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1. introduction :
Il est clair que par exemple les grandeurs des modules d’élasticité (E ou G) et du coefficient
de poisson μ variant en fonction des propriétés des matériaux (en premier lieu de la
composition chimique du matériau) et dans une certaine mesure , des conditions de
traitement thermique et d’usinage .
Mais , il faut encore avoir les caractéristique mécanique de résistance des matériaux (tels la
limite d’écoulement , la limite de rupture , l’allongement à la rupture , la striction à la
rupture , etc.………….).
Parfois il faut avoir des données sur les propriété du matériau de résiste de hautes
températures , de travailler sous des charges variables etc.…………..
On a conçu en conséquence une vérité d’essais mécanique qui fournissent les principales
caractéristiques du matériau, directement utilisées lors des calculs.
Les essais mécaniques des matériaux portent éprouvettes dont les dimensions et la
forme peut varier selon les appareils de mesure (machine d’essai) dont on dispose et les
conditions d’essais.
Parmi les essais l’essai de flexion qui nous permet de déterminer des caractéristiques
mécaniques du matériau.
La résistance des matériaux a pour objectif de donner à l’auteur d’un projet tous les
éléments nécessaires pour réaliser une construction stable.
C’est une science qui s’appuie sur la mécanique rationnelle ,en particulier la statique ;
mais si la statique ne considère que les actions extérieures appliquées aux systèmes
étudier, la résistance des matériaux , au contraire , pénètre à l’intérieur des systèmes ,
pour étudier les forces appliquées à chaque élément de la matière , et donc les
déformations qui en résulte .en effet , aucun solide n’est strictement indéformable : sans
parler de dilatation des corps lors d’une augmentation de température ,le lecteur a en
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mémoire la planche qui plie sous une charge , le fil qui s’allonge sous un effort de
traction Etc.………
Toute fois, si la charge ne dépasse pas une certaine limite, la planche qui plie, le fil qui
s’allonge, se rompent pas, car il s’établit à la fois un équilibre extérieur (déterminé par
la statique) et un équilibre intérieur des liaisons entre élément du corps solide
(déterminé par la résistance des matériaux).
3. principe:
Le principe de cette manipulation est de faire savoir les caractéristiques qui influent sur
le mécanisme des matériaux qui sont les suivants :
-on prend des matériaux (Al, Cu) acier avec des mêmes dimensions.
-plusieurs poutres du même matériau avec une hauteur h et longueur l constantes, et on
fait varier la hauteur h.
-plusieurs poutres de même avec une barre b et hauteur h constantes et on fait varier la
longueur l.
-une poutre d’un même matériau et on mesure la flèche (fm) pour deux position
différents.
4. etude théorique :
4.1. Flexionoblique :
L’or que la charge produisant la flexion d’une poutre est oblique par rapport à l’axe des
c, d, g, des sections de pièce, on dit que la poutre est soumise à flexion oblique.
C’est le cas de la poutre, encastrée et appuyée AB (fig221) inclinée sur l’horizontale qui
reçoit l’action de la charge verticale p appliquée en o sur l’axe neutre m, n.
Supposons une section transversale, passant par le point o, la direction de la charge n’est
parallèle à aucun des axes principaux xx1 et yy1 de la section, la formule générale :
M= RI
V
Ne convient plus.
Les forces données se décomposeront alors en deux autres, l’un c dirigé suivant l’axe
neutre, l’autre F perpendiculaire à cet axe.
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La première force produit par une force dirigée suivant l’axe principale yy1 de la
section transversale faite par sont point d’application, la formule générale M= RI
V est alors
utilisable.
On est ainsi ramener à deux problèmes connus, la fatigue totale de la pièce est la soumise
des fatigue partielles calculées séparément.
On dit qu’une poutre soumise à flexion est déversé lorsque l’effet de flexion, bien que
s’exerçant perpendiculairement à l’axe neutre de la pièce n’est pas parallèle à un axe
principale de section droite.
C’est le cas des profiles posés sur les fermes d’une charpente leurs arêtes longitudinal
étant parallèle à l’arête supérieure du toit.
Ils sont soumis à des charges généralement considérées comme verticales, chacune
d’elles agit dans le plan de la section droite qui passe par sont point d’application o en
faisant avec les axes principaux xx' et yy' de cette section, des angles b et 90º-b (fig223).
L’axe neutre de la section n’est plus perpendiculaire à la section de la force passant par
le c, d, g, nous allons fixer sa position.
Cette dernière condition nécessaire que le moment fléchissant soit constante, sinon il y
aurait un effort tranchant égal à la dérivée du moment fléchissant par rapport à l’arc de
la fibre moyenne, comme indiqué ci-dessus.
Considérons un élément de la poutre compris entre deux sections infiniment voisines (S)
et (S'). les deux sections sont supposées soumises à des couples égaux au moment
fléchissant M , comme indiqué sur la figure 5.2 , la figure est faite de telle sorte que M
sois positif.
D’après le principe de Navier-Bernoulli les longueurs des fibres varient comme si les
sections restaient planes après déformation , il en résulte que la section (S') subit par
rapport à (S) une rotation relative : sa nouvelle position est (S") comme indiqué sur la
figure5.2.
On démontre que le centre de gravité G ne varie pas et que l’axe Gz est l’axe de rotation
de la section (S').
Quant à la rotation relative de la section (S') par rapport à la section (S), elle provoque
un allongement des fibres telle que la fibre p'p". Qui est égal, d’après la loi de Hooke, à :
p'p"=σΔr
E
p'p"=MyΔx
EI
La section (S') parallèle à la section (S) avant déformation, vient couper celle-ci selon
une droite représentée sur le plan de projection par le point O.
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Dans le cas de la flexion pure, le moment M est supposé constant. En considérant une
poutre constituée d’un matériau homogène (c’est-à-dire E constant). Et de section
constante (donc moment a même p constante), le centre de gravité de toutes les sections
se trouvent ainsi disposés sur un cercle de centre O c’est pourquoi la flexion pure est
également appelée flexion circulaire.
Remarque :
Pour obtenir dans une poutre un moment constant, ou du moins quasi constant on
retient le dispositif suivant :
Entre les sections (S) et (S'), si l’on néglige le poids de la poutre par rapport aux forces
extérieures, il existe un moment constant égal à M= -pd.
Lorsque le moment fléchissant n’est pas constant, il est accompagné d’un effort
tranchant, égal à sa dérivée par rapport à l’arc de la fibre moyenne.
S’il n’y a pas d’effort normal, on dit qu’il y a flexion simple. S’il y a un effort normal, on
dit qu’il y a flexion composée.
Les résultats de l’étude de la flexion simple sont très semblables à ceux de la flexion
pure :
-chaque section (S) pivote autour de l’axe Gz, toutefois , le rayon de courbure R de la
fibre moyenne déformée (lieu de Gz après déformation) n’est plus constant , puisque le
moment fléchissant n’est pas constant ;
-la contrainte normal est toujours N=My/I, mais elle n’est plus seule : des contraintes
tangentielles s’y ajoutent.
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L’étude de la flexion composée (figure5.5) résulte immédiatement de la superposition
des résultats obtenus dans l’étude de la compression simple et dans celle de la flexion
simple.
Σ = N + My
S I
D’ou:
Y= - NI
SM
Cet axe neutre est parallèle à celui du au seul moment fléchissant, mais il ne passe pas
par le centre de gravité.
Il est donc possible de remplacer ce couple par une force unique F , appliquée en un
point C différent du centre de gravité (figure5.6).
Pour respecter les principes de statique, il faut que :
-cette force soit égale à l’effort normal : F = N (égalité des résultantes générales des
deux systèmes) ;
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-le moment de cette force par rapport à G soit égale au couple M : M=N. GC.
La position du point C est ainsi connue. Le point C est appelé le passage de la force
extérieure. Lorsque (S) varie, il décrit la courbe des pressions.
5. manipulation :
Fm = Fl avec Iz = bh
48.G.Iz 12
Donc Ep = FL
48. Fm.Iz
Interpretation:
La courbe fm est une équation d’une droite qui passe par l’origine se qui montre que les
flèches fm sont proportion ou k (l’inverse du module d’élasticité Ep théorique) donc
quand E fm
Deuxième manipulation :
Dans cette manipulation on prend plusieurs poutres en aluminium (Al) de différentes base
(b) et on mesure la flèche au point (A) pour chacune des poutres, la force appliquée, étant
toujours F=9,81N.
Interprétation :
La courbe fm (1/b) est l’équation d’une droite qui passe par l’origine se qui signifie que les
valeurs obtiennes de fm sont proportionnelles au 1/b donc quand b fm
Interprétation :
La courbe fm (1/h) l’équation d’une droite qui passe par l’origine, alors quand h fm
Influence de la distance entre les deux appuis (l) sur une poutre en (Al) de section
S=20X4mm chargée en son milieu par une force de 9,81N on fait varier la longueur de la
poutre (l) entre 30 et 50cm et on mesure la flèche maximale on point
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Soit le tableau suivant :
Interprétation :
La courbe fm (l) est une équation d’une droite qui passe par son origine c’est à dire la
flèche maximale est proportionnelle à la longueur de la poutre (l) donc quand l fm
On prend une poutre en (Al) chargée en son milieu par F=1Kg après avoir disposer cette
poutre sur les appuis de deux différentes comme suite :
Après avoir mesurer la flèche fm pour les deux cas on a obtenue les résultas suivantes :
Donc on constate que Iz'< Iz" donc le changement de position de la poutre influe
énormément sur la flèche et même la relation théorique (1) plus le moment d’inertie
diminue plus la flèche augmente quant Iz fm
Conclusion :
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