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EXERCICE 2
4. Pour quelles valeurs de α et β le torseur est- il nul ? Vérifier pour ces valeurs que les trois
vecteurs sont coplanaires.
EXERCICE 3
Soit le torseur {T1} au point de réduction O, défini par les trois vecteurs V1 = −2i + 3 j − 7k ,
V2 = 3i − j − k , V3 = −i − 2 j + 8k définis dans un repère orthonormé R O, i , j , k( ) respectivement
aux points P1 (1, 0, 0 ) , P2 ( 0,1, 0 ) , P3 ( 0, 0,1) ; et le torseur {T2 } au même point de réduction O tel
R2
que : {T2 } = où R2 = 2i + j + 3k et M 2 ( O ) = −3i + 2 j − 7k
M 2 ( O )
1
EXERCICE 4
Les coordonnées (éléments de réduction) d’un torseur sont R = (10, 6, 4 ) , M O = ( 6,3, −6 ) dans un
repère orthonormé R ( O, i , j , k ) .
EXERCICE 5 :
Dans un repère R ( O , i , j , k ) orthonormé et direct, on considère les torseurs {T1 }O et {T2 }O dont
R1 R2
les éléments de réduction au point O sont respectivement et définis
M 1 ( O )
O M 2 ( O )
O
par :
1. Calculer les invariants scalaires des torseurs {T1 }O , {T2 }O et déduire leur(s) nature(s).
de cet axe.
4. Déterminer les valeurs de α pour lesquelles le torseur {T3 }O = {T1 }O + {T2 }O est un glisseur.
EXERCICE 6 :
où ( x, y , z ) sont les coordonnées du point P dans (R), a, b, c sont des constantes données et β
un paramètre réel.
Déterminer les valeurs de β pour que le champ M soit un torseur dont on précisera la
résultante.