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Copie de Naturix SVT Bac SC Exp t1 Ocr
Copie de Naturix SVT Bac SC Exp t1 Ocr
Résumé de cours
. Mobilisation des connaissances
. Restitution organisée des connaissances
. Questions à choix multiples
.« Devoirs de contrôle et de synthèse
. Solutions détaillées
Section
ISciences{expérimentales
©Copyright 2009
COMMENT UTILISER CE CAHIER
Les intentions qui ont guidé la conception de ce nouveau programme sont aussi les objectifs
principaux que nous nous sommes fixés tout au long de l’élaboration de ce cahier.
Il ne s’agit pas en réalité d’un manuel, il a été rédigé uniquement pour soumettre aux candidats
bacheliers des résumés de cours, des exercices et des devoirs résolus leurs permettent de vérifier leurs
connaissances et de bien les familiariser avec le style et l’esprit des sujets proposés au Baccalauréat
actuel.
Le texte de ces exercices et de ces devoirs est souvent extrait de sujets de Baccalauréat et de
sujets proposés par de nombreux enseignants que nous tenons à remercier.
Chaque thème comporte plusieurs rubriques :
. Résumé : est un rappel des connaissances comportant les points forts à connaître
parfaitement pour bien aborder le thème.
" Testez vos connaissances : c’est une rubrique qui rassemble des définitions et des
exercices courts pour vérifier que vous avez bien compris le cours. Elle vous aide à maîtriser le
vocabulaire et les principales notions.
#” Mobilisations des connaissances : c’est une rubrique qui rassemble des exercices
permettant de vous entraîner à mobiliser les connaissances essentielles en vue de résoudre un problème
ou une situation biologique.
Chaque exercice cherche à évaluer votre capacité à résoudre un problème scientifique précis,
en utilisant vos connaissances et en exploitant le(s) document(s).
Les informations apportées vous permettent d’argumenter afin de proposer une explication à un problème
préalablement posé par l’exercice.
A la fin de ce cahier vous trouverez :
= Des devoirs: c’est un regroupement de sujets corrigés composés de deux exemples de
devoir de contrôle N°1, de deux exemples de devoir de synthèse N°1 et de deux exemples de devoir de
contrôle N°2.
Ces devoirs vous aident à réussir vos examens le long de l’année scolaire.
" Des QCM : ce sont des exercices qui couvrent l’ensemble des thèmes abordés.
Les QCM sont des évaluations conçues pour vous assurer la maîtrise de vos connaissances.
e Comment utiliser les corrigés.
Une correction détaillée des exercices et des devoirs figure après chaque proposition.
- Commencez par essayer de faire l'exercice ou le devoir sans regarder le corrigé tout en
respectant {a durée de l’épreuve.
- Par la suite, comparez vos réponses à celles du corrigé.
- Revenez enfin soigneusement sur les points où vous avez commis des erreurs et
identifiez les éventuelles lacunes dans les connaissances.
- Pour les QCM, répondez directement au crayon, en entourant les réponses justes.
Comparez ensuite vos réponses avec le corrigé. Lorsque vous vous êtes trompé dans une
réponse.
Consultez la définition correspondante dans le résumé ou dans la rubrique «Testez vos
connaissances ».
SOMMAIRE
DEVOIRES
Devoir de contrôle 1 (1) 174 198
Devoir de contrôle 1 (II) 178 201
Devoir de synthèse 1 (1) 181 206
Devoir de synthèse 1 (II) 185 211
Devoir de contrôle 2 (1) 190 216
Devoir de contrôle 2 (IL) 193 219
✍
TN
ES
U
CHAPITRE Q 1
FI
TI
N
IE
SC
La Reproduction humaine
C
BA
B:
F
pe
ou
gr
La fonction reproductrice chez l'homme Résumé du cours
Thème 1
LA FONCTION REPRODUCTRICE CHEZ L'HOMME
✍
*Chez le mammifère mâle adulte, le testicule assure une double fonction :
- une fonction exocrine : la spermatogenèse (production de spermatozoïdes)
au niveau de la paroi des tubes séminifère.
TN
- une fonction endocrine : la sécrétion de la testostérone (principale hormone
sexuelle mâle) par les cellules interstitielles (de Leydig).
ES
*Les caractéristiques cytologiques du spermatozoïde permettent
l’accomplissement de sa fonction.
U
Q
2) le contrôle hormonal
*La testostérone est d’abord responsable du développement des organes
FI
génitaux et de l’apparition des caractères sexuels secondaires lors de la
TI
puberté. Elle est ensuite indispensable à la spermatogénèse et au maintien des
caractères sexuels.
N
IE
ENONCES
✍
\ Définissez les mots ou expressions ci-après :
TN
- spermatozoïde - tube séminifère - testostérone - inhibine - acrosome
ES
\/ pour des raisons médicales sévères, il arrive que le médecin pratique la
castration chez l’homme adulte.
U
a- Indiquez les conséquences de cette castration.
Q
b- Si le sujet castré reçoit des injections des extraits testiculaires, les effets de
FI
cette castration sont-ils corrigés ? Justifiez votre réponse.
TI
Ÿ Quelles sont les cellules sécrétrices et les cellules cibles de chacune des
N
restant.
B:
Ÿ EÉliminez l’intrus :
F
Testostérone
c- Epididyme c- Spermatogonie c- Fructose
gr
✍
>
TN
ES
U
Q
FI
Figure(1) Figure(2)
TI
spermatozoïde ?
BA
Document (2)
8
La fonction reproductrice chez l’homme Enoncés
✍
TN
Document (3)
ES
a- Nommez chacune de ces cellules. Justifiez.
U
b- Replacez ces stades dans l’ordre chronologique de la spermatogenèse.
c- Quelle(s) différence(s) de garniture chromosomique peuvent présenter les
Q
FI
deux pôles de la cellule A? et de la cellule C”.
4) En vous limitant à trois paires de chromosomes et en adoptant le modèle
TI
interstitielles | °Condaires
Injection de Déveloné
pe
Injection de activées
gonadostimuline (FSH) à | partiellement développées inactives absents
gr
l’animal impubère
✍
témoins témoins témoins témoins
= + + +
Cellules Cellules de cellules cellules
TN
Activité des cellules hypophysaires | rein ou de rate | de Sertoli | de Leydig
de l’hypophyse ou d’un autre
antérieure organe
ES
Libération de FSH dans le milieu | 100% 100% 60% 100%
Libération de LH dans le milieu 100% 100% 100% 60%
U
1) Quelles informations tirez-vous de l’analyse de ces résultats
expérimentaux ?
Q
FI
2) Mettez en relation ces derniers résultats et ceux présentés dans le tableau
TI
A.
N
IE
testostérone gonadostimulines ……
{en unités arbitraires) {en unités arbitraires)
22
20
B:
. +18
r 16
F
14
pe
12
10
+8
ou
T6
-4
gr
+2
10 2 30 40 50 70 80 90
âge (en années)
d'aprés Pedersen-Bjergaard et Tonnesen
10
La fonction reproductrice chez l'homme Enoncés
✍
3) Le contrôle de la fonction reproductrice mâle.
*1 ère série d’expériences
Les documents 1, 2 et 3 présentent trois protocoles expérimentaux effectués
TN
sur des rats mâles.
Document 1 : Les animaux sont castrés. Outre la stérilité, on constate une
ES
régression de divers caractères sexuels. Le tracé 1 indique, en particulier,
l’évolution de la masse de la prostate en fonction de temps.
U
Document 2 : Les animaux B sont castrés. Après 30 jours, on greffe dans un
Q
territoire bien vascularisé, un testicule. Si le greffon prend, on constate que
les tubes séminifères s’atrophient. Les cellules de Leydig restent bien
FI
développées. On constate par ailleurs, que seuls les Caractères sexuels
TI
primaires et secondaires qui se rétablissent. Le tracé 2 indique l’évolution de
la masse de la prostate.
N
+ —+ +——+ + +——> ü
\ 7 14 Temps | 7 14 Temps À 7 14 Temps
1 Yours) 4 {ours} Yours)
ou
11
La fonction reproductrice chez l’homme Enoncés
✍
Castration Hypertrophie de
2 l’hypophyse
TN
Sécrétion accrue
de FSH et de LH
Mise en Mise en Testicules de Hypertrophie de
ES
circulation croisée circulation nouveau actifs l’hypophyse et
3 avec le Rat B croisée avec le Sécrétions
Rat D corrigées de FSH
U
et de LH
Q
Circulation Diminution de LH.
croisée Pas de diminution
FI
4 supprimée puis de FSH
injection de
TI
testostérone à
forte dose
N
IE
troubles de puberté. Un examen clinique a été pratiqué sur ces sujets afin de
doser les taux plasmatiques de testostérone et de LH durant 24 heures.
C
12
La fonction reproductrice chez l'homme Enoncés
[A], [e]
✍
5 5 5
TN
3 3 3
1 1 1
ES
T6 1 8 4h T6 12 18 24h 06 12 18 24h
Document (2)
U
Q
a- À partir d’une comparaison des profils de sécrétion de LH, indiquez, pour
FI
chacun des sujets A et B, la (ou les) hypothèse(s) qui reste(nt) valable(s).
Expliquez votre choix.
TI
observés chez A et B.
IE
SC
Document (1)
13
La fonction reproductrice chez l'homme Enoncés
✍
Apestostérone (ng/mL) LH (ng/mL-1)
| {ng/mL:1)
TN
10] 20
8
6 10 Li
TT
ES
:
21
U
12 34 5 6 7 8 9 10 jours 7 3 0 3 6 9 12 jous
Q
ren cn FI de testostérone
variation des taux de testostérone et de LH chez variation des taux de LH chez un homme
un rat adulte castré,en fonction du temps normal suite à une injection de testostérone
TI
Document(2) Document(3)
N
apportées par les questions précédentes présentez un schéma bilan qui illustre
la régulation de la sécrétion de la testostérone chez l’homme.
SC
C
BA
F B:
pe
ou
gr
14
La fonction reproductrice chez l’homme Solutions
CORRIGES
NL Définitions :
✍
- Spermatogenèse : ensemble de divisions et de transformations des cellules
TN
germinales qui conduisent à la formations des spermatozoïdes.
ES
spermatogenèse et une lumière en continuité avec le canal déférent qui
collecte les spermatozoïdes libérés.
U
Q
- Testostérone : hormone sexuelle mâle sécrétée par les cellules de Leydig
FI
des testicules, responsable de l’apparition, du développement et du maintien
des caractères sexuels primaires et secondaires.
TI
N
- Inhibine : hormone sécrétée par les cellules de Sertoli qui freine la synthèse
et la sécrétion de FSH par les cellules gonadotropes.
IE
SC
Justification : le contrôle des caractères sexuels est assuré par voie endocrine.
gr
15
La fonction reproductrice chez l’homme Solutions
✍
l’hypophyse | l’hypophyse lamus
Cellules cibles + Cellules qui expriment les Cellules de | Cellules de Cellules
TN
caractères sexuels F° et II" Sertoli Leydig hypophysa
+ Cellules sécrétrices de -ires
LH, de FSH et de GnRH sécrétrices :
+ Certaines cellules de la ° LH
ES
lignée germinale ° FSH
U
Q
Ve testostérone exerce en retour une action inhibitrice sur le
fonctionnement du complexe hypothalamo-hypophysaire (rétrocontrôle
FI
négatif) et freine alors la production de LH et par conséquent il se produit une
TI
diminution de la stimulation des cellules de Leydig et par suite une baisse de
la sécrétion de testostérone.
N
Ÿ
B:
5-l:c 52:d
F
pe
A- 1) légende de la figure 1
Titre : organisation schématique du spermatozoïde
gr
16
La fonction reproductrice chez l’homme Solutions
✍
- Tête sphérique qui semble dépourvue d’acrosome.
- Absence de mitochondries.
TN
- Absence de flagelle,
b- Par sa mauvaise forme la propulsion du spermatozoïde est gênée.
- Par l’absence de mitochondries la production d’énergie est empêchée.
ES
- Par l’absence de flagelle le mouvement reste impossible.
Déduction : la fertilité de Mr x est mise en cause.
U
B-1)
1- spermatozoïde 2- lumière 3- cellules de Leydig ou interstitielles
4- capillaire sanguin 5- membrane basale d’un tube séminifère
Q
FI
6- cellule de Sertoli 7- spermatogonie 8- spermatocyte I
TI
9- spermatocyte IT 10- spermatide
2) La réponse peut être présentée sous forme d’un schéma annoté :
N
IE
1 mitose
We ic:
SC
: ! … division
b;o: QE: : :
: ; CE
al 1. 1 a-
spermatogonie : : : QT œ
C
souche k : oQ GE: : æ
BA
; # il
STADES LT .
CELLULAIRE spermatogonies spermatocytes | spermatides spermatozoïdes
} À
74 jours ë + et chronologie de la
spermatogenèse chez l'Homme
F
17
La fonction reproductrice chez l’homme Solutions
Hors
✍
TN
xx
ES
)p ?
U
Q
FI
TI
nn L’injection de LH à l’animal impubère active les cellules de
Leydig et fait développer les caractères sexuels secondaires. Cependant les
N
LH.
BA
traitement reste sans aucun effet sur les cellules de Leydig et les caractères
sexuels secondaires.
F
18
La fonction reproductrice chez l’homme Solutions
✍
- Les cellules de Sertoli inhibent (freinent) la sécrétion et la libération de FSH
par les cellules hypophysaires sans modifier la sécrétion et la libération de
TN
LH.
- Les cellules de Leydig inhibent la sécrétion et la libération de LH par les
ES
cellules hypophysaires sans modifier celle de FSH.
2) D’après le tableau A, on a montré que le fonctionnement du testicule
U
(cellules de Leydig et cellules germinales) est sous contrôle hypophysaire.
Q
D'autre part, d’après le tableau B, on a montré que les cellules de Sertoli
agissent par rétrocontrôle négative sur le fonctionnement des cellules
FI
hypophysaires :
TI
sécrétion de testostérone.
F
* A l’âge adulte (20 —> 40 ans) on note une certaine stabilité des sécrétions de
pe
gonadostimulines et de testostérone.
En effet tout pulse de LH entraîne un pulse de testostérone. Chaque pulse de
ou
19
La fonction reproductrice chez l'homme Solutions
1) * 1° analyse :
1ère
- Le document 1 de la série d’expériences montre que la castration des
rats mâles, ne rend pas seulement les animaux stériles, mais entraîne une
✍
régression des caractères sexuels et en particulier la masse de la prostate. Le
tracé 1 montre que cette masse chute de 100mg à 10mg durant les 20 jours
TN
qui suivent la castration.
- L'étape 2 de la 2°" série d’expériences montre que la castration du rat B
entraîne également l’hypertrophie de l’hypophyse et la sécrétion accrue de
ES
FSH et de LH contrairement à l’étape 1 (témoin = rat B non castré).
U
— Conclusion (rôle des testicules) : les testicules assurent la fertilité et le
maintien des caractères sexuels (en particulier la masse de la prostate). De
Q
plus les testicules freinent les sécrétions hypophysaires de FSH et de LH.
FI
# 2° analyse :
TI
pème
- la 1% étape de la série d’expériences montre que l’ablation de
l’hypophyse du rat D entraîne la régression des C.S.I°"* et Il” et l’arrêt de la
N
spermatogenèse.
IE
testicule après castration ne modifie pas l’aspect des cellules de Leydig mais
BA
fonction (exocrine).
pe
3) * 1° analyse :
- Le document 3 de la 1°° série d’expérience montre que des implants libérant
ou
de la testostérone chez un rat castré donnent le même effet que la greffe d’un
gr
20
La fonction reproductrice chez l’homme Solutions
✍
deviennent de nouveau actifs (par rapport à l’étape 1).
— Conclusion: l’hypophyse contrôle l’activité des testicules
TN
(spermatogénèse et activité des cellules de Leydig) par voie hormonale.
ES
VW, a- Chez les trois sujets, la sécrétion de testostérone est pulsatile.
U
Cependant la fréquence et l’amplitude des pulses varient d’un sujet à un
autre.
Q
- Chez A: 6 pulses / 24 heures d’amplitude environ 100 ng/dl tel que la
FI
concentration varie entre 200 et 300 ng/dl.
TI
- Chez B : 7 pulses / 24 heures mais d’amplitude nettement inférieur à 10
ng/di tel que la concentration varie entre 10 et 30 ng/di.
N
peut alors émettre les hypothèses suivantes qui expliquent la faible sécrétion
BA
- Hypothèse 4 : LH anormale.
pe
21
La fonction reproductrice chez l’homme Solutions
✍
Remarque : pour le sujet B, on peut remédier par des injections de LH si
l’anomalie de LH est confirmée.
TN
ES
à. 1) a-
1- spermatogonie en mitose 2- spermatogonie 3- spermatocyte I
U
4- spermatocyte I en division réductionnelle de la méiose (anaphase I)
5- spermatocyte II en division équationnelle de la méiose (anaphase IT)
6- spermatocyte Il 7- spermatide
Q 8- cellule de Sertoli
FI
9- spermatozoïde 10- cellule de Leydig (ou interstitielle)
TI
11- capillaire sanguin
b- La cellule 7 (spermatide) est une cellule haploïde.
N
spermatocyte I, 2n = 8 chromosomes.
SC
. cellule 4 cellule 5
pe
22
La fonction reproductrice chez l’homme Solutions
✍
ng.ml' en 8 jours. Parallèlement, on note une augmentation progressive du
taux de LH à 21 ng.ml!.
TN
—> Conclusion: le testicule freine par rétrocontrôle négatif la sécrétion
hypophysaire de LH.
ES
Document 3
L’injection de testostérone chez un homme normal entraîne une chute
U
provisoire du taux de LH.
Q
—+ Conclusion: la testostérone est une hormone qui freine la sécrétion
hypophysaire de LH
FI
* En mettant en relation les résultats des deux documents, on déduit que le
TI
testostérone.
©)
IE
SC
Hypothalamus
C
GnRH
BA
Rétrocontrôle LH
négatif sur LH + (Active la sécrétion de
ou
testostérone)
gr
Cellules de Leydig
, Testostérone À
Régulation de la sécrétion de la testostérone chez l’homme
23
La fonction reproductrice chez la femme Résumé du cours
Thème 2
LA FONCTION REPRODUCTRICE CHEZ LA FEMME
✍
- Evolution de quelques follicules qui aboutit régulièrement à la maturation
TN
d’un seul follicule et la libération d’un ovocyte II bloqué en métaphase IT au
moment de l’ovulation et la formation d’un corps jaune cyclique pendant la
phase lutéale : c’est le cycle ovarien.
ES
- Sécrétion périodique d’hormones ovariennes qui sont les œstrogènes (par
les follicules en croissance) en phase folliculaire et les œstrogènes et la
U
progestérone (par le corps jaune) en phase lutéale : c’est le cycle des
hormones ovariennes.
Q
FI
*Les sécrétions ovariennes cycliques assurent une modification cyclique de
TI
*La production cyclique des hormones ovariennes est commandée par une
SC
hypothalamique, la GnRH.
BA
1- En phase folliculaire.
ou
24
La fonction reproductrice chez lafemme Résumé du cours
✍
avec vascularisation et développement des glandes en tube.
Du 12°% > 14% j (fin de la phase folliculaire), le follicule mûr qui échappe
TN
à l’atrésie engendre un pic d’œstradiol qui exerce :
- Sur le complexe hypothalamo-hypophysaire — un RC+ entraînant une
augmentation des pulses de GnRH et par suite de LH et FSH donc décharge
ES
brutale de FSH et surtout de LH : pic ovulatoire (éclatement du follicule mûr
et libération de l’ovocyte IT.
U
- Sur l’utérus —> effet accentué sur le myomètre (contraction) et sur la
muqueuse (prolifération).
Q
FI
TI
2- En phase lutéale
N
engendre:
SC
25
La fonction reproductrice chez la femme Enoncés
ENONCES
✍
- folliculogenèse
- phase folliculaire
TN
- phase lutéale
- ovulation
ES
Via liste ci-dessous indique un certain nombre de structures et de
U
données sur les hormones intervenant au cours d’un cycle sexuel de la
Q
femme.
a- taux élevé de progestérone
FI
b- foilicule mûr
TI
Former des ensembles pour associer les structures et les données hormonales
pouvant exister dans la même période du cycle sexuel chez la femme (vous
F
hypophysectomisée
a- Les ovaires de B retrouvent une activité cyclique normale
b- L’hypophyse de A n’est plus fonctionnelle
c- L’utérus de B ne retrouve pas ses activités cycliques
d- Les pulses de GnRH hypothalamique de A cessent
2- On essaie de préciser le rôle de l’œstradiol dans la sécrétion de LH chez
une guenon ovariectomisée. On réalise à partir du temps to des injections
26
La fonction reproductrice chez la femme Enoncés
✍
Taux de LH au cours
d'i
t »
TN
“
LH 30
ES
om) 2
10
U
0
800
OEstradrol 600
Q
ymi)
400
FI
20 |
TI
ER
015
0 4 & ni À À à à
. 4
N
t %
IE
. Document 1
3-Le graphique du document 2 (ci-après) traduit la variation du taux de LH.
SC
10
ou
50
gr
D —
0 5 30 15 20 25 30 Jours
Document 2
27
La fonction reproductrice chez la femme Enoncés
✍
IT) Mobilisation des connaissances
TN
A- Le document A suivant montre les structures ovariennes impliquées
au cours d’un cycle sexuel chez la femme.
ES
ee
neNS NS —__2|
U
Q 4. el 3
FI ET re LU PO
Er S 26 5
TI
N
e
IE
Document À
SC
ou n).
B- Quelles relations peut-on établir entre l’évolution du taux des hormones
F
ovarien ?
gr
28
La fonction reproductrice chez la femme Enoncés
oestradiot
✍
TN
Document B
ES
qu’on peut observer dans les ovaires d’une femme au cours d’une période
allant du 1% mai au 31 mai. Durant cette même période le dosage des
U
hormones ovariennes chez cette femme a permis d'établir la courbe
Q
d’évolution des taux de ces hormones ovariennes (h, et h2)
di-A 2
FI
àuw
TI
um
N
IE
Structure À Structure B
SC
Phase a Phaseb
Document 1
ou
29
La fonction reproductrice chez la femme Enoncés
✍
TN
Lots de rates Lot 1 Lot 2 Lot 3 Lot 4 Lot 5
Injection
d’œstradiol au non non non oui oui
ES
temps t:
Injection de | .
U
progestérone au non non oui non oui
Q
temps t>
bot
FI
Aspect de l’utérus
en fin du
TI
traitement (coupe
N
transversale)
IE
30
La fonction reproductrice chez la femme Enoncés
✍
TN
RETROACTION
ES
+
U
Q
FI
TI
N
IE
SC
se
C
l’hypophyse l’utérus
ou
31
La fonction reproductrice chez la femme Enoncés
✍
sur plusieurs mois, des doses
d’œstrogènes et de
TN
progestérone
ES
1) En utilisant vos connaissances, expliquez les résultats de chacune des
expériences réalisées.
U
2) A l’aide d’un schéma de synthèse, précisez les relations fonctionnelles
entre les différents organes impliqués dans le cycle sexuel chez la femme.
Q
FI
V7 gnobil réalise sur un singe femelle impubère une expérience en trois
TI
temps.
N
injection de l’œstradiol.
SC
la suite du temps2.
3) À partir des résultats obtenus au temps3 et de vos connaissances,
reconstituez le déroulement du cycle sexuel en précisant ce qui déclenche le
B:
pic de LH.
F
pe
ou
gr
32
La fonction reproductrice chez la femme Enoncés
— …— us FSHL)
(us HOOA
À ; Injection d'oestradiol (1} injection 4 Concentration
lésion hypothalamus (2} d'oestradiol |
Ÿ iniection d'oestradiot (2) (4] 4 L 200 en FSH en yg1*
Concentration 30
en LH en ugl' 214 L150
10 À } À f L100
0 À KL J\ 50
LH AT A 0,
À temps
perfusion de GnRH +
oestradiol GS)
✍
(ng£')
d
Concentration '
TN
Ai ia À
en oestradiol
ES
WgE”
Concentration 4
en progestérone
U
Pet _/]X
Q
jours FI temps
VW, Le cycle sexuel chez la femme est sous la dépendance d’un système
TI
la femme.
Les mesures du taux de LH plasmatique, durant trois mois chez les trois
F
Dans le premier traitement, l’animal reçoit, durant une quinzaine de jours des
injections journalières de faibles doses d’æœstradiol et dans le second
traitement, l’animal reçoit des injections de fortes doses d’œstradiol, les
mesures du taux de LH plasmatique chez la guenon N°2, durant la période de
l’expérimentation ont permis d’obtenir les résultats consignés dans le
document II.
a- Analysez et interprétez les tracés représentés dans le document I
33
La fonction reproductrice chez la femme Enoncés
Document|
✍
femelle normale (3)
femelle ovariectomisée (2)
TN
LH plasmatique ns femelle ayant subit une lésion
{en ng/ml) de l'hypothalamus (1)
ES
40 |
U
30 -
Q
20 |" sense ess DONC LENS LL OT
10 ]
FI
TI
0 TT — T Ï La T T T T CT” T CT T LL F À Ï >
14 8 12 16 20 24 281 4 8 12 16 20 242814 8 12 16
N
ng = nanogramme = 10°g
SC
Document il
C
LH plasmatique
BA
en {ng/ml)
î
30 +
F
pe
20 +
ou
10 +
gr
0 } } j + 1 J ++ En
4 0 4 8 12 16 20 24 28 3
34
La fonction reproductrice chez la femme Solutions
CORRIGES
D Testez vos connaissances.
✍
* Folliculogenèse : l’évolution d’un follicule primordial en follicule
mûr
TN
+ Phase folliculaire : c’est une phase du cycle ovarien pré-ovulatoire
qui dure 14 jours en moyenne au cours de laquelle quelques follicules
ES
cavitaires évoluent pour aboutir à un follicule mûr mais les autres dégénèrent.
U
* Phase lutéale : c’est une phase du cycle ovarien post-ovulatoire au
Q
cours de laquelle le follicule mûr rompu se transforme en corps jaune
cyclique.
FI
TI
+ Ovulation : c’est la rupture du follicule mûr qui permet l’expulsion
de l’ovocyte II dans les voies génitales femelles.
N
IE
SC
g *b;g;h;c
1;,d;f;j
C
-
l;:k;e
1 ,
BA
voie sanguine.
F
LH.
ou
35
La fonction reproductrice chez la femme Solutions
- Présence d’un rétrocontrôle des hormones sexuelles sur le complexe: les hormones
commun
✍
Ainsi, la concentration plasmatique des hormones sexuelles à chaque instant est adaptée à
la demande physiologique par l’intermédiaire des messages hormonaux hypophysaires
qui agissent sur les ovaires et les testicules.
TN
Rétrocontrôle des hormones sexuelles Rétrocontrôle des hormones sexuelles
(testostérone) uniquement négatif sur féminines peut être positif où négatif sur le
le complexe pour réguler la sécrétion complexe — sécrétion variable et cyclique des
Caractères de difference
ES
de LH hormones hypophysaires
U
Ce qui permet d’avoir un taux Ce qui permet une sécrétion variable et
Q
plasmatique constant de testostérone cyclique des hormones sexuelles
FI
Ce qui assure une spermatogénèse Ce qui assure une activité cyclique des organes
TI
continue et activité sexuelle continue sexuels (ovaires, utérus) — ovulation cyclique.
chez l’homme.
N
IE
Donc le pic de LH est causé par un rétrocontrôle positif exercé par une
sécrétion importante d’œstrogènes (par le follicule mûr) sur l’axe
hypothalamo-hypophysaire ;
B:
* Les conséquences
- Directes : - achèvement de la division réductionnelle de l’ovocyte.
F
36
La fonction reproductrice chez la femme Solutions
Schéma bilan . .
® = stimulation
O= inhibition
✍
RC+ 2 RC-
> Hypothalamus «
TN
8 ® o Pulses de GnRH
S ©
5 s| RC+2 L RC-
ES
8 S + Hypophyse <—
1 © 2
U
8 8
2 à Pic de LH 3
ë&
Q
S S
* 2 ® 4 ë
FI
S Ë Ovaire : ovulation et ë
TI
formation du corps jaune 4 ê
ë
| Ë
N
&
IE
@ |°
C
Utérus : endomètre et
BA
myomêtre
12-33-45
F
pe
en quantité croissante par les cellules des thèques et de la granulosa par les
follicules en croissance ;: ce taux atteint un maximum 48 heure avant
l’ovulation (sécrété par le follicule mûr). L’œstradiol assure la réparation de
la muqueuse utérine détruite au moment des règles (début de cette phase).
- Durant la phase lutéinique (post-ovulatoire) : une augmentation du taux de
progestérone pratiquement nul jusqu’au 13°" jour du cycle et qui atteint son
maximum vers le 21°" jour du cycle, sécrétée, avec l’œstradiol, par les
cellules de corps jaune (qui dérive du follicule mûr après ovulation). Elle
37
La fonction reproductrice chez la femme Solutions
✍
ID) Mobäülisation des connaissances
TN
A- 1) Identification des structures
a- Corps jaune b- follicule mûr au moment de l’ovulation
ES
c- follicule cavitaire d- corps jaune dégénéré
e- follicule mûr
U
2) Ordre chronologique dans un cycle ovarien
Le ph re —ni, Q
FI
TI
e©
IE
3) Légende de Ia structure
SC
4) Structure x = ovocyte I
BA
F B:
riche
en vitbilus
pe
ou
gr
38
La fonction reproductrice chez la femme Solutions
✍
Document À — le follicule mûr rompu se transforme en corps jaune (a)
TN
Document B — après une diminution de la sécrétion d’œstrogènes (au
moment de l’ovulation) la sécrétion d’œstradiol augmente progressivement
accompagnée d’une sécrétion importante de progestérone.
ES
21% > 28% jour :
Document A — le corps jaune dégénère et se transforme en corps blanc (d).
U
Document B — le taux d’œstradiol et de progestérone chute parallèlement à
la dégénérescence du corps jaune.
Q
FI
Déduction : le corps jaune sécrète l’œstradiol et la progestérone pendant la
TI
phase lutéinique.
N
IE
h; — progestérone
h; — œstrogènes
C
c- légende
F
39
La fonction reproductrice chez la femme Solutions
✍
- Epaississement de l’endomètre et formation des glandes en tube
ramifiées chez le lot 1 (pubère) par contre chez les rates du lot 2
TN
(impubère) l’utérus reste atrophié.
Conclusion: au cours de la puberté, l’endomètre de l'utérus subit des
ES
modifications (épaississement et formation des glandes en tube).
U
Lot 3 : l’injection de progestérone seule chez les rates impubères ne provoque
Q
aucune modification de l’endomètre.
Conclusion : il y a donc absence des récepteurs spécifiques à la progestérone
FI
au niveau des cellules de l’utérus.
TI
l’œstradiol.
40
La fonction reproductrice chez la femme Solutions
VW
Substances = Fonctions
hormones
1 = GnRH Neurohormone d’origine hypothalamique qui stimule l’hypophyse
✍
antérieure pour sécréter la LH et la FSH.
Hormone hypophysaire qui stimule l’ovulation (147% jour) et la
2=LH transformation du follicule mûr en corps jaune, donc la sécrétion
TN
d’œstrogènes et de progestérone
Hormone hypophysaire qui stimule la croissance folliculaire, donc la
3=FSH sécrétion des œstrogènes et participe en coopération avec la LH pour
ES
provoquer l’ovulation.
Hormones ovariennes qui stimulent le développement de l’endomètre et
U
sensibilisent les cellules utérines à l’action de la progestérone
- responsable de l’apparition et du maintien des caractères sexuels féminins.
4 = œstrogènes - contraction du myomètre.
Q
FI
- exercent un rétrocontrôle positif ou négatif selon la période du cycle.
- responsable de la formation de la dentelle utérine.
TI
41
La fonction reproductrice chez la femme Solutions
✍
S’il n’y a pas d’ovaires, les hormones hypophysaires restent sans aucun effet
d’où absence du cycle utérin.
TN
Expérience 4 : l’hypothalamus contrôle les sécrétions hypophysaires de LH et
de FSH par l’intermédiaire de GnRH.
Quand on fait une lésion au niveau de l’hypothalamus il n’y a plus de GnRH,
ES
la sécrétion hypophysaire s’arrête et par conséquent les cycles ovarien et
utérin s’arrêtent aussi.
U
Expérience 5 : Les œstrogènes et la progestérone, à un taux plasmatique
Q
suffisant, exercent un rétrocontrôle négatif sur le complexe hypothalamo-
FI
hypophysaire, la sécrétion de GnRH s’affaiblit ce qui entraîne une diminution
TI
importante des sécrétions hypophysaires et par conséquent les cycles ovarien
et utérin s’arrêtent aussi.
N
2) Schéma de synthèse
IE
RC- @ = stimulation
SC
GnRH
BA
v® RC-
Hypophyse le
B:
FSH LH
F
pe
y®
Cycle ovarien Ovaires
ou
Ÿ_ Ÿ
gr
TT
œstrogènes +
progestérone ——
Utérus
ŸCycte utérin
42
La fonction reproductrice chez la femme Solutions
✍
artificiellement (et non par le follicule mûr) —> le pic de LH ovulatoire est
bien obtenu mais l’ovulation est absente à cause de l’absence de follicule
TN
mûr.
ES
2) - Au temps tj chez l’animal intact, une augmentation artificielle
d’œstradiol provoque un pic de LH et de FSH.
U
- Au temps t chez l’animal dont l’hypothalamus
Q
est lésé, une augmentation
FI
artificielle d’œstradiol ne provoque pas un pic de LH et de FSH.
Conclusion : l’hypothalamus commande l’hypophyse. En effet
TI
manière suivante :
1- perfusion pulsatile de GnRH.
2- sécrétion de FSH.
B:
5- pic de LH et de FSH.
ou
43
La fonction reproductrice chez la femme Solutions
✍
3 L Rétrocontrôle positif
5 + Pic de LH et de FSH
TN
2 L Ovulation
F -_ Formation du corps jaune
ES
- Sécrétion de progestérone
- Rétrocontrôle négatif
U
- Inhibition de sécrétion de LH et FSH
Q
- Dégénérescence du corps jaune
- Chute de progestérone et d’œstradiol
FI
[ Règles = début d’un nouveau cycle
TI
y
N
Vi
IE
SC
44
La fonction reproductrice chez la femme Solutions
✍
- La sécrétion variable de LH est donc le résultat d’un rétrocontrôle négatif et
positif des hormones ovariennes.
TN
— Une sécrétion variable d’œstradiol détermine une sécrétion variable de
LH.
ES
c- Interaction entre l’hypothalamus, l’hypophyse et les ovaires :
- L’hypothalamus commande l’hypophyse pour sécréter la LH.
U
- Les ovaires exercent un rétrocontrôle négatif ou positif pour réguler le taux
Q
de LH.
Déterminisme de l'ovulation :
FI
À la fin de la phase folliculaire, le follicule mûr apparait et sécrète une forte
TI
sur l’hypophyse donne une pic de LH (et de FSH) vers le 13% jour qui
IE
RC+ ® = stimulation
—+ Hypothalamus
C
BA
Pulses de
5GS ® GnRH
S RC+ Y
B:
ä —+ Hypophyse
F
T .
® Pic de Pic de LH
pe
x
5 Follicule mûr — corps jaune
gr
(2 j) v
ovulation (147% j)
45
La procréation Résumé du cours
Thème 3
LA PROCREATION
1) La fécondation :
✍
* La fécondation est la rencontre et la fusion du gamète mâle et du gamète
femelle. Il en résulte un œuf : première cellule (à 2n) d’un être vivant est née.
TN
* Elle nécessite plusieurs conditions et se déroule en plusieurs étapes:
rencontre des gamètes dans la trompe, reconnaissance et pénétration d’un
ES
spermatozoïde.
U
* La pénétration déclenche un ensemble de transformations :
Q
- Transformations cytologiques : réaction corticale assurant la monospermie.
FI
- Transformations nucléaires : achèvement de la D.E puis formation et union
des deux pronucléï.
TI
N
3) Maîtrise de la procréation :
F
46
La procréation Résumé du cours
- Injection de HCG.
✍
échographique.
TN
- Traitement du sperme : sélection et capacitation des spermatozoïdes.
ES
- Mise en contact des gamètes à 37°C.
U
- Mise en culture des œufs pendant 48 heures.
Q
- Sélection des embryons ayant atteint les stades deux et quatre cellules.
FI
TI
- Transfert de(s) l’embryon(s) dans la cavité de l’utérus d’une femme préparée
à la nidation.
N
IE
4) Hygiène de la procréation :
SC
Il faut se méfier des atteintes virales, parasitaires et des effets des toxicomanies
sur la grossesse :
- tabagisme
B:
- alcoolisme
F
- autres drogues
pe
ou
gr
47
La procréation Enoncés
ENONCES
✍
- placenta
- HCG
TN
- nidation
V7 La liste ci-dessous indique un certain nombre de structures et de données
ES
relatives à une gestation et à une période de prise de pilules combinées.
a- taux élevé de progestérone.
U
b- trophoblaste.
Q
c- absence de progestérone dans le sang.
d- présence à la fois d’œstrogènes et de progestérone dans le sang.
FI
e- menstruation.
TI
f- myomèêtre très peu contractile (silence utérin).
g- taux élevé d’œstradiol.
N
Formez deux ensembles pour associer les structures et les données hormonales
BA
pouvant exister dans chaque situation (vous utilisez seulement les lettres et
inutile de reprendre les expressions).
B:
Accolez ensemble, deux à deux, les termes de chacune des deux listes qui
F
B- FSH et LH 2- Follicule
C- Progestérone 3- Hypothalamus
gr
D- Oestrogènes 4- Trophoblaste
E- HCG 5- Hypophyse
3-2
A- Granules corticaux 1- Fixation des spermatozoïdes
B- Zone pellucide 2- Capacitation
C- Acrosome 3- Monospermie
D- Centriole spermatique 4- Aster
E- Glaire cervicale 5- Pénétration d’un spermatozoïde
48
La procréation Enoncés
✍
reproducteur de la femme.
Le document 1 représente une coupe partielle de cet appareil montrant
TN
quelques événements.
ES
U
Q
FI
TI
N
IE
SC
C
BA
B:
Document (1)
1) Annotez avec soin ce document
F
49
La procréation Enoncés
✍
TN
ES
U
Q
FI
TI
N
IE
cellule œuf. Cependant si l’on fait agir une substance (la cytochalasine B) qui
pe
50
La procréation Enoncés
Pt durant le traitement.
c- Le 14°" jour, on réalise
✍
sicioi ue IE unique de
TN
OVOCYTAIRE
contrôle échographique d- Sur la patiente
et dosage d'oestradiol anesthésiée, on réalise la
ES
ponction des ovocytes, 34
figure 1
à 36 heures après injection
U
de HCG.
1) Expliquez dans quel but est réalisée chaque opération.
Q
FI
2) Quelle information, le dosage d’æœstradiol, apporte-t-il à l’équipe médicale.
IL. L’insémination des ovocytes par les spermatozoïdes du conjoint est réalisée
TI
in vitro.
N
Document 2
F B:
pe
ci
La procréation Enoncés
À pg ADN
134 G H
6,5 nr
✍
TN
temps
ES
U
Document 3
Q
FI
VW Des séries d’expériences étaient réalisées in-vitro
* 1% série d'expériences :
TI
52
La procréation Enoncés
✍
LS
TN
TT “ s
+ +
4 + + $
+ $
+ $
3 + * MCG
ES
+ ,
+
2+ + *
+ s
* *
U
1L + *
+ +
Q
Î
BR
8 18
FI Jours
Fécondation
TI
En justifiant vos réponses, indiquez à quelle date :
1) A lieu la nidation
N
la gestation.
F
pe
53
La procréation Enoncés
✍
150+ HCG chez une femme enceinte
TN
100-
ES
50-
U
Q
FI
TI
Fécondation accouchement
Document (2)
N
IE
- Sous pilules.
- Pendant la ménopause.
F
votre réponse.
gr
54
La procréation Enoncés
LH (ngmr'} c
✍
TN
D
»”
ES
7 15 F 12 20 15
XX * >
U
Janvier Février Mars jours de mois
Q
Document 1 FI
Ÿ/ A- 1) le document 1 donne les résultats de deux spermogrammes (analyse
du sperme) : celui d’un témoin dont la fertilité est normale et celui de Monsieur
TI
R
N
issue d’une analyse méthodique du document 1, dites quelles sont les causes
possibles de cette stérilité.
C
BA
heures
% à mobilité normale : 55 45
ou
% à mobilité diminuée : 05 05
% de formes immobiles : 40 50
gr
Document 1
55
La procréation Enoncés
onsieur R
✍
% à mobilité diminuée : 6 0
% de formes immobiles : 93 100
VITALITE : 50% de formes vivants (1° heure)
TN
AGGLUTINATS SPONTANES : par le flagelle [] Rares C1
:parlatête [] Nombreux []
SUR 100 SPERMATOZOÏDES OBSERVES, ON A RELEVE : - FORMES TYPIQUES : 60%
ES
:- FORMES ATYPIQUES : 40%
U
2) Un éjaculat humain comprend en moyenne 100 à 400 millions de
Q
spermatozoïdes. Il n’en parvient que 1% environ dans l’utérus et seulement une
FI
centaine au niveau des trompes. Expliquez les causes de cette disparition d’un
grand nombre de spermatozoïdes dans les voies génitales de la femme.
TI
N
56
La procréation Enoncés
✍
3) Dans d’autres cas, on n’observe même pas la phase 1. Pour comprendre cette
dernière anomalie, on peut s’appuyer sur des expériences réalisées chez la
TN
souris et dont les conclusions sont applicables à l’espèce humaine.
ES
a 4
U
Q
EF
FRA e Zone À LS PEN
d'un gamèëète Fanette
femelle
FI
© @ ©
TI
N
Document(2)
IE
e Expérience:
SC
témoin.
F
Synthèse
gr
En vous s’appuyant sur vos connaissances et sur les informations apportées par
les questions précédentes de ce devoir, établissez un bilan ordonné des
principales causes de stérilité dans les deux sexes de l’espèce humaine et
indiquez, en le justifiant, les solutions adaptées que l’on peut utiliser dans
différents cas pour y remédier.
57
La procréation Solutions
CORRIGES
\ Définitions :
+ Pronucléus : c’est un noyau gamétique qui gonfle dans l’ovotide fécondé suite
✍
à la synthèse de l'ADN par réplication et duplication des chromosomes
paternels ou maternels.
TN
+ Monospermie : c’est la pénétration d’un seul spermatozoïde dans l’ovocyte IT.
+ Placenta: c’est une structure développée considérablement à partir du
trophoblaste qui s’implante dans la muqueuse. Elle représente une surface
ES
d’échange entre le sang maternel et le sang fœtal assurant un rôle trophique,
protecteur et endocrinien.
U
+ HCG: gonadotrophine chorionique: c’est une hormone sécrétée dès la
Q
nidation par le trophoblaste dont l’action est comparable à celle de l’hormone
FI
hypophysaire LH, elle stimule le corps jaune ovarien qui sécrète alors des
quantités croissantes d’œstrogènes et de progestérone.
TI
fécondation.
SC
pilules)
c;f;k;l
NB : les données a, c, d, g et k sont relatives à des hormones ovariennes
B:
naturelles.
F
pe
Ÿ 3-1 : A3 ; BS ; Ci ; D2 ; Ed
3-2 : A3 ;: B1 ; CS ; D4 ; E2
ou
gr
58
La procréation Solutions
✍
sécrétions Dee
TN
hormonales
ES
progestérone,
oestrogènes
U
Q
FI
1 28-1 28 270 jours
TI
sègles règles ‘
N
IE
SC
C
BA
me
B:
270 jours
F
V1) 2 = endomètre
ou
2) Evénement A : ovulation
Justification: rupture de la paroi de l’ovaire et des thèques du follicule mûr
pour libérer l’ovocyte II entouré d’une couronne de cellules folliculaires.
Evénement B : nidation
Justification : implantation de l’embryon dans l’endomètre (muqueuse utérine).
59
La procréation Solutions
3) Schéma de l’ovocyte IT :
1t"globule Polaire
✍
TN
ES
U
Q
FI
4) Vers la fin de la phase folliculaire, il y a augmentation rapide du taux
TI
d’œstradiol (pic au jour 12) pour exercer un rétrocontrôle positif sur le
complexe hypothalamo-hypophysaire d’où l’augmentation de la fréquence et
N
Hypothalamus
BA
+= stimulation
+
B:
2 FF GnRH
8 \
F
2 Antéhypophyse
pe
©
=
Last
o + +
ou
S % FSH LH
gr
5 Y
ë Follicule mûr de
l’ovaire L___% Ovulation
60
La procréation Solutions
5) Chez une femelle de guénon et lorsque le corps jaune atteint son maximum
de développement, on pratique des injections d’extraits de la structure 5, on
constate un retard de la dégénérescence du corps jaune (donc du cycle ovarien)
de quelques jours avec une sécrétion plus durable d’hormones ovariennes.
Conclusion: le blastocyste sécrète par son trophoblaste une hormone (HCG)
qui assure le maintien du fonctionnement du corps jaune.
* Des injections d’extraits de corps jaune ovarien chez une autre femelle en
✍
phase prémenstruelle entraînent un retard dans le cycle utérin et une muqueuse
utérine plus développée.
TN
Conclusion : le corps jaune sécrète des hormones ovariennes pour préparer les
conditions favorables à la réception du blastocyste (structure 5).
ES
6) Le placenta est un organe polyvalent indispensable à l’entretien de la vie
embryonnaire.
U
- Ji a un rôle trophique : tous les matériaux nécessaires au développement du
Q
fœtus (nutriments, ions, oxygène) passent du sang maternel au fœtus. Les
FI
déchets du métabolisme fœtal passent en sens inverse.
- Il a un rôle protecteur: la barrière placentaire s’oppose au passage de
TI
anticorps maternels.
- Il a un rôle endocrine: sécrétion, dès la nidation, d’'HCG qui maintient la
IE
IT en anaphase I.
ou
61
La procréation Solutions
✍
d’un ovocyte II.
e = 2n = 46 = 44 autosomes + xx ou 44 autosomes +xy car c’est un lôt de
TN
chromosomes d’une cellule œuf en anaphase mitotique.
f= n = 23 = 22 autosomes + x car il s’agit d’un ovocyte II encore bloqué en
ES
métaphase IE.
3) ordre chronologique : D - A-B-C.
U
4) * Les phénomènes illustrés par la figure À sont :
Q
- Pénétration d’un spermatozoïde dans l’ovocyte II.
- Transformations cytologiques et réaction corticale.
FI
- Transformations nucléaires et reprise de la 2°" division de la méiose.
TI
* Les conséquences génétiques :
- Expulsion du 2° globule polaire et naissance d’un ovotide à n chromosomes
N
simples.
IE
62
La procréation Solutions
✍
le prélèvement des ovocytes.
2) Le dosage de l’œstradiol permet à l’équipe médicale de contrôler le degré de
TN
maturation des follicules.
ES
Elément a = ovocyte II Elément b = cellule œuf
U
Nombre de GP 1 2
Q
Espace péri-ovocytaire Très réduit Beaucoup plus vaste
Nombre de pronucléus O(mais un noyau) 2
FI
TI
* La succession des événements qui conduisent de la formation a à la formation
b est la suivante :
N
- reconnaissance entre gamète mâle est gamète femelle grâce à des marqueurs
IE
leurs fusion.
2) — Intervalle AB: la quantité d'ADN reste constante à 6,5 pg. Elle est
gr
63
La procréation Solutions
✍
chromosomes dans chacun des deux noyaux gamétiques qui gonflent et se
transforment en pronucléi.
- Intervalle GH': la quantité d'ADN reste constante à 13 pg. Il y a
TN
rapprochement et fusion des deux pronucléi d’où la présence de 2n = 46
chromosomes dupliqués.
ES
- Intervalle HI : la quantité d’ADN chute brutalement de 13 à 6,5 pg traduisant
la première segmentation (mitose) de la cellule œuf (anaphase). Naissance de
U
2n = 46 chromosomes simples dans chaque pôle de la cellule œuf.
Q
Schéma attendus
FI
TI
N
IE
SC
C
BA
F B:
VW. l'expérience 1 de la 1°° série montre que les molécules ZP; de la zone
gr
64
La procréation Solutions
✍
* L'expérience 2 de la 2°" série montre que les spermatozoïdes traités, au
préalable, par des extraits de la zone pellucide perdent leur pouvoir fécondant.
TN
Parallèlement à l’expérience 2 de la 1” série, on déduit qu’en présence de
spermatozoïdes à molécules membranaires masquées, la reconnaissance puis le
passage dans l’ovocyte devient impossible.
ES
* L'expérience 3 de la 2° série montre que les spermatozoïdes traités, au
préalable par des extraits de la zone pellucide d’œufs fécondés conservent leur
U
pouvoir fécondant.
Q
Conclusion: de ces deux séries d’expériences, on peut donc dégager l’aspect
FI
suivant de la fécondation :
Après la fixation des spermatozoïdes sur les récepteurs ZP; de la zone pellucide
TI
I. 1) Le MGC est une hormone placentaire qui commence à être libérer depuis
BA
aucun effet sur la gestation chez le macaque. En effet durant toute la période de
gr
65
La procréation Solutions
- Au 25°% jour, la gestation est maintenu car à cette date le corps jaune est
dégénérer (absence de MCG) et le placenta assure à lui seul la production de la
progestérone (et des œstrogènes) en quantités importantes.
2) * De la fécondation jusqu’au 18% jour, la progestérone provient du corps
jaune.
*Du 18% au 24% jour, la progestérone provient du corps jaune et du placenta.
*A partir du 24% jour, la progestérone provient du placenta.
En effet la disparition du MCG entraîne la dégénérescence du corps jaune et la
✍
production de la progestérone se poursuit massivement (de même pour les
œstrogènes).
TN
VW
ES
1) L'hypothèse qu’on peut émettre pour expliquer la cause de l’avortement
spontané chez cette femme D est la faible teneur du taux plasmatique de
U
progestérone (hormone indispensable au bon déroulement de la grossesse).
Q
2) Le document 2 montre que la concentration de HCG chez la femme D se
FI
maintient constante et très faible même durant les trois premiers mois de la
grossesse (environ 10 mu/100ml). Cependant chez la femme enceinte ayant
TI
de HCG détectée dans l’urine croît rapidement pour atteindre une valeur
maximale (160mu/100ml) vers le 2° mois de la grossesse. La production de
IE
cette hormone chute par la suite progressivement pour s’arrêter vers le 4°"
SC
mois.
On sait que la HCG est une hormone qui stimule le corps jaune ovarien pour
sécréter des quantités croissantes d’œstrogènes et de progestérone
C
la grossesse.
L'hypothèse émise est donc justifiée et la faible sécrétion de HCG chez la
B:
66
La procréation Solutions
V
1) * Pour la femme c, la variation de LH correspond à un cycle normal car on
constate une sécrétion cyclique.
* Pour la femme b, la variation de LH correspond à une période de ménopause
car le taux de LH est maintenu constant et élevé traduisant une sécrétion
continue et non cyclique dûe à une levée du rétrocontrôle négatif sur le
complexe hypothalamo-hypophysaire.
✍
* Pour la femme a, la variation de LH correspond à un cas de prise de pilules
car le taux de LH est maintenu constant et très bas traduisant une action
TN
freinatrice ou inhibitrice due au feed-back négatif exercé par les œstro-
progestatifs de synthèse sur le complexe hypothalamo-hypophysaire.
2) — Une augmentation importante et rapide du taux d’œstradiol vers la fin de la
ES
phase folliculaire (pic au jour 12) induisant par rétrocontrôle positif :
- Une augmentation brusque du taux de GnRH suivie immédiatement (jour 13)
U
d’un pic de FSH et d’un pic de LH plus important qui déclenche l’ovulation.
Q
Expérience : chez une guenon ovariectomisée, une perfusion d’œstradiol
FI
maintenant le taux plasmatique à 60 pgml', freine la sécrétion de
gonadotrophines (FSH et LH). Cependant l’injection supplémentaire à cette
TI
progestérone — = … —— Cestradiol
ng/mi ng: nanogramme = 10°g pg/ml
p9: picogramme = 10%
ml: millilitre
F B:
pe
ou
gr
Evolution des hormones ovariennes naturelles chez une femme avant et après
la prise de pilule
67
La procréation Solutions
✍
alors la sécrétion des gonadostimulines, surtout de LH.
TN
A.1) — Le volume d’un éjaculat chez monsieur R est nettement inférieur à celui
ES
du normale (0,5 contre 4,2 ml).
- La numération est aussi nettement inférieur (2.10% /mi contre 53.10% /mi).
U
- Pour la mobilité, le % de forme immobile après 1 heure pour monsieur R est
Q
de 93% contre 40% pour le sujet normal (témoin). Contrairement pour le % à
FI
mobilité normale après 1 heure qui est beaucoup moins élevé chez M° R soit
1% contre 55% pour le sujet normal.
TI
- Pour la vitalité à la 1°° heure, est de 50% chez M° R alors qu’elle est de 88%
N
par le filtrage quantitatif et même qualitatif exercé par la glaire cervicale qui
élimine la majorité des spermatozoïdes anormaux ou peu mobile.
B:
3) a- % de fécondation réussite :
F
207
b- la glaire cervicale exerce une sélection très sévère: plus le nombre des
gr
68
La procréation Solutions
✍
spermatozoïdes de la même espèce (souris) montre qu’il s’agit de récepteurs
spécifiques à certaines molécules membranaires du gamète mâle.
TN
- Les spermatozoïdes ainsi traités perdent la capacité de reconnaissance du
gamète femelle contrairement aux spermatozoïdes non traités.
ES
Conclusion : les récepteurs de la zone pellucide et les molécules membranaires
des spermatozoïdes sont indispensables pour la phase de reconnaissance.
U
- Pour le problème de la stérilité posé dans cette question, il est probablement
Q
dû à des modifications de la configuration spatiale des récepteurs
glycoprotéique de la zone pellucide (ou leurs absences).
FI
C- Synthèse
TI
1) Infertilité masculine :
* Les causes : - oligospermie : anomalie dans le nombre de spermatozoïdes
N
Dans chacun des deux cas, on peut remédier par la FIVETE. Cependant, si la
tératospermie est relative à la reconnaissance, on peut remédier par la [.S.[.C
(injection spermatique intra-cytoplasmique).
C
2) Infertilité féminine
BA
* Les causes : - stérilité mécanique due à une obstruction des trompes ou une
malformation.
On peut remédier dans ce cas par la chirurgie ou par la FIVETE.
B:
hypothalamo-hypophysaire.
ou
On peut remédier dans ce dernier cas par des médicaments appelés inducteurs
d'ovulation.
gr
69
gr
ou
pe
FB:
BA
C
SC
IE
N
TI
FI
Q
U
La Génétique
CHAPITRE 2 ES
TN
✍
Brassage de l'information génétique Résumé du cours
Thème 4
BRASSAGE DE L’INFORMATION GENETIQUE
✍
A) La méiose à l’origine des gamètes génétiquement différents
TN
1) La méiose et le brassage interchromosomique
Au cours de l’anaphase I les paires de chromosomes homologues se
ES
comportent de façon indépendante. Les chromosomes homologues se
U
séparent et s’associent aux autres chromosomes de façon aléatoire qui
conduit à des associations alléliques originales.
Q
FI
2) La méiose et le brassage intrachromosomique
TI
Pour les gènes situés sur un même chromosome, il y a un brassage génétique
par crossing-over, c'est-à-dire de nouvelles associations par suite d’échange
N
organismes
La fécondation se caractérise par la rencontre au hasard des gamètes qui
gr
71
Brassage de l'information génétique Résumé du cours
✍
2" croissement 2° croissement
F.[A] x F.[A]= % [A] (% A//a- !4 AJ/A) F;[AA”] x F[AA’]- F2 4 [A] (A//A)
Va {a] (4 a//a) A [A°] (A°//A°)
TN
Cas d’un test cross (Fix récessif) 2 [AA°1 (A//A°)
[A] x [a] — A [AI [a] Cas d’un test cross
hybride [AA’] x [A] — !2 [A] 2 [AA’]
ES
[AA?] x [A’] — 2 [A°T 7 [AA]
U
Q
FI
Transmission de deux couples d’allèles : le dihybridisme
Cas de 2 couples d’allèles indépendants Cas de 2 couples d’allèles liés = portés par une
TI
= portés par 2 paires de chromosomes seule paire de chromosome
différents
N
Cas d’un test cross (double hybride x 1- linkage total = absence de crossing-over
IE
d’un brassage interchromosomique qui se génotypes des différents gamètes fabriqués par
fait à l’anaphase I l'individu double hybride et leurs proportions.
F
phénotypes recombinés.
— 9/16, 3/16, 3/16, 1/16 Les phénotypes recombinés résultent d’un
ou
72
Brassage de l'information génétique Enoncés
ENONCES
✍
- Crossing-over
- Test cross
TN
- Hétérozygote
- Carte génétique
ES
- Gènes indépendants
- Chromosomes homologues
U
V7 Corrigez les affirmations inexactes :
Q
FI
a- La méiose est une suite de deux divisions cellulaires au cours desquelles le
centromère des chromosomes ne se divise qu’une seul fois.
TI
les porte.
B:
73
Brassage de l'information génétique Enoncés
✍
Spermatocyte | Ovocyte |
Document 1
TN
1) a- Représenter l’équipement chromosomique (en respectant le nombre, la
forme et la couleur des chromosomes) des divers types de cellules présentées
ES
dans le document 2 (figure a, b, c sans tenir compte des globules polaires).
b- Expliquez le phénomène, que vous nommez, qui conduit à l’obtention de
U
tels types de cellules.
c- Indiquez l’importance génétique de ce phénomène.
Q
FI
2) a- En basant sur la réponse de la question 1) a , donnez le nombre de types
des cellules œufs possibles.
TI
74
Brassage de l'information génétique Enoncés
✍
TN
ES
Spermatocytes |
U
Q
FI
Ovocytes Il
TI
FECONDATION
N
2°" GP
IE
SC
@)
C
BA
Spermatozoïdes
Cetlule-oeuf
B:
Document 2
F
ù
envemnnnnes eus,
€
Brassage de l'information génétique Enoncés
✍
4) Le brassage intrachromosomique qui a affecté une des deux paires de
chromosomes (voir figure précédente) a-t-il une influence sur la répartition
TN
statistique des gamètes de l’hybride. Justifier.
ES
Vie brassage génétique caractéristique de la reproduction sexuée peut
être dégagé de l’affirmation suivante : "qui fait un œuf fait du neuf".
U
1) En suivant le comportement de deux couples d’allèles (al, a2) et (bl, b2)
Q
portés par deux paires de chromosomes différents, vous montrerez :
FI
a- La production de gamètes génétiquement différents au cours de la méiose.
Vous schématiserez l’anaphase I et l’anaphase IT de la méiose en représentant
TI
les chromosomes par des figures sur lesquels vous localisez les gènes.
N
génotypes nouveaux.
2) On envisage maintenant les deux couples (al, a2) et (bl, b2) situés sur une
même paire de chromosomes homologues et séparés de 10 centimorgans.
C
parasite).
- Une variété (B) à petits fruits et résistante au Fusarium.
gr
On cherche à obtenir une troisième variété pure (C) qui serait de phénotype :
à gros fruits et résistantes au Fusarium.
- Un premier croisement de la variété (A) avec la variété (B) donne des
plantes à petits fruits et résistantes au Fusaruim.
76
Brassage de l'information génétique Enoncés
✍
b- Déterminez les génotypes des parents et des descendants de ce
croisement.
TN
3) Expliquez comment on peut procéder pour obtenir une lignée pure de la
variété (C).
ES
une lignée d’Eglantine à fleurs blanches et à pieds lisses est croisée
avec une lignée à fleurs roses et pieds épineux. Quel que soit le sens du
U
croisement, la descendance dite F1 est toujours à fleurs roses et pieds
épineux.
Q
FI
1) Interpréter ces résultats et donner les génotypes des parents et des
descendants.
TI
2) La même lignée à fleurs blanches et pieds lisses est croisée avec une autre
N
nombres égaux.
Quelles conclusions peut-on dégager et préciser les génotypes.
SC
3) Les plantes d’un des 4 types précédemment obtenus sont croisées avec les
plantes F1 de la 1*° question. La descendance se compose de :
C
\7 ac 1998)
pe
✍
un effectif total de 800 graines.
TN
V7 tac juin 2002)
On dispose de 3 plants A, B et C à tiges longues et fleurs rouges d’une espèce
ES
végétale donnée. On croise chacun de ces plants avec un plant D à tige naines
et fleurs blanches de la même espèce.Le tableau suivant donne les résultats de
U
ces croisements.
Q
Croisement AxD BxD CxD
100% 50% tiges naines et fleurs | 25% tiges longues et fleurs rouges.
FI
Résultats tiges longues rouges 25% tiges naines et fleurs rouges.
et 50% tiges longues et 25% tiges longues et fleurs blanches.
TI
démarche.
BA
* 1% série d'expériences :
ou
Des moustiques de type sauvage à corps gris et œil prune croisés avec des
moustiques à corps noir et œil clair. En F, on obtient une population
gr
homogène à 100%.
* 2°% série d’expériences :
Des femelles de F; croisées avec des mâles de races pures à corps noir et œil
clair. On obtient une F; composé de :
- 35,2% de moustiques à corps gris et œil prune.
- 35,9% de moustiques à corps noir et œil clair.
- 14,6% de moustiques à corps gris et œil clair.
- 14,3% de moustiques à corps noir et œil prune.
78
Brassage de l'information génétique Enoncés
1) que peut-on déduire à partir de l’analyse des résultats des deux séries de
croisements à propos de la dominance et de la localisation des deux couples
d’allèles ?
2) Illustrez (schémas à l’appui montrant le comportement des chromosomes)
l’origine de la diversité de la descendance F:.
3) Précisez la position relative des gènes étudiés puis prévoyez les résultats
du croisement entre un mâle à corps gris et œil clair de F; avec une femelle à
✍
corps noir et œil prune de F:.
4) Comment doit-on procéder pour obtenir une race pure de moustique à
TN
corps gris et œil clair ?
ES
Ne 1998)
On dispose de deux variétés de maïs, l’une à graines noires et lisses (notée
U
V.) et l’autre à graines jaunes et ridée (notée V;). Ces deux variétés V, et V:
Q
sont croisées entre elles et donnent une descendance F, toute homogène.
FI
Le croisement F; x V, donne :
802 graines noires lisses
TI
croisement F; x V2.
B:
79
Brassage de l'information génétique Enoncés
✍
- 15,25% de drosophiles aux ailes tronquées et aux yeux pourpres.
- 9,75% de drosophiles aux aïles longues et aux yeux pourpres.
TN
- 9,75% de drosophiles aux ailes tronquées et aux yeux normaux.
Retrouver ces résultats à l’aide d’un échiquier de croisement en utilisant Îles
résultats précédents.
ES
U
y (bac juin 2003)
Une plante de tabac a donné des graines toutes de phénotype [A, B], A et B
Q
étant les allèles dominants de deux gènes différents (A domine a et B domine
FI
b). Ces graines ont été mises à germer et les plantes obtenues ont été réparties
TI
en deux lots 1 et 2.
1) Les fleurs des plantes du lot 1 ont été fécondées par du pollen issu d’une
N
90 fa, b] 10 [a, B]
- Ces gènes sont-ils indépendants ou liés ? Justifiez votre réponse ;
C
- Ecrivez les génotypes des deux plantes parentales (le génotype des plantes
BA
ce croisement 2,25% des plantes sont de phénotype [a, b], quel serait dans ce
cas le génotype de la plante «S » utilisée ? Justifiez votre réponse.
pe
V
ou
80
Brassage de l'information génétique Enoncés
✍
tordues). La génération produite comporte :
e 733 drosophiles à corps gris et ailes normales.
TN
e 727 drosophiles à corps noir et ailes tordues.
e 271 drosophiles à corps gris et ailes tordues.
e 269 drosophiles à corps noir et ailes normales.
ES
2°% croisement : une femelle hybride, double hétérozygote pour les couples
U
d’allèles 2 et 3, est croisée avec un mâle double mutant (ailes tordues et œil
rugueux). La descendance comprend :
e
Q
382 drosophiles à ailes normales et œil lisse.
FI
e 377 drosophiles à ailes tordues et œil rugueux.
TI
e 380 drosophiles à ailes normales et œil rugueux.
° 378 drosophiles à ailes tordues et œil lisse.
N
d’allèles (1, 2}, (2, 3) et (1, 3) sont liés ou indépendants (la justification est
indispensable).
SC
d’une femelle avec un mâle, tous les deux hybrides, doubles hétérozygotes
pour les couples d’allèles 1 et 2 (évoquer un seul cas)
(NB : chez les drosophiles mâles, il ne se produit jamais de brassage
B:
intrachromosomique).
F
ŸOn
pe
croise des drosophiles de race pure qui diffèrent entre elles par deux
ou
caractères :
- L'aspect du corps : poilu ou sans poils.
gr
81
Brassage de l'information génétique Enoncés
✍
b- Précisez les génotypes de la génération parentale ainsi que celui des
individus A et B.
TN
c- Expliquez à l’aide d’une représentation chromosomique les résultats du
croisement À x B.
ES
3) Sachant que suite à un autre croisement, le pourcentage de recombinaison
entre le gène écarlate et le gène striped (allèle récessif du gène normal noté
U
S”) responsable de la rayure du corps est de 18%.
Q
a- Discutez l’emplacement relatif aux trois gènes en dressent une carte
FI
factorielle à l’échelle.
b- Quel autre croisement permettrait d’établir avec précision cette carte
TI
factorielle ?
N
VW
IE
SC
On croise des drosophiles de race pure. Une femelle à corps gris et aux yeux
rouges avec un mâle à corps noir et aux yeux bruns. On obtient une
génération F1 comportant seulement des individus à corps gris et aux yeux
C
rouges.
BA
82
Brassage de l'information génétique Solutions
CORRIGES
I- Testez vos connaissances
Définitions :
- Crossing-over — échange de portions de chromatides entre chromosomes
homologues à la prophase I.
✍
- Test cross = croisement test effectué entre un individu dont on veut
connaître le génotype et un individu birécessif (= porteur des allèles récessifs
TN
des 2 gènes considérés (cas de dihybridisme).
- Hétérozygote = individu qui possède 2 allèles différents d’un même gène.
- Carte génétique — c’est la représentation des emplacements occupés sur le
ES
chromosome des gènes les uns par rapport aux autres.
- Gènes indépendants = ces sont des gènes portés par des paires de
U
chromosomes non homologues.
Q
- Chromosomes homologues = ces sont des chromosomes identiques par la
FI
taille, la forme, portant les mêmes gènes mais pas forcement les mêmes
allèles de chaque gène. Chaque paire de chromosome est formée d’un
TI
83
Brassage de l'information génétique Solutions
✍
TN
ES
U
Métaphase I Anaphase !
Q
FI
Figure 1
TI
* La méiose et le brassage intrachromosomique. (Figure 2)
Pour les gènes situés sur un même chromosome, il y a un brassage génétique
N
äA
£
Oh ©
B:
&
3
ë
F
6
S x)
pe
É [ÈS
S ED
ou
Prophase 1 Anaphase ] a| ©
An +
gr
E£1g
p | oo S
&
=
œ
D
| È
| 5T
<—
Figure2
84
Brassage de l'information génétique Solutions
✍
brassage génétique dû à la méiose aboutissant à des combinaisons allèliques
extraordinairement variées et originales (= génotypes). Chaque œuf (zygote)
TN
est unique au point de vue de son génotype. Chaque organisme représente
une association de gènes de l’espèce qui est unique.
IT- Mobäülisation des connaissances.
ES
ä-
U
Q
FI
TI
N
A Ÿ
IE
SC
AY
C
BA
Spermatocytes II
F B:
AN Ovocytes il
pe
i FECONDATION
ou
2" GP
gr
«9
@
Spermatozoïdes
Cellule-oeuf
85
Brassage de l'information génétique Solutions
✍
Nombre de types gamètes femelles = 2? = 4
Nombre d'œuf possibles = 2? x 2? = 16 œufs
TN
b- Importance de la fécondation = l’union au hasard des gamètes est à
l’origine de la diversité des zygotes et l’apparition des nouveaux génotypes.
La fécondation amplifie la diversité génétique des descendants.
ES
c- Voir figure
3) a- Faux : car le brassage intrachromosomique se fait entre des chromatides
U
de chromosomes homologues.
Q
b- Oui : le gamète hérite de chaque bivalent une chromatide : une chromatide
FI
recombiné portant les 2 allèles aB et une chromatide portant l’allèle d.
c- Non: chaque gamète ne peut hériter qu’un seul allèle d’un gène (=
TI
Ÿ1) L’étape
SC
Phase de division :
BA
associations d’allèles.
Figure 2 et 3: montrent des séparations aléatoires des chromosomes
gr
86
Brassage de l'information génétique Solutions
✍
TN
gamètes fournis par la disposition 3 |
ES
U
ms mt Lt
Q
FI
3) (A, a) et (B, b) sont indépendants
TI
Un individu doublement hétérozygote est de génotype (£ à) .
a
N
portés par les mêmes chromosomes. Par suite ce brassage n’a aucune
influence sur la répartition statistique des gamètes de l’hybride qui sera
toujours :
B:
4 4 4 4
pe
Ÿ1)a- (a, 2)
ou
—> génotype 2 à)
a, b,
87
Brassage de l'information génétique Solutions
à
✍
TN
aj=
ES
U
bi
Q
FI
TI
Anaphase |
N
#i-
IE
gamètes génétiquement
Anaphase Il différents
SC
, db,
y 1 1
B:
4 a, b, a, D, a, b, a, b,
ou
8
O0
Brassage de l'information génétique Solutions
Ja bi = 0,0625 — » 625%
16 a, b,
2f{a
✍
= 0,125 — __ » 12,5%
s ls
No
16( a,
TN
J|
a
F1 SO
ES
2{a
U
= 0,125 — ___ »% 12,5%
s|s
16 a,
Q
FI
2/8 = 0,125 — ___ » 12,5%
se
16{ a,
TI
D
d'a
(x
à = 0,0625 — __ % 6,25%
16| a, b
IE
2
SC
J\ a b
16( a, l
C
1° cas : génotypes :
a,b, = 90%
pe
2 ae h Recombinés
ou
° a = 10%
gr
, a.b . , à
2° cas : génotypes | l la distance gène-gène étant la même — on aura
ab,
les mêmes gamètes mais avec permutation des pourcentages.
89
Brassage de l'information génétique Solutions
5%
% ab:
ab h Recombininé
és
✍
VW 1) Les 2 variétés diffèrent par deux caractères : taille des fruits et la
TN
sensibilité au champignon — il s’agit d’un cas de dihybridisme.
Les phénotypes obtenus en F1 se trouvent chez les parents — c’est un cas de
dominance absolue pour les 2 caractères.
ES
Premier caractère : taille du fruit = c’est un caractère contrôlé par un couple
U
d’allèles notés (P, g) avec P — petit fruit
P domine g
g — gros fruit
Q
Deuxième caractère : sensibilité au champignon = c’est un caractère contrôlé
FI
par un couple d’allèles notés (R, s)
TI
R — résistant au Fusarium
R domine s
s —> sensible au Fusarium
N
mA
te
F1
y de (gs)
PR
£ S es
Ë 2)s x £ 4)
PARC E CEE CE
2
✍
s 1
2
TN
Y:l =gR —£&R ë
2 2 [gR] En
[gR]
les
ES
lès Les lseR|ilss)
2 2 2 4U{g s 4 g s
U
[eR] [gs]
Q
FI
TI
N
IE
SC
C
BA
[8R].
B:
| 8
91
Brassage de l'information génétique Solutions
VW
1) [Fleurs blanches et pieds lisses] x [Fleurs roses et pieds épineux]
— F1 : 100% plantes à [fleurs roses et pieds épineux].
. Les deux lignées diffèrent par 2 caractères (couleur des fleurs et l’aspect des
pieds) — il s’agit d’un cas de dihybridisme.
. F1 homogène pour les 2 caractères, les 2 lignées sont pures pour les 2
caractères.
✍
. Les phénotypes obtenus se trouvent chez les parents, il s’agit de dominance
absolue pour les deux caractères.
TN
1° caractère : la couleur est contrôlée par un couple d’allèles (R, b)
R — rose avec R domine b
ES
| b — blanche
2% caractère : aspect des pieds est contrôlé par un couple d’allèles (E, l)
U
E> CPITEUX L'ivec E domine
Q
1 — lisse
. F1 est hybride pour les deux caractères d’après la 1*° loi de Mendel.
FI
. Génotypes des 2 lignées et de F1 :
TI
b 1! R E
IE
Le génotype de F1 serait (Æ =)
C
bl RE
Les geénotyp
génotypes de 2 lignées
gn seraient |E)
— |, |FE)
— |.
B:
2) [bi] x [RE]
L
ou
Génotypes : [bl] — (2 =)
92
Brassage de l'information génétique Solutions
R E
Phénotype inconnu |
| Lo
3 plantes [RE] — —
©
3 plantes [bE] — —
S%
✍
1 plantes [RI] —
TN
1 plantes [bi] —
ES
F1 de & =) — fournit 4 types de gamètes équiprobables. Par suite
U
Q
l’individu de phénotype inconnu fournit seulement 2 types FI de gamètes
équiprobables, il est donc hybride pour 1 seul caractère.
TI
Etude du 1° caractère : [R] = 3 +1 =4= ; correspond au résultat d’un
N
test
IE
monohybridisme —
F B:
pe
ou
Le génotype de la plante 2
gr
* Vérification théorique
| b E R E
Croisement est donc | —= — x = —
b ! b !
gamètes. > +
L4E lh —RE —bl Lie LR
2 2 4 4
Brassage de l'information génétique Solutions
Echiquier de croisement :
Fl 1
vP FE
ble
g
1
&
|
E
|
ee] i(
| oo |
TS
sl
|
—
PS,
So
PTS
|—
| =
rt
Lu
oo
Sun
✍
+
|
oo
co [D |
| Lo
Il tr
PTS
TN
[RE] — génotypes =
I
|»
7
8\b
LL
oo
1f b
7
[Us
PTT
œ |
[ bE|-
] gé
génotypes 4 =5 Lt
so
ES
Go
U
[bi] — génotypes (
b
|
Q
oo
FI
[=
TI
graines.
IE
. , 3 .
1 caractère : aspect des graines : Les résultats de F2 montrent 3 de graines
SC
. 1 - . qe , , - 4: ;
lisses et 3 des graines ridées — c’est un résultat de F2 de monohybridisme à
C
dominance absolue.
BA
— Le caractère aspect de la graine est contrôlé par un couple d’allèles (L, r).
L : l’allèle qui contrôle l’aspect lisse
r : l’allèle qui contrôle l’aspect ridé avec L domine r
B:
ë x . , 1
2% caractère: couleur des graines: Les résultats de F2 montrent 3 de
F
pe
. 1 . . 1 . ;
graines jaunes, 7% graines violettes et 4% graines bleues — ces résultats
ou
94
Brassage de l'information génétique Solutions
. s 4e . : 1
Si les 2 gènes sont indépendants [Jr] on aurait comme proportion 2,1 1
4
✍
16
ÉSE
— l'hypothèse de deux gènes indépendants est donc vérifiée.
3) Génotypes des parents (de race pure) :
TN
ES
U
Q
FI
TI
N
Par le brassage
IE
interchromosomique :
= 4 types de gamètes même types de gamètes
SC
équiprobables LL , Ly , LB ln
4 4 4 4
C
Echiquier :
BA
y de F1 I 1 JL
1
Jr
y de FI —BL — Br
4 4 4 4
| B =) | B L | (2 L | B L
B:
TS
1 = —= EE = ==
TT
F
—BL B L B r J L Jr
Non
1 Ë =) (2 =) (2 =) B rt
SN
ou
NT
— Br _— — _— — _— — _— —
4 B cr B r J r JT r
gr
ln (2 =) (2 =) £ =) 11
Lt
TRS
4 J L Jr J L Tr
[BJ L] [BJ L] [JL] [JL]
1 (2 =) (2 :) (2 =) Jr
— Jr = — = — = — = —
4 Jr Jr J Jr
+
ÜL [x]
ns
Ca.
ee]
ren
tr
Ce
Cu
œ
Eu
Brassage de l'information génétique Solutions
16
[BL] 3 150
16
[Br] 1 50
16
✍
[IL] 3 150
16
TN
[BJ r] 2 100
16
ES
[x] 1 50
16
U
Q
Remarque : les génotypes ne sont pas exigé, on peut établir l’échiquier des
FI
phénotypes comme suit :
TI
Î 2 Î
4 PB] 3 [JB] all
N
3 3 6 3
IE
1 1 2 1
| 4 [r] 16 [Br] 16 [BJ x] 16 [Jr]
C
BA
V 1) a-. Les plants croisés diffèrent par deux caractères : la taille de la tige
(longue ou naine) et la couleur de la fleur (blanche ou rouge) ;
— il s’agit d’un cas de dihybridisme où chaque caractère est contrôlé par un
B:
L domine n
n : allèle récessif qui contrôle la taille naine
R : allèle dominant qui contrôle la couleur rouge
b : allèle récessif qui contrôle la couleur blanche hi domine b
b- La localisation chromosomique des deux gènes :
les résultats du croisement C x D montrent quatre phénotypes
équiprobables (LLLD .
44494
96
Brassage de l'information génétique Solutions
✍
e Le croisement B x D donne 50% [nR] et 50% [LR].
— Ce résultat montre que B est hétérozygote seulement por la taille de la
TN
. ’ LKR
tige. Son génotype est donc | = — |.
n R
ES
e Le croisement C x D donne 25% [LR], 25% [Lb], 25% [nR] et 25% [nb].
U
L KR
— Ce résultat montre que C est double hétérozygote de génotype (E à) .
Q n
FI
3) — composition phénotypique et génotypique de la descendance issue du
croisement B x C
TI
N
Parents B x C
IE
Génotypes —= + x TT
n n
Gamètes > 7 —
C
BA
LR LR LR sb Lib LuR
Echiquier du croisement
B:
c lLR
4
14 b LR
4
lab
4
F
lLR (+ à (+ à) IL à a(£ à)
pe
PTS
| ma
| mn
PTS
| x
PTS
PTT
| +
sit
z|#
F|#
slt
PTS
No
ho
CO
sx
O0
sr
ss
ls
3
©|
O0
RL
RL
Brassage de l'information génétique Solutions
Phénotypes Génotypes
2 . (3 R )
— soit 250| = —
8 LR
1 L à.
6 . — soit 125 = —
8 soit 750 [LR] 8 L b
✍
| | L _R |
— soit 125 —= —
8 n b
TN
2 | L_R |
— soit2500 | — —
8 n R
ES
1 | n R )
2 — soit125 | — —
U
n soit 250 [nR] 8 n b
1
Q É R )
FI
— soit 125 = —
8 n R
TI
N
IE
ère
1” série d’expériences :
Des moustiques de type sauvage à [corps gris et œil prune] x des moustiques
SC
F1 est homogène —> on déduit d’après la 1*° loi de Mendel que les deux
parents sont de race pure et que les individus de F1 sont hybrides.
2°" série d’expériences : le croisement entre une femelle hybride de F1 avec
des mâles de race pure à corps noir et œil clair a donné une génération formée
de 4 phénotypes équivalents deux à deux — il s’agit d’un test cross — les
mâles à corps noir et œil clair sont birécessif comme l’un des parents de la
première série d’expériences.
98
Brassage de l'information génétique Solutions
✍
Hypothèse: les deux couples d’allèles sont indépendants.
La répartition phénotypique obtenue lors de la 2°* série d’expériences ne
TN
correspond pas à la répartition d’un test cross à deux gènes indépendants
(différente de LI— ) — l’hypothèse est doncà rejeter — les deux gènes
=
4°4
ES
sont liés.
2) — origine de la diversité de F2 :
U
- La f2 est composée de 4 phénotypes. Le mâle ne peut fournir qu’un seul
Q
type de gamètes. On déduit que la femelle hybride de F1 a fournit 4 types de
FI
gamètes.
Les 4 phénotypes issus du test cross révèlent les génotypes des différents
TI
gènes liés.
% phénotypes parentaux >> %phénotypes recombinés
SC
14,6% [n° c]
k —> phénotypes recombinés
BA
14,3% [n c']
La femelle hybride fournit donc 35,2% de gamètes [n° c']
} = y parentaux
35,9% de gamètes [n c]
B:
over.
28,9% de gamètes recombinés qui résultent de méiose avec crossing-over.
La diversité de la descendance de F2 résulte de méiose avec crossing-over et
sans crossing-over chez la femelle hybride.
99
Brassage de l'information génétique Solutions
✍
TN
ES
LA 2
U
Q
Anaphase |
/ À
Lil /
FI
TI
N
IE
© EX }
SC
CT TELE
C
BA
B:
A _28,91% À 100%
î recombinés
a
F
pe
nc nc | nc | nc° nc
nc nc nc nc
352% [nc] 35,9% [nc] 14,6% [nc 14,3% [n* c]
——
RE ———— —
Phénotypes parentaux 71,1% Phénotypes recombinés 28,9%
100
Brassage de l'information génétique Solutions
✍
1 L
n'/n c’/c
TN
G deF2[n*c] x © de F2[nc'] Echiquier
n°c nc* v?F1 l 1
génotypes | x | — y F2 27° 5 "°
ES
nc nc
1 nc°
U
3 l + 1 +
gamètes —ñnc — nc 4Ù nc
2 2
Q ne]
FI
—nc — nc
2 | 1 n'c (=)
TI
4\ nc
ss Lin À1 fn c*] À;ù SE ame 27° 4Unc
N
4 4 inc]
IE
n°c
4) Race pure à corps gris et œil clair : génotype ue
SC
nc
E
| | n°c
C
DEC REC
FE
F B:
| 1 1
gamètes 5 n'c — nc 5 nc —nc
pe
ou
Echiquier de croisement
Y9F1 1, 1
gr
y G F2 3 nc — nc
2
1 nc =) [n* c] ie (n* e]
2 4\ n'e
+
Le line
2 4Ù nc
Brassage de l'information génétique Solutions
._ 3, lfn'c| ifn'c 1
On obtient - [n cl -|— | —|—— {et — [nc]
AU n'c/ 2\ nc 4
Pour identifier les moustiques [n' c] de race pure, on doit réaliser des
croissements tests. On croise individuellement chacune des moustiques [n'c]
de la génération précédemment obtenue avec un individu testeur de génotype
. nc
connu (double récessif) =——.
✍
nc
Lorsqu’on obtient 100% de descendants de phénotype [n° c], on déduit que
TN
+
. ! nc
l'individu qu’on a testé [n° c] et de race pure = = «
nc
ES
U
1% croisement : [graines noires et lisses]= V: x [grains jaunes et ridées]= V;
F1= homogène
Q
FI
2% croisement : F1 x Va
TI
|
802 graines noires lisses
N
F’;)
798 graines jaunes ridées
IE
- Les deux variétés diffèrent par deux caractères couleur des graines et leur
forme — il s’agit d’un cas de dihybridisme.
C
avec N >)
j — allèles récessif qui contrôle la couleur jaune.
Le 2°% caractère forme de graines est contrôlé par un couple d’allèles (EL, r).
gr
102
Brassage de l'information génétique Solutions
✍
D, = 126+20%, 100 20 CM.
2000
TN
2) phénotype de F1 : [NL]
, NL
Génotypes de F1 : FE)
ES
Jr
U
3)
Q
FI
TI
N
Prophase 1
IE
SC
see
C
crossing over
B:
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
F
pe
ou
gr
10%, 10%
gamètes recombinés 20%
Echiquier de croisement :
Y&FT | ON LL j cr N cr j L
y de V2 HR 40%
le 40% 20%
+ 20%
j 7 NL |. Nr JL |.
++ | EI ECG CE
✍
100 % 40% 40% 20% 20%
TN
Ÿ, Le mécanisme qui est à l’origine de l’apparition de ces nouveaux
caractères : ailes tronquées et yeux pourpres — mutations qui ont affecté les 2
ES
gènes qui contrôlent la longueur des ailes et la couleur des yeux.
Ces mutations géniques affectent l'ADN : ce sont des modifications dans la
U
séquence des bases azotées de chaque gène par substitution(s), soustraction(s)
ou addition(s) de nucléotide(s).
2) 1° croisement
Q
FI
Drosophiles sauvages aux [ailes longues, yeux normaux] x drosophiles aux
TI
[ailes tronquées, yeux pourpres]
—+ F1:100% drosophiles aux [ailes longues, yeux normaux]
N
2° croisement
IE
- La longueur des ailes est contrôlée par un couple d’allèles (t”, t).
t” : allèle dominant qui contrôle aile longue. Avec t'
Nr . - AT. , vect >t.
t : allèle récessif qui contrôle aile tronquée.
- La couleur des yeux est contrôlée par un couple d’allèles (p”, p).
p” : allèle dominant qui contrôle les yeux normaux.
p : allèle récessif qui contrôle les yeux pourpres. } Avec p'>p.
Interprétation du 2°” croisement = il s’agit d’un test cross.
Hypothèse : les 2 couples d’allèles sont indépendants.
104
Brassage de l'information génétique Solutions
✍
fourni 4 types de gamètes = des gamètes parentaux [t* p'I[t pl et des gamètes
recombinés [t° pJ[t p'] qui résultent d’un brassage intrachromosomique qui se
TN
fait à la prophase I.
% de phénotypes parentaux >> % des phénotypes recombinés car :
% de y parentaux de la9 (61%) >> % de y recombinés(39%)
ES
Remarque : dans le cas de test cross
le % de y recombinés — % de phénotypes recombinés =
U
EI
160 = 39%
1767 Q
FI
TI
b- Ode F1 ee
N
t+ pr
C
BA
Prophase I
B:
crossing over
pe
ou
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
gr
t+ t
p+ p
105
Brassage de l'information génétique Solutions
Echiquier
y?de F1 t' p' t p p t p'
4 t
30,5 % 30,5 % 19,5% 19,5 %
✍
tp tp tp ip
TN
100% [p'] [tp] [pl [tp°
30,5% 30,5% 19,5% 19,5%
ES
£ —— y — ——
Phénotypes parentaux = 61% Phénotypes recombinés —-39%
U
C / distance gène-gène =% de gamètes recombinés=-39%
=39 CM
- Carte factorielle t/ t pp
Q
FI
——>
TI
39 CM
pr
N
tp méiose sans
3/- Qde F[Tp x crossing-over(absen
IE
ar (: p
chez le É'de
SC
DO
C
@) 1)
BA
b|-
D |
B:
106
Brassage de l'information génétique Solutions
Echiquier de croisement :
+ + +
y Pde F1 tp t _p tp t p
{ Î 1 À. —. { | 1
Y G Ï 1 Il T | T Ï Ï
30,5 % 30,5 % 19,5% 19,5 %
t p | t'p' | | tp’ ) Ê | | t p' |
✍
l+—— t'p' t p 7. t‘p t'p'
TN
tp tp tp tp
1
2 15.25% [tp'l 15,25% [tp] 9,75% [t'p] 9,75% [tp*]
ES
U
Résultats : [t'p‘1=15,25% x 3 +9,75% x 2 = 45,75% + 19,5% = 65,25%
[tp] = 15,25% : [tp] =9,75% ; [tp‘] = 9,75%
Q
FI
TI
1) Localisation des gènes :
L'apparition dans la descendance de plante [ab] à partir du croisement
N
[ABJx[ab], montre que le 1” parent (lot 1} est double hybride : il s’agit d’un
IE
test cross.
Hypothèse : les 2 gènes A/a et B/b sont indépendants.
SC
Les plantes du lot 1 ont fourni 4 types de gamètes : des gamètes parentaux
AB et ab et des gamètes recombinés qui résultent d’un brassage intra-
chromosomique Ab et aB.
107
Brassage de l'information génétique Solutions
. AB , ab
Génotype de lot 1 est donc | —— | et génotype de N est | — |.
ab ab
Génotypes des descendants :
AB ab
lot 1 — X N <=
ab ab
Ÿ ; Ÿ Ÿ Y
✍
Gamètes 45%AB 45%ab 5%Ab 5%aB 100%ab
—— Lu
TN
Gamètes parentaux gamètes recombinés
2040 100 = 90% nn 100 = 10%
ES
Echiquier
U
y 45% AB 45% ab 5% Ab 5% aB
Q
y dde N
Re — ———
IE
2,25% [ab]
BA
ab
(2 — Les deux parents lot 2 et S fournissent des gamètes de types ab.
ab
B:
SJ» (Se)
F
(à)
ou
(2)
ab
gr
1% cas x plante S
45% de y ab 5% dey ab
= gamèête parental = gamète recombiné
ème Ab AB
2° cas lot2|——| x plante S | —
| aB | ab
5% de y ab 45% de y ab
= gamète recombiné = gamète parental
Fécondation 2,25%[ab]
✍
AB Ab
Le génotype de S est donc (2) si le génotype du lot 2 est 2 .
TN
al
Ab |. AB
Le génotype de S est FF si le génotype du lot 2 est TE)
ES
a
Remarque : si les 2 parents sont de même génotype :
U
AB AB Ab Ab
Q
lot2}—=| x plante S | — ou lot2|—=|x plante S | —
ab ab aB aB
FI
45% de y ab 45% de y ab 5% de y ab 5% de y ab
TI
= garmètes = gamètes = gamètes = gamètes
parentaux parentaux recormbinés recombinés
N
«”_
IE
couleur du corps
b° — [corps gris] avec b* domine b.
B:
b — {corps noir]
F
pème
couple (c°, c) — aspect des ailes
c' —> [ailes normales] avec c* domine c
pe
c — [ailes tordues]
ou
qîme
couple (r”, r} — aspect des yeux
r' — [œil lisse]
gr
avec r° dominer
r — [œil tordu
1* croisement : ®hybride [b* c'] : & [bc]
733 [bc]
727 [bc]
271 [b'c]
269 [bc]
109
Brassage de l'information génétique Solutions
382 [c'r']
377[cr]
380 [c‘r]
378[cr']
1) Localisation des 3 couples d’allèles pris deux à deux.
✍
* Cas des couples (b”, b) (c”, c) — 1” croisement :
Hypothèse : les deux couples d’allèles (b”, b) et (c”, c) sont indépendants.
TN
Le 1° croisement est un test cross, la répartition phénotypique obtenue est
différente de la répartition attendue d’un test cross à 2 gènes indépendants =
1111
ES
4 4/44
U
=> Les deux couples d’allèles (b°, b) (c', c) sont donc liés.
* Cas des couples (c',c)et(r,r') — 2% croisement : C’est un test cross.
Q
La répartition phénotypique obtenue correspond à la répartition d’un test
FI
cross à 2 gènes indépendants 2ILII
TI
4444
— Les deux couples d’allèles (c”, c) et (r, r”) sont donc indépendants.
N
Pour les couples d’allèles (c°, c) (r”, r) qui sont indépendants, ils sont donc
portés par deux paires de chromosomes différentes
ou
gr
b',b c’,c
2 chromosomes ( (
non homologues ———
27 CM
———Ÿ"—___—_ _"_—__—_—_—_—__—
@*,1)
110
Brassage de l'information génétique Solutions
✍
b'c*
TN
On prend les cas à titre d’exemple le génotype | |
b C
(5 *
b'c* b'c*
ES
U
méiose avec méiose sans Crossing-over
Q
et sans (absentFI chez les drosophiles
Crossing-over mâles).
4 types de gamètes 2 types de gamètes (parentaux)
TI
1 1
b'c' be b‘c bc’ —b'c —-be
N
2 2
IE
gamètes gamètes
parentaux recombinés
SC
= 73% = 27%
C
Echiquier
BA
Y® b'e” bc b'e be
y4 36,5% 36,5% 13,5% 13,5%
1 [bc] [bc] [b° ec] [b° ec]
B:
Répartition phénotypique :
gr
Total = 100%
111
Brassage de l'information génétique Solutions
VW
Croisement entre drosophiles CI x G[?]
de race pure mais de phénotype
inconnu mais différent FI = 100% drosophiles
[corps poilu, yeux rouges]
- Les 2 parents diffèrent par deux caractères — c’est un cas de dihybridisme.
- D’après les phénotypes obtenus en F1, on déduit qu’il s’agit d’un cas de
✍
dominance absolue.
Corps poilu domine corps sans poils.
TN
Yeux rouges domine yeux écarlate.
Soit le couple d’allèle (p', p) — contrôle la présence ou l’absence des poiles :
ES
p' — allèle dominant contrôle la présence des poils.
p — allèle récessif contrôle l’absence des poils.
U
Soit le couple d’allèles (r°, r) —> contrôle la couleur des yeux.
Q
tr” — alièle dominant contrôlant la couleur rouge.
FI
r — allèle récessif contrôlant la couleur écarlate.
Phénotypes des parents © [p*r'1 x G [pr]
TI
Où Op‘ x dipr]
N
2) QAdeFl1[p'r] x € Bfpr]
IE
48,5% [p 1]
SC
F1 J48,5%[p'1]
1,5% [p'r]
C
15% [prl
BA
4 44
gr
112
Brassage de l'information génétique Solutions
b- Génotypes de A et de B :
En F’1 il y a présence des phénotypes parentaux qui sont les plus fréquents
[p* r] et [p r'] et des phénotypes recombinés qui sont les moins fréquents [p”
r'Jet[pr].
La F1 A fournit 4 types de gamètes : des gamètes parentaux p'retpr et
des gamètes recombinés p'r et pr.
r
✍
—Le génotype de la femelle A | É +
| génotype de GB: birécessif
pr
TN
pr
pr
ES
- Génotypes des parents :
U
La femelle A de F1 résulte d’une fécondation d’un gamète mâle et d’un
Q k:
FI
gamète femelle p°r et pr” — génotypes des parents sont donc P:: E P::
pr
TI
4
N
= |.
IE
Epr |
SC
113
Brassage de l'information génétique Solutions
✍
TN
ES
Prophase I
U
Q
FI
f 1 Y
TI
N
P+ p+ p p P P
IE
r r+ r + r+ r
SC
À f 3% î 100%
C
gamètes recombinés
BA
B:
y À p' t p " p° 1 p t
48,5 % %
ou
P I p' r pr° pr pr
100% pr pr pr pr
48,5% 48,5% 15% 1,5%
3) Les 2 couples d’allèles (p”, p} (r”, r) sont liés.
Distance génétique = % de gamètes recombinés
= % de phénotypes recombinés = 3%
ds 3 CM.
114
Brassage de l'information génétique Solutions
sk j à =
✍
3CM 18CM 15CM 3CM
————————— + +
TN
21CM 18CM
b- Pour préciser cette carte il faut réaliser un autre croisement pour
ES
déterminer la distance génétique p's”. pour cela il faut réaliser le croisement
entre une femelle double hétérozygote [p° s°] avec un mâle birécessif [ps]
U
Q
++ - Si le pourcentage des phénotypes
ps ps .
FI
(== Ix |— recombinés est égal à 21% — carte
ps ps factorielle correspondant au 1° cas.
TI
[ps] recombinés
SC
Ÿ1) Analyse
C
BA
du 1° croisement :
La génération F1 est homogène portant les phénotypes de l’un des deux
parents : corps gris, Yeux rouges.
B:
2% caractère : la couleur des yeux est contrôlée par un couple d’allèles (R, b)
R — allèle dominant qui contrôle la couleur rouge. } R>b
b — allèles récessif qui contrôle la couleur brun.
115
Brassage de l'information génétique _ Solutions
Conclusion: les deux gènes sont donc liés et le linkage est partiel vu la
présence de 4 phénotypes dans la descendance (la® fournit 4 types de
gamètes).
✍
2)a- parents C [GR] x d [nb]
TN
GR nb
G énotypes
s | ==
& ) x |=
D )
ES
Génotype de F1 (&) — [GR]
U
n
Q
b- F2 comporte 4 phénotypes = des phénotypes parentaux [GR] et [nb] et des
FI
génotypes recombinés [Gb] et [nR] qui résultent d’un brassage
TI
intrachromosomique qui se fait à la prophase I chez la femelle hybride. En
effet chez le mâle de drosophile il y a absence de crossing-over.
N
IE
m(S) x en(®)
SC
n
C
gamètes gamèêtes
F
Soit p = le taux des gamètes recombinés donc 1-p : le taux des gamètes non
recombinés.
gr
116
Brassage de l'information génétique Solutions
Echiquier:
7£de F1 GR nb Gb nR
aa 1-p 1-p p p
ross 2 2 2 2
; GR DO
GR nb QE
GR nR
Pie | P16R] 24 [GR] P4 (GR
✍
4 4
(=) a) =) =)
TN
lo ab nb nb nb
ES
2 ©à_P [GR]
[GR LPP [nb] pPPà [Gb] pP4 [nR]
U
——, ————
Q
FI Phénotypes recombinés
117
La génétique humaine Résumé du cours
Thème 5
LA GENETIQUE HUMAINE
✍
1) Cas de maladie récessive
La généalogie doit montrer que les individus atteints naissent de deux parents
TN
n’exprimant pas la maladie.
ES
U
Q
FI
Dans ce cas, on doit discuter trois types de localisation :
a- maladie liée à y
TI
La généalogie doit montrer une transmission de type tel père -tel fils.
N
La généalogie doit montrer que la maladie est plus fréquente chez les
garçons et que tout garçon malade est issu d’une mère conductrice ou malade
SC
malade ayant un père sain ou une mère malade donnant un garçon sain.
BIEA
OÙ
An
Fr
———————<
B: LT
J
F
pe
XN
s|E
v
ou
La généalogie doit montrer que les individus sains, naissent de deux parents
expriment la maladie.
La génétique humaine Résumé du cours
✍
NB. On exclut ce type de localisation si la généalogie montre un garçon
malade issue d’une mère saine ou un père malade donne une fille saine.
TN
Xn XM
E TE +
ES
7? ou 2?
U
XM
Q Xn,
FI
+Y %
c- maladie dominante autosomale
TI
moins l’un des parents atteint, on signale que les données plaident en faveur
d’une maladie dominante.
C
tare est déclarée dans la famille. Sur les cellules fœtales prélevées, on détecte
les maladies géniques par deux moyens :
- Analyse des protéines comme l’hémoglobine.
- Analyse de l’ADN par l’utilisation de « sonde » radioactives se fixant
spécifiquement sur le gène de la maladie.
119
La génétique humaine Enoncés
ENONCES
D) Testez vos connaissances
✍
- sonde moléculaire
- amniocentèse
TN
- trisomie 21
- maladie liée au sexe
- mariage consanguin
ES
- diagnostic prénatal
U
Citez la succession des étapes de dépistage d’une maladie génique lors
Q
d’un diagnostic prénatal. FI
Eliminez l’intrus :
TI
3-1 3-2
a- autosome a- enzyme de restriction
N
ÿ Accolez ensemble, deux à deux, les termes de chacune des deux listes
BA
C- hétérozygote 3- jumeau
D- monozygote 4- xx
F
E- conductrice S-xy
pe
document proposé, relevez les affirmations exactes et corrigez celles qui sont
fausses.
gr
A- Sachant que dans cette famille (document A), la maladie est due à un
allèle morbide récessif d’un gène porté par la partie propre du chromosome
X. On peut affirmer que :
a- L’individu 1-3 est homozygote.
b- L’individu I-5 est hétérozygote.
c- la probabilité pour que III-2 soit hétérozygote est de /2.
120
La génétique humaine Enoncés
d- Si l’enfant du couple (lI-1;II1-2) est une fille, elle a un risque sur deux
d’être malade.
gd Joke
D M
✍
TN
ES
U
Q
Doc À
B- La mucoviscidose est une maladie héréditaire due à un allèle récessif d’un
FI
gène situé sur le chromosome 7.
TI
On peut affirmer à partir du document B que :
a- L'un des parents I-1 ou [-2 est homozygote.
N
121
La génétique humaine Enoncés
✍
Va.
TN
3
OC 4
OC.
sain
ES
U
4 é 8 10 11 12 13 | 14 15 atteint
Q
FI
Femme
TI
ë 9 0 1 | sane
N
Femme
atteinte
IE
vJ
SC
Doc C
1 2
O Femme saine
F
pe
] Homme malade
1 2 3 4
ou
in VE dot
Î 2 3 4 5 6
1) Dans le but de comprendre la détermination génétique de la maladie,
discutez chacune des hypothèses suivantes en argumentant vos réponses.
- Hypothèse 1 = la maladie est contrôlée par un allèle autosomal récessif.
- Hypothèse 2 = la maladie est contrôlée par un allèle autosomal dominant.
122
La génétique humaine Enoncés
✍
suivants : E, L, IL, IL, Il, et IIL.
TN
V/ Un homme normal épouse une femme normale. Ce couple a eu deux
enfants dont l’un est atteint d’une maladie héréditaire. Afin de déterminer le
ES
mode de transmission du gène responsable de la maladie, on procède à
l’analyse de l’ ADN des différents membres de la famille par électrophorèse.
U
Les résultats sont résumés par le document 1
Q
FI
P, P: E: E> P1,P2: parents
TI
A E1,E2: enfants
N
A,B:2 fragments
IE
d'ADN
correspondant
SC
B aux 2 formes
alléliques
du gène,
C
BA
Document 1
1) L’allèle de la maladie est-il dominant ou récessif ? Justifiez.
2) A partir de l’analyse du document 1 :
B:
123
La génétique humaine Enoncés
A B € D
| EH Homme atteint
E F G H
✍
| | C] Homme sain
TN
t J K L
?
ES
Document 1
a- L’allèle responsable de la maladie est-il dominant ou récessif ? Justifier.
b- L'analyse de ce document permet-elle de dire si l’allèle responsable de la
U
maladie est porté par un autosome ou par un chromosome sexuel ? Discutez
chaque éventualité.
Q
FI
2) La mesure de la quantité de glycolipides dans les cellules issues de
TI
quelques sujets de cette famille et mises en culture à donné les résultats
suivants :
N
124
La génétique humaine Enoncés
✍
TN
(o)
; 2 AB Génération |
BD OO. em
ES
Ù D D D mwn
U
© © HO 5 6
FI
7
Q 8
TI
(©) Lo) Génération ÎV
1 2
N
IE
RH Homme malade
F B:
1 2 @:-- malade
pe
ou
gr
ul Foetus À FoetusB
Document 1
125
La génétique humaine Enoncés
✍
Document2
1) A partir des donnés et en le justifiant, indiquez :
TN
a- Si l’allèle responsable de l’anomalie est récessif ou dominant ?
b- Si le gène est porté par un autosome ou un chromosome sexuel. Discutez
chaque éventualité.
ES
2) Déterminez les génotypes de Il, Ils, Ils et des fœtus.
HRHAKHA HA
3) On réalise les caryotypes des fœtus A et B.
HEC HH HA HA
U
BKHE HR Q
BK HE HR
FI
TI
HK AR HH KRHH
IE
HR HA
SC
KA HE
HK OK HK #K
C
BA
HK HKK AK ‘
Document3 (Caryotype
de A) Document3 (Caryatype
de B)
B:
fœtus B. K L u H
En justifiant, schématisez les anaphases
gr
gamète.
NB : vous ne considérez que les
chromosomes concernés par les
ze
informations.
RE
126
La génétique humaine Enoncés
VW
On envisage une maladie rare dans la population pour laquelle on connaît de
nombreuses généalogies qui se rangent en deux catégories.
Les arbres généalogiques 1 et 2 sont typiques de ces deux catégories.
✍
TN
ES
U
Q
FI
TI
descendance.
BA
VW
B:
synthétisées par deux allèles A et B. On peut séparer ces deux formes par
électrophorèse. La forme A migre plus rapidement que la forme B.
ou
127
La génétique humaine Enoncés
À- Famille témoin I
✍
Père Mère 1 2 3 4 5
Enfants : fille garçon
TN
Quels sont les génotypes des membres de cette famille ? Justifiez-vous.
B- Famille IT
ES
A
U
Q
FI
Père Mère 1 2 3 4 5
TI
Individu testé h
pe
7 2
Sens de migration A: [
ou
A2
ul Ô d Ô u
1 2 3 4
Document 1 Document 2
1) A quel fragment À, ou A, correspond l’allèle normal ? Justifiez.
2) En exploitant les documents 1 et 2, montrer si l’allèle de la maladie est
dominant ou non.
128
La génétique humaine Enoncés
V
L'arbre généalogique simplifié de la figure 1-a représente une famille dont
certains membres sont atteints de rachitisme vitamino-résistant qu’un
✍
traitement par la vitamine D ne suffit pas à faire disparaître.
Les conjoints 2, 4 et 6 sont issus de familles ou ce caractère ne s’est jamais
TN
manifesté.
ES
a- Déterminer si l’allèle responsable du rachitisme vitamino-résistant est
dominant ou récessif.
U
b- Savoir si la maladie est ou non liée au sexe.
Q
FI
2) Le tableau 1-b (descendance de 24 couples ou seul le père est affecté par la
TI
maladie) permet-il d’affirmer que le gène impliqué est situé sur les
chromosomes sexuels ? Pourquoi ? Donner toutes les précisions possibles.
N
IE
Figure 1
a. h
SC
de rachitisme Fe 5
BA
vitamino-résistant. orme °
b- Descendance de 24 © ee 2
couples ou seul le père ms | À
B:
129
La génétique humaine Solutions
CORRIGES
✍
sexe. S’oppose aux hétérochromosomes.
- Sonde moléculaire: c’est une séquence de nucléotides marquée
TN
(radioactive) capable de s’hybrider spécifiquement et selon le principe de
complémentarité avec la séquence d’ADN correspondant au gène recherché.
ES
- Amniocentèse : c’est le prélèvement du liquide amniotique dans lequel se
trouve des cellules du fœtus.
U
- Trisomie 21 : c’est une anomalie qui consiste en une variation du nombre de
Q
chromosomes dont l’analyse du caryotype révèle la présence du chromosome
21 dans les cellules diploïdes de l’organisme en trois exemplaires au lieu de
FI
deux.
TI
- Maladie liée au sexe : c’est une maladie héréditaire dont le gène impliqué
est porté par la partie spécifique de l’un des deux chromosomes sexuels.
N
Via succession des étapes de dépistage d’une maladie génique lors d’un
diagnostic prénatal est la suivante :
B:
moléculaire. :
gr
VAE
—-32:B
130
La génétique humaine Solutions
✍
malade Fe .
Y
b- Si l’enfant du couple III-1_IIT-2 est une fille, elle a un risque nul d’être
TN
malade car elle reçoit de son père l’allèle normal dominant.
B * affirmation exacte : d
ES
* correction des fausses affirmations :
a- Les deux parents I-1 et 1-2 sont hétérozygotes.
U
b- L’enfant II-1 possède deux allèles morbides (homozygote récessif).
c- L’enfant à naître III-3 a une probabilité de 4 d’être malade.
C * affirmations exactes : a—b
Q
FI
* correction des fausses affirmations :
TI
c- La probabilité pour que l’enfant IV-7 soit malade si c’est une fille est de 1.
d- La probabilité pour que l’enfant IV-7 soit malade si c’est un garçon est
N
nulle
IE
parents dont l’un sain doit être hétérozygote (L, Il, et IL) —> hypothèse
possible.
B:
fille malade doit avoir un père malade (IL et IL) et une mère porteuse (Il: et
gr
131
La génétique humaine Solutions
✍
L : À, Il: Xn ; IL: XM ; Il;: XM ; IL: Xn .
Y Xn Y Xn Y
TN
Ÿ, l’apparition d’un enfant atteint à partir de deux parents sains montre
que l’allèle de la maladie se trouve à l’état masqué chez au moins l’un des
ES
deux parents (récessif).
Soit N : l’allèle responsable du phénotype normal.
U
m : l’allèle responsable du phénotype malade.
Q
2) a- Le profil génétique de E; est semblable au parent P; normale. Cependant
FI
FE; présente un profil génétique différent des deux parents P; et P; également
normale. E, est donc l’enfant malade.
TI
à tous ses enfants. Or, le document 1 montre que l’enfant E> ne possède que
C
l’allèle B responsable de la maladie. Donc le gène étudié n’est pas porté par
BA
un autosome.
- Hypothèse 2 : le gène étudié est porté par le chromosome x. L’enfant E; ne
B:
132
La génétique humaine Solutions
serait saine.
1) a- Deux parents sains (par exemple) E et F ont donné un enfant malade (1)
donc l’allèle responsable de la maladie est récessif. Soit m cet allèle et N
✍
l’allèle responsable du phénotype normal, tel que N > m.
b- Hypothèse 1 : l’allèle de la maladie est porté par le chromosome sexuels
TN
Y.
Le père E est sain alors que son fils I est malade — hypothèse à rejeter.
Hypothèse 2 : l’allèle de la maladie est porté par le chromosome sexuel x.
ES
La mère F (ou G) doit être de génotype et peut donner des garçons
U
sains ou malade et des filles saines car le père E (ou H) est sain c'est-à-dire de
Q
FI
génotype =. Ce qui est les cas — hypothèse est à retenir.
TI
NB : on peut vérifier cette hypothèse par un tableau de rencontre des gamètes
pour le couple (E, F} ou (G, H).
N
m m Génotype
BA
N IN] IN]
M IN] [m]
2) a- * Vérification de l’hypothèse 2 (gène porté par x). Les sujets H et D
. . à , XN . , à
sains, doivent être de génotype Ft doivent alors présenter la même
133
La génétique humaine Solutions
✍
codant pour la synthèse de l’enzyme et son allèle muté responsable de la tare
et donc localisé sur un autosome.
TN
b- Génotype des sujets À, B, C, D, G, H, L etK :
ES
m
. , N
U
- pour les sujets B et D : le génotype est .
Q
FI
-pour le sujet L : le génotype est.
m
TI
restrictions.
- Electrophorèse et séparation des fragments d’ADN.
- Transfert des fragments séparés sur papier spécial.
C
K: N
m
Ces résultats confirment donc les renseignements dégagés par la mesure de la
quantité de glycolipides : 50% de glycolipides.
134
La génétique humaine Solutions
V1) — l’apparition
✍
d’une fille III, de phénotype intermédiaire [AB] entre les
deux phénotypes [A] et [BI, montre qu’il s’agit d’un cas de codominance
TN
entre les deux allèles À et B (A =B).
- La présence d’un père L, également de phénotype [AB], montre une
localisation autosomale du gène.
ES
- L'apparition d’un individu (Ils) de phénotype [O1 à partir d’une mère [B] et
d’un père [A], montre que l’allèle O est récessif devant l’allèle A et l’allèle B
U
(A>OetB > O).
Q
2) — Pour les sujets de groupe [O] et qui sont L;, Il, IL, Is, I,
FI Is, IV, et
- Pour les sujets de groupe [AB] et qui sont L et III, le génotype est <
IE
ou 2 car À = B.
SC
A
- Pour les sujets de groupe [A1 provenant d’un parent [O], ou donnant un
C
- Pour le sujet III, de groupe [A], le génotype est Le non = car SON
F
. B B x
- Pour le sujet IT; de groupe [BI], le génotype est 5 et non 5 car son père
IL est de génotype = .
135
La génétique humaine Solutions
✍
Le père [; est de génotype = et la mère [ est de génotype d'après le
TN
document 1 et le document 2 aussi.
Xn XM Génotype
ES
U
Gi) à a) &) Gamètes
Lu L
Q
FI
Tableau de rencontre des gamètes :
TI
y Ce couple peut donner des filles
saines, des filles malades et des
N
Xn [n] [n]
XM [M] [M]
C
BA
136
La génétique humaine Solutions
I — Xn ; ls XM : I _, À (après le document 1)
Xn Xn Y
Pour les fœtus les génotypes sont déterminés d’après le document 2 : chacun
✍
uniquement.
TN
3) a- * le 1° caryotype ( du fœtus A) montre la présence de 46 chromosomes
fissurés et rangés par paires et par ordre décroissant de taille.
Conclusions :
ES
- Il s’agit d’un caryotype ® de formule chromosomique 22 paires
d’autosomes + XX.
U
Q
- Elle serait de génotype = donc saine.
n
FI
* Le 2°% caryotype (du fœtus B) montre la présence de 47 chromosomes
TI
fissurés dont 42 sont rangés par paires et par ordre décroissant de taille.
Cependant on note la présence du chromosome 21 en trois exemplaires et
N
Conclusions :
- Il s’agit d’un caryotype C'présentant une aberration chromosomique de type
SC
137
La génétique humaine Solutions
✍
TN
2% cas
ES
1) a- pour les deux généalogies, la maladie est récessive. En effet le mariage
U
IILS-IIS pour la 1°° généalogie et le mariage Il:-IL (ou Ils-Il; ou Ils-Ilo) pour
Q
la 2°% généalogie montrent l'apparition d’un enfant malade à partir de deux
FI
parents sains.
Soit m, et m, les allèles qui déterminent le phénotype malade respectivement
TI
pour la généalogie 1 et 2.
N
la généalogie 1 et 2.
Avec N; > m. et N > m.
SC
malade.
* hypothèse 2 : le gène de la maladie est porté par le chromosome sexuel X.
- Pour la 1° généalogie cette hypothèse est à rejeter :
B:
- Pour la 2° généalogie
ou
XN x Xm, génotype
dl5
J\ 1
T0 ,
gamètes N 5? Xm gamètes
La génétique humaine Solutions
XN, génotype
✍
X
J\ Of À
TN
XN: Y XN: Xm2 amètes
ei Chacun de ces trois couples ne peut
ES
yQ XN2 Y pas donner que des filles saines et
XN:; © IN] & IN] des garçons saines ou malades. Ce
U
qui est le cas.
Q
Xnv Q [N2] ê [mo] FI
Cette hypothèse set à retenir pour la 2° généalogie.
TI
* Hypothèse 3 : le gène de la maladie est autosomal.
- Pour la 1°° généalogie : la maladie n’est pas liée au sexe donc autosomale et
N
N
IE
les sujet I, d’une part et III et III, d’autre part sont des hybrides a vu
m,
SC
IL, Il, I, Il et Il sont des brides! N, | . Or les sujets IL, Il; et IL sont
M;
des étrangers. De plus la maladie est rare.
B:
doit être indiscutablement hétérozygote: I, Ils, Il, IL, Ml, IL, IL, Ile,
gr
139
La génétique humaine Solutions
Ÿ
A- Les deux formes enzymatiques A et B sont de même efficacités. Il s’agit
donc d’un cas de codominance (A = B).
Localisation du gène :
- Hypothèse 1 : le gène est localisé sur le chromosome sexuel Y.
La mère porte le caractère — hypothèse est à rejeter.
- Hypothèse 2 : le gène est localisé sur le chromosome sexuel X.
✍
Le profil génétique montre que certains enfants possèdent seulement la tache
À : il s’agit de garçon qui ont hérité l’allèle A de la mère. D'autre enfants
TN
possèdent deux taches A et B : il s’agit de filles qui ont hérité l’allèle A de la
mère et l’allèle B du père — hypothèse est à retenir.
ES
- Hypothèse 3 : le gène est autosomale.
Le profil génétique montre que la mère possède une seule tache A
U
correspondant
.
à un
‘
génotype ——
À . Le père
à possède
x une seule tache B
Q
FI
B
correspondant à un génotype 5
TI
A .
IE
Y XA
BA
absence de déshydrogénase.
F
s’explique par l’existence d’un allèle muté du gène situé sur l’un des deux
chromosome sexuels X de la mère (soit a cet allèle).
gr
140
La génétique humaine Solutions
✍
On déduit que le fragment d’ADN A, correspond à l’allèle malade et que cet
allèle A; domine l’allèle normal A1. (A2 > Ai).
TN
3) — Hypothèse 1 : l’allèle de la maladie est porté par le chromosome sexuel
Y.
ES
Les filles IL et IL, sont malades — hypothèse est à rejeter.
- Hypothèse 2 : l’allèle de la maladie est porté par le chromosome sexuel X.
U
Le père I ne possédant pas l’allèle normal est de génotype — Il doit
Q
FI
transmettre la maladie à touts ses filles et jamais à ses garçons (car la mère I:
est saine). Ce qui est le cas.
TI
ses enfants. Ce qui n’est pas les cas — Hypothèse est à rejeter.
:B
IL: = — car c’est une fille malade provenant d’une mère saine.
Ë | RS <peEE
2
IL : — car c’est un garçon malade.
ou
1
JL : — car c’est une fille saine.
gr
1
5
IL ———
1
— car c’est un garçon sain.
Y
141
La génétique humaine Solutions
✍
b- Hypothèse 1 : l’allèle de la maladie est porté par le chromosome sexuel Y.
IL existe des filles malades —> hypothèse est à rejeter ;
TN
- Hypothèse 2 : l’allèle de la maladie est porté par le chromosome sexuel X.
Pour les mariages (1, 2) et (5, 6), seulement le père est malade et de génotype
ES
= Il doit transmettre la maladie à ces filles et jamais à ces garçons. Ce
U
qui est le cas.
Q
Pour le mariage (3, 4), seulement la mère est malade et de génotype Er
FI
Elle peut transmettre la maladie à ces filles et à ces garçons. Ce qui est le cas.
TI
M
Pour le couple (1, 2), seulement un parent est malade et de génotype —= ou
n
SC
M .
NF . Il peut transmettre la maladie à ces enfants. Ce qui est le cas.
C
De même pour les couples (3, 4) et (5, 6) dont le parent malade est de
BA
génotype M
n
B:
maladie qu’à ses filles et jamais à ses garçons ayant une mère saine (de
Xn ,
gr
142
gr
ou
pe
FB:
BA
C
SC
IE
N
TI
L'évolution
FI
Q
U
CHAPITRE 3
ES
TN
✍
Thème 6 : l’évolution biologique Résumé
Thème 6
L’EVOLUTION BIOLOGIQUE
D Phylogénie des espèces
Selon la théorie de l’évolution, les espèces dérivent les unes des autres à
✍
partir d’un ancêtre en commun.
Quels sont les arguments en faveur de cette phylogénie ?
TN
1) Arguments de l’évolution à partir de la comparaison des embryons
des vertébrés.
ES
- Les embryons de tous les vertébrés se ressemblent. Ils ont la même forme
U
générale et possèdent tous des fentes branchiales à un stade précoce.
Q
—> Cette similitude anatomique est l’indice d’une parenté c'est-à-dire d’une
FI
origine commune.
TI
Les membres antérieurs des vertébrés ont le même plan d’organisation :il
pe
vertébrés
gr
144
Thème 6 : l'évolution biologique Résumé
- Les différences entre les séquences des molécules (acides aminés pour les
protéines et les bases azotées pour l’ ADN) sont dues à des mutations.
— Le nombre de différences entre des molécules homologues chez deux
espèces fournit de précieux renseignements sur le degré de parenté : plus le
nombre de différences est élevé, plus l’ancêtre commun des deux espèces est
éloignée dans le temps et inversement.
✍
1) Mutations géniques : C’est une modification de l’information génétique
TN
(au niveau de l’ ADN) qui permet la création de nouveaux allèles.
C’est une source de diversité mais ne modifie pas la taille du génome (le
ES
nombre de gènes reste inchangé). Exemple : la variabilité constatée dans les
motifs colorés des ailes du papillon.
U
2) Brassage génique : La reproduction sexuée (par le jeu de la méiose et la
Q
fécondation) assure un brassage génétique aléatoire qui est à l’ origine des
FI
individus aux génotypes nouveaux.
TI
La mutation et la reproduction sexuée se complémentent pour assurer la
transformation de l’espèce et l’apparition possible d’espèces nouvelles.
N
IE
peuvent coder pour des protéines ayant conservé la même fonction (cas de
BA
lhémoglobine) ou à des protéines qui ont des fonctions différentes (cas des
hormones hypophysaires).
#“
B:
145
Thème 6 : l’évolution biologique Résumé
5) La sélection naturelle
Elle favorise certains individus à transmettre certaines mutations, notamment
ceux qui présentent un avantage à un environnement donné : on dit que la
nature oriente l’évolution vers les phénotypes les mieux adaptés (exemple
des phalènes de bouleau).
IT) La spéciation
✍
1) Définition de l’espèce: C’est un groupe de population naturelle à
l’intérieur du quel les individus sont capables de se croiser (interféconds).
TN
Toute espèce est isolée des autres espèces par installation de barrière
reproductive (séquence comportementale, isolement génétique, écologique,
saison de reproduction.….…).
ES
2) Définition de la spéciation :
U
C’est l’ensemble des processus qui aboutissent à la naissance de deux ou
Q
plusieurs espèces à partir d’une espèce mère. FI
3) Modalité de la spéciation
TI
146
Thème 6 : l’évolution biologique Enoncés
ENONCES
D Testez vos connaissances
✍
- espèce
- sélection naturelle
TN
- duplication génique
-mutation ponctuelle
- molécules homologues
ES
- phylogénie
U
Vies
Q
effets combinés de la mutation, de la méiose et de la fécondation font
FI
apparaître au sein de la même espèce des individus de génotypes nouveaux.
a- Expliquez comment ces évènements sont à l’origine de la diversité au sein
TI
de l’espèce.
N
d'organismes de vertébrés.
pe
embryon »
Quels arguments, dans le développement embryonnaire des vertébrés,
permettent de vérifier cette affirmation ?
2) L’embryologie comparée permet d’établir des liens de parenté entre certains
groupes d’animaux. En quoi les exemples présentés ici permettent-ils de le
vérifier ?
147
Thème 6 : l’évolution biologique Enoncés
✍
%
T
5T
n
TN
s
° branchies ejtemes
è
È {
x
mn
ES
É
n
U
Q
4 F4 ;
#* \branchiales* ébauche du
" embre postérieur
FI
TI
m
v
N
84
Hi
n l À
IE
\à
* A
SC
VW
On cherche à établir des relations de parenté entre trois vertébrés actuels.
B:
humérus humérus |
radius
gr
arpe carpe \,
métacarpe | métacarpe
148
Thème 6 : l'évolution biologique Enoncés
✍
Cheval gin
Poule gin gin thr
TN
A.aminés | 13 | 14] 15 | 16 [17 | 18 | 19 [20 [21,22 | 23 | 24 | 25
ES
Homme | val | try | gly | 1ys | val | glu | ala | asp | ile | pro | gly | his | gly
Cheval ala
U
Poule ile ala
Q
Document? : séquence des acides aminés de myoglobine chez trois espèces actuelles
FI
A partir des seules données du document 2, dresser l’arbre phylogénétique de
TI
149
Thème 6 : l’évolution biologique Enoncés
1 2 3 4 5 6 7 8 9
AVT Cys Tyr Ile Gin Asp Cys Pro Arg Gly
OT Cys Tyr lle Gin Asp Cys Pro Leu Gly
MT Cys Tyr le Gin Asp Cys Pro Ile Gly
AVP Cys Tyr Phe Gln Asp Cys Pro Arg Gly
Abréviation utilisées : Cys = cystéine ; Tyr = tyrosine ; Gin = glutamine
Phe = phénylalanine ; Asp = asparagine ; Pro = proline
✍
Arg = arginine ; Gly = glycocolle ; Ile = isoleucine
Leu = leucine
TN
Document 2
VW
ES
Le document 1 représente des constatations dans des régions d’Angleterre.
Dans toutes les régions d’Angleterre, les populations de Phalène de Bouleau
U
(papillon nocturne) étaient, jusqu’en 1848, exclusivement composées de formes
Q
claires. L’examen des collections de ces papillons révèle que c’est à cette
époque que fut capturé le premier papillon totalement sombre. La fréquence
FI
des phénotypes de ces papillons en Angleterre au début du XXïième siècle était
TI
la suivante : |
N
Régions industrielles 5 95
SC
Régions rurales 80 20
Document 1
1) montrez comment les informations présentées, complétées par vos
C
2) quelles sont les conséquences lorsque les papillons des zones industrielles
B:
restent isolés pendant une très longue période des papillons des zones rurales et
comment l’expliquer ?
F
VW
pe
ou
des continents voisins et des îles voisines plus anciennes. Chaque île est
caractérisée par un ensemble d’espèces de raton-laveur. Ces espèces de
différentes îles présentent des ressemblances entre elles et ressemblent aussi au
raton-laveur du continent américain (document suivant).
On trouve sur les côtes américaines de l’atlantique et sur les côtes des îles une
même espèce de crabes. Le crabe est un crustacé qui a une larve aquatique.
150
Thème 6 : l'évolution biologique Enoncés
1) Définissez l’espèce.
2) Pourquoi trouve-t-on une même espèce de crabe aussi bien sur le continent
que sur les îles ?
✍
b- Expliquez sommairement les facteurs qui induisent l’apparition des ces
nouvelles espèces à partir d’une souche originelle.
TN
4) En se basant sur la biologie moléculaire, on peut démontrer que toutes les
espèces de raton-laveur ont un ancêtre commun sur le continent. Expliquez
ES
sommairement cette méthode d’étude.
U
AMERQUI
Q
E DU NORD
FI
TI
N
IE
SC
C
BA
F B:
pe
ou
gr
151
Thème 6 : l'évolution biologique Solutions
CORRIGES
✍
conditions de milieu de vie et entre lesquels n’existe aucune barrière
d'isolement reproductif.
TN
- Espèce: groupement de populations présentant des similitudes
morphologiques, anatomiques et qui sont interfécondes.
ES
- Sélection naturelle : elle détermine la survie des individus les mieux
adaptés aux conditions de milieu de vie. Elle oriente l’évolution vers des
U
espèces de mieux en mieux adaptées à leur milieu.
Q
- Duplication génique : c’est un phénomène aboutissant, au niveau d’un
chromosome, à la présence en double exemplaire d’un fragment
FI
chromosomique correspondant à un gène.
TI
- Mutation ponctuelle (génique): c’est une modification de
l’information génétique par substitution ou soustraction ou addition de bases
N
parenté.
BA
population.
Exemple : le phalène de bouleau :
* Variation phénotypique qui se produit au sein de cette population :
- Initialement (jusqu’au milieu du 19° siècle). La totalité des papillons
était de teinte claire.
- Apparition de phénotypes sombre due à une mutation génique =
apparition de l’allèle sombre.
152
Thème 6 : l’évolution biologique Solutions
✍
conséquence le noircissement des troncs et des branches de l’arbre sur lesquels
reposent le jour les phalènes. Le noïircissement a fait que les papillons clairs
TN
sont devenus plus visibles que les sombres aux yeux des prédateurs (les
oiseaux) ce qui augmente la fréquence des papillons sombres dans ces régions
et que c'était l’inverse en régions rurales. Aïnsi, la sélection naturelle est
ES
responsable d’un changement orienté des phénotypes en favorisant la survie (=
la reproduction) de phénotype le mieux adapté à l’environnement de la
U
population.
Ÿ* L’espèce Q
FI
TI
= une espèce est constituée par un groupe de populations naturelles
interfécondes qui sont reproductivement isolées des autres espèces.
N
IE
dont les phénotypes sont les mieux adaptés à chacun des milieux.
- Au bout d’un temps en général assez long, cette divergence peut
gr
153
Thème 6 : l’évolution biologique Solutions
✍
poisson adulte :
" forme générale est différente
TN
* absence de fentes branchiales
" absence d’une queue
ES
“ absence de nageoires
Les espèces se ressemblent d’avantage par les embryons que par les adultes.
U
Ainsi l’embryologie permet de comprendre les tendances évolutives au cours
Q
des temps géologiques. FI
2) Les embryons de tous les vertébrés, se ressemblent (forme générale). Ils
TI
possèdent tous des fentes branchiales.
Cela implique que le processus de développement chez les vertébrés sont, au
N
départ, identiques.
IE
Parmi les vertébrés, il est celui qui conserve le plus grand nombre de structures
F
Les autres groupes le sont de moins en moins à mesure qu’on tend vers les
ou
mammifères : des poissons aux amphibions, puis des oiseaux aux mammifères
on assiste à une transformation de plus en plus importante et à une
gr
154
Thème 6 : l’évolution biologique Solutions
✍
- les différences constatées (longueur des os, angle entre les os,
épaisseur, nombre d’os de la main) sont en rapport avec leur fonction et le
TN
mode de vie de ces espèces :
Homme -> la préhension
ES
Cheval — la course
La poule — le vol
U
Conclusion : l’existence d’organes homologues suggère donc une filiation entre
Q
ces 3 espèces à partir d’un ancêtre en commun avec complexification de
l’organisation de ces organes.
FI
TI
2) Comparaison de la séquence des 25 premiers acides aminés de myoglobine :
* Ressemblance : la molécule d’hémoglobine présente une similitude dans la
N
séquence des acides aminés (21 acides aminés sur 25 sont les même chez les 3
IE
* Les différences : ces différences sont dues à des mutations géniques qui se
F
155
Thème 6 : l'évolution biologique Solutions
On déduit que le degré de parenté entre l’homme et le cheval est le plus élevé
et l’ancêtre en commun est le plus proche. Par contre le degré de parenté est le
plus faible entre l’homme et la poule et l’ancêtre en commun est le plus
éloigné. On peut donc dresser l’arbre phylogénétique des ces 3 espèces.
✍
TN
Ancêtre
commun de
l’homme et
ES
du cheval
U
Q
A1 (ancêtre en commun des 3 espèces)
FI
Arbre phylogénique des 3 espèces
TI
anatomiques.
IE
Les 3 espèces dérivent d’un ancêtre en commun et qu’il y a donc filiation entre
les espèces.
SC
ancêtre en commun).
B:
- On remarque qu’elles se présentent par deux ou trois, sauf chez les plus
anciens d’entre eux, les agnathes qui présentent seulement la vasotocine
pe
156
Thème 6 : l'évolution biologique Solutions
2)
- Les hormones hypophysaires étudiées sont des enchainements de neuf acides
aminés. L’étude comparée de ces quatre chaînes montre les mêmes acides (7
sur 9) — cette similitude confirme qu’il s’agit de molécules homologues
✍
codées par des gènes homologues qui dérivent d’un gène ancestrale présent
chez l’ancêtre en commun.
TN
- Les différences
ES
Molécules | Position et nombre de différences
AVT -OT 1 (position 8)
U
AVT -MT . 1 (position 8)
OT -MT
Q
1 (position 8)
FI
AVT —- AVP 2 (position 8 et 3)
MT — AVP 2 (position 8 et 3)
TI
N
3) Les acides aminés sont codés par des codons de nucléotides. Etant donné
que les variations d’acides aminés dans les chaines protéiniques ont toujours
IE
lieu dans les mêmes positions (8 puis enfin 3), on peut donc déduire que ces
SC
chaines ne sont que les résultats de variations d’une même portion de gène.
Cette portion du gène (ancestral) a donc muté de manière variée au cours de
l’évolution.
C
BA
157
Thème 6 : l’évolution biologique Solutions
✍
8 et 3
TN
400 À Nr Avr or Duplication + mutation en
410 A 4 À position 8
ES
440 | AVT OT
-450 + 4 # 4 Duplication + mutation en
U
GA : gène ancestral position 8
Q
-500 L (AVT) FI
Origine de la diversité des hormones hypophysaires
TI
1
IE
Ce document montre :
SC
- Que les formes claires sont dominantes (80% contre 20%) en régions rurales
BA
- Que les individus sombres sont nettement dominants (95% contre 5%) en
B:
158
Thème 6 : l’évolution biologique Solutions
✍
- la sélection naturelle qui oriente cette évolution phénotypique en
favorisant la survie des phénotypes les mieux adaptés à
TN
l’environnement.
2)
ES
Les conséquences lorsque les populations des zones industrielles restent isolées
pendant une très longue période.
U
Dans ce cas un isolement reproductif peut avoir lieu : dans chaque population
Q
pourrait se produire d’autres variations génétiques aléatoires par accumulation
FI
des mutations. Les échanges génétiques entre les populations isolées restent
impossibles. Ces mutations complétées par l’action de la sélection naturelle
TI
Ÿ
SC
1)
Définition de l’espèce : c’est un groupement de populations qui se ressemblent
C
2)
On trouve la même espèce de crabe aussi bien sur le continent que sur les îles
B:
car ses crustacés donnent tous des larves planctoniques marines, qui peuvent
F
être facilement transportées par les courants marins vers les côtes et les îles. Il
y a échange permanent des allèles entre les populations par la reproduction
pe
3)
gr
159
Thème 6 : l'évolution biologique Solutions
- Les ratons laveurs des îles se ressemblent tous au raton laveur du continent
américain. On déduit que les ratons laveur dérivent d’un ancêtre commun =
espèce souche qui est probablement le raton laveur du continent américain. On
peut donc supposer les évènements suivants :
✍
phénomène géologique = mobilité des continents) — il y a isolement
reproductif, car ces populations ne peuvent pas avoir des échanges génétiques
TN
entre elles (elles ne voyagent pas).
ES
aléatoires, sont introduites par mutations et brassées par la reproduction sexuée.
U
- Les conditions des milieux étaient différentes, la sélection naturelle s’exerçait
Q
différemment et assure le tri des phénotypes les mieux adaptés.
FI
- La divergence génétique résultante de l’effet de la mutation et de la sélection
TI
4)
SC
Pour cela, il suffit de choisir des molécules présentes chez toutes les espèces
BA
(protéines ou ADN).
Comparer ces molécules et chercher les similitudes dans la séquence des ces
B:
ces espèces (il s’agit de molécules homologues). Ces molécules dérivent d’une
pe
160
Questions à choix multiple Enoncés
\ La trisomie 21 :
a- est due à la présence de 21 paires de chromosomes.
b- est due à une mutation génique.
✍
c- est due à une erreur au cours de la gamétogenèse.
d- augmente de fréquence avec l’âge de la mère.
TN
V/ La GnRH ou gonadolibérine :
ES
a- est sécrétée par les cellules de l’hypophyse antérieure.
b- commande la sécrétion des gonadostimulines.
U
c- est sécrétée chez les deux sexes.
d- a des récepteurs au niveau de la muqueuse utérine.
Q
FI
TI
Ÿ La spéciation :
a- est la naissance d’espèces nouvelles à partir d’une espèce mère.
N
\/ La consanguinité :
ou
161
Questions à choix multiple Enoncés
✍
un faible taux sanguin de testostérone :
TN
a- inhibe la sécrétion de LH.
b- stimule la sécrétion de LH.
ES
c- inhibe la sécrétion de FSH.
d- stimule la sécrétion de FSH.
U
Wie
Q
daltonisme est une anomalie de la vision des couleurs transmise
FI
par le chromosome x. Un couple sain dont la femme est hybride a eu
trois enfants, 2 garçons et une fille. La répartition des enfants peut être
TI
la suivante :
N
une femme :
—— Ofstrogène
——— _ progesérone —— LH
a- ovariectomisée
B:
b- ménopausée
F
d- hypophysectomisée
ou
gr
162
Questions à choix multiple Enoncés
✍
Vs un individu présente un phénotype différent de celui de ses
parents, cela s’explique par le fait que :
TN
a- l’allèle qui contrôle le phénotype considéré est situé sur le chromosome X.
b- l’allèle qui contrôle le phénotype considéré est situé sur un autosome.
ES
c- l’allèle responsable du phénotype considéré est dominant.
d- les parents de cet individu peuvent être hétérozygotes.
U
V chez la femme, l’ovogenèse :
Q
FI
a- commence à partir de la puberté.
b- commence avant la naissance.
TI
En cas de fécondation :
a- le corps jaune se maintient développé.
b- le taux d’œstradiol et de progestérone diminue.
C
a- un ovocyte [.
b- un ovocyte IL.
pe
c- un spermatocyte I.
ou
d- un spermatocyte II.
gr
163
Questions à choix multiple Enoncés
✍
\? parmi les mécanismes générateurs de polymorphisme chez les être
vivants, il y a :
TN
a- les mutations géniques.
b- la méiose et la fécondation.
c- l’adaptation.
ES
d- la sélection naturelle.
U
Une mutation autosomale dominante :
Q
FI
a- ne s’exprime que chez les sujets portant l’allèle responsable à l’état
homozygote.
TI
b- l’ovulation.
BA
a- le placenta.
pe
b- l’hypophyse.
c- le corps jaune.
ou
d- le follicule mûr.
gr
164
Questions à choix multiple Enoncés
✍
VW L'apparition du deuxième globule polaire au cours de l’ovogenèse
TN
indique :
a- l’évolution de l’ovocyte I en ovocyte II.
b- l’achèvement de la division réductionnelle et le début de la division
ES
équationnelle.
c- une fécondation.
U
d- l’achèvement de la division équationnelle.
Q
FI
chez la femme suite à la fécondation, il se produit :
TI
déshydrogénase qui agit sur le glucose). Cette enzyme peut avoir deux
formes efficaces A et B. On peut séparer ces deux formes par électrophorèse.
Les électrophorèses faites à partir d’hémolysats de globules rouges des
B:
165
Questions à choix multiple Enoncés
Père Mère
✍
UAUELE
Farnille 2: un enfant matade
TN
ES
a- le mode de transmission est autosomal récessif.
b- l’anomalie provient d’un chromosome de la mère.
U
c- seul l’enfant malade peut transmettre cette anomalie à ses descendants.
d- l’enfant malade ne pourrait avoir que des enfants malades.
Q
FI
TI
EF cm à
SC
co bn Ô #
C
BA
B:
1
F
pe
ou
gr
166
Questions à choix multiple Enoncés
✍
La HCG (hormone gonadotrophique chorionique) :
TN
a- est sécrété par le trophoblaste.
b- est sécrété par l’hypophyse.
ES
c- a une action stimulatrice sur le corps jaune.
d- provoque la régression du corps jaune.
U
Q
7 au cours de la fécondation chez la femme, il se produit :
FI
a- une reprise de la division réductionnelle de la méiose.
b- une synthèse de protéines cytoplasmiques.
TI
d- un rétablissement de la diploïdie.
IE
SC
b- l’ovulation.
BA
c- le développement de l’endomètre.
d- la menstruation.
F B:
b- pour les enfants qui naissent d’une femme conductrice et d’un homme
normal, la maladie ne touche que le sexe masculin.
gr
c- parmi les enfants issus d’une telle union (couple de question b), les filles
sont toutes conductrices.
d- les maladies dominantes liées au sexe sont courantes.
167
Questions à choix multiple Enoncés
Ç Une maladie est provoquée par un gène porté sur une portion
précise et spécifique d’un chromosome sexuel :
Femme atteinte
O Femme saine
✍
[1 Homme sain
TN
ES
U
Q
FI
TI
N
gonosome Y.
b- l'individu 5 est homozygote.
IE
d-l’enfant 18 attendu par le couple 15-16 est une fille. Elle doit être saine.
C
V7 parmi les techniques de la liste suivante, quelle est celle qui utilisée
BA
b- amniocentèse.
F
168
Questions à choix multiple Enoncés
✍
NW pendant la phase lutéale du cycle ovarien, il se produit :
TN
a- un développement d’un follicule mûr.
b- la formation d’un corps jaune.
c- une sécrétion importante de progestérone.
ES
d- une sécrétion importante de FSH.
U
NŸ pans le cas d’une maladie dominante
Q
liée à X, un père atteint
FI
transmet la maladie à :
a- toutes ses filles.
TI
c- 45 autosomes + XY.
BA
b- la technique de l’électrophorèse.
pe
c- analyse de l’ADN.
ou
169
Questions à choix multiple Enoncés
✍
€ Le schéma suivant est relatif au mode d’action :
TN
a- D d’une hormone. Neurone ur one ce!
dus
b- d’un neurotransmetteur. "
c- d’un neurohormone.
ES
d- d’un médiateur chimique.
Vaisseau sanguin ‘ Cellule cible‘
U
Q
KW au cours de phase post menstruelle du cycle utérin, il se produit :
FI
a- une destruction de la muqueuse.
TI
un enfant :
gr
a- malformation de l’utérus.
b- femme castrée.
c- malformation des trompes.
d- mobilité insuffisante des spermatozoïdes.
170
Questions à choix multiple Enoncés
✍
d- Les deux agissent, par rétrocontrôle négatif, sur le complexe hypothalamo-
hypophysaire.
TN
Les points communs entre un follicule mûr et un corps jaune sont :
a- les deux sécrètent les œstrogènes.
ES
b- les deux sécrètent les progestérones.
c- Les deux agissent, par l’intermédiaire de leurs hormones, sur la muqueuse
U
utérine.
Q
d- Les deux exercent par l’intermédiaire de leurs hormones, un rétrocontrôle
FI
positif, sur le complexe hypothalamo-hypophysaire.
TI
N
171
Questions à choix multiple Enoncés
NV La sélection naturelle :
a- consiste à éliminer les espèces chez lesquelles survient une mutation.
b- effectue un tri des génotypes capables de supporter les changements du
milieu.
c- est un mécanisme fondamental de l’évolution.
d- produit une évolution orientée du génome le plus adapté au milieu.
✍
VW L'évolution à l’échelle moléculaire :
TN
a- a été démontrée à partir de l’étude de certaines molécules protidiques.
b- a été démontée à partir de l’étude de certaines molécules d’ADN.
ES
c- n’est pas un outil puissant pour estimer le degré de parenté entre les êtres
vivants.
U
d- permet de reconstituer la phylogénie entre les êtres vivants.
Q
FI
V7 pour une distance entre deux gènes de 10CM chez la drosophile, la
descendance d’un croissement entre une femelle Ab//aB avec un mâle
TI
b- ont chez l’homme un degré de similitude plus grand avec ceux du gorille
qu'avec ceux du crocodile.
c- ont des séquences très différentes entre les espèces.
B:
172
Questions à choix multiples Solutions
l)c-d; 29)a-c;
2Db-c; 30)b-c-d;
✍
3)a-d; 31)b;
4)c; 32)b;
TN
5)c-d; 33) d;
6)c; 34)b—c;
7)b; 35)a-b;
ES
8)a—-c-d\; 36)b-d\;
U
9ja-b; 37)b-c;
Q
10)c—-d; FI 38)a;
1l)c; 39)c;
12) d; 40) a;
TI
13)b-d; 41)c;
N
14)a-c; 42) d;
IE
15)b-d\; 43)
c;
16)b; 44)b—d;
SC
17)b; 45) à;
18)a-b; 46)c-d;
C
19)b-c-d; 47)b-d;
BA
20) c; 48)a-—c;
21)a-c; 49)b;
B:
22)a-c; 50)
a;
F
23)c; Sija-b-c;
24)c-d; 52)b-c-d;
pe
25)b-d; 53)a-b-d\;
ou
26) b 54) d;
gr
27)c; 55)b.
28)a-—c;
173
Devoir de contrôle N° I (1) Enoncés
Devoir de contrôle N° 1
D
1°"° partie (12 points) :
D Pour chacun des items suivants, il peut avoir y une ou plusieurs réponses
✍
exactes. Sur votre copie reportez le numéro de chaque item et indiquez dans
chaque cas la (ou les) lettre(s) correspondant à la (ou aux) réponse(s)
TN
exacte(s).
1) Chez la femme, la folliculogenèse permet de faire mûrir des
ovocytesil.
ES
a- La phase de multiplication de l’ovogenèse est continue de la puberté à la
ménopause;
U
b- L’ovocyte II est issu de la division équationnelle de la méiose.
Q
c- Sans fécondation l’ovocyte II pondu reste bloqué en métaphase IT puis
FI
dégénère.
d- Récupérant dans les voies génitales la cellule au stade schématisé ci-
TI
chromosomes.
IE
SC
C
BA
avant de se diviser.
ou
174
Devoir de contrôle N° I (1) Enoncés
✍
5) La HCG (hormone gonadotrophique chorionique) :
a- est sécrétées par le trophoblaste.
TN
b-est sécrétées par l’hypophyse.
c- a une action stimulatrice sur le corps jaune.
d- provoque la régression du corps jaune.
ES
6) Parmi le(s) point(s) commun(s) à la spermatogenèse et à
l’avogenèse, on peut citer :
U
a- l’existence d’une phase de multiplication des cellules souches des
gamètes.
Q
FI
b- l’existence de brassage au cours de la méiose.
TI
c- la durée de la méiose.
d- le nombre de gamètes produits.
N
Document 1
1) Donnez un nom à chacun des cinq éléments et légendez l’élément a après
l’avoir schématisé sur votre copie.
2) Expliquez brièvement la chronologie des transformations observées.
175
Devoir de contrôle N° I (1) Enoncés
✍
et sur le complexe hypothalamo-hypophysaire.
TN
2ème partie (8 points) :
ES
Le fonctionnement de l’appareil reproducteur mâle est sous contrôle
hormonal. Des observations suggèrent l’existence d’interactions entre les
U
testicules producteurs de testostérone, l’hypophyse et l’hypothalamus.
Deux séries d’expériences ont été réalisées :
Q
FI
D) 1° série d’expériences :
Le document 1 ci-dessous correspond à des graphes qui montrent les résultats
TI
c- bélier castré porteur d’un implant sous-cutané libérant des doses régulières
de testostérones.
C
BA
F B:
pe
ou
gr
0
DE
D 16 0 D D 2
Temps (heures)
176
Devoir de contrôle N° 1 (1) Enoncés
1) Expérience 1:
La destruction des neurones sécréteurs de GnRH dans l’hypothalamus d’un
bélier provoque l’arrêt du fonctionnement testiculaire.
Des injections pulsatiles de GnRH dans la circulation hypothalamo-
hypophysaire de cet animal rétablissent les fonctions testiculaires.
✍
Quelles conclusions peut-on dégager de l’analyse de cette expérience.
TN
2) Expérience 2 :
On suit la fréquence et l’amplitude des pulses de GnRH dans la circulation de
la tige hypothalamo-hypophysaire chez un bélier dans trois situations.
ES
Fréquence Amplithude moyenne
U
des pulses de GnRH des pulses de GnRH
Q
Bélier À : témoin 2 pulses en 12 heures | 15 pe-mi!
FI
Bélier B : castré 9 pulses en 12 heures | 25 pg.ml'
Bélier B : castré, recevant des | 2 pulses en 12 heures | 13 pgml
TI
injections de testostérones
Quels renseignements complémentaires peut-on dégager de l’analyse de ce
N
tableau.
IE
SC
177
Devoir de contrôle N° I (IT) Enoncés
Devoir de contrôle N° 1
(I)
Première Partie(12 points) :
✍
numéro la lettre qui correspond à la ou aux réponse(s) correcte(s).
1) Au cours d’un cycle sexuel, les oestrogènes :
a) sont responsables de la formation de la dentelle utérine.
TN
b) activent la motricité du myomètre.
c) ne stimulent pas la sécrétion de GnRh.
ES
d) ne sont pas produites par le corps jaune.
2) la menstruation :
U
a) est une destruction totale de la muqueuse utérine.
Q
b) est déterminée par une chute des hormones ovariennes.
c) fait suite à une élévation des hommes hypophysaires.
FI
d) est déclenchée par la rupture d’un follicule mûr.
TI
3) La pilule combinée :
a) inhibe le fonctionnement du complexe hypothalamo-hypophysaire :
N
hormones
1) Définir hormone, illustrer la définition par un schéma.
2) Reproduire le tableau suivant sur la copie et remplir les cases vides.
B:
Cellules
pe
sécrétrices
Cellules cibles
ou
Effets
gr
178
Devoir de contrôle N° I(II) Enoncés
Concentrations
plasmatiques
moyennes
LH À injections de
(ng/ml) Castration testostérone
nl) À au
Document 1
✍
20 -
TN
10 -
ES
0 v ï F TT >-
5 10 15 20 durée de l'expérience
(en jours)
U
Exercice N°4 : (3 points).
Le document 1 montre une
Q
FI
structure ovarienne visible à un
TI
moment donné du cycle ovarien.
1) Annotez et titrez le
N
document 1.
IE
cette structure :
- Au cours d’un
cycle normal.
B:
- Suite à une
fécondation.
F
pe
179
Devoir de contrôle N° I (II) Enoncés
1) Par une étude comparée des deux courbes obtenues chez les deux
groupes de femmes, expliquez l’apparition des menstruations chez
une femme jeune et leur disparition chez une femme ménopausée.
2) a. Représentez l’allure des courbes au cours d’un cycle fécondant
et durant les 9 mois de grossesse.
b. Préciser alors l’origine de ces hormones (durant le cycle et les 9
mois de grossesse).
✍
c. Comment expliquez vous alors l’absence des menstruations chez la
femme enceinte ?
TN
B. Chez deux groupes de femmes étudiées dans la question A, on suit
l’évolution du taux plasmatique de l’hormone hypophysaire LH
ES
Les résultats sont présentés dans le document3.
1) À partir des documents 2 et 3, mettez en relation les taux
U
d'hormones chez une femme de 50 ans d’une part, et chez une
Q
femme de 25 ans d’autre part. FI
En déduire le rôle des hormones ovariennes sur l’hypophyse, d’une
femme jeune.
TI
(ngmL!) (courbe A)
BA
F B:
pe
ou
gr
TT FRE EI TFTT JF
180
Devoir de synthèse N° I (1) Enoncés
Devoir de synthèse N° 1
(D
Première Partie (8point) :
✍
hormones dans la régulation de la fonction reproductrice humaine.
1) Donnez une définition pour l’hormone.
TN
2) Complétez le tableau 1 suivant :
Tableau 1
Hormone sexe Cellules Cellules Réponses des
ES
sécrétrices cibles cellules cibles
FSH Féminin
U
Masculin
LH Féminin
Q
FI
Masculin
TI
humaine.
IE
1) définissez PMA.
2) Citez les étapes des la FIVETE tout en indiquant l’intérêt de chaque
SC
étape.
C. Comparez les garnitures chromosomiques d’un 1” globule polaire,
C
Exercice N° 1 : (7 points)
F
181
Devoir de synthèse N° 1 (1) Enoncés
✍
TN
ES
U
StadeB
Q
FI
DOC 1 : Schémas de coupes d’utérus de rate observées au
MO
TI
N
Expériences :
*injections répétées Oui Oui Non
d’oestradiol pendant
B:
progestérone
pe
182
Devoir de synthèse N° I (I) Enoncés
✍
atteint le stade A atteint le stade B
*avec 20mg/kg des, *avec 20mpg/kg de S, l’utérus
TN
l’utérus atteint le stade A atteint le stade A
ES
expérimentales.
b- pour préciser le mécanisme d’action de la substance S, on réalise
U
l’expérience suivante :
Q
on prélève l’endomètre d’une femelle non traitée
FI
on le découpe en fragments fins et on le broie
TI
on centrifuge le broyat
on divise le surnageant qui contient des protéines provenant de
N
*En utilisant les nouvelles données, dites quel est le mécanisme d’action de la
substance S.
F
183
Devoir de synthèse N° 1 (1) Enoncés
Croisement 1: P2
✍
STE,
Lapin angora à Lapin anglais
TN
couleur uniforme poil court tacheté
de noir
ES
F7 RCE
U
Croisement 2: F 1 X
Q
FI
TI
N
so SCIE
Descendance:
43,5% S 43.5%
C
BA
F B:
pe
184
Devoir de synthèse N° I (I) Enoncés
Devoir de synthèse N° 1
(HD)
Première Partie (8point) :
A. Pour chacun des items suivants (de 1 à10), il peut y avoir une ou
plusieurs réponse(s) correcte(s).Relevez sur votre copie le numéro de
✍
chaque item et indiquez dans chaque cas la (ou les) lettre(s)
correspondant à la (ou les) réponse(s) correcte(s).
TN
NB : toute réponse fausse annule la note attribuée à l’item.
1. le corps jaune :
ES
a- Est une glande endocrine.
b- Permet le maintien de l’endomètre durant toute la grossesse.
U
c- Secrète de la HCG.
d-
Q
Son développement est contrôlé par la LH hypophysaire.
FI
2. Au moment de la fécondation Povocyte II subit quelques
modifications :
TI
3. Au cours de la fécondation :
a- Il y a mélange des chromosomes d’origine paternelle et d’origine
C
maternelle.
b- Les informations fournies par le spermatozoïde et l’ovule sont
BA
identiques.
c- Le sexe du nouvel individu est déterminé par les chromosomes
B:
4, Le placenta :
a- Secrète la HCG durant toute la grossesse.
ou
185
Devoir de synthèse N° 1 (11) Enoncés
✍
7. Au cours de la deuxième division de la méiose :
a- les chromosomes homologues se séparent.
TN
b- Les deux cellules résultantes de cette division sont toujours
génétiquement identiques.
c- Le taux d'ADN par cellule fille est égal au quart de celui de la mère
ES
en phase G2.
d- Il y a échange du matériel chromosomique entre les chromatides.
U
8. l’étude des deux gènes (A, à) et (B, b) montre un pourcentage de
Q
recombinaison de 50%. Les résultats d’un test cross sont :
FI
a- 25% [AB]; 25% [ab] ; 25% [Ab] ; 25% [aB]
b- 50% [AB]; 50% [ab]
TI
homologues.
b- Sont au nombre de deux dans un gamète.
c- Ne peuvent pas exister sous deux formes différentes dans une cellule
C
diploïde.
BA
186
Devoir de synthèse N° I (I) Enoncés
✍
TN
ES
U
Q
FI
TI
N
IE
SC
C
BA
Document 1
187
Devoir de synthèse N° 1 (1) Enoncés
✍
évidence ?
* pour des raisons médicales, on a pratiqué, chez une femme A, l’ablation
TN
des ovaires le deuxième mois de la grossesse. La femme A avorte les jours
suivants par dégradation de sa muqueuse utérine.
* Chez une femme B, l’ablation des ovaires pour les mêmes raisons que la
ES
femme A, mais au cours des six derniers mois de la grossesse, n’entraîne pas
l'avortement.
U
Quelles informations peut-on tirer de ces donnés ?
4- Le document ci-contre Concentration
Q masse du
FI
présente l’évolution des taux e placenta (9)
de HCG (hormone d’origine
TI
embryonnaire) et de 150-
N
déduire de l’étude de
évolution parallèle du taux 30 +
de progestérone et de la
B:
parallèle du taux de
pe
nidation
progestérone et de celui de
HCG au cours des 3
ou
premiers mois de la
gr
grossesse.
Que peut-on déduire quant au rôle de HCG pendant cette période ?
Justifier.
C-
En se basant sur la déduction précédente, prévoir les conséquences :
- de la neutralisation de HCG lors des première semaines de la
grossesse.
- De l'injection de HCG à une femme au milieu de la phase lutéale.
188
Devoir de synthèse N° 1 (11) Enoncés
✍
Chez la souris :
e _l’aspect du poil est sous la dépendance d’un gène dont on étudie ici
TN
deux allèles : l’allèle «poil raide» et l’allèle «poil frisé». On admettra
que le caractère «aspect du poil» est sous la dépendance d’un seul
gène.
ES
e L'aspect de l’œil est sous la dépendance d’un autre gène dont on étudie
ici deux allèles : l’allèle «œil normal » et l’allèle «œil mal formé». On
U
admettra que le caractère «aspect de l’oeil» est sous la dépendance
d’un seul gène.
Q
FI
Document 1
TI
Premier croisement : on croise deux souris l’une à poil raide et œil
normal, l’autre à poil frisé et œil mal formé. On obtient à la première
N
normal, l’autre à poil frisé et œil mal formé. Les résultats statistiques de ce
F
189
Devoir de contrôle N° 2 (1) Enoncés
Devoir de contrôle N° 2
(D)
✍
vertèbres, il y a des données de l’anatomie comparée et les données de la
biologie moléculaire.
TN
1/ Expliquer comment l’étude comparée des molécules homologues permet
d’établir des liens de parenté entre espèce actuelles et de conduire à la
construction d’arbre phylogénique. (On ce limitera à trois espèces A-B-C).
ES
IT/ Le document 1 montre trois
U
squelettes. a. un membre supérieur
de l’homme. b. L’aile d’un oiseau.
Q G
FI
c. La nageoire d’un crossoptérygien
(Dévonien- Pernien). a.
TI
homologues. justifiez.
BA
part.
F
pe
C.
Document 1
ou
gr
190
Devoir de contrôle N° 2 (I) Enoncés
✍
populations de Drosophiles :
Drosophila Willistoni et Drosophila
TN
quechua.
Des individus de ces populations
sont prélevés et mis en présence en
ES
laboratoire; on constate qu’ils sont
capables de se reproduire.
U
Lorsque l’on suit le degré de fertilité
des descendants, on remarque que
Q
FI
la plupart sont fertiles, sauf les
mâles issus d’une femelle D.
TI
3) Justifier l’opinion des spécialistes qui estiment que chez ces deux
groupes, le processus de spécialisation est entamé, mais non terminé.
F
pe
191
Devoir de contrôle N° 2 (I) Enoncés
1 2
[HO MO
LE 2 3 4
✍
TN
" [1
1 2 foetus1 foetus
% 2
Document 1
ES
1) Sachant que [a mère E2 est homozygote, monter si l’allèle de la maladie
est dominant ou récessif ?
U
2) Pouvez vous déduire du document 1, si la maladie est ou non un
caractère lié au sexe ?
3)
Q
Vu qu’il s’agit d’une famille à risque et vu qu’elle a eu un 1° enfant
FI
malade, la femme II4 redoute une anomalie génétique chez ses fœtus
TI
jumeaux. Une biopsie des villosités choriales est alors exigée pour
l’établissement du caryotype et du nombre d’allèles de l’anomalie. Les
N
HRKHE HU | HR HH HE EH
SC
HKARHEHE |HKOKHEEE |° EE
C
HKAKEE HIHKOKEE OH .
BA
vu" TE |
HK AK HH UK de uu | FE
HU W mn
F B:
HK K V | HU
pe
ou
Fœtus 1 Fœtus 2
Document 2 Document3
gr
192
Devoir de contrôle N° 2 (II) Enoncés
Devoir de contrôle N° 2
(D)
L.A/ Relevez sur votre copie les numéros des items et indiquez devant
✍
chaque numéro la lettre qui correspond à la (ou aux) réponse(s) correcte(s) :
{4 points)
TN
1) Les mutations ponctuelles :
ES
a) Sont fréquentes.
b) Constituent une source de diversité biologique.
U
c) Ne sont pas indépendantes les unes des autres.
d) Représentent toujours un désavantage pour les individus qui les
portent.
Q
FI
TI
2) La fille IL; atteinte d’une tare héréditaire peut avoir le génotype :
a) Xa Xa
N
b) XA Xa
IE
c) Aa
SC
d) Aa il
C
BA
b) Est beaucoup plus fréquente chez les filles que chez les garçons.
pe
193
Devoir de contrôle N° 2 (I) Enoncés
✍
LB/ Exprimer des idées importantes :
TN
Utiliser chaque groupe de trois mots (ou expressions) pour construire une ou
ES
deux phrases exprimant une idée importante présentée en cours.
1) Fréquence alléliques, conditions écologiques, sélection naturelle.
U
2) Génotypes nouveaux, transmission aléatoire, reproduction.
3) Spéciation, isolement reproductif, divergence génétique
Q
FI
IL. (8 points) :
TI
1) Karl Von Baer a écrit en 1828 « J’ai des embryons conservés dans
N
l’alcool sur les quels j’ai oubliés de mettre des étiquettes, je suis
IE
mammifères »
— Quelle information en rapport avec la théorie de l’évolution le texte
C
Homme chien 22
Homme poule 39
ou
Homme homme 0
gr
Chien chien 0
Chien poule 32
Poule poule 0
Commentez ces résultats et représentez le lien de parenté entre ces trois espèces
194
Devoir de contrôle N° 2 (11) Enoncés
✍
b. Sur quel argument, on peut se baser pour affirmer que les
drosophiles n’appartiennent pas à la même espèce ?
TN
c. Citez les différents mécanismes de l’évolution de l’espèce ?
ES
U
Q
FI
TI
N
IE
SC
ces populations de tritons a suivi son propre destin, entendez que s’est adaptée
au milieu dans lequel elle se trouvait. Le phénomène s’est poursuivi jusqu’à la
gr
situation actuelle :chacune des cinq espèces s’est différenciée des autres par
certains caractères physiques (couleurs, taille...) et surtout par des
comportements différents (parade amoureuse, agressivité). Evidement,
personne ne peut remonter le temps pour vérifier que les choses se sont bien
passées ainsi. Ce n’est qu’un modèle théorique, construit à partir de ce que l’on
constate aujourd’hui. Mais, dans le cas des tritons d'Europe, il n’y en a pas de
meilleur.
195
Devoir de contrôle N° 2 (II) Enoncés
✍
gène aux allèles (a,, a) contrôlant la synthèse de cette enzyme.
L’électrophorèse a été réalisée sur quatre membres de la même famille.
TN
nieau1 | CD Ep» ap
ES
niveau 2 ED «pp |
U
Q
FI
père ! mère file fils ;
VW
TI
Document 2
En prenant en compte les informations présentées par le document 2, discutez
IE
document 2.
pe
ou
LL
gr
3 4 5 foetus
Document 3
196
Devoir de contrôle N° 2 (II)_ Enoncés
✍
a. Citez les techniques utilisées pour prélever des cellules fœtales.
b. Décrivez brièvement la technique qui permet d’analyser l’ADN du
TN
fœtus afin de vérifier la présence ou l’absence de l’allèle de la maladie.
c. Expliquez pourquoi le diagnostic précoce de la maladie peut se
faire à partir d’une cellule nucléé embryonnaire quelconque.
ES
d. Représentez les fragments d'ADN du fœtus (ADN normale et
U
ADN muté responsable de la maladie) dans tous les cas possibles.
Q
FI
TI
N
IE
SC
C
BA
F B:
pe
ou
gr
197
Devoir de contrôle N°1(1) Solutions
2 3 4 5 6
✍
C a—c b a—-c-d |a-c a—b
TN
ID) 1) a = follicule mûr ; b = follicule secondaire ; c = follicule primaire ;
d = follicule primordial ; e = corps jaune.
ES
U
granulosa
Q
(cellules folliculaires)
FI
zone pellucide
ovocyte I g
TI
cavité folliculaire Follicule de
De Graaf
cumulus oophorus
N
thèque externe
IE
thèque inteme
SC
2}* Trois à quatre mois avant chaque cycle sexuel, quelques dizaines de
C
198
Devoir de contrôle N°1(1) Solutions
✍
TN
ES
ovocyte | en Anaphase | ovacyte l:en Métaphase Il
U
4) a- L’élément a = follicule mûr contrôle l’endomètre par voie sanguine : il
Q
libère de l’œstradiol qui se fixe sur des récepteur au niveau de la muqueuse
utérine, celle-ci s’épaissit, se vascularise et forme des glandes.
FI
b- * L’élément a = follicule mûr exerce un rétroaction positive sur le
TI
mûr.
5) L’ablation des ovaires d’une femme le 21°" jour d’un cycle ovarien de 28
jours, se traduisant par une chute brutale des taux d’æœstradiol et de
C
2°" Partie
I- * Chez le bélier adule normal (document l-a) on constate que pour les
pe
199
Devoir de contrôle N°1(1) Solutions
✍
IT- 1) L’expérience 1 montre que la destruction des neurones sécréteurs de
GnRH dans l’hypothalamus d’un bélier provoque l’arrêt du fonctionnement
TN
testiculaire. Cependant des injections pulsatiles de GnRH dans la circulation
hypothalamo-hypophysaire de cet animal rétablissent les fonctions
testiculaires.
ES
— L’hypothalamus contrôle l’activité des testicules indirectement à travers
l’hypophyse. L’hypothalamus agit sur l’hypophyse par l’intermédiaire d’une
U
neurohormone : la GnRH.
Q
2) L’expérience 2 montre que la fréquence des pulses de GnRH chez le bélier
FI
B castré est de 9 pulses en 12 heures alors qu’elle est de 2 pulses en 12 heures
TI
chez le bélier A témoin. De même l’amplitude de moyenne des pulses chez le
même bélier castré est plus importante 25 pg.ml' contre 15 pg.ml'! chez le
N
témoin.
IE
sécrétion de GnRH
BA
Il-
RC - Hypothalamus
L
B:
+= stimulation
GnRH -= inhibition
F
pe
RC-
Y
ou
gr
Testicules
|
Testostérone #
200
Devoir de contrôle N°1 (IT) Solutions
Exercice N° 1 :
1=b
✍
2=b
3=aetc
TN
Exercice N°2 :
1) Définition: une hormone est une substance chimique
ES
synthétisée par des cellules spécialisées, déversée dans le sang pour
agir sur des cellules cibles en se fixant sur des récepteurs
U
spécifiques (membranaires ou cytoplasmiques) dont elle modifie
Q
leur fonctionnement.
Schéma :
FI
cellule endocrine =sécrétrice d'hormone
TI
vésicule renfermant l'hormone
exocytose d'hormone
N
IE
un . \ omplexe hormone-recepteur
SC
| réponse
2)
B:
- Cellules
germinales
gr
- Cellules
hypothalamiques et
hypophysaires
Effets - Maintien du corps | - Développement RC- sur FSH
jaune du tractus génital
- Sécrétion des - Spermatogenèse
oestrogènes et du - RC-sur LH
progestérone
201
Devoir de contrôle N°1(IT) Solutions
Exercice N°3:
1) - Avant la castration : le taux de LH est constant = 5mg/ml.
- Apres la castration : le taux de LH augmente progressivement
pour atteindre en 8 jours une valeur maximale de 20ng/ml.
Conclusion : les testicules assurent la constance du taux plasmique
de LH en exerçant un rétrocontrôle négatif sur l’hypophyse.
- Les injections répétées de testostérone à l’animal castré font
✍
baisser proportionnellement le taux de LH.
Conclusion : les testicules exercent un rétrocontrôle négatif sur la
TN
sécrétion de LH par l’intermédiaire de son hormone la testostérone.
Ce rétrocontrôle négatif constitue un système d’autorégulation
permettant d’assurer une sécrétion constante de testostérone.
ES
2) Schéma fonctionnel de la régulation du testostérone
U
RC-
Hypothalamus (>) = stimulation
Q
Y
FI
Pulses de GhRH ©) = inhibition
TI
Testostérone
LC
N
Hypophyse RC-
IE
y
SC
LH
@
C
Celluies de Leydig
BA
Exercice N°4.
B:
Légende : 1- thèque
2- ovocyte
pe
3-antrum
ou
4- granulosa
2) Moment du cycle : fin de la phase folliculaire entre le 12°" et
gr
202
Devoir de contrôle N°1(I) Solutions
Deuxième Partie :
✍
A. 1) Apparition des menstruations chez une femme
jeune.
TN
Le document 2b montre :
Pendant la phase folliculaire (1— 14 jour) : il y a une sécrétion
croissante d’oestradiol qui atteint un pic 48 heures avant
ES
l’ovulation. La sécrétion de progestérone est nulle.
Cette sécrétion assure une réparation de la muqueuse utérine
U
détruite au moment des règles.
- Pendant la phase Lutéïnique :
Q
FI
14% jour —21 jours : on constate que la sécrétion d’oestrogènes
se poursuit mais elle est accompagnée d’une sécrétion importante
TI
menstruation.
pe
2) a-
ou
progestérone | | cestradiol
gr
14 21 28
203
Devoir de contrôle N°1I(I) Solutions
b- Origine
Hormones Phase folliculaire | 14”"“jour—
3% | 39%
1—14°% jour mois mois
Oestradiol Foilicules en Corps jaune par | placenta
croissance par les | les cellules
cellules de la thécales
thèque interne et | lutéinisées
✍
de la granulosa
Progestérone | Pas de sécrétion | Corps jaune : placenta
TN
par les cellules
lutéales
ES
c- la disparition des menstruations chez la femme enceinte est
expliquée par la maintien de la sécrétion d’œstrogènes et de
U
progestérone pendant toute cette période.
Q
FI
B. 1) relation entre le taux des hormones ovariennes et le taux
de LH.
TI
document 2a.
ou
— Conclusions
e Une sécrétion variable et cyclique des hormones
ovariennes est synchronisée avec une sécrétion variable et cyclique
de LH — il y a donc une corrélation entre l’activité de l’ovaire et
de l’hypophyse.
204
Devoir de contrôle N°1(11) Solutions
e
Lorsque les taux des hormones ovariennes sont faibles au
début du cycle chez la femme jeune ou chez la femme
ménopausée, le taux de LH tend à s’élever.
e Lorsque les taux des hormones ovariennes deviennent très
élevés (phase lutéale d’une femme jeune) Ie taux de LH
reste faible.
On déduit donc que les hormones ovariennes freinent globalement
✍
la sécrétion de LH :
- pendant la phase folliculaire, une sécrétion faible et croissante
TN
d’oestrogènes (du 5°" au 9% jour) inhibent la secrétions de LH : il
s’agit d’un rétrocontrôle négatif.
- Vers la fin de cette phase (1 gène au 1 qîre jour), la sécrétion
ES
d’œstrogènes augmente rapidement et massivement ce qui stimule
la sécrétion de LH : il s’agit d’un rétrocontrôle positif à l‘origine de
U
pic de LH ovulatoire
- Pendant la phase lutéinique, la sécrétion de progestérone et
Q
FI
d’œstrogènes inhibent la sécrétion de LH: ïil s’agit d’un
TI
rétrocontrôle négatif.
2) Déterminisme de l’ovulation
N
FSH).
BA
Da
B RC+
B:
e
ë > Hypothalamus @ = stimulation
LV
A Pulses de GnRH A
F
3 ©)
pe
ë Ÿ
ou
E . Hypophyse
d
gr
© T
| Ovulation=libération de l’ovocvte IT
Schéma bilan du déterminisme de l’ovulation
205
Devoir de synthèse N°11) Solutions
✍
Sécrétée par une glande endocrine et déversée dans le sang pour
agir à distance sur plusieurs cellules cibles et modifier leurs
fonctionnements.
TN
Hormone sexe Cellules Cellules Réponses des
sécrétrices cibles cellules cibles
ES
* cellules * croissance
Cellules du lobe | des # folliculaire =>
féminin antérieur de follicules de sécrétion de
U
l’hypophyse *cellules l’oestradiol
Q
sécrétrice de FH | du follicule | *aide à
FSH mûr l'ovulation
FI
Cellules du lobe | * Cellules Ron et
TI
antérieur de de sertoli L'inhibine et de
masculin | l’hypophyse *cellule de L’'ABP
N
spermatogenèse
* Reprise et
SC
%
* a Te qe I achèvement de la
Cellules du lobe . DR
. du follicule |,
Féminin antérieur de mûr Déclenchement
C
: antérieur de Cellules de ne
masculin , . sécrétion de
F
l’hypophyse Leydig k
te: testostérone
sécrétrice de LH
pe
206
Devoir de synthèse N°1(1) Solutions
©)
GP1 GP2 ovotide
Nombre de chromosomes | n = 23 n=23 n+n=23 +23
Aspect des chromosomes | Fissurés Simple Simple
Formule chromosomique | (n-1)} Aut+x | (n-1) Aut+x | (n-1)+(n-1)Aut + xx
ou
(n-1) + (n-1)Aut + xy
✍
Deuxième Partie(12 points):
TN
Exercice N°1.
1) * Stade A: coupe transversale d’un utérus en phase
postmenstruelle.
ES
* Stade B: coupe transversale d’un utérus en phase
prémenstruelle.
U
* Variation cyclique de l’utérus :
Q
— Endomètre : FI
-Menstruation = règles du jour 1 au jour 5, la partie supérieure
de l’endomètre se nécrose, se fragmente et tombe avec
TI
saignement.
- Phase postmensuelle :
N
— Myomètre :
On n’observe pas d’évolution structurale (même épaisseur).
F
pe
prémenstruelle.
— L’œstradiol est une hormone, qui, seule assure l’évolution de
l’endomètre à un aspect post menstruelle.
La progestérone est une hormone qui agit en 2°* phase pour
donner de l’endomètre un aspect de dentelle.
207
Devoir de synthèse N°1(1) Solutions
✍
— Oestradiol et progestérone n’exercent aucune influence sur
l’évolution structurale du myomètre.
TN
3) a- * Lot d: si on injecte l’oetradiol, puis de la substance $ et
quelque soit la dose, on constate une même évolution de
ES
l'utérus au stade de A comme dans le cas du lot a
correspondant au document 2 (en absence de S).
U
— $ ne modifie pas l’effet proliférative réalisé déjà par l’oestradiol
sur l’endomètre.
Q
FI
* Lot e: si on injecte de l’oestradiol, puis un mélange de
progestérone et de S, on constate qu’a Img/kg, S, ne modifie
TI
b.
— $ inhibe l’action de la progestérone sur l’endomètre et empêche
la formation de la dentelle.
C
208
Devoir de synthèse N°1(1) Solutions
✍
* Déduction : S est un facteur contraceptif, en effet en se fixant
sur les récepteurs endométriques de la progestérone, elle gène la
TN
fixation de cette dernière et inhibe son action dans la formation de
la dentelle, ce qui empêche la nidation.
ES
Exercice
N° 2 :
1) 1° croisement : [angora - uniforme] X [poil court - tacheté]
U
|
Q
F1 = 100% [poil court - tacheté]
FI
C’est un cas de dihybridisme.
TI
A partir de deux parents de phénotypes différents, on a obtenu une
F1 homogène à 100%. La 1*° loi de Mendel est vérifiée.
N
[C TIx{a u]
pe
de 1/4, 1/4, 1/4, 1/4, donc les deux gènes ne sont pas indépendants
mais liés.
Le résultat de test-cross montre des proportions phénotypiques #
de 1/2, 1/2. Cependant il y a apparition de phénotypes parentaux
[C, T] et [a, u] plus fréquents que les phénotypes recombinés [C, u]
et [a, T] : il s’agit d’un cas de linkage partiel.
209
Devoir de synthèse N°1(1) Solutions
✍
TN
crossing over
————+
(échange de segments C affa
entre 2 chramatides
7 T
ES
non soeurs)
U
Prophasel
Q
FI
TI
N
IE
à
u T
C
(GX)
BA
gamètek parental —
Pour le Parent PL
B:
HD
one © MN MERE me
F
pe
ou
sb | CDD) SE
% 100 50 ; 50 50 ; S0 43.5 ; 43.5 | 43,5 ; 43,5
6.5 ; 6.5 165 ; 6.5
210
Devoir de synthèse N°1(11) Solutions
✍
B : Globule polaire
C : Ovocyte IT ou ovocyte I en anaphase I
TN
3- On peut observer ce stade quelques heures avant
l’ovulation.
ES
Justification : emission du 1°” globule polaire (reprise de la DR)
4- Les combinaisons possibles : (3-2) ;(1-4) :(1-2)
U
Deuxième Partie:
Q
FI
1) Au cours de la grossesse et contrairement au 1” cycle non
fécond, on constate une production croissante d’œstrogènes et
TI
progestérone.
2) l’observation médicale montre que la présence de la
BA
de la muqueuse utérine.
3) Des deux donnés médicales, on peut tenir les informations
F
suivantes :
pe
211
Devoir de synthèse N°1(1) Solutions
✍
par les ovaires.
Justification : HCG est une hormone placentaire dont l’action est
TN
voisine de celle de la LH et empêche alors la régression du corps
jaune. Celui-ci continue à produire des doses croissantes de
progestérone (également d’oestrogènes).
ES
c- La neutralisation de HCG lors des premières semaines de la
grossesse entraîne la régression du corps jaune donc la chute du
U
taux plasmatique de progestérone et par conséquent l’avortement.
Q
a- L’injection de HCG à une femme au milieu de la phase lutéale
FI
retarde la régression du corps jaune qui continue à produire des
doses croissantes de progestérone (également d’oestrogènes).
TI
5)
SC
> | © = stimulation
RC(_) OLAPPPES | (= inhibition
C
(Oe+ Pg)
BA
LH
Ovaire Placenta
F B:
pe
212
Devoir de synthèse N°1(IT) Solutions
Y
RC O Hypophyse
(Oe+ Pg) ©
| Le HCG
Ovaire bi Placenta
✍
TN
(Oe+ Pg) Endomètre
ES
GROSSESSE
U
Hypophyse « Q rcQ)
FI
(Oe+ Pg)
TI
N
Ovaire Placenta
IE
SC
C
GROSSESSE
F
B) 1- a-
pe
|
F1 : [poil raide, œil normal] 100%
gr
213
Devoir de synthèse N°1(II) Solutions
✍
N — allèle qui contrôle le phénotype [œil normal] avec
m — allèle qui contrôle le phénotype [œil mal formé]| N >m
TN
b-
[R, N]x [£ m]
ES
Î
55 [£ N]
U
56 [f, m]
54 TR, N]
Q
FI
56 IR, m]
L'apparition dans la descendance de souris [f, m], montre que le
TI
d’un test-cross.
L’apparition dans la descendance de ce test-cross de 4 phénotypes
SC
équiprobables (1/4 ; 1/4 ; 1/4 ; 1/4) montre que les deux gènes sont
indépendants.
C
BA
2- * 1* croisement
- 1” parent [R, N] est de génotype
8|8 2]
fr zx
B:
pème
parent [f, m] est de génotype == Loi de
Mendel
F
* 2% croisement
pe
fr
re [f, m]
gr
ème & m «
277 parent [f, m] est de génotype = — Car f et m sont récessif
* 32% croisement
[R, N] x [£, m]
|
110 [R, N] — 1/2
112 [R, m] — 1/2
Et
ae
nn
en
214
Devoir de synthèse N°1(II) Solutions
2e :|z
-l #l
- 2ème parent [f, m] est de génotype
✍
#3- 2ŸM croisement
[R,N] x [f,m] phénotype
TN
RONm fm Génotype
f f m
ES
Le parent [f, m] étant double récessif et ne peut donc fournir qu’un
U
seul type de gamètes fi)
Q
FI
C’est le parent [R, N1, double hybride qui est à l’origine de la
diversité de la descendance. Au cours de la méiose et à l’anaphase
TI
ee
SC
8
C
BA
are
B:
S
F
De
25
pe
ou
e __ Echiquier de croisement
G) ;
y PI 1 1
4 4
y PI
D f A RE 0 #
f m
LE Nr
8 |E
f f m
1 f [R m fN]
un)
ns
es
3
215
Devoir de contrôle N°2(1) Solutions
✍
de molécules homologues provenant d’un même gène ancestral
TN
présent chez un ancêtre commun aux trois espèces (lien de
parenté).
e Différence et degré de parenté : en comparant les séquences de
ES
la molécule chez les trois espèces, on détermine le nombre de
différences en prenant les espèces deux à deux et on précise
U
que ces différences sont dues à des mutations. Sachant que la
Q
mutation est un évènement rare, on admet alors que plus le
FI
nombre de différences entre deux espèces est élevé, plus
l’ancêtre commun de ces deux espèces est éloigné dans le
TI
temps et inversement.
N
216
Devoir de contrôle N°2(1) Solutions
✍
sont fertiles.
3/ Seules les mâles de la descendance d’une femelle de
TN
D.Willistoni quechua et d’un mâle (père) de D.Willistoni
Willistoni qui sont stériles : il s’agit d’une indication que des
mécanismes d’isolement reproducteur sont en train de se
ES
mettre en place c'est-à-dire le processus de spéciation est
entamé mais non encore achevé car la plupart des descendants
U
sont fertiles.
Q
FI
Deuxième Partie:
TI
chromosome sexuel Y.
BA
m
garçons malades et des filles saines vu que le père est sain (de
ou
217
Devoir de contrôle N°2(1) Solutions
✍
l’anomalie chez le foetus2, ce qui suppose la présence de
trois loci correspondant.
TN
Le document 2 montre que l’unique chromosome qui existe en
trois exemplaires est le chromosome 21(cas de trisomie 21).
L’allèle de l’anomalie est par conséquent localisé sur le
ES
chromosome 21 (l’un des 22 autosomes).
U
e le fœtus 1 présente un seul allèle de l’anomalie (d’après le
document 3)l’autre chromosomes 21 porte alors l’allèle N
apporté par la mère II4 : il serait sain
Q
car N domine m.
FI
e le fœtus 2 possède 3 allèles m. il serait donc atteint de cette
TI
maladie génique.
b- Génotype des individus 11, II2, 4 et IIT1 :
N
N N N
IE
Z|Z
H:=, [M2:=, JA :—et lili: Lo
m. m m m
SC
C
BA
F B:
pe
ou
gr
218
Devoir de contrôle N°2(I1) Solutions
LA/
✍
1/b :2/d;3/aetc;4#/betc;5/a
TN
LB/
1) La sélection naturelle est responsable du changement orienté
de la fréquence des allèles en favorisant la survie du phénotype
ES
le plus adapté à l’environnement.
2)
U
La reproduction sexée a pour conséquence la transmission
aléatoire des génotypes nouveaux aux descendants.
3) Q
La divergence génétique lente et indépendante de chaque
FI
groupe de population permet l’acquisition de l’isolement
TI
reproductif conduisant à la spécification.
IL.
N
ancêtre en commun.
2) La comparaison des chaînes de la myoglobine de trois
espèces : homme, chien et poule montre que :
B:
219
Devoir de contrôle N°2(11) Solutions
✍
le plus éloigné dans le temps.
TN
Homme |
Le temps Chien Poule
ES
U
Q
FI
ancêtre en commun entre l’homme et le chien)
TI
N
chien, poule))
SC
3)
BA
Espèce D : 2n=8
On constate que ces chromosomes se ressemblent par disposition
F
220
Devoir de contrôle N°2(1) Solutions
✍
+ Brassage génétique par la production sexuée
TN
e Mutations chromosomiques
e Duplication génique
e Sélection naturelle et adaptation
ES
4) Les expressions qui montrent les étapes de la spéciation
géographique :
U
e Présence d’une souche ancestrale qui occupait toute l’Europe
Q
e Dispersion de l’espèce par installation de barrière géographique :
FI
refroidissement sévère qui a couvert de glaciers une bonne partie
TI
de l’Europe ——+ ïil y a donc isolement géographique des
populations de tritons.
N
(8 points)
pe
l’allèle de maladie.
Le fils lui correspond une seule tâche: ADN niveau 2 —+ ;il
correspond à l’allèle sain.
Si l’allèle de la maladie est récessif autosomal, le fils doit hériter
l’allèle de la maladie de son père qui est homozygote
221
Devoir de contrôle N°2(IT) Solutions
m .
2) ——+ ce n’est pas le cas, l’hypothèse est donc à rejeter.
m
Hypothèse 2 : l’allèle de la maladie est récessif lié à x
Dans ce cas le fils hérite l’allèle normale (N) de sa mère
XY
hétérozygote &) et Y de son père, son génotype serait
✍
X" . .
& ——+ ce qui est le cas ——+ l’hypothèse est à retenir.
TN
Hypothèse 3 : l’allèle de maladie est dominant autosomal.
ES
M —+ allèle de maladie dominant.
n —+ allèle normal récessif
U
M
Le père aurait le génotype (5) et le fils doit hériter l’allèle
Q
FI
anormal dominant M du père et il devrait être malade ce que n’est
TI
pas le cas —+ l’hypothèse est donc à rejeter.
Hypothèse 4 : l’allèle de la maladie est dominant lié à X le fils
N
M
X
possible la mère étant béérorte| | . + L'hypothèse
SC
2)
BA
récessif lié à X.
pe
ou
gr
222
Devoir de contrôle N°2(I1) Solutions
b. Génotypes :
N
1. À
Y
X"
✍
X" de
3. 7 ] m ——+ allèle récessif : anormal
TN
N
4. x
ES
Y
s &)
X\
ou £)
X"
U
Q
X" X" FI
3)
a. Techniques utilisées pour prélever des cellules fatales
TI
223
Devoir de contrôle N°2(I1) Solutions
l'ADN de n'importe quel gène est donc possible sur une cellule
somatique nucléée quelconque.
d. Le fœtus peut être une fille ou un garçon :
Cas d’une fille Cas d’un garçon
X* X\
“ Génotype &) " Génotype |
Y
✍
Résultat de Niveau 2? D <— ADN Niveau 2? D <— ADN
l’électrophorè normal : N normal : N
se de l'ADN X"
TN
" Génotype 2) Génoty A”
Fly
! €eno CE —
X"
ES
Niveau l NB <— ADN Niveau 1 BD <— ADN
anormal anormal : m
U
Niveau 2 D <— ADN
normal
Q
FI
TI
N
IE
SC
C
BA
F B:
pe
ou
gr
224
gr
ou
pe
FB:
BA
C
SC
IE
N
TI
FI
Q
U
ES
TN
✍
Leallshe n
✍
thèmes couvrant la totalité du programme
> Tous les corrigés des exercices et des
problèmes détaillés et commentés.
TN
ES
U
Q
FI
Res
TI
K “a, K
N
IE
SC
ntales
+ Section Sciences Expérime
BA
3°"° Année
. SVT Expérimentales ) cee
ou
gr
+ Section Mathématiques
> SVT