LES DIX ARTICLES DE LA LOI SCOUT:

 Le Scout met son honneur à mérite et confiance.

 Le Scout est loyal à son pays, ses parents, ses chefs et ses
subordonnés.
 Le Scout est fait pour servir et sauver son prochain.
 Le Scout est l'ami de tous et le frère de tout autre scout.
 Le Scout est courtois et chevaleresque.
 Le Scout voit dans la nature l’œuvre de Dieu, il aime les
plantes et les animaux.
 Le Scout obéit sans réplique et ne fait rien à moitié.
 Le Scout est maître de soi : il sourit et chante dans les
difficultés.
 Le Scout est économe et prend soin du bien d'autrui.
 Le Scout est pur dans ses pensées, ses paroles et ses
actes.
 LES PRINCIPES DU SCOUT :
Les trois principes Sont :
1. Le scout est fier de sa foi et lui soumet toute sa vie.
2. Le scout est fils de son pays et bon citoyen.
3. Le devoir du scout commence à la maison.
 Prière scout
Seigneur Jésus,
Apprenez-nous à être généreux,
A Vous servir comme Vous le méritez
A donner sans compter,
A combattre sans se soucier des blessures,
A travailler sans chercher le repos,
A nous dépenser, sans attendre d'autre récompense,
que celle de savoir que nous faisons Votre Sainte
Volonté.

Prière route
SEIGNEUR JÉSUS GARDEZ NOS CŒURS PURS ET NOS ÂMES
CURIEUSES DONNEZ NOUS DE VOUS SERVIR AVEC PASSION ET
DE RAYONNER DE VOS JOIE RENDEZ NOUS FRÈRES NOUS QUI
FAISONS ROUTE ENSEMBLE POUR ENSEMBLE NOUS TROUVER
AMEN
LA CHARTE DES ROUTIERS

Chaque Routier,
-Respecte et entretient son corps et connaît ses limites
-Développe des compétences pour être autonome
-Fait des choix exigeants et va au bout de ses
engagements
-Reste volontaire pour le service
-Être solidaire et attentif aux autres
-Vit sa Foi et annonce l’Evangile
-Fait preuve d’ouverture d’esprit
-Est conscient de ce qu’impliquent ses actes et les
assume
-Protège son environnement et veille à son équilibre.
*ANGÉLUS* 🔔
*V* : _L'Ange du Seigneur apporta l'annonces à Marie,_

*R* : _Et Elle conçut du Saint Esprit._

🙏🏾 *JE VOUS SALUE MARIE .....* 🙏🏾

*V* : _Voici la servante du Seigneur,_

*R* : _Qu'il me soit fait selon ta parole._

🙏🏾 *JE VOUS SALUE MARIE ....* 🙏🏾

*V* : _Et le verbe s'est fait chair,_

*R* : _Et Il habita parmi nous._

🙏🏾 *JE VOUS SALUE MARIE ....* 🙏🏾

*V* : _Priez pour nous Sainte Mère de Dieu_ ,

*R* : _Afin que nous soyons dignes des promesses du

Christ_ .

🙏🏾 *PRIONS* 🙏🏾
*Daigne Seigneur répandre Ta grâce dans nos âmes, afin
qu'ayant connue par la voix de L'Ange, l'incarnation de
Ton Fils bien aimé, nous arrivions par sa passion et par sa
croix jusqu'à la gloire de la résurrection.* Par Jesus le
Christ notre Seigneur.
❤ *Coeur Sacré de Jésus,* ❤
_Ayez pitié de nous._

❤ *Coeur Immaculé et douloureux de Marie,* ❤

_Priez pour nous._

*Saint Joseph,*
_Priez pour nous_ 🙏🏾🙏🏾🙏🏾

*Saints Pierre et Paul*

_Priez pour nous,_ 🙏🏾🙏🏾🙏🏾

*Les Saints du jour* ,

_Intercèdez pour nous_

*Nos Saints Anges gardiens et Archanges,*

_Veillez sur nous et sur nos familles._

L’HISTOIRE DU SCOUTISME EN Côte D’IVOIRE

Le scoutisme catholique en Côte d’Ivoire

L’Association des Scouts Catholique de Côte d’Ivoire
(ASCCI) est née en 1937 en Côte d’Ivoire (à Treichville)
sous l’appellation des Scouts de France avant de devenir
association des scouts catholique Côte d’Ivoire après les
indépendances.

Elle est membre de la Fédération Ivoirienne du

Scoutisme (FIS), appelée à sa création en 1963 le collège
ivoirien du scoutisme (CIS) jusqu’en 1972 avec deux
autres associations qui sont les laïcs et les protestants.

Elle-même affiliée au bureau mondial du scoutisme

(OMMS) Organisation Mondiale du Mouvement Scout,
basé à Genève et qui revendique 216 pays et territoires,
avec 28 millions de scouts à travers tout le monde entier.

L’ASCCI appartient à la région africaine du scoutisme et

travaille en étroite collaboration avec le COD (Centre
Opérationnel de Dakar), au Sénégal, qui coordonne les
activités de l’Afrique de l’ouest.

Malgré l’encouragement du pape Pie XI dès le début de

son règne en 1922, le dernier diocèse de France n’admit
le scoutisme qu’en 1943. Cependant, les pionniers du
scoutisme en France sont le Père Jacques Sevin et le
chanoine Cornette.

Le succès du scoutisme en France permettra au révérend

Père Paul Rey (1902-1981) de fonder le 06 octobre 1937
à la paroisse Sainte Jeanne d’Arc de Treichville et le
mouvement scout de Côte d’Ivoire dans ladite paroisse.
Ainsi, on notera la direction du chef Pistoulet, scout de
France qui deviendra le premier commissaire des scouts
de Côte d’Ivoire (1937-1949). Enfin, le premier chef
africain sera le commissaire de province scout de France
de Côte d’Ivoire, A.O.F 1956-1959. Cependant, il faut
attendre jusqu’au 21juillet 1960 pour voir l’Association
des Scouts Catholiques de Côte d’Ivoire (ASCCI) reconnue
en tant que "Association autonome et souveraine"..

Conformément à l’objet de la demande de création de

l’Association des Scouts Catholiques de Côte d’Ivoire,
figurant sur le récépissé de déclaration d’association du
ministère de l’intérieur No 1933 / I-CAB/ AG, l’ASCCI
souhaite «contribuer à l’éducation et à la formation des
jeunes par la pratique des méthodes et exercices du
scoutisme international, sans distinction de races,
conformément à la doctrine et à la morale catholique».

Ainsi, l’ASCCI a pour vocation de promouvoir la doctrine

et la morale de l’Eglise Catholique au sein des jeunes. Elle
a donc le devoir d’insérer voire de toujours tenir compte
de la doctrine et de la morale de l’Eglise dans ses actions
ou ses prises de décision, dans ses programmes de
formation. C’est la doctrine de l’Eglise qui s’applique
dans le scoutisme Catholique selon les méthodes propres
à cette association. Pour elle «toute éducation qui n’est
pas basée sur l’enseignement du Christ est une éducation
tronquée. Eduquer, c’est grandir élever l’enfant. Elever
un enfant, c’est lui faire prendre toute sa taille d’homme
et de fils de Dieu ».

Ainsi, le scoutisme contribue dans la perspective de la foi

catholique, à l’éducation complète des jeunes; à
coopérer au développement et à l’approfondissement de
la dimension spirituelle de ses membres. Elle doit
permettre aux jeunes catholiques sans toutefois les
fermer aux autres, de garder leur identité catholique tout
en étant scout, de vivre selon leur foi. Les premiers
responsables ont «conscience que le catholicisme ajoute
des forces et des précisions à l’œuvre éducative » du
scoutisme. Pour le Pape Pie XII « il ne s’agit pas
seulement pour vous- s’adressant aux chefs scouts- de
former de meilleurs citoyens, actifs, plus dévoué au bien
commun de la cité temporelle, il faut aussi former de
meilleurs fils de l’Eglise ».
L’Association des Scouts Catholiques de Côte d’Ivoire est
affiliée au Conseil National de Catholique de l’Apostolats
des laïcs, à la Conférence Internationale Catholique du
Scoutisme (CICS), et à l’Organisation Internationale Ca
L’Association comprend :

- des membres adhérents qui sont ceux qui s’inscrivent

au scoutisme et renouvellent leurs cotisations.

- des membres actifs qui sont ceux qui pratiquent le

mouvement selon les principes et les méthodes du
scoutisme.

- des animateurs : chefs qui ayant été investis, ont pour

mission de faire vivre le programme éducatif aux
membres adhérents.

- des assistants ecclésiaux ou aumôniers qui sont les

autorités religieuses dans la vie de l’association.
- de membres bienfaiteurs et sympathisants.

Au-delà de toutes ces catégories l’Association des Scouts

Catholiques de Côte d’Ivoire est régi par les instances
suivantes :

- l’Assemblée Générale (AG) ou la Journée Nationale (JN).

- le Comité National de Direction.
- l’Equipe Nationale.

LES DIFFERENTS COMMISSAIRE NATIONAUX

DE 1937 A AUJOURD’HUI

NOM : PISTOULET

ANNEE : 1937 -1949

NATIONALITE : FRANCAIS
NOM : BERNARD L’ARRAS
ANNEE : 1949- 1952
NATIONAL : FRANCAIS

NOM : JEAN PEUROCHE D’ARNAUD

ANNNES : 1952- 1954
NATIONALITE : FRANCAIS

NOM : JEAN GRIFFON

ANNEES : 1954- 1956
NATIONALITE : FRANÇAIS

NOM : AKE GERVAIS

ANNEE : 1956- 1959
NATIONALITE : IVOIRIENNE
NOM : ANTOINE TANGE
ANNEE : 1959- 1963
NATIONALITE : IVOIRIENNE

NOM : EMILE KONE

ANNEE : 1963- 1968
NATIONALITE : IVOIRIENNE

NOM : PIERRE NIAVA

ANNEE : 1968- 1972
NATIONALITE : IVOIRIENNE

NOM : MATHIEU DJOH

ANNEE : 1972- 1974
NATIONALITE : IVOIRIENNE

NOM : NOEL TANGA NAKOULIMA

ANNEE : 1974- 1977
NATIONALITE : IVOIRIENNE

NOM : JEAN-BAPTISTE KOUASSI

ANNEE : 1977 -1985
NATIONALITE : IVOIRIENNE

NOM : JEAN-BAPTISTE TANOH

ANNEE : 1985- 1987
NATIONALITE : IVOIRIENNE

NOM : CAMILLE KIPRE BOLOU

ANNEE : 1987- 1995
NATINALITE : IVOIRIENNE

NOM : HUBERT DOUAMPO BEUGRET

ANNEE : 1995- 2001
NATIONALITE : IVOIRIENNE
NOM : MARCEL BLAGUET LEDJOU
ANNEE : 2001- 2008
NATIONALITE : IVOIRIENNE

NOM : AKA W. BERNARD

ANNEE : 2008 -2016
NATIONALITE : IVOIRIENNE

NOM : RENE-TARDY KOUASSI BLE

ANNEE : Depuis 2016
NATIONALITE : IVOIRIENNE

BIOGRAPHIE DE BADEN POWELL

Robert Stephenson Smyth Baden-Powell of Gilwell,
surnommé « BP » ou Lord Baden-Powell, est né le 22
février 1857 dans le quartier de Paddington à Londres. Il
est né dans une famille de neuf enfants du révérend
Baden-Powell, professeur de mathématiques à
l'université d'Oxford, et d'Henriette Grace Powell. Il est
prénommé Robert Stephenson Smyth, du nom de son
parrain Robert Stephenson (fils de George Stephenson),
et de ses grands-parents maternels (dont l'amiral William
Henry Smyth, qui est aussi géographe et astronome). Son
père meurt alors qu'il n'a que trois ans. Un de ses frères,
Baden Fletcher Smyth Baden-Powell, sera un inventeur,
connu notamment pour son vélo pliable, un cerf volant
opérationnel en TSF et un projet de télévision[1].Baden-
Powell fait ses études à Charterhouse, collège réputé
pour sa discipline. Baden-Powell est un adepte de l’école
buissonnière et se cache régulièrement dans le bois
derrière l’établissement scolaire. Il y développe son sens
de l’observation. Ses frères l’emmènent régulièrement
explorer la campagne, camper et naviguer.Il n'a jamais
été un très bon élève et rate ses examens d’entrée à
l'université. Il se présente alors à l’école militaire et
obtient la seconde place au concours d’entrée, à dix-neuf
ans (1876).

CARRIÈRE MILLITAIRE
Il intègre le 13e hussards, un régiment de cavalerie, et
est dispensé de suivre les stages de l'école d'officiers. En
1877, il est envoyé comme sous-lieutenant en Inde (alors
colonie britannique). C'est pendant ses loisirs qu'il
s'intéresse plus particulièrement au travail des éclaireurs,
et qu'il se rend compte de leur importance dans les
opérations militaires.À l'âge de vingt-six ans, il est promu
capitaine. Son régiment est déplacé en Afrique du Sud,
où il a l'occasion d'entrer en contact avec des « éclaireurs
» indigènes pour lesquels il a beaucoup d'admiration. Il
se perfectionne ainsi dans l'art de l'approche et de
l'exploration. C'est en Afrique qu'il a pour la première
fois la possibilité de former des éclaireurs militaires selon
ses méthodes : il les forme en petites unités ou
patrouilles, chacune sous les ordres d'un chef, et attribue
aux plus méritants un insigne dont le dessin s'inspire du
point Nord de la boussole, très similaire à ce qui
deviendra le badge du scoutisme mondial.Il a une
brillante carrière militaire, respecté et obéi parce qu’il est
un chef qui donne l'exemple. Il passe par les Indes où il
devient, entre autres, instructeur, l’Afghanistan, les
Balkans, Malte, la Russie (comme agent de
renseignement) et surtout l'Afrique du Sud. En 1896,
Frederick Russell Burnham lui enseigne des techniques
de survie, ce qui aura une grande influence plus tard sur
la création du scoutisme.Il est remarqué pour ses talents
d'éclaireur mais aussi ses talents artistiques. En effet,
régulièrement il organise, dans sa garnison, des pièces de
théâtre, des comédies et il interprétait à sa façon des
pièces de Shakespeare. Il a même été jusqu'à se déguiser
en général et à faire « pousser la chansonnette » à son
personnage[réf. nécessaire].L'événement qui le rend
célèbre dans tout l'Empire britannique est le sauvetage
de la petite ville de Mafeking en 1899, durant la seconde
Guerre des Boers. Avec beaucoup d'astuce et de courage
communicatif, il réussit à sauver la ville qui est assiégée
pendant 217 jours par des troupes ennemies quatre fois
plus nombreuses. Il utilise les jeunes de la ville comme
estafettes (pour transmettre des messages à pied et à
vélo), comme observateurs, sentinelles ou
éclaireurs.Article détaillé : siège de Mafeking.À la
libération de la ville, le 16 mai 1900, il est acclamé
comme un héros et nommé major-général. Il prouva que
des jeunes étaient tout à fait capables de réussir une
mission, pourvu qu'on leur fasse confiance. Il publie ses
observations sous le nom de Scouting (L’art des
éclaireurs) dans un petit fascicule destiné aux militaires
appelé : Aids to scouting. Promu au rang de lieutenant-
général en 1907, il prend le commandement d'une unité
de l'armée territoriale britannique, alors en cours de
formation. En 1910, il fait valoir ses droits à la retraite
afin de mieux se consacrer au scoutisme.

CRÉATION DU MOUVEMENT
À son retour au Royaume-Uni, il est accueilli
triomphalement. Il constate que Aids to scouting a un
immense succès auprès des garçons britanniques et est
utilisé par des éducateurs. Il reçoit même beaucoup de
courriers de garçons lui demandant des conseils. Marqué
par la jeunesse britannique des quartiers désœuvrés,
souvent en mauvaise santé et délinquante, il décide de
mettre en pratique, au service de jeunes garçons et dans
une optique de paix, tous les principes qu’il a observés à
la guerre.« À la fin de ma carrière militaire, dit Baden-
Powell, je me mis à l'œuvre pour transformer ce qui était
un art d'apprendre aux hommes à faire la guerre, en un
art d'apprendre aux jeunes à faire la paix ; le scoutisme
n'a rien de commun avec les principes militaires. »[2]Il
rencontre Ernest Thompson Seton.En 1907, alors âgé de
50 ans, il organise un camp de huit jours avec vingt
garçons de différentes classes sociales sur l'île de
Brownsea[3]. Il y teste ses idées d'éducation par le jeu,
d'indépendance et de confiance. Il inaugure ce camp le
premier août à huit heures en soufflant dans sa corne de
koudou.À la suite de ce camp, Sir William Smith
(fondateur des boy’s brigade) lui demande d’écrire un
ouvrage sur la manière dont le scouting pouvait être
adapté à la jeunesse qu’il appelle : Scouting for boys
(Éclaireurs). Avec ce livre, il tente de lancer un nouveau
mouvement autonome. Il crée la base du scoutisme avec
les cinq buts :Santé ;Sens du
concret ;Personnalité ;Service ;Sens de Dieu.Ainsi que les
dix articles de la loi scoute et la promesse scoute qui
n'imposent aucune interdiction mais proposent une
hygiène de vie que chaque adhérent promet d’essayer de
mettre en pratique (faire de son mieux).C’est en 1909,
que les premières compagnies de guides apparaissent
organisées par Agnès Baden-Powell.En 1910, il
différencie trois classes d’âge :Les Louveteaux (8-12
ans) ;Les Éclaireurs (12-17 ans) ;Les Routiers (17 ans et
plus).Cette même année, sur les conseils du roi du
Royaume-Uni Édouard VII, il démissionne de l’armée
pour prendre la direction du mouvement qu’il vient de
lancer.En 1912, il se marie avec Olave Saint Claire
Soames, qui devient Chef-guide mondiale. Ils eurent trois
enfants : Peter, Heather et Betty.En 1918, il publie une
revue intitulée Girl guiding edition. Il appelle le
mouvement féminin les Guides plutôt que scoutes ou
éclaireuses car il estime que leur rôle n’est pas d’éclairer
mais de guider : « Une femme qui est capable de se tirer
d’affaire toute seule est respectée aussi bien par les
hommes que par les femmes. Ils sont toujours prêts à
suivre ses conseils et son exemple, elle est leur guide.
»Le mouvement prend vite beaucoup d'importance, et se
développe dans de nombreux pays du monde. Le
Jamboree de 1920 réunit pour la première fois des scouts
de 21 pays. Baden-Powell y fut nommé World Chief (chef
scout mondial).En 1927, il est anobli par le roi George V.
Il prend le nom de Lord Baden-Powell of Gilwell, du nom
d'une propriété et du grand parc qu'il a reçu de la famille
McLaren pour en faire un centre de formation des
chefs.En 2020, il y a plus de 50 millions de scouts dans le
monde entier

Il meurt le 8 janvier 1941 à Nyeri au Kenya où il est

enterré. Sur sa tombe est gravé un signe de piste
(symbole), le signe « fin de piste, retour au camp »
(Retourner) et qui peut être interprété par « Je suis
rentré chez moi ».Lady Baden-Powell continua son rôle
de lien entre les éclaireuses du monde entier. Elle meurt
le 25 juin 1977 en Angleterre.Les deux ont un mémorial
commémoratif dans l'abbaye de Westminster.