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Institut Maghrébien Des Sciences économiques ET de

Technologies

Rapport de stage :

INFOLIB PRODWARE

RÉALISÉ PAR : SENDA BELAID


ENCADRÉ PAR : KARIM BOUIDA

Année universitaire : 2021 - 2022


Sommaire
Introduction.................................................................................................................................2
1. Présentation générale d’un ERP..............................................................................................3
a. Définition et types de l’ERP :..............................................................................................3
b. Caractéristiques majeures d’un ERP...................................................................................3
c. Domaines d’application de l’ERP dans la gestion..............................................................4
d. Environnement de travail d’un ERP....................................................................................4
2. Intérêt de la mise en place de l’ERP au sein d’une entreprise................................................5
a. Avantages de l’ERP.............................................................................................................5
b. Phases d’implémentation du projet ERP.............................................................................6
c. Budgétisation de l’ERP.......................................................................................................7
d. Limites de l’ERP.................................................................................................................8
3/ ETUDE DE LA SOLUTION ERP DIVALTO
A/ CONFIGURATION
B/ DESCRIPTION FONCTIONNELLE
C/ GESTION DES SPECIFICITES
Conclusion
REMERCIEMENT :

A terme du ce travail, Je tiens à exprimer mes vifs


remerciements et ma gratitude à mon encadrant Bouida
Karim et pour son encadrement et ses conseils durant mon
stage, pour sa confiance et les connaissances qu’il a su
partager avec moi. Mon expérience a été très précieuse et
j'ai acquis beaucoup de connaissances sur les principes du
travail dans la société. J'ai aimé travailler et collaborer
avec maitre de stage très compétent. J'aimerais également
que toutes les personnes qui ont travaillé avec moi, avec
leur patience et leur ouverture d'esprit, aient créé un
environnement de travail agréable.
Je veux aussi exprimer mes remerciements à tous les
professeurs et aux cadres administratifs de ma faculté. Un
grand merci à toute ma famille et spécialement à ma mère
et ma sœur, qui me réservent toujours compréhension,
tendresse et amour et pour leurs conseils ainsi que leur
soutien, à la fois moral et économique.

SENDA
Introduction

Dans les années 70, les besoins croissants des entreprises ont conduit à l’introduction de
l’outil informatique. Ce privilège était réservé aux grandes structures, et profité aussi bien aux
banques qu’aux structures administratives. Chose qui a laissé place à l’informatisation du
traitement des données.

Les transformations se poursuivirent au cours des années 80 et 90 avec la possibilité


désormais de transférer les données numériques. A cela s’ajoute la naissance de plusieurs
systèmes informatiques utilisés aujourd’hui et l’apparition et la démocratisation d’internet, qui
a donné lieu à une évolution remarquable de l’informatique de gestion.

Actuellement, la création de base de données très importante est devenue « monnaie courante
», de même pour l’externalisation des données en vue de les protéger. Cette innovation a
permis de renforcer la crédibilité de l’informatique de gestion, perçu désormais comme un
outil performant est couramment utilisé au sein des entreprises, et ce quelque soit leur taille.

L’informatique de gestion correspond à un ensemble de tâches effectuées dans le cadre d’une


entreprise, et se rapportant à la collecte, l’organisation et la vérification des données.

L’informatisation de ces tâches autrefois effectuées à la main a permis aux professionnels


d’accéder plus facilement aux bases de données, d’être plus productifs et de gagner davantage
de temps. Désormais l’informatique de gestion devient un outil indispensable au sein de tout
entreprise.

En termes d’outils, l’informatique en englobe un certain nombre, entre autre, les tableurs
destinés à gérer les bases de donnés simples ou encore les systèmes de gestion de bases de
données relationnelles (SGBDR) destinés à gérer les bases de données plus complexe. Les
logiciels de gestion de projets, qui permettent d’assurer une planification des activités, tâches
et des ressources.

Toutefois, concernant les outils au service de l’informatique de gestion, il nous a semblé


judicieux de focaliser notre recherche sur le principal outil qu’est l’ « Enterprise Ressource
Planning », plus communément appelé l’ERP.

De cette manière, et après avoir brièvement introduit l’informatique de gestion, nous


aborderons à présent l’ERP de façon plus détaillé en commençant pas une brève présentation
de son utilisation, son domaine d’application et son environnement pour ensuite traiter dans
une seconde partie ses avantages, le budget qui lui est consacré et les inconvénients qui en
découlent .
1. Présentation générale d’un ERP

a. Définition et types de l’ERP :

L’ERP est une abréviation de l’expression anglaise « Enterprise Resource Planning » qui
signifie « Planification des ressources de l'entreprise». On utilise parfois la dénomination
francophone associée PGI : « Progiciel de gestion intégré ».
Quel que soit la terminologie employée, un ERP se définit principalement comme un Outil
informatisé qui permet de gérer et suivre au quotidien, l’ensemble des informations et des
services opérationnels d’une entreprise. Véritable pilier de l’entreprise, le progiciel de gestion
intégré apporte une vision globale de l’ensemble des activités au travers d’indicateurs
pertinents et facilite la prise de décision sur la base d’informations réelles et fiables.

Généralement, les ERP se répartissent en deux catégories assez distinctes : les ERP
propriétaires et les ERP Open Source. La première catégorie d’ERP est éditée par des sociétés
qui exigent l'achat d'une licence. On distingue notamment SAP, People soft, BAAN,
Extensivity (ex-GEAC), SSA, CEGID, JD EDWARDS, QUALIAC, DIVALTO, GENERIX,
oracle etSAGE.
Les ERP Open Source quant à eux sont relayés par des partenaires (SSII, cabinets de Conseil)
pour le support. Contrairement aux ERP propriétaires, les coûts de licence sont inexistants ce
qui rend l’implémentation de ce deuxième type d’ERP beaucoup moins cher. En revanche, les
frais de maintenance et d'assistance technique sont à considérés. On parle dans ce cadre de
OpenBravo, Aria, ERP5…..
b. Caractéristiques majeures d’un ERP

Quel que soit son type, un ERP doit remplir un certain nombre de caractéristiques :
 Il émane d’un concepteur unique : l’ERP vise à unifier le système d’information d’une
entreprise en intégrant les différentes composantes fonctionnelles autour d’une base de
données unique. Il garantit donc une certaine unicité des informations qu’il contient
puisqu’il n’a qu’une seule base de données au sens logique.

 Il peut couvrir l’ensemble du Système d’Information de l’entreprise (sauf si


l’entreprise ne choisit dans un premier temps d’implémenter que certains modules de
l'ERP).

 Il garantit également la piste d’audit puisqu’il est facile de repérer et d’analyser


l’origine de chaque information.

 En cas d’impact d’un module, l’information est mise à jour en temps réel dans
l’ensemble des autres modules associés : l’ERP fonctionne selon un principe
majeur,celui de la centralisation de la base de données de l’entreprise .Ainsi, le fait
d’entrer ou de modifier une donnée dans l’un ou l’autre des modules (gestion des
ventes, des stocks, de la production, etc.) impacte tous les autres modules : la base de
données est mise à jour et applique la modification à toute l’entreprise.
c. Domaines d’application de l’ERP dans la gestion
Afin d’accomplir sa mission d’unification du système d'Informationde l’entreprise, l’ERP
couvre un large périmètre de gestion : la gestion des achats, la gestion des ventes, la gestion
comptable : comptabilité client, fournisseur, immobilisations, personnel, le contrôle de
gestion, la gestion de production (planification, ...) la gestion des stocks (logistique)…. Un
ERP est subdivisé en modules, répondant chacun à un des domaines de gestion listés ci-
dessus. On dit aussi que l’ERP est constitué de modules fonctionnels, chacun couvrant un
périmètre de gestion de l’entreprise. Exemple : La saisie d'une vente génère automatiquement
une écriture comptable en partie double dans le journal des ventes avec calcul automatique de
la TVA collectée. Le grand livre et le compte de résultat sont automatiquement impactés.

d. Environnement de travail d’un ERP 


Un ERP couvre généralement trois environnements de travail :
 Un « environnement de développement » qui permet d’adapter le
progiciel standard à des besoins spécifiques de l’entreprise.

 Un « environnement de test » appelé également environnement de recette qui permet


de réaliser des simulations. Ces simulations permettent de tester de nouveaux
paramétrages et de vérifier le fonctionnement correct du progiciel par rapport à un
processus de gestion donné (une vente, un achat, une sortie de stock, …) .

 Un « environnement de production » qui correspond au progiciel


utilisé par les gestionnaires de l’entreprise au quotidien.

2. Intérêt de la mise en place de l’ERP au sein d’une entreprise :

a. Avantages de l’ERP

Afin de comprendre et d’identifier les avantages que procure l’ERP, il est nécessaire de
décrire les faits qui ont précédé sa mise en place. De cette manière on sera plus en mesure de
saisir ses apports.

Ainsi, avant l’introduction de l’ERP, chaque service disposait de son propre système
d’information, chose qui avait tendance à limiter la performance de l’entreprise dans la
mesure où cette individualité des systèmes d’information donnait lieu à une saisie identique
des données sur chaque système d’information distinct. Dans le meilleur des cas l’entreprise
répondait à cette contrainte en développant des interfaces informatiques entre ses différents
systèmes d’information.

Il en a résulté une élévation du nombre d’erreurs et d’incohérences entre les différents


systèmes d’information. Et, quand bien même l’entreprise venait à développer des interfaces
informatiques entre les systèmes d’informations, il a été constaté que le décalage au niveau
des mises à jour laisser place à une déperdition des données sans oublier les erreurs humaines
dû, par exemple, au transfert d’un mauvais fichier.

Face à cela l’entreprise se retrouve dans l’obligation d’embaucher des contrôleurs de gestion
afin procéder à l’analyser et à la correction de ces incohérences
Cette alternative ne s’avère pas être rentable puisqu’un tel travail coûte cher à l’entreprise
d’où l’option d’implémenter un ERP.
Par conséquent, en optant pour ce choix, l’entreprise a considérablement réduit ses dépenses
avec en contrepartie un renforcement de sa performance et de sa productivité.
L’ERP, en plus d’être un outil multilingues et multidevises, a en effet permis de supprimer la
production d’informations redondante entre les différents systèmes d’information.

D’autre part, son intervention a considérablement réduit les conflits entre les services dans la
mesure ou l’information est à présent uniforme en ce sens ou sa diffusion est la même au
niveau de l’ensemble des services. Ce deuxième apport à favoriser la coordination entre les
différents services permettant ainsi un meilleur suivi du processus « commande » et une
meilleure maîtrise des stocks.

En définitive, en matière de gestion des ressources humaines, l’ERP a également permis une
normalisation de ce département, chose qui a été en faveur d’une multitude d’entreprise et
tout particulièrement pour celles qui gèrent de nombreuses entités, parfois géographiquement
dispersées.

b. Phases d’implémentation du projet ERP

En ayant opté pour l’introduction d’un projet ERP, l’entreprise se doit de respecter un certain
cheminement obligatoire que sont les phases d’implémentation de ce projet.
La complexité de l’ERP réside en effet dans cette démarche puisque son
implémentation passe par cinq phases clé et chacune d’elle fait appel à des compétences
spécifiques.

La première phase du processus consiste en une étude préalable. Il s’agit d’un diagnostic
primaire qui conduit à une formalisation des règles de gestion voire une révision de ces règles
ou encore une formalisation des spécifications fonctionnelles. Cette première phase requiert
une bonne maîtrise de la chose afin de donner lieu à expertise de qualité, ce qui explique le
fait que cette mission est généralement déléguée à des consultants fonctionnels extérieurs
travaillant en étroite collaboration avec les employés du métier concerné.

La seconde phase de développement et de paramétrage est moins technique, est repose


particulièrement sur la rédaction d’un cahier de paramétrage. Ce document n’est pas un
document de spécification mais le cahier de charge d’un progiciel exprime de façon détaillé
les besoins métiers et fonctionnels en définissant ce qui est attendu.

Après cela, on passe a la phase de préparation et de réalisation des tests qui comme son nom
l’indique va permettre à toute entreprise de procéder à une vérification de tout ce qui a été
entrepris préalablement. Viens ensuite la formation et l’accompagnement des utilisateurs.
Rappelons ainsi que la meilleure manière d’intégrer le changement est l’initiation à celui ci.
Tel est le but recherché au niveau de cette phase d’implémentation.

Enfin, il est temps de basculer définitivement en opérant le changement en modifiant l’ancien


système par le nouveau.

Tout compte fait, la réalisation d’un ERP n’est pas un projet irréaliste. Son succès réside avant
tout dans l’état d’esprit, et la volonté de maximiser l’investissement de ce logiciel de manière
à ce que cela joue en votre faveur.
c. Budgétisation de l’ERP

Les Directions des Systèmes d'Information sont tenues de justifier leurs dépenses et de limiter
les coûts du système d'information. Or, l’implémentation d’un ERP implique un effort
financier important au sein de l’entreprise, tant au niveau de l’achat et la mise en place, qu’au
niveau du fonctionnement. Ainsi, il faut non seulement acheter la licence du logiciel, mais
également les services pour paramétrer l'outil, sans pour autant oublier de faire évoluer son
architecture-système et enfin, il faudra prévoir également les frais de maintenance. Par
ailleurs, l’importance du budget dépend principalement du nombre des futurs utilisateurs et du
nombre de modules que l’entreprise souhaite mettre en place.

En effet, les éléments qui rentrent dans le calcul du coût d’un projet ERP sont
nombreux. Ceux-ci peuvent être résumés comme suit :

 Le coût des infrastructures et du matériel nécessaire à son exploitation à titre


d’exemple les serveurs (Systèmes similaires à un ordinateur où sont stocké l'ensemble des
informations à mettre à la disposition des utilisateurs des différents modules ERP), les postes
de travail, les périphériques, les réseaux, les salles spécifiques… ;

 Le coût des licences du progiciel qui repose principalement sur l’identification le


nombre d’utilisateurs finaux ;

 Les coûts liés aux ressources humaines externes et internes. En effet, la charge de
travail supplémentaire engendrée par un projet ERP devient implique à la fois les
employés internes de l’entreprise et des consultants fonctionnels et techniques
externes .
 Le coût d’intégration qui correspond à toutes les étapes de mise en oeuvre : sélection,
nettoyage et reprises des données, interfaçages, développements spécifiques,
formation des utilisateurs, définition des nouvelles procédures et de l’organisation
associée… ;

 Le coût de la maintenance qui repose principalement de la mise à jour et de


l’installation des nouvelles versions.

Toutefois, le budget accordé à l’URP peut être décomposé selon les phases de son
installation, en accordant à chaque phase des suivantes un budget à part entière.

 Etudes préalables et détaillées comprenant la formalisation des règles de gestion et


description du besoin fonctionnel sous forme de cahier des charges, ainsi que la
description des interfaces ;

 Phase de développements et paramétrages ;


 Préparation et réalisation des tests ;
 Formation des utilisateurs finaux (« end users ») ;
 Bascule de l’ancien au nouveau système et le contrôle de la reprise correcte des
données.
d. Limites de l’ERP
Mettre en place un projet ERP au sein de l’entreprise nécessite une étude préalable sur ses
limites aussi bien que ses avantages. Les principales difficultés rencontrées lors de la mise en
place d’un projet ERP sont :
 La mise en oeuvre du projet peut s'avérer longue et complexe surtout si le projet est
mal piloté ou si le périmètre fonctionnel est mal déterminé ou trop mouvant ;

 L’efficacité du projet dépend impérativement de l’adaptation du périmètre


fonctionnel au besoin réel de l’organisation, lorsque le progiciel est surdimensionné et plus
large que les besoins effectifs de l’organisation, ou au contraire, lorsqu’il est sous
dimensionné et se montre incapable de couvrir l'ensemble des besoins avérés ;

 La nécessité d'une bonne connaissance et de la remise en cause des processus


dl'entreprise ;

 Le progiciel ne s’adapte pas forcément aux besoins de l'organisation. Au


contraire,,c’est à l’entreprise de se l’approprier et de s’adapter à ses spécificités, chose
qui rend son utilisation extrêmement difficile ;

 L’implication de l’ensemble du personnel dans la mise en place du projet, ce qui


entraine une perte de temps ;

 Certains modules de l’ERP peuvent être moins performants qu’un développement


spécifique interne ou un logiciel spécialisé ;

 Le coût engendré par le projet est élevé, et peut rapidement monter en fonction de
l’industrie et de la complexité du projet.

3.Etude de la solution DIVALTO :


Generalitès :
Mots clés :

 Un dossier = l’entreprise = 1 bilan comptable


 Un article est l’objet corporel ou incorporel
Il peut être vendu, acheté et/ou fabriqué
 Les tiers sont les prospects, clients et fournisseurs de l’entreprise, les autres tiers (tiers
internes,banques,administrations,…)et les commerciaux.
Ce sont des données utilisées dans tout l’ERP.
 Le mot pièce regroupe les devis, commandes, BL et factures.
 Le tarif de vente correspond à la gestion du prix de vente brut d’un article.
 Les remises peuvent s’appliquer sur ce tarif.

Notion de structure :

Notion de tiers :
 Les tiers se distinguent selon leur type.
 Le type prospect est une version light du client utilisable pour faire des devis de vente
ou suivre des projets.
 Dans le meilleur des cas le prospect devient client.
 Le commercial est rattaché au client et au prospect.
 Le fournisseur est le pendant du client en ce qui concerne les achats.
 Le dépôt est un exemple d’ « Autres tiers » qui pourra participer aux flux de
marchandises.
Conclusion

Plus qu’un simple logiciel, un ERP constitue un véritable projet stratégique demandant une
intégration totale d’un outil logiciel au sein d’une organisation spécifique. Celui-ci s’avère
d’une grande importance pour le développement de l’entreprise. Ainsi, sa mise en place dans
l’entreprise entraine des changements importants des habitudes de travail d’une grande partie
des employés et requiert l’implication de l’ensemble de l’organisation. Raison pour laquelle
l’adoption de cette solution doit être mûrement réfléchie en amont. De plus, le temps et les
moyens, tant financiers qu’humains, à accorder au projet ne sont pas à sousestimer pour sa
réussite.

En effet, cela dépend principalement de la taille et de l’activité de l’entreprise. Les logiciels


ERP sont particulièrement appréciés des entreprises qui veulent intégrer, maîtriser et
optimiser leur processus, gagner en productivité et améliorer leurs relations clients et
fournisseurs. Par ailleurs, les ERP contiennent des fonctions standards qui s’adaptent aux
principales activités de gestion des entreprises (achats, ventes, logistique,…).

Cependant, chaque entreprise a ses propres caractéristiques, et les ERP peuvent ne pas
s’adapter en standard aux spécificités de chaque entreprise.

Ainsi deux solutions peuvent être envisagées. La première est de réaliser des développements
spécifiques, relatifs aux exigences de l’entreprise toutefois cette première tentative s’avère
souvent coûteuse et techniquement risquée car susceptible d’impacter tous les modules du
logiciel. La deuxième quant à elle, consiste à réviser les règles de gestion spécifiques à
l’entreprise pour les adapter au progiciel. Cette démarche implique une analyse préalable des
processus et une réflexion à mener par la maîtrise d’ouvrage puis une bonne conduite du
changement, lors de la mise en place du progiciel.

En effet, les employés doivent être préparés à voir la nature de leur travail évoluer, à adopter
de nouvelles règles de gestion
et à abandonner les anciens logiciels qu’ils utilisaient.

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