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LE GUIDE DE LA
TRANSFORMATION
DIGITALE DES
ENTREPRISES
UNE PUBLICATION DE DYNABOOK FRANCE
VOTRE-IT-FACILE.COM
LE BLOG QUI DÉCODE L'INFORMATIQUE PROFESSIONNELLE
Sommaire
Quels sont les nouveaux comportements nécessaires au manager pour avoir une
culture numérique ? 39
Être un manager leader 39
Maîtriser les nouveautés 40
Placer l’humain au cœur de l’entreprise 40
Communiquer durant la transition 41
Se démarquer de la concurrence
Le digital offre à l’entreprise de nombreuses possibilités d’améliorer son image et d’attirer
de nouveaux talents. Grâce à une étude des stratégies mises en place par la concurrence,
aux réseaux sociaux et aux outils Internet, il est possible de faire sortir son entreprise du
lot en valorisant son image. Les campagnes marketings à prix réduit effectuées grâce aux
outils numériques permettent également de mettre en valeur un aspect unique de la
société par rapport aux autres entreprises qui effectuent le même travail.
● Le choix d’une ligne de conduite : lors de cette étape essentielle, les objectifs
généraux de l’entreprise doivent être choisis afin qu’une stratégie adaptée soit
définie. Les moyens mis en place, les résultats attendus, le budget et les outils de
communication devront être précisés.
● Le brief des collaborateurs : afin de favoriser une bonne relation entre les divers
acteurs de la transition, des protocoles précis doivent être institués dans le but de
transformer les habitudes des employés.
● Installation des outils : une fois que les usages sont définis, c’est au tour des outils
de la transition numérique d’être développés à travers le réseau interne de
l’entreprise. N’hésitez pas à vous tenir au courant des nouveautés technologiques
afin de ne pas être dépassé par la concurrence.
● Analyse des résultats : les résultats obtenus depuis la mise en place des nouveaux
procédés doivent être régulièrement analysés. Ces contrôles fréquents
permettront de réaliser les ajustements nécessaires dans la stratégie de transition
digitale de l’entreprise.
Réussir sa transformation digitale est un défi technique pour toutes les entreprises.
Cependant, ce challenge ne doit pas faire oublier un élément encore plus important : la
prise en compte de l’humain. En effet, ce sont bien les collaborateurs qui sont au centre de
tous les process et de l’organisation globale. Il est donc primordial d’accompagner les
collaborateurs et de mobiliser les équipes afin de travailler main dans la main avec elles
pour réussir cette transformation digitale, tout en conservant un climat positif dans
l’ensemble des services. Nous vous donnons ici quelques conseils pour vaincre la
résistance au changement, qui constitue encore trop souvent le principal frein à la
digitalisation.
Analyser l’existant
La première étape vers une transformation digitale réussie est d’analyser les usages
existants. Cela permet de définir des axes d’amélioration pertinents, en commençant par
développer les méthodes et compétences déjà en place.
Cet audit vous donnera également la possibilité d’identifier dès le début du projet les
réticences éventuelles face à l’innovation.
Les remontées du terrain sur l’utilisation des systèmes déjà en fonction vous permettront
en outre de proposer des améliorations concrètes dans la suite du projet. Cela ne peut que
favoriser l’adhésion future des différents acteurs.
En moyenne, il faut neuf à douze mois pour faire évoluer les mentalités et réellement
changer la culture de l’entreprise. Cela passe notamment par le développement d’un
nouveau langage commun, que les différents acteurs doivent pouvoir s’approprier, et par
l’organisation de présentations et de workshops.
Or l’attitude face au digital et ses enjeux est bien souvent une question de génération.
Vous avez sûrement dans vos différents services de jeunes collaborateurs qui ont grandi
avec les nouvelles technologies, à l’ère des smartphones et de la fibre. Pour eux, la
digitalisation n’est pas une transformation, mais une évolution qui amène leur pratique
professionnelle en cohérence avec leur pratique personnelle.
Identifiez ces jeunes collaborateurs qui vont pouvoir devenir de véritables ambassadeurs
auprès de leurs collègues. N’hésitez pas à mettre en avant leurs compétences, afin que les
autres les identifient comme des ressources sur lesquelles ils peuvent s’appuyer pour
obtenir conseils et encouragements.
Le but est de faire comprendre aux représentants de tous les métiers que chacun a sa place
dans cette nouvelle organisation. Un axe de dialogue consiste à expliquer quelle est la
différence entre digital et numérique. Alors que le numérique recouvre une notion de
technologie froide, le digital implique une collaboration étroite entre l’homme et la
machine, dans laquelle l’humain reste au cœur de tout.
Dans un second temps, la formation doit se tourner vers les aspects pratiques, afin de
permettre à chacun de s’approprier les technologies et de ne pas se sentir démuni face à
elles.
L’acceptabilité des nouvelles pratiques auprès des collaborateurs est, en outre, renforcée
par le fait que tous les services travaillent main dans la main pour contribuer à ce
changement. C’est le moment de favoriser au maximum le décloisonnement, dans un esprit
d’innovation. Cela peut amener les différents services à repenser totalement la façon dont
ils échangent les informations et communiquent au quotidien.
Vous l’avez compris, réussir la transformation digitale ne peut se faire qu’en impliquant en
profondeur l’ensemble des collaborateurs. Il faut également être conscient que l’évolution
des mentalités et des pratiques va prendre du temps. C’est une raison de plus de mettre en
place tous les outils pour que la transition s’opère pour tous dans les meilleures conditions
possibles !
De plus en plus répandue dans les entreprises, la digitalisation a su prendre une place
importante au sein des organisations internes. Qu’il s’agisse d’outils spécifiques ou bien de
procédures à mettre en œuvre, l’importance est donnée à la cohésion des services
internes. Cependant, nous pouvons nous demander ce que transformation digitale veut
vraiment dire. Elle signifie tout simplement l’amélioration de la productivité de l’entreprise
avec l’aide d’outils technologiques facilitant le travail de chacun. La société doit ainsi
intégrer dans son organisation des modes de fonctionnement plus modernes.
Concrètement, à quoi sert la transformation digitale ?
La croissance de l’entreprise passe par une mise en ligne d’informations utiles pour le
client. Ainsi, une entreprise peut diffuser sur son site internet des documents
téléchargeables et proposer une saisie online, pour offrir un gain de temps important. Tous
ces processus doivent permettre d’économiser du papier, du temps et des manipulations
inutiles.
Cette transition est basée non seulement sur la technologie, mais aussi sur l’humain. En
effet, les compétences sont nouvellement acquises par les collaborateurs et les canaux se
multiplient pour les clients. Les managers doivent ainsi impliquer pleinement leurs
collaborateurs. La relation clients sera modifiée et de nouveaux schémas de vente feront
leur apparition.
Dans la catégorie des systèmes numériques, on peut évoquer les téléphones, la télévision,
mais aussi – depuis l’apparition d’Internet – les réseaux de communication. Le mot
numérique s’emploie pour évoquer une technique fondée sur les chiffres comme base de
programmation. Ce terme renvoie plus à la notion d’évolution du matériel utilisé en
entreprise qu’à l’usage qui en est fait.
La transition numérique
La notion de transition numérique ou de numérisation est présente dans les entreprises
depuis les débuts de l’informatique. Elle vise à rendre les procédés existants dans une
entreprise plus efficaces, grâce à l’emploi du matériel informatique ou automatisé dans le
monde du travail. La transformation numérique est donc une modification des techniques
utilisées, sans modification majeure du modèle économique de l’entreprise.
Dans ce cas, les objets numériques servent à accélérer ou à optimiser les méthodes de
travail, à limiter l’erreur humaine ou à effectuer certaines tâches que les opérateurs
humains ont du mal à accomplir.
C’est donc l’apparition du smartphone et des applications mobiles qui a permis de restituer
la véritable acception du mot « digital ». Le développement des interfaces tactiles a conduit
à une modification du sens du terme. Aujourd’hui, le mot est donc employé lorsqu’on parle
des procédés qui améliorent l’expérience de l’utilisateur en proposant des solutions
pratiques, souvent tactiles, qui lui permettent de s’adapter à son environnement. Le
principal enjeu du digital est donc de créer une relation entre l’objet électronique et son
utilisateur.
La transformation digitale
La transformation digitale possède un sens très large. Elle consiste à permettre aux
entreprises de s’adapter et de se développer en mettant en place de nouveaux processus
qui reposent sur des techniques de pointe. Toutefois, cette transformation digitale est
davantage liée à l’usage de l’électronique qu’au matériel en soi. Bien que les appareils
électroniques et les ordinateurs aient une place importante dans la transition digitale, ils
ne sont qu’un moyen utilisé pour mettre en place des procédés performants.
En effet, la révolution digitale n’aurait jamais été possible sans la transition numérique. De
fait, la transformation digitale qui a actuellement cours dans toutes les villes et les
entreprises modernes utilise des procédés numériques. Différents et pourtant
indissociables, le numérique et le digital ont une place de plus en plus importante dans les
stratégies commerciales actuelles.
Toutefois, seule une minorité de PME s’est lancée dans une forme ou une autre de
transition digitale. Qu’est-ce que la digitalisation ? Quels en sont les avantages et les
inconvénients ? La réponse à ces questions est essentielle pour les chefs d’entreprise qui
souhaitent développer leur activité et ne pas se laisser dépasser par la concurrence.
Cette évolution numérique est avant tout une mutation interne, il faut donc utiliser les
compétences disponibles pour lancer la machine digitale. Le sujet est assez complexe et
touche tous les services. C’est pourquoi il est essentiel de réaliser un travail en profondeur
avec toutes les équipes de l’entreprise. Il faudra du temps, de la pédagogie et de la
conviction pour transformer et organiser l’ensemble des départements.
Les entreprises peuvent dorénavant améliorer leurs produits pour qu’ils correspondent
parfaitement aux besoins des consommateurs. Les banques ont aussi revu leur business
model grâce au digital et ont instauré une nouvelle relation client avec des interfaces
virtuelles performantes et intelligentes, capables de prodiguer des conseils pertinents.
Globalement, initier une évolution numérique, c’est intégrer de nouveaux concepts de
travail et des approches commerciales plus modernes.
Digitaliser une entreprise n’est pas une mince affaire. Bien souvent, nous entendons des
chefs d’entreprises évoquer le projet de digitaliser leur société. Vous êtes vous posé la
question suivante : à quoi sert la transformation digitale ? Véritable atout au sein d’une
entreprise, elle permet le développement de l’entreprise et son évolution vers une ère plus
moderne et réactive. Cette stratégie doit être mise en place en amont avec l’ensemble des
équipes de l’entreprise, incluant tous les services internes de la société. Cette démarche
transformant les processus et habitudes des salariés, différentes étapes sont à franchir
pour une stratégie digitale réussie. Afin d’accompagner idéalement les entreprises dans
l’ère du digital, il est nécessaire de se rapprocher d’un grand groupe apte à proposer des
solutions et des offres adaptées aux besoins de l’entreprise.
Face aux nouvelles technologies, une entreprise se doit d’être parfaitement accompagnée
pour maîtriser son évolution. Accompagner les collaborateurs dans la transformation
digitale, améliorer les compétences, gagner en performance, telle est la finalité de la
digitalisation. Face à une concurrence de plus en plus rude, il est nécessaire pour une
entreprise de mettre en place un développement fort pour éviter de paraître obsolète dans
son secteur.
Dématérialiser les procédés, comme établir des factures à envoyer par mail et non plus par
courrier, offre un gain de temps précieux ainsi qu’une image plus valorisante. Cette
démarche peut être appliquée aux bulletins de paie des salariés, aux devis et aux
catalogues online. Ainsi, tous les secteurs se doivent de modifier leurs méthodes de travail,
pour avoir la certitude que toutes les compétences seront mises à l’honneur.
Augmenter la productivité de l’entreprise sera bien plus simple si celle-ci gagne en rapidité
et en réactivité. Chaque client devrait faire l’objet d’un suivi rapide et personnalisé,
mettant ainsi en valeur l’image de l’entreprise. À travers une plateforme digitale, les clients
pourraient par exemple interagir avec l’entreprise, pour une meilleure communication.
Tous ces objectifs nécessitent d’atteindre différents objectifs en vue de réussir le tournant
technologique. La société devra se doter de solutions innovantes afin d’augmenter sa
productivité et de cibler un plus grand public. Le nombre d’heures passé sur un écran de PC
ou de smartphone ne fait qu’augmenter chaque année.
Afin de toucher un plus grand nombre de prospects, il est nécessaire de mettre à profit la
technologie pour améliorer ses performances commerciales. Refondre un site en
responsive design, proposer des offres cloud intéressantes et posséder des logiciels
modernes sont quelques-unes des stratégies à considérer dans le cadre de ce nouveau
fonctionnement.
L’entreprise doit être apte à maîtriser les coûts de cette transition, à s’approprier de
nouvelles méthodes et de nouveaux outils. Rapidement, il sera possible de constater une
augmentation du chiffre d’affaires, un plus grand nombre de prospects et un retour sur
investissement efficace. Gérer, partager, mais aussi sécuriser l’information, sont des
principes absolument nécessaires dans le cadre d’une telle métamorphose digitale.
Faire une transformation digitale à succès est prisé par toutes les entreprises. Pour que le
développement de la digitalisation de votre entreprise se déroule du mieux possible en
optimisant votre temps et votre argent, quelques phases précises doivent être suivies :
elles permettent de mieux définir les enjeux et les besoins pour accompagner les
collaborateurs dans la transformation digitale et remanier la façon dont le travail est pensé
dans l’entreprise. Ces phases doivent être adaptées à tous les secteurs pour une transition
en douceur et sans accroc.
Cette évaluation des outils que l’on a à disposition peut se faire en relation avec le travail
des collaborateurs, qui peuvent voir cette transformation numérique d’un point de vue
différent du vôtre. Certains d’entre eux ont d’ailleurs peut-être des compétences qui
pourraient vous être utiles. Cette étape est idéale pour remettre de l’ordre dans ce qui a
déjà été fait : les outils dont vous disposez sont-ils développés en interne ou traités par des
prestataires ? Correspondent-ils correctement à vos besoins ? L’état des lieux est essentiel
avant de penser à la suite.
Pour cela, posez-vous les bonnes questions : pourquoi opter pour ce développement ?
Qu’est-ce que la numérisation va vous apporter ? À qui vous adressez-vous ? Avant de
passer aux étapes suivantes et de vous lancer dans la transformation numérique complète
Cela vous donnera la possibilité d’ajuster ce qui ne va pas et de vous adapter au fur et à
mesure en faisant preuve d’agilité. En comprenant ce dont vous avez besoin et le but fixé,
vous serez mieux à même de déterminer les outils nécessaires pour digitaliser votre
entreprise, mais aussi définir le budget, les équipes dédiées et le matériel spécifique.
En effet, si votre but est de permettre l’achat de produits en ligne, la mise en œuvre d’un
site de e-commerce est adaptée. N’oubliez pas qu’il vaut mieux procéder en douceur et
savoir se réajuster ensuite. Par exemple, la mise en place d’une newsletter sera effectuée
dans un second temps, afin de fidéliser vos clients et d’inclure vos prospects. Cette
transformation se précisera par la suite, et vous offrira la possibilité de découvrir l’éventail
d’outils que vous pouvez utiliser pour répondre à la quasi-intégralité de vos besoins.
La culture et les valeurs de votre entreprise vont constamment changer et s’adapter aux
nouvelles technologies. Vous avez besoin de vos collaborateurs pour soutenir la transition
numérique. L’accompagnement peut donc se traduire par une ou plusieurs formations au
numérique permettant à vos salariés de développer des compétences et leur productivité
Dans tous les cas, il est nécessaire de les informer et de rester en relation tout au long du
projet afin d’obtenir leur adhésion. Il est indispensable de les laisser assimiler ces nouvelles
connaissances et cette façon différente de travailler.
Les risques liés à la transformation digitale existent. La digitalisation, pour les entreprises,
consiste à repenser leurs offres de services ou de produits, à refondre leur business model,
à réorganiser le management et à optimiser les process. S’ajoutent à ce vaste chantier le
recrutement de nouvelles compétences, la formation des collaborateurs et la définition
précise de l’expérience client. Les processus de cette mise en œuvre numérique peuvent
être longs et dépassent largement le cadre de la simple mise à jour des systèmes
informatiques. Cette digitalisation ne se réalise pas sans risques. Ces derniers proviennent
souvent de la façon dont est menée la transformation numérique au sein de l’entreprise. En
matière de digitalisation, il est d’usage que les procédures soient appliquées et respectées
de manière à éviter des pertes ou des vols de données : risques de la protection des
données, risques liés à la mobilité et risques des réseaux sociaux, etc.
La solution idéale consiste à impliquer les individus dans ce changement. Ils doivent même
en devenir les acteurs. C’est une étape indispensable pour que la digitalisation prenne tout
son sens. Il est donc nécessaire d’accompagner les collaborateurs dans la transformation
digitale pour les aider à être plus performants dans un contexte où la rapidité et la qualité
priment.
L’accent est aussi mis sur la collaboration entre salariés puisque l’évolution digitale
décloisonne l’organisation hiérarchique traditionnelle et conduit à de nouveaux modes de
travail, tournés vers de nouveaux outils digitaux : visioconférences, application mobile, etc.
Aujourd’hui, il est devenu inconcevable de ne pas exploiter les outils numériques pour
rester productif. Sans eux, les entreprises refusant l’intégration de systèmes informatiques
performants et innovants prennent le risque de ne plus exister. De nombreuses entreprises
ont toutefois réussi leur développement numérique et certaines d’entre elles ont fait
preuve d’innovation pour devenir les leaders de leur secteur.
En effet, l’entreprise gagne du temps dans ses process et son organisation. Les échanges
entre les services sont ainsi plus rapides et simplifiés. Dans ce contexte d’optimisation du
temps, les collaborateurs peuvent désormais travailler sur des sujets à fort potentiel de
rentabilité.
Chaque secteur d’activité est concerné, les petites entreprises comme les grandes. Leur
priorité doit être d’accompagner les collaborateurs dans la transformation digitale, en vue
de l’évolution des métiers. Pour atteindre les compétences nécessaires sur les technologies
numériques, la formation professionnelle joue un rôle fondamental.
● niveau 1 : les métiers qui fonctionnent de façon répétitive tels que le transport, la
manutention ou le secteur bancaire ;
● niveau 2 : les métiers automatisables eux-mêmes décomposés en 3 catégories
comme les agents de voyage, ouvriers d’usine, etc. (fortement automatisables), les
assistants juridiques, les traducteurs (partiellement automatisables), et enfin les
travailleurs sociaux, les artistes ou médecins (peu automatisables) ;
● niveau 3 : les tâches fortement automatisables telles que les tâches administratives,
la collecte d’informations, ou les analyses des données.
Dans cette optique, les salariés devront maîtriser tous les outils de l’intelligence artificielle.
Seuls les métiers exigeant une forte interaction humaine seront moins impactés.
Les soft skills opèrent à tous les niveaux, mais peuvent concerner plus particulièrement les
managers, au contact des équipes et proches de l’action terrain. À eux de savoir écouter
leurs collaborateurs, évaluer, convaincre, impliquer, décider, prendre des initiatives,
réfléchir à de nouvelles organisations du travail.
Les métiers émergents s’annoncent orientés vers le consulting, le coaching et tout type de
conseil, mais aussi vers l’écologie, l’environnement, ou l’éthique.
Ce passage forcé peut inquiéter ceux qui se sentent laissés pour compte par les
technologies numériques, dans la mesure où ils pensent que le numérique fait mourir plus
d’emplois qu’il n’en crée. Pourtant, là encore, pas de raison de diaboliser le numérique
puisqu’il faut plutôt le voir comme une opportunité de progresser et d’engranger de
nouvelles compétences. Il est source de nouveaux métiers qui vont offrir la chance
d’exercer – non pas dans ce qu’on sait faire – mais dans ce qu’on aime faire. La différence
est majeure pour ceux qui poursuivent l’objectif du bien-être au travail. Les ressources
humaines prennent ici tout leur sens, car il est bien question d’aller puiser en soi ce qui va
donner envie de bouger et de s’adapter.
On voit maintenant arriver des community managers, des webdesigners, des surveillants
d’e-réputation. Tous ces métiers naissent du digital. Mais il n’y a pas que les compétences
numériques qui émergent d’internet. L’économie française doit aussi faire face à la
transformation résultant d’une modification des comportements des consommateurs. Si la
révolution industrielle est dépassée, on assiste à l’avènement d’activités issues de
l’économie de partage comme le covoiturage, la location de maison saisonnière, la vente
entre particuliers, etc. Ce qui amène également un nombre considérable de création
d’entreprises, toutes actrices du net.
La direction générale des grands cabinets, tout comme celle des grandes entreprises, a dû
adapter le travail de ses salariés à un environnement digital lui-même en constante
évolution. La formation aux outils numériques reste un enjeu majeur pour la totalité des
entreprises.
Les salariés face à la transformation numérique est un sujet majeur. L’un des grands défis
des entreprises de notre ère reste la réussite du passage au numérique. Si 52 % d’entre
elles estiment que leur transformation numérique est en accord avec leurs objectifs, les
autres rencontrent des difficultés à s’engager dans un processus qui tend à bouleverser
leurs pratiques habituelles. Conscientes qu’il s’agit là d’un enjeu majeur pour leur
développement, elles ont besoin d’accompagnement pour la mise en place de cette
stratégie, synonyme d’innovation et de compétitivité. Pour parvenir à relever les défis de la
transformation digitale, elles vont devoir engager tous leurs métiers en impliquant
l’ensemble des salariés. C’est bien là que réside la principale difficulté : emporter l’adhésion
de tous pour travailler harmonieusement en suivant de nouveaux process.
Prenons l’exemple d’un boulanger : s’il ne remet pas de facture à chaque client, outre un
éventuel ticket de caisse qui peut, lui aussi, être dématérialisé, il peut communiquer sur les
réseaux sociaux et tenir ses clients informés en temps réel. C’est l’une des façons de passer
au numérique, tout comme la mise en place du click and collect. L’essentiel restant de
toujours répondre à un besoin du client.
Afin d’engager le développement de ces usages dans les différents métiers, il peut être
nécessaire d’accroître les compétences des salariés. Pour accompagner les collaborateurs
Les « Connectés »
Ils sont à l’aise avec le digital. On les retrouve essentiellement parmi les Top Managers, et
dans les télécoms ou l’IT. Ils sont souvent mieux équipés que les salariés issus des autres
métiers. Les outils digitaux dont ils disposent jouent un rôle positif dans leur motivation et
ils considèrent leur entreprise à la pointe du développement numérique. Ce sont souvent
les collaborateurs les plus stressés.
Les RH doivent mettre en place un accompagnement durable afin de limiter le stress. Ils
peuvent développer des chartes de bon usage des technologies, comme le droit à la
déconnexion.
Les « Impatients »
Ils souffrent d’un décalage entre leurs attentes et les réalités professionnelles. Ils
souhaitent que leur employeur accélère le changement. On retrouve ces salariés
notamment dans le secteur public. Ils considèrent le digital avec bienveillance, ayant pour
eux un impact positif sur leur bien-être au travail, et en particulier sur leur équilibre de vie.
Les « Passifs »
Ils ne se sentent pas vraiment concernés par la transformation digitale. Leurs postes de
travail sont plutôt bien équipés et ils considèrent leur entreprise au même niveau que les
autres. Pour eux, le digital n’a que peu d’influence sur leur motivation ou leur équilibre de
vie. Ils sont toutefois plus exigeants envers leurs managers dont ils attendent un
comportement plus en adéquation avec l’ère digitale.
Les « Isolés »
Le digital n’entre que très rarement dans leur vie professionnelle. Ils sont relativement peu
équipés pour le numérique et considèrent que leur entreprise n’est pas plus en retard que
les autres. On retrouve dans ce profil des salariés de plus de 55 ans ou issus du secteur du
BTP.
Les RH ne peuvent pas conduire le changement vers la transformation digitale avec cette
catégorie de salariés.
On y retrouve par exemple des professions réglementées comme les avocats ou les
notaires, qui ont su prendre le virage du numérique en créant la LegalTech, ce secteur du
droit qui officie sur Internet. L’évolution de ces métiers est telle qu’ils possèdent désormais
leur propre appellation sur le net.
La digitalisation est pourtant l’un des critères majeurs qui garantit la pérennité et le succès
d’une société. Elle permet d’apporter des solutions très efficaces pour gérer la croissance
massive du nombre de données, qui va de pair avec l’expansion économique de l’entreprise.
Les RH sont le département qui doit, dans ce cadre, accompagner les collaborateurs dans
la transformation digitale.
La digitalisation RH est donc une réalité. Bien employée, elle favorise, par exemple, un
meilleur recrutement des collaborateurs. Sourcing, processus d’onboarding ou gestion des
candidatures prennent une nouvelle dimension grâce à l’utilisation de logiciels
performants qui permettent de repérer plus vite et plus facilement des performances et
des talents, tout en associant au mieux les emplois et les compétences.
Il va sans dire que ces nouveaux process demandent beaucoup d’engagement de la part des
RH qui doivent veiller non seulement à se former, mais également à accompagner
l’ensemble des salariés et des managers dans leur changement. Leur rôle et posture
changent et deviennent moins verticaux, car ils intègrent des outils dans la conduite de
changement. Par exemple, les réseaux internes d’entreprises, bâtis sur le modèle des
réseaux sociaux, dynamisent et facilitent la communication tout en ayant tendance à
supprimer la hiérarchisation.
Véritable interface entre les différents services de l’entreprise, le département des RH doit
être force de proposition pour optimiser la transition numérique de l’entreprise. C’est de
lui que doivent venir les solutions qui vont permettre aux salariés d’acquérir les
compétences nécessaires à l’utilisation des nouveautés digitales de la société.
Ce processus permet notamment aux RH d’intégrer au mieux les besoins des salariés qui
souhaitent faire évoluer leurs compétences, afin d’apporter une plus-value à l’entreprise. Il
facilite aussi le suivi de carrière de chaque salarié et permet d’adapter l’évolution
professionnelle à chacun.
Ce guide trouve également sa raison d’être dans l’accompagnement des managers face au
changement et contribue à les rassurer. La vitesse à laquelle les développements évoluent
dans une entreprise à l’ère digitale peut être extrêmement angoissante, notamment au
niveau des risques encourus. Le guide, en mettant en exergue l’ensemble des opportunités
et risques juridiques liés à la transformation numérique, apporte des jalons qui permettent
aux RH et aux salariés qui dépendent d’eux d’appréhender plus sereinement la
digitalisation dans son ensemble.
L’entrée dans l’ère digitale de votre entreprise est la clef de sa réussite et de sa pérennité.
Pour parvenir à cet objectif, l’appui de vos RH est indispensable. Ces départements
représentent un levier majeur de la transformation digitale, car il leur revient la tâche
passionnante d’aider l’ensemble des salariés à se former dans le but de rendre votre
société plus compétitive. C’est en commençant par s’initier au secret du numérique, puis en
le transmettant aux salariés via des formations, qu’ils peuvent y parvenir.
Depuis plusieurs années, la révolution numérique crée de nouveaux enjeux, apporte des
changements fondamentaux et restructure les entreprises. La transformation digitale n’est
plus seulement réservée aux grandes entreprises.
En effet, plus qu’un simple outil d’efficacité, elle est devenue un véritable besoin. Sans
digitalisation des services, processus et outils, l’entreprise perd de sa compétitivité. Elle ne
peut plus répondre aux besoins de ses clients et risque de sombrer dans l’obsolescence.
Voilà pourquoi les entreprises doivent se digitaliser. Source de croissance et de rentabilité,
la transformation digitale doit s’inscrire dans un changement de la culture d’entreprise.
Selon une étude menée par Cap Gemini en juin 2017, 62 % des personnes interrogées
considèrent la culture d’entreprise est le principal obstacle à la transformation digitale
dans les entreprises françaises. Concilier culture d’entreprise et révolution digitale est
donc primordial. Pour mener à bien l’une des transformations sociétales les plus
importantes depuis la révolution industrielle, voici un aperçu des compétences nécessaires
des managers de l’ère du numérique.
L’autonomie acquise grâce aux formations présentes sur le web, leur permet d’échanger
entre eux, d’évoluer au sein de leur métier et de progresser au quotidien, sans
nécessairement avoir besoin de leur manager. Ce dernier doit donc tout mettre en œuvre
pour instaurer une envie de collaboration au sein de ses équipes. Il doit accepter de ne plus
être le seul détenteur de l’information. En adoptant une démarche d’accompagnement, il
laisse à ses collaborateurs la possibilité de proposer et d’entreprendre des changements
utiles pour l’entreprise.
Pour suivre l’activité de ses collaborateurs, il se doit de maîtriser les outils numériques
indispensables à la cohésion des équipes. De plus, il est conscient que les employés
peuvent créer des groupes de travail sans nécessairement le solliciter. L’interconnexion
permanente des collaborateurs met en place de nouveaux espaces de dialogue, plus directs
et synthétiques. Les messageries instantanées, les objets connectés, les salles de travail
virtuelles ou encore les documents partagés permettent de penser une nouvelle
organisation au sein de l’entreprise. Le savoir n’est plus dispersé de manière verticale. En
effet, le manager ne cherche plus à centraliser l’information, comme il le faisait dans les
entreprises traditionnelles. Il la partage grâce aux nouvelles technologies numériques.
Si la stratégie et les objectifs sont fixés par la direction générale, c’est le travail collaboratif
fourni par les différents services qui permet d’élaborer une nouvelle organisation. Les
collaborateurs veulent se sentir importants et trouver leur place dans un projet commun. Il
est donc primordial de les valoriser. Pour ce faire, le manager doit déléguer certaines
tâches. En fonction des compétences de chacun, il octroie de nouvelles responsabilités à
ses partenaires.
Les entreprises françaises l’ont compris : la transition numérique ne peut se faire que grâce
à un management dit de « soft power ». Les nouvelles générations sont de plus en plus
S’il revient à la direction générale de définir les objectifs à atteindre, c’est à ses équipes de
déterminer et mesurer des indicateurs de performance. Qu’il s’agisse du nombre
d’utilisateurs, de leur niveau de satisfaction ou encore du ROI, chaque indicateur doit être
analysé à intervalles réguliers. Le manager met alors en avant les réussites et les points à
améliorer. Il communique également sur les changements à mettre en place.
Enfin, en tant que leader, il trouve les arguments pour accompagner les collaborateurs
dans la transformation digitale. En valorisant les réussites individuelles et collectives, il
démontre l’utilité des nouvelles technologies au sein de l’entreprise. C’est à lui de
convaincre chaque individu de l’importance de l’acquisition de nouvelles compétences
technologiques, du travail collaboratif ou encore des objets connectés.
Les métiers de demain prendront en compte l’intelligence émotionnelle, tout comme les
soft skills, pour construire une culture d’entreprise efficiente.
Pour former au digital, les moyens ne manquent pas et de nombreuses méthodes existent :
Prévoir un investissement financier pour supporter ces nouvelles méthodes de travail est
essentiel. Des serveurs puissants, une connexion Internet fiable, des ordinateurs et des
objets connectés serviront de base.
● mise en place de l’outil VIDOC, pour offrir une base de données en ligne à tous les
notaires de France ;
● évaluation plus précise de la valeur du mètre carré à Paris, pour disposer d’une
expertise en ligne ;
● utilisation de la blockchain pour sécuriser et vérifier l’exactitude des documents sur
la durée ;
● création d’un répertoire pour des sociétés non cotées, alimenté à chaque transfert
d’action.
● le RGPD ;
● l’identité numérique ;
● le cloud ;
● la cybermalveillance ;
● la reconnaissance faciale ;
● la mobilité des données ;
● les cryptomonnaies.
Quant aux contraintes, les notaires devront s’équiper de matériels informatiques sécurisés
pour mettre en place ces nouvelles technologies. Un travail collaboratif sous forme de
réseau privé devra également être engagé. Enfin, le législateur devra encadrer ces
innovations pour protéger les données en ligne, les notaires étant eux-mêmes les cibles
des cybercriminels.
La transformation digitale offre en effet une nouvelle vision, définit d’autres enjeux et
amène au développement de technologies en avance sur leur temps. Ne pas former ses
équipes s’avérerait particulièrement risqué et peu productif puisque le succès d’une
transformation numérique provient d’une part de l’acceptation des règles par les
différents acteurs et d’autre part, de l’efficacité des processus métiers mis en avant.
Pour remplir les objectifs, certains investissements sont donc nécessaires : ils se chiffrent
en temps, en enveloppes budgétaires et en recherche de compétences. Chaque section de
l’entreprise va être impactée par ces changements. Bien plus qu’une amélioration des
procédés informatiques, cette transformation va agir au cœur des différentes procédures
pour amener un renouveau salutaire et insuffler une dynamique dans chaque département
de l’entreprise.
Les différentes organisations au sein de l’entreprise vont devoir suivre le « sens du courant
» en appliquant d’autres méthodes, en modifiant leur façon d’agir séparément et de se
connecter entre elles. Parce que ce changement doit être accepté et vu positivement, les
services présents vont être entièrement revus, l’objectif étant finalement que les clients,
fournisseurs, prospects, collaborateurs, etc. aient tous la même vision du succès, les
mêmes idées sur la façon de résister à la concurrence et de se démarquer.
Financer ces innovations peut être une contrainte pour un notaire et le changement devra
alors se faire par étapes en tenant compte de divers facteurs comme l’offre et la demande
ou encore les besoins dans une région donnée. Pour favoriser cette expansion, des aides
vont être octroyées par la Chambre des Notaires, provenant d’un « fond pour l’innovation »
approvisionné avec les budgets excédentaires.
Les nouvelles technologies s’imposent dans notre quotidien. Au travail ou à la maison, elles
sont indispensables. Pourtant, vous vous demandez encore pourquoi les entreprises
doivent se digitaliser ? La réponse est simple : afin de ne pas sombrer dans l’obsolescence.
Quelle que soit sa taille, toute entreprise est amenée à évoluer et à comprendre le monde
qui l’entoure pour y trouver sa place. Se démarquer de ses concurrents tout en s’adaptant
aux attentes des clients est donc primordial. Quelles sont donc les bonnes pratiques de la
transformation digitale ? Pour vous aider à mettre en œuvre la transformation digitale de
votre entreprise, voici 5 bonnes pratiques qui sont autant de conseils faciles à instaurer.
En effet, ils doivent refléter l’ensemble des enjeux de la marque. En règle générale,
l’objectif principal d’une entreprise est d’accroître son chiffre d’affaires. Celui-ci dépend de
sa taille, de son secteur d’activité et de ses parts de marché. Afin d’atteindre ce but,
l’entreprise établit un plan d’action.
En effet, c’est tout le business model qui doit être pensé autour de la digitalisation de
l’entreprise. Par exemple, la marque ne peut pas se contenter d’intégrer le digital dans le
marketing. En effet, l’innovation numérique permanente permet de créer de la valeur dans
tous les métiers et les fonctions. La transformation digitale rompt les barrières et modifie
les usages. Quel que soit son domaine d’activités, l’entreprise soit impérativement
confronter son business model à celui d’autres secteurs. La transformation digitale saisit
les opportunités du numérique pour l’entreprise. C’est elle qui insuffle une véritable
mutation en son sein.
Le manager les conseille pour que la qualité de l’expérience utilisateur soit optimale. En
replaçant l’humain au cœur de la digitalisation de l’entreprise, vous créez un sentiment
d’appartenance. Les objectifs de la marque deviennent ceux des collaborateurs. Ensemble,
vous mettez en place des outils qui répondent aux attentes, aux besoins et aux contraintes
de chaque groupe d’utilisateurs. Enfin, la transformation digitale doit être perçue comme
une expérience positive par vos collaborateurs. Ils doivent y voir une évolution possible de
leur métier.
Il ne fait aucun doute que toutes les entreprises sans exception produisent aujourd’hui une
valeur commune : la data. Quel que soit son secteur d’activité (industriel, tertiaire), une
entreprise va produire des données en quantité de plus en plus importante. Ces données
doivent être valorisées, ce qui entraîne généralement une évolution des métiers. Cette
évolution entraîne l’apparition de nouveaux enjeux et il devient impératif de comprendre
comment accompagner la transformation digitale de l’entreprise.
Pour exploiter ces données et les transformer en valeur, l’entreprise doit opérer sa
transformation numérique et se doter des bons outils et des compétences nécessaires. Il
ne suffit pas de collecter les données pour les stocker. Il faut savoir les exploiter, les
interpréter et en tirer un maximum d’informations afin d’améliorer encore la valeur
produite, optimiser les processus, améliorer les produits et les chaînes de fabrication, la
logistique, etc. Pour y parvenir, il est essentiel d’accompagner les collaborateurs dans la
transformation digitale, car les enjeux sont décisifs. De nouveaux métiers sont en train de
faire apparition dans les entreprises et il est impératif que les différents acteurs soient
placés au cœur de cette transformation.
Auparavant, les données provenant de différents secteurs étaient séparées. Désormais, les
systèmes sont interconnectés et les connaissances vont être automatiquement partagées.
Cette évolution bouleverse totalement les usages habituels. Par exemple, les données
Gardons l’exemple d’une chaîne de production et des achats. Ce qui est coûteux, ce sont les
arrêts de la production à cause d’une panne ou d’une pièce à remplacer par exemple. Il faut
donc à tout prix les éviter. La technologie employée sur les équipements de production
permet de remonter un grand nombre d’informations sur l’état des machines, l’usure des
pièces, etc. L’agrégation de toutes ces données peut permettre de prédire l’usure du
matériel et donc de mettre en œuvre une politique de maintenance préventive réduisant
les risques d’arrêt de la production. En relation avec les données concernant les stocks de
pièces, il est possible d’informer les acteurs des achats du matériel qu’il va falloir
commander.
Le big data va permettre de traiter d’énormes quantités de données afin d’en extraire des
statistiques très avancées. Les données provenant de différents systèmes vont pouvoir
être traitées ensemble et croisées de façon à faire ressortir des informations qui restaient
jusque-là invisibles. Les analyses vont être beaucoup plus fines et porter sur des domaines
très spécifiques, pouvant aller de la maîtrise de tous les systèmes composant l’entreprise à
la connaissance pointue des habitudes et des besoins clients. Toutes ces analyses, qui
pourront en plus avoir lieu en temps réel, au fur et à mesure de la collecte des données,
vont permettre d’améliorer le fonctionnement de l’entreprise et de développer son
business à l’extérieur.
L’intelligence artificielle est difficilement dissociable du big data tant leur utilisation est
liée. L’IA, loin de l’image que peuvent en donner certaines œuvres de Science-Fiction, va
permettre d’exploiter les immenses bases de connaissance constituées par le big data. Elle
va permettre notamment d’automatiser certaines tâches qui auparavant nécessitaient une
intervention humaine (le déclenchement d’une opération de maintenance préventive sur
une chaîne de production, par exemple), et apporter une aide à la décision tout en
minimisant le risque d’erreur.
Pour que les nouveaux outils et les nouvelles organisations soient adoptés dans
l’entreprise, il faut s’assurer que chacun ait les connaissances et les compétences
nécessaires. Si l’on prend par exemple les contraintes et opportunités de la transformation
numérique dans la profession notariale, il faut être conscient des changements qui vont
être apportés en termes de travail. Il faut accompagner chaque personne afin de bien
comprendre ses besoins et ses attentes pour la guider au mieux vers une utilisation
optimale des outils numériques. Dans ce domaine particulier, les données peuvent
provenir de différents systèmes, immobiliers, législatifs ou officiels. Finalement, il s’agit
d’amener les collaborateurs à être acteurs de la transformation numérique.
● la maîtrise des nouvelles possibilités technologiques, tant par ceux qui les pilotent
que par ceux qui les utilisent ;
● la protection des données, surtout dans les secteurs sensibles (domaine médical ou
financier, par exemple) ;
● les relations extérieures (clients, fournisseurs…), soumises à la « dictature » des
réseaux sociaux et parfois matière à une publicité incontrôlée ;
● l’engagement des collaborateurs dans le processus, qui, comme toute évolution
dans le fonctionnement d’une entreprise, doit s’accompagner d’une communication
claire et d’une réelle volonté d’implication.
Intégrer la transformation digitale de l’entreprise, dans tous les secteurs d’activité, est un
travail qui se fait par étapes. En ayant recours à une formation adaptée, à une
communication interne soignée et à des outils performants, toutes les entreprises peuvent
désormais réussir leur transition vers un mode de fonctionnement appelé à devenir la règle
dans un futur proche. Nous avons ainsi vu plus d’une entreprise qui a réussi sa
transformation digitale.
Nous sommes dynabook. Nous sommes une nouvelle entreprise dynamique, bâtie sur le magnifique héritage
de Toshiba.
Leader du secteur, Toshiba lance en 1985 le T1100, le premier PC portable au monde, suivi en 1989 du
dynabook J-3100 SS001, le premier ultraportable du monde.
Ces deux innovations dans le domaine de l'informatique portable ont permis aux utilisateurs de travailler en
toute sécurité, où qu'ils puissent être, et ont façonné le marché actuel de l'informatique mobile. Depuis cette
époque, Toshiba a toujours proposé des produits et services innovants, qui intègrent les dernières technologies
et conceptions tout en proposant une qualité et une fiabilité exceptionnelles.
En octobre 2018, Sharp Corporation a fait l'acquisition de 80,1 % de l'activité informatique de Toshiba et, à
compter du 1er avril 2019, cette activité portera dans le monde entier le nom de « dynabook ».
Notre marque est plus qu'un nom ou un logo : elle incarne notre culture et nos valeurs. Et grâce à nos équipes
compétentes, nos produits primés, notre obsession de la qualité, de la sécurité et de l'innovation, et l'accent
que nous mettons sur la confiance et l'établissement de relations de longue durée, ces valeurs fortes sont
présentes dans Dynabook France.
De la conception à la production
C'est dans le Dynabook Innovation Center de Hangzhou que tous nos PC Portables professionnels sont conçus,
développés, fabriqués et expédiés.
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La sécurité est une brique indispensable lorsque vous travaillez avec des informations sensibles. Vous avez
besoin d'un parc informatique qui vous protège, vous et vos clients, partout où vous travaillez. Les PC Portables
professionnels dynabook sont conçus selon des normes qui protègent même les données les plus précieuses.
Nous sommes le seul fabricant qui crée son propre BIOS ; afin que vous puissiez maintenir un accès et un
contrôle ultra-sécurisé. La connexion sécurisée multipoints comprend les mots de passe, les empreintes
digitales et les lecteurs de cartes à puces. Enfin, la solution Dynabook Mobile Zero Client, qui prend en charge
les principaux fournisseurs de VDI, tels Citrix et VMware, permet de démarrer rapidement et facilement, sans
avoir besoin de modifier votre infrastructure.
Cette durabilité ne se fait pas au détriment de la légèreté, de la finesse et de l'élégance que vous êtes en droit
d'attendre d'un modèle dynabook Toshiba. En fait, nous sommes tellement confiants dans la fiabilité de nos PC
Portables professionnels que nous offrons une garantie unique. C'est la Fiabilité Garantie. Dans le cas
improbable où votre PC Portable tombait en panne pendant la garantie, nous le réparerons et vous le
rembourserons.
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