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25/09/2020
COUR I
The Landscape of contempory infrastructure – SHANNON & SMETS
Jurg Conzett – ingénieur Suisse, les murs de soutènements, l’évolution des infrastructures sont
déduites de l’évolution des matériaux.
INFRASTRUCTURE : Terme de génie civil. Nom donné aux terrains, aux terrassements et aux
travaux d’art d’une voie ferrée.
On n’aura pas les moyens de détruire les infrastructures et que quelque soit notre avenir on fera plutôt
avec.
Du sentier à la route
L’origine de l’infrastructure est la piste : trace laissée dans le sol après sont passage répété. Cette piste
devient un chemin praticable : la piste n’a rien de pérenne.
Afria Felicioni : foulée l’arbre et se déplacer est déjà une modification de la nature mais n’est pas une
construction, mais une amorce. (cf. Gina Pina).
Marcel Poete : fonde l’histoire de l’urbanisme en France et ailleurs avec un rapport à la géographie.
Ces voies sont ébauchées par le travail de la nature et que l’Homme marquera par son empreinte.
Qu’est ce qui transforme un sentier en une route ?
Nous devons garantir les limites de la voie. Les frontières des chemins doivent être stable. Si ils ne
sont pas utilisés ils sont susceptible de disparaitre. Une des origines de l’architecture (Filarete) origine
du fronton est se protéger de la pluie. La planéité est essentielle pour créer un chemin.
Le déblaie permet le remblais. Façon de réduire les différences de niveau relativement faible, donc
régler la planéité.
Il faut garantir les limites, pérennité ; protéger de l’eau, éviter l’embourbement ; élargir ; rectifier
(ligne droite) ; aplanir.
COMPOSITION DU COURS
L’infrastructure est pensée comme un élément qui relève de l’édifié.
Le jardin va être un des laboratoires que l’on va retrouver plus tard dans l’urbanisme, les
infrastructures vont être testé et élaboré dans les jardins.
Comment l’infrastructure est pensée comme le support du flux.
On finira sur l’automobile, qu’est ce qu’il va changer dans tous cela.
Vitruve écrit de manière assez précoce (Ier s) et l’Empire romain ne s’était pas développé. Vitruve
adore l’architecture grec et donc ne traite pas des infrastructures romaines. D’autre auteur de l’époque
antique aborde le sujet dont Strabon : ce qui paraît glorieux sont finalement les chaussées, aqueducs.
L’empire romain laisse des traces : on retrouve les tracés encore aujourd’hui.
Les infrastructures au MA : hydraulique moulin à eau.
09/10/2020
COUR III
L’art des ingénieurs des Ponts et chaussés- SUITE
Les canaux font depuis plusieurs années l’objet d’une œuvre patrimoniale. Cf. Picard, 1986 :
considération et coup de projecteur sur les canaux. On vient aménager les canaux pour les rendre
navigable et viennent connecter deux voies d’eau.
L’infrastructure perdure malgré le changement de son usage : regroupement. L’usage portuaire est
parfois maintenu comme les grands moulins de Pantin (Canal de l’Ourcq). Tous les éléments qui le
composent font l’objet d’une même attention (ex : rigole). La question de l’édifice est marginale :
générique et ordinaire.
Perronet va participer à l’élaboration du quartier de la gare d’eau à Dijon, avec une figure rayonnante
qui raccorde autant les voies d’eau que les vois terrestres.
On a une infrastructure pensée comme quelque chose qui relève du monument et quand même
quand apparait la figure de l’ingénieur, la figure ne devient pas un pur objet technique mais
continue sa vie au sein des éléments d’architecture.
Le paradigme du jardin
Depuis la Renaissance et au moins jusqu’à la fin du XVIII ème les romains inspire la pensée des
infrastructures. A partir de la fin du XVIII ème, il va y avoir un autre imaginaire qui va nourrir la
perception des infrastructures.
Invention et diffusion de l’allée plantée
Lorsque l’on donne carte blanche pour un ingénieur du XVIII ème il dessine des jardins.
Il y a toute une tradition de l’histoire de l’urbanisme qui considère que André Le Nostre est à l’origine
de la naissance et savoir des pratiques de l’aménagement qui conduira à l’urbanisme.
La première fois que l’on utilise le mot aménagement c’est pour parler de la gestion des forêts. Il y
aussi des écrits de l’époque qui parle de cela : le traité de l’Abbé Laugier, pour lui il faut regarder une
ville comme une forêt.
Pour Versailles on a un premier jardin qui est l’héritier du jardin de la Renaissance qui était en général
un damier installé en vis-à-vis de la façade du palais.
On a peu de dessin de Le Nostre
15/10/2020
COUR IV
L’entrelacs pittoresque
Jean Charles Alphand : le jardin pittoresque est à la fin du XVIII ème siècle est devenue à la mode.
Le pitto renvoie au pictural, à la peinture : ce qui mérite d’être peint. Au XVII ème il y a plutôt en
Angleterre on a une critique des tracés réguliers dessinés à la française. Si l’art des jardins prenaient
ses outils des architectes, maintenant il s’inspire de la poésie et de l’art pittoresque on veut reproduire
de vrais tableaux qui existe.
Jusqu’au XIX ème on ne peut tout représenter dans la peinture. Ce qui peut faire objet de peinture est
la religion, la mythologie et les portraits. On voit à travers cela un imaginaire se développer.
A cette époque il va y avoir un désir de ne plus se contenter de voir ces environnements par le biais de
la peinture mais de les créer. On peut citer Stourhead analogie avec la peinture. Il a toute un univers,
un imaginaire, une esthétique qui se développe à travers ses tableaux qui vont être reproduit dans ces
jardins.
L’un des premiers héros de cette saga pittoresque anglaise est William Kent qui va s’adresser à une
élite et fera des projets savants et référencés. L’art pittoresque se développant, Capability Brown va
vulgariser cette pratique qui chez Kent était réserver à une élite en s’éloignant des références savantes
et mythologiques.
La caractéristique de ces jardins : la perception de l’étendue n’est
pas vue par des perspectives axiales. Les jardins ici diffère la
compréhension globale en augmentant le possibilité de la
découverte. On augmente l’intensité et variété des sentiments
ressentis en s’organisant sur des boucles fermées qui sont formés
de chemins sinueux et volonés (en plan et en coupe). Avec un
parcours en boucle qui induit toutes une série de points de vue
successifs.
On se retrouve littéralement projeté dans le tableau.
Ce n’est pas seulement le site d’une naturalité retrouvé, mais la
démultiplication des points de vue. Le promeneur est considéré
comme un homme sensible.
Le pittoresque dans le dvlpmt l’urbanisme anglais, un des exemples les plus connus est Bath.
06/11/2020
COUR VI
Le paradigme du flux
On considère que l’infrastructure va être déterminé par ses flux.
Le tournant scientifique des Lumières
On assiste à tout une série de révolution scientifique qui vont avoir comme point commun de voir du
mouvement partout. Renée Descartes avec ses tourbillons cartésiens explique la configuration de la
voûte céleste.
William Harvey va faire une découverte fondamentale : qu’est-ce qui est au fondement de la vie ?
Comment définit-on ce qui est vivant et mort ? La respiration, le sang qui coule dans les veines qui
sont la source profonde de la vie avant on considérait plutôt un état : le chaud et le froid. Là on
considère que la circulation dans les veines est le fondement de la vie.
Richard Senett rapproche la conception d’Harvey à celle de l’urbanisme de la ville qui se développe au
XVIII ème siècle.
L’économie est avant l’accumulation des richesses. Quesnay démontrera que ce n’est pas le stock mais
le flux. Lavoisier : rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. La matière a aussi un circuit qui
peut changer, ce qui qualifie la matière est le processus. Tous cela imprégnera le champs de savoir
dont l’architecture.
Congestion de la circulation des voitures : question architecturale
que pose la ville qui provient du constats des embouteillages. Ils
les appelaient les embarras. En 1539, il y a une influence terrible
qui crée des accidents.
A cette époque, la conséquence est de penser et dessiner des rues,
places qui permettent d’assurer ces libertés du mouvement. Un
des moments des étapes pour penser cette chose est la création des
places royales. La première place royale à Paris est la place de
Vosges qui est isolé. La dernière place royale parisienne est la place Louis XV, la Concorde. Il va se
passer quelque chose d’inédit on va lancer une consultation où on va proposer une forme de place et le
lieux. A partir de là il y des contributeurs qui justifient leur proposition. C’est l’occasion pour nous de
savoir comment ils envisageaient la chose. Le principale argument est de service de carrefour et
parking. Selon Mennel de Joinville le premier but est l’utilité publique qui consiste à dégager des
embarras : aérer, agrandir, espacer. Le chois est là où il y a le plus de circulation. Le centre de la ville
est là où il y a le plus de mouvement.
L’architecte Pierre Patte va publier un plan à propos des
places royales : il représente un certains nombres de
proposition qui ont été faites. On a le droit d’interpréter ce
plans différemment : ces places sont justifiées selon leur
utilité, on le voit le plan d’un futur Paris comme s’il s’agissait
de toutes les réaliser.
Au XVIII ème une place est un grand carrefour selon eux, la
place à vocation à faciliter le mouvement.
Pierre publie deux dessins (1769) et se pose la question d’une
nouvelle ville. On a une coupe de rue où l’ont voit la dimension infrastructurelles : une machine qui
règle tout une série de flux. La question de l’ensoleillement, l’air, l’eau et de l’automobile. On assigne
à la rue le rôle de l’infrastructure.
Antoine Tournon : donne à voir une autre forme de rues.
On est à l’époque de Dalembert et Diderot : collection des machines qui participent à la révolution
industrielle. Pierre Patte est un des dessinateurs.
La rue va devenir un sol technique avec notamment l’arrivée du gaz.
Les projets d’Alphand (1863-73) participent à la représentation de l’épaisseur du sol comme une
machine. On assiste à une synthèse de différents enjeux techniques et de réseau.
On a bien là une pensée de l’infrastructure pour le flux et pas l’abaondant des préocuupatiosn
formelles. L’architecture est très forte et présente. Cerdà et ses théories seront redécouvert plus
tard, l’urbanisme à sa mort n’est pas encore développé avec des idées qui se répercutent. Soria
Imata va lui bénéficier de tous ces congrès et son idée de ccitée linéaire va se développer. On est
là dans la naissance de l’urbainisme dont les infrastructures sont moteurs à ces débuts.
13/11/2020
COUR VII
Circulation et questions artistiques
On peut considérer que durant la seconde moitié du XIX ème cette vision technicienne va être très
dominante. Cela va susciter des critiques, l’architecte qui va fustiger cette infrastructure est Camillo
Sitte. Viennois qui conteste l’aménagement de la RingStrasse. Il est connu pour avoir été l’auteur de
STADTE-Bau, l’art de bâtir les villes. Témoin de l’aménagement du Ring qui caractérise l’urbanisme
moderne (XIX ème) qui propose des bâtiments beaucoup plus large, il trouve que cela est trop régit
par la technique. Cette urbanisme se développe à travers la question des rues. L’urbaniste n’est même
pas en mesure de disposer des espaces libres car ils appartiennent à l’ingénieur des ponts … On
considère que les questions techniques. A cette époque le chemin de fer va devenir un contre modèle
par ce que ce modèle prend les questions circulatoires et ne prend pas les bonnes façons de régler le
problème.
Il déteste les places carrefours issues du XVIII ème et préconise les places beaucoup plus fermés issus
des places traditionnelles. Plus on ajoute des voies dans un carrefour plus on multiplie les accidents.
L’art n’est pas nécessairement contraire à celle de la vie
moderne : hygiène, circulation … Il ne faut pas penser que la
technique mais aussi esthétique et artistique et répondre aux questions techniques également. Lorsque
l’on a une pace carré, régulière où l’on cherche à mettre un monument on le place au milieu. Une
place irrégulière ne permet d’établir un centre. Il suffit de regarder où les enfants construisent le
bonhomme de neige lorsqu’il neige : là où il n’y a pas de circulation, les points morts. Même Sitte
intègre qu’une infrastructure est fait à partir d’un flux ou d’un questionnement à partir de.
Hénard, grand lecteur de Sitte, est connue pour avoir fait des visions de la ville. Il est architecte, son
père est architecte qui enseigne à l’école des beaux-Arts. Pourtant c’est quelqu’un qui va s’intéresser
au système du trottoir roulant inspiré du chemin de fer. Développe des propositions pour Paris. Salle
des illusions avec une pièce composée de pleins d’ampoule et avec des jeux de miroirs qui plonge le
spectateur dans différentes ambiances.
Commence une série de publication sur la ville de Paris :
chaque étude est un sujet. Propose un contre-projet pour le
pont de la rue Rennes proposé par Hausmann. Pont oblique
au milieu de la Seine. Il explique que ce tracé vient
préserver le patrimoine et recueillir des flux.
Soucieux de la manière esthétique de faire les choses.
Raymond Unwin : l’étude pratique des plans des villes. C’est d’abord celui qui est un architecte
anglais qui avec Parker a fait des cités jardins. Sitte écrit son livre en 1889 en Allemand. Sitte va être
connu par Unwin par la version française (langue universelle de l’époque).
La différence avec Sitte, ses exemples restes celles de villes
anciennes, minérales. Ces villes à Unwin sont les villages
anglais. Il transpose les théories de Sitte à un autre contexte.
Il y a aujourd’hui plusieurs façon de faire les voies. La voie droite est plus rationnelle, lorsque la
topographie est assez plate. Idée de scénographie pittoresque :
On crée une voie qui sépare l’ilot de part et d’autre qui permet de
lotire. On aménage des terrains de sports, des jardins, il regroupe les
pavillions et forme des culs de sacs et closes.
C’est le retour de la ferme : le cul de sac pour les voitures mais pas
pour les piétons qui peuvent continuer.
Ratburn construit par Stein et Wright qui vont adapter ce système, le
close en prend un coup.
Version française : vue depuis l’œil du piéton. Plusieurs perspctives
vues depuis différents endroits.
Hénard : parle de l’automobilisme, précend qu l’automobile va devenir dominante.
La modélisation des flux : Cerda, Hénar, Unwin précédaient l’automobile. Les réseaux sur plusieurs
niveaux, le cul de sac, le carrefour à sens giratoire, les routes payantes, l’accès réservée et les vois
piétonnes, ségéragation de la circulation.
Tous ce quel’on juge propre à l’automobile à été inventé avant. On a vue que les questions techniques
ocuppent des questions fortes. On va se focaliser sur la quetsion artistique à cette époque le technique
n’a pas chassé l’artistique mais l’un a intensifié l’autre.
L’infrastructure automobile
Rupture et continités
Permanences et retour de la tradition
On va essayer assez tôt de transposer la force de la voiture à la voiture. A la fin du XIX ème on
commence à trouver des véhicules qui marche à moteur et qui vont parvenir à faire que les voitures
soient mécanisé. On utilise les rues et les routes. Le véhicule va supporter le rapport au sol et
ifrastructures. On ne change pas les routes, il va juste falloir les goudroner.
Il y a les premiers congrès sur les autoroutes en 1908. Ce qui
chnge est les règles de circulation, le traffic s’est homogénéisé.
On voie se dessiner le projet d’Alphand qui n’a pas été fait pour
l’automobile.
La France est le berceau de l’automobile pour deux raisons : en
ville par ce qu’il y a le Paris Hausmanien : les allées droites …
Dans les campagnes il y a les routes des ponts et chaussées qui
permettent d’avoir un réseau national. La France présente une
infrastructure a plus au point.
A cette époque on va dire que le chemin nous avaient éloigné
du patrimoine, l’automobile va nous réinstaurer ce qui était devenue entre temps des monuments
historiques.
On parle beaucoup d’histoire, on
réinvesti les places. Le Corbusier va
dire que l’automobile va renouer ce
que le chemin de fer avit séparer. On
a une sorte de volonté conservatrice
et nostalgqiue qui fait ressortir ce
passé glorieux.
Il dit qu’avec le temps la circulation automobile corissante va permettre de retrouver des tracés
souples et pas de grandes droites. Pour un personnage aussi obsédé de tradition, il aspire à la
généralisation de l’automobile.
Mouvement qui va adhérer aux thèses nazis, retour à la
terre, beauté des paysages patriotiques.
Les USA ou l’Allmagne lorsque l’on fait des raisons à partir de rien on les fait en béton. En France on
met du goudron car les infrastructures existent déjà.
Cette doctrine esthétique qui accompagnait les autouroutes, le Imatschutsz.
Techniques et architectures : on avait des autoroutes un peu plus tard car nous avions déjà des bonnes
routes. On travaille la sortie d’autoroute.
Tony Garnier : attention portée par les architectectes
Beaux-Arts qui s’intéressent à ces infrastructures. Le
triangle de Rocquencourt est la sépartion de l’autoroute de
l’ouest, et va donner lieux à une maquette avec un échangeur hyper complexe avec des espaces
piétons.
Avec cette façon d’intégrer les infrastructures dans le champs de l’architecture.
Gréber va partir aux EU et va constrire une autostrade à Marseille avec un plan d’aménagement,
échangeur giratoire évidé avec un jeu de rampe très compacte.
Pierre Jean va être amné à réfléchir sur les aires de pbords de routes et comment la publicité et sponsor
vont payer le paysage.
L’automobile n’a rien changer mais à permis d’exploiter à fond toutes ces choses et traditions
qui étaient antérieures aec des choses qui sont revenues. L’histoire d el’urbainisme ne retient
pas ces choses là. Hilberseimer avec la ville verticale: rupture voulue avec l’automobile et ce que
cela va importer – selon le prof mois car ils s’instruit de l’hergonomie propre de l’automobile. A
la différence des chentres de la modernité verticale ne considère pas que le prorès techniques est
un déterminisme qui invaliderait la tradition. Les autres vont voir dans l’automobile un moyen
de dépasser le chemin de fer.
Abandon, permanence et découverte
Rupture clair à partir des années 60, dabord une rupture
qui n’a rien à voir avec les architectes, la société change,
les choses évoluent. Les contraintes en terme d’ingénérie
de transport va entrainer une spéccialisation, une
explosion des normes. L’architecture n’y peut rien.
25/11/2020
COUR IX
Abandon, pertinence et résistance
Germe de cet séparation dans la doctrine de certains architectes des avant-gardes comme Le
Corbusier. Dans l’histoire de l’urbanisme il a une décalage qui font que les CIAM produisent des
doctrines qui sont moins répandu qu’après la guerre. Compte rendu de CIAM fait en 1941 et réédité en
57 car en 41 elle n’a pas une audience extraordinaire – décalage du moment où est pensé l’idée et le
moment où elle s’applique. On sépare l’habitation des restes de constructions architecturales. Donner à
chacune des voies de destinations un rôle (piétons, voitures) avec des dimensionnement spéciaux.
Le nouveau paysage urbain : construction de grosses infrastructures routiers. Infrastructures qui les
fascinaient aux Etats Unis. On ne cherche plus à corriger et intégrer comme un élément subordonné au
projet. La perception.
1963 : utopie des avant-gardes qui se réalisent.