqué par la défaillance essentiel quelconque
03/11/53 de l'appareil
Arrêté du
Les épreuves sont effectuées après toute réparation ou transformation des organes essentiels de l'appareil
03/11/53
Arrêté du Pour les appareils de chantier qui sont déplacés, démontés et remontés fréquemment, l'épreuve a lieu tous
03/11/53 les 6 mois
Appareils de Levage
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations
Arrêté du
Indépendamment des épreuves, les appareils sont examinés à fond 1 fois par an
03/11/53
Les chaînes, câbles, cordages, élingues, palonniers et crochets de suspension sont inspectés tous les 12
Arrêté du
mois, lors d'une remise en service après une inspection qui remonte à 3mois ou plus et à la suite d'un
03/11/53 démontage ou d'une modification
Arrêté du Les épreuves et les différentes inspections sont effectuées par des techniciens qualifiés appartenant à la
03/11/53 société ou par un organisme agréé

Les résultats des épreuves, examens et inspections, les dates de chacune de ces opérations ainsi que les
Arrêté du
noms, qualités et adresses des personnes qui les ont effectuées sont consignés sur un registre ou carnet
03/11/53 spécial sur lequel chaque appareil de levage sera décrit, avec tous ses accessoires

Les consignes de sécurité sont affichées en français et en arabe dans les locaux ou emplacements où
chacune d'elles s'applique et dans la cabine de manoeuvre des appareils de levage. Ces consignes
prévoient notamment : les mesures de sécurité à appliquer à l'occasion du service normal de l'appareil et
Arrêté du notamment l'interruption de l'alimentation en énergie lorsque le conducteur quitte son poste de travail, les
09/09/53 précautions à prendre pour éviter les chutes d'objets transportés par l'appareil de levage ou heurtés par
celui-ci ou par sa charge au cours de ses déplacements, et les mesures de sécurité destinées à assurer la
sauvegarde du personnel participant aux opérations de visite, de graissage, de nettoyage, d'entretien ou
de réparation

TOTAL
Ascenceurs et Montes charges
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations
Arrêté du
L'interdiction d'utiliser le monte charges pour le transport des personnes est rappelée par une affiche
04/11/52
Arrêté du Tous les appareils portent visiblement l'indication du poids maximal et le nombre d'usagers, déclarés par le
04/11/52 constructeur que l'appareil peut soulever
Arrêté du
Vos ascenseurs et monte charges sont ils conformes aux normes
22/02/77

Le fonctionnement des serrures et dispositifs d'immobilisation, des portes palières, des portes de cabines
Arrêté du
et autres dispositifs d'immobilisation ou de sécurité est verifié au moins tous les 15 jours par une personne
07/09/54 compétente désignée à cet effet par le chef d'établissement

Arrêté du
Les câbles de l'installation sont vérifiés au moins 2 fois par an par la même personne
07/09/54
Arrêté du
Il est procédé régulièrement au graissage et à l'entretien de toutes les parties de l'installation
07/09/54

Arrêté du Le bon état de fonctionnement des ascenseurs et montes charges est vérifié par un organisme agréé au
07/09/54 moins 1 fois par an

Les résultats des différentes visites sont inscrites sur un registre qui mentionne les modifications
Arrêté du
importantes apportées à l'installation initiale, les incidents et accidents de fonctionnement et l'indication de
07/09/54 la raison sociale et l'adresse de la personne ayant effectué la visite

TOTAL
Produits dangereux
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Observations
Tous les produits dangereux sont repertoriés
L'entreprise dispose des fiches de données sécurité de tous ces produits
Les règles de stockage des produits selon leur toxicité, ph, imflammabilité, sont respectées
Les règles d'étiquetage sont respectées

La manipulation de ces produits est effectuée selon les recommandations (réglementation, medecin du
travail, fiche sécurité..)

Les mesures d'hygiène spécifiques aux produits sont adoptées


Les valeurs limites d'exposition sont respectées
Les mesures de prévention des incendies, pour les produits inflammables, sont prises
Le transport des produits dangereux est effectuée selon les recommandations (réglementation marocaine,
européenne, fiche sécurité)
L'élimination des produits dangereux est effectuée selon les recommandations (réglementation marocaine,
européenne, fiche sécurité)

Les embalages vides pouvant contenir des résidus dangereux sont éliminés selon les recommandations
des fiches sécurité des produits

Les déchets dangereux sont bien identifiés


Les incompatibilités entre produits chimiques sont connues

Toutes les canalisations, citernes, cuves.. ;contenants des produits chimiques sont bien identifiés en
fonction des risques

Il existe des procédures relatives à la gestion des produits dangereux

TOTAL
Rayonnement Ionisant
Référentiel Types de contrôles - fréquences NC Part CF Opti Observations
Aucun travailleur de moins de 18 ans n'est affecté à un poste qui l'expose aux rayonnements ionisants

Aucun travailleur n'est affecté à un poste qui l'expose aux rayonnements ionisants sans l'avis du médecin
du travail (aptitude)
Aucune femme qui allaite n'est affectée ou maintenue à un poste comportant un risque d'incorporation de
radionucleides

Les valeurs limites d'exposition sont respectées (dose efficace de 20mSv par an en moyenne sur 5 ans ;
dose efficace de 50mSv en une seule année ; dose équivalente au cristallin de 150 mSv par an ; dose
équivalente aux extrémités ou à la peau de 500mSv par an)

Aucune femme enceinte n'est affectée ou maintenue à un poste ou l'exposition annuelle dépasse les
3/10èmes des limites de doses fixées
L'exploitant dispose du matériel et du personnel compétent nécessaire à la radioprotection
Loi n° 005-71du Une formation en radioprotection, adaptée à la nature du risque, a été dispensée au personnel
12/10/71 Un règlement intérieur de radioprotection est établi
Décret n° 2-97-
30 du 28/10/97 Une surveillance physique et médicale est assurée
Un système d'enregistrement des résultats de cette surveillance est mis en place

Les travailleurs sont informés des conclusions de leur examen médical et de leur état de radioexposition

Les différents locaux de travail sont classés en zones selon le risque potentiel d'exposition
Les travailleurs sont classés en catégories selon le degré d'exposition
Les différentes dispositions de mesures et de contrôle des différentes zones de travail et des différentes
catégories de travailleurs sont mises en place
Les programmes de contrôle et de surveillance sont périodiquement réévalués pour tenir compte de
l'expérience acquise ou après toute modification
Une surveillance radiologique de l'environnement, adaptée à la nature des opérations, est effectuées par
l'exploitant
Les mesures du niveau de la radioactivité ambiante sont enregistrées, maintenues à jour et
communiquées au centre national de radioprotection

TOTAL

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