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Cour du 15/09/2021 : 11 :00 :

Droit du système
juridique de l’Union
Européenne
Manuel Laurent Coutron ou Francesco Martoutchi.

Examen : consulter les annales ; pose une question sur 8 à 10 points transversales de cour suppose
réflexion et qui nécessite de mobiliser plusieurs parties du cours. Pas besoin de plan n’y d’intro mais
on peut si on veut. Il veut qu’on raisonne et qu’on comprend les grandes idées de ce cours. A côté 3-
4 questions sur 2,3,4 sur des aspects plus particuliers du cour. Apprendre grand mécanisme.
Vendredi 7 janvier 13h15-14h15 sans TD.

L’UE c’est quoi ? Personne ne sait vraiment, même Jacques Delorme dans les années 90 disait que
c’est un objet juridique non identifier. C’est non identifier car on peut partir d’un postulat simple qui
est que l’UE a une vocation régional = cette organisation limite ces principaux effet a un cadre
régional et particulier qui est l’Europe = 27 Etat européen. Mais cette définition est insuffisante, par
ce que cette organisation dispose de compétence dans des domaines beaucoup plus étendue et
varier que la plus part des autres organisations a vocations régional. L’UE a des compétences très
importante notamment d’un point de vue normatif et des domaines très varié. Ex : aujourd’hui en
2021, l’UE a des compétences dans le domaine pénal car il y a une politique pénal européenne, l’UE
a des compétences en matière de compétence de l’environnement et des compétences très
étendue dans se domaine, l’UE à des compétences dans la matière externes, elle dispose d’une
diplomatie. Cela rend la définition insuffisante si on observe d’autre organisation régional par
exemple le MERCOSUR en Amérique Latine dispose de domaine de compétence plus restreint que
l’UE. Deuxième exemple ASEAN dispose de compétence régional mais sans commune mesure des
compétences donner a l’UE. Normalement elles ont des compétences limité alors que l’UE ne l’a pas,
elle dispose de compétence qui sont presque autant étendue que celle des états.

Dans la mesure ou l’UE est une organisation particulière, un peut original, sa perception, définition
est complexe. On peut même creuser un peut cette question de la perception de l’UE, l’UE est dans
une situation paradoxal qui est la suivante : d’un côté c’est une organisation qui aujourd’hui en 2021
produit du droit de manière contraignante, droit normatif très important, et se pouvoir normatif
influence très fortement les droit nationaux. Il y a eu un rapport de l’assemblé national qui essayer
de quantifier l’apport du droit de l’UE dans le droit français = qu’elle était le pourcentage de norme
française inspirer de l’UE et il évaluer à 70% l’inspiration de ces normes française presque 7/10
découle du droit de l’UE. C’est une approche quantitative mais elle a des effet qualitatif puisqu’elle
va modifier notre propre droit interne. Exemple : dans le droit du travail c’est disposition découle de
certaine directive européenne. Influence certaine et que l’on peut mesurer. Mais le paradoxe c’est
que les individus les citoyens n’ont pas toujours conscience de cette influence, les citoyens ont
parfois l’impression d’être face a une organisation très lointaine, organisation qui n’a pas d’influence
sur leur vie quotidienne. La réalité est certaine mais la perception est beaucoup plus flottante.
Première exemple : le taux d’abstention au cours des différents élection du parlement européen,
depuis l’élection des députés européen en 1979, le taux d’abstention dans toute l’Europe est
extrêmement élevé, c’est la preuve qu’il n’y a pas de signe d’appartenance politique à l’UE, ou ce
signe d’appartenance est faible. Autre exemple se sont les référendum qui ont eu lieu en France et
dans le Pays-Bas en 2005 à propos de la Constitution européenne (traité établissant une C° pour
l’Europe) au cours de ces référendum on a vu un rejet majoritaire du projet constitutionnelle ce qui
montre que non seulement la perception est faible mais elle peut même être hostile à la construction
européenne. Sentiment que l’UE peut constituer un risque pour les individus et les citoyens. Même si
contexte différent on peut mettre en parallèle le référendum de la C° et le BREXIT de 2016. DE
nombreux chercheur essaye d’expliquer ce nombreux décalage et de cette absence d’appartenance
politique. Généralement les réponses apporter a se paradoxe sont toujours les mêmes et peuvent
être regroupé autour de deux arguments :

- Le fonctionnement de l’UE est trop complexe : trop difficile a comprendre et cela fait que les
citoyens se désintéresse au fonctionnement de l’UE. Prof : L’argument de la complexité ne
tient pas car si on procéder à un sondage parmi la population pour comprendre comment
fonctionne l’état français, il n’y aurait pas des réponses très satisfaisante. Le régime
institutionnelle de l’UE n’est pas plus complexe que celui de la France.
- Il y a un manque de communication de la part de l’UE : et de la part des premières
communauté européenne. L’UE se concentre sur les aspect technique et ne communique pas
son travail. Prof : L’argument de la communication les institutions ne cessent de
communiqué et même la CJUE, le juge communique.

L’argument possible c’est que depuis l’origine des communauté avec les traité CECA ou CEE, depuis
l’origine de la construction communautaire les états européens ont toujours considéré qu’il s’agissait
d’un projet de coopération entre état. Ou comme le dise les juriste anglosaxon un « work in
progress » = une procédure en progrès, travail en perpétuelle évolution. La construction européenne
c’est un mouvement, processus qui est perpétuellement en cours. Il y a des évolution permanente.
On est passé de la CECA et CEE à la CE et à l’UE. C’est un avantage d’avoir quelque chose qui avance
et surtout sur les états qui sont eut statique, l’état repose sur des bases statiques, on pourrait si on
prend l’exemple français penser au C°. L’Etat a besoin de « rester debout » comme Machiavel, le mot
état vient de l’italien « stato » et quand Machiavel emploi « stato » veut dire que l’état va rester
debout, avec un phénomène statique. L’UE est tous sauf statique elle bouge. L’UE bouge elle évolue,
c’est un avantage, un atout par ce que cette évolution permet de prendre en compte d’autre
évolution politique, économique aujourd’hui environnemental et numérique. Le fait qu’elle soit dans
un objectif d’avancement permanent constitue un atout et cela était envisagé par les pères
fondateurs « une union sans cesse plus étroite entre les peuples européen » de Robert Schuman en
1950, dans cette phrase même il y a l’idée d’une évolution et d’un mouvement on va dans une
direction. C’est organisation évolue avec le temps. Exemple : dans les années 50 début des années
60 ce qui était important pour les pays européens était la croissance économique, la construction
économique de l’Europe après la deuxième guerre mondial, après les communauté on a mis
l’accent sur des normes a caractère économique et social = concurrence, libre circulation des
marchandises. Les principaux défit aujourd’hui sont différent on cherche dans un monde globalisé à
faire face à des défit globaux, on est plus centré sur des défit d’après-guerre, mais la globalisation
n’est pas qu’un phénomène économique mais la globalisation c’est d’bord de la globalisation
juridique. Chacun essaye d’imposer ses propres normes et ses propres standards. Ces standards
nouveaux concernent l’environnement et le changement climatique, elle concerne le défi
technologique et numérique, et évidemment elle concerne la santé avec les pandémie = phénomène
global. Cette évolution de l’origine communautaire vers l’UE va entrainer des modifications
institutionnelle juridique il faut s’adapter a de nouveaux défit en créant de nouvelle norme adapter a
ces défit nouveaux.

Depuis 1950 le système juridique de l’Union c’est enrichi pour pouvoir s’adapter a ses défit très
différent dans leur nature et étendue. C’est un avantage ce projet adaptabilité du système de l’UE
qui est important mais ce projet peut être aussi un inconvénient dans la mesure ou précisément les
individus, les citoyens peuvent avoir du mal a suivre se mouvement et cette évolution, contrairement
à l’étai qui est plus statique dans ses évolutions. Nous sommes toujours régis par la C° du 4 octobre
1958, bien sur elle a était révisé par des lois organique et des modifications de la C° mais
l’architecture française demeure identique dans sa forme. Depuis 1957 il y a eu de multiple traité de
révision dans l’UE qui ont complètement modifier la nature même des organisations. Ce décalage est
plutôt lié a la construction européenne. Pour certains auteur aujourd’hui et le plus important dans la
langue française c’est Olivier Beaud, pour lui l’UE constitue aujourd’hui une confédération d’Etat.
C’est une confédération d’Etat. Cette confédération d’Etat a permis de mettre en place une
organisation que l’on peut qualifier de supra national. Qui se situe si on traduit au-dessus des état
mais sans idée de hiérarchie, c’et à côté des Etats et aujourd’hui l’UE est une organisation
supranational et agis au côté des état membre de l’UE (27 états membres).

Introduction :

1. Le système juridique qu’est-ce que c’est ?


Pour Kelsen un système juridique est un ensemble de norme homogène et cette ensemble de norme
homogène est structurer autour d’une norme fondamentale que l’on appelle le plus souvent la C°.
Pour Kelsen ce qui fait la conséquence de l’existence d’un système juridique c’est que ce système va
devenir autonome par rapport à d’autre système juridique. Il y a une double autonomie :

- Système national vis-à-vis de d’autre système nationaux :


- Système nationaux vis-à-vis des système international :

Kelsen se son les années 20-30 et y a eut un certain nombre d’évolution et des penseurs qui sont
venue critiquer la penser Kelsénienne. On peut la résumer en 3 points :

- Le plus ancien : un système juridique n’est pas un ensemble fermé, complètement


hermétique. (Reprendre cour). Herbert Hart théoricien droit américain et dit que les système
juridique contemporain ne sont pas fermé mais ce sont des système poreux. Début de
réflexion sur le fait que l’état n’est plus le seul producteur de norme concurrencer par
d’autre acteur et il est nécessaire ce constater qu’il y a une porosité normatique, du système
juridique international et interne. Le juge français prend appuie sur les normes national mais
aussi sur les normes externes a sont propre système juridique. Hart montre qu’il y a une
porosité, il y a l’idée d’une forme de globalisation du droit, ce n’est pas que l’économie mais
aussi un phénomène juridique. Ce sont des normes qui voyage et pour cela faut de la
porosité. Finalement il y a un autre penseur français qui est Michel Troper
constitutionnaliste, en s’appuyant sur l’idée de porosité va dire que cette porosité est
renforcée par un phénomène c’est celui de la montée en puissance des juges et donc
montée en puissance de l’interprétation des normes. Michel Troper montre que parfois le
juge ne trouve pas dans son propre système juridique des normes lui permettant de trancher
un litige, hypothèse fréquente ou un juge fait face à des lacunes et pour les complet il ne
trouve rien dans son propre système juridique et va donc chercher dans d’autre système
juridique.
- Remise en cause de la logique pyramidale : caque norme juridique tire sa validité d’une
norme supérieur. Cette vision pyramidale était adaptée a une approche purement national et
étatique du droit, l’approche hiérarchique ne vaut qu’au sein d’un seul système = l’Etat. Si un
juge applique une norme d’un autre système juridique, cette norme n’a pas a priori être
conforme à la C° de l’Etat mais conforme à sa propre norme fondamental mais pas à la
norme fondamental d’un autre système juridique. La réponse apporter pendant très
longtemps à constituer à dire qu’à partir du moment où cette norme issue d’un autre
système juridique s’applique dans un autre système juridique particulier, cette norme doit se
conformer à la norme fondamental. Elle va être absorber par le système juridique = le
principe de primauté. On fait primer la norme fondamentale qui régis le système juridique. A
l’époque de Kelsen peut fréquent et les juristes trouver sa normale qu’une norme extérieur
obéissent à une norme national. Vision pyramidale devient très compliquer à mettre en
œuvre aujourd’hui. Puisque a côté de notre système juridique il y a l’UE, si une norme
européenne doit s’appliquer dans le système juridique française pendant longtemps on a dit
qu’il y avait une primauté du système juridique européen. Un peut plus tard certain juge
français on dit que dans ces cas là c’est la C° française qui prime, la norme européenne doit
être conforme au système juridique français. Cette vision l’est devenue de plus en plus
problématique au fur et à mesure le nombre de norme européenne s’appliquant en France
augmente la théorie de la pyramide devient obsolète. Il y a conflit de norme et de système.
C’est un conflit normatif. Un certain nombre de penseur mais aussi de juge ont essayer de
trouver une alternatif à se modèle pyramidale. Ecole Belge du droit avec le professeur
François Ost qui parle de la théorie des réseaux = la vision pyramidale la primauté fonctionne
d’un point de vue acteur, lorsqu’on résout uniquement dans le cadre d’un seul système
juridique cela peut fonctionner mais quand il y a interaction entre plusieurs système
juridique la vision pyramidale ne marche plus. Ost propose de partir d’une autre vision, non
plus verticale mais une vision horizontale les différents système juridique coexiste les uns à
côté des autres. Sans idée de hiérarchie. Cette approche théorique à était mise en œuvre par
un certain nombre de juge et par le conseil d’Etat en 2007 dans une affaire société Arcelor =
le CE pour la première fois ne résonne plus en therme de primauté et de hiérarchie mais va
proposer une solution en réseaux horizontale. Dans cette affaire complexe le problème ou
l’un des problèmes l’entreprise d’Arcelor contexte la légalité d’un décret en considérant que
ce décret porter atteinte au principe de non-discrimination, il était contraire. Sauf que ce
principe il se trouve consacré à la fois dans le système de l’UE et dans le système juridique
français. La difficulté est que ce principe n’est pas interprété de la même manière par le CC,
CJUE n’interprète pas de la même manière. On demander au juge adm qu’elle principe doit
être applicable à l’espèce est celui interpréter par l’UE ou celui interpréter par le CC.
L’entreprise Arcelor considéré qu’il fallait interpréter en assurant le contrôle de légalité au vu
du principe tel que le voyais le CC. Pour la société on est dans le système juridique français et
dans se système on applique les norme issue de son système juridique. Les normes issues du
système juridique français et également les normes constitutionnelles primes sur les normes
issues de l’européen. Mais le CE ne va pas réagir en therme de primauté sous l’influence d’un
rapporteur public Mathias Guyomar propose une autre vision, aujourd’hui il y a une
interaction permanente entre les différents système juridique et entre système juridique
français et celui de l’UE et il en veut pour cette action que le décret est une transposition de
directive. Les relations de système ne peuvent plus être considéré comme des relations
verticale = relation ou un système juridique prévaudrais sur un autre système juridique.
L’argument principal est de dire que si on raisonne en therme hiérarchique on crée des
tension, du conflit. On est dans une logique conflictuelle de norme, hors ce n’est pas
l’objectif, alors Guyomar propose de raisonner en horizontale et on raisonne en therme de
conciliation. Concilier l’ensemble des normes quelque sois leur origine. On passe a une
logique de réseaux. Il y a aussi les travaux de François Ost et a partir de cette approche, de
cette logique qui n’est plus une logique d’opposition mais une logique de conciliation.
Guyomar propose une révolution « révolutionnaire » pour le CE, il faut distinguer deux
situations :
 Première situation : le requérant invoque une norme qui se trouve uniquement dans
un système juridique. A ce moment la c’est cette norme qui s’applique si c’est une
norme du système national. Elle s’appliquera au litige.
 Deuxième situation : cette norme se retrouve dans les deux systèmes juridiques. On
appliquera de préférence la norme européenne sauf si cette norme issue d’un
système juridique extérieur porte atteinte à la C°. Alors dans se cas c’est la norme
national que l’on applique.

Cela s’applique dans plusieurs autre pays. La logique Kelsénienne est progressivement
abandonne au profit d’un logique de réseaux et de conciliation.

- L’homogénéité du système juridique : pour Kelsen les normes étaient homogènes car
système fermé et pas d’influence extérieur. On voit bien qu’avec Arcelor les normes ne sont
plus homogène. Cette critique finalement elle va, elle est la conséquence des système
juridique et l’interaction entre les système. Quand on voit que les système sont ouvert à
d’autre influence, il y a plus homogénéité des normes mais hétérogénéité des normes.
Carbonnier qui n’était pas favorable au droit international n’y au droit européen. Carbonnier
système juridique c’est « une unité d’espace et de temps », il reconnaissait en même temps
que cette unité c’est beaucoup fissurer au cour du 20ème siècle sous l’influence de norme
extérieur et en particulier sous l’influence des normes européenne. Carbonnier par
conséquent propose de distinguer les système monistes = qui sont donc des système sont
relativement unitaire et ce qui garantit l’unité est le principe d’unité. L’unité peut se fissurer
mais elle ne peut pas totalement se disloquer. Pour Carbonnier a côté de ses systèmes
monistes il y a des système pluraliste, il y a un espaces social ou coexiste plusieurs normes de
plusieurs système juridique différents. On a basculé vers un pluralisme politique. Le
pluralisme c’est à la fois une force, une sorte de richesse pour tous les sujet de droit, puisque
l’ensemble des sujet de droit a à sa disposition un ensemble ouvert de norme et plus fermée.
Mirelle Delmas-Marty sa grande théorie qui influence aujourd’hui énormément notre
manière de pensée est de considéré que le pluralisme doit être ordonner, c’est elle qui a
développer le concept de pluralisme développer, c’est une richesse mais a condition qu’il soit
cohérent et permette de construire des choses cohérentes. Pour elle le juge ne suffit pas il
faut que des organisations internationales existe pour ordonner ce pluralisme. Elle n’est pas
contre le pluralisme bien au contraire. Mais elle ne veut pas de pluralisme désordonner.

Ces concepts ont un intérêt pour le système juridique de l’UE :

- L’UE dispose d’outils permettant de crée des normes : au sein de l’UE il n’y a pas que des
normes nationales, mais aussi celle qui sont issue de l’organisation même de l’UE, l’UE peut
créer sont propres système juridique.
- On constatera que ce système juridique européen c’est progressivement autonomiser : à la
fois vis-à-vis des système juridique nationaux et vis-à-vis des systèmes extérieur comme le
système international.
- Grâce à ces deux phénomènes on voit apparaître une forme de constitutionnalisation du
droit de l’UE : évidemment quand on évoque un phénomène de constitutionnalisation cela
renvoit en premier à l’Etat, c’est pour cela que certains se demande ou se sont demander si
l’UE ne serait pas un état, qui aurait une forme particulière. Un état fédérales c’est un états
qui se présente de cette manière on a une entité fédérales c’est l’état et en son sein des
entités fédérés. La différence c’est que seul l’état fédéral dispose de la souveraineté. Olivier
Beaud parle de confédération et dans cela il existe dans certains domaine un Etat ou un
gouvernement centralisé mais surtout dans une confédération les entité la composant
demeure des entités pleinement souveraine.

2. L’évolution de ce système juridique


Les premières communauté on pour particulaire de s’imposait de compétence très étendue =
compétence institutionnelle elles ont des moyens, mais aussi étendu eu point de vue normatif, car
elles peuvent prendre des actes contraignant. On s’interroge sur pourquoi des compétence
étendue ? Car il cherche ou recherche l’efficacité économique principalement. E droit devient un
instrument au service de l’économie. Jean Monnet était proche d’un courant = efficiency law = le
courant de l’efficacité du droit. Il veut que le droit à l’époque contemporaine à comme principale
finalité la liberté des échanges. Monnet essaye d’appliquer les théories de ce courant au droit
communautaire. Les états attendent du transfert de compétence une efficacité économique, pas de
volonté constitutionnelle. C’est le cas dans le cadre monétaire, compétence de l’union sont très
étendue et les compétences les plus étendue sont monétaire, car on considère que la monnaie est le
principal acteur de la monnaie aujourd’hui.

On va constater l’apparition d’un phénomène plus les communauté agissent et adopte de norme plus
les états sont dessaisie de leur propre compétence, toute action communautaire réduit d’autant les
compétences d’action des états, c’est ce que Denys Simon appelle le principe de préemption =
système des vae communiquant Il a constaté cas chaque fois que le législateur communautaire
prenait de nouvelle norme il préempter les compétences national, et limiter l’action des états.

Les organisations européenne vont progressivement changer de nature et elle évolue dans le temps.
A l’origine ont a des organisations principalement à vocation technique et onc la plus part des
normes adopté par les communauté sont celle à vocation technique. Progressivement ce projet
économique et technique va s’orienter vers un projet économique et professionnelle. Le point de
rupture année 9à ou l’on passe des communauté européenne vers l’UE. Dans une union il y a un
projet politique qui se concrétise notamment par la citoyenneté européenne, dans une union
politique on peut dire aussi que les objectif nouveaux. Dans une union politique les états retrouvent
leur compétence moins d’unité que dans une communauté. D’ailleurs dans le préambule des traité
relatif à l’UE il y a une formule selon laquelle l’Union c’est l’unité dans la diversité. On est bien dans le
pluralisme. Ce qu’on voit apparaître avec l’UE c’est des normes à géométrie variable, car tous les
états n’acceptent pas de se soumettre à toute les normes issue de l’UE, au nom de leur diversité. 8
Etats membres ne veulent pas intégrer à la zone euro et donc se soumettre à des normes
économique et donc monétaire.
On est face à un droit plus hétérogène que part le passer, face a un droit de l’UE qui est partiellement
renationalisation. Pour protéger les ambition politique ou les réserves politique des états.

3. La citoyenneté et la protection des droits


fondamentaux
Les normes juridique relative au droit fondamentaux ont une influence considérable sur les système
juridique. Droit fondamentaux = droit de l’homme. Les droit fondamentaux sont devenue de
véritable norme de référence, ont retrouvé essentiellement dans l’ordre constitutionnelle et se sont
des normes aussi qui sont de plus en plus fréquemment invoqué par les justiciable y compris par des
entité moral.

Cour du 22/09/2021 : 11 :00 :


Les tribuns associations pour l’éloquence.

Le passage des anciennes communauté vers l’UE politique c’est concrétiser par la concrétisation
d’une citoyenneté européenne, qui devait symboliser le passage de communauté technique vers une
UE plus technique. 2 précisions :

- Pour être citoyens européen il faut la nationalité d’au moins un état membre de l’UE : le
point de départ est le droit national et pas le droit de l’UE.
- Cette citoyenneté européenne ne se substitue pas à la citoyenneté national : elles sont
complémentaires. En plus de droit politique interne les citoyens qui ont la citoyenneté ont
des droits supplémentaire au niveau de l’UE.

Par conséquent un citoyen est une personne à qui on reconnait un certain nombre de droit et liberté.
Le premier de ses droits, le plus anciens est la liberté de circulation dans l’espace de l’UE et de
pouvoir y séjourner librement. Cette liberté de circulation = liberté de séjourner ; elle n’est pas
absolue mais relative car pour en bénéficier il faut disposer d’un document officielle d’identité devra
être en cour de validité, conditionner au fait que le citoyen dispose bien d’un document officielle en
cour de validité pour rapporter la preuve qu’il est bien un national et qui peut circuler librement.

Deuxième droit conférer au droit européen est un droit politique au sens stricte. Il s’agit du droit du
vote et d’éligibilité à l’élection européenne et municipal fonder sur la résidence (critère) et non plus
sur un critère de nationalité. En pratique un ressortissant allemand vivant à Montpellier peut voter à
l’élection municipal et européenne en France.

Troisième il y a les droit fondamentaux, les citoyens sont titulaires des droit fondamentaux, garantit
et protéger dans le cadre de l’UE.

Enfin, les citoyens européen bénéficie d’une protection diplomatique à l’étranger pas qu’assurer par
leur propre état d’origine mais par tout organe diplomatique membre de l’UE, elle s’étend à tous les
citoyens européen et est garanti par l’UE. Conséquence concrète important, car si on se retrouve
dans une ville est la France n’est pas présente dans cette ville et on est confronter à certaine
difficulté (juridique) en tant que citoyen européen on peut faire appelle automatique de toute
institution organe diplomatique présent dans la région comme celui d’Italie par exemple. Ex : lorsque
les talibans ont pénétré dans la ville de Kaboul la seul ambassade présente c’était la France et pour
évacuer les citoyens européen cela est passer par l’ambassade française. Normalement protection
diplomatique que pour les nationaux mais pas avec l’UE.
La consécration de l’UE a eu une incidence très forte sur le statut juridique des personnes en droit de
l’UE= du point de vue de l’UE il y a plusieurs statut conférer au individus et selon le statut juridique
que dispose l’individu les droit et les liberté conférer au personne ne sera pas identique au sein de
l’UE. On peut identifier 4 statut juridiques classer par ordre décroissant de droit et liberté (du
maximum jusqu’au minimum) :

- Les citoyens européens : ils peuvent prétendre au maximum des droits et libertés
fondamentaux conféré par l’UE. Il faut ajouter les membres de la famille du citoyen qui vont
bénéficier des mêmes droit et liberté fondamentaux quel que soit leur nationalité. En plus du
conjoint on trouvera les enfants dans les membres de la famille.
- Ressortissant étranger en provenance d’un état qui a conclue avec l’UE un accord
d’association : avec des états tiers, Maroc, Liban, Turquie ils vont bénéficier d’une liberté de
circulation + séjourner étendue notamment lorsque cette liberté s’exerce de manière
économique, pour chercher du travail ou exercer un travail.
- Ce sont les ressortissant étranger en provenance d’un état qui non pas conclue un accord
d’association avec l’UE : ils vont devoir expliquer les raisons pour lesquelles ils souhaitent
aller sur le territoire de l’UE et pourquoi ils veulent y séjourner, si c’est un motifs touristiques
cela ne pose aucune difficulté mais difficulté quand on demande un visa pour y vivre de plus
de 90 jours.
- Les personnes qui accèdent au territoire de l’UE pour demander une protection
international : soit en tant que demandeur d’asile ou réfugié, l’UE et les états ont élaboré
une politique commune avec le règlement Dublin mais aujourd’hui est une politique en
crise :
 Mésentente entre les états membres : ils n’ont pas la même vision, notamment des
frontière de l’UE, fermer hermétiquement ou les laissé ouverte. Grande différence
d’approche entre les états aujourd’hui.
 Le fait que l’UE est la première destination pour les réfugié et les demandeur
d’asile : des états développer. La majorité des personnes en déplacement, elles vont
dans des états en développement. L’essentielle des personnes réfugié sont en
Turquie 3 millions de réfugié et au Liban 2,5 million de réfugié. Pression migratoire
qui était conjoncturelle qui va devenir un phénomène structurelle du fait de
catastrophe environnemental et climatique.

Mais a côté de la vision européenne est la question de la protection des droits fondamentaux. Les
droit fondamentaux ont des liens plus complexe avec le système juridique. En droit de l’UE on parle
de droit fondamentaux, ce qualificatif est issu principalement du droit allemand, la constitution
allemande qui est la loi fondamental. Pourquoi fondamentaux, la fondamentalité, ce qui le rend
fondamental c’est que c’est texte sont dans des textes de valeur supérieur = constitution, il est
constitutionnel garantit par une norme constitutionnelle. Un droit est fondamental car il ne s’adresse
pas uniquement à une personne physique, point délicat quand on a des droits de l’homme au sens
de la déclaration des droits de l’homme et citoyen on a des droits rattacher à l’individu personne
physique mais dans le cadre communautaire et européen on a jugé nécessaire d’étendre ces droits à
d’autre personne comme les personne moral. C’est ce qui explique qu’une entreprise en droit de l’UE
peut invoquer des droits fondamentaux, un état peut invoquer certain droit fondamentaux. Ex : en
droit de l’UE des sanctions peuvent être infligé à l’entreprise qui ne respecte pas le droit de la
concurrence. Les sanctions peuvent être des amendes lourdes et les entreprises peuvent contester la
sanction financière en invoquant leur droit privé, domicile privé (locaux professionnelle), article 8 de
la CEDH, le droit à un recours juridictionnelle effectif… Dans la conception classique des droit de
l’homme une personne moral ne peut pas invoqué des droit de l’homme mais dans la conception
fondamental cela est permis. La reconnaissance des droits fondamentaux va entrainer une
constitutionnalisation du droit européen et va entrainer aussi un renforcement de la légitimité
européenne. L’une des critiques majeurs communauté c’est le manque de légitimité qui est encore
une des critiques de l’UE, elle a des compétences très étendue mais elle manquerait de légitimité et
pour combler ce déficit l’UE et les communauté on mit en avant les droits fondamentaux = un
mécanisme de légitimation de la construction européenne. L’organisme européenne peuvent
disposer des pouvoirs puisque dans le même temps elles doivent respecter les droit fondamentaux.

Comment cette protection à émerger en droit de l’UE ? Au départ il y avait un problème important,
une lacune important les premiers traités, ne comporter aucune disposition relative à l’apparition
des droits fondamentaux. Cela peut paraître étonnant, les pères fondateurs ont expliqué pourquoi il
n’était pas nécessaire de prévoir cela, raison principal et secondaire :

- Principal : il existait déjà en droit européen un texte protection des droits = CEDH. Elle est
antérieure au communauté depuis 1950, et donc les pères fondateurs n’ont pas juger utiles
de prévoir à nouveau un texte de protection des droits de l’homme au niveau
communautaire, tous les état membre avec adhérer à la CEDH. Il était inutile de multiplier les
textes de protection.
- Coopération en Europe était une coopération technique et ne soulever pas de difficulté
dans les droit fondamentaux : Les communauté européenne sont des organisations
technique, d’abord crée pour renforcer des liens technique entre les états et ces questions
technique ne soulève pas vraiment de questions sur les droit fondamentaux, les droits
fondamentaux sont importants sur le plan politique.

Mais cette argumentation va s’écrouler et devenir très fragile car certain juge nationaux, et certain
juge constitutionnelle vont considérer que dans leur système juridique national les droits
fondamentaux doivent être protéger quel que soit la source du droit. Quel que soit le régime du droit
ou de la norme, il faut garantir les droit fondamentaux et ces ce que va dire les juge constitutionnelle
allemand et italien au début des année 30, lorsqu’une norme s’applique dans l’ordre interne cette
norme doit respecter les droits fondamentaux, si c’est une loi national c’est évident mais ces juges
constitutionnelle disent que c’est la même chose si la norme est une directive ou une norme
communautaire. La position constitutionnelle est une position parfaitement logique du point de vue
national. Car si les droits fondamentaux ne serait pas garanti en fonction de de l’origine de la norme
il ne pourrait plus être des droits fondamentaux. Le risque c’est que si les juges constitutionnelles
nationaux se mettent à contrôler le droit communautaire sur le fondement de leur propre droit
interne = selon leur propre standard constitutionnelle nationaux le risque c’est d’avoir des solutions
différentes d’un état à l’autre. Hypothèse où les communauté adopte une directive en matière de
PAC imaginons que cette directive impose au viticulteur d’arracher une partie de leur vigne, certain
de ces viticulteurs pourraient considérer que cette directive porte atteinte au droit de propriété et au
droit d’entreprendre. La position de chaque juge constitutionnelle pourra varié, certain considère
qu’elle ne porte pas atteinte et un autre dira que cela va enfreindre les droits fondamentaux de la
personne, la conséquence que le droit communautaire ne risquerait ne plus être uniforme et il y
aurait un disloquement du système juridique européen, dans certain état l’acte peut avoir des effets
juridiques et dans d’autre il n’en aurait plus. Déstructuration du système juridique commun du fait de
cette alerte lancer par les juges européen allemand et italien. L’institution qui va être
particulièrement sensible à cette argumentation c’est la CJUE prend rapidement conscience du
danger que représente ces jurisprudence national mais se retrouve face à un problème en théorie
que l’on ne peut pas résoudre = l’absence de texte, elle n’est pas en mesure elle-même de contrôler
le droit communautaire à sur le fondement des droits fondamentaux, car pas de texte
communautaire des droits fondamentaux. La CJUE est l’un des garants mais de l’autre côté le juge se
trouve démuni car pas de fondement légale ou constitutionnelle de protégé les droit fondamentaux.
La CJUE va faire preuve d’audace dans sa jp sous l’impulsion en particulier d’un juge dans les année
60 qui est Maurice Lagrange, lorsqu’on parle de lacune juridique du CE c’est la technique des principe
général du droit arrêt Blanco. Le juge adm a utilisé a eu recours à cette technique des recours
principe généraux du droit, pas formellement consacré mais que le juge trouve présent dans son
système juridique. C’est la raison pour laquelle cette technique est critiquer utilisé par parcimonie,
elle revient à accorder au juge la faculté de crée du droit avec le fameux risques du gouvernement
des juges (n’existe pas). Maurice Lagrange est l’un des 6 juges de la CJUE et proposent à ses
collègues de faire la même chose au sein de la CJUE permettront ou devrais permettre de
reconnaître des droits fondamentaux dans le système communautaire, qui ne sont pas consacré mais
des droits fondamentaux qui serait inhérent au système juridique communautaire = PGD. Avec une
difficulté supplémentaire c’est que la CJUE est une juridique supranational, même pas de juridiction
suprême mais juge supranational et la légitimité d’agir de la sorte est plus faible que celle du CE
français. C’est pour cela que la CJUE va faire preuve d’une certaine audace, pas que juridique avec les
PGD, mais aussi audace politique en découvrant des normes qui n’existe dans aucun texte
communautaire. C’est tellement complexe pour la CJUE, et sensible politiquement pour la CJUE, les
juges sont donnés par les états, la CJUE va s’y prendre à deux fois, il y a une double jurisprudence
pour instaurer la technique des PGD :

- Arrêt Stauder de 1969 : dans cette arrêt qui est fondateur de la technique en droit
fondamental la cour estime qu’elle est compétente pour appliquer la technique des PGD. Elle
peut ou s’autorise à recourir à la technique des PGD, mais comme dans les arrêts de principe
le juge n’applique pas cette sanction dans le cas d’espèce. Bien reçut pas les états mais aussi
par le juge constitutionnelle allemand, réponse neutre la cour va appliquer ce principe dans
un autre arrêt.
- Arrêt internationale Handellsgesellschaft (IH) de 1970 : la cour est saisie d’une question
relative à la validité d’une directives au regard des droits fondamentaux. La cour dans un
premier temps rappelle la jurisprudence Stauder dans un deuxième temps elle considère elle
applique cette technique au cas d’espèce, estime que la question qui lui est poser appelle
une réponse en termes de droit fondamentaux. Troisième temps la cour indique que pour
appliquer ces principes la cour va s’inspirer des traditions constitutionnelles communes des
états et des dispositions de la CEDH. LA cour s’inspire de deux source principale pour
reconnaître des droit fondamentaux les traditions constitutionnelle communes des état et la
CEDH. Ces traditions constitutionnelle et la CEDH contiennent des dispositions commune à
tous les états. Cela suffit à valider par translation a validé les droits fondamentaux si tous les
pays appliquent les mêmes et de ce fait vont être reconnue dans le système communautaire.
C’est la raison aussi pour laquelle que la cour parle d’inspiration. La cour s’inspire car elle fait
appelée à des normes extérieures à son propres système juridique, mais la cour peut s’en
inspirer car elle n’est pas à l’origine de ses normes, et cela signifie qu’elle ne prend pas sur la
norme elle-même mais tel qu’elle est interprétée par le juge constitutionnelle national ou de
la CEDH. Double avantage il y a une norme et interprété déjà. La CJUE va mettre un filtre
entre ces droits fondamentaux consacrée dans d’autre système juridique et ceux interprété
par la CEJUE se filtre permet de retenir que les droit les plus pertinents pour les système
juridique communautaire, et c’est sur la bases de cette jurisprudence que la CJUE établit un
catalogue jurisprudentielle/ prétorien de droit fondamentaux.

Cour du 24/09/2021 : 8 :00 :


L’attitude actuelle des juges suprême constitutionnelle nationaux ont une résistance vis-à-vis du droit
de l’UE.

La protection des droits fondamentaux reposait sur le travail du juge et on pouvait affirmer que la
protection était casuistique au cas par cas au vue des questions préjudicielle mais pas de protection
constitutionnelle. Pas de texte écrit sur lequel les requérants pouvaient contester le droit
communautaire. On apprenait qu’elle était les droits fondamentaux reconnue vis-à-vis de la CJUE,
mais pas face a une constitutionnalisation de la protection des droits fondamentaux. Il faut attendre
l’entrée en vigueur de Maastricht puisque ce traité va indiquer dans son préambule que l’UE respecte
les droits fondamentaux. Première étape de cette constitutionnalisation des droits fondamentaux,
car référence dans le texte à la protection des droits fondamentaux, mais il reste assez lacunaire car
on ne sait pas qu’elles sont les droits fondamentaux protéger dans le cadre de l’UE, le juge qui
continue a géré le catalogue de droit fondamentaux et on ne sait pas qui doit les respecter. Lors de la
rédaction du traité d’Amsterdam de 1997, le traité prévoit désormais que la protection et le respect
des droits fondamentaux devient l’une des conditions d’adhésion des états à l’UE. Article 6 §2 du
traité d’Amsterdam, un état ne peut adhérer à l’UE que s’il respecte les droit fondamentaux et
ramène plus loin car il y a un article 7 qui prévoit que lorsqu’un état porte atteinte à un droit
fondamentaux au sein de cette état, l’état peut faire l’objet d’une procédure de contrôle et de
sanction qui peut aller jusqu’à l’exclusion de l’état et donc de l’UE. L’article 7 met en place un
mécanisme de contrôle et sanction par les états membres de l’UE. Dans cette article 7 il y a une
dimension contemporaine :

- Pourquoi cette article 7 ? : en Autriche qui vient d’adhérer depuis 1995 il y a eu des élections
législative qui ont vue la victoire d’un partie d’extrême droite Haider en tant que leadeur et
nouveaux chef Autrichien a prit des propos xénophobe et a fait savoir qu’il ne respecterait
pas tout le droit commun et en particulier l’ensemble des droits fondamentaux, ce n’est pas
tous à fait le cas quand il a gouverné. Mais l’arriver d’un partie d’extrême droite en 1997 est
un choque pour l’Europe fait résonner des faits historique qui ne sont pas agréable à l’oreille
des européen et ce mécanisme de sanction finalement est là pour rappeler à l’état leur
obligation y compris en matière de droit fondamentaux.
- Aujourd’hui cette article mis en œuvre contre Hongrie et Pologne : à la demande du
parlement européen. Motif pas les mêmes à l’encontre de la Pologne et de la Hongrie, ce qui
était reprocher à la Hongrie était la liberté d’expression, académique on a des collègues
Hongrois qui ont du mal a enseigner. Population xénophobe. Le gouvernement polonais est
plus subtil, c’est plutôt attaquer à la nomination des juges et plus précisément au juge
constitutionnelle. L’objectif de ces changements de nomination des juges permet de faire
évoluer la jurisprudence interne. La cour constitutionnelle polonaise avait une jp très libéral
et très européenne, mais ne convenais pas au gouvernement conservateur polonais. Ils ont
changé les juges plutôt que la loi. C’est pour cela que deux procédure sont engager une
contre Pologne et l’autre contre la Hongrie. Le problème c’est que l’article 7 est inapplicable,
ce n’est pas un article qu’on peut mettre en œuvre facilement car il ne prévoit que deux
possibilités :
 Commission invite les états à respecter les droits fondamentaux :
 La commission européenne engage une procédure d’exclusion des états :

Mais entre les deux n’y a pas d’alternative. L’invitation est sans grand effet sur les pays car
légitimité interne pour la Pologne et Hongrie. Dans le contexte actuelle post Brexit aucun
état membre n’y les institutions non-envie d’exclure d’autre état car cela pourrait avoir boule
de neige, et ces états non aucune envie n’y intérêt de sortir de l’UE. Hongrie perdrait 98% de
son pouvoir intérieur brut et a peut près pareille pour la Pologne. On est dans cette situation
incertitude qui est paradoxalement intéressant pour ces états, la pression organiser par l’UE.
Perte de légitimité de l’UE car on pourrait et se serait logique, que l’UE ne parvient pas a faire
respecter ses propres droits fondamentaux. Finalement c’est la CJUE qui se retrouve en
première ligne pour sanctionner ses états, depuis 2 ans il y a beaucoup d’arrêt de la CJUE qui
vient sanctionner la Pologne pour ses lois relative à la cour constitutionnelle en considérant
que cela est contraire à l’état de droit. Le fait que la CJUE soit en première ligne arrange tous
le monde, cela évite au EM de l’UE de trop pointer du doigt un autre EM et le risque serait
que l’autre EM se retourne contre le pointeur de droit. La Hongrie et la Pologne ne supporte
pas les prise de position politique car il trouve sa mal vue. Le traité qui place au cœur de la
construction européenne les droit fondamentaux = Amsterdam.

Rédaction d’une charte des droits européen après Amsterdam et la reconnaissance constitutionnelle
de cette charte par le traité de Lisbonne.

La charte des droits fondamentaux texte original car rédigé par une convention qui c’est passer en
2000 composé pour l’essentielle de diplomate et beaucoup d’universitaire. Cette convention présidé
par Valérie Giscard Destin. L’autre originalité de la charte c’est le fait que c’est un texte ambitieux et
complet de droit fondamentaux : dans la plus part des textes relatif au droit de l’homme que se soit
au niveau régional ou international de protection des droits de l’homme on trouve certaine catégorie
de droit fondamentaux ou droit de l’homme. Soit on trouve des droits civils et politique, droit de
première génération, droit de propriété, liberté association et expression soit on trouve à l’inverse
des droits économiques sociaux voire culturelle. La charte et la convention qui ont rédigé cette
charte a pris un autre partie qui vise a rédigé un texte avec droit civil et politique et sociaux et
culturelle. C’est un texte à droit constant car dans la charte aussi on trouve aussi un certain nombre
de droit « nouveaux » droit qui n’existait pas forcément dans d’autre texte ex : article 8 de la charte
qui consacre le droit à la protection des caractère personnelle qui est souvent invoqué dans les cas
d’une vie numérique.

Plusieurs catégorie de droit mais malgré tous dans la charte on ne reconnait pas la même porter
juridique au droit économique et sociaux ont une portée juridique plus limité que les droits civils et
politiques. Les droits économique et sociaux sont des droits créances = impose des droits au
législateur. Le droit d’accéder à un emploi ne sont pas des droits individuelles à proprement parler
cela ne crée pas un droit qui affecte le patrimoine de l’individu mais un droit qui impose une
obligation de faire pour l’Etat, on la retrouve dans la plus part des droits nationaux en France, en
Italie, en Espagne dans la plus part des états membres et la charte reprend cette distinction il y a des
exceptions ex : le droit à la négociation collective est reconnu comme étant un droit individuelle.

A qui s’adresse la charte et qui peut l’invoquer ? Elle s’adresse principalement à l’institution de l’UE,
a tous les organes de l’UE doivent respecter la charte se sont les premier destinataire.
Deuxièmement elle s’adresse au états lorsqu’ils mettent en œuvre les droits de l’UE et donc à partir
de ses deux postulats ont peut en tirer la conclusion que les personnes physiques et moral ne
peuvent invoqué les disposition de la charte à l’encontre d’une institution ou de l’état mais que dans
l’hypothèse ou l’état utilise l’UE à l’encontre d’un particulier. Dans les autres hypothèses il ne peut
pas invoqué les dispositions de la charte et invoquera les dispositions de droit interne.

Dans la charte des droits fondamentaux un certain nombre de droit et liberté sont consacrer par la
liberté des droits de l’homme on retrouve ces droits dans la CEDH et on parle de droit
correspondant. La CEDH est antérieure à la charte. Il y a une disposition prévue dans la charte article
52§4 prévoit que lorsqu’on invoque un droit correspondant (prévue dans la charte mais présent
dans la CEDH) il faut que la CJUE retiennent la même interprétation que la CEDH. Il faut que la CJUE
prenne appuie sur l’interprétation des droits de l’homme. Le risque c’est qu’avec l’enchevêtrement
des système juridique il y est des jp différente entre la CJUE et la CJ, préjudiciable pour les Etats.
Cependant si les deux jurisprudences sont divergentes le juges interne soit condamner par la CEDH
par violation de l’article 8 car elle aurait retenue une mauvaise interprétation. Pour éviter que les
états engager dans les deux systèmes juridiques de la convention il faut a tout prit éviter les
divergences de jp, a la fois pour les Etats et pour les requérants. C’est une insécurité juridique, pour
essayer de régler une bonne fois pour toute ces questions de la divergente ou les risques lié a la
divergences de jp, le traité de Lisbonne à prévu à l’article 6 TUE l’UE adhère à la CEDH. Pas de
conditionnalité elle doit adhérer à la CEDH. Suite à l’entrée du traité de Lisbonne de 2009 des
discussions on eut lieu entre CJUE et CEDH, l’idée que on soumettrait l’ensemble des institutions de
l’UE au respect de la CEDH. Et quand on soumet l’ensemble des institutions de l’UE on comprend
aussi la CJUE. L’idée est que l’on va éviter tout risque de divergence entre les juges car dans
l’hypothèse ou la CJUE qui adopterais une jp contraire à la CEDH on peut introduire une requête
devant la cour de Strasbourg à l’encontre de l’UE. Si l’UE qui a la personnalité juridique adhère à la
CEDH il n’y a plus de risque de divergence de jp, car si l’UE adopte réponse différente on peut
contester cette divergence devant la CEDH. Ce projet qui a demander un très longtemps de
négociation, complexe sur le plan technique et politique à aboutit à un projet d’adhésion soumis
pour avis à la CJUE a rendu son avis qui est l’avis 2/13 du 18 décembre 2013. En conclusion la CJUE
répond que ce projet d’adhésion est incompatible avec les projets de l’UE, ce projet d’adhésion
placerait la CEDH comme la juridiction suprême de l’UE. Par conséquent ce mécanisme est
incomptable avec le droit de l’UE. Il y a deux manières de lires cette avis :

- Première lecture (approche) : purement juridique et technique.


- Deuxième lecture (approche) : Jean Paul Jaquet, politique c’est que la CJUE veut conserver
son devenir et son devoir et qu’elle ne veut pas que la CEDH vienne voler la possibilité
d’interpréter le droit de l’Union. Et la CEDH la très bien interpréter de cette manière-là, elle a
fait savoir quelque temps après qu’elle allait faire très intention lorsqu’il allait s’agir du droit
de l’UE et qu’elle allait les laisser interpréter le droit de l’union.

Aujourd’hui les négociations sont interrompues et devait reprendre au début de l’année 2020 mais
pandémie, on est sur l’idée de reprendre les négociations.

Exemple : CJUE du 16 juillet 2020 Schrems (Facebook) : Maximilien Schrems est celui qui a le mieux
compris le fonctionnement de la charte, il est Autrichien c’est un juriste et s’intéresse au question du
droit au respect des données personnelles. Il a fait ses études en Irlande, en Irlande il y a le siège
social de Facebook, de google, d’Apple. Il considère que la protection de la vie privé et des données
personnelles de ces réseaux n’est pas assurer, car toute ses données sont transférées
automatiquement sur des serveurs américain. Or pour Schrems les USA n’ont pas le même niveau de
protection que l’UE. Il a engager de multiple action contre Facebook en particulier, aujourd’hui c’est
son 17ème arrêt Schrems. Cette jp a eu deux conséquences majeurs pour l’Europe et notre droit a
nous utilisateur de réseaux sociaux :

- Le fait qu’a la suite des interrogations faite par Schrems la CJUE a considérablement
renforcer la protection des données personnelles en Europe : la CJUE est la plus protectrice
et c’est le cas dans le monde. Devient le moteur la tête de pompe en considérant qu’il y a des
risques avec l’intelligence artificielle, pour le respect de la vie privé voire de la liberté
d’expression. Cette question c’est posé par rapport au compte Twitter de Trump.
L’intelligence artificielle ne fait que rajouter une couche sur la protection des données à
caractère personnelle. La CJUE a décider de protéger de manière préventive la protection des
données à caractère personnelles
- Les USA et UE avait conclue un accord de transfert de donné automatique entre les deux :
l’UE et la commission européenne considérant que le transfert pouvait être automatique
sans contrôle car elle estimait que les USA prévoyait un niveau de protection satisfaisant
équivalent à celui de l’UE. Dans un premier arrêt Schrems d’octobre 2015 elle annule ce
traité international en disant que les USA n’ont pas de législation en matière de protection
des données a caractère personnelles, ont peut pas dire que les USA assure le même niveau
de protection que l’UE. La commission a renégocier un nouvel accord avec les USA et les USA
se sont doté d’une loi a la suite de l’arrêt. Schrems à introduit un recours en disant que ce
nouvelle accord international ne protéger pas assez le droit à la protection des données à
caractère personnelles surtout article 8. On a adopté une lois mais les services de
renseignement américain ne sont pas soumis à cette réglementation et ce n’est pas égale en
Europe car les système de réglementation son soumis à cette réglementation. Le 16 juillet
2020 annulation de l’accord car la protection n’est pas la même et pas équivalente et
maintenant CJUE oblige toute société national de contrôler les flux de donnée qui parte de
l’Europe vers les USA. Il y a des milliers de pages sur la jurisprudence Schrems. Schrems et
un autres mec font évoluer les données a caractère personnelles sur le numérique.

A travers la jp Schrems la charte à un impacte international car dans les affaires Schrems ce n’était
pas le niveau de droit en Europe mais au USA et la jurisprudence Schrems obligent les USA à assurer
un niveau équivalent a se que garantit de l’Europe a risque que l’Europe interdise certains transfert
de donné. L’UE impose sont propre modèle numérique ou propre modèle de protection à caractère
numérique. Grâce à un certain nombre de requérant et du travail fait par l’UE est à la pointe de se
droit. Tout cela est rendu possible, facilité par l’inclusion de ce droit dans la charte a permis que la
cour obtienne une protection des données à caractère personnelles.

Cour du 29/09/2021 : 11 :00

4. BREXIT : La variabilité de l’Europe


L’UE peut être qualifié à la fois d’ambitieuse et de complexe :

- Ambitieuse : car état ont accepter de transférer des compétences des Etats vers l’UE. Cela
signifie que les Etats acceptent que l’UE aujourd’hui exercent des pouvoirs très étendue. Il y
a une ambition que les Etats cherche a réalisé au sein de l’UE, organisation avec ambition
très large. Ces compétences s’exercent dans des domaines très varier ex : environnement,
social…
- Complexe : plus les compétences étendue et domaine varié plus il va être nécessaire de
disposer d’instrument complexe et y a donc une complexité a la fois institutionnelle, pour
agir faut des institutions. Et complexité juridique. Il y a un foisonnement des sources
juridiques et système juridique complexe qui est mis en place. Car on ne peut pas avoir de
l’ambition sans sent donné les moyens. C’est le contre poids de l’ambition.

Evolution est évidente mais pas tout à fait linéaire car il y a un cassure dans l’évolution des
organisations européennes avec Maastricht = abandon de la « logique communautaire ». Maastricht
c’est la fin séparation Est-Ouest en Europe, fin division et la volonté des Etats Centrale et Oriental de
rejoindre la construction européenne. Au début année 1990 les chefs d’Etats et gouvernement
réfléchissent à la manière de poursuivre la construction européenne, toute négociation qui préside à
l’élaboration du traité de Maastricht. Possibilité :

- On reste sur des organisations limitée à l’économie et au social : on reste sur le domaine
ancienne communauté. Cela à une conséquence car on continue à avancer tous ensemble au
même rythme. Mais ce projet la pas retenue car le juge n’est pas assez ambitieux, projet pas
à la mesure de l’ambition historique, pas réponse suffisante face à la fin de la guerre froide.
- L’UE : c’est le deuxième projet. L’UE ce n’est pas qu’un mot, un symbole on va transformer
les anciennes communauté en un espace politique beaucoup plus ambitieux. UE ne sera pas
qu’une organisation technique mais aussi politique. Ces cette ambitions qu’attende les Etats
d’Europe Occidental et Oriental. Ce qui intéresse les états est de participer a un projet de
protection des droits de l’homme, démocratie, séparation des pouvoirs. Politiquement les
Etats attendent de rejoindre un espace de liberté politique et l’UE à travers le traité de
Maastricht leur offre un projet politique plus ambitieux. Mais cette nouvelle ambition a une
contrepartie, c’est que tout les Etats n’accepte pas de participer à toute les politiques de
l’UE. Ex : RU qui ne veut pas abandonner sa monnaie pour une autre, ou de participer a la
coopération en matière juridicier et pénal. C’est à travers de cette contre partie qu’on peut
parler de cassure avec le modèle antérieur. Car avant méthode des petits pat et à partir l’UE
on avance plus vite et les Etats retrouvent une certaine liberté, marge de manœuvre, Etat
plus obligé de participer a toute les politiques en même temps. Il faut trouver des outils
juridiques qui traduisent en quelque sorte le fait que les Etats ne vont plus avancer au même
rythme. Dans le traité faut des dispositions matérialisant cette variabilité.

Dans le traité on trouve 3 instrument juridiques :

- Principe de subsidiarité : principe juridique, qui devient essentielle dans l’UE. Il veut qu’on
cherche d’abord à agir sur le plan national et lorsqu’il n’est pas possible d’agir sur le plan
national, ou action sur le plan national pas efficace qu’on pourra agir au niveau UE.
- Les clauses d’opt-in/out : clause optionnelle, clause juridique qui propose aux Etats des
option au profit de l’Etat. L’Etat peut choisir l’option in (on participe à la politique) ou être
out (en dehors de l’exercice d’une politique commune). Ex : zone euro. Permet au Etat
d’accepter ou non d’exercer en commun à certaine politique. Cette instrument politique ne
vaut pas pour toute les politiques européenne, mais que pour certaine politique car d’autre
politique nécessite une participation de tous les Etats membres.
- La coopération renforcées : ce qui permet à des EM qui le souhaite d’aller plus vite que les
autres, de réalisé plus vite que les autres certains objectifs. Il faut réunir au moins 9 EM, ce
ne peut pas être l’idée d’un Etat. Il faut que la commission européenne accepte cette
coopération renforcée se principe. Elle doit juger que la coopération renforcé est pertinente.
Il faut que cette coopération reste ouverte à tous les autres EM. Permet d’éviter de
constituer des clubs d’Etats fermés. Ex : création du parquet européen idée ancienne, l’idée
de mettre en place un procureur qui agirais au nom et pour le compte de l’UE et qui serait en
mesure de poursuivre un certain nombre d’infraction au non de l’UE, procureur européen,
dans le domaine pénal. Il poursuit les infractions de corruption de la part de fonctionnaire
mais aussi beaucoup du point de vue de la lutte contre le détournement de fond publique
européen. Il est entré en fonction le 1 janvier 2021. Cela fait des années qu’il y a en quelque
sortent des discussions tendue entre EM sur l’opportunité et nécessité de crée un parquet
européen, Etat favorable comme Allemagne et France et d’autre réticent pour des raisons
politiques car estimer que la justice pénal relève de la compétence régalienne de l’Etat et
qu’on ne peut pas donné à l’Etat des compétences régaliennes. Un certain nombre d’Etat on
décider de faire une coopération renforcé permettant de crée un parquet européen d’où
l’entrée en vigueur de ce parquet européen avec 21 EM qui y participe. Les Etats qui n’y
participe pas encore aujourd’hui exprime de plus en plus le souhait d’y contribuer, de la
rejoindre. La coopération renforcé à un effet d’entrainement.

La variabilité de l’Europe rupture que constitue le traité à pour principal effet à obligé les Etats a
prévoir des mécanismes nouveaux mais variabilité à aussi des conséquences politiques. L’une des
conséquences politiques majeur c’est que l’UE va devenir un objet de débat politique au sein des
Etats. Quand organisation technique sa n’intéresser pas les citoyens. A compter du traité de
Maastricht on crée un espace européen et donc cela nécessite des discussions au niveau national et
européen et qu’une partie des citoyens sont hostiles ou exprime des craintes vis-à-vis de l’UE. Prof :
qu’on voit apparaître des craintes vis-à-vis de l’UE est légitime même si pas fonder, car l’UE va
étendre son emprise sur la vie politique des citoyens. Le fait de crée une nouvelle organisation
politique permet de crée des réserver franche hostilité, cela c’est vu sur le référendum pour le traité
constituant une constitution pour l’Europe en 2005. Peut être que l’effet le plus évident et critique
c’est le Brexit.

Le Brexit exprime les craintes et hostilité à l’égard de l’UE. Il y a deux choses :

- Des 1975 le RU fait son premier référendum sur l’appartenance au communauté


européenne : RU a adhérer en 1973. 1975 le référendum a une majorité de citoyen ne
veulent pas sortir des CE. Ce référendum va marqué esprit de l’élite politique britannique,
toujours résistance dans l’élite britannique pour la construction européenne.
- En 2004-2005 lorsque le traité constitutionnelle européen est discuté, négocié, Valérie
Giscard Destin dit qu’on devrait introduire une nouvelle clause juridique dans le traité qui
serait une clause de retrait. « Jamais de mariage sans divorce ». En 2004 pas anticiper la crise
économique a venir et la montée en puissance de l’extrême droite au RU et le UKIP qui
voulait retirer le RU de l’UE. Il n’a pas anticipé la politique de James Cameron durant son
gouvernement car il va jouer a un jeux très dangereux qui lui explose à sa figure, en tant que
chef du gouvernement britannique il a dit que l’UE est le diable et l’enfer, tous les problèmes
viennent de l’UE, et il dit qu’il faut voter pour rester dans l’UE. Les citoyens britanniques
retiennent que le RU va être envahit par les étrangers. 16 juin 2016 une majorité de citoyen
britannique vote pour le retrait du RU de l’UE.

Article 50 du TUE prévoit une procédure de retrait. Pour activé cette clause, il faut une lettre officielle
de l’Etat, l’Etat doit officiellement connaître son souhait de se retirer de l’UE, le gouvernement devait
avoir le souhait et le dire de se retirer de l’UE. Lettre transmise au Conseil européen et Commission
européenne. A partir de cette envoi des négociations vont débuter, elles ont un double objet :

- Une partie porte sur la période transitoire : période des négociations qu’est-ce qu’on fait ?
- L’autre partie porte sur l’avenir : les relations entre l’UE et l’Etat quand il sera définitivement
parti.

Elle durera 2 ans. Le BREXIT a montrer que cette durée est trop courte surtout si l’état est important
d’un point de vue économique et politique, car faut renégocier point par point les accord
diplomatique, économique, politique… Ila fallut 4 ans pour négocier un accord qui est encore très
fragile à l’heure actuel. Le RU c’est retirer définitivement le 31 janvier 2020 mais l’accord est très
fragile. Et va probablement suscité des contentieux.

Premier point : entre le moment ou le RU voulais partir et le moment de ce départ il y avait 4 ans et
au cour de ces 4 ans il y avait beaucoup de question soulever au cours de ces 4 années surtout sur la
pertinence et l’intérêt de se retirer de l’UE. A tel point cas un moment donner certain député
écossais avait demander au gouvernement britannique de retirer la lettre envoyais a l’UE.

Question juridique et technique : Est-ce qu’un EM de l’UE peut revenir sur sa décision de retrait ? Car
on a un acte qui produit des effets juridiques. Le gouvernement britannique disait non au regard des
traités, un fois qu’on a adressé cette décision à l’institution européenne on ne peut pas revenir
dessus. C’était aussi la position des institutions de l’UE. La commission européenne avait fait savoir
qu’un Etat ne pouvait pas revenir sur sa décision de revenir dans l’UE, mais a partir du moment ou
l’Etat a décider de ce retirer il peut plus revenir sur sa décision. [ L’interprétation européenne stricte,
car les négociations avancer très mal avec le RU et la commission européenne mener les
négociations et la commission commencer à perdre patience et c’était un moyen de dire au RU
d’aller jusqu’au bout]. Face a cette incertitude possibilité de trouver une interprétation unique les
juges britanniques ont renvoyais une question préjudicielles à la CJUE en lui demandant « lorsqu’un
Etat a décider de ce retirer est-ce qu’il peut revenir sur sa décision ? ». Heureusement que la CJUE est
là pour tempérer, arrêt CJUE en assemblée plénière Wightman 10/10/2018 (C-621/18) de la CJUE. La
cour dans le premier considérant de principe rappelle une évidence c’est que dans un système
juridique international l’Etat se voit attribuer la souveraineté et cela lui permet de ce qu’il souhaite
faire. Il s’impose a tous acteur des relations internationales. La cour rappelle que pendant toute la
négociation de retrait l’Etat reste un EM. Empêcher un EM de rester dans l’Union c’est absurde. Rien
n’empêche l’Etat sur le plan constitutionnelle et national d’exprimer une autre volonté. Cette idée
politique et cette discussion se traduise par l’idée que si un Etat souhaite revenir sur sa décision se
n’est pas à l’UE de lui dire qu’il n’est plus membre de l’Union, mais l’Union n’a rien a faire dans le
fonctionnement des règles constitutionnelles de cette Etat.

Deuxième point : plusieurs problème qui se pose dans le cadre de la gestion de cette accord mais le
problème majeur est celui du problème irlandais. Irlande du nord fait partie du RU. Accord de Belfast
= le RU a accepté une sorte de réunification en Irlande. C’était la condition fondamental posé par
l’IRA pour déposer les armes. Dans l’accord sur le BREXIT il fallait savoir ce qu’on faisait de l’Irlande
du Nord qui pour le RU sortait de l’UE avec le RU. Si Irlande du Nord sort on remet une frontière dans
l’Irlande. Le gouvernement irlandais à dit pas question, d’abord car on réintroduit une frontière qui
pose un problème pour les échanges et le gouvernement irlandais disait que l’IRA reprendrais les
armes et publie un communiquer si y a réintroduction d’une frontière il reprenne les armes pour
demander l’indépendance total du territoire. Problème pratique et politique majeur. Au début le RU
à beaucoup jouer sur cette discussion car elle voulait affaiblir les discussions sur cette question. Il
s’est passé tout le contraire, les 26 EM de l’UE on prit faite et cause pour la république d’Irlande sans
que ce soit négociable, pas de frontière. On proposait de laisser ouverte la frontière entre Sud et
Nord de l’Irlande et que la frontière soit déplacée à l’extérieur le long des côte avec le reste du RU.
Finalement quand le RU a signer l’accord pour l’avenir il a accepter cette solution à regret mais en
voyant que l’européen ne lâcher rien et surtout pas la république d’Irlande. Accepter contraint et
forcé. Le 16 septembre 2020, le premier ministre britannique dit que le RU ne respectera pas cette
clause de l’accord et veulent réintroduire des pôles de contrôle sur l’ancienne frontière et une
juridiction est saisie pour savoir si le RU respecte la clause ou non.

Souveraineté de l’Etat crée du pouvoir mais aussi de l’insécurité juridique.


Partie I : Les fondements
juridiques de l’Union européenne
Une fois le système juridique crée il faut l’alimenter et le faire fonctionner juridiquement. Pour faire
fonctionner se système juridique les Etats vont donc transférer souverainement un certain nombre
de compétence à l’UE et plus précisément il transfère ses compétences à des institutions et organes
commun et vont pouvoir a la fois adopter du droit, crée du droit et vont pouvoir aussi interpréter et
appliquer le droit existant. Quand on parle de transfert de compétence il faut résonner : transfère de
compétence vers institution ou organe qui l’interprète, l’adopte et l’applique.

Cour du 01/10/2021 : 8 :00 :


Le cadre politique et normatif il n’a pas beaucoup changer a travers toute cette évolution de l’UE, au
centre il y a trois institutions principales :

- Commission européenne :
- Conseil UE :
- Parlement européen :

Qui est le triangle institutionnelle. Dans le cadre des rapports entre ces trois institutions joue un
principe fondamental qui est celui de l’équilibre institutionnelle qui signifie précisément non pas une
séparation des pouvoirs, car ce principe de séparation des pouvoirs pas reconnue et consacré,
équilibre institutionnelle n’a rien a voir avec cela, mais ce principe signifie que les traités on attribué
un certain nombre de compétence a ces institutions qui peuvent revendiquer un certain nombre de
traité découle du texte constitutionnelle de l’UE, les traité on souhaiter établir un certain équilibre
des intérêts entre ses institutions. Les Etats décident de cette équilibre car ce son eux qui rédige et
ratifie les traité. On peut percevoir la différence majeur qu’il existe entre séparation des pouvoirs et
principe institutionnelle : principes intangible dans une démocratie qui n’évolue pas. Mais principe
équilibre institutionnelle est évolutif on le voit quand on étudie la construction européenne =
construction communautaire. On constate que cette équilibre n’a pas toujours était le même entre
les 3 institutions. Dans le cadre des premiers traité l’équilibre était plutôt en faveur de la haute
autorité dans une deuxième période du traité de Rome jusqu’à Amsterdam l’équilibre a très
fortement pencher du côté de l’UE et depuis Amsterdam la représentation des état demeure très
forte mais elle va être rééquilibrer au profit du parlement européen qui va acquérir des compétences
très étendue on est dans un équilibre déséquilibrer qui est fluctuant = Etat qui le fait quand révise les
traité. Le fait que les traités sont rééquilibrés le triangle au profit du parlement = signe de vitalité
démocratique.

Ces trois institutions sont au centre de la construction européenne car elle produise du droit,
principal institution productrice de norme. Surtout ces actes son adopté selon des procédures
particulière qui viennent encadrer le travail de ces institutions = travail normatif. Les procédures elle-
même ont une incidence sur l’équilibre institutionnelle. Ex : lorsqu’on parle de la procédure
législative consultative ne fait intervenir le parlement que d’un point de vue consultatif, que pour
donner un avis et non pas pour adopter l’acte. Cela signifie c’est que dans un certain domaine on va
vouloir accorder plus de pouvoir au Conseil qu’au parlement. Mais si on la regarde avec procédure
législatif ordinaire, ou procédure d’approbation dans le cadre de ces deux procédures le Conseil de
l’UE ne pourra pas adopter l’acte juridique tant que le parlement ne sait pas prononcer en sa faveur,
il faut qu’il adopte ou approuve l’acte pour qu’il rentre en vigueur. On peut tirer le même type de
conclusion que pour les autres procédures, la procédure ordinaire rééquilibre les pouvoir entre le
parlement européen et le conseil de l’UE.

Chaque institution se voit reconnaître un certain nombre de pouvoir qui dépendent de ce que les
états veulent faire, volonté des Etats = construction européenne est une construction d’Etat. Très
difficile d’essayer de s’échapper de s’autonomiser de cette volonté. Avec l’accroissement de l’UE,
compétente dans des domaines large et complexe ex : politique migratoire, protection donner à
caractère personnelle, changement climatique, avec extension des prérogatives de l’UE et la
complexité normative il c’est produit cas côté du cadre institutionnelle on a vu émerger des organes
technique qui aujourd’hui joue un rôle extrêmement important qui sont al plus part du temps des
agences = certaines agence porte un nom comme Europol, Frontex… Aujourd’hui il y a une trentaine
d’agence européenne. Les institutions principales ne sont plus capables de gérer l’ensemble des
domaines, ou d’intervenir dans l’ensemble des domaines de l’Union et il faut crée des outils
nouveaux qui sont ses agences européennes avant ont appelle cela le fonctionnalisme
communautaire = fonctionnalisme européen. Ex : tant qu’il n’y avait pas de coopération policière elle
était gérée par la commission et conseil de l’UE, puis quand a partir des accord de Schengen début 80
et surtout 90 de mettre en place une procédure de police et d’enquête sur le territoire la commission
et le Conseil de l’UE démuni et on a crée des outils permettant d’exercer une police effective avec la
création d’Europol et dans le même temps on a créé Eurojust = réunion de magistrat du parquet au
niveau européen. La création de ces agences c’est la plus grande efficacité dans l’accomplissement
de certaine chose. Le point négatif ou les points négatifs est le manque de transparence (Beugue). Le
parlement européen avait soulever des problème lié au financement de ces agences en considérant
que le budget pas assez transparent, aujourd’hui question a peut près régler, mais ce qui reste
encore très présent c’est le fait que ces agences sont susceptible en quelque sorte de porter atteinte
a l’équilibre professionnelle car les agence agisse, principalement au profit des états et donc au profit
des institutions intergouvernemental, parlement et commission très peut de prise sur le budget
européen et ce travail se fait plutôt avec ou au côté du conseil de l’UE qu’au côté des autres
institutions. Sur les agences européennes = pouvoir normatif et responsabilité juridique de ces
agences. Dans une union de droit les institutions sont obligées, tenue de respecter les valeurs de
démocratie mais aussi droit de l’homme et pour s’assurer que les institutions respectent bien cela il y
a un certain nombre de mécanisme qui s’exerce à l’égard des institutions, la CJUE joue le rôle
institutionnelle. Qu’elle soit conforme au valeur de l’Union et au droit fondamentaux dans certain cas
il est très difficile d’engager la responsabilité de ses agences ou de s’assurer que ces agences
respectent bien les droits fondamentaux. Ex : Frontex : chargé du contrôle et sécurité des frontière
extérieur de l’UE, ce n’est pas une agence normative et les texte ne prévoit pas l’adoption de texte
ou d’acte c’est plutôt une agence opérationnelle, mène des contrôle sur les frontière maritime et
terrestre. Frontex n’adopte n’y de règlement, de décision, n’y de directive. Que ce passe-t-il si une
personne souhaite engager la responsabilité de Frontex ? l’engagement de cette responsabilité est
très difficile voir impossible. Les vois de recours prévu par les traités ont était imaginer et prévue
pour contester des actes et des normes. Les personnes visé par ces actions mener par Frontex ne
dispose d’aucune information par rapport à leur droit fondamentaux, Frontex n’a pas prévue de
mécanisme pendant très longtemps garantissant une protection sur leur droit fondamentaux. Dans
l’UE il y a un certain nombre de mécanisme démocratique ou relevant principe état de droit et son
relativement bien respecter et contrôler lorsqu’il s’agit des institutions principales mais devient plus
difficile à l’égard agence européenne alors qu’elle joue un rôle fondamental.

Présentation sommaire des institutions de l’UE :


Le conseil européen et le conseil de l’UE : ces deux conseils ne sont pas composés de la même
manière et non pas les mêmes fonction. Les deux sont très lié.

- Conseil européen : composé chef état et gouvernement, président du conseil européen,


président de la commission cela peut créer des tensions ex : Sofa gate. Et plus haut
responsable politique de l’Union, c’est fonction non pas changer depuis sa création en 1874,
c’est probablement l’institution la plus stable depuis sa création en 1874, il a deux fonctions
majeurs :
 Régler les différents politiques entre états membre :
 Rôle d’impulsion d’orientation de la construction européenne :

Ce qu’il faut retenir c’est qu’il n’a jamais eut et n’a toujours pas de pouvoir normatif, pouvoir
politique. Les traités actuel prévoit que le Conseil européen n’a pas de pouvoir législatif = ne
participe pas à l’adoption des actes.

- Conseil de l’UE : composé de ministre, ancien conseil des ministres. Cette composition
variable, change de semaine en semaine voire en cour de semaine puisqu’elle est liée au
domaine d’activité concerner par l’adoption des actes. Composition pas fixer de façon
définitive par les traités. Dans sa tâche le Conseil de l’Union est assisté par des hauts
fonctionnaires européen et en provenance des EM mais assister aussi par tout un tat
d’organe politico adm. Le Coreper = comité des représentants permanent, sorte
d’ambassadeur attaché au conseil. Différence de composition est lié à la différence des
fonctions. Cette institution dispose des pouvoirs les plus étendue d’un point de vue normatif.
Pck il est le détenteur du pouvoir législatif ordinaire. Aucun acte de l’Union ne peut pas être
adopter sans son consentement. Il détient aussi l’essentielle du pouvoir exécutif. C’est lui qui
détient le pouvoir exécutif de droit commun, il délègue une partie du pouvoir exécutif à la
commission et au états membres, ce qui en pratique exécute les actes de l’Union
européenne ce son soit commission européenne ou EM. Il approuve les traités
internationaux avec un tiers et doit adopter se traité. Le Conseil de l’UE dispose de la quasi-
totalité des prérogative normative dans l’Union se qui n’est pas le cas pour aucune autre
institution. Le Conseil de l’UE représente intérêt des EM, sauvegarde intérêt des Etats, il est
naturel au regard d’une organisation internationales ce qui prévaut est la souveraineté et
primauté de l’Etat.

La commission : elle est composée de commissaire 27. Il y a des vice-président, le plus important est
le premier vice-président. Institution la plus original de l’Union européenne, par sa composition aussi
car composé de technicien qui sont aussi de haut fonctionnaires, reposable politique, forte
politisation de l’Union, compétence spécifique comme si on les demander a de haut fonctionnaire. Sa
composition n’est pas complètement politique, les composant de la commission doivent avoir des
qualité qui doivent être démontrer avant d’être nommé au poste de commissaire. C’est pour cela
qu’elle est régulièrement attaquée car elle a du pouvoir mais n’est pas vraiment démocratique. Prof :
pas institution démocratique et c’est ce qu’on toujours voulus les états et en particulier père
fondateur de l’Europe comme Jean Monnet qui se méfier de la politique et du peuple. Jean Monnet
estime que si l’on veut que la construction européenne fonctionne faut pas trop mettre les citoyens
dedans car les citoyens vont critiquer, rien comprendre et se méfier aussi des responsables
politiques. Il disait que pour agir vite il faut avancer avec technicien du droit et économique. Cette
vision des choses est devenue impossible de la défendre aujourd’hui. Pour modifier le
fonctionnement de la Commission on a changé le modèle d’élection des commissaires. Au départ
nommé par chef Etat et gouvernement de façon discrétionnaire maintenant la procédure des
commissaires européen sont nommé conjointement par les deux conseil et de l’autre par le
parlement européen. L’approbation renforce la légitimité de l’institution qui reste original car pas
que composé de responsable politique mais plus politico-adm. Ce qui est original aussi c’est que
contrairement à toute les autres institutions elle est la seul a avoir perdu du pouvoir, institutions qui
a bien moins de prérogative aujourd’hui qu’elle en avait lors de la création de la CECA en 70 ans la
commission européenne (avant Haute autorité) a perdu beaucoup, beaucoup de pouvoir. Car les
Etats voulaient récupérer des compétences, plus elles ont transféré des compétences à l’Union plus
elles ont cherché à encadrer ces compétences, deux mouvement parallèle plus les Etats transfère des
compétence et plus il renforce cadre environnemental. Malgré tout la commission apparaît comme
étend l’institution centrale, décalage par conséquent il peut s’expliquer par le fait que la commission
européenne a pour fonction de sauvegarder l’intérêt général de l’Union. C’est la raison pour laquelle
la Commission est appeler la gardienne des traités, donc gardienne du droit, gardienne
constitutionnelles. Elle n’est pas la pour défendre intérêt des états n’y véritablement pour défendre
l’intérêt des citoyens. Elle défend respect des traité et intérêt général européen. D’abord elle dispose
d’un quasi-monopole dans les proposition d’acte juridique, elle propose l’adoption d’acte juridique
au conseil de l’Union et au parlement. Ce n’est pas une institution législative. Gardienne intérêt
général car contrôle activité des Etats et d’un certain nombre d’opérateur elle s’assure que les Etats
que d’autre entreprise ou opérateur respecte bien le droit de l’UE. Lorsque les Etats ou opérateur ne
respecte pas obligation européenne, la commission peut engager des recours devant la CJUE. Elle
négocie mais ne conclue pas la plus part des traité internationaux au nom de l’UE. L’on peut retenir
c’est que malgré tout les prérogative sont beaucoup plus faible car l’essentielle des prérogative
normative sont entre les mains du parlement et du conseil de l’UE

Parlement : 705 députés majorité de centre et centre droit, jamais évolué depuis les premières
élections du parlement. Au départ composé de représentant nationaux, député et sénateurs élue au
niveaux Nationals qui siège à l’assemblée parlementaire. Alors cas partir de 79 le parlement est élue
au suffrage universel direct tous les 5 ans. Mais a l’inverse dans un premier temps le parlement
européen ne disposait que de pouvoir consultatif, que dans certain domaine. Alors que
progressivement au nom du renforcement les pouvoirs du parlement ne cessent de s’accroître et
pareille sur le plan international et ces pouvoirs sont accrue pour faire en sorte que parlement
européen deviennent colégislateur de l’UE. On est passé de fonction consultative a des fonction
législative. Le parlement insiste souvent sur le respect des droits et liberté fondamentaux.

Cour du 6/10/2021 :
Les traités prévoient aussi l’existence de deux autres institutions pas politique car mission
particulière :

- Banque centrale européenne : elle intervient uniquement dans le cadre de l’Union


économique et monétaire = zone euro composé de 19 états membres. Elle fonctionne grâce
à un conseil des gouverneurs qui réunit les gouverneurs des banques centrale national et un
directoire organe de direction avec un directeur général et à l’heure actuelle c’est une
directrice Christine Lagarde. Elle garantie la sécurité et la stabilité économique dans la zone
euro et conduit la politique monétaire commune. Elle peut adopter du droit et des actes
juridiques contraignant pour les Etats.
- Cour des comptes européennes : dans la mesure ou l’organisation dispose d’un budget
propre annuelle de l’ordre de 153 milliards €, autonome, propre elle doit vérifier la sincérité
des compte et la transparence du budget de l’UE. Fonction classique des cours des comptes.
Elle n’a pas de pouvoir normatif contraignant, adopte des rapports annuelle mais se sont des
rapports d’information d’abord la pour communiquer et garantir la transparence d’un point
de vue budgétaire au sein de l’UE.

Il existe des accords inter-institutionnelle, adm conclue entre certaine institution entre le triangle
institutionnelle et au sein de ce triangle son conclue accord institutionnelle permettant de clarifier la
répartition des compétences entre ces institutions, meilleurs fluidité institutionnelle, permet que la
collaboration fonctionne normalement et sans résistance.

Chapitre 1 : L’exercice des compétences de l’Union européenne

L’UE est une organisation international d’un type particulier mais reste OI et comme toute les OI l’UE
est fondé sur un certains nombre de traité, on parle de traité institutifs et il y a des dispositions qui
prévoit les compétences que les Etats accepte d’attribuer aux institutions. La majeur partie des
institutions prévoit quels sont les compétences qui son transféré au OI. Lorsque les Etats réunissent
une conférence inter-gouvernemental (CIG) et au cours de cette conférence y a une réunion entre les
états et quand elle est achevée y a un projet de traité institutif et ce projet de traité institutif rentre
en vigueur quand les états auront ratifié le traité international. Pour qu’il produise des effets il faut
un processus de ratification qui est un acte interne, selon des règles constitutionnelles propres à
chaque état. Depuis 1950, un certain nombre de traité institutif qui ont permis à l’organisation de se
développer. Le premier est le traité de Paris conclue en 1950 et qui crée la communauté européenne
du charbon et de l’acier CECA et le dernier traité institutifs en date est celui de Lisbonne qui a été
négocier en 2007 (conclu) et rentré en vigueur en 2009. A chaque fois pour chaque traité on retrouve
le même processus conférence, négociation, conclusion et ratification. Ce qui est important c’est de
comprendre cas chaque nouveaux traité qui survient cela modifie l’organisation tout en renforçant
l’autonomie de l’organisation par rapport au Etats. Après chaque traité institutif les compétences des
organisations changent et elle renforce leur autonomie, celle de leur système juridique par rapport a
celui des Etats membres. Il y a trois questions qui se posent :

- Comment est-ce que l’on transfère des compétences à une organisation ? : attribution des
compétences.
- Comment se répartissent les compétences entre l’UE et les EM ? : transféré ce n’est pas les
abandonner.
- Comment est ce que l’UE exerce ces compétences ? : qu’elles sont les principes ?

Section 1 : Le principe d’attribution des compétences

On le retrouve en droit international publique et trouve à s’appliquer dans l’ordre juridique


européen. Ce principe inscrit dans plusieurs dispositions des traités, dispositions fondamentales. Dès
le premier article du traité on trouve l’idée que les compétences sont nécessaires pour pouvoir
réalisé des objectif, sans transfère de compétence l’organisation ne peut rien faire évidence qui est
bon de rappeler. Article 3 TUE : c’est la même chose que l’article 1 TUE mais avec une précision qui
est que l’UE peut agir mais agir uniquement dans le cadre des compétences qui lui ont été attribuer
et pas au-delà. Article 5 TUE: on retrouve l’idée que l’attribution de compétence constitue une limite
a l’action de l’UE. Article 48 TUE : on le voit en matière d’attribution de compétence rien n’est
définitivement fixer ces variables en fonction des compétences des états qui peuvent les accroître ou
les réduire au sein de l’UE.

L’atteinte a la souveraineté de l’Etat : l’attribution des compétences à une organisation serait


toujours attentatoire a la souveraineté de l’Etat. Vision du prof : c’est une erreur que de pensé que
l’attribution des compétences affecterait la souveraineté de l’Etat pour deux raisons principales :
- En théorie du droit la souveraineté est indivisible, incessible : principe absolue et donc ne
peut pas se diviser. Car si on la cède la souveraineté disparait et se dilue d’elle-même.
Considérais qu’une attribution de compétence reviendrait a diviser la souveraineté,
reviendrais à éteindre complètement la souveraineté des EM de l’UE, ce serait oublié que EM
de l’UE sont des acteurs internationaux. Contradiction dans les thermes.
- L’attribution des compétences découlent d’un acte de volonté des états : se sont eux qui
volontairement s’engage dans une conférence et ratifier un traité international. S’il y a bien
un acte juridique qui reflète la souveraineté de l’Etat c’est la ratification d’un traité
international. Ce qui démontre que l’Etat a une personnalité juridique qui lui permet de
s’engager ou de se désengager d’un traité international. Les Etats article 48 TUE peuvent
accroître ou les réduire ces compétences.
- Il est vrai cas l’origine de la construction communautaire un certain nombre de responsable
politique on considéré que l’engagement des états dans la communauté européenne était
irréversible ou quasi irréversible : la Cour de justice des communauté européenne elle-
même laisser entendre que l’engagement des états était irréversible, discours politique
valider par la Cour de justice des communauté européenne. Idée que les états n’avaient pas
d’autre choix que de participer au communauté et les premier traité ne prévoyait aucune
disposition de retrait. Un certain nombre par conséquent de personne favorable a l’idée de
transfère de souveraineté en disant que quand on s’engage dans les communauté on ne peut
plus en sortir, c’est une forme d’atteinte a la souveraineté de l’Etat. Mais il y a eu le Brexit
retrait volontaire d’un Etat de l’UE, facilité par l’article 50 TUE qui prévoit se droit de retrait
et cette idée d’irréversibilité de la construction communauté européenne et une idée
juridiquement qui ne tient plus aujourd’hui. Arrêt Whitman 2018 dit que l’Etat est souverain
et peut décider de ce retirer et de revenir sur sa décision, et la CJUE parle de souveraineté de
l’Etat. L’organisation peut venir agir au côté des états et quelquefois à la place des Etats mais
rôle voulus par les états et ils peuvent revenir dessus. Transfère de compétence mais pas
transfère de souveraineté.

A l’opposé courant fédéraliste qui veut faire de l’UE un état européen mais pas le cas car difficile de
démontrer que l’UE dispose de la souveraineté, car elle reste dans les mains des EM. Ces deux visions
opposé font l’impasse volontairement sur le fait que la souveraineté est indivisible et reste dans les
mains de l’Etat.

Section 2 : Effets du principe d’attribution

Lorsque les Etats attribuent les compétences a une organisation cette attribution emporte des effets
positif et négatif sur ses compétences. A travers traité institutif les états autorisent l’UE a agir pour
réaliser certain objectif :

- Positivement : mission et on lui attribue des moyens pour pouvoir réaliser ses missions.
Prévoit moyen financier, moyen technique… Grâce a l’attribution de ces compétences
mission + moyens que l’UE peut agir de manière autonome. Lorsque l’UE agis elle le fait au
nom et pour le compte des EM. Très souvent les disfonctionnement d’une institution
international sont lié a un décalage entre missions et moyens. Généralement quand
organisation fonctionne mal on lui a attribuer des mission mais on n’a pas prévu les moyens
suffisant. Ex :
 Or UE : ONU a des critiques en considérant que ces organisations inefficace qui ne
parvient pas a réalisé ces missions. Il n’existe aucun moyen pour que l’ONU réalise
ses missions depuis l’origine et encore aujourd’hui. Car on a attribué à l’ONU une
mission absolument fondamental = maintenir sécurité et paix international. Le
budget est d’environ 5 milliards € par an = 0,001% du budget de la France. Quand on
fait une mission difficile mais pas les moyens l’organisation échoue.
 Dedans UE : Les EM on attribué des compétences importante à l’UE en matière
monétaire = l’union économique et monétaire. Mais lorsque les EM ont attribué ses
compétences et moyen ils ont fait qui sont valable pertinent en période de stabilité
économique. Lorsque crise financière de 2008 est survenue il y a eu une
déstabilisation économique et monétaire de l’UE, Grèce. Aucune surprise car la
banque centrale européenne disposait des moyens adéquat pendant un temps
stable mais pas en crise. Ils ont attribué de nouvelle compétence à la banque
centrale européenne pour gérer les crise financières et monétaires.
- Négative : elle ne peut agir que dans les compétences qu’on lui attribue.

Lorsque l’UE exerce ces missions qui lui sont attribuer. L’UE a une responsabilité dans l’exercice de
ces compétence et de ces missions, cela entraine responsabilité juridique car elle doit répondre de
ces actes. Ce qui veut dire que lorsque l’UE n’agis pas conformément au traité elle engage sa
responsabilité juridique, source d’obligation pour l’organisation. Approche général d’attribution dont
on retrouve parfaitement dans le cadre dus système juridique de l’UE, mais les chose peuvent être
un petit peut plus complexe que cela.

Hypothèse ou UE peut étendre les compétences qui lui sont attribué. La construction juridique
européenne est complexe beaucoup plus que d’autre construction juridique, les état n’ont pas hésité
a attribuer des missions étendue à l’organisation. Cette complexité à fait surgir un certain nombre de
problème :

- Le problème de moyen insuffisant pour réaliser des missions : traité a attribué des missions
très ambitieuse à l’UE sans lui donner les moyens = compétence subsidiaire.
- Dans certain cas les institutions européenne ont revendiquer de nouvelle compétence : elle
retient l’interprétation très large des traité et revendique des compétences nouvelles =
compétences implicite.
A. Les compétences subsidiaire

Les institutions veulent agir pour réalisé une certaine mission mais les traité prévoit des moyens
insuffisant pour réalisé les missions ou des moyens trop faible. Article 352 du TFUE qui prévoit que
dans cette hypothèse là ou y a un décalage entre objectif et moyen le conseil de l’UE statuant a
l’unanimité adopte les dispositions approprié, il va pouvoir modifier les traités, pouvoir adopter des
actes juridiques permettant de disposer de moyen nouveaux.

Première remarque : ce dispositif est prévu par les traité donc il est parfaitement conforme à la
volonté initial des Etats, qui ont anticiper les lacune du système juridique. Lacune en termes de
moyen.

Deuxième remarque : on ne pourra combler cette lacune que si l’organisation arrive a prouver qu’elle
doit bien exercer une mission, ne peut pas revendiquer des moyens nouveaux si pas de mission
approprié.

Vise a anticiper sur l’évolution de l’organisation. Ex : dans le traité de Rome de 1957, création CEE, il
est prévu de la création de la PAC mission absolument fondamental de la CEE. Mais les traités ne
prévoient aucun moyen financier au soutient de la PAC. On a une mission fondamental à l’époque,
car il y a encore des pénurie alimentaire en Europe. Mais les Etats ont oublier des outils financier
permettant de financer la PAC. En 1962, le Conseil des ministres se réunit et sur la base de l’article
352 ancien TFUE va prévoir que la PAC sera dotée d’un budget propre. Et cela va devenir le premier
budget des communautés européenne. On est parfaitement ici face a une lacune, carence des traités
et qui va être combler en invoquant une compétence subsidiaire = qui est bien là mais qu’on ne peut
pas réalisé faute de moyen. Résolue par les traité et les états l’acceptent sans complexité.

B. Les compétences implicite

Débattue en doctrine, difficile à l’heure actuelle en matière d’étude du système juridique européen.
Lorsqu’une institution invoque cette théorie des compétences implicite c’est qu’elle considère qu’elle
doit exercer, poursuivre un objectif qui n’est pas prévue dans les traités. Elle revendique le droit de
poursuivre un objectif pas prévue dans les traité mais pour pouvoir réalisé un autre objectif qui lui
est bien prévue dans les traités. On voit dès le départ que les compétences implicite n’ont rien a voir
avec les compétences subsidiaire. On est a la limite extrême du principe des compétences, car on
revendique quelque chose qui a priori n’est pas attribuer mais pour réalisé quelque chose qui est
attribué. Il faut partir de l’arrêt de principe, arrêt fondamental, arrêt AETR commission contre conseil
de 1971 : le problème dans cette arrêt était que la commission européenne souhaité pouvoir
conclure un accord international en matière de transport routier = arrangement européen pour le
transport routier. Mais aucune disposition des traités à l’époque n’accordait cette compétence au
communauté européenne. Les Etats n’avaient en principe accorder aucune compétence en la
matière à l’organisation. Autorisé la commission a signer se traité international serait contraire au
principe d’attribution des compétences qui est presque intangible dans le droit international
publique. Les arguments de la commission = oui j’admet ne pas avoir de compétence précise dans les
traité pour pouvoir signer cette accord international. Elle ne peut pas identifier une disposition
précise lui permettant de signer cette accord international. Mais elle dit la chose suivante, j’ai une
mission fondamental qui est le fait de faire un marché commun qui met attribuer et c’est la
libéralisation des échanges économique. Or cette libre circulation économique repose de plus en plus
sur le trafic routier. Si elle peut conclure ce traité elle pourra mieux réaliser sa mission principal qui
est le fait de faire un espace de libre circulation. Devant un juge la commission n’invoque pas que des
arguments juridique mais aussi arguments purement factuelle, consciente qu’elle est a la limite du
principe d’attribution mais pour elle compétence implicite car sinon elle ne sera pas en mesure de
faire une mission fondamental qui est la libre circulation économique. [Quand on plaide on mélange
fait et droit] ; il n’y a donc pas de violation du principe d’attribution puisqu’en signant se traité je ne
ferais que réalisé un objectif qui lui est prévue par les traité qui est la création d’un marche commun.
Pour la commission ce n’est pas la signature du traité qui compte mais pk cette signature existe.
L’argumentaire de la commission plus complexe et riche que celui du Conseil, qui se retire derrière
une interprétation très plate et classique. La cour au moment de délibérer et dans cette affaire à
compter de cette affaire la cour va donner raison a l’interprétation de la commission et faire sienne la
théorie des compétences implicites et considère qu’il est possible pour une institution d’invoquer,
revendiquer une compétence implicite mais pose deux conditions à cette revendication :

- La cour va exiger que l’on puisse rattacher cette compétence implicite à une compétence
expressément attribuer par les traités : pas de compétences détaché des missions dévolue a
l’organisation.
- Il faut que dans le cadre de la compétence attribuer le législateur est attribuer un certain
nombre d’acte juridique : déjà était exercer, pas a l’état de projet.

La Cour va voir si les deux conditions sont remplies dans l’arrêt AETR :

- Première condition : oui car on peut rattacher la signature de cette accord international à la
politique des transport et a la mise en place du marché commun.
- Deuxième condition : la cour constate que le législateur communautaire à l’époque a déjà
adopter des politiques en matière de transport et de marché commun.

La cour admet que la commission peut conclure ce traité internationaux.

Cette théorie est un peu bordeur line = interprétation extensible des attribution des compétences,
les juges on trouvaient insuffisant qu’on puisse le rattacher a une compétence et ce lien particulier
vient avec deuxième condition et vient la légitimer. Arrêt AETR très critiquer car risque potentielle
d’atteinte à leur volonté souveraine. Après AETR on fait savoir que c’était une interprétation
extensible voire contrat legen = contraire principe d’attribution ; mais finalement l’arrêt est critiqué
et accepter par les états. Accepter car a l’époque les compétences des premières communauté sont
économique et les états a cette époque-là ont plus tout à fait la main sur l’économie, qui sont
opérateur économique privé qui ont besoin d’abolir les frontière. Cette solution, théorie compétence
implicite va être de plus en plus critiquer au fur et à mesure des traité car états attribue de plus en
plus de compétence à l’UE et en plus dans les domaines sensible. A partir du moment ou les états
attribue des compétences dans des domaines sensibles il n’accepte plus la théorie des compétences
implicites dans un domaine sensible ou la on pourrait envisagé une forme d’atteinte à la
souveraineté de l’Etat, c’est pourquoi dans le traité de Lisbonne 2007 les états ont insérer une
nouvelle disposition qui est l’article 5 point 2 dernier alinéa du TUE qui dit « toute compétence non
attribué à l’Union dans les traités appartient aux états membres ». Cette article met un terme
presque définitif à la théorie des compétences implicite, forme de réaffirmation presque absolue du
principe des compétences. On est plus dans une situation actuelle avec des Etats qui revendique le
principe de souveraineté en mesure de revenir sur cette théorie y compris la cour de justice qui va
s’auto-limiter. Jp très ambitieuse et beaucoup moins aujourd’hui.

Cour du 8/10/2021 : 8 :00 :


Le tribunal constitutionnelle de Pologne considère que certaine disposition des traité sont
incompatible avec constitution polonaise car elle porte atteinte a la souveraineté de l’état polonais.
Le tribunal constitutionnelle de Pologne semble visé deux dispositions des traités article 1 TUE qui
considère que l’action actuelle des institutions de l’UE affecte l’article 1 du TUE, rédigé de manière
trop large, il autorise les institutions a revendiquer de plus en plus de compétence, il semble
considéré que le principe d’attribution des compétences serait susceptible de porter atteinte a la
souveraineté de l’état et donc inconstitutionnelle. Article 19 du TUE définissant les compétences de
la cour de justice de l’UE, tribunal constitutionnelle de Pologne semble supposé que la jp de la cour
de justice est susceptible elle-même de porter atteinte au principe d’atteinte des compétences. Il
n’est pas question que la Pologne sorte de l’UE. Aujourd’hui cette interprétation extensive est
critiquée par certain état comme dans la décision du tribunal constitutionnelle de Pologne.

Ce principe a généré un contentieux constitutionnelle et qu’on appelle le plus souvent le contentieux


de la base juridique. Lorsqu’une institution veut agir quel que soit elle doit fonder son action sur une
base juridique expresse, apporter la preuve qu’elle peut agir, que lest états ont attribuer une
compétence a l’union lui permettant d’agir. L’institution peut visé une base juridique ou même
plusieurs. Avant d’adopter un acte une institution doit apporter la preuve qu’elle peut agir. Le
problème c’est que chaque base juridique, chaque disposition prévoit une procédure particulière
d’adoption des actes juridiques, en fonction de la base juridique sur laquelle l’institution s’appuie
l’adoption de la base juridique est différente. Ex : on a des bases juridiques qui font intervenir le
parlement européen en tant que simple institution consultative au cour de la procédure ; alors que si
on se base sur une autre base juridique le parlement est colégislateur = participe a l’adoption du
texte. Le contentieux de la base juridique est un contentieux entre institution et ce contentieux il naît
de l’interprétation différente qui est faite des traités par les institutions. Il y a un conflit
d’interprétation sur la base juridique sur l’interprétation. C’est pour cela que l’ont parle d’un
contentieux constitutionnelle, car aussi contentieux politique qui vise pour les institutions à
conserver leur prérogative ; choisis base juridique qui lui donne le plus de compétence dans
l’adoption d’un texte juridique. C’est la CJUE qui se retrouve au cœur de ce contentieux
constitutionnelle et c’est par ce contentieux que la cour est considérée comme une cour
constitutionnelle.

Quand il n’y a qu’une seul base juridique possible : pas de choix ou alternative, le contentieux est vite
réglé par la validation de cette base juridique.

Une institution peut s’appuyer sur deux bases juridiques : ex : commission européenne propose une
directive pour diminuer le CO2 des avions, il y a deux bases juridique qu’on peut viser :

- Transport aérien :
- Politique environnement :

Car les eux sont visés. C’est la qu’il y a deux base juridique et qui non pas la même procédure pour
l’adoption de l’acte. La cour fait joué une théorie qui est celui du principal et de l’accessoire : cette
théorie permet au juge de déterminé l’objectif prioritaire. Dans l’exemple l’objectif principal est la
protection de l’environnement. Dans cette hypothèse la CJUE va identifier la base juridique
permettant de poursuivre l’objectif principal.

L’hypothèse ou il n’est pas possible de faire jouer la théorie du principal et de l’accessoire : le juge
considère que le texte peut s’appuyer sur les deux bases juridique ou en même temps. Ex : la cour
estime qu’en matière des émission des CO2 a un impacte sur le trafique aérien, elle vise donc les
deux objectifs. Difficulté car si les deux bases juridiques sont compatibles aux niveau juridique cela ne
soulève aucune difficulté. Mais il est arrivé que l’absence de choix amène a utiliser ou a se référé a
deux base juridiques qui sont incompatible sur le point de vue juridique. C’est compliqué de résoudre
et d’interprété les traités car même si le CJUE fait une interprétation extensible elle ne peut pas
tendre le droit, le droit d’interprétation se heurte a une solution qui ne peut pas être solutionné. La
cour a du imaginer un autre critère qui n’est pas la théorie du principal et de l’accessoire, ce critère
est celui démocratique. La cour considère a compter d’un arrêt de 2009, parlement contre conseil la
cour considère que si les deux procédures sont incompatibles on privilégiera la procédure accordant
plus de pouvoir au parlement européen sur le principe de la démocratie ; assurer participation
démocratique du parlement. Le principe d’attribution c’est un principe relativement clair qui ne
soulève pas de difficulté en droit international publique, car principe souveraineté de l’état est un
principe absolue et dans l’ordre juridique international il n’existe pas de juridiction supranational qui
imposerais des obligations au état ex : pouvoir de la cour de justice comme cour pénal international ;
alors que dans l’ordre juridique européen avec des caractéristiques supranational il est possible
d’heurter des principes de compétence.

Section 3 : Le principe de préemption

L’arrêt AETR de 1971, dans cet arrêt la CJUE a reconnue qu’il était possible de reconnaître des
compétences explicite et la cour a rajouter dans cet arrêt que lorsque les institutions on commencer
à agir dans un domaine de compétence cette action décessis mécaniquement ces états de leur
compétences. La cour valide la théorie des compétences implicite et indique que lorsque institution
agissent dans un domaine de compétence, le principe de préemption ou mécanisme des vases
communiquant. Chaque fois que l’UE agis les compétences de l’état se réduisent. UE fois encore le
principe de préemption va être accepter par les états car a l’époque de l’arrêt AETR il s’agissait de
transféré des compétences technique, donc état accepter cette logique de préemption tant qu’il
s’agissait de compétence technique mais avec transformation de l’UE en espace politique ce principe
devenait non seulement critiqué mais y avait une opposition de plus en plus forte des états à la
préemption. La cour n’a jamais renoncé formellement à ce principe. Mais implicitement la jp va
évoluer et aujourd’hui cette logique de préemption n’est plus possible lorsqu’on lit l’article 2, point 2,
FUE, cette article prévoit que l’Union n’exerce pas de compétence même dans domaine attribuer et
laisse à l’état le soin d’exercer cette compétence, un état, les états peuvent attribuer une
compétence a l’union et l’union peut renoncer a cette compétence contraire au principe de
préemption. Depuis Lisbonne il y a le fait inverse les institutions peuvent renoncer à agir et laisser les
états agirent. Cette abandon de la logique de la préemption est lié au caractère sensible de certaine
compétence aujourd’hui.

Section 4 : Le principe de proportionnalité et de subsidiarité

Les deux sont différent mais nécessaire.

I. Le principe de proportionnalité
A. Signification du principe

Le principe de proportionnalité n’est pas un principe très compliqué a comprendre car c’est un
principe qui vise a identifier qu’une personne physique ou moral agis proportionnellement à l’objectif
poursuivit. De manière plus précise, il a deux dimensions :

- L’institution doit démontrer qu’il existe bien un lien de causalité entre l’acte adopté et
l’objectif poursuivit : c’est le principe de proportionnalité au sens stricte.
- Nécessité : l’institution doit démontrer que cette acte particulier est nécessaire pour réalisé
l’objectif. Ce qui est interprété par le juge qui se demande : « est-ce qu’il existe une autre
possibilité moins contraignante pour atteindre cette objectif ? ».

Le droit de l’UE s’inspire pour se principe du droit adm.

B. La nature du principe

Pas inscrit dans les traités originaires la encore c’est le juge qui est venue consacrer prétorienne
ment se principe de proportionnalité dans un arrêt de 1956 Fédéchar la CJUE utilise les principe
généraux du droit pour consacré le principe de proportionnalité, permettant de calculer l’intensité de
l’institution = caractère plus ou moins contraignant de l’acte juridique. Principe parfaitement admis
par les états car quand on y réfléchie la proportionnalité vise aussi a encadrer l’action/ activité des
institutions.

C. La portée juridique du principe

Il s’applique quelque soit la nature de la compétence exercer par l’Union, il s’impose à toute les
institutions quelque soit la compétence d’exercice faite par ces institutions, elles ont plusieurs
natures, compétence exclusive, compétence partagé. Le principe de proportionnalité s’appliquera.
Principe majeur sur lequel on peut constater qu’il ne soulève pas de difficulté n’y du point de vue de
la CJUE et des Etats.

II. Le principe de la subsidiarité


A. Signification du principe
1. En général
Lié a l’histoire allemande et au protestantisme allemand. La subsidiarité : lorsqu’une personne prend
une décision elle a intérêt de l’adopter au plus proche de ces destinataires de cette décision.
Essentiellement pour que cette décision soit mieux acceptée par ces destinataires. Ce n’est pas un
principe de démocratie, c’est plutôt a voir avec la légitimité. Acte davantage légitime et adopté s’il
n’est pas adopté par une intense lointaine mais plutôt local proche des destinataires.

2. En droit de l’UE

Chaque fois qu’un acte adopté dans le cadre de l’UE il faut se poser la question de savoir s’il ne serait
pas plus cohérent et plus légitime s’il ne serait pas nécessaire de l’adopter au niveau national ou
niveau local qu’au niveau européen. Article 5, point 3 du TUE : il y a deux conditions :

- Négative : institution doit démontre que l’objectif ne pourra pas être atteint n’y au niveau
national et n’y au niveau local.
- Positive : les institution doivent démontrer dans le même temps que leur action est plus
efficace que celle des états pour atteindre l’objectif.

Ce principe c’est un renversement à nouveau de la logique communautaire initial, car celle des pères
fondateur est de dire qu’il faut mettre en commun un certain nombre d’objectif, l’esprit
communautaire est l’esprit selon lequel l’action des états est de plus en plus inefficace et fallait se
tourner vers UE. Avec passage vers l’Union c’est l’esprit inverse qui prévôt esprit selon lequel la
compétence de principe réside dans la main des états alors que l’exception c’est l’action commune à
travers l’union. L’union devra en permanence rapporter la preuve de la légitimité de son action par
un critère de légitimité. Si on n’arrive pas a démontrer que son actions n’est pas mieux que celle des
états ont laisse les états agir même s’ils sont inefficaces aussi. Pour préciser le sens, signification de
ce principe, les états ont ratifié deux protocoles et un protocole a la même valeur juridique,
protocole numéros 1 sur les parlements nationalisé et un deuxième sur le principe de subsidiarité et
principe de proportionnalité :

- Protocole 1 : les principales vigiles du principe de subsidiarité seront les parlements


nationaux. Elles doivent vérifier que les institutions de l’Union respectent bien ce principe.
Répond a une demande des parlements nationaux car il est vrai que la construction
européenne a enlever beaucoup de pouvoir à l’assemblée parlementaire national. La
construction européenne et fonctionnement des communauté européenne on transféré des
compétences à l’union avant était exercer par les parlements. L’autre aspect est que le
fonctionnement de l’union a favorisé pouvoir exécutif sur le pouvoir législatif. Population a
plus tendance a se tourner vers gouvernement que parlement nationaux, et ce protocole
redonne force au parlement nationaux en vérifiant que si l’union agis elle ne le fait pas au
détriment que le parlement national.
- Protocole 2 : met en place un mécanisme de contrôle de la part des parlements nationaux.
Plusieurs articles avec des idées principales :
 Le protocole impose, prévoit que la commission européenne a l’obligation sans
aucune réserve de transmettre tous ses projets au parlement nationaux : le contrôle
doit être apriori.
 Les parlements nationaux vont être eux-mêmes encadrer dans un délais de
procédures, délais de 8 semaines (2mois) pour éventuellement s’il le souhaite pour
répondre a la commission adresser un certain nombre de remarque concernant la
compatibilité du projet avec un certain nombre de responsabilité :
 Pour pouvoir s’opposer a un projet d’acte de la commission faut prévoir des règles
de fonctionnement : pas que des délais mais règles précises, procédure en cascade =
chaque parlement nationaux se voit reconnaître 2 vois (en tout 54 vois), car
bicamérisme ou monocaméralisme (une chambre ou deux, France 2 chambre) :
Carton jaune : pour que la procédure s’enclenche il faut réunir au moins un
tiers des voix, pour pouvoir envisager d’engager une procédure de non-
respect de subsidiarité par la commission et de demander a la commission
de modifier son projet d’acte. Pour relecture plus conforme au principe de
subsidiarité. Parlement national : peut accepter de modifié ou décider de
maintenir. Mais la commission va devoir expliquer pk le projet est conforme
au principe de subsidiarité = obligation de motivation. Si cette motivation ne
convint pas les parlement nationaux. Alors conseil de l’Union et parlement
européen peuvent décider d’écarter le projet d’acte juridique. Il est possible
d’introduire un recours en annulation contre l’acte adopté devant la cour de
justice si parlement nationaux estime que s’il est même adopté contrevient
au principe de subsidiarité. On peut considéré que ce principe contient deux
autres principes : démocratie (redonner pouvoir au parlement nationaux) +
principe d’efficacité de l’action publique (on recherche qu’elle est l’acteur le
plus efficace). De plus en plus le juge français ou législateur se réfère à se
principe surtout dans le domaine de l’environnement et développement
durable. Permet essayer de retrouver de la démocratie sur le plan local.
B. La nature du principe

La subsidiarité au départ est un principe social théologique qui va être mis en avant dans la doctrine
social de la doctrine allemande et surtout protestante. Car la réforme critique l’idée de la hiérarchie
ecclésiastique, remise en cause de la papoté spirituel. Le pape c’est trop éloigner des croyants et faut
redescendre au niveau des croyants lire la bible ensemble et pas attendre des idées du pape. Il naît
au cour de la réforme et au début 20 ème siècle retrouve effet majeur mis entre parenthèse à cause du
régime nazi en 1949 le principe de subsidiarité est inscrit dans la constitution allemande, Allemagne
état fédéral.

Le traité de Maastricht au cour de la négociation il y a des tensions politiques très forte, tension qui
sont notamment le résultat des région allemande car les landeurs allemande estime que le traité de
Maastricht leur ôte un certain nombre de compétence. Landeurs très remonter et important car
constitutionnellement parlant on un poids énorme dans al constitution politique allemande. Il dise
que si le traité de Maastricht est ratifié en l’état, l’Allemagne ne signera pas. Le compromis c’est que
landeurs allemand exige l’inscription du principe de subsidiarité dans les traités en disant que les
institutions peuvent agir que si l’action de l’état allemand, voir landeur allemand moins efficace que
celui de l’Union. Ce principe de subsidiarité va naître du traité de Maastricht et de la revendication
des landeurs allemand. Ce qui se rallieront les premier à l’Allemagne c’est Catalogne et Pays basque
qui revendique le principe de subsidiarité, volonté de décentralisation, principe mais la difficulté que
pose se principe dès le départ c’est que c’est un principe qui est au départ perçut comme un principe
politique, négociation politique entre les pouvoirs locaux nationaux et européen mais pas perçut
immédiatement comme étant juridique. Ex : RU contre conseil porter devant la CJUE de 1996, le RU
contester l’adoption d’une directive en matière de protection social des travailleurs, et le RU
considérait que l’UE n’avait pas de compétence en matière de protection social des travailleurs, le
Conseil n’aurait jamais du adopter cette directive et pour consolider sa motivation le RU va s’appuyer
sur le motif de subsidiarité. Première affaire ou CJUE est confronter à l’invocation du principe de
subsidiarité. On constate que la CJUE ne va pas effectuer son contrôle sous l’angle de la subsidiarité
mais sous l’angle de la proportionnalité. La cour est mal alaise avec ce principe car estime que ces un
principes d’abord politique et doit être résolue entre institution politique. Principe théologique et
juridique. L’attitude de la CJUE avec un arrêt Philip Morris du 4 mai 2016 la cour va trouver une
solution jurisprudentiel assez subtile en disant que le principe de subsidiarité doit être contrôler par
le niveau politique. Mais si cela ne marche pas dans un second temps on peut contrôler
juridiquement se principe et la cour précise que lorsqu’elle va faire le contrôle elle applique
cumulativement les conditions de fonds et de forme :

- Fond : contrôler l’efficacité.


- Forme : contrôlé la motivation de l’acte.

Petit commentaire : condition de forme pas de difficulté car juge contrôle l’obligation de motivation
des actes. Mais la cour a plus de mal quand elle va sur le terrain des conditions de fond car le
jugement reste politique et très difficile de faire reposer le contrôle de fond sur des critères
purement objectifs.

C. La portée juridique du principe

Il ne s’applique que dans le cadre d’une compétence partagée.

Cour du 13/10/2021 : 11 :00 :


III. Le principe de coopération loyale

Le principe de coopération loyal article 4 TUE point 3. Dans l’ordre juridique de l’UE il y a un
phénomène d’inter dépendance, tous les acteurs sont liés entre eux, les sujets sont inter dépendant
= doivent agir ensemble pour réaliser un certain nombre d’objectif commun. L’action de chaque
acteur va avoir une incidence sur l’action des autres acteurs. C’est l’idée que la participation a l’UE
entraine des obligations spécifique et parmi celle-là il y a la façon de coopérer de manière sincère et
loyale avec les autre acteurs. On est dans un système juridique et institutionnelle complexe. Grande
complexité dans se système et donc pas possible pour un seul acteur de réalisé seul les objectif
poursuivit la complexité fait qu’il faut une action coordonné des différents acteurs. Article 4 il y a une
responsabilité particulière incombant à l’état de respecter leur obligation. L’exécution du droit de
l’UE repose principalement dans les mains des états, EM responsable de l’exécution du droit de l’UE.
Lorsque les Etats s’abstienne d’agir ou prenne des mesures qui vont a l’encontre de leur obligation, il
ne coopère plus loyalement. Sens profond de l’article 4. C’est pour cela que dans les traité il existe
une voie de recours particulière = recours en manquement lorsque commission européenne saisie la
CJUE lorsqu’elle estime qu’un état manque a une obligation ou n’y respecte pas. Donc ne coopère
plus loyalement avec l’Union. Ex : Pologne et en particulier de certaine institution polonaise dont le
tribunal constitutionnelle polonais la commission est entrain d’envisager un recours en manquement
contre la Pologne en estimant qu’elle ne coopère plus avec l’Union. Cette obligation de coopérer
loyalement elle a deux dimensions résultant de l’article 4 du TUE :

- Positive : les états vont devoir agir = adopter les actes juridique nationaux ; concrètement en
adoptant des actes pour faciliter, réalisé les objectif des traités.
- Négative : dimension négative de l’abstention a aucune moment les états ne doivent agir
dans un but d’anéantir la réalisation des traités. Arrêt de 1997 sur cette dimension, Inter-
environnement Wallonie : le problème était que le conseil avait adopté une directive en
faveur de l’environnement et en relation avec le recyclage de certain déchet, le législateur de
l’UE avait adopter une directive pour poursuivre l’objectif de protection de l’environnement.
Une directive accorde aux états un certain délais pour réaliser cette objectif. Or au cour de ce
délais la Belgique avait adopter une réglementation qui était contraire a cette objectif =
réglementation qui rendait plus difficile le recyclage des déchets. Association de protection
de l’environnement (ONG) qui considère que la Belgique ne respecte pas ces obligations
européenne puisqu’il y a une directive et donc ne coopère pas loyalement avec l’Union. Le
gouvernement Belge va se protéger derrière le fait que le therme n’est pas encore échue et
que pendant cette période l’état est libre d’adopter tout les actes juridiques qu’il le souhaite
car pas d’obligation que la directive le prévoit. La CJUE prévoit qu’en adoptant cette acte la
Belgique rend plus difficile la réalisation fixer par la directive. Elle entrave la bonne
réalisation de cette directive même si on n’est pas dans le therme du délais. Application très
extensive de la coopération loyale et donc elle débute dès l’instant ou l’Union décide d’agir =
lorsqu’elle a adopté la directive. Il ne faut pas que l’Etat utilise ce délais pour adopter des
mesures contraires à cette objectif et on est bien dans la dimension négative du principe de
coopération loyale car ce que demande la Cour au EM c’est de s’abstenir de toute mesure
qui contreviendrais a se nouvelle objectif.

A l’origine ce principe s’adresser principalement aux Etats et surtout exclusivement aux Etats, car sur
eux que repose la bonne exécution du droit de l’Union. La jp de la CJUE évolue et fait jouer ce
principe dans d’autre rapport, étendre ce principe au détriment des autres institutions. Il joue à
plusieurs niveaux :

- Entre EM et l’UE : les institutions et les états doivent collaborer loyalement également. Car
elles sont la pour faciliter le travail des états et non pour le rendre plus difficile. Les
institutions de l’UE e en particulier la commission européenne et législateur sont tenue de
coopérer loyalement avec états. Les institutions doivent agir = quand nécessaire et s’abstenir
= quand mettrait en péril les EM. Ex : face a une difficulté budgétaire des EM la commission
européen c’est parfois abstenu de sanctionner les états car ne respecter pas leur obligation
monétaire car faisait face a des crises monétaires. Elle a considéré que si elle faisait en plus
des sanctions aux états cela aller accroître leur difficulté monétaire. EX : lorsque la pandémie
est survenue la commission européenne a considéré que les Etats adopté les mesures
sanitaire importante mais ne pouvait pas faire face a tous les risques susciter par cette
pandémie et elle a proposer l’achat grouper de vaccin pour acheter en commun pour
l’ensemble des 27 EM. On est face a une action de coopération loyale positive permettant de
réalisé un objectif des traités = garantir la meilleur santé possible de l’UE. Il n’est pas
question pour la commission de prendre des mesures qui rendrais plus difficile dans ce
domaine-là.
- Entre l’UE et ses Etats membres :
- Entre les Etats membres eux-mêmes : ex : un état renforce contrôle au frontière des
marchandises venant d’un autre état = France et Espagne avec les fraises. Marchandise
pouvait plus circuler librement. On voit de plus en plus des états qui ne coopère pas
loyalement avec d’autre Etat. Septembre 2021 arrêt concernant une pollution très
importante en République Tchèque et cette pollution provient d’usine situé sur le territoire
polonais. La République Tchèque a pris des mesures pour limiter cette pollution, la Pologne a
refuser et la République Tchèque a introduit un recours contre la Pologne en manquement
en considérant que les usines qui pollue ne respect pas al réglementation européenne dans
le domaine de l’environnement. Effectivement l’arrêt rendu 21 septembre 2021 la Cour
constate le manquement en considérant que la Pologne ne coopère pas loyalement avec la
république Tchèque. Pour arriver a engager un contentieux devant la cour contre un autre
état, pas e solution politique ou diplomatique en cour.
- Entre les institutions de l’UE elle-même : on retrouve l’obligation de coopérer loyalement
entre institution et en particulier entre Commission, Parlement et Conseil = triangle. Ne
doivent pas se comporter d’une manière mettant en péril l’action des autres institutions.
Principe centrale et permet le bon fonctionnement des système juridiques de l’Union. Permet
cohérence et cohésion du système juridictionnelle.

IV. Le principe de différenciation et les clauses d’opt-out

Le système juridique de l’Union c’est complexifier et hétérogène. Mais la conséquence de cette


complexité et du caractère hétérogène c’est que toute les compétence plus étudier par tout les
acteurs de la même manière, variabilité dans l’exercice des compétences, tous le monde n’y participe
pas forcément. Au départ conception des paires fondateurs d’une solidarité = on avance tous en
même temps et de la même manière. D’abuté de l’accord de Schengen de 1985. S’amplifie avec
traité de Maastricht et nouvelle politique mis en route.

Il faut se rappeler qu’il a fallu prévoir des procédure et des mécanisme qui autorise certains états a e
pas exercer certaine compétence ou a le faire différemment des autres. Il y a les clauses d’opt-in/ out
= si on n’exerce pas on ne participe pas au principe de coopération loyale. L’autre instrument =
coopération renforcé, exercer une compétence qui va au-delà de ce qui est prévue dans les traités.
Mais dans ce mécanisme la le principe de coopération loyale va jouer. Lorsqu’Etat s’engage dans
cette coopération laisse la possibilité aux autres états le choix de les rejoindre. Article 50 qui autorise
formellement aux états le droit de ce retirer constitue un mécanismes « ultime » de la variabilité.

L’application de ces principes est extrêmement complexe dans le cadre de l’UE, renforce complexité
du régime de l’UE si on compare avec ordre juridique international. M2canisme de géométrie
variable a la fois du point de vue des compétences et des acteurs. Ce système est susceptible parfois
de crée des inégalité entre EM. Certain supporte situation juridique plus dure que d’autre. PERDU.

Section 2 : La nature des compétences exercées par l’UE

En fonction du domaine considéré, les institutions de l’UE n’exerceront pas le même type de
compétence. La compétence que pourra exercer l’UE va varié. Cette variation prévue par les traité
eux-mêmes.

Lorsqu’institution va agir il faut qu’elle se demande dans qu’elle domaine elle souhaite agir.
Deuxième question : est-ce que je peux le faire ? y-a-t-il une base juridique pour le faire ? Est-ce que
j’ai une compétence pour agir ? La troisième question est comment je l’exerce ?

Il y a trois possibilité prévue par les traités :

- L’Union européenne peut agir seul pour faire l’objectif = compétence exclusif.
- L’Union européenne peut agir mais au côté des états = compétence partagé.
- Les états agissent (principaux responsable de l'action) et l’Union va venir les appuyer =
compétence de soutient et d’appui.

§1 : Les compétences exclusives

A généré peut de contentieux. Cela ne soulève pas de difficulté majeur article 2 tu TFUE explique,
définit les compétences exclusives. La réalisation de l’objectif incombe d’abord et exclusivement a
l’Union, les Etats ne peuvent pas agir par eux-mêmes n’y prendre la décision. Ils peuvent être
exécutant mais pas à l’origine de l’exécution. Degrés utile de l’intégration juridique, dans ces
domaines la les Etats ont accepté de transférer l’intégralité d’une compétence à l’Union. La difficulté
principale pendant un certain temps est que les traité originaire n’avait pas définit les domaines de
compétence exclusive. La CJUE, le juge qui avait dégager de façon prétorienne les domaines de
compétences exclusive au profit de l’UE, à l’époque des communauté européenne. En particulier la
CJUE avait identifié deux domaines de compétences exclusives :
- Politique commercial commune : conclusion d’accord international commercial.
- Domaine de la conservation des ressources biologique de la mer : domaine important dans le
domaine de la pêche maritime.

Il y a eu tout un contentieux sur le fait de savoir si le régime européen dans la concurrence ne


pouvait pas être un domaine exclusif. Jp de la Cour est fluctuante. PERDU.

Accord entre UE et Canada porte sur plusieurs aspect et l’Union a juger que cette accord nécessaire a
certain objectif en se fondant sur article 3 TFUE point 2. Les traités procèdent à une codification de la
cour mais les traités procèdent a une codification de la jp qui est plus ambitieuse que la jp de la cour.
Rare que Etats accepte jp de la cour et aille encore au-delà. PERDU. L’article 3 dresse une liste
exhaustive qui ne peut varié qu’avec une révision des traités plus question d’aller au-delà de la liste
définit a l’article 3 du TFUE. PERDU.

Enfin on peut dire que les domaine de compétence exclusive sont des domaines ou l’efficacité
individuelle des Etats est très faible, possibilité pour les états de réussir individuellement les objectif
est très faible voir inefficace. Ex : question de la conservation des ressources biologique de la mer =
maintenir biologie marine. Action des états est inefficace. La volonté des Etats de se dessaisir dans
certain domaine n’est pas gratuite, c’est très intéresser, il estime qu’il avait intérêt a conférer des
compétences exclusive a l’Union dans certaine domaine limité, ou exhaustivement limitatif.

§2 : Les compétences partagées avec les Etats

On va pouvoir réalisé un objectif en commun en faisant intervenir a la fois l’Union et les EM, on
partage la réalisation de l’objectif et on peut avoir des actes juridiques contraignants. C’est ce que dit
article 2 du TFUE. Les compétences partagées sont le principe en droit de l’UE et l’exception est la
compétence exclusive. Article 4.2 TFUE = liste ouverte et pas exhaustive. Pour les raisons de la liste
fermer de l’article 3 car les états ne perdent pas de compétence en la matière ils peuvent continuer
d’exercer une compétence peuvent continuer d’adopter des actes juridiques mais doivent le faire
aussi au côté de l’Union. Subsidiarité et coopération loyale joue un rôle très important. Finalement
c’est domaine sont les domaine historique au cœur de la conception européen et au cœur du projet
européen. Ce son principalement les domaines économique et sociaux. Au sens large on trouve
d’autre domaine. Dans le point 3 et 4 d’autre domaine compléter par une phrase : c’est domaine pas
soumis au principe de préemption par ce que quelque soit l’étendue de l’action des institutions dans
les domaines les états peuvent continuer a légiférer et adopter des normes juridique contraignante.
Alors que pour autre domaine a contrario on pourrait dire qu’il y a une application du domaine de
représentation. Quand l’UE a fait sa compétence Etat s’abstienne d’agir car déjà fait. Pas de domaine
spécifique car Etat accepte de partager avec l’Union mais ne veule pas que ce partage réduise leur
initiative, champs de manœuvre.

Cour du 15/10/2021 : 8 :00 :


§3 : Les compétences d’appui et de soutien et la coordination des politiques nationales

Il y a des états qui n’ont pas voulus les actes contraignant des institutions, ils veulent bien des actes
collectifs mais veulent pas donner aux institutions la possibilité d’adopter des actes juridiques
contraignant. Il n’est pas question d’harmonier les droits nationaux contrairement au compétence
exclusive et partagée. Comme en matière de compétence exclusive l’article 6 TFUE, qui prévoit
qu’elles sont les compétences d’attribution et de soutient, prévoit une liste exhaustive de domaine
relevant des compétences d’appui et de soutient, il y en a 7. Comme par exemple : domaine
industrie et le domaine de la culture. Institution peuvent agir mais ne peuvent agir qu’à la demande
des états pas d’initiative de l’action et cette action elle ne peut pas imposer d’obligation nouvelle aux
états elle permet d’appuyer de soutenir, d’aider les états. Le domaine de la culture est intéressant
puisque la culture au sens large, c’est quelque chose propre au états, prés-lié à l’histoire de l’état et
l’histoire de l’état c’est quelque chose de culturelle. Les Etats n’ont pas envie de transféré une
compétence obligatoire, qui deviendrais obligatoire a l’Union. Mais en même temps le domaine de la
culture est fragile ex : pandémie ; d’un point de vue économique. Culture du pouvoir. Il peut être
intéressant de bénéficier en matière culturelle d’une aide financière dans ce domaine, l’UE a mis en
place des programmes de soutient en particulier a l’audio-visuel = télé vision et cinéma. Un
compétence d’appui ne va pas entraver l’état et ne va pas réglementer la politique ex : culturelle,
touristique de l’état . Mais l’état en retour va vouloir bénéficier de fond commun, soutient matérielle
commune. D’autre domaine ou compétence d’appuy et de soutient qui semble insuffisante, il y a
deux domaines en particulier prévue a l’article 6 ou y a une réflexion sur le caractère presque
inapproprié. Domaine de la protection de la santé humaine et domaine de l’industrie. La pandémie a
montrer deux grand enseignement :

- L’absence d’harmonisation entre état est préjudiciable aux citoyens européen : car certain
état on demande un pass et d’autre non, certain état veule le masque et d’autre non…
Divergence d’approche sont visible en therme de libre circulation mais préjudiciable en
therme de santé publique. La pandémie a créé un électro choque et y a une réflexion sur la
possibilité de transféré des compétences nouvelles en matière de santé humaine. Pandémie
phénomène global et on n’y répond jamais très bien seul = façon individuelle vaut mieux
répondre en collectif. En matière industrielle c’est aussi un problème car Europe confronter a
une concurrence industrielle international et pour la stratégie un certaine nombre d’état
dont la France souhaite renationaliser, faire revenir un certains nombre d’industrie sur le
territoire européen. Que l’UE redevient un espace d’échange. Mais comme l’industrie
compétence d’appui et de soutient l’UE ne peut rien prendre comme décision, il faut
attendre consensus entre les états et une fois le consensus fait les états doivent organisé une
politique européenne ou une action au niveau européen.

§4 : Le cas particulier des compétences externes de l’Union européenne

L’UE comme les anciennes communauté dispose de la personnalité juridique international et donc un
sujet du droit international en tant que sujet elle peut nouer des relations diplomatique avec des
tiers et peut conclure des traités. C’est à se titre que l’ont pu parler de compétence externe, lorsque
l’UE décide de s’engager juridiquement avec des tiers ou d’autre organisation. Ex : aux sein du conseil
se ne sont pas les états qui siège mais c’est PERDU.

L’UE puisqu’elle a la personnalité juridique international est très ouverte sur l’extérieur depuis
quelque année la commission européenne est devenue « un acteur global ». Evolution des jp de la
cour entre les compétences externes. Depuis AETR de 1971 jusqu’à un avis consultatif récent 2/15
conclue entre l’UE et Singapour.

1971 Commission c/ Conseil (AETR) : cour consacre des compétence implicites et la cour va étendre
le champs d’application de la politique commercial commune, de plus en plus de domaine relève de
cette politique = possible de conclure des accords commercial internationaux. Compétence exclusive.
A travers ses deux éléments cette jp autorise institution et en particulier l’UE a décider seul pour
conclure de plus en plus d’accord international. Effet boule de neige avec cet arrêt. Cet vision jp va se
développer considérablement jusqu’au traite de Maastricht qui marque une rupture dans cette
approche car cette vision des choses, il n’est plus possible a compter du traité de Maastricht car les
états transfert des compétences sensibles et les états ne veulent pas que UE et commission récupère
a titre exclusif ces compétences. On a un exemple débuté avec un premier avis de 1994.

1994 Avis 1/94 (accord Trip’s = accord sur les droits de propriété intellectuel) : question était de
savoir si un accord de Trip’s pouvait entré dans le champs de la politique commercial. La Cour va dire
qu’il faut regarder au cas par cas le contenue de l’accord du traité international et il faut identifier
qu’elle est l’objet principale du traité international. Si l’objet principal c’est de favoriser le commerce
international alors se traité peut entrée dans le champs de la politique commune, mais pas objet
principal faudra se tourner vers d’autre domaine qui ne sont pas forcément des domaines de
compétences exclusives. La Cour ne cherche plus a étendre le champs de la politique commercial
commune qui est exclusif pour intégrer de nouvelle matière, mais regarde le contenue et en fonction
contenue et contrôle elle le placera soit dans le champ de la politique commercial commune ou dans
un autre champs de politique. Elle applique la théorie du principal et de l’accessoire. Cet avis n’est
pas un revirement de jp mais atténuation de la jp AETR et il y a cet avis suivit par un autre avis.

2000 avis 2/00 (Protocole de Carthagène) : protocole sur émission de gaz CO2, limite ces émissions.
Ce protocole qui met en place le mécanisme des droits polluer, une bourse d’émissions de CO2,
chaque état a un droit de polluer dans l’année, si vertueux on récupère des sous à la fin de l’année et
si on est au-dessus on paye. La commission souhaite que l’UE ratifie ce protocole et la commission
considère que ce protocole relève de la politique commercial commune. Car objet du protocole est
de mettre en place un système financier d’échange d’obligation, certes obligation particulière mais
reste un instrument financier international. Certain nombre d’état et l’UE pas d’accord et considère
que l’objet principal n’est pas de mettre en place un marché financier, mais el principal c’est de
protéger l’environnement qui est une compétence partagée, il doit être signer par UE et états
membres. La cour retient la deuxième interprétation et estime que l’objet principal du protocole est
la protection de l’environnement et l’objet secondaire est le marché financier. En fonction du
domaine la nature des compétences varie.

16 mai 2017 avis 2/15 (Singapour) : dans cet avis il s’agit d’un accord très vaste conclus entre UE et
Singapour on retrouve environnement de domaine différent. La commission disait que c’était
compétence exclusive car concerner principalement des échanges commercial, principe de politique
commercial commune. La Cour était en difficulté car a eut du mal a identifier et a faire jouer la
théorie du principal et de l’accessoire. Car elle arriver pas a faire la balance des choses. Elle a proposé
autre alternative, en considérant qu’il était possible de séparer un seul traité international en
plusieurs domaine de compétence et selon les chapitres du traité certains relèveront d’une
compétence exclusive et d’autre compétence partagée, état signe le traité car les deux sont mêler.
Et ensuite UE et les états s’entendent entre eux aux moment de l’exécution du traité international.
D’un point de vue juridique c’est cohérent. On distingue ratification du traité international et
l’exécution du traité international (domaine par domaine). PERDU.

§5 : Les compétences dans le cadre de la PESC/PSDC

Article 3 point 4 du TFUE : elle parle d’une compétence mais on ce n’est pas si c’est exclusif ou
partagé seul hypothèse dans tout les traités est prévue une politique qui est majeur mais elle n’est
pas qualifiée et on ne s’est pas qu’elle est sa nature. Ce n’est pas un oublie des traités ou si lacune
elle est volontaire. Formé par la jp arrêt Rosneft de 2017 CJUE. La cour a toujours dit que les
compétence en matière de PESC et PSDC relève d’un régime juridique particulier, pas le même
qu’autre politique européen, régime juridique dérogatoire du droit commun. Des droits
fondamentaux s’appliquent a se principe. Les Etats ont prévue un régime dérogatoire car domaine
régalien et par conséquent les états souhaitent que ce domaine-là, ces politique demeure
intergouvernemental, ils ne veulent pas perdre la main sur ces politiques.

Qu’elle soit l’intérêt pour les états de transférer un compétence au niveau de l’Union sans lui
accorder une compétence définit, clair en matière de diplomatie et de défense ? Les Etats se sont
apperçut que très souvent sur les questions internationales, et stratégie internationales ne parlaient
pas d’une même voie. Cela explique qu’état européen joue un rôle faible sur la scène diplomatique
international. Européen a l’origine de l’accord de Vienne sur le nucléaire iranien. Mais il a suffi que
les EU se retire pour que cet accord n’est plus d’effet. Les états essayer de fabriquer du consensus
diplomatique européen. Car états obliger de ce retrouver et de discuter de ces questions et favorise
le consensus et très difficile de crée ce consensus dans ce domaine, la France veut qu’on développe
la défense européen, européenne se dote véritable force. Mais pas partagée par certains nombre de
l’UE.

Chapitre 2 : Les sources du droit de l’Union

D’où vienne les norme juridique ? Qu’elles sont les normes juridiques qui compose le système de
l’union ?

L’Union dispose d’un système de norme propre a l’Union et elle est propre a d’autre organisation
international, si on se place d’un point de vue normatif il y a des différences :

- Source normatif plus nombreuse dans le système de l’Union que dans le système
international publique :
- Le système juridique européen est moins lacunaire que celui dans le droit international
publique : car la CJUE comble ces lacunes, c’est déclarer compétente pour le faire. PERDU.
- L’autonomie de ce système juridique européen par rapport au système juridique nationaux
et international : le système juridique de l’UE s’autonomise des système juridique nationaux
et du système juridique international pour devenir un système juridique particulier grâce à la
CJUE.

La caractéristique de ce système juridique est sa grande hétérogénéité, surtout si on le compare au


droit international public. En droit européen la Soft law joue un rôle très important dans le cadre du
système juridique européen et économique européen.

Section 1 : Les sources internes

Celle qui découle dus système juridique européen lui-même.

§1 : Le droit primaire

Qui est au sommet. Le droit primaire c’est l’ensemble des traités qui fonde l’organisation. (Voir date
du power point). Les protocole et annexes même valeur que les traités. Charte droit fondamentaux
de l’UE car l’article 6 TUE a la même valeur que les traités. C’est le sommet de la pyramide normative
de l’UE dont découle normalement toute les autres sources normative et dans une logique
Kelsénienne suppose par conséquent que toute les autres normes du droit européen doivent être
conforme au droit primaire.

§2 : Les valeurs de l’Union : principe constitutionnelle de l’UE

Au cours d’une affaire Kadi jugé en 2008 concerne la lutte contreterrorisme internationaux. Le
problème fondamental qui se posait dans cet arrêt c’est que le requérant M. Kadi arrêter en Suède
au nom lutte contreterrorisme international et il avait devant les juridiction Suédoise la protection de
ces droit fondamentaux. Les autorités Suédoise, le juge avait dit qu’il n’était pas compétent pour
protéger les droits fondamentaux de cet individus car l’action pénal prenait appuie sur une décision
politique de l’UE. M. Kadi saisie la CourEDH en considérant que la Suède n’avait pas protéger ses
droits fondamentaux, pas le droit a un procès équitable. La CourEDH répond que l’UE pas partie a la
convention et donc comme UE n’a pas ratifié la CourEDH elle se déclare incompétente pour contrôler
cette violation. Ils se tournent vers le tribunal de l’Union et il répond que la décision politique de
l’Union se fonde sur une résolution du conseil de sécurité des nations Unies. Et pas compétent pour
contrôler même indirectement une résolution du conseil de sécurité des nations Unies. Cela montre
complexité des systèmes juridiques. Tout système juridique inters dépendant aujourd’hui. Il va
devant CJUE, et elle va raisonner de façon différente des autres juridictions. La cour considère que
l’UE est une union de droit qui repose sur des valeurs de l’article 2 TUE fondamental et la Cour
précise que dans l’ordre juridique de l’Union il existe des principes constitutionnelle et que parmi ces
principes il y a le principe du respect des droits fondamentaux qui devient un principe
constitutionnelle qui s’impose a toute les institutions y compris au juge. La Cour va s’autoriser a
contrôler la violation éventuelle des droits fondamentaux du requérant. Arrêt majeur. On retrouve
aussi cette arrêt dans la primauté de l’UE, arrêt fondamental. Dans l’espace normatif
constitutionnelle il n’y a pas que le droit primaire. A côté de ce droit primaire, enrichie de d’autre
principe constitutionnelle et en principe des droits fondamentaux le fondement est l’article 2 du TUE.

Section 2 : Les sources externes

Celle qui découle des système internationaux.

Cour du 22/10/2021 : 8 :00 :


La décision :

C’est un acte particulièrement contraignant sur un point de vue juridique. La décision n’a pas de
portée juridique général et par conséquent les décisions sont plutôt réservées ou une institution
souhaite s’adresser a certain destinataire d’où les décisions individuelle. Depuis le traité de Lisbonne
les décision actes individuelles mais depuis article 288 TFUE cette référence au caractère individuelle
n’existe plus, mais ce qui existe c’est « Lorsqu’elle désigne des destinataires ; elle n’est obligatoire
que pour ceux-ci » une décision ne peut concerner un nombre limite de destinataire qu’elle va elle-
même désigner. Mais pour les destinataires elle a les mêmes effets contraignant. Aujourd’hui il y a
deux grand domaines dans lesquelles la décision est particulièrement utiliser :

- Le domaine de la concurrence : commission européenne souhaite s’adresser à l’entreprise


elle adopte des décisions. Décision acte juridique de base.
- PESC : le conseil de l’Union peut adopter des décisions. Est-ce qu’elles sont ou peuvent se
rapprocher ou découle de l’article 288 TFUE ? Parfois on peut en douter, car ce son des
décisions dont le contenu est exclusivement vu que politique. Est-ce qu’on peut imaginer
avoir un acte obligatoire dans tous ses éléments (contraignant) a travers un contenue qui lui
est exclusivement politique ? Contradictoire. Avant entrée en vigueur du traité de Lisbonne
le Conseil adopté des décisions PESC, mais ce n’était pas l’article 288 TFUE. Avant grande
liberté pour les organes maintenant non. Certains auteurs disent que les actes pris dans la
PESC est qu’il se nomme décision ce n’est pas forcément suivant l’article 288 TFUE.
Les actes non obligatoire : L’article 288 TFUE prévoit une catégorie d’acte juridique non obligatoire,
car acte juridique ne lis pas, n’impose aucune obligation a leur destinataire. Ce sont les
recommandations et les avis. Pk prévoir une catégorie d’acte non obligatoire ? Pour codifier une
pratique car institution adopté des recommandations, avis et ces actes servent principalement à
informer leur destinataire = acte informatif. Certain acte = acte programmative. Soit il délivre de
l’information sur tel ou tel point ou vienne préciser l’information ou alors ils viennent présenter un
programme souvent fait par la Commission européenne qui adopte des recommandation et y
indique ce que sera son programme législatif pour les prochaines année, mois. Ex : Commission a fait
une recommandation en matière de santé publique et lutte contre les pandémie qui peuvent se
généraliser. Ils sont nombreux et forme se qu’on appelle la soft law = le droit souple.
Quantitativement le droit souple est plus important que le droit de l’Union. Il ne faut pas du tout la
négliger ces actes sous prétexte que l’article 288 TFUE dit ne lit pas. La CJUE considère que les
recommandations contiennent ou exprime un pouvoir de persuasions et d’incitation. Le juge pour le
juge lui-même, il identifie dans ses actes non obligatoire l’expression d’un pouvoir, mais pas pouvoir
de contrainte mais d’incitation et de persuasion.

En droit de l’Union, les institutions adoptent des actes qui ne sont pas prévue à l’article 288 TFUE.
C’est ce que la doctrine appelle parfois des actes hors nomenclature. L’article 288 TFUE découle du
traité de Lisbonne mais institution n’ont pas attendue Lisbonne pour adopté des actes. Il y a des
coutumes juridiques et procédurales qui se sont installé dans le temps et certaines institutions on
décider de dénommé elle-même, qualifier elle-même un certain nombre d’acte juridique. La plus
part du temps des actes juridiques non contraignant = soft law mais pas recommandation ou avis.
Comme ces actes découle d’une pratique institutionnelle mais ne découle pas de la volonté des états
= constituants, on ne les a pas inscrits à l’article 288 TFUE on a laisser une liberté à l’institution. Deux
exemples :

- Le Conseil de l’Union et même parfois le Conseil européen adopte des conclusions : acte qui
n’est pas dans l’article 288 TFUE, exprime une position politique a l’égard d’un sujet
particulier = on trouve l’expression d’un consensus sur un sujet particulier. Il est normal que
les conclusions ne comportent pas d’obligation juridique contraignante. Mais les conclusions
fixe un capte, un objectif et son adopté par les deux institutions les plus importantes de
l’Union. Les conclusions informe sur la volonté des principales institutions politiques d’agir
d’une manière ou d’une autre. Le contenue des conclusions se retrouve dans le programme
législatif de l’Union et quand le conseil européen adopte des conclusions la commission va
adopter des actes législatif.
- La commission européen a partir des année 80 a pris l’habitude d’adopté des livre blanc ou
vert : un livre vert = document de réflexion de manière un peut prospective sur les défis a
mener. Ex : livre vert sur les sources d’énergie en 2100 ou 2150. Livre blanc = programme
législatif fondé sur un livre vert. La commission propose au législateur des actes a adopté en
vue des défis a mener, y faire face. Ex : dans peut de temps livre blanc sur la politique de
l’énergie au 20ème siècle. La encore on constate que se sont des actes or nomenclature, acte
non contraignant, conséquence institutionnelle et juridique très importante car la
commission vient fixer programme sur plusieurs années.

Cette situation a emmener la CJUE a ne pas retenir une approche formelle, mais la cour a toujours
retenue une approche matérielle des actes, elle n’a jamais barré cette approche ce qui compte ce
n’est pas la dénomination de l’acte, forme mais ce qui compte c’est le contenue matérielle de l’acte.
Ce qui explique cette approche matérielle c’est précisément le caractère indéterminé, flou de certain
acte. 2 exemples :
- Premier exemple : les directives imposent des obligations de résultats mais laisse au états le
choix des moyens, mais il arrive fréquemment qu’une directive soit tellement précise dans
son contenue qu’en faite elle s’apparente a un règlement. Elle ne laisse pas de marge
d’appréciation a l’Etat. Finalement cette directive est formellement différente d’un
règlement mais matériellement identique.
- Deuxième exemple : la commission européenne elle adopte en matière de concurrence des
lignes directrices = cela sert, s’adresse essentiellement à l’entreprise privé, et elles viennent
présider la politique en matière de concurrence et en cas de non-respect de la concurrence.
On des informations très précise a l’adresse des entreprises sur mécanisme de sanctions de
la concurrence. Ces lignes directrices ne contiennent pas des obligations, donc formellement
les lignes directrices peuvent s’apparenter a des recommandations et des avis. Mais en
pratique ces lignes directrices vont être suivit majoritairement par les entreprises, les
entreprises modifie leur comportement sur le marché pour tenir compte des risques définit
dans ces lignes directrice, tenir compte des recommandations de la commission en matière
de comportement sur le marché. Cela ne joue pas uniquement sur le contenue de l’acte mais
aussi sur les effets de l’acte. Cela modifie comportement des destinataires qui ne veulent pas
subir un certain nombre de sanction. Information qui fait peur.

La CJUE ne retient pas approche formelle mais matérielle, la cour peut décider de requalifier
juridiquement d’un acte. Pour considéré qu’en faite cette acte qui au départ était un acte non
contraignant formellement est en réalité un acte contraignant matériellement. Finalement cette
jurisprudence a émerger dans le cadre des recours en annulation. Un requérant demande une
annulation d’une recommandation de la commission. Si on retient approche formelle c’est-à-dire on
se fonde que sur article 288 TFUE on dit que dans la mesure ou une recommandation n’entraine pas
d’effet juridique le requérant ne peut pas être affecter dans son patrimoine juridique du requérant.
On ne peut pas demander l’annulation qui n’a entraîna aucune conséquence dans notre droit, on n’a
pas intérêt a agir. Approche matérielle et qu’on étudie le contenue de l’acte. La cour contrôle le
contenue de l’acte. Est-ce que le patrimoine juridique du requérant est modifier, ou va modifier son
comportement ? Si réponse négatif sa ne lis pas. Mais si réponse positive, la cour requalifie l’acte
juridique en décision ou en règlement, déjà fait quelque fois. C’est la formule qu’elle emploi a
nouveau avec l’arrêt AETR 1971. Le critère décisif de l’arrêt AETR ce n’est pas qui a interpréter l’acte
mais c’est le critère juridique, l’acte doit produire des effets de droit. [Qualification juridique partie
du cour important].

§3 : Les principes généraux du droit

On les retrouve et on doit savoir leur valeur et leur portée. Elle est toujours délicate, car principe
dégager par le juge il y a chez certain un problème de légitimité de ce principe. Car le droit c’est la loi,
donc le législateur et pas le juge, c’est pourquoi certain comme Jean Rivero parle de gouvernement
des juges, publié un article en 1955 dans la revue Dalloz et a parler du gouvernement des juges pour
une décision de la Cour de cassation. Cette expression a été utilisé en lien avec PGD certain reprocher
au juge d’adopter des véritables normes qui sont des normes jurisprudentielle. Norme qui découle
aussi d’une interprétation des différents système juridique. En droit de l’UE on peut constater que la
CJUE a élaborer, découvert PGD, d’abord dans l’ordre juridique international permettant d’identifier
des PGD pour en faire des normes jurisprudentielles on a rencontré certaine de ces normes avec
principe de proportionnalité, issue des normes juridique internationales. C’est la même chose pour
principe de bonne foi. Plus récemment la cour a dégager principe sécurité juridique et confiance
légitime qu’on retrouve en droit adm français. Gouvernement des juges cela veut dire que la cour
cherche a crée c’est propre norme en essayant a se substitué au législateur mais en regardant dans la
jp elle tranche un litige, les norme jurisprudentielle en principe ne cherche cas trancher un litige
exercer son office. Mais il est vrai que la cour a pus dégager certain principe pas la pour trancher un
litige, c’est le cas en particulier du principe de primauté ne cherche pas uniquement a trancher un
litige mais un principe qui vient structurer l’ensemble du système juridique européen, articulation de
l’ensemble du système juridique de l’UE, c’est la colonne vertébrale du système juridique européen.
Dans certain cas rare mais existant la technique des PGD méthode de résolution des conflits. Pouvoir
normatif permet au juge d’exercer son office. Parmi les PGD il y en a certain qui sont spécifique qui
sont appeler plus tard des droits fondamentaux, enfin l’ordre juridique européen les appellent
comme ça. D’abord car il comble une lacune grave qui empêche en droit de l’Union de protéger
l’individu de certaine violation, ils ont un objectif particulier. Mais aussi leur valeur car valeur
constitutionnelle. Est-ce que l’on peut déduire que les PGD ont une valeur constitutionnelle
traditionnellement les PGD sont donc norme constitutionnelle. Les PGD en droit interne sont un
freins constitutionnelle supra législatif en France. Cette valeur commune a la plus part des états
membres de l’UE, explique que la question soit posée au niveau de l’Union. Droit fondamentaux
dégager par le juge, il faut leur reconnaître une valeur supra législative sinon on ne peut pas
contrôler l’action du législateur au regard des droits fondamentaux. La cour dans l’arrêt Kadi de 2008
puisque la Cour avait indiqué que le respect des PGD constitue un principe constitutionnelle de
l’ordre juridique européen, on a pu en déduire que PGD faisait partie de l’ordre constitutionnelle,
primaire européen. Aujourd’hui cette question ne se pose plus, car les droit fondamentaux sont
codifié dans un texte = charte des droit fondamentaux de l’UE, qui a la même valeur que les traités.
C’es bien une source de droit qui pose la question de la valeur de ces normes.

Section 2 : Les sources externes à l’ordre juridique européen

En dehors de l’ordre juridique. Dans la Constitution française il y a l’article 55 de la C° qui prévoit


qu’un traité régulièrement ratifié est bien s’impose dans l’ordre juridique français, y compris au
législateur. Ici de ce point de vue, pour régler la question de la valeur international, législatif infra
constitutionnelle. Permet de conclure un certain nombre de traité internationaux qui ont des formes
multiples dans des domaines multiples. Même l’UE est un acteur international très dynamique. Ces
traités sont la plus part du temps négocier par la commission européenne qui agis au nom de l’Union
et ratification a la fois par le conseil de l’UE et les EM. Dans des cas très spécifiques il faut aussi
recueillir l’approbation du parlement européen. La Cour va venir dire que ces accords régulièrement
ratifié font partie intégrante du droit de l’UE ce qui n’est pas illogique le fait que ces traités ont une
valeur supra législatif, la difficulté principal c’est la question de leur invocabilité par les particuliers.
Source externe qui découle de l’ordre juridique international on peut ajouter a ces sources externes
internationales certains accord conclue par les Etats peuvent devenir en quelque sorte du droit
commun quand l’Union prend la place de l’Etat qui l’a signé avec d’autre Etat ou d’autre organisation
international. On trouverait aussi des PGD issue de l’ordre juridique international et la CJUE va se
référé a c’est PGD pour les intégrer dans l’ordre juridique européen. Cela montre qu’ordre juridique
ne sont pas des système clos mais poreux ou norme peuvent circuler en passant d’un système
juridique a un autre. Dans source externe il y a des sources national et constitutionnelle = tradition
constitutionnel commune. Ensemble des normes Nationals issue des ordres juridiques nationaux qui
se voit reconnaître une valeur constitutionnelle, dans la plus part des cas ces traditions fond
référence au droit fondamentaux protéger en droit national.

La pratique des tradition constitutionnelle commune a permis parfois de faire passer une norme
constitutionnelle national dans un autre système national. Elle a eu pour effet parfois de faire
apparaitre de nouvelle tradition au sein des EM. Ex : en droit constitutionnelle allemand il y avait un
principe bien établie = principe de la confiance légitime, il voulait dire que c’est la confiance que
peuvent avoir opérateur économique dans le législateur et le gouvernement. Ils peuvent revendiquer
cette confiance car il faut protéger, bénéficie d’une certaine sécurité, pour des motifs économiques.
Ce principe connue quand Allemagne. En 1979 la CJUE décide de consacrer ce principe de la
confiance juridique dans l’ordre juridique européen. Certain devant juridiction français vont évoquer
le principe de confiance juridique. En 1984 un arrêt du CE Alivar, consacre pour la première fois le
principe de la confiance légitime en droit français.

On pourrait dire que l’Union est entrain elle-même d’élaborer ces propres tradition constitutionnelle
au sein de l’ordre juridique européen, permet à l’UE de ne plus piocher dans les traditions
constitutionnelle commune mais dans les siennes.

Cour du 27/10/2021 : 11 :00 :


Principe de la hiérarchie des normes :

Pour apprécier une norme il faut apprécier cette norme par rapport a une norme supérieur, contrôle
de la validité d’une norme au regard d’une norme supérieur. Les normes supérieur du droit de l’UE
est le droit primaire = ensemble normatif supérieur qualifié d’ensemble constitutionnelle car on est
sur un modèle se rapprochant du modèle interne, car on retrouver sur le plan interne la hiérarchie.
Ce qui peut posé débat se sont les normes inférieur. Il faut s’attarder sur celle qui ont posé un certain
nombre de difficulté et aujourd’hui un certain nombre de question. Principe généraux du droit
s’inscrive dans la hiérarchie sous le droit primaire valeur infra-constitutionnelle mais a priori on une
valeur supérieur au droit dérivé, ce qui est logique en droit de l’Union, les principes généraux du
droit regroupent les droits fondamentaux et les principes fondamentaux. Finalement la valeur infra-
constitutionnelle logique dans le cadre de la construction du droit de l’Union du fait du contenue des
PGD. Dans un arrêt Audiolux 2009 CJUE « les principes généraux du droit communautaire se situé au
niveau constitutionnelle » a partir de cette arrêt la cour considère que les PGD on la même valeur
que le droit primaire = valeur constitutionnelle. Pour comprendre cette jp la cour en 2009 considère
qu’avec entrée en vigueur du traité de Lisbonne les droit fondamentaux acquière une valeur
constitutionnelle car les PG contiennent droit fondamentaux alors ils deviennent aussi principe
constitutionnelle. Volonté du juge européen de constitutionnaliser son ordre juridique et renforcer le
principe de la hiérarchie des normes. Ensuite dans les autres normes = autres catégorie d’acte on a
les acte juridique internationaux. Place des traités internationaux n’a jamais varié on une valeur
infra-constitutionnelle car UE ne peut pas conclure un traité international pas conforme a la c°. La
cour a toujours indiqué que disposition international s’impose au législateur, valeur supra-législative.
C’est une manière pour la CJUE que l’UE participe bien au système juridique international. Les Etats
ou institutions peuvent saisir la CJUE apriori avant conclusion d’un accord international = procédure
d’avis.

Le droit dérivé : règlement, directive… On peut écarté une pbm le droit dérivé doit toujours être
conforme au droit primaire car dérive du droit primaire. Mais il y a une pbm qui a soulevé un certain
nombre de question et fait un certain nombre de contentieux existe-il une hiérarchie interne au droit
dérivé ? Il y a eu une évolution qui n’est pas tout à fait satisfaisante, dans un premier temps comme
question par régler par les traités. La CJUE vient combler une lacune. Arrêt Koster de 1970 CJUE
permet de clarifier cette question et car c’est une jp constante de la cour. La Cour a dit « en faite
dans le cadre des actes de droit dérivé il faut distinguer entre les actes de base et les actes
d’exécutions ». L’acte de base = acte législatif, ou quasi législatif, acte qui contient grand objectif
poursuivit par les institutions, contient objectif définie par l’auteur de l’acte. Très souvent en droit
européen cette acte européen n’nécessite des actes d’exécution = acte complémentaire. Et la cour
en déduit que les actes de base prévalent sur les actes d’exécution. Cette jp difficile à mettre en
œuvre car institution grande liberté normative on le choix des actes en fonctions de la base juridique
et quelquefois difficile en pratique de différencier entre acte de base et d’exécution. La classification
opérer par l’arrêt Koster était difficilement applicable parfois. Depuis traité de Lisbonne il a été
instaurer une nouvelle classification :

- Acte législatif :
- Acte délégués :
- Actes d’exécution :

A priori une hiérarchie entre eux en premier acte législatif et ainsi de suite. Le Traité sembler
instaurer une sorte de hiérarchie formelle entre les différents actes.

Un acte législatif = est un acte adopté par le législateur. Ce qui est radicalement différent de l’article
34 de la C° française puisque le domaine de la loi renvoi a certain domaine matérielle, la loi n’est pas
définie du fait que c’est le législateur qui l’adopte mais par son contenue, matière relève de la loi et
du règlement. En droit de l’Union critère différent pas critère de la matière mais celui de la
procédure qui est auteur de l’acte ? Si on approfondie cette question un acte législatif est celui
adopter par le législateur et donc par le parlement selon la procédure législative ordinaire. Toute
acte qui suppose l’intervention du parlement c’est un acte législatif. Quelque soit la forme de l’acte
directive, règlement et quelque soit le contenue de l’acte, environnement, politique social… Cela
montre que le constituant = état membre ont souhaité que la hiérarchie prenne appuie sur le
principe de démocratie.

Les actes délégués : c’est un acte qui vient compléter un acte législatif ou modifié par fois mais de
manière non essentielle un acte législatif. Et si on parle d’acte délégué c’est que le législateur peut
délégué cette fonction a d’autre institution et en particulier a la commission européenne. Cette acte
délégué peut revêtir plusieurs forme = règlement ou directive. La différence entre les acte législatif
et délégué c’est qu’acte délégué pas d’intervention du parlement européen. Et on comprend pk un
acte délégué a une valeur inférieur a un acte législatif du fait de la délégation. Enfin il existe des actes
d’exécution = pas pour objet de compléter ou modifié acte législatif mais vient préciser dans qu’elle
condition va venir s’exécuter l’acte législatif, condition de mise en œuvre. Clarification qui n’est pas
parfaite avec traité de Lisbonne. Dans la mesure ou différent acte peut être adopté selon des formes
très libre il arrive encore parfois qu’on ne sache pas très bien si un règlement est un acte délégué ou
d’exécution. Pas de doute sur l’acte législatif. Si le législateur délègue son pouvoir a la commission
pour exécuter un acte la commission ne peut pas profiter de cette délégation de pouvoir pour
compléter l’acte législatif hors sa arrive parfois. Quand confusion arrive l’acte peut être annulé. Les
actes bénéficient d’une présomption de conformité. Mais présomption simple car si un acte pas
conforme au principe de hiérarchie et contrevient a une norme supérieur on peut en demander
l’annulation.

Principes de la sécurité juridique des actes :

Cela renvoi a deux choses publicité et motivation.

Publicité : Nul n’est censé ignorer la loi et pour la connaître faut la rendre public et la publicité passe
par la publication des actes juridiques passe par l’intermédiaire du journal officielle. Par conséquent
cette publicité assure a la fois la transparence diffusion du droit mais a aussi implication procédurale
car a compter de la publication au JO de l’UE que l’acte commence a produire des effets juridique et
peut avoir des effets sur les délais de recours. Tout acte juridique est publié obligatoire et non
obligatoire. C’est important de faire cette précision la CJUE ne s’attache pas a la forme de l’acte ou a
la dénomination de l’acte mais a son contenue et peut requalifier un acte juridique. Un avis peut être
requalifié en acte obligatoire.

Obligation de motivation : tout les Etats de droit connaisse l’obligation de motivation des actes. Il
faut expliquer le sens du droit qu’on vient adopté dans un acte juridique. D’ailleurs en droit de l’UE,
beaucoup moins le cas en droit interne, comme adoption des actes au sein de l’UE nécessite 27 voies
passe par beaucoup de consensus explique qu’acte législatif au sein de l’Union ont une application
très longue car vote très long. En droit de l’Union la qualité est parfois défaillante, la motivation
parfois très faible. Deux exemples :

- Principe de subsidiarité : oblige l’union a rapporter la preuve que l’action soit plus
importante que celle des états. On peut penser cas partir de cette consécration le législateur
attentif au principe à chaque fois motiver au regard du principe de subsidiarité mais en
réalité il n’en est rien. Fait une référence formelle au principe de subsidiarité. Alors qu’on
attendrait une motivation plus substantielle.
- Référence a la charte des droits fondamentaux : la charte des droits fondamentaux adopté
dans l’objectif d’imposer à l’institution le respect des droits fondamentaux, la charte ne
s’intéresse pas au individus mais d’abord à l’institution qui respecte bien droit
fondamentaux. On pourrait penser que le législateur était plus attentif. Dans la quasi-totalité
des cas le législateur fait juste un renvoi formelle a la charte. La conclusion qu’on peut tirer
c’est que les institutions respectent insuffisamment cette obligation et explique qu’un certain
nombre d’acte dérivé soit annuler par le juge de l’Union, conséquence très grave car quand
on annule un acte législatif on supprime une réglementation commune pour 27 Etats et cela
suppose d’adopté un nouvelle acte avec procédure très lourde derrière.

Partie II : Les principes juridiques du droit de l’Union européenne

L’existence d’un système juridique composé de normes, norme contenue dans un ensemble
autonome qu’on a put parler de système juridique. Mais cela ne suffit pas, ensuite faut venir
structurer ce système juridique. Il faut définir les rapports entre les différents système juridique
entre système juridique européen et nationaux. Car l’UE comme ancienne communauté est une
organisation d’intégration, pouvoir d’adopté un droit qui peut s’intégrer dans les système juridiques
nationaux. On a la situation qui n’est pas paradoxale on a la situation suivante, des systèmes
autonomes mais des systèmes ouvert. Système qui n’est pas hermétique ou norme peuvent circuler
d’un système juridique a un autre. L’effet direct et la primauté permette de voir et de comprendre
comment une norme européenne peut produire des effets au sein des système juridiques nationaux.
Autre éléments le fait que le patrimoine européen affecte le patrimoine des particuliers il faut voir
comment le droit de l’UE produit des effets à l’égard des particuliers, destinataire pas que états mais
aussi personne physique et moral. PERDU.

Cour du 10/11/2021 : 11 :00 :


Arrêt de 1963 pour al première fois la question est posé à la CJUE si un particulier peut invoqué une
disposition du droit communautaire. Cette question est l’effet directe = caractéristiques certaine
normes juridique permet d’être invoqué par des particuliers. Cette question posé à la CJUE n’est pas
une première en droit international puisqu’il arrive éventuellement que certaine disposition soit
aussi revêtue d’un effet directe = self executing = possibilité pour certaine norme de droit
international de produire effet juridique a l’égard des particuliers. En droit international la plus part
des normes pas revêtu d’un effet directe car en droit international dans l’ordre juridique
international les sujets principaux sont les états les individus pas de reconnaissance dans l’ordre
juridique international.

La CJUE aurait put a nouveaux reprendre en quelque sorte la philosophie du droit international
publique, prendre a son compte que les communauté européenne on crée un ordre juridique qui
parle au états. Elle a choisi une solution différente car partie d’un postulat que les communauté
européenne constitut « un nouvelle ordre juridique de droit international », faut la comprendre
comme un ordre juridique original différent de l’ordre juridique international. En quoi l’ordre
juridique communautaire est-elle originale ? C’est la ou la cour apporte une réponse, ordre original
car dans l’ordre juridique communautaire sujet son les états mais aussi également leur ressortissant
c’est-à-dire personne physique. Le droit communautaire pas un droit qui s’adresse uniquement au
états mais aussi à l’individu à partir de cette affirmation on comprend mieux pk la CJUE considère
qu’on peut reconnaître un effet direct au droit communautaire mais qu’on peut reconnaître un effet
directe très étendu au droit communautaire. Dans l’arrêt de 1963 la Cour fait du principe de l’effet
directe le principe et non plus l’exception alors que dans l’ordre juridique international le principe est
l’exception, principe = ordre international s’adresse qu’au état ou à titre principal aux états. Dans
l’arrêt 1963 dernier points (troisième §) la cour va aller un peut plus loi, elle étend la porter de l’effet
directe. La Cour va dire d’abord qu’on peut invoqué le droit communautaire quand le droit s’adresse
a eu, confère au particulier des droits. Lorsqu’un acte de droit communautaire confère des droits au
particulier les particuliers peuvent invoqué les actes de droit communautaire. Mais la Cour rajoute un
point elle dit que les particuliers pourront aussi invoqué le droit communautaire lorsque les Etats non
pas respecter leur obligations. Point essentielle, lorsqu’un état ne respecte pas ses obligations ex : un
état ne transpose pas une directive cet état va empêcher des individus d’accéder au droit contenue
dans la directive. Peuvent invoqué le droit communautaire pour rétablir les droits. Porter
extrêmement large favorise pour les particulier l’invocation du droit communautaire.

L’objectif es d’unir les peuples européens. Pour la Cour toute cette construction est faite pour les
individus plus que pour les états et la cour peut s’appuyer dessus. Mais derrière cette argument
juridique il y a un argument jurisprudentielle. Argument = la Cour c’est très bien que les états ne
respect pas toujours leur obligation, et finalement la Cour a peut de moyen d’imposer ses décisions
aux états. La Cour en procédure civil n’a pas d’obligation forcé de ses arrêts = ne peut pas
contraindre les états a respecter ses opinions. C’est cette vision de l’effet direct qui est inscrit dans
l’arrêt de 1963 est un arrêt de principe car fondateur mais jp constante jusqu’à aujourd’hui la cour
n’a jamais varié sur l’interprétation de l’effet directe.

Cependant il y a des limites a la reconnaissance de l’effet directe. A propos des critères de l’effet
direct. Même si effet directe ou principe a une porter juridique très large on peut dire c’est que toute
les normes, disposition du droit européen ne sont pas revêtu d’un effet directe, par ce que la cour a
nouveaux va définir qu’elles sont les critères de l’effet directe, sous qu’elle condition un particulier
peut invoqué disposition du droit européen.

Critère clarté et précision de la norme juridique : il faut que le juge en principe puisse identifié
clairement un droit ou des droits au profits du particulier, la norme doit être suffisamment clair et
précise et permet pour le juge de savoir si cette norme accepte patrimoine juridique du particulier et
pour savoir s’il est affecté et modifié par norme européen il faut savoir si norme confère droit
nouveaux a se particulier. Car si manque de clarté ou imprécision, le particulier ne pourra pas
rapporter la preuve d’une affectation directe, question de preuve. Prouver que patrimoine juridique
affecté par la norme. Dans arrêt Barber 17 mai 1990 la CJCE a dit que la norme n’est pas claire et
précise et laisse un doute dans l’esprit du juge le juge peut éventuellement essayer de clarifier la
norme = interprète la norme. La CJCE incite les juge nationaux a interprété le droit communautaire
au profit du particulier. Il ne soulève pas de problème majeur.

Le critère de l’inconditionnalité : pour qu’un particulier puisse invoqué directement une norme
européenne il faut que cette norme produise par elle-même des effets juridique, pas soumise à des
mesures ultérieure d’exécution. L’idée que le particulier peut se prévaloir directement de cette
norme sans avoir besoin d’attendre d’autre chose, adoption d’une norme ou certain délais, la norme
produit directement des effets juridiques. Effectivement une directive ne peut pas en principe être
revêtue d’un effet directe car une directive suppose des mesures de transposition national, elles ne
sont pas inconditionnelles. Critère constant de la CJCE.

Le critère de deux formes d’effet direct : deux possibilité, hypothèse d’invocation d’une norme
communautaire par le particulier devant le juge :

- Vertical : lorsqu’individu invoque le droit européen a l’encontre de l’état. Personne/Etat. Etat


entendu au sens large, état central mais aussi collectivité, ou d’entreprise détenue par l’état.
C’est l’effet directe vertical. Cela marche dans les deux sens. Le particulier peut invoqué
disposition européenne à l’encontre de l’état et inversement. Ex : l’ACNEEL a demander a
Facebook et Google de respecter disposition a caractère professionnelle et l’ACENEEL c’est
appuyer sur le RGPD (droit européen), litige vertical entre autorité publique de contrôle et
entreprise privé. Intérêt de la Cour de reconnaitre droit au particulier soit directement ou
indirectement.
- Horizontal : hypothèse particulier invoque droit européen envers un autre particulier. Litige
horizontal.

Il faut regarder source juridique par source juridique.

Les sources internes : le droit primaire constitué charte fondamentaux et des traités. Traité
contiennent certain nombre de disposition revêtue d’effet directe s’adresse pas qu’au état mais aussi
au particulier, après l’arrêt de 1963, les traités contiennent des dispositions d’effet directe et peut
être vertical et horizontale. Il est possible lorsque disposition revêtue effet directe il est possible
d’invoqué disposition des traités dans un schéma vertical et horizontal. Il y a des dispositions
économique = libre circulation et concurrence. Il y a malgré tous des disposition qui ne sont pas
revêtue d’effet directe. Car disposition des traités qui font une marge d’appréciation à l’état ou à
l’institution clair et précise mais pas inconditionnelle car marge d’appréciation fait obstacle a cette
conditionnalité. Certaine disposition ne confère aucun droit au particulier. On pourrait appeler cela
des dispositions descriptive = décrire situations juridique sans conféré des droits. C’est le cas
notamment des dispositions institutionnelles. Le parlement est composé 705 député cette
disposition n’ouvre aucun droit, c’est purement descriptif. Charte droit fondamentaux même valeur
des traités, relève du droit primaire. Dans charte des droits fondamentaux il y a des droits de
premières générations, civil et politique qui sont des droits subjectifs qui confère directement des
droits au particulier. Disposition peut être invoqué dans un litige vertical qu’horizontale. Elles
remplissent critère d’effet directe par nature. Mais dans la charte on trouve aussi des droits
économique sociaux et culturelle = deuxième génération, qui sont pour la plus part des droits
créance et pas subjectif = droit qui d’abord et avant tout impose des obligations à l’état ex : droit au
logement = obligation pour l’Etat que chacun est accès a un logement digne et décent. Dans la
mesure ou ces droits de créance ne sont pas droit conditionnelle, ne remplit pas tous les critère de
l’effet directe. PERDU
Si on se réfère au critère de l’effet directe en partant de l’arrêt de 1963, la question de l’effet directe
des directive n’aurait jamais dû se posé car point de vue théorique disposition d’une directive ne
peut jamais être revêtue d’un effet directe. Il n’y a pas une seul raison mais trois raisons :

- Article 288 TFUE : une directive ne produit pas immédiatement des effets juridique car
nécessaire de la transposé, obligation de transposition. Il peut sembler logique dans la
mesure ou nécessité transposition préalable qu’un particulier peut pas invoqué la directive.
- Transposition rend directive conditionné : transposition mise en œuvre de la directive,
directive ne remplit pas l’un des effets de l’effet directe.
- Seul destinataire sont les états et pas les particuliers : lorsque législateur adopte directive ne
s’adresse jamais au particulier.

Juridiquement argument imparable si la CJUE PERDU.

L’effet directe peut naître lorsqu’un état ne respecte pas ces obligations, le particulier va avoir un
droit nouveaux = droit invoqué droit communautaire pour obligé l’état de respecter son obligation.
PERDU.

La Cour fait évoluer sa jp en considérant qu’il y a des hypothèses rare et qui peuvent survenir ou un
particulier pourra invoqué les dispositions d’une directive. Hypothèse on particulier il invoqué
directive mais au sens des traités ne peut pas le faire, il peut le faire lorsqu’au therme de
transposition de la directive, il faut laisser s’écouler un certains temps le particulier peut rapporter la
preuve de deux éléments cumulatif, rapporter la preuve que l’état n’a pas transposé la directive ou
mal transposé la directive au therme du délais de transposition pas avant. Deuxième élément le
particulier doit démontrer que disposition de la directive qu’il invoqué remplisse critère effet directe.
Sachant que dans cette hypothèse l’effet directe ne peut pas jouer au sens inverse, l’état ne peut pas
invoqué a l’encontre du particulier les dispositions d’une directive qu’il n’aurais pas transposé ou mal
transposé mécanisme de l’estopelle = état invoque une norme a l’encontre d’un particulier. La Cour
considère qu’on utilise l’adage « nul ne peut invoqué sa propre turpitude » qu’un état qui n’a pas
transposé la directive ou mal transposé peut pas imposé une obligation a un particulier sachant qu’il
n’a pas remplie ses obligations. Absence d’effet vertical inverser directe lilly France SA du 23 juin
1995 CE, l’état veut appliquer disposition directive très mal transposé en droit interne. Cette
possibilité ouverte au particulier d’invoqué les dispositions consacré autre arrêt de principe arrêt Van
Duyn du 4 décembre 1974 confirmer par Ministère public c/ T. Ratti 5 avril 1974. Si on ne reconnait
pas au particulier et au juge national la possibilité d’appliquer des dispositions issue d’une directive
on contrevient, on met en péril l’effet utile de la directive elle-même, on réduit l’effet juridique de la
directive car état peut continuer a pas respecter ces obligations. On ne parle qu’effet directe vertical
des directives.

Déni d’effet direct « horizontal » la cour a dit que non CJCE 14 juillet 1994 Faccini Dori pas possible
de reconnaître effet direct horizontal à l’effet d’une directive. PERDU.

Première atténuation la cour a préciser que si une directive concrétise un droit fondamental cette
disposition peut être invoqué dans un litige horizontal.

Deuxième atténuation même si on ne peut pas invoqué directive dans litige horizontale état soumis a
certaine obligation.

Cour du 17/11/2021 : 11 :00 :


L’effet direct des directives génère le plus de contentieux en droit de l’UE. Pour les particuliers
d’invoquer des directives quand pas transposé ou mal transposé par un état, possibilité pour les
particuliers d’accéder a des droits reconnue par le droit de l’UE qui ne peuvent pas exercer en
l’absence de transposition ou une mauvaise transposition. Pour palier cette difficulté CJUE fait une jp
en deux temps deux hypothèses :

- Particulier invoque directive contre l’état : effet directe vertical cour a admis que si Etat a pas
transposé directive ou mal transposé particulier peut l’invoqué a l’encontre de l’Etat.
Inaugurer par l’arrêt Van Duyn de 1974. Mais CJUE a toujours refuser d reconnaître effet
horizontal au directive a l’égard d’un autre particulier et l’avait justifié en considérant que
cela reviendrait a imposer obligation a un autre particulier et non pas a l’état. Particulier
devrais avoir la charge d’obligation découlant de l’UE.
- Deuxième temps : affaire AMS de 2014.

L’arrêt AMS de CJUE 2014, association poursuivant objectif social et un salarié veut se déclarer
représentant des membres de l’association, le droit français ne permet pas et n’autorise pas de
manière automatique des salariés dans l’entreprise. Comme association médiation social n’a pas
assez de salarié automatiquement puisse se déclarer représentant de ces personnelles, or le salarié
considère que la réglementation française contraire au disposition d’une directive et a représenté
salarié au sein de l’entreprise. Question relevant bien en premier occurrence de l’effet direct
horizontal de la directive. Salarié veut s’appuyer sur la directive pour obliger employeur a reconnaître
qualité de représentant du personnelle, ne peut pas s’appuyer sur le droit national. Le raisonnement
de la CJUE qui a une question préjudicielle de la Cour de cass sur cette question pour savoir si la Cour
de cass applique droit national ou la directive dans un litige horizontal. La CJUE aurait put utiliser
cette affaire pour procéder a un revirement de jp mais ne le fait pas. Elle constate dans un premier
temps qu’il y a bien une incompatibilité entre droit national et disposition de la directive litigieuse. La
transposition de la directive par la France n’est pas tout à fait conforme, mauvaise transposition qui
est trop restrictive. Mais la Cour ne veut pas revenir sur sa jp. Elle considère quand l’espèce, litige
horizontal il n’est pas possible d’invoquer directement les dispositions de la directive. La CJUE dit au
juge national a procéder a une interprétation conforme au droit national au regard de la directive.
Ces une notions qu’on retrouve avec la primauté, interprétation conforme = il faut que le juge
national selon CJUE procède à une interprétation de ces règles Nationals qui soit compatible avec
objectif de la directive. Mais en l’espèce dans l’affaire AMS cette interprétation conforme n’est pas
possible car il existe une trop grande différence, incompatibilité entre la disposition national et celle
de la directive. Alors il y aurait peut-être une alternative malgré tout, ce serait de tordre le droit
national par la méthode d’interprétation, même en cas d’incompatibilité le juge national peut faire
interprétation tellement extensive du droit interne qu’on aboutirais a une compatibilité mais cette
solution n’a jamais était envisagé par la CJUE, elle n’a jamais demander cela au juge national, car si
elle imposer une tel solution au juge national cela ferais que juge nationaux ferais une interprétation
contrat legem = contre la loi. Si la CJUE exiger a des interprétations contrat legem cela placerais ces
juges dans une position très délicate et remettrait en cause leur légitimité. La CJUE arrive au
troisième temps en disant que dans cette hypothèse le requérant engage la responsabilité
extracontractuelle de l’état pour manquement a ces obligations européenne de ne pas avoir
transposé conformément la directive. Cela oblige la CJUE a des contorsion jurisprudentielle délicate
et qui n’aboutisse pas a une situation satisfaisante. C’est-à-dire retourner devant le TA et après CAA
et après CE. Il y a quand même des situations susciter par ces jp et situation ou le justiciable en
pratique est privé d’un certain nombre de droit. D’un point de vue théorique on peut toujours
demander d’engager la responsabilité de l’état mais c’est couteux et délais très long et surtout avec
incertitude. Réponse très insatisfaisante.
Arrêt CJUE Mangold 2005 et CJUE 2010 Kücükdeveci = retraite des avocat et certain avocat avait dit
que législation allemande était contraire a certaine directive dont la discrimination en raison de l’âge.
En obligeant avocat a partir a la retraite alors qu’il pourrait continuer d’exercer leur profession. Litige
de nature social et soulève problème de litige horizontal. La CJUE dit que la directive concrétise un
principe général du droit = principe non-discrimination en raison de l’âge. Et ce principe se retrouve
dans la charte des droits fondamentaux de l’UE et par conséquent y compris dans un litige horizontal
un particulier peut invoqué ce principe concrétiser par ce principe. La CJUE va interprété la directive
et s’interroge sur le contenue et constate qu’il y a la concrétisation du droit se retrouvant dans la
charte et le particulier peut invoqué ce principe dans un litige horizontal. Doctrine : hypothèse
permettant au particulier d’invoqué disposition directive dans un litige horizontal. Mais lecture très
extensive car ce que permet, autorise la cour ce n’est pas d’invoqué la directive mais invoqué un
principe directeur du droit. Un particulier peut invoqué un PGD même dans litige horizontal. La cour
essaye de faire croire que dans directive certaine disposition sont invocable dans litige horizontal
quand sa concerne PGD. La CJUE emploie la notion de concrétisation, elle concrétise le principe elle
ne consacre pas le principe. La directive ne fait pas naître se principe il préexiste à la directive. La
CJUE refuse catégoriquement de reconnaître un effet direct horizontal au directive, imagine
alternative interprétation conforme, concrétisation, universalité. Mais sont des alternative très limité
et pas satisfaisante de la protection des particuliers.

Effet directe des normes externes à l’ordre de l’UE : et effet directe des accords internationaux :

Accord internationaux = accord conclue par l’UE. C’est accord constitue une source normative
importante car UE a conclu nombreux accords. Et on a des traités et jp de la cour article 216TFUE et
jp Haegeman de 1974 montre que ces accords s’intègrent dans les sources de l’UE, constitue des
actes normatifs et par conséquent si accord constitue des actes normes normatifs cela pose la
question de l’effet direct. Auteur Mefrany met en lumière l’élément important l’une des particularité
des accords internationaux donne grande marge de manœuvre au partie. Il dispose d’une marge
d’appréciation importante et plus importante pour acte de droit interne. Très souvent au nom
souveraineté des Etats on une marge d’interprétation plus large. Car parmi les critères de l’effet
direct il y a celui de l’inconditionnalité le fait de reconnaître marge d’appréciation au partie en
matière conclusion international s’oppose au critère de l’inconditionnalité. Difficile d’admettre
inconditionnalité accord international en reconnaissant marge d’appréciation importante au partie.

Affaire Mugraby de 2012 a nouveaux on retombe sur question effet direct et protection des droits
des particuliers. En 2005 le parlement européen a décider d’inviter M. Mugraby avocat libanais et
très connue au Liban car intervient dans média libanais en évoquant les violations au droit de
l’homme au Liban. Invité pour évoquer la question de la protection des droits de l’homme au Liban et
les violations des droits au Liban. Il rentre au Liban et le gouvernement libanais adopte des mesures a
son encontre dont mesure pénal interdire d’exercer son activité professionnelle pour avoir dénoncer
les violations au Liban commis par le gouvernement libanais. M. Mugraby il va demander à la
Commission européenne et au Conseil de suspendre l’accord d’association entre le Liban et l’UE. Il
s’appuyé sur l’accord international lui-même car il a constaté qu’il existe une clause droit de l’homme
= clause qui prévoit que si une partie viole ces objectifs de droit de l’homme l’autre partie peut
suspendre ses obligations. M. Mugraby demande cela à l’UE. La Commission et Conseil réponde qu’ils
vont engager discussion politique avec le Liban sur cette question droit de l’homme mais qu’il ne
compte pas suspendre l’accord. Il décide devant juge de l’Union d’engager responsabilité des
institutions pour avoir refuser d’enclencher la clause droit de l’homme. Le juge saisie de l’affaire et la
première question qu’il doit se poser c’est que recours de M. Mugraby est fonder sur la disposition
d’un accord international et donc sur le clause droit de l’homme. La Cour est obligée de s’interroger
sur l’effet direct de cette clause. Le juge constate que cette clause est claire et précise, pas de
difficulté dessus, comporte des obligations à la charge des parties en cas de violation. Deuxième
étape est ce que la clause est inconditionnelle. La Cour constate que chacune des parties dispose
d’une large marge d’appréciation pour apprécier l’ensemble de l’accord. Juge pas compétent pour
interpréter l’accord, interprétation authentique est celle entre les parties. Ce que constate la cour
c’est que clause droit de l’homme laisse au partie le soin de trouver les solutions, remède les plus
approprié à chaque situation. Non seulement partie on large marge d’appréciation mais en plus si
violation clause droit de l’homme ils ont des moyens. Simple déclaration politique jusqu’à la
suspension total de l’accord éventail laisser a l’appréciation des états. La CJUE clause pas revêtue
effet direct et donc M. Mugraby ne peut pas l’invoqué pour demander la suspension de l’accord.

En matière international la CJUE fait preuve d’appréciation très restrictive de l’effet directe. On peut
prendre comme deuxième exemple le contentieux concernant le droit du commerce international le
GATT/OMC. Question pratique et concerne ensemble entreprise en Europe et soumise a ces accords.
Cela a généré beaucoup de contentieux. La réponse de la CJUE : pour reconnaître un effet direct au
disposition d’un accord international commercial il faut généralement que les partie est reconnue
expressément cette effet directe, si les parties on reconnue expressément effet directe une
entreprise, opérateur économique peut invoqué disposition GATT/OMC. Exceptionnelle que les états
reconnaissent effet directe de ces dispositions, sinon pas d’effet directe car Etat garde une marge
d’appréciation. Il y a eu une évolution CJUE Portugal c/ Conseil de 1999 alternative, la CJUE a
considéré que si al disposition invoqué par employeur économique pas d’effet direct le juge national
a un rôle d’interprétation conforme, le particulier ne pourra pas invoqué directement une disposition
GATT/OMC mais obliger juge national interprété droit national en fonction de cette disposition. Une
foie encore on peut imaginer l’hypothèse où on ne peut pas faire une interprétation conforme car
norme national et norme GATT/OMC trop différente. La dernière solution possible est l’engagement
de la responsabilité de l’Etat, avec difficulté de cet engagement. Ces pour ça que certaine entreprise
essaye d’invoqué responsabilité de l’UE qui devrais reconnaître un effet directe à toute les
dispositions de GATT/OMC. La Cour n’a jamais voulu franchir le pas.

Arrêt de la Cour de 2008 dans une affaire FIAMM pose un problème du respect des opérateurs
économique. Concerne la protection des intérêt économiques des entreprises. Ces un litiges
soulevant des questions comme la plus part entreprise USA. Enorme litige commercial a propos de la
banane entre USA et UE, la banane = premier produit agricole consommer au monde, enjeux
financier colossaux et les deux plus grands producteurs au monde sont USA et UE. Car totalité des
bananerez sont des propriétés USA ou UE. Cette guerre a durée presque 20 ans, multitude de
contentieux. En 2005 l’OMC a donné tort a l’UE dans se contentieux. En considérant que l’UE avait
adopté un comportement anti-concurrentielle. L’UE a décider de ne pas respecter cette décision faire
primer ses intérêt commerciaux sur la décision. Les USA adopte mesure rétorsion a l’égard des
produits européen. La société FIAMM fait partie des société qui on subit surtaxe des USA, alors que
la société n’y été pour rien. FIAMM fait un recours devant les juridictions de l’UE pour demander
l’engager la responsabilité de l’UE pour réparer le préjudice. Réponse de la CJUE considère qu’un
particulier ne peut pas invoqué les disposition du GATT/OMC car par revêtue d’un effet directe et va
aller jusqu’ à considéré qu’une décision de l’OMC pas revêtue de l’autorité de chose jugée alors laisse
au partie une marge d’appréciation.

Qu’on prenne en compte la jp OMS au niveau national sur effet directe des directives ou les autres jp
sur accord internationaux, requérant pas beaucoup d’alternative alors qu’ils ont un certain nombre
de droit. L’effet direct emporte des obligations pour l’état. Difficulté d’invoqué ses droits pour un
particulier. L’articulation entre effet direct et invocabilité suscité débat doctrinal très vif initier par
Déni Simon début année 2000 car disait que pbm principal était de savoir dans qu’elle cas on peut
invoqué une norme pour en partir. Il y a trois catégories de jp quand on parle d’effet directe :

- Effet direct « maximal » : hypothèse ou le particulier va pouvoir exiger du juge pour trancher
le litige, de substituer la règle européenne a la règle national. Litige trancher que sur la base
de la règle européenne.
- Effet direct « normal » : ou « basique » particulier peut invoqué cumulativement une règle de
droit interne et une règle de droit européen. Règle de droit européen peut être invoqué mais
pas forcément vocation a se substitué à la règle national. Effet direct simple litige pas
forcément trancher sur la base de la règle européenne.
- Effet direct « palliatif » : il n’y a pas d’effet direct, ce serait hypothèse ou un droit contenue
dans un texte européen, contenue dans un texte issue de l’ordre juridique européen mais
particulier pas d’accès directe a ce droit. Dans ce cas on tombe sur ces alternative, palliatif :
 Obligation d’interprétation conforme : juge national obligé interprété règle national
conformément a la règle européenne
 L’engagement de la responsabilité de l’état : pour ne pas avoir respecter son
obligation, pour avoir maintenue une règle national contraire à une règle
européenne.
 La réparation : simple responsabilité financière.

Le fait d’empêcher a un droit et donc d’accéder a un droit contraire a un certain nombre droit
fondamentaux et le droit a un recours juridictionnelle effectif garantit à l’article 47 de la charte des
droits fondamentaux de l’UE, et garantit aussi à l’article 13 de la convention européenne des droits
de l’homme. Droit fondamental essentielle dans état de droit et démocratie. Pour l’instant la CJUE
n’a jamais franchi se pas, jamais aller jusqu’à reconnaître effet directe maximal au nom du droit a un
recours juridictionnelle effectif, jamais franchie se pas. L’explication la plus probable par la volonté
de la CJUE de préserver malgré tout les Etats, laisser au Etats une certaine marge d’appréciation aussi
bien en matière de transposition des directive qu’en matière d’accord internationaux. Finalement de
respecter et partagé et de ne pas imposer à l’état des obligations trop violente, on le retrouve pour la
primauté, on sent des tensions entre états de l’Union mais aussi juridiction suprême et cour de
justice. Réserve de la cour sert a préserver intérêt des états.

Le principe de primauté du droit de l’Union :

Il y a une différence de nature entre primauté et effet directe qui exister dans l’ordre juridique
international. Mais le principe de primauté du droit international n’a jamais été posé par aucune
juridiction international, on pourrait presque affirmer que dans l’ordre juridique international
n’existe pas ou pas formellement reconnue, principal obstacle c’est la question de al souveraineté de
l’état, société international reste encore très largement une société d’état souverain et donc
souveraineté ne peut pas se concilier entre reconnaissance formelle. Le fait que la CJUE consacre un
principe de primauté c’est la volonté très clair de la CJUE de distinguer et séparer ordre juridique
européen de l’ordre juridique international. Consacrer se principe de primauté c’est consacrer
possibilité qu’ordre européen est un ordre d’intégration, intégré dans ordre juridique internationaux
et ne doit pas rencontrer d’obstacle, lorsqu’il s’intègre dans système juridique international il prime
sur prime norme national qui ne doivent pas faire obstacle a l’intégration d’une norme européenne.

La question de la primauté ne s’opposera que quand norme national fait obstacle a une norme
européenne, ce n’est que lorsqu’il y a ce conflit normatif en dessous norme national et européenne
qu’on peut mobiliser le principe de mobilité et qu’on devra le faire. Principe effet direct principe a
tout hypothèse sous certaine condition, autant le principe de primauté est une règle mécanisme de
conflit de norme ne s’applique pas dans tous les cas, il ne s’appliquera que dans conflit normatif
entre norme national et européenne.

Le principe est posé dans l’arrêt CJCE Costa C. Enel du 15 juillet 1964. La aussi c’est bien un principe
prétorien, jurisprudentiel qui est posé. Pas principe consacré par les traité mais reconnue et consacré
par la jp. Rattrapé.

Cour du 24/11/2021 : 11 :00 :


Evolution de la CJUE, conception absolutisme de la primauté en cas de conflit normatif le droit de
l’UE primera sur le droit interne quelque soit la norme national invoqué, même si dans l’hypothèse la
norme national invoqué est une norme constitutionnelle, pas de remise en cause de la primauté
absolue mais a compté de l’arrêt 24 juin 2019 Poplawski elle vient restreindre le champs
d’application de la primauté car la primauté ne vaut plus pour l’ensemble, elle vaut pour le droit
communautaire et norme droit européen revêtue d’un effet directe. On peut parler d réduction du
principe de primauté à la suite de cet arrêt avec cette condition qui est posé au regard de l’effet
directe. Articulation entre effet direct et principe de primauté car la cour considère que ces deux
principes se valent et constitue les piliers de l’ordre du système européen. Pas de remise en cause de
la primauté absolue.

Dans la mesure ou le principe de primauté est la résolution d’un conflit de norme, le principe de
primauté repose a titre principal sur le juge national, il s’adresse a lui. Finalement quand la CJUE
consacre principe de primauté c’est moins pour elle que pour le juge national, elle s’adresse au juge
national pour qu’il puisse l’appliquer lors de conflit normatif. La CJUE fait supporter au juge national
une responsabilité particulière un pouvoir nouveau, avant les juges nationaux ne l’avait pas grâce eu
la CJUE il dispose d’un pouvoir national au profit du droit européen. Ce pouvoir nouveau peut poser
des difficulté a propos des règle interne régissant le juge national, il peut se trouver dans situation
délicate ou droit national ne lui permettrait pas d’écarter une norme national contraire. Ou droit
national n’aurait pas prévue l’hypothèse d’écarter une norme. La Cour est venue ensuite encadrer le
travail du juge national. Pour s’assurer que juge national puisse faire respecter le principe de
primauté. L’idée est de donner au juge national tout les moyens = encadrement procédural = CJUE
donne pouvoir nouveau au juge national et vient les encadrer et cette théorie est posé dans l’arrêt
Simmenthal du 9 mars 1978 administration des finances de l’Etat contre SA Simmenthal. Dans le
considérant de principe de cet arrêt on voit bien que pour encadrer juge national la CJUE commence
par référence ou renvoie au principe de primauté. Encadrement procédural découle du principe de
primauté et non pas de l’effet directe. La première obligation qui s’impose au juge national c’est
d’écarter tout norme existent contraire ( norme national). Cela veut dire que la CJUE confère au juge
national le pouvoir d’écarter la norme national contraire, c’est une attribution de pouvoir de juge à
juge. Il a cette obligation là le juge national en vertu du principe de primauté et quelque soit se que
dise les textes internes. La CJUE dit au juge national que ce n’est pas la peine de se référé a votre
propre texte en cas conflit normatif et on vous attribue le pouvoir. Cela vaut pour le droit national
existant, la CJUE ne s’arrête pas la et envisage une deuxième obligation c’est quand vertu du principe
de primauté l’état doit s’empêcher d’adopter un droit futur qui serait incompatible, rentrerais en
conflit avec le droit européen. Encadrement particulièrement fort, étendue car concerne pas que le
droit existant mais s’impose aussi au législateur qui ne doit plus adopter le droit communautaire.
C’est un problème récurant en droit, la loi postérieur prévaut sur la loi antérieur. Principe
s’appliquant en France c’est quand principe la loi national postérieur remplace la loi national
antérieur. On peut se demander si cet jp empêcherais pas le juge nationaux d’adopter des lois
national nouvelle ? La CJUE anticipe se problème et que dans l’arrêt a un autre considérant de
principe qui vient dire que le juge national doit écarter la législation existent et doit tous faire pour
empêcher l’émergence d’un droit contraire au niveau national. Le juge national se voit attribuer des
pouvoirs par un organe extérieur = CJUE de l’Union. Cette affirmation a soulever un certain nombre
de problème, de manière théorique de savoir si la Cour n’allait pas trop loin, avec gouvernement des
juges. Autre pbm c’est ce deuxième considérant on peut presque plus parler d’encadrement
procédural, il y a une sorte d’interdiction procédural, interdiction pour le juge national autre chose
que d’appliquer, il peut juste écarter la norme national contraire quoi qu’en dise le droit interne. On
voit que le juge national supporte une responsabilité très forte. Cela permet d’avancer deux idées :

- Pk les juges nationaux on accepter une tel obligation et responsabilité à la suite de l’arrêt
Simmenthal ? : les juges nationaux on compris que la contrepartie de cette responsabilité
était plus de pouvoir car plus finalement des juges nationaux mais devenait parallèlement
des juges communautaire. Et plus tard on dira que juge national est le juge de droit commun
de l’UE. En 1978, le CE en France rend arrêt Cohn-Bendit et dans cette arrêt le CE refuse
d’appliquer correctement le principe d’effet directe et de primauté faut attendre 1989 et
l’arrêt Niccolo pour que le CE comprenne, accepte de faire jouer l’effet directe de la
primauté. Car en 1989 le CE comprend qu’il peut étendre son pouvoir juridictionnelle,
détacher de son rôle de l’état et permet de devenir un vrai juge.
- Aujourd’hui cette encadrement procédural est moins accepté par les juges nationaux : il y a
des résistances juridictionnelles en France, en Allemagne en Italie. La question est pk
aujourd’hui en 2021 cette responsabilité est moins acceptable ? Car les juges nationaux
finalement on désormais un pouvoir très étendue et ce sont eux qui parfois utilise se pouvoir
très étendue contre la CJUE. Pour faire face a la CJUE, une foie qu’ils ont bénéficier d’une
extension de leur pouvoir, il se retourne contre la CJUE pour cette foi ci encadrer le pouvoir
procédural de la CJUE, on a un basculement de la logique Simmenthal. Dans cet arrêt la Cour
n’avait pas répondu a tous les questions et surtout la question de savoir si juge pouvait être
empêcher par la loi ou d’autre situation empêcher par l’état. Que la loi pouvait limité ou
alors d’autre chose tel que des pratique existent. La Cour et tout ses arrêts sont liés.

Dans son arrêt Factortame LTD du 19 juin 1990 : la CJUE apporte de nouvelle précision, la CJUE a une
réflexion circulaire et elle apporte deux nouvelles choses :

- Juge peut être empêcher non pas par la loi mais par des pratiques : la Cour a une
interprétation large, car pratique adm, judiciaire… Quelque soit l’obstacle le juge national
doit faire primer le droit européen sur droit national.
- Deuxième précision c’est que même si cette obstacle est temporaire pas vocation à durée
dans le temps ou a perdurer ce n’est pas une raison de ne pas l’écarter :

Le juge national reste chargée a titre principal de faire respecter la primauté. Il arrive en cas de
conflit de norme que le droit d’un particulier soit mis en danger, qu’il y est une forme d’urgence a
protéger le droit du particulier avant de résoudre le conflit en lui-même. Certaine circonstance
permette au juge de prendre des mesures provisoires en référé demande juge adm ou JJ. La CJUE
vient précisé dans l’arrêt Factortame quand question relatif a un conflit normatif le fait que ce
problème ce pose dans le contentieux constitue un moyen permettant au juge d’adopter des
mesures provisoires. La CJUE donne un titre nouveaux au juge national. La Cour ne cherche pas a
imposer une primauté a titre théorique ou rhétorique mais si elle cherche a imposer une primauté
c’est pour garantir les droits des particuliers. Derrière l’objectif de primauté et effet directe l’objectif
est le même protéger les particuliers et faut prendre des mesures provisoires pour sauvegarder le
droit des particuliers. Le pbm c’est de savoir se qui se passe si juge national ne se conforme pas a ces
obligations = c’est-à-dire si le juge national n’assume pas cette responsabilité. La Cour a répondu en
deux temps :

- Pourrait exister une responsabilité de l’état : l’état responsable du fait que le juge national ne
remplit pas son office de juge européen. Arrêt 2003 Commission contre Italie. L’Etat vient se
substitué au juge Etat endosse responsabilité principal et on parle de subrogation.
- Arrêt Commission contre France de 2018 le 6 octobre : il s’agissait d’un arrêt du CE, et
dedans le CE avait renvoyer une question préjudicielle a la Cour, pbm en matière fiscal, la
Cour avait répondu et dans sa décision final le CE n’avait pas véritablement respecté la
réponse de la Cour, il c’était écarté. Cela avait fait que CE pas écarter loi national contraire au
principe européen. Recours en manquement engager par la Commission et la Cour pour la
première fois, considère qu’il y a une double responsabilité :
 France manquer a ses obligations en tant qu’Etat :
 France à manquer obligation en tant que la solution du CE : responsabilité pénal.

Quand juge national décide de ne plus assumer totalement cette obligation, sortir du cadre
procédural fixer par la cour il y a des risques et peut voir sa responsabilité engagé.

§3 : La primauté vis-à-vis du droit international

Arrêt de principe est celui de Kadi 1 de 2008 rendu par la CJCE. Attentat qui a une forme de
législation dérogatoire en matière de lutte contre le terrorisme et aujourd’hui on est sous un régime
d’exception. L’UE entend que tel a adopté un certain nombre de décision, le Conseil en particulier en
matière de lutte contreterrorisme international dans le cadre de la PESC. Le Conseil a demander
d’adopté un droit dérogatoire. Monsieur Kadi se voit imposé un certain nombre de sanction pénal en
Suède et en particulier la saisie de ses biens car soupçonner participer à alkaïda. Ce requérant va
contester les sanction pénal national en considérant qu’il porte atteinte a certain de ces droits
fondamentaux et notamment sont droit de propriété. Réponse des différentes juridiction saisie le
juge national n’est pas compétent pour se prononcer sur ces sanctions car il s’agit d’une mise en
œuvre de décision prise au niveau de l’UE. Or il a épuisé les voie de recours interne et a se moment
là on peut saisir la CJUE. Dans la mesure ou l’UE n’est pas partie a la CEDH, et que les décisions
prisent au niveau de l’Union en matière de lutte contreterrorisme international, la CEDH est
incompétente pour se prononcer sur les violation, article 1 protocole 1 sur le droit de propriété. Le
litige est porté devant le juge de l’Union, porté d’abord devant tribunal de l’Union. Devant le bon
juge car conteste décision du conseil. Mais le tribunal constate quand principe il n’est pas compétent
pour contrôler la légalité de ces décisions. Car on est face a du droit dérogatoire. Et ces décisions
PESC ne peuvent pas en principe faire l’objet d’un contrôle de l’égalité. Le tribunal est embêté car s’il
ne peut pas contrôler cette décision il ne peut pas garantir les droits fondamentaux du requérant. Le
tribunal essaye de trouver une parade consiste a dire qu’il n’est pas possible de contrôlé décision de
l’Union car ce serait contrôler indirectement les décisions du Conseil des nations Unis, lorsqu’elles
mettent en œuvre les décisions des nations unis. Pour le tribunal ces résolution du conseil de sécurité
prime sur toute les autres normes sur le plan national. Il pose un double pbm cet arrêt et très
critiquer par la doctrine :

- Décision ne permet pas protégé droit fondamentaux :


- Arrêt semble dire que c’est le droit international qui prime sur le droit européen :

La Cour raisonne de manière différente et considère que l’autonomie de l’ordre juridique de l’Union,
vaut aussi bien a l’égard des ordres juridique nationaux qu’international, ne joue pas que pour le
national mais aussi complète autonomie au niveau ordre international. Par conséquent quand l’ordre
juridique européen est autonome se sont ses normes fondamental qui doivent prévaloir dans l’ordre
juridique européen. Ces normes fondamental se sont les principes constitutionnelles de l’ordre
européen. Ce qui constitue ces principes constitutionnelle c’est le respect des droits fondamentaux,
aucune disposition de l’ordre juridique international ne doit porter atteinte au principe
constitutionnelle de l’Union et donc a ces normes international. Permet a la cour de renverser la
solution proposer par le tribunal. Permet de dire a la cour que doit protéger droit fondamentaux,
contrôle de légalité au regard droit fondamentaux et que le droit de l’Union prime sur le droit
international. Dans l’arrêt Kadi la CJUE se comporte comme si elle était une juridiction interne,
comme si ordre juridique de l’Union est un ordre interne vis-à-vis de l’ordre international. On vit dans
un monde globalisé dans l’ordre juridique car existe des normes commune, droit global, les ordres
juridiques entretienne des rapports mais son pas hermétique mais son autonome car fonder sur une
norme juridique suprême. L’arrêt Kadi pose des pbm quand juge interne fait valoir sa propre
constitution vis-à-vis du droit européen. Si la Cour pose se principe de primauté car elle veut que les
particuliers puissent protéger leur droit invoqué leur droit, le plus largement possible et renvoi a la
question de la justiciabilité de l’Union, nécessité pour les particuliers de pouvoir invoqué le droit de
l’Union et de le faire respecter.

Qu’elles sont les conséquences du principe de primauté sur la justiciabilité ? La primauté impose des
obligations au juge national. En vertu du principe de primauté la Cour considère que pour assurer
primauté faut deux choses :

- Pouvoir trouver une juge : Puisse exister un contrôle juridictionnelle :


- Contrôle juridictionnelle effectif et efficace :

Le droit au juge : la CJUE a du préciser tout cela ce n’est pas intuitif car la cour a apporter de nouvelle
précision découlant du principe de primauté du droit européen sur le droit national. Affaire Rutili
contre ministre de l’Intérieur du 28 octobre 1975 : personne gardé a vue ne trouve pas de juge pour
invoqué les dispositions pour invoqué le droit communautaire. Est-ce que l’absence de voie de
recours est un pbm en termes de primauté ? La Cour dit oui, car seul le juge est chargée de réglé se
conflit normatif sans juge on ne peut pas régler le conflit normatif et on ne peut pas appliqué le
principe de primauté. On est sur l’idée que même si droit national ne prévoit pas de voie de recours
faut qu’il en existe une au vue du principe de primauté, ce principe impose l’existence d’une voie de
recours. C’est un titre de compétence conféré au juge national.

Cour du 26/11/2021 : 8 :00 :


La Cour ne se contente pas de posé le principe de primauté même si c’est fondamental et va relier ce
principe a la question de la protection juridictionnelle et la protection des droits fondamentaux si
impose primauté droit européen sur droit international c’est que la CJUE considère que particulier
disposant de droit doit avoir accès au juge et le juge se retrouve au centre du système juridique de
l’UE et des rapports entre différents système. Si on veut que ce droit au juge soit concret faut poser
des exigences et la Cour dit qu’il y en a 2 fondamental :

- La possibilité d’accéder au juge : disposer d’une voir de recours. Car si cette voie de recours
n’existe pas c’est impossible pour le particulier de faire valoir ces droits vis-à-vis de cette
première condition on parle de recours juridictionnelle effectif et c’est consacré en droit de
l’UE, avec l’arrêt de 1975 ce droit renvoi a l’idée de l’existence d’une voie de droit et
l’ouverture d’une voie de recours. Si la Cour a pus consacré ce droit en 1975 c’est que la CJUE
en 1975 dans l’arrêt Rutili a put s’appuyé sur la technique des PGD, grâce a cette technique
elle peut s’appuyer sur les dispositions de la ConventionEDH car dedans on trouve deux
disposition qui concerne spécifiquement le droit au juge :
 Article 6 : consacre le droit d’avoir un tribunal indépendant ou impartial. Clef de
voute de la CEDH.
 Article 13 : consacre le droit a un recours juridictionnelle effectif.

La CJUE va s’appuyer sur ces dispositions pour consacrer ce droit en droit communautaire. Au
file de sa jp, ce qu’on a constater c’est que la CJUE va en quelque sorte constitutionnalité le
droit a un recours effectif, c’est l’une des caractéristiques de l’ordre juridique
communautaire. Et de l’ordre constitutionnelle communautaire. Cette idée on la retrouve
dans un arrêt essentielle, du 23 avril 1986 partie écologique les verts contre parlement
européen, arrêt fondamental pour la constitutionnalisation de l’ordre communautaire. Le
pbm en l’espèce : on avait un groupe politique au sein du parlement qui demander
l’annulation de certain acte adopté par le parlement et notamment certaine disposition
règlement intérieur du parlement européen = acte interne. A cette époque là en 1986, le
parlement européen n’avait que des pouvoirs consultatif dans les communauté européenne.
L’argument du parlement vis-à-vis de ces requérants consister a dire que s’il ne disposer pas
de pouvoir législatif véritable les actes qu’il adopté ne pouvait pas faire grief, pas d’incidence
sur le patrimoine juridique de certain juridique personne physique ou moral. Effectivement le
parlement n’ayant pas de pouvoir effectif un requérant ne pouvait pas demander
l’annulation d’un acte n’ayant de valeur légale car pas d’intérêt à agir. La CJUE considère que
les traités communautaire = la Cour de justice, forme la charte constitutionnelle des
communautés. Pour la première foie la Cour indique clairement que traité communautaire
ne sont pas que de simple traité internationaux mais constitue une sorte de C° ou charte
constitutionnelle = la première étape. Pourquoi peut-elle postuler ce postulat ? C’est que la
communauté européenne est une communauté de droit, dans un état de droit ou
communauté de droit l’un des points principaux, points centraux est la protection
juridictionnelle, accéder a un juge. La conséquence de ce postulat c’est que les requérants
doivent avoir un accès le plus large possible au juge et du postulat initial, elle en tire une
règle constitutionnelle qui veut que l’accès au juge soit la plus précise possible. Dans cet arrêt
elle reconnait que ce partie politique peut contester le recours. C’est pck elle reconnait
caractère au communauté elle peut aller jusqu’à ouvrir jusqu’au maximum les vois de
recours. Quand le juge est saisi il faut qu’il puisse procéder a un contrôle, le simple accès au
juge n’est pas suffisant pour garantir le droit constitutionnelle, ou recours effectif. Il faut que
le juge ait les moyens d’assurer une véritable protection. L’inquiétude de la Cour de justice,
en tant que juge de l’Union, porte sur le fait que le juge national est le juge de droit commun
en droit européen, or chaque juge national est soumis à sa propre réglementation, propre
règle de procédure le risque c’est de ne pas avoir une protection juridictionnelle uniforme
dans l’ensemble de l’Union. Car tout les juges ne seront pas en mesure d’assurer une
protection juridictionnelle efficace on peut les saisir mais peut être limité dans leur office soit
pour sanctionner la violation ou réparer le préjudice. Pour qu’existe des pratique commun
s’appliquant dans l’ensemble des Etats membres, la CJUE encadre autonomie procédural des
états, raisonnement circulaire, la Cour va venir poser principe commun qui permette
encadrer le travail des juges nationaux. Logique de vouloir encadrer le juge = encadrement
juridictionnelle, mais ne veut pas qu’il existe de grande différence dans l’application du droit
européen. Ces principes on les retrouvent dans un arrêt du 11 septembre 2003 Safalero Slr et
Prefetto di Genova, règle procédural de prescription il existe souvent des différences pour
saisir le juge d’un litige. Ce qui arrive souvent c’est que ces règles de prescription distingue
selon litige concerne la violation droit national et droit européen, les règles droit nationales
ne seront pas les mêmes selon que contentieux naît sur la base droit national ou européen,
c’est le cas en cas de contentieux en répétition de l’indu = un justiciable demande le
remboursement de certaine sommes fiscale, indu = état perçoit des sommes qu’il n’aurait
pas du percevoir. Il arrive régulièrement qu’un état membre perçoive des sommes au titre
perception fiscale qui n’aurait pas du percevoir ou en violation du droit européen
notamment en matière de TVA, généré beaucoup d’affaire. Ce qu’on fait beaucoup d’Etat, ils
ont adopté des règles de prescription plus restrictive en répétition de l’indu au titre droit
communautaire que droit national. Prescription plus longue pour national que droit
communautaire. Plus délais de prescription est court moins il est facile d’accéder au juge et
plus le travail du juge sera difficile. Ce que fait la CJUE, elle pose deux principes :

 D’équivalence : signifie qu’il doit exister une équivalence et donc pas de différence
entre les règles Nationals de procédure selon que ces règles Nationals concernent la
mise en jeux droit national et droit européen. Lorsque la CJUE dit principe
d’équivalence ne veut pas dire que règle de procédure doivent être identique. Mais
ne doit pas exister une trop grande différence de traitement entre les justiciable.
Equivalence = sa se vaut, subtile mais veut dire que la Cour ne va pas jusqu’à
imposer une identité stricte selon qu’on se fonde sur droit européen et national.
 Effectivité : une foie qu’on peut accéder au juge car règle d’équivalence le juge doit
pouvoir exercer son office de manière effective quand saisie d’une question de droit
européen, pas empêcher car tranché un litige fondé sur le droit européen, arrêt 9
novembre 1983 San Giorgo le juge national doit être en mesure d’obliger l’état a
verser les sommes indument verser et si les juges n’ont pas les moyens il y a non-
respect du principe d’effectivité. On est dans de l’encadrement procédural. On
n’oblige pas le juge à faire quelque chose, encadrement pas volonté de s’imposer au
juge national mais volonté que tout les justiciable auront un accès a la justice à peut
près équivalent.

Dans Safarelo on a une illustration des deux principes. L’encadrement procédural laisse
une marge de manœuvre pour les règle procédural des Etats, pas atteinte a l’autonomie
procédural mais pose limite et principe encadrant cette autonomie. Et il y a l’idée que
ces pck les particuliers dispose de droit particulier issue du droit européen, qu’ils doivent
pouvoir accéder a ce juge national. En l’absence de droit cette possibilité d’accéder au
juge national n’a pas de sens. On peut la critiquer en disant que l’encadrement
procédural va trop loin et contraignant pour l’état et qu’il arrive qu’il limite fortement
l’autonomie procédural des états et voir des juges nationaux, c’est pour sa que
résistance a l’encontre de la CJUE, juridiction suprême national a un encadrement de la
cour trop important, stricte = forme de critique à l’égard de la politique jurisprudentielle
de la Cour. Point de vue raisonnement juridique la Cour n’a jamais varié dans son
raisonnement, cohérence interne de la CJUE qui consacre effet directe de la primauté
estime qu’il faut tout mettre en œuvre pour garantir les droits des particuliers, tout est
fait pour s’assurer que droit du particulier seront le plus possible garantie et cette
garantie passe par le juge interne et la raison explique cette encadrement. Primauté et
effet directe suppose l’accès effectif et efficace au juge. Mais effet directe et primauté
suppose aussi et la possibilité d’engager la responsabilité des états pour violation du
droit européen.
La responsabilité des Etats pour violation du droit UE :

Ces la réparation. Ce son les Etats membres des communautés, EM de l’UE, qui sont en quelque sorte
les principaux débiteur des obligations des traités, ils sont chargés de mettre en œuvre les
dispositions des traités et du droit dérivé et la plus part des contentieux et contentieux soulever par
particulier découle des violations commise par les Etats a l’égard des traité, du droit européen, droit
primaire ou dérivé. D’où l’effet directe, primauté. Mais ne suffit pas, lorsqu’il y a une violation, elle
entraine très souvent un préjudice et quand y a un préjudice on imagine assez facilement que ce
préjudice doit être réparer et il y a un moyen d’action qui est l’action en responsabilité. Dans les
traités certaines dispositions prévoyaient responsabilité des Etats, qui était contractuelle. Lorsqu’Etat
ou institution conclue un contrat avec un tiers institution ou Etat pouvait voir engager sa
responsabilité contractuelle. Mais quand Etat viole droit communautaire ce n’est pas responsabilité
contractuelle dont il est question. On est sur responsabilité extra contractuelle, mais dans cette
matière traité lié et aucune disposition ne prévoyait cette engagement. La CJUE va hésiter pendant
très longtemps a dégager la responsabilité extracontractuelle d’un Etat, dernière étape et la moins
acceptable par l’Etat. Car principe effet direct et primauté peuvent permettre de mettre a jour la
violation, ne va pas plus loin que constat de violation, si la cour souhaite poser un principe elle doit
définir le préjudice et mesure le préjudice. Dans un premier temps après avoir poser les autres
principes elle ne consacre pas immédiatement la responsabilité de l’état. Le 19 novembre 1991
Francovich et Bonifaci = la cour consacre le principe de responsabilité extracontractuelle pour des
violation droit communautaire. Droit salarié en Italie invoqué le droit a une directive, au profit
travailleurs salarié et l’Italie n’avait pas transposé la directive, comme pas de transposition ces
travailleurs salarié on considérer qu’il avait été privé de certain droit et avait subit un préjudice car
pas fait valoir les dispositions devant juge national. A l’occasion de ce litige que la CJUE va accepter
pour la première foie de posé la responsabilité extracontractuelle des Etats pour violation du droit
européen. Cet arrêt raisonne avec obligation des états de transposé une directive, la Cour considère
que pbm majeur est la transposition des directives et se tourne vers le particulier, la cour, se repose
dessus. Et considère que si un état ne respecte pas ces obligations alors on accorde droit au
particulier obligeant l’état a admettre certain engagement comme le fait de transposé une directive.
La Cour va définir les critères de l’engagement de la responsabilité :

- Il faut démontrer un intérêt à agir : rapporter la preuve en tant que requérant qu’on est bien
titulaire d’un certain nombre de droit. Les particuliers peuvent obligé l’état a respecter cette
obligation. Il faut rapporter la preuve qu’on est titulaire directement ou indirectement d’un
droit a agir et intérêt a agir.
- Condition de clarté : comme en matière effet directe. Droit qu’on invoque soit clairement
identifiable, clarté mais pas de conditionnalité.
- Il faut qu’existe un préjudice et lien de causalité entre préjudice et le comportement de
l’état : le cas ou titulaire d’un droit mais pas subir de préjudice du fait du manquement à une
obligation.

La Cour va appliquer principe équivalence et effectivité pour trouver un juge qui peut réparer le
préjudice. Différent angle d’approche mais tous ses angles convergent jurisprudentiellement vers
même élément et idée, protection de l’individue.

A compter arrêt Francovich la cour franchie nouveau cape et va devoir justifié ce pas supplémentaire,
cet arrêt très mal accepté par les Etats. Comme cette jp va trop loin pour certaine personne même si
met en lumière certaine chose, très mal prit le fait que juge externe vient les obligé. La CJUE rend un
deuxième arrêt 5 mars 1996 Brasserie du pêcheur SA ex parte : Factortame = il est question d’un
manquement a l’obligation d’une transposition par le RU. Et la Cour va essayer en quelque sorte
d’expliquer par des arguments juridique pk il est nécessaire de disposer d’un principe contractuelle
de l’Etat. On voit que jp se construit étape par étape.

Première étape : effet directe, droit au particulier.

Deuxième étape : permet au particulier d’accéder au juge, droit recours juridictionnelle effectif.

Troisième étape : la réparation, principe engagement principe extracontractuelle.

Dans l’arrêt Brasserie on considère qu’il manque un principe qui est celui de réparation du préjudice.

Question de légitimité de la CJUE, difficile de posé des 1963 tous ses principes même si inhérent à la
jp Vanguenheloss et la cour aurait été fortement attaqué et peut être que les états auraient décidé
de se passer de la CJUE si elle serait allée trop vite. La CJUE elle attend que l’ordre juridictionnelle se
construise. Progression de la jp lié a une certaine modération de la CJUE.

Chapitre 2 : Les rapports entre système juridiques nationaux et européen

Section 1 : L’intégration

On peut partir d’un idée simple c’est que dans l’UE les Etats ont un double statut :

- Statue national : en tant qu’Etat souverain.


- Statue européen : car état participe à la production normative de l’UE.

C’est la raison expliquant que se sont les états qui supporte l’essentielle des obligations issue du droit
européen car on voulue organisation et participe au fonctionnement de cette organisation. On a dans
les traités deux dispositions majeurs renvoyant a l’idée qu’état au centre de l’activité de l’Union,
article 4.3 du TUE. Absolument indispensable que les Etats participe loyalement ou contribue
loyalement a la commission de ces principes. C’est le principe majeur. Deuxième disposition qui est la
mise en œuvre de ce principe article 291 TFUE = qui impose des obligations concrète, coopération
loyale n’est pas qu’une obligation formelle, entraine obligation concrète de la part des états. L’article
vient dire qu’il y a une obligation de concrétisation de la coopération. Il faut agir pas que loyalement
mais aussi concrètement. Agir concrètement c’est que les états vont devoir mettre leur outils ou
instrument nationaux au service de l’UE, les moyens institutionnelles notamment dont dispose l’état,
moyen organique, doivent être mis au service de l’UE.

Aujourd’hui UE regroupe 47 états, c’est le deuxième espace économique mondial mais cette entité
qui a un poids géographique, économique, démographique, repose sur un budget qui est dérisoire de
l’ordre de 150 milliards d’€ par ans. Les USA c’est 378 millions habitants budget annuelle de l’ordre
de 2800$ premier espace économique. Différence c’est que Etat et non Etat. Une administration
dérisoire. L’adm de la Commission européen, car institution adm principal de l’UE, il y a à peut près
30 milles personnes. L’Union n’a pas de moyen adm et pour fonctionner l’Union doit reposer sur
administration national, Union n’a pas les capacité d’administré le droit de l’UE. Il est important de
garantir la loyauté des Etats car un Etats qui n’est plus loyale pose un pbm adm, concret de
réalisation du droit de l’Union. Cette coopération politico adm s’inscrit dans un principe qui est celui
de subsidiarité, l’intervention politico administrative des états se justifie du point de vue de la
subsidiarité = plus de démocratie, décision prise au plus près des citoyens et ces aussi un gage
d’efficacité car adm national connaîtrons mieux les destinataires de ces décisions, expertise plus fine
de celle des institutions de l’Union. Ex : fond structurelle = allouer a certaine région, le conseil
régional gère ces fonds et éventuellement les métropole. On a besoin des états et leur participation.
Cour du 26/11/2021 : 14 : 30 :
L’intervention des Etats vise a garantir mise en œuvre et réponde exigence diplomatique. L’Etat est le
mieux placer pour savoir comment exécuté le droit de l’Union, chaque Etat a ces propres
particularité et il faut en tenir compte car si on n’en tient pas compte et bien a ce moment la survient
un certain nombre d’opposition a la mise en œuvre et supposition du droit de l’Union. Ce qui fait la
force du droit de l’Union c’est une certaine souplesse. Certains Etat le reproche a l’Union, imposer
vision monolithique du droit européen.

On cherche aussi une meilleur efficacité dans le droit de l’Union. Pour la France par ex, l’outils
principal est le secrétariat général des affaires européens SGAE, rattaché au cabinet premier ministre
et ce que fait le SGAE en particulier c’est d’élaboré des études d’impacts. C’est qu’on essaye de
mesure l’incidence d’une législation étrangère sur le droit interne. Elle permette d’anticiper les
conséquences du droit européen ou international. Il le fait dans tout les domaines de l’Union. La
limite principal est que la France fait étude d’impact a priori et pas a postériori. On essaye de
mesurer de façon prospective les incidences du droit européen sur droit national mais on ne fait pas
étude réelle = monitoring possibilité voire qu’elles sont les conséquences réelle sur un système en
particulier. Conséquence grave car prévoir des effets et en pratique que les effets ne sont pas cela et
peuvent en avoir d’autre et on ne peut pas les corriger.

Le CE dans sa fonction consultative. De conseiller du gouvernement. Il a fait un travail considérable


puisqu’aujourd’hui le CE établie souvent des rapports ex : rapport annuelle du CE (il faut le lire
permet révision droit UE et droit adm), de nombreux rapports viennent parler des effets de l’Union
sur droit français.

Le parlement nationaux depuis entrée en vigueur de Lisbonne sont destinataire de toute les
décisions législative de l’Union. Protocole fait obligation de transféré document au parlement
nationaux. Et il joue un rôle majeur dans la mise en œuvre du droit européen au niveau national,
dans certain état c’est vrai parlement joue un rôle centrale d’un point de vue constitutionnelle. Mais
ce n’est pas le cas en France, il varie beaucoup en fonction du modèle constitutionnelle de chaque
état. Plus le parlement a des pouvoirs constitutionnelles dans texte et pratique plus importance forte
en droit européen. En France c’est lié au principe de la Vème république et principal pouvoir
politique dans les mains de l’exécutif, différence entre projet de loi et proposition de loi (pas tout
voté). Le Parlement français (assemblé national et Sénat) est très mal doté en experte hors droit
européen est complexe et souvent c’est manque de moyen humain. Parlementaire pas d’assistant
assez préparer pour avoir un véritable droit critique sur le droit européen. La frustration des
parlementaires français est telle que très souvent que la plus part du temps gouvernement français
habilite le parlement a transposé les textes en France. Le gouvernement peut agir par droit
d’ordonnance pour transposé une directive.

Lorsqu’une institution national, organe national, met en œuvre le droit de l’union, européen, l’acte
adopté par cette institution est un acte de droit européen ou de droit national ? Ex : adoption d’un
décret de transposition d’une directive. Si acte de droit interne sa norme de référence est la C°, si
acte de droit de l’Union sa norme référence c’est norme européenne constitutionnelle. Le CE dans un
arrêt Vipal de 1981, il avait dit que lorsque les EM s’acquitte de mission conféré par le traité, c’est
autorité agisse en qualité d’autorité national. CE se fonde sur critère organique et pas matérielle,
identifié la nature de l’acte c’est l’organe a l’origine de son adoption, pour sa qu’adoption organique
de la part du CE. Mais la question c’est reposé plus récemment car directive sont de plus en plus
détailler aucune marge d’appréciation au Etat et très souvent des décret ou lois transpose mot à mot
ces directives. Domaine spécifique que les autorité européenne participe a la mise en œuvre du droit
de l’Union, le reste incombe aux institutions national. Encadrement procédural = encadrement adm
de l’Etat. Cet encadrement, les Etats prévoit des mécanismes de contrôle car sinon ils vont manquer
a leur obligation. En France le contrôle s’effectue par le SGAE, chargé que toute adm en France et
collectivité applique correctement le droit de l’Union, contrôle interne a l’adm et il arrive parfois que
le Parlement français crée des commissions parlementaire permettant de contrôler le travail de
l’adm pour voir si effectue bien sont travaillé. Important d’avoir ce contrôle. Après il y a un contrôle
externe assurer a titre principal par la commission, car commission gardienne des traités on retombe
sur le rôle historique de la commission qui est de défendre intérêt de l’Union qui est qu’il doit être
appliqué de manière uniforme. Il y a le mécanisme du recours en manquement = arme ultime de la
Commission, lui permet de faire contrôlé l’activité de l’état par la cour et de sanctionner l’activité de
l’état. Il est très rare que al commission européenne engage des recours en manquement, si on
prenait l’ensemble des violations potentielles des états et recours en manquement engager par la
commission se serait infinitésimal car commission a besoin de coopéré loyalement avec état. C’est ce
qui se passe avec Pologne et Hongrie aujourd’hui, discussions plus possible sens propre et figurer
seul voie de recours de la Commission européenne est une voie de manquement. Ce que fait la
Commission la plus part du temps elle maintient une discussions ou dialogue permanent avec les
Etats et aujourd’hui il existe des mécanismes qui permettent de mener se dialogue sans aller
jusqu’au contentieux. Deux exemples mécanismes de dialogue :

- Concerne union économique et monétaire : états partisan de la zone euros se voit imposer
des contrainte en matière budgétaire en particulier, ces états plus libre ou totalement libre
de définir leur budget sans se préoccuper du droit monétaire européen et existe des critères
en matières monétaire = pacte de stabilité et de croissance, permet au EM union
économique et monétaire pas de dette publique excessive ou de dette excessive. Pour éviter
d’arriver des conflits on met en place un mécanisme qui est le semestre européen.
Discussions entre Etat et Commission = au printemps chaque Etat de la zone euro envoi un
projet de budget a la Commission pour l’année suivant. Ce projet est fondé sur des calcules
en particulier quels sera croissance française durant période 2022 et dans ces budgets sont
mentionner les dépenses auquel compte procéder l’état, panorama budgétaire adresser a la
commission et entre printemps et autonome il y a des navettes entre commission et état
pour discuter du projet de budget. A l’autonome discussions achevé et chaque Etat peut
adopté son projet définitif.
- Marché libre circulation économique : ces libertés de circulations économique suppose que
les états ne limitent pas ou vienne pas poser des obstacles a ces libertés de circulation, on
enlève barrière économique tarifaire ou non tarifaire. Dans un premier temps la Commission
a eu tendance à ce tourner vers CJUE quand obstacle économique. On c’est apperçut que ce
recours judiciaire ne permette pas d’éliminer tout les obstacles et donc ce que propose la
Commission européen c’est ce qu’on appelle les mécanismes d’alerte ou d’information
rapide. Qui fonctionne = lorsqu’un état veut adopté une réglementation qui peut avoir un
impacte sur commerce européen, nouvelle règle environnemental… ce qu’il va faire c’est
informer la Commission de ces nouvelles règles et si possible informer la Commission avant
d’adopter ces règles. A nouveau on va avoir un mécanisme de discussions en Commission et
Etat sur compatibilité de ces règles avec marché intérieur. Elle engage se dialogue avec les
autres Etats. Les Etats membres peuvent donner leur avis sur ce projet et dialogue ouvert
jusqu’à ce qu’on trouve une solution pas limité dans le temps, si la législation est susceptible
de soulever difficulté on laisse ouvert le dialogue. Aujourd’hui la libre circulation des
marchandise plus facile en Europe qu’au EU. Technique de contrôle on les négliges mais le
droit ce n’est pas de l’application mécanique des règles, il faut quelque chose qui huile
machine politique et adm et précisément ce sont ces mécanismes de dialogue qui existe.

Incidence droit de l’Union sur le droit interne : impacte profond. Ce qui est évidant et ne nécessite
pas de discussions, plus on élargie les compétences de l’Union plus incidence et influence du droit
européen, car influence limité à l’aspect technique alors qu’aujourd’hui UE a des compétences dans
tout les domaines. Effet quantitative du droit européen.

Autre élément le droit européen devenait de plus en plus précis et complet et donc n’imposer plus
des obligations générales au Etat mais de plus en plus contraignante et spécifique. Ex : le fait que les
directives sont de plus en plus précises et complète. Plus on réduit marge d’appréciation de l’Etat
plus contenue du droit à une dimension européenne. Mesurer la part du droit européen dans le droit
national est compliqué. Certaine études on essayer de mesurer l’impact de cette législation,
aujourd’hui on estime que 65% du droit national découle directement ou indirectement du droit
européen en France. Influence forte. Permet de comprendre pk il est important pour l’UE d’encadrer
procéduralement les Etats, renforcer avec intégration croissante du droit européen dans système
juridique internationaux. Ce phénomène d’influence il ne faut pas croire que c’est le résultat
uniquement de l’Union mais renforcer également sur le plan interne, autorité national qui ont
amplifié la place et la porter du droit européen sur le plan interne. Décision conformité du 10 juin
2004 qui est constitutionnelle, loi sur l’économie numérique, décision dans laquelle CC des
transpositions en France constitue une exigence constitutionnelle. Lorsque le législateur transpose
une directive en France il ne répond pas uniquement au droit européen mais d’abord et avant tout a
la constitution, a une exigence constitutionnelle et dans cette décisions que le CC avait dit qu’il n’y
avait qu’une hypothèse ou on pouvait lever cette exigence constitutionnelle seul disposition
constitutionnelle contraire. En 2006, loi relative a l’énergie dans sa décision le CC va utiliser les
thermes « sauf si transposition de la directive porte atteinte a l’identité constitutionnelle de la
France ». Dans sa décision du 7 novembre 2021 QPC société air France le CC pour la première fois a
indiqué qu’on peut rattaché a l’identité constitutionnelle la police adm doit rester dans les mains de
l’état et dans identité constitutionnelle mesure relative a la sécurité publique. En 2004 le CC a adopté
une autre décision = 19 novembre 2004, sur le projet de traité constitutionnelle européen,
établissant une constitution pour l’Europe. Et dans cette décision le conseil va plus loin quand juin
puisqu’il reprend les thermes de la CJUE puisqu’il dit que « l’ordre juridique communautaire est un
ordre juridique intégrer a l’ordre juridique interne et distinct de l’ordre juridique international ». Le
CC s’approprie la logique qui est celle de la CJUE. A travers cette double action des institutions de
l’Union et institution international on a une européanisation du droit national. Blocage actuelle avec
Pologne le gouvernement Polonais a décider de mettre en place des mesures nationales qui vise a
empêcher le droit de l’Union dans le droit interne. Il suffit modifier contenue droit interne pour
qu’autorité national plus en mesure de mettre en mesure le droit de l’Union. Plus d’indépendance de
la justice en Pologne, mais mécanisme subtile car a travers cette règle technique et disciplinaire on
rend difficile l’intégration du droit de l’Union dans le droit de la Pologne. La manière dont on a
tendance d’interprété des règles européennes aujourd’hui vise a préserver les Etats. Un arrêt
Poplawski de 2019 pas revirement de jp mais arrêt dans lequel la Cour limite la porté principe de
primauté car ne concerne que norme revêtue d’effet directe. Cette arrêt est une forme de
renationalisation de la primauté.

Résistance politique : certain état on toujours mal accepter l’étendue des compétences de l’Union,
qui philosophiquement, conceptuellement mal accepter l’UE comme le RU. C’est le cas de d’autre
Etat ex : Italie, état dualiste foncièrement dualiste et eut toujours du mal avec principe d’intégration
qui est un principe moniste certaine résistance italienne s’explique par responsable politique italien,
remet en cause une tradition italienne très établie qui dit que l’Italie a une conception dualiste de
l’Italie et caractère fermer des systèmes. Certains nombres d’état avait eut aussi exprimer un certain
nombre de réserve a l’égard du fonctionnement de l’UE, adhéré pouvait pas peser sur négociation et
Union a imposer son modèle a ses états. Pendant décennie sous l’autorité de l’Union soviétique subit
des précisions de la part d’un état extérieur, économique, politique, et donc quand la Hongrie est
devenue indépendante après la chute union soviétique posé pbm philosophique de ce placer sous
nouvelle autorité, qui est plus souple et démocratique. Devoir respecter des règles venant de
l’extérieur. Résistance s’explique par le contexte historique des Etats. Ce qui explique ces résistances
montrer par science politique souvent gouvernement nationaux tiennent double discours quand a
l’UE. Pas même position et discours selon qu’il parle a Bruxelles dans un cadre purement interne.
Travail assez considérable peut être réalisé ex : qu’elle position du gouvernement français au sein de
l’UE et au niveau national ? Porter un projet de directive et qu’elle soulève des oppositions. Ce
double discours aggravé avec le recours au vote a la majorité au sein du Conseil, il peut arriver qu’un
état se retrouve dans la minorité et se voit imposer un texte dont il n’a pas souhaité l’adoption.
Raison opportunisme politique un état s’oppose a l’adoption d’un texte pour des motifs de stratégie
politique et pas de motif de fond. Elément sociologique la monté progressive d’un certain nombre de
courant hostile a la construction européenne. Une forme euroscepticisme, qui résulte d’une stratégie
politique ex : RU, mais pas qu’il y a aussi le déficit de l’Union, entre pouvoir transféré a l’union et
responsabilité politique de l’Union, démocratie repose sur équilibre. Dans l’UE les garantie sont faible
et ce déséquilibre renforce déficit démocratique. Pendant un certain temps population européenne
c’est satisfait du contrôle du juge mais aujourd’hui considéré comme insuffisant. Défit majeur qui se
pose a l’UE. Pour l’instant l’UE n’y a répondu que par la CJUE, argument juridique n’a plus d’influence
et d’incidence sur l’aspect ou l’appréhension politique de l’Union. Par conséquent l’UE face a ces
résistances politiques n’a pas beaucoup de choix marge de manœuvre limité, renforce garantit
constitutionnelle en redonnant une partie du pouvoir au Etat. Mais le risque c’est que l’UE face a des
blocages récurant et deuxième alternative la voie de la géométrie variable, Europe a la carte. L’Union
sera obligé de ce recentré sur les seuls activité commune à l’état et discussions actuelle s’achemine
vers sécurité environnemental, sécurité au sens stricte (terrorisme) et sécurité sanitaire. Population
accepterons des obligations externes que si contrainte garantissent une plus grande sécurité. CE
prend du recule car considère que droit européen ne garantit pas totalement al sécurité total de la
France, sécurité concept clef des rapports de système a venir.

Cour du 1/12/2021 : 11 :00 :

La collaboration fonctionner bien et c’est une raison pour laquelle que la CJUE avait dit que
mécanisme de renvoie préjudicielle constitué la clef de voute du système juridique de l’Union, on fait
de se mécanisme de question préjudicielle un mécanisme essentielle au bon fonctionnement du
système juridique européen.

Mais il y a des résistances qui émerge a l’égard de se système juridique qui est contraignant pour les
états mais également protecteur et protecteur des droits fondamentaux surtout. Il y a des
résistances politique qui vont exercer une influence sur le travail des juges nationaux, et vont exercer
une influence sur l’interprétation que peuvent faire les juges nationaux du droit européen et du
système juridique de leur droit national. Les résistances juridicierai ou juridictionnelle à l’égard de la
manière dont fonctionne le système juridique de l’union aujourd’hui.

L’actualité montre qu’il y a une convergence des résistance, de plus en plus juridiction national et
surtout juridiction suprême viennent poser des limites a l’influence de l’UE dans les système
juridique nationaux. Dans un certain nombre d’état fondamentaux a la construction européenne on
la trouve.
Même si convergence dans la résistance pas fondé sur les mêmes argument ou même raisonnement.

Position juridiction française à l’égard de l’UE : trois juridictions suprême français. De plus en plus, le
juge constitutionnelle et adm vont prendre appuie sur le concept d’identité national ou
constitutionnelle de la France et donc ils vont replacer au cœur de cette résistance l’idée qu’il y aurait
des spécificité national a préserver et parmi ces spécificité il y a en particulier la sécurité.

Pour le CC : c’est le cas dans décision 19 novembre 2004 a proposé du traité établissant une C° pour
l’Europe mais également dans une décision 20 décembre 2007 a propos du traité de Lisbonne. Le CC
vient rappeler que la C° se situe « au sommet de l’ordre juridique interne ». C’est tout à fait cohérent
et normal, que le CC réaffirme la place éminente de la C° dans l’ordre juridique interne car c’est à
travers la C°, par la C° que les responsables politiques peuvent signer et ratifier des traités
internationaux découle de la C° et la C° prévoit la valeur de ses traités dans l’ordre interne avec
article 55 de la C° qui prévoit que tout traité régulièrement ratifier s’impose a la loi, au législateur. Le
CC évoque la place de la C° dans la hiérarchie normative mais ne se fonde pas ou prend pas position
en therme de primauté, il ne se situe pas dans hypothèse de conflit de norme mais prend appuie sur
volonté du constituant = placer C° au sommet ordre juridique interne. Le CC grâce a la C° également
et a son article 54 peut contrôler la validité d’un projet de traité international au regard de la C°.
Pouvoir de contrôler la constitutionnalité d’un projet de traité car en France contrôle a priori sur la
constitutionnalité d’un traité international. Mais le CC a compter de sa décision IVG de 1975 décide
de ne pas assurer lui-même le contrôle de conventionnalité, en France a l’égard des normes
internationales a partir 1975 le CC distingue deux contrôle possible :

- Contrôle constitutionnalité : dont il a le monopole.


- Contrôle conventionnalité : qui repose sur le juge ordinaire, juge adm, civil, pénal…

Ce qui explique la scission des contrôles, il y a l’argument de constitutionnaliste = le CC doit statuer


dans un temps court, et que le contrôle de conventionnalité suppose parfois un temps plus long lié a
l’envoie préjudicielle parfois. Le CC serait enfermé dans délais de 3 mois, trop court pour garantir
véritable contrôle conventionnalité. Mais il y a une autre explication du point de vue du droit
européen = le CC considère que le contrôle de conventionnalité renvoie plutôt aux engagements de
la France qu’au question constitutionnelle, conventionnalité mise en œuvre et bonne application
droit international dans le droit interne. Au sens article 55 de la C° en France on est dans un régime
moniste, droit international régulier peut s’appliquer immédiatement dans l’ordre juridique français
c’est à la foi question procédural a priori droit externe ne doit pas soulever pbm particulier au regard
de la C°, peut au regard de la loi, au regard de l’égalité mais ce contrôle n’est pas assuré en principe
par le juge constitutionnelle. Il y a une hypothèse limite, un peut particulière qui concerne l’exigence
de transposition des directives en droit interne. Lorsque le traité de Maastricht signé par la France
nécessaire de signer la C° française. Traité de Maastricht fait une bascule complète dans la nature de
l’organisation européenne = transupsensation a savoir que les organisations européenne change de
nature avec passage a l’UE et ce principe oblige constituant français a modifier le texte de la C° pour
que la France accepte de participer à cette organisation politique. Parmi les dispositions
modificatives il y a un nouvelle article 88 de la C° = prévoit les modalité de participation de la France
a l’UE. Autorisation constitutionnelle de la France permettant de transféré des compétences de la
France à l’Union. Si on regarde plus en détaille article 88 on a l’article 88-1 de la C° = en a tirer dans
décision 10 juin 2004 loi pur la confiance dans l’économie numérique, il a tiré de l’article 88-1 une
obligation, exigence constitutionnelle de transposition des directives pour le législateur français.
Montre respect évidant du droit de l’Union, sorte de soumission presque (vue par les
constitutionnaliste) aux exigences au droit de l’Union car exigence constitutionnelle pas consacrer
dans le texte de la C°, c’est l’interprétation du CC qui vient dire cela, elle est d’origine prétorienne.
Cette exigence constitutionnelle a une conséquence immédiate c’est que l’obligation de
transposition du législateur étant une obligation constitutionnelle c’est au juge CC qui va revenir de
contrôler l’activité du législateur au regard de l’Union. Il s’assure que la loi transpose bien une
directive. Cette hypothèse là pourrait faire penser a un contrôle de conventionnalité. PERDU. A
compter de la décision loi pour la confiance dans l’économie numérique certain membre de la
doctrine on considéré que c’était une remise en cause partielle de la jp IVG de 1964. Le juge CC peut
en principe contrôler le contenue de la loi au regard d’une directive = contrôle de conventionnalité,
la C° n’intervient pas dans se contrôle = opinion partie de la doctrine. Mais cela est héronner car le
juge reste sur un contrôle de constitutionnalité et la preuve en est apporter par une décision du CC
du 30 novembre 2006 loi relative au secteur de l’énergie = transformation juridique EDF et GDF sur
des directives de l’union, le CC vient dire qu’il faut s’assurer que le contenue de la loi de transposition
« ne contredit pas de façon manifeste n’y les dispositions n’y l’objectif général de la directive ». Le
juge constitutionnelle ne procède pas a u contrôle au fond de la loi de transposition comme pourrait
le faire le juge ordinaire, il s’assure qu’au moment de la transposition, ou le législateur adopte une loi
contenant des dispositions relative a la directive respecte l’article 88 §1 de la C°. Ce n’est finalement
que si la loi se détache de manière manifeste, c’est-à-dire de manière grossière du contenue ou
objectif de la directive qu’il y aura atteinte a l’exigence constitutionnelle. Si volontairement ou
involontairement le législateur français s’éloigne des dispositions ou objectif de la directive ce n’est
pas uniquement en opposition ou en infraction avec droit de l’union mais se met également en
infraction avec C° française. Dans la décision de 2006, le CC fait bien un contrôle de constitutionnalité
et non de conventionnalité. L’article 88 et l’exigence ne modifie pas le contrôle de constitutionnalité.
Ces décisions montrent donc en apparence que le CC cherche a priori pleinement a respecter le droit
de l’UE et a permettre la meilleur intégration possible du droit UE dans le droit interne avec certain
nombre de garantit constitutionnelle. C’est une forme de respect de bonne fois de la France.

Mais qui au départ est un petit « Mais » et devient consistant a compter du mois dernier. Ce « mais »
est la question constitutionnelle de la France. Dans sa décision de 2006, loi relative au secteur de
l’énergie le CC pose une limite malgré tout a l’exigence relative mais très relative puisqu’à cette
époque le CC indique que le législateur ne sera pas tenu a cette exigence dans l’hypothèse ou la
transposition porterais atteinte a une règle ou à un principe « inhérent a l’identité constitutionnelle
de la France ». Cette exigence pas respecter par le législateur français dans l’hypothèse ou au cour de
la transposition il y aurait un risque d’atteinte a l’identité constitutionnelle de la France. L’année
suivante en 2007 dans son arrêt Arcelor le CE redira, reprendra intégralement les motifs du CC dans
la décision Arcelor de 2007 pour dire que le gouvernement peut et doit transposer par décret les
directive, exigence constitutionnelle s’étend au pouvoir exécutif et pas qu’au législateur mais que
cette exigence décrétale de transposition trouve comme limite l’atteinte a une règle ou principe
inhérent au principe constitutionnelle de la France. La norme ne descend pas du ciel, résultat
raisonnement intellectuel et lutte de pouvoir. Cette position instaure une forme de limite a l’exigence
constitutionnelle mais pendant très longtemps, quasiment 15 ans cette limite va rester purement
théorique et abstraite puisque personne ne sait ce que contient ou ce sur quoi repose l’identité
constitutionnelle de la France. Constitutionnalisme s’écharpe entre eux et les dirigeants politique
aussi et européaniste s’y mette également. Mais ne dit pas se qu’il y a dans l’identité
constitutionnelle si positiviste. Le 15 octobre 2021 le CC rend une décision QPC Air France L’UE c’est
doté politique migratoire a l’égard demandeur d’asile et dans le cadre de la politique d’asile on a mis
en place un mécanisme Dublin repose sur des règlements comme celui de 2013. Ce mécanisme
européen a été mis en œuvre, doit être mis en œuvre a titre principal par les Etats. En France le
législateur a décider que les compagnie aérienne jouerais un rôle dans cette politique d’asile leur rôle
sera de renvoyer dans des pays tiers un certain nombre de personne en situation irrégulière sur le
territoire français. Il participe a la mise e œuvre politique migratoire en réacheminent vers état tiers
personnes situation état tiers ou réacheminent des personnes pas le droit d’être sur le territoire.
Contentieux dans Air France qui faisait valoir que responsabilité ne devrais pas incomber a des
opérateurs privé car le fait de réacheminer vers un pays tiers une personne c’est la conséquence de
certaine décision judiciaire comme pénal et donc cela revient a obligé des opérateurs privé a exercer
des prérogative de puissance publique et a les obligé a exercer des compétence de police adm.
L’argument de la société Air France est intéressante car articuler = confié cette mission de police adm
au compagnie aérienne est contraire à l’article 66 de la C° confit a l’autorité judiciaire les libertés
individuelle or les compagnie aérienne ne sont pas une autorité judiciaire et ne peuvent pas garantir
dans le cadre du réacheminement les libertés de cette personne. Ce que faisait valoir la société Air
France c’est que cette délégation de police adm est contraire a l’article 12 de la DDHC = existence
d’une force publique dans les mains de l’état et dans le bénéfice de tout pas de quelque uns. La
société Air France disait cela car article confit les missions relevant d’une force publique a l’état et il y
avait d’autre argument, société Air France invoqué argument au principe non-discrimination dans le
fait que l’état français faisait peser principalement sur la société Air France, car l’Etat est actionnaire
de la société Air France et peut imposer contrainte particulière et cette société faisait valoir qu’il y
avait une discrimination entre compagnie aérienne car elle supporter des charges supplémentaires. Il
considère que certain principe et certaine règle invoqué par la société Air France son des principes
qui sont aussi protéger par le droit de l’UE et dans la mesure ou son protéger par le droit de l’UE « il
ne constitue pas des règles et principe inhérent à l’identité culturelle de la France » = solution arrêt
Arcelor. Lorsque règle et principe consacré dans système juridique européen et dans système
juridique français on se refaire uniquement a la jp de l’UE. On est sur une continuité loi de 2006
relatif au secteur de l’énergie exigence sauf atteinte constitutionnelle de la France, arrêt Arcelor 2007
pas d’identité constitutionnelle si déjà consacré par droit européen arrêt 2021 on rappelle Arcelor.
Mais deuxième temps dans l’arrêt de 2021 et concerne article 12 de la DDHC et la nécessité d’une
force publique. Le CC retient de l’article 12 que cet article interdit a l’état de déléguer a des
personnes privé des compétences de police adm général, interprète article 12 comme interdisant a
l’état de déléguer a des personnes privé des compétences police adm général car considère qu’elle
relève de l’exercice de la force publique. Elles sont nécessaires a l’exercice de la force publique
général. Par conséquent le CC considère que cette interdiction de déléguer des compétence de police
adm au personne privé constitue un principe inhérent au principe constitutionnelle de la France.
Pour la première fois depuis 2006 donc 15 ans plus tard on a une première indication sur la
substance de l’identité constitutionnelle de la France. Si une directive imposer au Etats pour réaliser
un objectif de déléguer des compétences de police adm général a des personnes privé le législateur
français pourrait s’opposer a cette transposition au nom de l’identité constitutionnelle de la France
c’est comme cela que fonctionne l’identité constitutionnelle. Une partie sécurité publique confié au
secteur privé. BEUGUE. Des particuliers peuvent demander au juge compétent de saisir le juge
constitutionnelle on introduit un incident de procédure, la possibilité d’introduire un incident de
procédure pour favoriser un mécanisme de contrôle a postériori ou diffue de constitutionnalité. Cela
semble un mécanisme constitutionnelle purement interne mais le législateur adoptant la loi du 23
juillet 2008 à indiquer la priorité sur se moyen d’examen sur tout les autres. C’est l’idée qu’en cas de
doute sur la validité du droit interne, doit prévaloir l’interrogation constitutionnelle sur d’autre forme
d’interrogation cela veut dire cas partir de cette révision le contrôle de constitutionnalité devait
primer sur le contrôle de conventionnalité, primer dans tout les sens du terme, primer dans le temps
et prime sur le fond. C’est la réponse du juge constitutionnelle qui s’imposera dans l’ordre interne.
Ce pose immédiatement une question qui n’est pas théorique : que ce passerait-il dans l’hypothèse
ou un acte de droit interne, un loi, un décret plutôt une loi, soulèverais des questions d’un point de
vue constitutionnelle et soulèverais des questions du point de vue conventionnelle ? La loi semblait
claire aller dans le sens de la priorité constitutionnelle, mais le CC a été très subtile et le CE conscient
que cette interprétation de la loi organique contraire à la CJUE, tout juge national peut la saisir d’une
question préjudicielle = jp constante de la CJUE. Si on instaure un mécanisme prioritaire il peut
empêcher le juge national de saisir le juge national d’une question préjudicielle. Fin de la confusion
des deux contrôle et le CC doit confondre deux principes et assurer seul lorsque cela est possible un
contrôle de constitutionnalité et conventionnalité. Décision du 12 mai 2010 loi sur les jeux en lignes
le CC dans cette décision de conformité, pas QPC, apporte certain nombre de précision :

- Rappelle que le JJ comme JA doit tout faire qui sont nécessaire pour évité que droit national
soit incompatible avec droit de l’Union : pour le CC il n’est pas question de revenir sur la
décision IVG. Ressemble à l’interprétation conforme. Traduction constitutionnelle de
l’obligation conforme gage a la CJUE.
- Le CC considère que la faculté de rerenvoyer une QPC ne limite a rien de renvoyer QPC et
question préjudicielle en cas conventionnalité et constitutionnalité : interprétation très
audacieuse, le CC ne veut pas faire contrôle de conventionnalité or on sait que contrôle
conventionnalité passe par coopération entre juge européen et national cette solution elle
vaut pour la possibilité de renvoyer avis consultatif a la CourEDH. Collaboration maximal
entre juge il faut qu’on ne dise pas qu’un mécanisme de coopération prime sur l’autre. A
partir du 12 mai 2010 question constitutionnalité qui n’est plus prioritaire le CC vient mettre
entre parenthèse la question de priorité.

Le 22 juin 2010, un mois plus tard, dans un affaire Melki la CJUE vient dire que le mécanisme de la
QPC pas contraire au droit de l’UE car elle a entendu la réponse du CC.

La jurisprudence du tribunal constitutionnelle allemand : il raisonne en termes de partage des


compétence entre UE et Allemagne. L’idée que l’UE ne peut pas aller au-delà des compétences qui lui
ont était attribué ou accorder par les Etats. Pas de préservation de conserver l’identité allemande
mais l’idée que l’union ne peut pas porter atteinte a la volonté du peuple allemand = ultra vires.

La jurisprudence suprême de Pologne : elle raisonne de manière différente en se fondant sur des
valeurs = question centrale pour juriste aujourd’hui. On vit dans société en crise et dans ces périodes
la fonction principal du droit est réaffirmer certaine valeur. La Pologne défende des valeurs pas
forcément inscrite dans les traités, au-delà compétence c’est la redéfinition des valeur de l’union.
Montre que le droit ne repose pas sur les textes écrit, la loi, mais repose avant tout sur son
interprétation.

Cour du 3/12/2021 : 8 :00 :


Finalement on a un dialogue parfais des juges entre juges français et CJUE décision du 12 mai 2010
loi dite jeu en ligne le CC rappelle qu’il n’y a pas vraiment de priorité car le juge ordinaire peut saisir
le CC d’une question prioritaire de constitutionnalité et la CJUE d’un renvoie préjudicielle. Le CC vient
neutraliser la priorité et la CJUE qui avait été saisie dans l’affaire Melki du 22 juin 2010, la CJUE était
saisie par la Cour de cassation car elle considérait que la priorité du CC était contraire a l’Union. Cour
de cass assez hostile a une priorité du CC. Cour de cass était gêner par cette question et avait
renvoyer une question préjudicielle a l’Union en espérant que la QPC contraire a l’Union, mais le CC
neutralise la priorité et dans l’arrêt Melki la CJUE considère que mécanisme de QPC pas contraire au
droit de l’Union tel qu’interpréter par le CC. Cette notion de dialogue des juges est déjà énoncée par
Benoit Jonevoit vice-président du CE et avait employer cette formule « a l’échelon de la communauté
il ne doit y avoir n’y gouvernement des juges n’y guerre des juges il doit y avoir une place pour le
dialogue des juges ». Décision QPC du 4 avril 2013 puisque dans cette décision M. Jérémy F pour la
première foie le CC accepte de renvoyer une question préjudicielle a la Cour, affaire concernant le
mandat européen (affaire en matière pénal). Quand risque de détention d’une personne le juge
national peut renvoyer une question préjudicielle d’urgence oblige la CJUE a répondre dans les 3
mois au juge national. 1er fois que le CC fait un renvoie à la CJUE. Seul une juridiction peut renvoyer
une question préjudicielle a la Cour. Ex : un arbitre ne peut pas renvoyer une question préjudicielle a
la Cour car pas une juridiction au sens traité et Union. La question pouvait se poser de savoir si le CC
était vraiment une juridiction. L’une des problématique du CC renvoie a la nomination des juges
français, nommé par responsable politique, nomination politique des juges constitutionnelle et ce en
France ne sont pas des magistrats, est-ce que le CC était bien une constitution, forme de pouvoir
juridictionnelle ? Au regard des critères de la CJUE on pouvait se poser la question. Dans une affaire
Jérémy F de 2013 la CJUE va répondre au CC sur le fond et accepte de répondre au CC, ce qui veut
dire que pour la CJUE le CC est bien une juridiction et la CJUE vient renforcé la légitimité du CC. On
est dans un vrai dialogue entre le CC et la CJUE.

Le CE : toujours était plus compliqué. Si on reprend la jp du CE il y a trois période jurisprudentielle :

- D’indifférence voir d’hostilité a l’égard du droit communautaire : car en 1968, le 1er mars
1968 le CE rend une décision Syndicat général des Semoules de France. Dans cet arrêt il est
question de l’application du droit communautaire notamment sur la pacte, le CE considère
qu’il n’est pas compétent pour contrôler le traité au regard de la loi. La loi prévaut sur le
traité postérieur. Cet arrêt adopter car le CE disait qu’il revenait au CC de faire un contrôle de
conventionnalité. Cela voulait dire que le JA refuser de contrôler la légalité postérieur au
traité et elle était très nombreuse a l’époque. Autre arrêt Conne Bendit de 1978 le CE
considérait que le droit communautaire pas forcément revêtue d’un effet direct. Le CE se
présente comme le gardien de l’ordre publique français et hostile au principe de la supra
nationalité, norme issue autre norme juridique comme droit communautaire. Cette jp est
très problématique a partie de 1975 et décision IVG car le CC demande au juge ordinaire de
faire contrôle de conventionnalité. Le CE vient limité se contrôle, ce champs dans le champs
du droit communautaire. Alors que la Cour de cass assure un authentique contrôle de
conventionnalité. L’affirmation de Brunot Jaune Voit avait était prononcer a la suite de
Conne Bendit de 1978. Dialogue pas optimal.
- Dialogue entre CE et CJUE : CE très attaché au droit de l’UE. Cette première période se
referme par un revirement de jp, arrêt assemblé du 20 octobre 1989 Nicolo = revirement par
rapport à l’arrêt Syndicat général des Semoules de France, le CE accepte de faire valoir les
traité sur les lois postérieur, plus de loi postérieur écran. Contrôle peut s’opérer de manière
large, le CE accepte de contrôler la légalité au regard loi antérieur et postérieur et va
désormais s’appuyer sur cette jp nouvelle. Pour indiquer également que dans l’ordre
juridique interne tous les actes dérivé du droit communautaire prime sur le droit interne, ce
sera en particulier l’arrêt d’assemblé de 1992 Rothmans et Philip Morris le CE début année
90 il va s’assurer que le droit communautaire et européen s’intègre normalement dans
l’ordre juridique interne, dut au vice-président du CE. Il y a eu un certain nombre de vice-
président plus ouvert au droit européen. Le CE va comprendre qu’en intégrant dans son
contrôle de l’égalité le droit européen il étend son office et son pouvoir de contrôle. Le droit
européen permet au CE de s’autonomiser vis-à-vis de l’exécutif. Organe juridictionnel et
juridiction du prince et trouve dans le droit européen un moyen de renforcer sa juridiction.
Dans le cadre de cette période arrêt du 30 octobre 2009 ass Madame C dans cet arrêt le CE
va abandonner sa jp Conne Bendit et fait une bonne application des critères de l’effet
directe. Et en particulier dans l’arrêt Madame C le CE reconnait un effet directe ascendant =
invoquer norme à l’égard de l’état, y compris dans le cas d’une directive non transposé. Par
ailleurs dans l’arrêt Madame C le CE dit que la non-transposition d’une directive peut
engager la respirabilité de l’état, il considère que l’effet utile du droit européen oblige le JA à
reconnaître effet directe et engager la responsabilité. Période longue ouvre 1989.
- Réserve a l’égard du droit de l’UE du CE : elle s’ouvre avec arrêt Commission européenne
Commission contre France du 4 octobre 2018. Condamnation de la France a un double titre
du fait du législateur et du fait du juge (CE). La France imposé une législation différente, fiscal
différente, sur les dividendes qui était verser soit a une filial établie en France, soit filial
établie a l’étranger. En 2011 la CJUE avait rendu un arrêt Accor en 2011 dans lequel elle avait
conclue que la législation fiscal était discriminatoire. Ensuite, cet arrêt a beaucoup gêné le
gouvernement français car président voulais maintenir cette réglementation fiscal. Le CE
décide de ne pas tenir compte de la jp de la CJUE, rend une série d’arrêt qui sont totalement
en contradiction avec solution retenue par la Cour de Luxembourg comme si arrêt Accor
n’avait jamais exister, aucune discrimination. Cet jp va insister a demander a la Commission
des explication au gouvernement français qui soit ne répond pas ou répond de manière
évasif en 2017, un nouveau contentieux porter devant le CE et a ce moment requérant
demande au CE de renvoyer une question préjudicielle. Et pour essayer d’avoir une
confirmation de la jp Accor le CE refuse de renvoyer cette question préjudicielle en disant loi
est clair, fait jouer théorie acte clair. Et rend a nouveau un arrêt incompatible avec la jp
Accor. A partir de là, la Commission introduit un recours contre la France pour la première
foie la CJUE considère qu’il y a eu un manquement judiciaire de l’Etat et pas simplement du
législateur ou gouvernement, une juridiction a violer le droit de l’UE. Pour motiver cette
aspect de l’arrêt elle considère que CE est une juridiction de dernière instance pas de recours
possible à l’égard de ces arrêts mais le CE pas la faculté mais l’obligation de renvoyé une
question préjudicielle car juridiction dernière instance. Mal vécue par le CE, car estime qu’il a
effectué son travail, qu’il dispose que ces arrêts dispose autorité de la chose jugée est que
d’une certaine manière engager sa responsabilité, forme de manquement judiciaire, c’est
très grave a la foie pour sa légitimité mais également pour la confiance existant entre le CE et
le CJUE. Bruno Lasser montre que le CE fait action principe primauté et effet directe et qu’il a
toujours rechercher la conciliation, la coopération avec CJUE. Il y a trois arrêts du CE qui sont
trois grande étapes dans la jp adm :
 En 1998 le 30 octobre le CE a rendu un arrêt Sarran et Levacher : dans ces arrêts le
CE avait indiqué que dans l’ordre juridique interne c’est la constitution qui prime.
 Arrêt 3 décembre 2001 Snip : réaffirme cette solution vis-à-vis de l’UE. Mais montre
que le CE n’a jamais chercher a faire primer la C° dans le droit interne sur le droit
européen et s’appuyer sur deux arrêt :
8 février 2007 Arcelor : le CE en s'appuyant sur conclusion du rapporteur
publique Guyomar (juge français a la CJUE), en disant qu’en cas de conflit de
norme il ne faut pas chercher à s’appuyer automatiquement sur le principe
de primauté, principe de hiérarchie et principe conflictuelle de tension
normatif. CE s’appuyé sur une logique de réseau et dans cette affaire que le
CE considère que ce n’est que dans l’hypothèse ou le droit de l’Union entre
en conflit avec un principe inhérent avec conflit identité de la France qu’il y
aurait potentiellement un conflit constitutionnelle qui serait exceptionnelle.
10 avril 2008 Conseil National des Barreaux : logique de réseau. Il s’agissait
d’un décret qui concerner la confidentialité des échange entre avocat et
client en matière de garde à vue et de perquisition. Un certain nombre de
requérant avait estimé que ce décret porter atteinte au disposition d’une
directive de l’UE en matière de secret des échanges entre avocat et client et
que décret contraire par ailleurs a l’article 8 de la Convention européenne
des droits de l’homme avec une difficulté cependant c’est que le décret
transposé la directive. Le CE est amené a contrôler la légalité de ce décret
par rapport droit Union et CEDH. Sachant que le CE pouvait rapidement se
retrouver dans situation délicate car ou bien il faisait prévaloir le droit de
l’UE mais pouvait se trouver en porte à faut avec CEDH ou bien faisait
prévaloir droit de la convention au risque de ce retrouver en porte a faux
avec droit de l’UE, avec mauvaise ou fausse transposition d’une directive. Le
CE va se demander si la directive de l’Union contraire avec article 8 de la
CEDH vient faire analyse horizontale de ces deux cours européennes. PERDU.
Le décret ne fait que transposer les éléments d’une directive conforme à
l’élément. PERDU. Cela a cristallisé l’aigreur du CE, son mécontentement.
- Arrêt 4 avril French Data Network et Quadrature du Net : Une Etat peut exiger de disposer de
donné de connexion en particulier. Accès a toute les donné même personne pas suspecter
d’activité criminelle. Autant accéder a toute les données. En 2016 la CJUE avait rendu un
arrêt indiquant qu’il n’était pas possible pour l’état d’exiger la conservation généralisé des
donnés car violations du droit des données a caractère personnelle article 8 de la convention.
Dans l’affaire Quadrature du Net la CJUE rappelle cette interdiction d’une conservation
généralisé des données fournit par les opérateurs avec une exception lorsque l’état invoqué
des menaces grave a l’encontre de la sécurité national, la CJUE vient encadrer strictement
cette exception. Cette arrêt mal reçut par la France car ne permet pas de lutter efficacement
contre le terrorisme, CJUE a fait prévaloir les droits fondamentaux sur les atteintes
généralisé. Le CE vient faire application de la solution dégager la CJUE, dans cet arrêt le CE
annule un certain nombre de décret français, annule sur le fondement de la CJUE tout en
annulant les décret il estime dans le même temps qu’il n’est pas possible de respecter la
totalité des exigences posé par la CJUE. Laisse ouverte un certain nombre de porte au
gouvernement pour accéder au maximum de donné. Solution ambivalente, tire conclusion de
Quadrature du Net pour adopté nouveau décret permettant un accès plus important au
donné des conservateurs. On voit a qu’elle point le CE finalement est un peut plus réticent
dès lors a faire une application complète sans filtre de la jp européenne et peut être que
PERDU. Arrêt Société Jacques Vabre 1975 il était question de l’application d’une disposition
du traité CE en matière fiscale la fiscalité soulève tellement de question contentieuse,
application d’une disposition du traité CE en matière fiscal. Une loi postérieur au traité CE
rentré en conflit avec cette disposition du traité CE. A priori les chambre mixte aurait de
l’adopté a nouveau la doctrine Mater et faire prévaloir la loi postérieur contraire sur
disposition du traité, un mois plus tôt le CC avait décider de faire peser le contrôle de
constitutionnalité sur le juge ordinaire. En l’espèce dans l’affaire Jacques Vabre procureur
Touffait considère qu’en vertue de la décision IVG si on continue a appliquer la théorie Mater
il y aurait un risque du dénit de justice car loi postérieur ne pourrait jamais être controlé par
le CE n’y pas le juge ordinaire et pour le procureur général Touffait se dénie de justice
incompatible avec constitution française et droit communautaire double infraction

Cour du 8/12/2021 : 11 :00 :


Les rapports entre juges et on a put constater que le juge français est un juge qui n’a pas hésiter a
collaborer avec CJUE a instaurer le dialogue des juges mêmes s’il existe des limites au droit
d’intégration du droit de l’UE dans le système français.

La Cour constitutionnelle allemande : sa a été l’un des premiers juges a émettre un certain nombre
de réserve sur la façon dont fonctionner le système juridique communautaire qui concerner la
protection des droits fondamentaux = jurisprudence Solange de la cour constitutionnelle allemande
elle a obligé la CJUE en 1969 et 1970 a se déclarer compétente pour protéger les droits
fondamentaux. Ce n’était pas dans l’esprit de la cour constitutionnelle allemande a s’opposer à la
CJUE. Deuxième temps plus compliqué. Au moment du traité de Maastricht de 19992 se traité de
Maastricht avait soulever un débat politique et constitutionnelle important en Allemagne sur le
transfert de compétence important à l’Union et proposition de consécration du principe de
subsidiarité. La Cour constitutionnelle allemande avait rendu une décision Maastricht de 1992 et
avait dit que l’UE ne pouvait pas revendiquer de nouvelle compétence pas inscrite dans les traités.
Elle reposait sur l’idée que le transfert de compétence consentit par l’Allemagne reposer sur la
volonté du peuple allemand tout exercice pas prévue dans les traités irait contre la volonté du peuple
allemand. Dans cette décision de 1992 la Cour constitutionnelle allemande mettait en avant une
exigence démocratique = c’est le fait que l’UE ne peut pas faire n’importe quoi elle doit respecter la
volonté des peuples européen et ici la volonté du peuple allemand. LA Cour constitutionnelle
allemande avait bien précisé dans cette décision si l’Union exercer une compétence non attribué la
cour constitutionnelle allemande s’autoriser a s’opposer a l’application du droit de l’Union. Du point
de vue du droit constitutionnelle allemand c’est l’ultra vires = un organisme publique va au-delà des
compétences qui lui sont attribué. La c’est un ultra vires étatique. Mais cette décision pas d’effet
immédiat, la Cour constitutionnelle allemande n’a pas trouver a redire a l’activité de l’UE.

Les problèmes ont débuté avec crise financière de 2006, cette crise international elle a eu des effets
très négatifs et important sur la zone euro. Pour faire face a cette crise l’UE c’est doter d’un certain
nombre d’instrument monétaire qui n’était pas inscrit dans les traités. Permet éviter déstabilisation
de la zone euro. Certain nombre responsable de politique allemand et des citoyens allemands ont
considéré que l’UE avait agis au-delà de ces compétences et des compétences consentit par le peuple
allemand dans le domaine de l’économie monétaire. Première fois avec un arrêt de 2015 Gauweiler
la CJUE le fait a sa manière. Le juge constitutionnelle allemand va poser 17 questions à la CJUE sauf
que la Cour constitutionnelle allemande apporte 17 réponse. Le gouvernement Italien dans le
considérant 11. Malgré tout la CJUE répond au conseille constitutionnelle allemand et apporte des
réponse et considère que la CJUE n’est pas aller au-delà de ces compétences. Première confrontation
qui n’a pas de conséquence mais un certain nombre de citoyen allemand saisissent les tribunaux
nationaux qui renvoie une nouvelle question préjudicielle a la Cour, et la CJUE va répondre dans un
arrêt Weiss de 2018. Le Cour fait un contrôle au fond et s’appuie sur le principe de proportionnalité.
En 2020, la cour constitutionnelle allemande rend une décision le 5 mai 2020 et dans cette décision la
Cour constitutionnelle allemande considère que le contrôle de proportionnalité opéré par la CJUE
dans l’arrêt Weiss est un contrôle inopérant, la CJUE n’a pas procéder a un véritable contrôle de
proportionnalité dans Weiss et donc pas tenue de la solution de l’arrêt Weiss. Et elle va exigé du
gouvernement allemand et du Bundestag qu’il adopte des mesure provisoire pour limité la
compétence de la BCE. L’ultra vires présent et découle que le contrôle de proportionnalité c’est
résumer a l’erreur manifeste et que le contrôle de proportionnalité aurait être plus étendue. Cette
arrêt de la Cour constitutionnelle que pour la première fois dans l’histoire la Cour de Luxembourg
adopte un communiqué de presse ou elle rappelle que les décisions qu’elles rend sur renvoie
préjudicielle s’impose au juge nationaux. PERDU.
Le renvoie préjudicielle : rapport entre les juges formaliser par le mécanisme du renvoie préjudicielle.
Tout juridiction national peut renvoyer une question a la cour. Il y a deux types de questions qu’on
peut demander à la CJUE :

- Renvoie une question préjudicielle en interprétation : le juge national souhaite obtenir une
interprétation de la CJUE d’un acte d’un plan d’une disposition de l’Union.
- Renvoie préjudicielle en appréciation de validité : le juge national a un doute sur la validité
d’un acte.

Pour qu’un organe soit une juridiction faut une origine légal = établie par la loi ; ce qui exclue
l’arbitrage. Il faut que l’organe soit permanent et siège de manière permanente. Juridiction est un
caractère obligatoire. Organe devant le qu’elle on respecte le droit de la défense ex : contradictoire,
indépendance, impartialité…

Le renvoie préjudicielle n’est pas une voie de recours contentieuse, la CJUE ne vient pas trancher le
litige national. C’est un mécanisme de collaboration entre juge. C’est pour cela que quand il
fonctionne mal plus de dialogue et la question de la bonne application du droit de l’Union se trouve
posé. La question est de savoir si le juge national peut saisir la CJUE ou non d’un renvoie préjudicielle
ou si elle peut faire jouer la théorie de l’acte clair. La Cour a répondu dans un arrêt de 1982 Silfit la
cour distingue deux hypothèses :

- Le juge qui a interprétation de validité est un juge de dernier ressort = pas susceptible de
recours. Obligé de saisir la cour.
- Le juge premier degré ou appel : n’a pas d’obligation de renvoie car possibilité de renvoie par
le juge de dernier ressort.

La porter des arrêts sur renvoie préjudicielle, cet arrêt s’impose au juge qui a poser la question et
c’est bien pour cela que si un juge pose une question et ne se soumet pas a la réponse de la cour il
peut engager la responsabilité de l’état arrêt Commission contre France d’octobre 2018 de la CJUE
engagement de la responsabilité judiciaire de l’état du fait de ces juridictions. La portée d’un arrêt
préjudicielle est erga omnes, car arrêt préjudicielle impose a tout les sujet de l’Union une certaine
interprétation ou le retrait d’un acte invalide, disposition invalide.

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