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La zone étudiée se situe à la via terminal de djeno, elle s’étend sur une centaine de mètre du Sud au Nord sur
une trentaine de mètre de large.
Ces affleurements sont des formations carbonatées d’âge Turonien et argileuse d’âge sénonien connues
respectivement sous le de : Dolomie de Loango et marne de Masvingo.
On observe ces affleurements nous avons constaté qu’à la base on avait des dolomies compactes
bioclastiques surmontés par un niveau de condensation des accumulations bioclastiques, ce niveau était
surmonté d’une mince couche d’argile en suite venaient des accumulations bioclastique, des argiles acres
ainsi que des sables de Diosso. Ces formations présentent une séquence élémentaire rythmique ou des
niveaux d’accumulation (coquilles remaniées) étaient surmontés par un niveau de construction (coquille
entières) et tout cela se répétait plusieurs fois sur la séquence. Les coquilles meurent en position de vie
pendant le remaniement, le niveau était de haut énergie (présence de brachiopode).
Du point de vue dynamique, a Diosso, le bassin est influencé par le vent qui déforme la surface des eaux et il y
a naissance des vagues qui se brisent après déferlement qu’au niveau de l’estran. On constate que les lignes
des crêtes des vagues changes de directions au fur et à mesure que les vagues arrivent à la côte, il y a alors
diffraction de la vague.
Concernant la baie, nous constatons que les lignes de crêtes des vagues sont parallèles à la baie et oblique au
niveau des pointes. On observe des hauts et bas-fonds. La barre sableuse sépare le bassin côtier de la mer.
Sur la barre sableuse ainsi qu’à l’intérieur, se développent plusieurs figures sédimentaires ! il y a des
croissants de plages, des rides rhomboïdales, des litages horizontaux.
Il caractérise le jet de rire, la convexité est tournée vers l’amont, ils ont une dimension assez grande, on les
trouve beaucoup sur les plages ;
Rides rhomboïdales :
Litages horizontaux :
Il se développe à l’intérieur des bancs de sable, des éléments grossiers s’alternent avec des éléments fins. Ces
litages sont dus à la dérive littorale qui longe la côte.
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19/01/2013 : RAFINERIE
Tout le long de la côte nous avons observé la tourbe, elle est une roche qui se forme dans des bassins côtiers
(marais, langues), observé telle roche long de la côte, cela veut tout simplement que la ligne du rivage à évolue,
et elle caractérise un ancien bassin côtiers, il a absence des forces de frottements au niveau de l’estran à cause
de présence de la tourbe. La substruction permet le glissement de vague ; il n’y a pas perte d’énergie car après
le jet de rive, une grande masse retourne vers le large, conséquence l’érosion est active. Baie de Pointe-Noire à
une côte qui est basse, l’estran très large, l’amplitude de la vague est très élevée, le vent souffle obliquement à
la côte mais des lignes de crêtes des vagues sont parallèles, on dit alors il y a diffraction des vagues.
Tourbe Lagune
Ride rhomboïdale
A l’intérieur des argiles, il y a des galets mous, cela confirme qu’il a eu émersion. Plus en s’approche du
continent, plus le niveau argileux disparait, ce niveau forme des biseaux, présente des figures qui tendent vers
les fentes de dessiccation, cela montre que nous somme on bordure du bassin. Les formations argileuses sont
celles du turonien.
Du point de vue dynamique, les vagues ont une direction NNW, le vent maintient sa direction et donne lieu à
plusieurs déferlements parce que le relief est uniforme. On a une zone de déferlement qui est très large, cela
prouve que nous sommes sur un plateau.
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21/02/2013 : Loango
A ce qui concerne la dynamique sédimentaire, on se rend compte qu’a Loango en allant vers le Nord, les
vagues se déferlent maintenant vers la côte, la ligne de crête à ce niveau n’est pas oblique à la côte, la côte est
haute donc l’érosion est dominent à ce niveau.
La partie située entre la haute mère et la basse mère appelée Estran est réduite, la mer évolue le continent
détruit les maisons par érosions qui sont au bord de la côte. L’érosion est très active à ce niveau car
l’avancement de la mer vers le continent est très rapide.
Au bord de la mer, nous avons vu un cours d’eau qui est en phase de comblement, il est comblé par les sables
apporté par la mer. Pendant le flot, la mer alimente les cours d’eaux par des chenaux anastomosés, dépose les
sables ainsi que la jarosite, l’estuaire est influencé par la mer. Les cours d’eaux vont se transformer plus tard
en marais et lagune. En ce qui concerne l’étude des sols, nous avons constaté que les sols de Loango étaient
constitués des sables de couleur grise noire, ses sables sont riches en argile et en M-O.
Sur l’affleurement étudié, les sables gris étaient surmontés par des sables noires (alios) sable argileux, sable
blancs.
La matière organique a été mise en place il y a 900 ans (quaternaires), le niveau jaune est au-dessus des sables
blancs d’âge plio-pléistocène, la zone est marécageuse, la côte est haute à ce niveau, présence d’une falaise
réduisant ainsi l’estran. Le cours d’eau évolue en bordure de la mer, il est séparé par une barre sableuse
marine. Le cours d’eau est colmaté par les sables marins. Il est influencé par la mer et va se transformer plus
tard en marais et en lagune.
Le premier affleurement étudier présentait une succession des sables riches en matière organique. Des sables
blancs et des sables argileux ocres, un peu plus loin des sables blancs n’existaient plus, donc il y avait une
lacune.
En ce qui concerne la baie de Loango nous avons remarqué que le milieu est calme (la surface des eaux) c’est
pour cette qu’on le qualifie d’un milieu abrité, plusieurs organismes peuplent le bassin parmi lesquels nous
avons les algues vertes.
Après Loango, nous nous sommes rendus à Diosso pour aller observer les formations de la série de cirque qui
sont hétérogènes.
Ces formations sont constituées des argiles rouges (présence du fer) et des sables fins ocres qui sont
surmontés de latérite, il y avait la présence d’un chenal principal présentant des lobes proximaux et distaux
qui sont alimentés pendant la saison de pluie, l’érosion est dominante à cet endroit.
A cause de la construction de la flèche, l’embouchure est dominée par les vagues, les eaux de mer arrivent
jusqu'à Kakamoueka. Le mécanisme de la sédimentation fluviatile dans le chenal va dépendre de la vitesse de
l’écoulement de la pente et de la charge de turbidité.
L’écoulement de l’eau suit la sinuosité du chenal, le fleuve présente deux rives, une concave et l’autre
convexe, le courant apporte vers le fond des éléments issus de l’érosion de la rive concave et abandonne des
éléments grossiers au pied du chenal principal.
Ce sont des bassins de sédimentation qui se développent au bord de la mer et qui peuvent être séparés ou
non de la mer par une barre sableuse. Tout au long de la baie nous avons constaté qu’ils se développent des
bassins côtiers. Ces bassins sont influencés par la marée, d’autre par contre était en phase de colmatage c’est-
à-dire que l’eau de la mer n’envahissait plus ces bassins.
Permis ces bassins observés nous des marais et des embouchures (estuaires).
Les marais sont souvent entourés d’une végétation particulière qui est caractérisée par une zonation végétale,
cette végétation particulière est appelée mangrove type palétuvier. Ces palétuviers sont soient en bordure
d’un bassin soit à l’intérieur du bassin.
Les marais sont envahis par l’eau de la mer pendant la marée haute (flux ou flot), pendant basse le niveau de
la mer diminue. Les marais sont évacués vers la mer (reflux ou jusant). 9
L’eau de la mer pénètre dans les marais par des chenaux anastomosés. Pendant le jusant la circulation de
l’eau est la même partout, cette eau démunie progressivement.
Le courant de marée peut remettre des sédiments, les sables et les silts seront transportés par saltation et en
suspension dans les marais, après le transport les eaux deviennent calme et les sédiments peuvent se déposés
Le 23/01/2013
Cette étude a pour objectif, l’analyse physico-chimique. Elle se déroulée en deux étapes. Première étape:
Préparation des échantillons elle se fait de la manière suivante :
Deuxième étape :
La granulométrie des minéraux a pour but la détermination des cinq classes de minéraux.
Matériels utilisés
Bain marie ;
Pipette de 20 ml ;
Agitateur rotatif,
Allonge (bouteille en verre) ;
Tamis ;P
Un bécher.
Méthodologie
Prendre 10g d’échantillons et mètre dans un bécher de 6 cm, en constater la présent de la matière organique
est détruite en utilisant de l’eau distillé. Rassurant que la matière est détruite nous avons commencé avec le
séparation des particules par le dispersons (pyrophosphate de sodium) dans un flacon de 100 ml. On a mis
trois billes de verres dans le flacon et le placé pendants 6 heures sur l’agitateur rotatif.
La sédimentation pour des particules dont la taille est inférieure à 20 micromètre, donc les argiles et les
limons fin
Mesure du ph
Matériels utilisés :
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- Échantillon du sol ;
- Bêcher de 100 ml
- Spatule ;
- Barreau monté ;
- Balance de précisions ;
- Solution de KCl ;
- Eau distillée ;
- Un ph mètre relie à une électrode ;
- Un agitateur magnétique ;
- Une éprouvette de 50 ml.
Méthodologie
On a pèse 20 ml de sol et l’échantillon est pèse on a mis 50 ml d’eau distillée dans un bécher contenant
l’échantillon (1) et 50 ml de KCl dans un autre bécher contentent l’échantillon (1’).
On a placé un barreau dans chaque bécher et les bécher ont été mis sur l’agitateur magnétique, on a fait
agiter pendant 15 minutes. Après, on a mesuré le ph qui est égal à 5,09, ph acide et celui de l’échantillon
contenant la solution de KCl est inférieure à 5,09.
Mesure du ph
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18/01/2013
Itinéraire : MVASSA
On a vue pointe qui est le prolongement du continent vers la mer qui protège le bai cotre les vagues. Les
coordonnées sont les suivantes :
Il y a aussi des crossant de plage, des rides rhomboïdales. Les coquilles fines rencontrées montrent qu’elles
n’ont pas eu le temps de se développer alors que les grosses coquilles ont eu le temps de se développer dans
les conditions normales.
L’eau de la mer et de la lagune sont en contact, il n’y a pas de barre sableuse. L’érosion est intense car les
vagues sont parallèles à la côte.
Formation carbonatée
A notre arrivée à MBOUNDI, on a été reçu par Monsieur MAKAYA qui nous a enseigné sur les consignes de la
sécurité.
100 mille baryle d’eau est injecté par jours dans les puits d’injection à gauche on a vu les premiers puits et qui
ont été foré et qui donne jusqu’aujourd’hui tous ceux qui est produit, arrivent à la centrale de traitement. 25
baryle d’huile sont produits par jour et la couleur générale d’huile est grise, lorsque l’huile arrive le gaz est
libéré.
Ensuite nous sommes rendus à un site ou en fait le forage. Dans la cabine ou ont été rentré il y a deux parties,
une partie de la géologie (l’information du forage) et une autre de l’énergie. Il y a deux appareils qui est dans
la cabine, un qui mesure des gaz et l’autre analyse le gaz, donc analyses les échantillons dans le gaz.
Les capteurs mesurent les paramètres du forage (profondeur d’eau, auteur, niveau du bassin) .
Le contrôle du bassin est très important lors du forage. Chaque 10 mètre, on prélève l’échantillon et le soir on
fait toute les analyses, la calcimètre, son rôle est de donner la nature de la roche.
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I/ REMERCIEMENT
Nos sincères remerciements sont présentés aux enseignants, précisément à Monsieur MOUSSIESSIE,
Monsieur MALOUNGUILA, Monsieur SOUNGA, Monsieur YANICK, Monsieur DENIS ; qui étaient à la hauteur de
leur tâche dans formation de qualité qu’ils nous ont offerte.
II-1/ Introduction :
La faculté des Sciences et Techniques par le biais du département de géologie a pour objectif la formation des
cadres dans les domaines scientifiques conformément à son programme en master des sciences la terre est
prévue un stage pratique agir de complété les connaissances théoriques acquissent en dynamique
sédimentaire, en pédologie et dans les autres unités d’enseignement. De ce fait nous avons passé la pratique
dans le département de Pointe-Noire et dans du Kouilou, stage basé sur la dynamique sédimentaire et la
pédologie et qui à permit aux étudiants de toucher du doigt les réalités des formations géologiques sur le
terrain.
Ce présent rapport va décrire succinctement les différentes activités menées sur le terrain au cours de ce
stage.
Aux lecteurs ce travail soumis à votre appréciation n’est pas exempter d’erreur. Par ailleurs conscient qu’a
l’imparfait nul n’est tenu mais aussi la perfection émane des erreurs reconnues et corrigés. Nous nous
soumettons à votre sagesse pour d’éventuelles remarques.
La vertu consiste à ne pas commettre les erreurs mais le reconnaitre et à ne plus les répétées.
II-2/ Objectifs
- Etude dynamique et pédologique du bassin côtier ;
- Reconnaissance des formations du bassin côtier ;
- Etude des baies et pointes du bassin côtier.
Le stage s’est déroulé en huit (08) jours ; On arrivait sur le terrain aux environs de 9h30.
Dans cette partie nous allons parler en long et en large de ce qui concerne le stage.
SOMMAIRE
I- REMERCIEMENT
II- 1/ INTRODUCTION
II – 2/ OBJECTIF
II 3/ DÉROULEMENT DU STAGE
II 5/ CONCLUSION
Profil
Image de Djeno
d’altération de Djeno
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Barre sableuse
UNIVERSITE MARIEN NGOUABI TRAVAIL*PROGRES*HUMANITE
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FACULTE DES SCIENCES TE
TECHNIQUES
------------------
DEPAETEMENT DE GEOLOGIE
Présenté par :
NKOUA-TSIBA Ulrich
Présenté par :
MADIAMBA NSANSI Alda