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CONFÉRENCE DE CULTURE GÉNÉRAL

« La véritable école du commandement est la culture générale. Par elle la pensée est mise a
même de s’exercer avec ordre, de discerner dans les choses l’essentiel de l’accessoire, de
s’élever a ce degrés ou les ensembles apparaissent sans préjudice de nuances. Pas un illustre
capitaine qui n’eut le gout et le sentiment de patrimoine et de l’esprit humaine. Au fond des
victoires d’Alexandre ou trouve Aristote ». Charles de Gaulle

La culture générale est un lieu d’inégalité. Pour les concours de la fonction publique il fallait
l’exclure pour mettre à la place des épreuves de culture administrative. La culture est
concurrencée par l’avertissement. La culture est ce qui vient du passé, c’est l’effort pour
s’approprier ce leg du passé.

Ce qui caractérise la culture G c’est qu’elle n’a pas d’utilité, ou plutôt ça n’a pas d’utilité
immédiate. La culture générale ne permet pas de satisfaire un besoin déterminé. Cependant,
cela ne veut pas dire qu’elle n’a pas de fonction ou de raison d’être. Elle n’a pas d’utilité
immédiate c’est précisément ce qui fait sa valeur, sont intérêt. La culture générale est tout
simplement une exigence une discipline qui va a l’encontre des injonctions (ordre,
commandement) de notre société contemporaine. Notre société, vout un culte a tout ce qui
est utile a tout ce qui répond instantanément à notre besoin à nos désirs. La culture générale
va à contre-courant.

Le 23 février 2006, Sarkozy candidat à l’élection présidentiel, à Lyon, il dit je veux en finir avec
la pression des concours et des examens, il va dénigrer l’ouvrage de la princesse de Clèves
« l’autre jour je m’amusais on s’amuse comme on peut, à regarder le programme du concours
d’administration, un sadique ou un imbécile avait mis dans le programme, d’interroger les
concurrents sur la princesse de Cleves. Je ne sais pas si cela vous ait arrivé de demander a une
guichetière ce qu’elle pensait de la princesse de Cleves, imaginez un peu le spectacle ! ». Dans
les concours le cadre de l’administration doit être employable immédiatement. Il doit être
capable au plus vite de répondre a des exigences. Forme de pragmatisme. Le cadre, le
fonctionnaire est réduit à une fonction et pour ce faire il doit acquérir une culture étroitement
spécialiser. Cette culture générale est condamnée à reculer.

Charles de Gaulle, défend ici, que l’art de commander n’est pas inné, ça n’est pas spontané.
Commander c’est l’action de prendre des décisions, genre des ressources humaines. D’après
DG, le flaire et l’instincts sont nécessaires mais pas suffisant. Au déjà, il faut acquérir des
méthodes, un apprentissage, il faut une discipline. Cet apprentissage est lié de manière
nécessaire à la culture générale.

Qu’elles sont les vertus de la culture générale ?

La culture générale sa verrue 1 première est de nous permettre d’acquérir une méthode,
conduire ses pensées par ordre, de Descartes 1637, discours de la méthode. La première
formule du discours, « le bon sens est la chose sud monde le mieux partager » chacun d’être
nous a la puissance et la faculté de distinguer le vrai du faux, c’est la raison, la lumière
naturelle. Sauf qu’il faut savoir l’orienter. Il ne suffit pas d’avoir la raison, il faut savoir l’utiliser
avec methode. C’est ce que la culture générale permet d’acquérir. « Le tout n’est pas d’avoir
l’esprit bon, mais de l’appliquer bien »( méthode=

La culture général ca n’est pas l’eruditon, l’outil essentiel n’est pas la mémoire mais
l’entendement et l’intelligence.
Le disercement, etre capable de discriminé dans un sens noble, ce qui est essentiel et ce qui
est accessoire. C’est d’établir une hiercharchie. La culture générale doit avoir cette vertu
d’analyse les choses et de hiérarchiser les phénomènes et ca va a contre-courant de ce qui ce
fait a notre époque ou on a tendance a tout niveler.

« s’elever a ce degrés ou les ensembles apparaissent sans prejudice de nuances » avoir une vu
assez large, globale, capable d’avoir une esprit de synthèse (=poser ensemble). Avoir une
certaine hauteur de vue.

Dans cette esprit de synthese il faut avoir un juste milieu, une certaine hauteurs de vu, mais ne
pas perdre de vu la relit concrte dans sa richesse, dans sa complexité et dans ces
contradictions. Il voit des nuances la ou d’autre ne les voient pas.

Le present ne ce suffit pas a lui-même, il n’est pas auto-suffisant. Le culture implique la


conscience aigue de botre dette a l’egard du passé. Le culture est l’effort pour nous apporpié
legs (=transimission). Cette existance de transmission est resus incertaine, elle est fragiliser par
ce que Bentolila, appelait l’eblouissement technologique, on est comme absorber par le
present et par les promesses du future. Le present semble ce suffre a lui-meme. Qualifier d’
« inquietante extase » par Finkiel Riaut.

Texte P Valéry

Ce texte est écrit de 1931, il est encore d’actualité, les tendances qu’il mettait en évidence
dans les 30’s, elle sont encore a l’heure et elle se sont intensifier. Le thème du texte est, celui
de la place de la culture dans notre société. Internet, devrait apporter un effet immédiat et
infini a la culture. On fini par confondre culture et divertissement. La place de le culture dans
notre société est-elle central ou au contraire la culture est-elle condamner a occuper une place
de plus en plus marginal et secondaire? Le onde d’aujourd’hui permet il réellement de
démocratiser la culture ou au contraire nous éloigne-t il irrémédiablement du monde de la
culture?

Selon Valery, dans notre monde, la culture est affectée par la crise. Elle ne va plus de soi. Le
monde d’aujourd’hui selon Paul Valery, où tout va toujours de plus en plus vite, il nous
détourne de la culture, au sens strict et rigoureux du terme. Le culture et ses exigences
n’étaient plus dans l’ères du temps. Au fond, nous avons tout juste le temps de consommer
des produits de divertissement, mais en aucun cas nous avons le temps de nous ouvrir à de
vraies oeuvres culturelles. Le reflux constant et inexorable de la culture dans notre société. On
fera toujours primer la satisfaction immédiate sur l’exigence culturelle.

Ligne 1 ligne 6: constat, état des lieux. Notre richesse culturel est en danger. Le présent semble
ce suffire a lui même.

Ligne7 a 17:

Le pacte ou le contrat entre l’artiste et le spectateur semble rompue. Si l’artiste s’impose un


effort et prend le temps de créé une oeuvre en retours nous nous relevons incapable de lui
accorder le temps et l’attention nécessaire.

Ligne 18 a la fin: il dit que l’accès a la culture dans notre monde est condamner a être de plus
en plus, marginale, problématique.

1) Présentation du texte
Ce texte est écrit en 1931 mais est encore bien actuel. Les tendances qu’il metait en evidence
dans les années 1930 sont encore en à l’ouvre et ses tendances se sont actus, amplifié.

2) Thème

La place de la culture dans la société.

3) Problème

La place de la culture dans notre société est elle central ou au contraire la culture est-elle
cordonnée a occuper une place de plus en plus marginale et secondaire.

Le monde d’aujourd’hui permet-il a démocratise la culture ou au contraire nous éloigne-t-il


irrémédiablement le monde de la culture.

4) Thèse

Selon P.Valéry , dans notre monde contemporaine, la culture est affecté par un crise, elle ne va
plus de soi. Le monde aujourd’hui, ou tout va de plus en plus vite, où nous refusions de
prendre autre tems, ce monde nous découle la culture en sens stricte et rigoureux du terme.

5) Le plan

La première partir de la ligne 1 a la ligne 6 il fait un constat. La culture, notre capital culturel
est un péril. Le présent est autosuffisant.

Deuxième partie jusqu’à la ligne 17, le contract entre l’artiste et le spectateurs semble
tumpu ?. Si l’article s’impose

Troisième partie ligne 18 jusqu’à la ligne 24,

Le monde d’aujourd’hui Le monde de la culture


Le monde de l’éphémère, le monde du fugace. Il implique une forme de stabilité. Pour échapper aux
injures du temps.
faciltier ou satisfaction immediate. Permante
Le mode d’aujourd’hui valorise le présent et ses produits Prendre conscience de notre dette du passé. La culture
qui ont la faculté de nous divertir. s’impose a nous quand on a conscience qu’on ne ce suffit
pas a soi même et qu’on a une dette a l’égare du passé.

II) QUE SIGNIFIE "ÉDUQUER"?

1) "Être éduqué " c'est d'abord "nourrir" son esprit, le cultiver, en prendre soin.

Le terme « éducation » apparait seulement a partir de XIV-XV siècle. Avant ce on parlait d’une
action de « « et le terme de « « . , pour désigner l’action d’élever un enfant. C’est une
métaphore emportée au domaine de la psychologie. On entend encore cette expression dès
Descartes en 1637 dans « le Discours de la Méthode ». « J’ai été nourri des lettres des enfants »

Il y a une période dans notre culture qui a théorise cette culture, il fallait se nourrir de culture,
notamment cette de passé antique. De ce parti de voir, la période de la Renaissance (milieu de
XV e-milieu XVIe) est particulièrement significative. L’éducation implique que l’un se nourrice
en s’insinuait de ce qui est brillant, noble, excellent. Il faut opérer un retour aux textes de
l’Antiquité, aux valeurs de l’antiquité. Pour s’humaniser réellement, le sujet soit se nourrir d’un
héritage intellectuel. Il doit s’approprier un legs.

2) Éducation et instruction ne se confondent pas…

L’éducation est un ensemble d’action qui ont pour fin de développer l’être humain dans sa
globalité, c’est-a-dire, a tous les niveaux. C’est un développement d’abord a un nouvel
intellectuel et social, et relationnel. Aussi sur dimension politique, former un citoyen. En fin,
éducation physique. L’éducation est une sorte de phénomène anthropologique total.

Alors que l’instruction vise essentiellement l’activité et l’esprit et l’acquisition des


connaissances.

Eduquer c’est développer globalement les personnalités, les dispositions de l’enfant. Dans
l’éducation on va de l’antérieur vers l’extérieure. On va développer les dispositions en germe.

À l’inverse l’instruction va de l’exterieur vers l’interieur. C’est instruire c’est assimiler, intégrer
des savoirs….

a) L'éducation, un processus original et global

b) L'éducation, une exigence démocratique fondamentale

3 ) Enseigner c'est résister (Texte d'Alain Finkielkraut)

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