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Encadré par :
Réalisé par : Pr. Ferdnd NDAYIKEZA
Mr. Abdillahi Osman
Guelleh
Année de Formation :
2023-2024
Résumé
Ce papier a pour objectif d’aborder et d’analyser les défis et les opportunités apportés par la
transformation numérique, notamment, pour les PME au niveau national. Sur le plan
méthodologique, nous avons adopté une approche qualitative exploratoire auprès des PME
marocaines. Les résultats de cette exploration mettent en évidence que les grands défis
auxquels sont confrontées les entreprises marocaines sont le capital humain, le financement
et l’accompagnement méthodologique.
Plan
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Introduction
La transformation digitale est aujourd’hui un impératif catégorique pour toute entreprise pour réussir
dans son marché, cette dernière constitue aussi un véritable levier de performance. En effet, la
digitalisation des entreprises est en marche, celle-ci n’est plus une option. Elle bouleverse les
méthodes de fonctionnement des entreprises. Elle pousse les entreprises à se réinventer à marche forcée
par un changement de paradigme imposé par les nouvelles technologies. Elle impacte les relations et
interactions au sein de leurs équipes, mais également dans leur rapport avec l’externe.
En outre, les capacités de traitement et d’analyse de l’information qu’elle offre cette
révolution ouvre de formidables opportunités dans les entreprises, et ce dans tous les domaines :
elles permettent de réduire les coûts, de créer un nouveau dialogue avec les clients, de rendre les
organisations plus efficaces. Les entreprises sont conscientes de l’existence de ces opportunités et
s’engagent dans un processus de transformation digitale (Dudézert, 2018). Cette dernière conduit à une
véritable transformation de l’organisation du travail : pas tant parce qu’elle permet de numériser tous
les processus de l’organisation, mais surtout parce qu’elle nécessite de reconstruire en profondeur pour
chaque entreprise un nouvel équilibre entre autonomie et contrôle des salariés.
Face à cette situation, la transformation digitale peut être considérée comme une source d'angoisse
pour un nombre de dirigeants des entreprises. Ceux-ci doivent expérimenter de nouvelles modalités de
travail qui allient partage d’expériences, travail d’équipe, forte collaboration avec les clients, créativité
et innovation. Autant de défis que le numérique peut aider à résoudre, si l’on sait saisir les
opportunités. D’où à travers ce travail, nous souhaiterons se focaliser sur le cas des PME et
répondre à la question suivante : Comment les dirigeants ou les responsables en entreprises
appréhendent-ils le Digital dans les PME marocaines ?
La perception des responsables des PME face aux possibilités apportées par la digitalisation sera
explorée à travers ce papier. Pour ce faire, nous avons adopté une approche qualitative exploratoire
auprès des PME marocaines. Les objectifs de l’étude consistent à comprendre les champs de définition
que revêt la transformation numérique dans les PME au Maroc et identifier les opportunités apportés
par cette révolution et les défis à lever pour poursuivre la transition numérique dans les PME. Notre
étude a été menée sous forme d’entretiens semi- directifs. Le recueil d’informations par les entretiens
semi-directifs permet de centrer le discours des personnes interrogées autour des thèmes définis
préalablement et consignés dans un guide d’entretien construit de manière uniforme Après avoir défini
le concept de la transformation digitale, ainsi que retracer l’état de l’art sur ses effets sur la stratégie de
l’entreprise. La seconde partie présentera la méthodologie utilisée pour adopter notre étude exploratoire.
Les résultats synthétisés et les contributions de cette recherche seront enfin discutés.
1. La transformation digitale : éclairage conceptuel
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1.2. Les composantes de la transformation numérique
différentes parties prenantes sur les traitements opérés pourrait constituer un capital immatériel
de première importance, encore insuffisamment valorisé par les marchés.
À l’instar du capital marque que les financiers intègrent aujourd’hui dans la valorisation des firmes, il
nous semble que, dans une économie de la connaissance les entreprises devraient être capables de
définir et de valoriser leur capital numérique. Une question primordiale nous semble donc être de
vérifier si l’on peut parler de capital numérique des entreprises et, le cas échéant, l’évaluer.
Alors que le secteur des media a été touché très tôt par la transformation numérique de biens culturels
pour lesquels les consommateurs eux-mêmes ont choisi de se transformer en éditeurs de musique et de
films (Poels, 2015) en s’appuyant sur des plateformes d’échanges électroniques, d’autres secteurs sont
encore à l’aube de grandes transformations, telle l’automobile ou la santé.
1.3.3. Enjeux humains
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L’évolution des compétences individuelles/ collectives
Une question clé pour l’entreprise du futur sera celle des compétences de ces collaborateurs. Dans
l’usine du futur, «le rôle de l’homme dans le triangle homme/machine/produit est appelé à se modifier
profondément ; les opérateurs seraient en effet équipés d’outils de réalité augmentée et
communicants pour interagir avec les autres membres de l’équipe, surveiller la chaîne de production et
repérer les incidents. Homme et machines sont ici profondément imbriqués. Les compétences sont
modifiées, le sens du métier évolue » (Jaujard, 2015). L’intégration de capteurs automatiques et
l’afflux de données massives sur les postes de travail au sein de la chaîne de production modifient les
rapports hommes/ machines et doit permettre un enrichissement des tâches et une montée en
compétence que les entreprises doivent anticiper et accompagner pour rester compétitives.
Le recours au numérique impacte à la fois les compétences individuelles et collectives dans l’ensemble
des organisations. Les compétences techniques, informationnelles, relationnelles et métacognitives
(TIRM) sont ainsi devenues incontournables dans un univers numérisé.
La transformation numérique semble dessiner de nouveaux métiers, souvent connus sous leur
dénomination anglaise : (Chief Data Officer ou Data scientists). « L’ensemble de ces nouveaux
métiers mériteraient d’être mieux identifiés et qualifiés, d’autant que les premiers constats indiquent
que les compétences de certains de ces nouveaux métiers proviennent d’un autre registre que celui de
leur prédécesseur » (Chaintreuil, 2015). Ainsi les compétences attendues d’un Chief Data Officer
relèvent moins de l’expertise informatique que de la compréhension fine des comportements
numériques des parties prenantes et de la capacité à conduire, dans les entreprises, le changement
nécessaire pour répondre de façon appropriée à leurs attentes.
2. La transformation numérique des entreprises
Dès l’apparition de l’informatique, les entreprises ont trouvé dans les technologies de l’information une
opportunité de l’organisation du travail. Dans beaucoup de domaines, les résultats de l’intégration de
l’informatique sont très bénéfiques aussi bien pour l’entreprise (accroissement de sa productivité).
L’informatisation en entreprise a également contribué au développement de l’apprentissage de
l’informatique par les individus. Les équipements étant très coûteux à leur début, les particuliers qui
avaient accès à ces technologies étaient rares. La prise en main de ces technologies dans la pratique de
travail a permis une découverte de l’usage des technologies de l’information. L’entreprise a été
l’institution qui a préconisé l’usage de ces technologies. Ce n’est plus le cas avec les technologies
digitales. Pour la première fois, des technologies sont accessibles aux individus massivement avant
qu’elles ne soient prises en main par l’entreprise. Si on observe les précédentes
disruptions technologiques (téléphone, fax, Internet, etc.), les entreprises ont été motrices (et
donc contrôleuses) de leur déploiement. Dans le cas des technologies digitales, le phénomène a été
inversé et les entreprises s’interrogent sur l’opportunité de déployer ce type de technologies pour
améliorer leurs pratiques de travail. L’entreprise courte désormais derrière les innovations et les
usages développés par ses salariés. Ces évolutions technologiques comme l’apprentissage progressif de
nouvelles pratiques de diffusion et gestion de l’information par les individus ont fait évoluer les
représentations qu’ont les entreprises de l’impact des technologies de l’information sur l’organisation.
2.2. La numérisation de l’entreprise
La Transformation numérique désigne toutes les actions mises en place par une entreprise pour intégrer
les technologies numériques (liées à Internet) dans ses activités (Hamon, 2015).
En d’autres termes, une entreprise numérisée n’est pas seulement :
Une entreprise qui a un site e-commerce, car la transformation numérique ne peut être réduite à un
support, à de la technique. Le changement est plus profond et concerne les modèles économiques de
l’entreprise, son approche du marché, sa relation client ;
Une entreprise qui investit dans des start-ups, car la transformation numérique n’est pas qu’externe,
elle est surtout interne. Elle concerne avant tout les processus et les mentalités ;
Une entreprise qui est présente sur les réseaux sociaux, car elle doit avant tout être à l’écoute de ses
clients, de ses fournisseurs, de ses collaborateurs, de toutes les parties prenantes.
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2.3. Ce qu’impose la numérisation d’une entreprise
L’économie numérique repose sur l’exploitation des données et plus particulièrement sur la valorisation
du travail gratuit fourni par les utilisateurs, « lesquels produisent une activité dont les externalités
positives vont, sous la forme de donnée, s’incorporer à la chaîne de production sans contrepartie
monétaire pour ces derniers, et à partir desquelles l’entreprise numérique créée sa chaîne de valeur »
(Fuchs et Fisher, 2015).
En outre, la gestion des données personnelles du client est désormais au cœur du quotidien de
l’entreprise. La sécurité et la confidentialité des données constituent, pour les entreprises, des
facilitateurs essentiels mais également des obstacles éventuels. Elles devront identifier les nouveaux
modèles de protection et garantie de la confidentialité capables de satisfaire leurs attentes et celles des
clients.
2.3.2. Une visibilité numérique
Elle s’exprime de moins en moins sur internet et de plus en plus sur les réseaux sociaux. La valeur
d’une entreprise ne se mesure plus avec le produit fabriqué ou le service rendu mais par la qualité du
logiciel, de la plateforme ou de l’application proposée. Une icône sur un maximum de smartphones est
devenue plus rentable qu’une boutique située sur le plus prestigieux des emplacements. « Mais, déjà, la
relation entre l’entreprise et ses clients se déplace d’internet vers les messageries et les réseaux sociaux
» (Belleguic et All, 2011). Aussi, les marques diversifient leur communication digitale et ont également
recours à des influenceurs, personnes actives sur les réseaux sociaux qui, par leur statut, leur position
ou leur exposition médiatique, sont capables d’influencer les habitudes de consommation.
2.3.3. Une nouvelle relation entre l’entreprise et le client
La révolution numérique a donné le pouvoir au consommateur qui n’est plus captif mais est devenu un
zappeur. Le client a désormais la possibilité d’interagir avec l’entreprise. « La communication est
devenue bilatérale et interactive, elle ne va plus que de l’entreprise vers le client, mais ce dernier a aussi
la possibilité de répondre, de réagir, de parler, d’exprimer un avis, une opinion ou une insatisfaction.
Par ses commentaires sur les réseaux sociaux, le consommateur devient à son tour prescripteur de
consommation » (Colin et All, 2015). Le consommateur veut des produits sur mesure. Il veut qu’on
produise pour lui, avec lui, il veut être un co-créateur, être écouté et que son avis soit pris en
considération. Il est devenu imprévisible, caméléon et à la recherche d’émotions et de nouvelles «
expériences ». Le nouveau consommateur exige, veut tout, tout de suite, qu’on lui parle, qu’on
l’informe, qu’on réponde à ses questions et qu’on le traite d’une manière personnalisée.
3. La transformation digitale des PME marocaines : étude empirique
3.1. Méthodologie
La méthodologie proposée dans cette recherche relève d’une démarche qualitative. Cette méthode
d’analyse favorise la recherche d’une information riche et étendue. En effet, la mise en œuvre d’une
étude qualitative permettant l'exploration en profondeur des phénomènes liés à la digitalisation, à
celle de la fonction et des stratégies d’adaptation pour y répondre, le recueil de l’information a été
établi par entretiens individuels semi-directifs.
3.1.1. Population de référence
L’échantillonnage dépend des objectifs de notre recherche et vise à constituer son corpus empirique.
La taille d’un échantillon de convenance dépend de critères reposant sur des impératifs liés à la
population ciblée, au contexte dans lequel on recueille les données, au temps disponible pour
l’enquête. En se référant à ces directifs, deux critères sont mis en évidence pour justifier notre
échantillon : la taille de l’échantillon et le contexte de l’étude. La question de la taille de l’échantillon
est de savoir à quel moment nous pouvons nous arrêter. Le nombre de cas étudiés s’arrêtera lorsqu’il
y aura saturation (Glaser Et Strauss, 2010). Cette saturation, dite sémantique, est atteinte lorsque les
nouveaux cas ne font que répéter ce qui a été dit par les autres.
Le choix des PME étudiées a été fait d’une manière non-arbitraire pour s’assurer que les cas d’études
retenus répondent à plusieurs critères. Ainsi que, le recours aux propriétaires dirigeants ou
responsables est considéré comme personnes sources d’informations pour comprendre la logique et la
tendance vis-à-vis le digital des PME étudiées. Cette méthode est préconisée par de nombreux
chercheurs pour sa finalité de collecte d’informations et validation des données recueillies.
Au total, 11 PME ont accepté de participer à l’enquête, leurs propriétaires dirigeants ont
témoigné leur intérêt à nous partager leurs expériences. Nous avons attribué aux différentes
unités d’analyse des codes afin de garantir l’anonymat des acteurs interrogés. Les noms codés
attribués aux entreprises ainsi que les informations qui en découlent figurent dans le tableau
suivant :
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Tableau N°1 : Caractéristiques des PME étudiées et des dirigeants interviewés
Nous avons opté pour des entretiens semi-directifs téléphoniques qui ont duré en moyenne (45
min) pour chaque cas. À travers les questions ouvertes, nous avons laissé les interviewés
s’exprimer librement afin d’en générer le maximum d’informations. Nous les avons guidés, de
temps en temps, une fois qu’ils débordent le sujet. De même, des questions de relance sont
posées, en reprenant les derniers mots de leurs réponses, pour s’assurer du sens qu’ils veulent
signifier.
Ce guide d’entretien est organisé autour de trois thèmes de recherche, qui sont :
enjeux.
Dans une étude qualitative, l’analyse des données « consiste à réduire les informations pour les
catégoriser, et les mettre en relation avant d’aboutir à une description, une explication ou une
configuration » (Wacheux, 1996).
Les informations recueillies sont mises en forme par écrit « verbatim » qui représente les
données brutes de notre enquête. La retranscription est faite manuellement pour repérer
fidèlement les propos des interviewés. Elle note mot à mot tout ce que dit l’interviewé, sans
En changer le texte, ni l’interpréter et sans abréviation afin d’en faciliter la lecture et en avoir une
trace fidèle.
Afin de traiter l’ensemble des entretiens réalisés, une analyse thématique de contenu a été
effectuée. Le croisement de l’analyse verticale (entretien par entretien) et de l’analyse
horizontale (thème par thème) nous a permis de mettre en évidence un certain nombre de
résultats. Dans une étude qualitative, l’analyse des données « consiste à réduire les
informations pour les catégoriser, et les mettre en relation avant d’aboutir à une description,
une explication ou une configuration » (Wacheux, 1996).
3.2. Résultats de l’étude qualitative
Trois grands thèmes sont mis en avant dans la présentation des résultats :
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3.2.2. Les opportunités de la transformation digitale
On note que la majorité des entreprises interrogées dans le cadre de cette étude ont déclaré que les
bénéfices de la transformation digitale pour eux sont nombreux, on cite dans ce cadre :
Améliorer la chaine de travail ;
Accéder à des places de marché globalisés et favorise l’exportation, notamment pour le secteur
agroalimentaire et du textile ;
Organisation du travail ;
Notre étude montre que la transition digitale pose un certain nombre d’enjeux majeurs pour les
entreprises questionnées à savoir le manque de compétences techniques digitales. La plupart
(9 répondants) des PME estiment que le défi humain fait partie des principaux défis à
affronter, ils insistent sur le développement de nouvelles compétences. Alors que les autres
estiment que les moyens financiers peuvent être un défi majeur.
Au sens large, le facteur humain pèse donc plus lourd que le manque de ressources
budgétaires. Un défi humain en termes de montée en compétence des ressources internes pour
pouvoir accompagner cette transformation. Le deuxième défi concerne le financement de cette
transformation, parce que cela induit un investissement. Certes, il y a un retour sur
investissement, mais pour la PME, il faut d’abord réussir à mobiliser les ressources.
On peut ajouter aussi que le manque de temps et de moyens, mais aussi un souci de
confidentialité et un manque de confiance, la complexité du processus et la méconnaissance
des possibilités existantes constitue également des autres obstacles à mentionner.
Le travail réuni, d’une manière exploratoire, trois dimensions importantes à savoir, la
perception des dirigeants et responsables des PME marocaines, défis et enjeux liés à la
transformation digitale. Les constats sur l’impact de la transformation digitale sur les
pratiques des entreprises sont largement partagés par des travaux de recherche. On cite dans ce
cadre les travaux de Dudézert (2018) qui met l’accent, autre que les défis financiers et
humains, sur le débat présente entre ceux qui considèrent que la digitalisation est un outil au
service de la suppression de l’emploi et ceux qui estiment que c’est un outil libérateur,
permettant au salarié de se consacrer plus efficacement à sa tâche.
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Conclusion
L’analyse du niveau moyen de la maturité numérique indique que les différents responsables,
perçoivent le potentiel du numérique comme facteur de développement des entreprises. Mais
Il y a encore peu d’investissement dans le numérique et la mise en place d’une véritable
stratégie digitale. Le constat principal de l’étude c’est que les priorités des entreprises en
termes de numériques restent assez basiques et orientées sur une vision traditionnelle de la
fonction informatique.
La question de l’accompagnement de ces entreprises est ainsi clairement identifiée comme un
défi à relever afin de les aider à passer le pas et engager une démarche de digitalisation. Avec
ce challenge, celui de la disponibilité des ressources qualifiées ou de la montée en
compétences en la matière est également souvent problématique. Il est donc essentiel pour la
PME de s’entourer de professionnels qui sauront l’accompagner dans cette voie bénéfique,
voire indispensable, pour son développement. Le développement de filières dédiées à
l’innovation et à la robotisation des processus de production et de fonctionnement permettra
aux entreprises marocaines de se procurer un avantage concurrentiel, et par conséquent
d’assurer leur pérennité et expansion dans des marchés virtuels à fort potentiel de croissance.
Au regard de l’importance de ces éléments, cette étude nous a conduit à identifier quelques
recommandations, de nature et d’importance variées, qui peuvent contribuer à accélérer et
réussir la transformation numérique de nos entreprises :
Renforcer l’accompagnement les PME marocaines vis-à-vis de la transformation digitale ;
Lancer une consultation des branches pour mesurer leurs besoins en formation ;
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