CHAPITRE 1 :
L’informatique dans les entreprises ainsi que l’héritage ont commencé à s’évoluer
pour qu’ils deviennent plus complexes.
Chaque entreprises a des ressources qui doit les développer à travers des
nouveau services informatiques ; des moyens techniques ou des solutions
logicielles pour répondre à ses besoins. Parmi ses moyens techniques on trouve
le service web : est une technologie permettant à des applications de dialoguer à
distance via internet afin de communiquer, y’a d’autre entreprises qui ne cherche
pas de se développer extrêmement spécifiques mais de s’étoffer car l’offre de
progiciels se diversifie par la concurrence entre acteurs commerciaux. Et si on
veut bien définir c’est quoi un progiciel ; un progiciel est un programme a
plusieurs utilisations qui nous pose dans une situation d’embarras du choix entre
progiciels sous licence, open source et à la demande.
Les PME/PMI ont un héritage à gérer en système d’information .leur survie dans
un environnement concurrentiel, ou le succès d’une reprise peuvent dépendre de
la bonne gestion, les PME françaises considèrent leur système informatique
comme une partie intégrante du pilotage de leur entreprise, par contre y’a des
PME qui n’ont pas de responsabilité désignée pour le système d’information, ils
n’ont ni la maturité en système informatique ni les moyens financières ou
humains pour investir.
CHAPIRE 2 :
La connexion internet devient la clé vers ce monde plus ouvert que plat. De
même, la collaboration et l’échange intermétier et intergéographie au sein d’une
même entreprise peuvent bénéficier d’application collaboratives, conduisant à
des réductions d’allers-retours ou de déplacements et, donc, de réductions des
couts mais cette vision du système d’information le cantonne encore
essentiellement à un rôle de support.
Dans la relation commerciale sur internet, le système d’information est la clé des
échanges de l’entreprise avec ses clients ou aves ses partenaires.
Il vaut mieux de voir la DSI comme une collégiale des compétences guidée par
une approche matricielle au lieu d’une autre hiérarchique c'est-à-dire une DSI
avec des responsables ,innovateurs , architectes, techniciens, autrement dit
piloter d’une manière commune et éviter les grades et générer les compétences
afin d’avoir une agilité. Au delà, il faut recruter davantage des profils existants
ainsi que d’apporter un avantage concurrentiel dans la relation client ou la
gestion de la chaine logistique .
2éme : organisation par division verticale entités client a des liens fort entre les
métiers et les opérations bout en bout chaque ligne métier mais sa
standardisation est compliqué
3eme : organisation matricielle applicative a des liens entre les fonctions et les
métiers mais sa faiblesse c’est la complexité
CHAPITRE 5 :
On sait déjà que la DSI aide à diminuer les coûts ainsi d’investir de plus
puisqu’elle dispose d’une marge de manœuvre étroite. Certes, la marge de
manœuvre dépend de sa capacité de rendre le SI lisible donc il se trouve face à
nombreux défis
Le 1er il faut que le SI soit intelligible c'est-à-dire pour optimiser les coûts
récurrents il faut que la méconnaissance soit structurelle puisqu’elle est due à un
système de construction de SI.
Le 2ème il faut maîtriser les coûts et le budget car les coûts sont mal gérer vu
qu’ils ne sont pas du tout liées aux SI du coup ils n’ont pas de visibilité iciil faut
bien les conaître afin qu’ils aient un sens
Le 3ème il faut avoir une optimisation de relation avec les autres directions à
travers l’évolution de pilotage des SI qui ont la clé des services fournis mais ce
n’est pas facile car il faut faire le dialogue au bon moments entre les parties
prenantes
Le 4ème c’est le fait d’avoir une efficacité des ressources car la gestion c’est
difficile, le manque de sponsoring de la DG risque d’avoir une insuffisance
d’implication des utilisateurs aux moments appropriés ainsi qu’il faut suivre les
coûts globaux
Bref, qui dit gérer les projets infos dis amélioration des moyens de la DSI
Dans ce chapitre l’auteur a mis l’accent sur le ROI ,ses mesures et l’analyse de la
valeur .
Dans un second lieu l’auteur revient pour donner une analyse plus profonde sur
la valeur qui est une approche de pensée non une méthode. Le principe de
cette analyse a un champ d’application très vaste elle est basée sur la
gouvernance de l’entreprise, l’analyse fonctionnelle, la conception d’un produit et
la conduite du changement.
Il faut identifier la meilleure stratégie pour couvrir a la fois des besoins court
terme et des besoins métiers long terme pour augmenter la valeur des biens
logiciels de l’entreprise.
Une autre fois l’auteur met l’accent sur les solutions de modernisation qui sont
des approches pour des besoins ponctuels très, spécifiques, d’entreprise en
difficulté avec une application couteuse difficile a faire évoluer .c’est pour cela on
fait appel aux solutions qui s’effectuent dans le second cas on dit que c’est une
approche tactique.
Du point de vue de l’auteur avant de faire une croix sur un existant il faut
impérativement étudier la couverture des besoins qu’il propose .une étude bien
documenté de l’existant est donc un préalable indispensable a tout projet de
refonte.
D’une part il faut réutiliser des services de surface car la réutilisation est souvent
le choix de la raison.
Et d’autre part l’application est vue comme une boite noire et ce qui expose en
services web reste limité aux entres et sorties. En revanche un découpage de la
logique métier avait lieu au sein de l’application et non a ses interfaces d’entrées
et sorties.
Et pour conclure cette partie l’auteur pose une question « quelle solution
privilégier ? » à travers laquelle il va entamer l’analyse de la valeur comme une
clé du choix cette analyse qui la considère comme un point fort pour moderniser
le patrimoine afin de l’exploiter au mieux et choisir des solutions de patrimoine et
puis il passe a l’analyse patrimoine que l’auteur tente de l’analyser en tenant
compte les phases de la rénovation progressive .
CHAPITRE 9 :
Afin d’éviter des milliards de codes ou des données non maitrisables, il faut
reprendre le contrôle de biens logiciels.
La démarche d'urbanisation du SI (Système d'Information) consiste dans un
premier temps à étudier les différents secteurs fonctionnels d'une entreprise
(production, administration, ventes, etc.), afin d'être en mesure d'en réaliser une
cartographie, puis d'étudier de la même manière son système d'information.
Le terme « urbanisation » est utilisé par analogie avec les travaux d'architecture
et d'urbanisme dans une ville en comparant une entreprise avec une ville et ses
différents quartiers, zones et blocs.
L'objectif d'une démarche d'urbanisation est donc d'aboutir à une structuration
du système d'information permettant d'en améliorer ses performances et son
évolutivité. Elle permet ainsi de donner les moyens à l'entreprise de faire évoluer
son système d'information en connaissance de cause.
D’un autre côté, pour faire évoluer les SI il faut analyser la différence entre
l’architecture existante, les fonctions opérationnelles et les nouveaux besoins, ce
qu’on peut réutiliser et comment évoluer progressivement vers un cadre
architectural souple pour amortir et intégrer les bénéfices des nouvelles
technologie et répondre aux besoins métier.
L’accès au site web se fait à travers différents rôles métier. Chacun de ces rôles
permet l’accès à un ou plusieurs niveaux d’architecture, communément
appelés modules. Pour les besoins actuels l’auteur définis les rôles suivants :
Plusieurs autres rôles sont disponibles, paramétrables selon les besoins. Aussi,
un utilisateur peut avoir un ou plusieurs rôles associés à son compte, mais ne
peut se connecter qu’avec un seul d’entre eux à la fois.
Et pour clôturer ce chapitre, l’auteur fait appel aux référentiels. Ainsi qu’évoqué
précédemment les référentiels sont de multiples natures
ITIL est parti d’études comparatives sur ce qui fonctionne bien et moins bien
dans les activités opérationnelles de l’informatique.
Ce qui est frappant dans la dernière version de chacun des référentiels cités dans
l’ouvrage, c’est qu’ils se présentent tous comme le référentiel ultime qui se place
au dessus de la mêlée des autres et qui les intègre tous.
Rien de plus normal car chaque référentiel évolue en partant de son origine et
englobe de plus en plus tout ce qu’il faut faire dans une organisation
informatique. Tous les référentiels matures du marché parlent plus ou moins de
la même chose, mais avec des approches différentes. Dans le meilleur des
mondes, d’ici quelques années, nous assisterions à une fusion de tous ces
référentiels de bonnes pratiques.
CHAPITRE 10 :
Lorsqu’on parle des grands principes d’un projet, qu’il soit lié à l’informatique ou
pas, on cite souvent le triptyque coût – délai – Qualité comme étant les 3 axes
qu’il faut savoir maîtriser pour mener son projet à bien. Ceci étant, dans un
projet, il est rare qu’un des trois axes n’ait pas de contraintes fortes qui
empêchent de le faire varier. Et, quand ce sont les trois axes qui ont des
contraintes fortes, la gestion du projet devient souvent pluscomplexe.
Pour son analyse, l’auteur opte pour une nouvelle approchela roue de Demingou
la méthode PDCA. Pour que cette dernière soit bénéfique, il ne faut jamais
revenir en arrière.
CHAPITRE 11 :
Cependant, les courbes de tendance sont idéales pour présenter des tendances
sur une période définie, en informatique savoir innover à bon escient c’est savoir
domestiquer les montagnes russes du hyper cycle c'est-à-dire courbe des
tendances du Gartner.
Le savoir-faire est définit comme une habileté à mettre en œuvre son expérience
et ses connaissances acquises dans un art ou un métier quelconque. Cette
combinaison de deux infinitifs, Savoir et Faire, allie la connaissance et l’action, et
relève de l’expérience du terrain. Le savoir-faire constitue un véritable actif pour
chaque entreprise
n’est donc pas censée porter sur la personne, mais sur la capacité d’un individu à
savoir-être est issue de la pratique sociale et revêt des sens différents selon les
acteurs, les institutions mais aussi selon le public auquel elle s’adresse. Cette
notion est utilisée indifféremment comme équivalent à des « compétences
l’entreprise. Lorsque le savoir, qui peut se résumer dans certains cas à un savoir
charge d’expérience et se traduit alors par l’apparition du savoir-faire qui lui est