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PREMIÈRES EXPLORATION
Dans toutes leurs querelles cruelles, les mages n'avaient pas trouvé le moindre indice de vie
dans la ville, sauf ce qu'ils avaient apporté avec eux.
Le nouveau Conseil a été rapide et diligent dans la solidification secrète de ses
exploitations.
Une véritable armée de mercenaires a été créée pour assurer que la barrière été défendue
contre la possibilité d’influence extérieure ou d’agression étrangère. Des petits groupes
d’explorateurs ont été enrôlés pour commencer à enquêter sur la vieille ville et ses arrière-
pays, et les académiciens et archéologues réputés ont été embauchés pour commencer à
démêler la ville de pléthore d'énigmes, d'anciens mystères et de sombres secrets.
Comme ça ne devrait surprendre personne, surtout compte tenu de la nature de l'arrivée au
pouvoir du Conseil, ils ont embauché leurs agents avec grand secret. Certains disent qu'ils
propageaient des histoires de peste et la quarantaine dans toute la zone de la Terre autour de la
Violation. D'autres chuchotent qu'ils ont adopté un grand rituel pour couvrir d’un linceul la
Brèche et la ville en ruines qui l’entourait l’occultant de l'esprit des hommes, et que ceux qui
sont morts à l'ouverture de la Brèche ont été effacée collectivement de la mémoire de
l'humanité. Cela semble tiré par les cheveux, je le sais, mais nous n’avons aucune idée de la
véritable étendue de la puissance de ces premiers praticiens, et des informations fiables sur la
ville du Earthside sont notoirement difficile à trouver (bien que je suppose que cela puisse être
mieux attribué à la diligence de la part de la guilde, plutôt que par des moyens mystiques).
L'une des premières percées a été la découverte d'un grand dépôt de livres laissés par les
précédents habitants de la ville. La bibliothèque de Duer, comme on l'appellera plus tard
(d’après l'explorateur qui a déterré pour la première fois ses salles sacrées), était un réseau de
voûtes et de tours débordant de connaissances étranges. Une équipe de chercheurs et des
excavatrices ont travaillées autour de l'horloge pendant des mois, compensant les piles
effondrées et scrutant diligemment la mystérieuse langue de ceux qui avaient construit ce
miraculeux lieu de mauvais augure.
Au même moment, le Conseil a envoyé des équipes d'explorateurs cataloguer la ville et ses
environs. Tandis que les mages pouvaient sentir une grande source de puissance éthérique
dans
ce nouvel endroit, ils ne trouvaient aucun moyen de la toucher, et les réserves initiales de
magie recueillies à partir du cataclysme de la violation durent sûrement commencer à
diminuer.
Les travailleurs volontaires se sont mis à solidifier la brèche.
Sans aucun soutien magique, la porte commençait à scintiller et frissonner erratiquement
après chaque passage.
Il y en avait au sein du Conseil qui croyaient que la faille était dangereusement instable, et
une théorie populaire qui fût développée parmi les savants était que trop de passage en trop
peu de temps ferait se sceller la chose sur elle-même (ou, pire, se rompre plus loin).
Les équipes d'exploration que le Conseil a envoyé ont trouvées un monde à la fois
étrangement familier et bizarrement étranger. Dans le ciel, quand la nuit est descendue sur la
ville, il y a eu des lunes jumelles et des constellations inconnues, et pendant la journée un
soleil alien a flambé au-dessus d’elles.
Dans la ville elle-même, ces premiers courageux explorateurs ont découvert un méli-mélo
enchanteur d’architecture terrestre. Allant de l'élégant pot-pourri au patchwork
cauchemardesque, les bâtiments et les rues sont apparues pour tout le monde comme étant une
collection des plus belles réalisations structurelles de l'humanité. Pour citer le Dr. Ferris
Lhavago, lors de l'introduction à son chef-d'œuvre, Sa Majesté Sombre, Un catalogue complet
et intégral des merveilles de Malifaux (Une perspective architecturale):
"C'était comme si toutes les grandes capitales de l'histoire avait été empilé et mélangé par
les dieux -arcs gothiques avant les villas palladiennes, les minarets de Lahore à côté de
flèches Italiennes, des cheminées en briques brutes des usines de l’Empire sur colonnades de
marbre, et les portes à colonnes des Trois Royaumes gardant les maisons de maître coloniales.
"
Les merveilles, cependant, n'étaient pas que là pour finir. Sous la ville proprement dite,se
trouvées un réseau entier de chambres d'égout, conduits, cavernes, canaux, grottes, et
catacombes. Les histoires parlent de pionniers qui brandissant leurs flammes allumaient des
grottes souterraines à l'échelle démesurées plongées dans les ténèbres depuis des âges
inconnus, des aventuriers intrépides découvrant des cryptes antédiluviennes remplies à raz-
bord avec de scintillants
trésors inimaginables, et d’éclaireur imprudents descendant au fond des labyrinthes sombres
et tordus et des passages jusqu'à inévitablement, se retrouvés perdu pour toujours.
Et au loin, au-delà de ses murs, s'étendent les étrange région sauvage. Tout d'abord,
principalement au nord et au sud de la ville, des miles d'un désert sec, foudroyant, une
étendue apparemment sans fin de poussière stérile et teintée de rouge qui s'étend aussi loin
que l'œil pourrait le concevoir. Cette région inhospitalière a été baptisé, les Badlands.
Plus près des frontières Est et Ouest de la ville empiétaient un ensemble de marécages
grouillant de toutes sortes de vignes et créatures. Ce no-man's-land plein de tourbières était
nommé par ces premiers explorateurs le Bayou.
Enfin, dans le lointain des étendues sauvages, une gamme majestueuse et déchiquetée de
montagnes enneigées, chargées de blizzard, percées le ciel.
DÉCOUVERTES INATTENDUES
Après des mois de travail acharné, les sages à visage sombre et savants qui s'étaient mis à
déchiffrer les signes et les sigils de la ville avaient finalement fait une percée lexicographique.
C'était le Dr Arthur Duer lui-même, avec le professeur Mondragoné du très vanté
Institut Voynich, qui ont finalement craqué ce code cryptique.
Alors que beaucoup de tomes plus compliqués étaient dans une forme plus élevée de la
langue locale, et prendrait probablement des années de plus à déchiffrer, les volumes
moindres et le système de signalisation simple utilisé dans la ville était maintenant maîtrisé.
Avec cette première recherche, ces hommes ont débloqué l'un des secrets les plus
vénérables de la ville antique. Malifaux, était son nom, dans les jours d'autrefois.
Les équipes savantes se sont mises à cataloguer ce qu'elles pouvaient du script étrange
trouvé dans l'obscurité de la métropole. Beaucoup de bâtiments et de rues étaient étiquetés
d'une manière pas du tout hors de propos dans un hameau terrestre. Il y avait des édifices avec
des insignes représentant les poissonniers, les forgerons, les tailleurs, les commerçants et les
commerces, tous évidemment depuis longtemps vacant. Ensuite, il y avait des traductions
idiosyncratiques. Les érudits se sont penchés sur leur notes pour s'assurer que leurs
transcriptions étaient correctes. Des signes annonçant des Magies Mécaniques, des voûtes
Aether, les chirurgiens de la mort et les tisserands de mémoire étaient nichés de manière
incongrue entre les étalages vantant les boulangers, les banquiers, bijoutiers et bouchers.
En attendant, après de nombreux débats et recherches, le Conseil cru qu'il avait trouvé une
solution à l'énigme vexante de la fissure dimensionnelle vacillante. Après des mois de labeur,
à la fois physique et métaphysique, l’effort est allé dans la construction d’un socle en pierre
massif et d’une arche, sculpté profondément avec une rune mystique et des sceaux, qu'ils ont
construit autour de la déchirure de chaque côté de la faille. Avec leur travail enfin complété,
le portail rebelle fût finalement stabilisé. La violation de la Grande Limite était le titre qu'ils
ont légué à leur travail merveilleux.
Comme le temps passait, les premiers explorateurs ont commencé à lentement trouver leurs
chemins de retour dans la ville. Une partie de ceux qui s’en étaient retourné étaient chargé de
richesses, certains sont revenus avec rien d’autres que des histoires déchirantes, d'autres on
entendit
jamais plus parler de nouveau.
La plus grande des découvertes des premiers explorateurs est venue du groupe qui avait erré
le plus loin. Profondément dans les Badlands, les arpenteurs avaient rencontré une ville
déserte, quelques cabanes de bois assissent à proximité d'une colline sans herbe, dans le centre
de laquelle se trouvé un trou abandonné menant profondément dans la terre sèche et fissurée.
Ce qu'ils ont découvert au fond de ce terrier a révolutionner cet âge et tout ce qui vient
après. Ce trou était un puits de mines, en quelque sorte, et à son point le plus bas les
hommes tombèrent sur un grand trésor de pierres précieuses. Si ce n’avait été que d’ordinaire
diamant, opale, ou rubis, ces hommes aurait pu les récupérer gratuitement et faire une
confortable retraite en tant que princes de la Terre, mais ce qu'ils avaient réellement découvert
était beaucoup plus précieux et terrible qu'ils n'auraient jamais pu imaginer.
La première idée que ce n'était pas une mine ordinaire est venu quad les hommes s'étaient
mis à charger toutes les pierres précieuses qu'ils pourraient éventuellement porter. Un d’entre
eux s’était alors aventuré dans une fissure de côté dans l'intérêt d’explorer pour plus de
richesses. Je regrette de vous informer maintenant, cher lecteur, qu'il n'a pas survécu très
longtemps. Sa pioche, en effet, a provoqué un petit effondrement. Le cri aigu de l'homme a
été brusquement coupé éteint par le bruit des débris qui tombent et l'ont écrasé.
Comme en réponse à son cri de mort, les pierres précieuses en possession des autres
hommes de son groupe ont commencées à briller et scintiller brièvement, avant de tomber
rapidement en sommeil encore une fois. C'est de cette manière que les deuxièmes découvreurs
de ces pierres ont profité de leur déterrage.
Quand les gemmes ont été étudiées, il a été découvert que le pouvoir qu'elles détenaient
était fini. Comme son énergie éthérique était appauvri, la pierre devenait sombre. Si quelqu'un
près de
la pierre devait mourir, cependant, la pierre s'éclaircirait, son énergie s'étant reconstituée.
C'était cette découverte macabre qui a fait gagné à ces gemmes leur sobriquet durable:
"Soulstone".
Quand cette bande est revenue à la ville et a présenté ses conclusions au Conseil, ils ont
causé un tumulte. Les pierres étaient la source d'énergie que le Conseil cherchait. Leurs
serviteurs savants, pour leur part, soulevèrent que des références aux gemmes avait été trouvé
dans certaines des premières œuvres traduites.
Alors que les anciens manuscrits suggéraient une promesse de grande puissance au sein de
ces artefacts, ils ont également mis en garde de grand danger.
Si le Conseil entendait autre chose que la promesse de grand pouvoir, ils ne l'ont
certainement pas montré. Les plans étaient établi pour l'excavation à grande échelle de ces
gemmes magiques, afin que leur magie puisse être partagée avec le monde (sous
le contrôle serré du Conseil, bien sûr).
C'était six mois après l'ouverture de la Brèche que le Conseil a pris la décision de partager
leurs découvertes avec le reste du monde. Dans une grande déclaration, les testeurs ont révélé
qu'ils avaient trouvé une nouvelle source d'énergie quasi-illimitée qui propulserait l'homme et
sa civilisation dans un nouvel âge d'or, celui qui avait supposé par la plupart de la population
comme étant des mythes et légendes.
Un appel a été lancé pour que les hommes et les femmes courageux puissent voyager à
travers la Brèche dans un autre monde, une terre de danger et d’opportunité, pour aider à
sécuriser cette nouvelle ressource pour le bien de toute l'humanité.
A partir de ce moment, un mot était sur les lèvres de chaque personne sur Terre ...Malifaux.
NOUVELLE PROMESSE
En peu de temps, Malifaux est devenue une métropole prospère capable de rivaliser avec
n'importe quelle autre dans l'histoire.
D'abord par centaines, puis par milliers, les voyageurs ont fait leur chemin vers cette nouvelle terre.
Ils dirent qu'à la hauteur du pèlerinage les wagons des trains, les convois, et les caravanes
s’étendaient à l’horizon, une foule de pionniers attendant tous leur tour de passer à travers la
Brèche.
Les colonies des Badlands abandonnées les plus proches de Malifaux sont devenu rapidement de
prospères villes florissantes du jour au lendemain.
L'exploitation minière des Soulstones était un travail éreintant. Dans un délai bref, il est devenu
évident que toutes les Soulstones n’avaient pas un rendus égaux. Les plus petites des Soulstones ne
pouvaient pas être utilisé pour aider dans le travail volontaire. Ils étaient broyés et
utilisé comme carburant pour les machines, comme composants alchimiques, ou pour faire des
teintures médicinales. Les plus grandes pierres d'âme étaient rares, mais les miracles qu'elles
pouvaient effectuer dans les bonnes mains étaient sans précédent.
Les spécialistes, les sages et les savants ont également afflué depuis la Violation en masse. Un
nouveau genre de science s'est épanoui autour de l'étude sur l'utilisation de l'énergie éthérée et de
la Soulstones, et les génies et prodiges de l'époque se sont réunis à Malifaux pour expliquer ses
causes et en délibérer des ramifications. Ils ont plongé profondément dans les minuties de la
mécanique des Soulstones, ont commencé la traduction des œuvres les plus difficiles que les
habitants originales avaient laissé derrière eux, et fait de grandes avancés dans le fonctionnement
des artefacts Malifauxiens. Cela n'a pas pris longtemps pour que des écoles de pensée distinctes,
chacune avec leurs propres modèles et hypothèses, pour expliquer l'étrange se forment tout autour
d'eux.
Une grande découverte d'un étudiant particulièrement intelligent sur les mystères de Malifaux
était l'activation de la première Construction. Il y avait beaucoup de débris dans la ville qui ne
ressemblait à rien d’autre que des piles d’objets cassés ou de machines inertes. Lorsqu’elles étaient
équipé d'une pierre d'âme, cependant, et bricolé avec dans une certaine mesure, il a été découvert
que ce qui semblait être des débris communs étaient, en fait, entièrement des merveilles
mécaniques fonctionnelles. Beaucoup de machines découvertes de cette manière étaient simples, de
minuscules serviteurs ou des répliques mécaniques de différents types de faune. Quelques unes,
cependant, étaient de redoutables titans mécaniques capables de brandir un assortiment d'armes
vicieux.
La science sur la Construction, la création et la maintenance était inexacte au mieux, cependant, et
de nombreux "Accidents" industrielles attribuables à l'armement mécanique ont été enregistrés dans
les premiers jours de leur recherche.
Le Conseil, pour sa part, a commencé à inviter les artistes de la Terre et les sommités politiques de
les rejoindre dans la ville, dans le cadre de leur conception pour faire de Malifaux une métropole
florissante pouvant rivaliser avec n'importe laquelle dans le monde. Les puissances de la terre ont
envoyé leurs agents pour découvrir les secrets des Soulstones, et avec elle la domination sur leurs
rivaux. Avec leur arrivée Malifaux est devenue une ville de patronage et de politique ainsi que de
secrets et le subterfuge.
ET NOUVEAUX DANGERS
Ces pèlerins et pionniers qui avaient bravé la Grande Limite ont commencé à s'installer de
plus en plus loin de la ville proprement dite. Comme ils se sont aventurés plus loin, les
rapports d’observations étranges de créatures fantastiques et mythologiques et de
monstruosités ont commencé à filtrer à travers les tavernes et les maisons publiques de la ville
et ses établissements environnants.
Au début, ces rapports ont été raillés. Les explorateurs et les survivants des communautés
périphériques ont été décriés comme étant des diseurs d’histoires et des fous. Les cadavres des
pionniers découverts ont été attribués à un accident ou aux déprédations normales de la nature
sauvage. Les habitants de Malifaux surnommé les créatures étranges de ces fables fantaisistes
des
Neverborn, et ceux qui prétendaient avoir rencontré de telles bêtes étranges ont été moquées,
ridiculisés comme les divagations absurdes d’idiots.
Tout cela a changé au cours d'une seule et fatale soirée. Une grande caravane se dirigeait
vers l'une des villes fantômes périphériques pour commencer une nouvelle vie: plus d'une
centaine
d’âmes avec tout ce dont ils avaient besoin pour survivre dans la nature sauvage de Malifaux,
ou du moins ils le pensé. Des ténèbres ils sont venus; créatures ailées et cornues. Ils ont
plongé sur la caravane, emportant ou tuant des hommes, des femmes, et des enfants. C'était la
plus grande attaque de ce genre jusqu'à ce point, et les survivants étaient tout simplement trop
nombreux pour être ignorer. Les attaques inexpliquées étaient devenues trop vicieuses à
rejeter comme étant une simple fiction. Les monstres de Malifaux étaient très réels.
Comme si l'apparition de citoyens indigènes hostiles ne suffisait pas, une nouvelle menace
émergea sous la ville elle-même.
Selon certains des premiers explorateurs, au fond des recoins oubliés depuis longtemps
de la ville gisait une nécropole, chambre sur chambre de tombes d'une époque précédente. Les
rumeurs ont commencé à circuler de connaissance interdite enterrée dans ces cryptes avec les
morts, et quelques demandeurs d'énergie avides d’anciens secrets ont pris sur eux de
découvrir la véracité de ces revendications.
L'exemple le plus célèbre de l'influence corruptrice des forces plus sombres qui existe
à Malifaux, fût l'histoire du premier Résurrectionniste. Personne ne sait exactement ce qu’ils
trouvèrent dans ces tombes usées par le temps. Certains disent que les cadavres anciens se
levèrent pour attaquer les vivants, ne laissant qu'un seul survivant. Lui, horriblement marqué
dans le corps et l'esprit par l'épreuve, a réussi à s’échapper avec un seul tome, un hymne à
ceux qui avaient péri dans les premiers jours de la ville et un secret pour une vie, en quelque
sorte, après la mort.
Ce nécromancien naissant, comme le font tous les fous de pouvoir, souleva une armée, mais
une différente de toutes celles que l’humanité avait déjà vu. Il a apporté à la bataille des
formations révoltantes de cadavres qui traînent, une chair vivante réanimée par d'obscure
Magies et sciences. La horde sans vie a attaqué le Conseil sortant des fortifications en masse,
une légion de putrescents fantassins tentant de déchirer la ville brique par brique, et pendant
un moment il a semblé qu'ils allaient réussir et transformer la ville en une monarchie
nécrotique de ténébres, de mort et de désespoir.
Toute la ville s'est levée pour sa défense. Les membres du Conseil se sont battu avec des
anciennes magies et leurs mercenaires armuré pour conjurer la masse venant en sens inverse.
Même avec toutes les ressources à leur disposition, l'humeur était sombre, et il semblait
improbable que quelqu'un survive à l'assaut. Ce qui a renversé la tendance, cependant, fût les
défenseurs surgi, inattendu, de la population de la ville. De grands exploits d'audace et de
bravoure ont été accomplis cette fatidique journée. Des mineurs brandissant des pioches
et des mousquetaires tirant avec des fusils à silex ont combattu épaule à épaule avec le feu
des sorciers et des automates d'horlogerie. N'importe comment, chaque fois qu'une autre ligne
de bataille semblait sûr le point d'être balayé par la vague des sans vie, un autre héros émergé,
comme s'il était placé dans la mêlée par le destin lui-même.
Il y a des rapports disant que même les habitants autochtones de Malifaux ont pris part au
conflit. Les contes racontes toujours que la dame noire elle-même déchiqueté les cadavres
putréfiés des soldats avec un abandon jubilatoire et frénétique. Il a été durement combattu,
mais, quand la poussière s'est installée et le nuit déchirante avait fait place à la paisible
lumière de la matinée, le nécromancien sans nom gisait vaincu par le puissance combinée du
Conseil et des nouveaux champions de l'âge (bien que, comme nous le savons tous, le sombre
secret de la non-vie n'est pas mort avec ce méchant lâche).
LA RENAISSANCE DE LA VILLE
L'annonce que le chemin de Malifaux avait été redécouvert a été accueilli à la fois avec joie et
inquiétude. Malifaux, comme toujours, représentée de grandes richesses et opportunités, mais aussi
de grave danger.
La Guilde, pour sa part, était impatiente d'obtenir en premier les nouvelles sources légitimes
de Soulstones que le monde n’ait vu depuis un siècle.
Une sorte de marché a été conclu avec les grandes puissances ce jour. Avec la perte de Malifaux,
une menace omniprésente dans l'esprit de beaucoup des meilleurs et des plus brillants esprits de la
Terre, la guilde se tourna vers les criminels et les exclus pour remplir ses rangs de travailleurs. Vous
cherchiez une nouvelle vie ou aviez était condamné à la mines comme punition, ils ont afflué ou ont
été conduits à Malifaux en masse.
Au milieu de la ville vide revivait la vie. Pour la garder contre les périls de ses habitants les plus
sombres, la guilde a bouclé une grande partie de la ville, la divisant en zones de divers degrés de
protection. Ils ont commencé avec l’Enclave de la guilde, qui au fil du temps s'est étendue dans la
zone de Malifaux connu de ses habitants comme le centre ville. C'était cette section de la ville que
s’est établie la guilde et qu’elle a fortifiée à proprement dire, ainsi que les riches et prospères
daignant faire des affaires là-bas.
A cette époque, les premiers bidonvilles ont pris naissance, des appartements et des logements
pour les premiers travailleurs de la ville, à la fois le personnel et les domestiques des riches ainsi que
ces pauvres âmes qui se dirigeaient vers le travail dans les mines de Soulstones. Les choses étaient
précaires dans ces premiers jours pour les mineurs de Soulstones de la ville, avec ses cavernes où
l’asphyxie par libération gazeuse réclamait un tiers complet des premiers mineurs de la ville, selon
certains rapports.
Toute zone ne faisant pas partie de ces zones désignées était interdites, par décret de la Guilde.
Non seulement y avait-il toujours présent la menace de la prédation indigène dans ces lieux non-
marqué par l’empreinte de l'homme, mais quelqu'un vu entrer ou sortir de la zone de quarantaine
sans autorisation appropriée était abbatu à vue en vertu de la loi de la guilde, un ordre qui est
toujours en action à ce jour. Pourtant, ceux qui souhaités opérer sans surveillance de la guilde ont
mis leurs laboratoires et enclaves secrétes là-bas.
Au fil du temps, la Guilde a étendu la surface habitable de cette partie de la ville. Un regroupement
de petites entreprises et les opportunistes qui étaient venues à Malifaux pour se faire un nom pour
eux-mêmes ont été autorisés à construire leurs maisons et bureaux dans une partie du périmètre de
la ville. En utilisant toutes les ressources dont ils disposent, le plus souvent le bois noueux de
mauvaise qualité des arbres indigènes entourant la ville, ils ont construit un quartier qui, à ce jour,
ressemble plus à une ville frontière qu'à une partie propre d’une métropole prospère. Cette section
de la ville était baptisé la nouvelle zone de construction.
La guilde elle-même a mis de côté une zone de fabrication, une partie de la ville pleine de
cheminées et d'usines. Le célèbre Geissel Metalworks était l'un des premiers partenaires de la guilde
dans cette entreprise, un partenariat aidé en grande partie par les connexions entre l'illustre famille
Geissel et le gouverneur général. Ateliers et forges mis en place se fût le tour des boutiques, et cette
région est devenue connue, d'abord familièrement puis officiellement, en tant que zone industrielle
de la ville.
La ville a grandi, et à sa manière a prospéré, mais les anciens ennemis de Malifaux ont été rapides à
refaire connaître leurs présences. Horribles visions cauchemardesques chassés dans la nuit, et
pareillement enveloppé par le crépuscule se trouvaient là caché des coteries de mages hors-la-loi
pratiquant des sorcelleries illégales. Les morts-vivants ont fait une résurgence malsaine, avec
une cabale entière de nécromanciens opérant dans le secret, pratiquant leurs rituels d'effroi sous la
couverture de l’obscurité. Les Neverborn, les Arcanistes et les Résurrectionnistes, comme ces
menaces sont connu aujourd'hui, traque encore les innocents dans les rues de la ville.
La guilde, pour sa part, a rassemblé ses ressources contre ces menaces, et, en plus de la garde de la
ville, trois chartes de la Division spéciale ont étaient créées pour les combattre. Ils ont créé les
Chasseurs de Sorcières, un groupe de travail chargé sous mandat de découvrir tous les utilisateurs de
magie opérant sans consentement express de la Guilde; les Marshalls de la Mort, dont le fardeau est
de mettre au repos les praticiens des arts nécromantique nauséabonds et leurs serviteurs; et les
chasseurs de Neverborn, une enclave de tueurs d'horreur, dont le travail est de chasser et d'éliminer
les ennemis que sont les monstres Malfauxiens.
Il y en a qui diraient qu'il n'y a pas de véritable monstre pire que son prochain. Bien que je doute
que tout ceux qui épouse de telles philosophies indulgentes en reste convaincu après avoir regardé
directement dans le regard d'une monstruosité Neverborn, quand on pense à la situation critique des
premiers mineurs de Malifaux on ne peut être pardonné pour héberger de telles conceptions. Les
conditions de travail dans les mines étaient au-delà de déplorable, avec les mineurs qui meurent par
étouffements et des déprédations des créatures malveillantes.
Le gouverneur généra est demeurée sans rien faire face aux hommes et femmes qui ont risqué
leurs vies pour les Soulstones dont la guilde avait si désespérément envie. La guilde se souciait peu
du sort des mineurs. Tant que les Soulstones afflues, la mort et le démembrement de ses acquis
faisaient simplement partie d'un bilan.
Finalement, les risques professionnels auxquels les mineurs ont été confrontés étaient trop grands
pour être ignorer. Après des semaines d'émeutes et de violence qui a vu des victimes des deux côtés,
les mineurs et l’Union des Artisans a reçu la légitimité par la guilde. Alors que le labeur des mines est
toujours éreintant, et loin de la sécurité, si la guilde pousse ses travailleurs trop loin elle peut
s'attendre à un soulèvement sanglant et organisé de ces travailleurs communs qui gardent les
engrenages de la ville et de l'industrie en état de tourner avec le sacrifice de leur sang, de leur sueur,
leur labeur, et dans de nombreux cas, leur vie même.
La colonisation de la ville a repris en force et des vastes pans entiers de la métropole ont été
retapés depuis.
Aujourd'hui, un quart complet de la ville est actuellement sous le contrôle de la guilde.
LA BRÈCHE
Et maintenant, ces souvenirs sont mon cadeau pour vous, cher lecteur. Laissez-moi commencer,
encore une fois, par le début.
J'ai déjà parlé brièvement de la brèche, mais je vous assure que de simples mots ne peuvent pas
capturer ne fussent qu’une petite fraction de sa majesté. Néanmoins, je vais essayer d'évoquer ce
que je ressent vis-à-vis de ce monument merveilleux, de sorte que ceux qui n’ont pas encore
traversés la frontière puissent éprouver un petit aperçu de sa gloire, et que ceux qui ont percé son
époustouflant seuil puissent, avec moi, se souvenir de ce qui peut très bien être le plus bel artefact
de ce monde ou de tout autre monde.
C'est la brèche qui délimite votre passage d'un monde dans le prochain, le bleu aveuglant de votre
transition. Lorsque vous traversez, bien que ce ne soit pas explicitement clair pour vos sens externes
qu'il y a eu un changement, il y a quelque chose au fond de vous qui simplement et clairement sait
que vous êtes dans un autre monde.
Je me souviens de la première fois que j'ai traversé la Brèche. L’empressement, l'anticipation (et
oui, même les plus petites peur) à l'idée de traverser vers Malifaux pour la première fois. Avant la
brèche, il y a peu à entendre autre que la conversation des passagers du train, le broyage des roues
sur les rails, et le vacarme de la locomotive. Quelques minutes avant la rencontre avec la Brèche, à
l'approche, les conversations des passagers vont mourir dans un murmure. La voiture sera
entièrement calme, dans une anticipation silencieuse. Les passagers peuvent sentir, même si ils n’en
sont pas complètement conscients, qu'ils sont sur le point d’entrer dans la brèche. Certains
changeront de couleur, d'autres auront des difficultés à respirer, les autres ne ressentiront aucune
réaction.
La brèche a été décrite différemment par beaucoup d’hommes différents. Alors que la grande
majorité le voit comme un bleu miroitement, il y en a quelques uns qui l'ont décrit comme une
lumière violacée, et d'autres qui sont catégoriques, il brille d’une couleur verte ou orange. Il y a un
érudit des premiers jours qui a décrit la brèche comme "Une grande déchirure rougeâtre, avec des
vrilles scintillantes d'énergie rayonnant qui semblait saisir et se retirer comme si elle était vivante."
Un autre a dit, "Elle m'a semblé être un cercle bleu parfait, brillant en son centre d’une lumière
blanche et pure. Si je regardais dedans pendant assez longtemps mon esprit porrait presque saisir un
motif, un mandala infiniment complexe, que je serais si près de comprendre mais que mes yeux
rejetteraient, ils refuseraient simplement de le voir. "
Pour moi, quand je l'ai vu de près, c'était d’un brillant opaque et argenté-bleu, comme la surface
d'un lac de conte de fées suspendu dans les airs, encadré et tenu par le moteurs de pompage à
vapeur de la porte. C'est ce qu'on m'a dit la façon la plus commune de voir la brèche, mais je vous
l'assure cela ne la rend pas moins à couper le souffle.
Mes excuses pour l'aparté. Comme je le disais, comme le train passe, il y a une faible lueur devant
vous pour vous dire que vous approchez de la brèche, et c’est très peu de temps après que vous
traversez. Pour la plupart d'entre nous, il y a un bref éclair, une légère sensation de picotement ou
pas de sensation du tout. Ici aussi, cependant, l'expérience varie énormément. Il y a des rapports
d’hallucinations visuelles et auditives. Certains de ceux qui traversent la brèche rapportent que,
pendant un bref instant, les lumières clignotent et qu’ils se sont retrouvés seul dans leur voiture de
train pour un long moment d’attente, jusqu'à ce que les lumières de la voiture clignotent à nouveau
et qu’ils furent entourés une fois de plus par leurs compagnons de voyage. Certains Passagers
rapportent avoir vu leur reflet à la fenêtre du train et leur propre visage leur faire un sourire en
retour, un clin d'œil diabolique, ou pleurer sur eux pour obtenir de l'aide. Pour certains, le temps
ralentit, et la traversé de la brèche prend quelques minutes au lieu de secondes, les autres passagers
se déplaçant plus lentement que de la mélasse, chaque souffle ou battement de cils devenant une
minuscule symphonie, et voyager à travers la porte est plus comme se déplacer dans un tunnel
lumineux que le bref chatoiement ressenti par la plupart.
Il y a des rumeurs, pour la plupart non fondées, d'autres réactions plus sauvages et plus violentes à
la brèche. Dans ses contes on dit quee la foudre passe au large des hommes, que des passagers sont
jetés dans des crises d'épilepsie violentes (et, certains disent, compte tenu de leur force de dix
hommes, se débattant violemment sur le sol, retournant les bancs du train comme du petit bois et
par inadvertance cassant les os des passagers qui essaient de les aider). On parle même d'immolation
humaine spontanée. Demandez à n'importe quel cheminot de la gare de Malifaux à propos du sort
de Run Nineteen et regardez les frémir. Ils disent qu’un train entier de passagers a juste disparu dans
l’air, la locomotive glissant silencieusement dans la station sans âme à bord.
Indépendamment des détails, le changement soudain de ciel et le paysage vous permettent de
savoir que vous êtes entré dans un autre monde. Sauf catastrophe extrême, les ronronnements du
train inexorablement vous feront entrer dans l'approche de la ville. Pour certains, une grande
aventure les attend, pour les autres un dur avenir de tourment et de labeur. Il y en a beaucoup
qui vaquent à leurs occupations et retourne sur Terre avec des souvenirs agréables. D'autres auront
vu s’éveiller des pouvoir étrange dans la partie la plus profonde de leurs âmes, la façon même dont
ils voient le monde irrévocablement modifié. Ce premier passage dans la Brèche est un baptême de
trie, la première fois que la ville se réveille à votre présence. Si vous êtes chanceux, ou ne lui posez
pas de menace, ou si vous n’avez aucune conséquence pour elle, vous pouvez traverser indemne.
L'APPROCHE
Un moment ou deux après la Brèche vous verrez les premières structures de Malifaux, votre
premier aperçu des murs et les tours de la célèbre ville dans toute sa gloire tentaculaire. Plus de
vingt miles du nord au sud (et deux fois plus long, disent-ils, de l'est à l'ouest), elle est vraiment l'une
des plus grandes métropoles du monde (bien que moins de la moitié ne soit actuellement habité).
À ce moment, le train arrive à l’arrêt à Malifaux Station, ses grands foyers et statuaire de marbre
offrant un opulent bienvenue. Ici, vous serez mélangé avec tous le reste des nouveaux arrivants. Les
gardes de guilde vérifieront vos papiers pour s’assurer que tout est en ordre, et
peuvent faire une inspection complète de vos biens pour être sûr que vous n'êtes pas en possession
de biens interdits. Ici, comme toujours, votre tenue déterminera votre traitement probable.
Messieurs en fin costumes, ainsi que les dames d'accompagnement avec de frileuses robes
françaises, seront traitées avec précaution et avec une grande déférence. Ceux qui apparaissent
échevelés peuvent être poussés, leurs effets personnels éparpillés sur le sol.
Le niveau de parrainage de vos documents pourra également avoir un impact sur votre traitement
et la quantité de temps qu'il vous faut pour faire votre chemin à travers les portes.
Être commandités directement par un membre supérieur de la Guilde ou
l'un des riches conglomérats assurera un passage rapide. Les papiers génériques permettant un
simple visa minier, ou proclamant votre servitude sous contrat, peut vous faire attendre à la gare de
Malifaux et encore à la porte pendant des heures.
Il y a parfois des patrouilles de chasseurs de sorcières qui surveillent les procédures, leurs sbires
traqueurs tordus reniflant l'air pour repérer tout soupçon de contrebande surnaturellement active
ou dotation surnaturelle non autorisée. Beaucoup de malheureux se sont retrouvés pris au piège par
les chasseurs de sorcières simplement en raison d'un réveil arcanique non sollicité en
traversant la Brèche, incarcérés dans la prison de la Guilde à cause d’une faute n’ayant rien à voir
avec leur volonté ou pressés de rentrer au service de la Guilde.
Les traqueurs sont une ressource rare, cependant, et ne sont donc pas toujours présent à la Brèche,
mais ils sont souvent présents, assez pour décourager ceux qui ont une forte signature arcanique
d’entrer et sortir de la ville à leur guise.
De là, il est une courte promenade ou même un trajet en chariot encore plus bref pour la porte nord.
Comme vous faites votre chemin à travers la ville, vous verrez, si vous regardez à votre gauche (le
côté sinistre, si vous voulez), le domaine tentaculaire du palais du gouverneur général, ses
colonnades de marbre solides étant un témoignage de la vraie puissance et de l’autorité de cet
endroit. Si vous êtes très chanceux, vous pourrez voir le Gouverneur lui-même, debout sur l'un de ses
nombreux balcons.
À votre droite, dans toute sa gloire imposante, se dresse l’Arbre aux pendus depuis des temps
immémoriaux. Ce grand béhémoth a de sculpté sur sa grande écorce usée par les intempéries un
motif impénétrable de sigles faibles, tourbillons et lignes qui défient l'explication sur le fond de son
tronc gris-noir et jusqu’au sommet de ses branches sans feuilles. Dans ses branches, vous verrez en
outre, suspendus et couvert d’un capuchon, le corps de Jack Daw et les cadavres de ceux que la
Guilde a jugé bon de l'accompagner.
Ne vous méprenez pas, le placement de ces deux sites n'est pas un accident. Les vérandas du
manoir du gouverneur sont un symbole de la richesse de la Guilde, une promesse d'opulence et de
richesse pour ceux qui font ce qu'on leur dit. L'arbre suspendu est un avertissement, un sombre
rappel du sort violent de tous ceux qui osent braver les pouvoirs de la ville.
C'est alors et seulement alors que vous aurez fait votre chemin vers la porte nord et fait vos
premiers pas dans la ville.
En passant, le point de contrôle de la Guilde à la porte nord il y a deux ensembles d'escarpements.
L'un tourné vers l'intérieur et l'autre vers l'extérieur. La guilde a construit la porte non seulement
pour protéger les frontières de Malifaux contre les mécontents et les contrebandiers, mais aussi pour
mener une bataille défensive si jamais la Brèche venait à être en état de siège à nouveau. Cela a la
conséquence inattendue de rappeler à quiconque entrera dans la ville que la brèche peut, à tout
moment, se refermer sur elle-même et laisser les habitants de Malifaux se débrouiller seuls.
Une fois que ces premiers repères et fortifications ont été passés, et la paperasse et les effets
personnels correctement vérifiés, vous pouvez faire votre chemin, enfin, dans la ville elle-même.
CENTRE VILLE
The portail nord conduit les nouveaux visiteurs directement dans le centre-ville de Malifaux, le cœur
riche de la ville. Ici les rues pavées sont propres, et les lampes à gaz gardent les voies et avenues bien
éclairées. Vous trouverez les habitants de cette section de la ville bien habillée et souvent nettement
moins pressés d'aller où ils vont. Une autre façon de comparer cette partie de la ville qui se dresse en
relief brutal avec les autres sections de la ville est dans la présence omniprésente des patrouilles de
garde de la Guilde, souvent accompagnées de leurs Constructs Pacificateurs. Bien que prétendre que
le centre-ville est entièrement sûr soit peut être trop généreux, les menaces qui pèsent sur les autres
les districts sont grandement diminués. Un monstre Neverborn ou une attaque Résurrectionniste
fera parfois son chemin passé les points de contrôle de la Guilde, mais ces incursions sont brèves, et
aucune offensive à grande échelle ne menace jamais la paix attendue par les habitants de la région
du centre-ville de Malifaux (sauf, bien sûr, cette seule attaque par le fou Seamus).
La nature raréfiée du haut du centre-ville diminue légèrement comme vous vous dirigez dans son
quartier inférieur. Au sud du poste de contrôle de la ruelle Meeple, les voies s’ouvrent sur la place de
l’atrium. D'un côté de la place, vous êtes susceptible de rencontrer des travailleurs et des agitateurs
sur la seule place du centre-ville se rendant à une réunion au Hall des mineurs et machinistes, tout à
fait opulent par leur normes. De l'autre côté, vous êtes susceptible d’être témoin de grands groupes
de mineurs, d’officiers de la guilde, de colons, de machinistes et de métallos tous sur leur chemin
pour se rendre à un spectacle au célèbre Star Theater.
Le Star Theater (qui, bien sûr, dans le temps avant la fermeture de la première brèche, était
autrefois connu de loin et très largement comme le Star Opera House), est une vraie merveille
architecturale, une merveille à voir. Comme on entre, un ne peut s'empêcher d'être frappé par son
échelle immense. Des chevrons voûtés courent le haut plafond, à partir duquel le lustre offre un
affichage étincelant, baignant la pièce dans une chaude lumière jaune. De riche rideaux de velours
cramoisis accrochés sur les murs parmi les colonnes finement sculptées regorgent de chérubins
dansants (et, si l'œil est assez vif, vous pouvez voir parmi les chérubins d'occasionnel démon, mais il
se dit que les démons changent d’emplacement chaque nuit). Il y a, à gauche de la scène, un énorme
orgue à tuyaux, et la scène elle-même est éclairée par deux rangées complètes d’éclairage de scène
dynamo-alimenté.
La beauté de l'architecture passe au second plan aprés la magnificence du spectacle de la scène.
Comme le rideau recule et que les lumières prennent vie, le spectateur est accueilli avec
une ligne de refrain de certains des meilleurs artistes dans la ville. A mi-chemin de la danse, les filles
du Star Théâtre inviteront tous les participants pour la première fois sur la scéne pour participer à
leur version du Can-Can. Enfin, le dénouement, une performance de la légendaire
illusionniste, Mlle Collette Du Bois. Une magicienne de l’ordre le plus élevé (bien que les plus
mondains artistes de variété du coté de la Terre, nous ont assurés, cependant de nombreuses
rumeurs
contraire). Du Bois fait vibrer le coeur et éblouit l'esprit avec des éclairs de lumière, les colombes font
leurs évasions à partir de hauts chapeaux, et le célèbre sciage rempli de fleurs la moitié d'un assistant
dans une boîte; tous les tarifs sont standard, mais c’est vraiment la présence scénique de Mme Du
Bois qui fait du spectacle un souvenir à chérir toute une vie. Cela et son tour final de la nuit, un chef-
d'œuvre du métier d'illusionniste dont je ne gâcherai pas les mystères pour que vous ne manquiez
pas la chance de voir le spectacle en personne.
La Place de l’Atrium mène au Boulevard vers le sud et le centre-ville se termine par les méandres
vers le pont Hurrycross, qui relie le centre ville aux bidonvilles riverains. À l'est, il y a des voies de
communication menant aux bidonvilles de l'est, et à l’ouest, vous trouverez le ciel couvert de suie de
la zone industrielle et les patchworks branlants des nouvelles zones de construction.
LES BIDONVILLES
Nulle part le sort de l'homme commun et du travailleur n’est plus évident que dans les nombreux
bidonvilles de Malifaux. Vous les trouverez à l'est et au sud des rues éclairées par des lampes à gaz
du centre-ville, ainsi que des zones de quarantaine à travers Malifaux. Les bidonvilles
forme de loin la plus grande catégorie de zones légalement habitées trouvé au sein de
Malifaux. Chacun contient une collection de logements en ruine tentaculaire et délabré, barrés de
planches, bordels, tripots, et d’entrepôts à moitié abandonnés, les bidonvilles sont les lieux où la
majorité des plus pauvres habitants de Malifaux passent leurs vies (quand ils ne sont pas esclaves au
loin dans les mines et les usines ou au service de riche, bien sûr).
Il y a neuf districts de bidonville distincts, chacun abritant une douzaine ou plus de quartiers
distincts, avec des territoire jaillissant tout le temps comme des portions des bidonvilles englobent
lentement la zone de quarantaine. Le niveau de la sécurité personnelle et la prospérité générale qui
peut être attendu de ces quartiers varie énormément. Certains sont des poches relatives de stabilité,
presque toujours en raison soit de la proximité d'une guilde particulièrement consciencieuse au point
de contrôle ou la présence syndicale des machinistes servant à dissuader les pires éléments criminels
et les déprédations les plus flagrantes des Neverborn et des Résurrectionnistes, qui sont une
constante peste à ceux qui font de ces sections de la ville leurs maisons. Les autres quartiers ne
bénéficient pas de tels augustes patronages. Ici sont logés les fatigués, les pauvres, les désespérés, et
les affamés, ceux qui n'ont pas la richesse ou des connexions au sein de la guilde pour établir leur
maison dans un quartier plus prospère de la ville.
Les bidonvilles deviennent plus stables à mesure qu'ils se rapprochent des secteurs contrôlés par la
guilde de la ville, avec les bords des bidonvilles étant parmi les plus sûrs, suivi de près par les
parties centrale des bidonvilles les plus proches de la nouvelle zone de construction industrielle, et
enfin par les bidonvilles de Riverfront et les autres quartiers plus petits. La sécurité est également
plus élevé à proximité de la myriade de points de contrôle de la Guilde et des fortifications qui se
trouvent au plus profond des bidonvilles, dont certaines sont directement reliés à l’enclave de la
guilde via la ligne Aircar, bien que cela semble être autant un spectacle de l'hégémonie de la guilde
qu’une tentative de garder les citoyens des bidonvilles à l'abri du mal.
Les bidonvilles les plus éloignés de l'autorité de la guilde, et ceux qui n'ont pas un champion de
quartier puissant ou une forte présence M & SU, ne sont souvent guère mieux qu’un no-man’s-land
contrôlé par les gangs. Ces portions de bidonvilles pouvant devenir des royaumes miniatures avec
leurs propres droits. Qu'il s'agisse d’un despote bienveillant ou cruel, et combien de temps il est
capable d’opérer sous le nez de la Guilde (ce qui, le plus souvent, est un ensemble de corruption bien
placée et un choix prudent des victimes), affecte grandement la qualité de la vie dans cette partie
des bidonvilles. Quand un chef de gang ou l'organisation d’un criminel est contestée, un quartier
entier peut soudainement passer en guerre semi-ouverte. En tant que tel, la politique et la qualité de
vie, en particulier dans les zones les plus éloignées des bidonvilles sont dans un état de flux constant.
Et pourtant, ces menaces pâlissent en comparaison avec toutes attaques Neverborn ou
Résurrectionnistes communes. De loin pire qu'une simple agression ou être poignarder (bien que ce
soit, bien sûr, pas du tout agréables et souvent tout à fait mortels), le Résurrectionniste va prendre
votre corps et commettre d’indicibles crimes contre votre cadavre, et le Neverborn, si ce qui se dit
est vrai, volera votre âme même. Il est donc fortement recommandé de ne pas voyager à travers les
bidonvilles par vous-même la nuit (ou même, dans certains cas, en plein jour dans les pires
quartiers), et toujours se méfier des visages non familiers.
Ce sont les plus grands et les plus diversifiés parmi les principaux quartiers de bidonvilles. Habitant
à une longue distance du mur Nord de Malifaux en se dirigeant vers le Sud, le bidonville central est
composé de dizaines de quartiers, des quartiers de métallurgistes bordant la zone industrielle aux
mineurs et aux cheminots qui ont établis leurs maisons près de la porte sud. Les bidonvilles centraux
sont si grand et change si souvent que serait un pari de fou d’essayer de les cataloguer de manière
globale, et encore plus d’expliquer la nature des nombreux quartiers différents ainsi que les points
de repère et les bizarreries de cette partie de la ville.
Même ainsi, il y a quelques points de repère sur lesquels je suis presque positif qu’ils n'ont pas
brûlé pendant que j'ai été incarcéré, et peut-être un quartier ou deux peu susceptible de changer
trop radicalement dans un proche avenir.
L'un des points de repère les plus hors de propos des bidonville du centre est la loge de la Société
d’Exploration de Malifaux, une grande maison de campagne située sur la bordure Est presque
abandonné des bidonvilles au sud de la rivière de Malifaux. De leur maison fortifiée ce groupe de
gentlemans réalise des voyages de chasse audacieux dans les Badlands, le Bayou, ou même la zone
de quarantaine, ils peuvent traquer et tuer ce qu’il y a de plus dangereux et insaisissable. Des
traqueurs expérimentés peuvent souvent y trouver un emploi lucratif, en particulier les survivalistes
et hommes d’extérieur qui peuvent promettre de mener les chasseurs de la Société d’Exploration
pour trouver des créatures dont la tête n'a pas encore n’a pas encore trouvée de place sur les murs
de la loge.
Parmi la myriade de quartiers du bidonville central, J'aurais du mal à argumenter que le nom du
plus célèbre pourrait être attribué à un autre que le petit royaume, une enclave ethnique d’expatriés
des Trois Royaume.
A noter ici le Qi et le Gong, une maison de plaisance qui reste un lieu favori de la garde de la guilde.
Il est souvent utilisé comme un lieu de rencontre pour les puissances insulaires du Petit Royaume et
leurs contacts dans le monde extérieur, et si vous êtes un outsider à la recherche d'informations dans
le Royaume, visiter le Qi et le Gong devrait être votre premier pas.
Le Petit Royaume est aussi un favori parmi l’élite de Malifaux pour ses guérisseurs orientaux et les
pourvoyeurs d’objets d'art rares résidents dans les Trois Royaumes. Acupuncteurs et
herboristes sont souvent en mesure de fournir un soulagement pour les maux que les docteurs de
tradition occidentale sont incapables de traiter, et depuis la fermeture des frontières des Trois
Royaumes du côté terre, les antiquités orientales sont devenues extrêmement onéreuses. Dans les
boutiques du petit royaume, je peux attester grâce à mon expérience personnelle, avoir vu une
exceptionnelle partie de l'art des Trois Royaumes, certains des plus beaux vases, sculptures en jade,
gravures sur bois, calligraphie et volutes en dehors des Trois Royaumes eux-mêmes.
Le quartier, comme tant d'autres à Malifaux (et surtout dans les bidonvilles en particulier), a son
côté sombre. Outre les maisons de plaisance, il y a beaucoup d'opium dans le Petit Royaume, fumerie
enfumées remplies de chasseurs de dragon aux yeux terne et aux ongles longs. Les rumeurs
persistent sur des choses encore plus sombres, comme les terrifiantes techniques des
Résurrectionnistes de l'Est, parle d’étrange démonologie orientale, et d'autres rituels trop horrible à
répéter.
La zone industrielle
De grands entrepôts à l'échelle du bloc, privés et contrôlés par des guildes, domine l'horizon ici,
ponctué par le grand nombre de lignes Aircar menant les grands navires volants qu transitent le bois.
Les résidences sont peu nombreuses et loin dans la zone industrielle, et les gardes et les travailleurs
de la région reste collé la plupart du temps à leurs usines et entrepôts, laissant de vastes étendues de
la zone industrielle à l'abri des regards indiscrets. Les activités clandestines qui ne sont pas assez
volatiles pour nécessiter un rendez-vous dans la zone de quarantaine sont souvent menées dans le
calme relatif de la zone industrielle, souvent sous la couverture des nuages de
cendre et de suie omniprésents de la zone industrielle.
La zone industrielle abrite une grande variété de fabrication, mais aucune d’aussi importante et
puissante que les collections d'usines et d'installations sous la responsabilité de Geissel Metalworks.
La célèbre maison de construction est le principal fournisseur de pièces de la guilde
pour leurs Constructs, ainsi que d'avoir une part dans toutes les activités de la guilde et des contrats
privés, en se concentrant principalement sur la construction, mais aussi dans l’armement et la
fabrication et l’assemblage de locomotives. La fusion des usines et des fonderies de Geissel
Metalworks ne fournissent pas seulement la guilde dans tous leurs besoins métallurgiques, mais
fournit également un pourcentage substantiel des colons et des mineurs de Malifaux avec leurs
fournitures, envoyant un flux constant de profits vers le bureau de la mère à Glasgow.
Au sud-est de la gare, se trouvent les bureaux et imprimantes du Malifaux City Record, le seul
journal officiel de la ville (par décret de la Guilde), et par défaut la source principale d'information
pour une grande partie de la ville. Tout comme la seule station officielle Aethervox de la ville, le
Record est honni de loin et largement comme étant un organe flagrante de relations publiques de la
Guilde.
Toutes les autres activités d'impression de nouvelles à Malifaux sont illégales, mais cela ne signifie
pas que les opérations sans entrave n'existent pas. Des journaux indépendants sont connus, et, au
grand dam de la guilde, exposent souvent la corruption et les injustices (mesquines et superbes) qui
sont répandus au sein de Malifaux. Truth's Ragsheet, en particulier, possède les commentaires
sociaux les plus tranchant et les caricatures politiques les plus tapageuses. Ajouté à leur réputation
comme héros du peuple et défenseurs de la liberté d’expression, ces imprimantes souterraines
fonctionnent sous la menace d'un grand danger. En fonction des arguments, faits et secrets
découverts, la punition pour être pris des avec journaux ou des brochures sans licence peut être
assez sévère, allant d'une petite amende ou une peine d'emprisonnement à l'exécution sommaire.
Au centre de la zone industrielle, nichée au milieu de la rangées apparemment infinies d'entrepôts
et d'usines, se trouvent les grandes machines de concassage de la roches et de la station industrielle
de minage. Seulement un petit pourcentage du matériel qui vient des mines contient des pierres
d’âme, et tandis qu'une grande partie du minerai non traité est envoyé directement sur Terre, une
grande quantité de minerai et pratiquement tout le minerai qui verra une utilisation à Malifaux, est
traitée dans la zone industrielle. Des chargements de minerai provenant d’endroit jusqu'à Fortune
Falls et Ridley Station sont soulevées par les énormes grues industrielle et déversé sans ménagement
dans une des usines de traitement de Pierre d’âme-minerai. En même temps, les produits finis sont
replacés sur les lignes de train, à destination de la station de la brèche et au-delà, dans une tentative
désespérée de réduire la soif insatiable de pierre d’âme de la Terre.