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I. Introduction
Pour réconcilier la théorie apprise pendant les heures de cours de Levé géologique
à la pratique, il nous était d’une importance cruciale d’effectuer une descente sur
terrain accompagnés de différentes personnalités de la FPGER question
d’observer les affleurements à Kimwenza.

Figure 1: Image illustrant la rivière de Lukaya

I.1. Présentation du terrain


Nous l’avions effectué dans la ville province de kinshasa, plus précisément dans
la commune de Mont-Ngafula au quartier kimwenza (à la gare).
Le site est situé dans une altitude de 340m sur la carte, dans une longitude de
15°17'33" et une latitude de 4°28'26".
Géologique au premier vu, il y a la présence remarquable des formations
superficielles qui date d'albien et aptien dans le crétacé supérieur sans oublié
l'inkisi et le nkioka qui affleurent dans les cours d'eau.
Le long de ce site, nous avons trouvé la présence remarquable d'une rivière portant
le nom de lukaya qui se dirige vers Nord Est. La rivière lukaya prend sa source à
quelques kilomètres au sud de Kasangulu au village de ntamba situé à 400m
d'altitude, qui traverse le sud de la ville de Kinshasa, avant de se jeter dans la
rivière Ndjili situé à 300m d'altitude, une autre rivière de Kinshasa, qui elle-même
se jette, une petite vingtaine de kilomètres plus loin, dans le fleuve Congo.
Sans oublier la présence industrielle sur le site en remarquant la gare du train de
La Société commerciale des transports et des ports (SCTP), appelée Office
national des transports (ONATRA) avant 2011, qui est une entreprise sociétaire
publique de la République démocratique du Congo, active essentiellement dans
l'ouest et le nord du pays. Son siège social est établi à Kinshasa, commune de la
Gombe.
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I.2. Matériels utilisés


Parmi les matériels utilisés nous avons :
1. Le GPS : il nous a permis de localiser et de se localiser sur le terrain à partir
des données dont nous avons utilisées directement sur place.
2. La boussole : elle nous a permis d’avoir les coordonnées géographiques sur le
terrain
3. Le marteau : il nous a permis de prélever l'échantillon des roches.
II. Les stations parcourues
Tout au long de notre descente nous avons eu à parcourir presque 3 stations.
II.1. Station 1
Descriptions
Coordonnées géographiques
Latitude : 4°28' 30"
Longitude : 15°17'28"
Altitude : 314 m
Précision : 3 m

Figure 2: Image illustrant la première station


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Dans notre première station, nous étions face à une élévation (colline) qui indique
une altération des roches.

Donc un filon qui était tranché donc en regardant les filons nous avons constaté
la présence de plusieurs horizons qui sont constitués :
- humus donc la couverture végétale (organique) avec une épaisseur estimée à
30cm ;
- un horizon des sables qui est plus au moins jaunâtre avec une épaisseur estimée
à 2m ;
- un horizon des sables en mélange avec les grès plus au moins violation et rosâtre
avec une épaisseur estimé à 1,65 m à la surface et qui nous a permis d'avoir
l'indique que le sol dont on faisait face provenait de l'altération des grès.
Pour dire à la surface nous sommes face à une formation noble de grès mais
consolidée en profondeur.
Sans oublier la présence des galés sous une forme arrondie qui nous indique que
son transport a été très long facilité par l'eau.
II.2. Station 2
Coordonnées géographiques
Longitude : 15°17'39,1"
Latitude : 4°28'29,9"
Altitude : 311 m
Précision : 3 m

Figure 3: Image illustrant la deuxième station


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Nous étions en face des roches considérées comme des galés qui ont subis une
altération et qui ont été transporté de très loin.
En face des blocs qui ont connu une altération mécanique et pendant l'essai des
cassures nous avons obtenus les différents sons qui nous ont indiqué le degrés
d'altération de chaque bloque. Cette altération est pour les roches détritiques
terrigène.
II.3. Station 3
Coordonnés géographiques
Longitude : 15°17'45,6"
Latitude : 4°28'24,2"
Altitude : 309m
Précision : 3m

Figure 4: Image illustrant la troisième station

Roche : grès altéré


Coloration : Rosâtre avec les inclusions verdâtres qui sont en majeure partie de la
formation avec des minéraux qui brillent en contact avec le soleil dont on peut
supposer qu'il s'agit du mica blanc.
Débit : en masse presque tabulaire.

En guise de conclusion, nous étions vivement satisfaits de notre séance de travaux


pratiques car cela nous a apporté un plus dans notre parcours universitaire et
généralement dans notre filière d’’ingénierie. Avions également palpé du doigt et
observer sur terrain les différentes descriptions de roches en fonction de leurs
caractéristiques physiques.

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